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CHAPITRE 3 (THOMAS) : SOIRÉE CHEZ SARAH
Je fais mon apparition dans l’appartement de ma marraine. Celle-ci m’accueille et me fait la bise. Elle m’indique ensuite un canapé où m’asseoir, m’apporte une bière, puis s’en va rejoindre un autre groupe d’élèves. Je me retrouve donc installé sur le canapé à côté d’un couple qui se bécote et se pelote sans grande distinction. Je me sens soudain mal à l’aise. Je ne connais pas grand-monde ici et je viens de comprendre que Sarah sera pas mal occupée avec tous ses invités et n’aura donc pas beaucoup de temps à me consacrer. Je regrette presque d’être venu quand une fille vient s’asseoir à mes côtés.
— Salut ; moi, c’est Aliénor, fait-elle en me tendant la main.
— Moi, c’est Thomas, lui réponds-je en lui serrant nerveusement la main.
— Oui, je sais.
— Ah bon ? fais-je, étonné.
— Le fillot de Sarah de Montferrat ne passe forcément pas inaperçu, affirme-t-elle. En plus, tu es pote avec Louise, de première année, si je ne fais pas erreur. Je suis sa marraine.
Effectivement, je viens à l’instant de reconnaître la blonde mignonne de la soirée parrainage.
— Ah ! Donc c’est toi, le rat de bibliothèque !
— Tout à fait ; les livres sont ma grande passion. Enfin, plutôt l’une de mes grandes passions.
Soudain, le couple de l’autre côté du canapé se lève et disparaît en pénétrant dans une autre pièce. Peu de temps après, Sarah en profite pour prendre la place vide et me ressert une autre bière.
CHAPITRE 3 (THOMAS) : SOIRÉE CHEZ SARAH
Je fais mon apparition dans l’appartement de ma marraine. Celle-ci m’accueille et me fait la bise. Elle m’indique ensuite un canapé où m’asseoir, m’apporte une bière, puis s’en va rejoindre un autre groupe d’élèves. Je me retrouve donc installé sur le canapé à côté d’un couple qui se bécote et se pelote sans grande distinction. Je me sens soudain mal à l’aise. Je ne connais pas grand-monde ici et je viens de comprendre que Sarah sera pas mal occupée avec tous ses invités et n’aura donc pas beaucoup de temps à me consacrer. Je regrette presque d’être venu quand une fille vient s’asseoir à mes côtés.
— Salut ; moi, c’est Aliénor, fait-elle en me tendant la main.
— Moi, c’est Thomas, lui réponds-je en lui serrant nerveusement la main.
— Oui, je sais.
— Ah bon ? fais-je, étonné.
— Le fillot de Sarah de Montferrat ne passe forcément pas inaperçu, affirme-t-elle. En plus, tu es pote avec Louise, de première année, si je ne fais pas erreur. Je suis sa marraine.
Effectivement, je viens à l’instant de reconnaître la blonde mignonne de la soirée parrainage.
— Ah ! Donc c’est toi, le rat de bibliothèque !
— Tout à fait ; les livres sont ma grande passion. Enfin, plutôt l’une de mes grandes passions.
Soudain, le couple de l’autre côté du canapé se lève et disparaît en pénétrant dans une autre pièce. Peu de temps après, Sarah en profite pour prendre la place vide et me ressert une autre bière.
— Alors, t’as fait connaissance avec mon fillot ? demande-t-elle à Aliénor.
— Tout à fait. C’est vrai qu’il est mignon, lui répond-elle.
— Mouais, t’as vu !
Les deux filles parlent de moi comme si je n’étais pas là. Le compliment est flatteur, mais ça me met plutôt mal à l’aise.
— Et il est au courant pour le club ? demande Aliénor.
— Non, je ne lui ai rien dit.
— Et tu vas lui dire ?
— On verra. Au fait, y’avait Christopher qui voulait te parler tout à l’heure.
— OK ; je vais de ce pas rejoindre mon parrain, alors.
Aliénor se lève et va rejoindre un grand type de troisième année.
— Alors, comment tu la trouves, Aliénor ? me demande Sarah. Elle fait partie de mon club.
— Ça va, elle est plutôt sympa.
— Et physiquement, elle te plaît ?
Soudain,
trois nouvelles personnes font leur apparition dans l’appartement. Deux
types et une fille qui ne sont nuls autres que ma sœur Élodie, son
parrain et un autre seconde année.
Élodie et les deux autres
s’avancent vers nous et saluent Sarah. Les deux types me serrent la
main, mais ma sœur se contente de me jeter un regard noir, l’air de dire
«Putain, mais qu’est-ce que tu fous là ? ». Eh bien oui, grande sœur,
j’ai le droit de sortir moi aussi. Bref, après avoir échangé quelques
mots avec Sarah, ils nous laissent et se mêlent au reste du groupe.
Après quelques minutes, je vois ma sœur se frotter le long de son
parrain. Celui-ci ne tarde pas à passer une main sur son cul.
— Alors, tu ne m’as pas répondu, reprend marraine.
