Chapitre 1
J'exerce comme médecin dans un dispensaire en province.
L'année dernière, ma secrétaire est partie en congé maternité, et l'administration qui nous emploie a dû recruter quelqu'un pour la remplacer durant cette période. Comme le dispensaire est situé dans une petite ville de 3000 habitants, loin de tout, il n'y eut pas beaucoup de candidatures et on prit finalement une jeune fille pour qui c'était le premier emploi.
Dès le premier entretien, je me rendis compte combien elle n'était pas dégourdie. Le genre de fille couvée par papa et maman, à qui on n'a jamais demandé de rien faire. Elle acquiesçait en hochant de la tête à tout ce que je disais, regardait partout autour d'elle, l'air peu concerné, voire semblant absente, comme une gamine qui s'ennuie et qui n'attend qu'une chose : que ça se termine et qu'on la libère.
J'exerce comme médecin dans un dispensaire en province.
L'année dernière, ma secrétaire est partie en congé maternité, et l'administration qui nous emploie a dû recruter quelqu'un pour la remplacer durant cette période. Comme le dispensaire est situé dans une petite ville de 3000 habitants, loin de tout, il n'y eut pas beaucoup de candidatures et on prit finalement une jeune fille pour qui c'était le premier emploi.
Dès le premier entretien, je me rendis compte combien elle n'était pas dégourdie. Le genre de fille couvée par papa et maman, à qui on n'a jamais demandé de rien faire. Elle acquiesçait en hochant de la tête à tout ce que je disais, regardait partout autour d'elle, l'air peu concerné, voire semblant absente, comme une gamine qui s'ennuie et qui n'attend qu'une chose : que ça se termine et qu'on la libère.
Néanmoins, je me dis qu'elle ne connaissait rien encore du monde du travail, et qu'il fallait bien qu'elle apprenne.
Cependant,
dès que nous commençâmes à travailler ensemble, rapidement, son
tempérament mollasson m'irrita, d'autant qu'elle ne semblait vraiment
pas s'y mettre bien vite. De plus, elle se mit aussitôt à accumuler
petites bévues, oublis, erreurs et grosses maladresses.
Je me
raisonnai en me disant que c'était son premier emploi, que tout le monde
avait commencé un jour. Moi comme les autres, j'avais dû un jour me
colleter pour la première fois avec l'organisation du travail, les
contraintes de temps, les patients ; et lorsqu’on n'est pas d'un naturel
vif – je repensai au jeune homme maladroit et un peu lent que j'étais –
il faut du temps, et aussi apprendre à faire face à la plupart des
situations, avant d'acquérir un peu plus de rapidité.
Je me dis donc qu'il fallait être un peu indulgent, et laisser sa chance à cette jeune fille.
Cependant,
lorsque pour la faire progresser je lui faisais remarquer ses erreurs,
elle répondait à peine, ne savait même pas dire oui ou non : elle
baissait et hochait la tête, marmonnait quelque chose d'inaudible sans
desserrer les dents, ce qui avait don de faire monter mon énervement.
Il
ne lui venait même pas à l'idée de reconnaître son erreur, de dire
qu'elle allait faire plus attention. C'est tout juste si ce que je
disais semblait pour elle avoir de l'importance.
Jour après jour mon irritation montait, et je finis rapidement par ne plus la supporter.
Tout
en elle me hérissait, de sa façon grotesque de marcher en se dandinant
dans le couloir et en faisant claquer ses talons (comme si c'était la
première fois qu'elle marchait avec) jusqu'à sa manière de se pencher
sur le côté pour regarder s'il y avait quelqu'un dans la salle
d'attente.
Quand il n'y avait personne, elle marmonnait, parlait toute seule dans son bureau ouvert, et ce, à longueur de journée.
Quand
elle était avec un patient, elle écrivait avec une horripilante
lenteur, le nez à dix centimètres du dossier et n'allumait même pas la
lumière alors qu'il faisait très sombre. Je le lui faisais remarquer et
elle me répondait qu'elle n'en n'avait pas besoin et continuait à écrire
les lunettes sur le bout du nez… tout juste si elle ne tirait pas un
bout de langue ! Et quand je lui disais que les patients avaient eux
besoin de lumière pour lire ce qu'ils avaient à lire, elle marmonnait
quelque chose d'inaudible, comme d'habitude.
Elle passait un
temps impossible à chercher les dossiers, qu'elle ne trouvait souvent
pas ! La consultation, de ce seul fait, prenait du retard ; les gens
parfois s'énervaient, ou plus souvent la regardaient