— De quoi ? lui demandé-je, l’air absent.
— Aliénor, tu l’as trouve belle, oui ou non ?
—
Euh… oui, elle est plutôt jolie, dis-je en jetant un coup d’œil à ma
sœur qui roule maintenant une magistrale pelle à son parrain.
— T’as fini de mater ta sœur ?
Oups,
pris sur le fait ! En même temps, je n’étais pas vraiment discret. Je
ne peux m’empêcher de laisser s’échapper un rougissement.
— C’est quoi le problème ? reprend Sarah. Ça te gêne qu’elle se tape plein de types ?
— Oui… Enfin, non, bredouillé-je. Elle est majeure, elle fait ce qu’elle veut.
— Exactement ! Alors je suppose que ce qui te gêne, c’est qu’elle ne t’invite pas à participer.
Pour seule réponse, je me contente de devenir encore plus rouge.
—
T’inquiète pas, fait ma marraine. Ce n’est surtout pas moi qui vais te
juger. Tu n’es sans doute pas le seul mec à fantasmer sur sa sœur. Je
dois avouer que j’ai toujours voulu avoir un petit frère. Si ça avait
été le cas, je peux te dire que je n’aurais pas hésité à m’occuper de
lui. Dommage que je sois fille unique.
Je n’en crois pas mes
oreilles. Sarah me dit ça comme si c’était naturel. Moi, j’ai toujours
culpabilisé d’éprouver ce désir envers ma sœur. Je la regarde bouche
bée, ce qui la fait sourire.
— Enfin bon, ce n’est pas grave. Je n’ai peut-être pas de petit frère, mais aujourd’hui j’ai un fillot.
Et
sur ces mots, elle me dépose plusieurs baisers dans le cou et place sa
main sur ma cuisse gauche. Ce contact me fait aussitôt frissonner.
—
Je vois qu’on commence à bien s’amuser, fait la voix d’Aliénor qui
vient de faire son retour et reprend sa place précédente à mes côtés.
J’vous dérange ?
— Absolument pas ! dit ma marraine dans un grand sourire, sans enlever sa main de ma cuisse gauche. N’est-ce pas, fillot ?
— Euh non, bredouillé-je.
En fait si, quand même, les choses commençaient à devenir intéressantes. Mais je n’ose dire le contraire.
— Dis donc, Aliénor, lui lance Sarah, tu savais que notre petit Thomas te trouve plutôt jolie ?
— Non, c’est vrai ? fait-elle d’un air faussement surpris. Il a dit ça ?
— Ouais ; il a même dit que tu étais très sexy et que t’avais un cul à faire bander les morts.
Mais
je n’ai jamais dit ça, bon sang ! Je m’apprête à protester quand la
bouche d’Aliénor vient se coller à la mienne et me roule une pelle
d’enfer. Sa main se pose sur ma cuisse droite et commence à la caresser.
Cette fois c’est bon, je bande comme un fou !
— J’aime quand on me complimente comme cela, me fait-elle avec un regard aguicheur.
Et puis sa main remonte le long de ma cuisse et vient flatter mon entrejambe.
— Je ne sais pas si je ferais bander un mort ; mais visiblement, je te fais beaucoup d’effet.
Sarah
me tourne la tête et me roule à son tour une pelle qui n’a rien à
envier à la précédente. Ces filles sont vraiment des bombes !
—
Attends, laisse-moi voir ça, Aliénor ! demande Sarah en venant à son
tour me mettre la main au panier. Ah ouais, quand même… Hum, ça m’a
l’air intéressant tout ça, fillot… Allez, viens, me lance-t-elle en me
prenant la main ; il faut qu’on discute un peu plus tranquillement.
Elle
m’emmène en direction de sa chambre. En chemin, je croise le regard
incrédule de ma sœur. Une fois dans la chambre, nous découvrons une
fille allongée sur le lit, une bite en bouche.
— Hop, dehors tous les deux ! leur ordonne Sarah.
Le
couple se relève d’un coup, se rhabille et sort en s’excusant. Sarah
ferme la porte derrière eux et tourne une clé dans la serrure.
— Voilà, on ne sera pas dérangé maintenant.
Cette
fois c’est bon ! Je veux baiser avec ma marraine. Je suis très excité.
Les hormones ayant pris le dessus, je ne réfléchis plus à ce que je fais
et saute sur Sarah, l’embrasse maladroitement tout en lui pelotant le
cul. Mais elle finit par me repousser doucement.
— Attends, fait-elle. Quand je disais qu’il fallait qu’on discute, c’était vrai. Il faut vraiment que l’on discute.
Elle
m’aurait jeté un seau d’eau glacée, ça m’aurait fait exactement le même
effet. C’est donc déçu que je m’assois sur son lit, là où elle vient de
m’indiquer d’un signe de main.
— Bon alors, fait-elle pour
commencer en ayant l’air un peu nerveux ; il faut que je te parle du
club dont je suis la présidente.
— Euh, oui, si tu veux.
— Je
t’ai déjà dit que c’était un club de filles. Mais je ne t’ai pas dit
quel genre de filles c’était. Mon club regroupe les filles qui, comment
dire, n’ont vraiment pas froid aux yeux.
— Comment ça ?
— Faut vraiment que je te fasse un dessin ? T’as bien vu comment on se comporte, Aliénor et moi ?
— Euh, oui… Non, c’est bon, je comprends. Continue !
—
Les filles qui sont dans ce club jouissent d’une grande popularité au
sein de l’école, explique-t-elle, même auprès des personnes qui ignorent
tout de l’existence de ce club. Les membres sont appelées les nymphes.
Mon club, le club des nymphes, est aussi très influent ; peut-être même
plus influent que le BDE. Notre influence est tellement grande que si un
garçon venait à manquer de respect à l’une d’entre nous, ou s’il nous
prenait seulement l’envie de s’en débarrasser comme d’une vulgaire
chaussette, nous serions capables de lui ruiner sa réputation en un
éclair et de s’assurer que quasiment plus personne ne lui adresse la
parole. C’est comme une sorte d’excommunication. Ainsi, nous nous
assurons de pouvoir vivre pleinement nos envies sans risques et sans que
personne ne vienne nous juger. Et ça fonctionne plutôt bien ; nos
favoris se tiennent généralement à carreau s’ils tiennent à garder nos
faveurs.
— Les favoris ? C'est-à-dire ? lui demandé-je, maintenant très intéressé.
—
Le club est composé uniquement de membres féminins ; mais pour nos
soirées, nous sommes bien obligées d’amener des mecs si l’on veut
s’amuser. Alors nous les trions et choisissons quelques élus parmi eux :
ce sont principalement les garçons les plus populaires, mais ça peut
être d’autres garçons. Il n’y a pas de règles générales. Nous prenons
qui nous voulons et faisons d’eux des favoris ; personne n’a à nous dire
qui choisir. Ainsi, seuls les favoris connaissent l’existence du club.
Généralement, c’est plutôt considéré comme un honneur d’être l’un de nos
favoris, et puis ça apporte aussi une plus grande popularité.
— Pourquoi me dis-tu tout cela au juste ? J’ai du mal à croire que tu veuilles faire de moi un favori.
— Et pourquoi ne ferais-je pas de mon fillot un favori ?
— Je suis ton fillot que parce que le BDE m’a donné un petit bout de papier au hasard.
—
Crois-tu vraiment que la présidente de l’un des clubs les plus
influents de l’école laisserait le hasard décider de qui serait son
filleul ou sa filleule, d’autant plus quand la plupart des membres du
BDE sont nos favoris et que c’est grâce à la popularité apportée par ce
statut qu’ils ont été élus BDE ? Non : aucune de nos filles n’a laissé
le hasard décider.
— Tu m’as donc choisi ? fais-je, étonné. Pourquoi moi ?
—
Et pourquoi pas ? Tu ne me laissais pas indifférente, c’est tout. Tu ne
l’as sans doute pas remarqué, mais je t’ai repéré très rapidement.
— Euh non, pas vraiment.
—
En tout cas, reprend-elle, je ne sais pas ce que tu attends de moi au
juste ; mais si je te dis tout ça, c’est pour te prévenir de ne pas
t’attendre à ce que je sois la copine parfaite et fidèle. Si j’ai été
élue présidente de ce club, ce n’est pas pour rien. D’ailleurs, même si
je voulais être fidèle, je ne pourrais pas. Être présidente du club
expose à quelques obligations. Alors, si c’est un couple tout beau tout
propre que tu veux, on peut d’ores et déjà arrêter l’aventure ici. Par
contre, si la situation te convient, je peux te dire que tu ne le
regretteras pas. Être favori du club est une chose, mais ce n’est rien à
côté d’être favori de la présidente du club. Alors, qu’en penses-tu ?
— Je crois que je m’y ferai. Oui, ça me va.
—
Bonne réponse, fillot. Affaire réglée ; on peut passer aux choses
sérieuses. Déshabille-toi maintenant, ordonne-t-elle sans transition.
— Pardon ?
— Fillot, s’il te plaît… Quand une fille te dit de te déshabiller, fais-le tout simplement.
Je
lui obéis donc sous son regard attentif. Elle ne peut pas s’empêcher de
sourire en me voyant me dépêtrer maladroitement de mes affaires. Je me
retrouve bientôt nu, debout devant elle. Elle m’examine comme on
examinerait un morceau de viande à la boucherie.
— Bon. Maintenant, allonge-toi, le dos sur le lit ; et sans poser de question, ce coup-ci.
Tandis
que je m’exécute, je la vois fouiller dans sa table de nuit et sortir
enfin quelque chose que je n’ai pas le temps d’identifier. Elle cache
l’objet derrière son dos et s’installe à califourchon sur moi.
—
Ce soir, fillot, tu n’auras à t’occuper de rien, commence-t-elle à
s’expliquer. C’est moi qui ferai tout. Lève les bras au-dessus de ta
tête.
Je lui obéis et je la vois enfin sortir ce qu’elle cachait
dans son dos : des menottes ! Rapidement, un clic métallique indique
que je suis maintenant attaché au lit.
— Et voilà : tu es à moi, fillot ! déclare-t-elle en se léchant les babines.
Je
suis donc maintenant allongé sur le dos, les mains attachées aux
barreaux du lit, complètement nu et le sexe tendu. Ma marraine m’offre
un spectacle fascinant. Elle s’est mise debout sur le lit et a entamé un
lent et sensuel strip-tease. Doucement, sa petite veste glisse, puis
c’est au tour de son haut de disparaître, me laissant la vision d’une
magnifique poitrine recouverte d’un soutien-gorge noir à dentelles. Ses
mains caressent lentement son corps pour accompagner le spectacle. Elle
se retourne et dandine son petit cul au rythme d’une musique imaginaire.
Ses mains font descendre de quelques centimètres sa jupe, me laissant
découvrir la naissance d’un tanga noir, lui aussi à dentelles ; puis
d’un coup elle remet sa jupe en place pour me cacher ce dernier trésor.
Le show est vraiment captivant. J’ai envie de lui sauter dessus pour lui
arracher ses derniers vêtements, mais je suis toujours attaché.
Finalement, la jupe chute et je la découvre en sous-vêtements. Le
soutien-gorge vole à son tour, libérant ses seins. Le tanga le suit de
peu, après une descente des plus érotiques le long de ses jambes.
Elle
sourit de se découvrir ainsi, visiblement très fière de l’effet qu’elle
me fait. Je suis impatient et tends les bras vers elle mais les
menottes me retiennent ; je me débats un peu mais elles tiennent bon.
Elle rit, s’agenouille et commence à me branler doucement d’une main. Le
contact me fait frémir.
— J’ai dit que tu n’avais rien à faire ce soir, fillot ; alors, reste tranquille.
Elle
s’accroupit et m’embrasse dans le cou tout en frottant sa magnifique
poitrine sur mon torse. Sa bouche migre ensuite sur mon buste, puis
descend de plus en plus bas vers mon sexe. Va-t-elle oser ? Oui ! Elle
me l’embouche d’un coup. Je manque de tout décharger mais j’arrive à me
retenir. Elle me lèche, me suce et s’en régale tandis que sa main me
masse les bourses. Mon Dieu, on ne m’avait jamais fait ça avant… C’est
divin !
— Bon, on va arrêter ça là ! Je tiens à en profiter aussi.
Quelques
baisers plus tard, elle est installée à califourchon au-dessus de mon
bassin. Elle s’amuse à frotter sa vulve le long de mon sexe. Je sens sa
mouille couler. Je n’en peux plus, j’ai envie de la pénétrer. Je lui
demande, la supplie presque, mais elle se contente de sourire. Elle
s’amuse ainsi un certain temps de faire durer le supplice.
Puis
enfin, comble du bonheur, elle s’empale finalement sur mon sexe en
laissant échapper un gémissement. Elle reste ainsi plantée sur moi
quelques secondes sans rien faire, l’air rêveur, se contentant sûrement
d’apprécier cette grosseur qui lui a envahi le vagin. Elle se lance
ensuite dans une série d’oscillations.
C’est sensationnel ! Je
savoure ma chance de baiser avec une telle fille. Surprenante,
étonnante, charmante, ravissante, excitante, bandante ; ma nouvelle
amante est vraiment ahurissante ! Elle coulisse sur ma bite et m’offre
un plaisir comme je n’en ai jamais connu. D’un regard coquin, elle
surveille la moindre de mes réactions et sourit dès que je lâche une
grimace de plaisir. Ses mains voyagent le long de mon torse et de mon
ventre en laissant sur leur passage de fines griffures. J’ai envie de
l’embrasser, j’ai envie de plonger ma tête dans son adorable poitrine
qui se balance au rythme de ses mouvements, j’ai envie moi aussi de
laisser mes mains découvrir les courbes de son corps mais je suis
toujours attaché ; c’est un tourment ! Tout ce que je peux faire, c’est
de donner moi aussi des coups de reins afin de l’accompagner.
Nous
baisons maintenant à un rythme effréné ; je donne tout ce que je peux.
Je me sens sur le point de partir. J’essaie de me retenir encore un peu,
mais la pression est trop forte. Alors j’abandonne la partie et me
laisse aller. J’ai l’impression de sentir ma bite exploser tandis que je
me libère dans le vagin de ma marraine en poussant un cri de joie. J’ai
l’impression que je n’ai jamais expulsé autant de sperme, tellement mon
orgasme est fort.
Sarah laisse retomber doucement la pression puis se baisse pour m’embrasser la bouche et dans le cou.
— J’espère que tu as aimé, fillot, me murmure-t-elle à l’oreille.
— Évidemment, lui réponds-je. C’était… waouh !
— Tant mieux, fait-elle en lâchant un petit rire. Mon club fait sa première soirée vendredi soir. Tu veux venir ?
CHAPITRE 4 (THOMAS) : INITIATION
Je
suis vraiment excité. Je m’apprête à vivre encore une soirée
exceptionnelle. Devenir le filleul de Sarah de Montferrat est sûrement
la meilleure chose qui me soit arrivé dans ma vie. Je ne sais pas encore
ce qu’il va se passer au juste, mais ça risque d’être jouissif.
« Soirée initiation » m’a dit marraine ! Elle ne m’a pas dit ce que ça
signifiait exactement, mais je suspecte une soirée d’intégration des
nouvelles recrues du club. J’en suis quasiment sûr. J’ai passé toute la
semaine à me demander quelles filles de ma promo seraient susceptibles
de rejoindre le club. Je dois dire qu’il y a beaucoup de possibilités.
J’ai bien un doute sur une personne en particulier.
Nous sommes
tous réunis dans le cocotier ; c’est le surnom que l’on donne à la
grande salle de notre école qui nous sert de salle de repos lors des
pauses. Lors des soirées organisées à l’école par les clubs comme celle
de ce soir, c’est la salle toute désignée pour accueillir de tels
événements.
Des canapés ont été disposés le long des murs afin que
tout le monde puisse admirer le spectacle tranquillement. Aliénor, qui
est la vice-présidente du club si j’ai bien compris, nous a accueillis
et nous a fait nous installer les uns derrière les autres au fur et à
mesure que les nymphes et que les favoris arrivaient. Puis une fois que
tout le monde semblait être là, elle s’est absentée quelques secondes
puis est revenue nous annoncer que la soirée allait bientôt débuter.
Elle est venue ensuite s’installer à mes côtés en m’annonçant que
marraine voulait qu’elle s’occupe de moi.
En attendant que débute
enfin la soirée, je jette un coup d’œil aux invités. Je compte 25 mecs,
pour la plupart de seconde et troisième années. Moi et trois autres
sommes de première année. Le nombre de filles est, par contre, plus
réduit. J’en compte huit de seconde année et trois de troisième année,
et il manque encore Sarah dans la salle. Ça en fait au moins douze, un
peu moins de la moitié des mecs. À ce nombre, je suppose que vont
s’ajouter les nouvelles recrues. Combien seront-elles ?
Cette
fois c’est bon, Sarah fait enfin son apparition. Les discussions
s’arrêtent d’un coup. Marraine est ravissante : elle est vêtue d’une
robe de soirée qui lui arrive à mi-cuisses et qui souligne admirablement
ses formes. La robe lui donne une allure classe. Je lâche un sourire
devant cette apparition.
— Bien le bonsoir à tout le monde. Tout d’abord, je vous remercie tous d’être venus ce soir.
Plusieurs
filles et mecs lancent des acclamations de joie et applaudissent. Pris
dans l’enthousiasme, je fais de même sous l’œil amusé d’Aliénor.
—
Il était une fois une jeune femme du nom de Samantha Angevin, se
lance-t-elle. Samantha intégra une année une école de commerce où la vie
scolaire était d’un ennui le plus total. Elle intégra cette école avec
un rêve en tête : elle rêvait d’un endroit où les filles n’auraient pas à
cacher leurs goûts particuliers, où les filles pourraient s’adonner à
tout ce qu’elles aiment sans risque et sans craindre les jugements. Elle
fit alors part de son idée à ses amies et, après maints efforts, le
club des nymphes vit le jour. Il dut malheureusement couvrir son
activité principale sous couvert d’activités caritatives. À partir de ce
jour, la vie scolaire ne fut plus jamais d’un ennui à mourir.
— Ouais ! Vive Samantha Angevin ! hurle une voix.
—
Le rêve de Samantha continua de vivre après son départ, poursuit
marraine. Elle avait fait de nouveaux adeptes. Ces filles nouvellement
libérées lui ont permis de transmettre son héritage aux générations
d’étudiantes suivantes. Ainsi, promotion après promotion, le rêve de
Samantha continua de perdurer jusqu’à aujourd’hui. Nous nous devons donc
de faire perdurer ce rêve à notre tour afin de permettre à toutes les
filles des promotions futures de vivre pleinement leurs envies. Pour
cela, Samantha avait instauré un code strict : l’initiation !
Nouveaux cris de joie. L’ambiance est surexcitée.
—
Elles sont cinq ce soir, pour votre plus grand plaisir. Cinq filles de
première année partagent le même rêve que Samantha. Et pour prouver
qu’elles sont dignes de porter son message, elles sont prêtes à se
soumettre aux épreuves de l’initiation dont la première aura lieu ce
soir. Veuillez, Messieurs-Dames, accueillir ces cinq beautés !
Une
des filles de seconde année vient de se lever et ouvre la porte
d’entrée, laissant apparaître une autre fille habillée de talons
aiguille et de rien d’autre.
— Veuillez applaudir Élisa Mannal ! lance marraine.
Tandis
que la salle lui répond, la fille – une grande blonde aux cheveux
courts – s’avance tranquillement, complètement nue, et vient s’installer
aux côtés de marraine.
— Veuillez accueillir maintenant comme il se doit Anzhelina Kyakatzkyetsky.
Une
nouvelle blonde fait ainsi son apparition dans la même tenue que la
précédente. Je n’ai pas eu beaucoup d’échanges avec cette fille au nom
imprononçable que j’oublie toujours depuis le début de l’année, mais je
me souviens l’avoir déjà observée avec envie. Elle porte des tenues
punks généralement. Blonde aussi, mais avec de plus long cheveux ; pas
aussi grande que la précédente, mais des formes plus marquées. Elle
finit par s’installer à côté d’Élisa sous les applaudissements et les
sifflements.
— Faites du bruit pour la demoiselle suivante : Marie Gauvin.
La
troisième fille fait son apparition d’une façon plus timide. Pas très
grande, de longs cheveux châtains et de magnifiques yeux verts ; elle
s’installe aux côtés des deux autres. Cette fille est généralement
plutôt discrète. Je n’aurais jamais pensé la voir dans ce club.
— C’est au tour de Natacha Grojean. Faites-lui bon accueil !
Et
voilà la pouffiasse de service qui fait son entrée, aussi nue que les
précédentes filles. Je n’aime pas vraiment cette fille : une brune dont
les tenues en cours font encore plus salope que ma grande sœur. En plus,
elle a l’habitude de se tartiner à outrance le visage de maquillage. Je
trouve que le résultat est à vomir. Bon, il faut reconnaître que son
corps est plutôt pas mal. C’est elle qui doit avoir les plus gros seins
des recrues déjà arrivées. Elle rejoint les autres en roulant
exagérément du cul sous les applaudissements.
Bon, plus qu’une recrue. Je suis quasiment sûr de savoir de qui il s’agit.
— Notre dernière demoiselle, je suis sûr que vous la connaissez déjà tous. Veuillez accueillir Élodie Dejoel !
Sans
surprise, ma grande sœur fait alors son apparition. Ma bite se tend
encore plus dans mon pantalon en la voyant arriver. C’est bien la
première fois depuis longtemps que je la vois nue. Elle a vraiment un
corps de rêve ; de beaux seins, certes pas aussi gros que ceux de
Natacha, mais bien plus jolie, et un cul super. L’apparition de ma sœur
déclenche un boucan infernal. Applaudissements, sifflements et
acclamations accueillent son arrivée. Les mecs tapent même du pied. Le
vacarme dure aussi bien plus longtemps pour elle. Non vraiment, ça n’a
rien à voir avec l’arrivée des quatre autres filles. C’est avec le
sourire qu’Élodie rejoint les rangs.
— Elle est déjà présumée être la future présidente du club, m’explique Aliénor.
Pourquoi ceci ne m’étonne pas ?
Le boucan finit peu à peu par se dissiper et marraine reprend la parole.
—
Bien. Maintenant que nous les avons accueillies, nous allons pouvoir
commencer la soirée par l’apéritif. Il y a de l’alcool, des boisons soft
pour ceux qui préfèrent, et de quoi grignoter aussi. Nos cinq beautés
vont se faire un plaisir de vous servir. Mais attention ! Interdiction
aux mains baladeuses. Eh oui, Messieurs, désolée, mais vous n’avez pas
le droit de laisser traîner vos mains sur ces magnifiques corps.
Une
clameur de fausses protestations s’élève. Marraine est huée. Pendant ce
temps-là, cinq nymphes de seconde année se sont levées et ont ramené
cinq chariots où sont entreposés alcool et autres boissons, verres et
gâteaux d’apéritif.
— Ah oui j’oubliais, reprend marraine,
souriante. Les mains sont interdites, mais pas les objets. Pour cela,
nous avons réuni une petite sélection d’objets avec lesquels vous
pourrez les toucher. Camille, tu veux bien, s’il te plaît ?
La
seconde année qui avait ouvert la porte aux nouvelles recrues part
récupérer un gros sac entreposé au fond de la salle et commence à
distribuer, semble-t-il au hasard, un objet à chaque personne. J’ai
alors la surprise de découvrir tous ces objets : une carotte, une
tapette à mouche, une semelle de caoutchouc, un gant, une lampe torche,
un rouleau de papier, une brosse à dents électrique et d’autres objets
de formes équivoques. Quand arrive mon tour, Camille fouille dans le sac
et sort un gode en caoutchouc. C’est la première fois que j’en vois
un ; c’est vraiment très ressemblant. Je m’apprête à le prendre mais
Aliénor se précipite dessus avant moi.
— Non, ça c’est pour moi. Camille, passe-lui autre chose.
Camille me tend alors un plumeau pour chats.
—
Ah oui, j’oubliais, lance marraine une fois finie la distribution des
objets. J’interdis formellement aux mecs de se caresser ou de se
toucher. Nous tenons à ce qu’ils restent en forme pour nos gentilles
demoiselles.
Marraine indique aux cinq filles de prendre chacune
un chariot et de commencer à faire le service et vient nous rejoindre,
Aliénor et moi. Elle m’embrasse, puis deux minutes plus tard elle est
appelée par un type à l’autre bout de la salle et donc nous quitte déjà.
Les nouvelles recrues distribuent les verres tandis qu’elles subissent
sans broncher les assauts de divers objets. Lampe torche, carotte ou
brosse à dents se promènent ainsi le long de leurs seins, fesses et
sexes. Le parrain de ma sœur l’oblige à faire le service en tendant le
cul en l’air et lui tape doucement dessus avec le rouleau de papier.
C’est
Natacha la pouffiasse qui vient nous servir, Aliénor et moi. Aliénor
lui claque le gode sur sa grosse poitrine tandis que la pouf lui sert
son verre.
— Ça, c’est des nichons parfaits pour une branlette espagnole. Qu’est-ce que t’en penses, Thomas ?
— Euh, oui, lui réponds-je, plutôt attiré par le spectacle de ma sœur se faisant claquer les fesses.
— Voyons voir…
Elle
lui glisse le gode entre les deux seins et commence un mouvement de
va-et-vient. Elle lui demande de se tenir les seins comme pour une
véritable branlette espagnole.
— Oh oui, c’est parfait ! Merci ! lui dit-elle en lui faisant comprendre qu’elle pouvait aller servir quelqu’un d’autre.
La
soirée continue de se dérouler et Aliénor me fait la conversation. Nous
parlons ainsi de nos vies, de cours et enfin de Louise comme si de rien
n’était. Du coin de l’œil, je repère la punk au nom imprononçable à
quatre pattes en train de se faire prendre par la carotte tandis que la
tapette à mouche lui fouette les fesses. Elle semble bien apprécier.
—
Tu sais, tu n’as pas le droit de te toucher, mais rien ne t’empêche de
me toucher, moi… me lance Aliénor en écartant les cuisses et en
remontant sa petite robe blanche.
En effet, plusieurs gars sont
déjà en train de masturber les filles de seconde et troisième années. Ma
main glisse alors sous la robe et atteint un sexe bien humide. Ah, elle
n’avait pas de culotte, la coquine ! Je lui caresse les lèvres et
enfonce un premier doigt, ce qui la fait gémir. Et c’est tout
naturellement que nous reprenons ainsi notre conversation sur Louise là
où elle s’était arrêtée. Je ne sais pas quelle serait la réaction de
cette dernière si elle apprenait que je suis en ce moment même en train
de doigter sa marraine. En tout cas, je connais deux autres personnes
qui donneraient cher pour être à ma place : David et Sylvain. À aucun de
ses trois-là je n’ai dit ce qu’il s’était passé lors de la dernière
soirée, ni n’ai mentionné la soirée en cours. Je sens que David
n’arrêterait pas de me faire chier si jamais il apprenait ce qui est en
train de se passer.
Après avoir fait plusieurs fois le tour des
différents invités, marraine nous rejoint enfin et sourit en me voyant,
la main plongée sous la robe d’Aliénor.
— Pouf… fait-elle en se
laissant tomber dans le canapé. C’est fatiguant ! Entre Damien qui
m’appelle parce qu’il a cassé la carotte dans le cul d’Élisa et Natacha
qui n’arrête pas de renverser des verres, je cours dans tous les sens.
J’ai bien besoin d’un verre.
Elle fait alors signe à ma sœur de venir avec son chariot.
— Tiens, sers-moi une vodka-orange s’il te plaît, Élodie.
Ma
sœur commence à remplir le verre tandis que les yeux de marraine
s’attardent sur le plumeau pour chats dont je n’ai pas encore eu
l’utilisation.
— Oh oui, le plumeau ! fait-elle avec joie. J’en
ai de très bons souvenirs. T’as jamais testé, Élodie ? C’est vraiment
très agréable.
Ma sœur lui fait signe que non de la tête.
— Tiens, montre-lui, fillot ! m’ordonne-t-elle sans me laisser le choix.
Je
tends alors le plumeau d’une main tremblante sur le ventre de ma sœur
et le promène doucement. Elle me jette un regard noir mais est obligée
de se laisser faire, puisque c’est un ordre de la présidente. Mon
érection a gagné de plus belle. J’ai une main plongée dans la chatte
d’Aliénor et l’autre tient le plumeau qui caresse le ventre de ma sœur.
Cette dernière est d’ailleurs prise de frissons.
— Ah, tu
frissonnes… s’extasie Sarah. Moi aussi, ça me faisait frissonner. Tiens,
fillot, montre-lui sur les tétons ; les miens pointaient comme des
dingues.
Je suis sûr qu’en ce moment Élodie doit haïr marraine,
mais elle n’en laisse rien paraître. J’amène donc le plumeau sur les
seins de ma sœur, je les lui flatte du bout des plumes et finis par
m’attarder sur ses tétons. Aliénor, la tête maintenant posée sur mon
épaule, me regarde faire sans rien dire.
— Alors, Élodie, comment trouves-tu ta soirée d’initiation pour le moment ?
— C’est plutôt agréable, bredouille-t-elle avec un regard de plus en plus gêné. Et même excitant.
— Tant mieux.
Puis
marraine met fin au supplice de ma sœur et la libère tandis qu’on
l’appelle un peu plus loin. Marraine se lève et me laisse encore une
fois avec Aliénor.
Cette dernière m’attire le visage pour me rouler
des pelles. Après plusieurs minutes à l’embrasser ainsi et à lui peloter
les seins, elle appelle Marie, la fille aux cheveux châtains qui se
ramène à son tour avec son chariot.
— Alors, petite Marie, lui fait-elle, aimes-tu sucer des bites ?
— Euh, oui, j’aime beaucoup ça, lui répond-elle, hésitante.
—
Très bien ; tu vas nous montrer ce que tu sais faire. Mets-toi à quatre
pattes… Non, pas comme ça : tourne-toi sur le côté, que mon ami puisse
voir ton joli petit cul. Oui, c’est ça ; tends bien ton cul en l’air.
Écarte aussi les cuisses. Thomas doit avoir la meilleure vue possible.
Marie
s’installe comme le lui a indiquée Aliénor en me lançant un regard
furtif. Aliénor présente le gode devant la bouche et le lui enfonce.
Marie se met alors à mimer une fellation. Aliénor me fait signe de
profiter de la situation. C’est donc d’un geste plus assuré que
précédemment que j’avance le plumeau à chats en direction de sa rosette.
Les plumes lui chatouillent ainsi le trou de balle.
— Hum, il y
a de la technique, lance Aliénor à Marie. T’as l’air en effet d’être
une belle gourmande ; ça promet pour tout à l’heure…
Tandis que
Marie continue de sucer amoureusement le faux pénis, je descends le
plumeau et lui caresse les lèvres vaginales. Après quelques secondes,
j’introduis ce plumeau à l’intérieur de sa chatte, ce qui lui fait
lâcher un petit gémissement étouffé par la bite de caoutchouc qu’elle a
dans la bouche. Après plusieurs allers-retours dans son vagin, je retire
finalement le plumeau. Les plumes sont recouvertes de mouille ; l’une
d’entre elles est même restée collée sur ses lèvres.
Aliénor lui retire finalement le sexe factice de la bouche et la libère.
—
Votre attention s’il vous plaît ! lance la voix de marraine tandis que
les cinq recrues amènent les chariots sur le côté et sortent de la
pièce. Il est maintenant temps de passer à la seconde partie de la
soirée, et à ce qui est véritablement la première épreuve de
l’initiation. Nos cinq magnifiques beautés vont maintenant aller
rejoindre chacune une salle. Il y a ce soir vingt-cinq mecs en tout.
Elles auront donc pour mission d’en sucer cinq chacune et de ne pas en
perdre une seule goutte. Seulement, elles auront les yeux bandés et ne
sauront donc pas quels mecs elles sont en train de sucer. Il est
formellement interdit de révéler son identité. Il est aussi interdit de
leur maintenir la tête et de leur baiser la bouche. C’est à elles de
faire le boulot. Profitez de ces bouches accueillantes ; laissez-vous
faire et jouissez !
Marraine appelle ainsi les cinq premiers gars
dont je fais partie. Elle désigne quatre des filles de seconde année et
leur dit de mener les quatre autres gars aux filles. Elle me fait
ensuite signe de la suivre et nous sortons à notre tour de la salle.
— J’ai un cadeau pour toi, fillot, me dit-elle tandis que nous marchons dans les couloirs déserts. Ça va te plaire !
— Un cadeau ? fais-je, surpris. C’est à dire ?
— Tu vas voir…
Nous
arrivons ainsi devant une salle de cours où sûrement l’une des recrues
est en train d’attendre. Mais laquelle ? Sarah m’indique d’y entrer et
de ne rien dire. Je m’exécute alors et franchis la porte.
Je découvre
finalement ce cadeau avec étonnement. Décidément, j’adore ma marraine !
Élodie est là, toujours aussi nue, à genoux et les yeux bandés.
N'Kari, comment faire pour postuler pour entrer dans le "Club des Nymphes" ? :-D
RépondreSupprimerJe dois dire que la lecture de ce récit est enthousiasmante... De chapitre en chapitre, les choses se font plus sensuelles, plus crues parfois... Mais ce sont surtout les personnages qui sont attachants. Chaque femme possède un caractère qui lui est propre, et qui rappelle bien souvent une connaissance réelle eue lors de sa scolarité. Qui n'a pas eu dans sa classe la mignonne jeune "intello", ou au contraire la pouffiasse à la fois attirante physiquement mais terriblement agaçante. Ou encore la belle brune légèrement timide, de premier abord coincée alors que son regard trahissait des envies...
RépondreSupprimerTout cela fait que ton récit n'en est que plus réaliste, et que c'est un plaisir que de se plonger dedans, à imaginer ainsi toutes nos connaissances à la place de ces femmes.
Et puis, enfin, le thème de la sororité est tellement accrocheur : qui n'a jamais fantasmé sur l'existence d'une sorte de groupe caché de la sorte ?
Bref, ce récit réalise tellement de fantasmes que je ne peux que le conseiller à tout le monde...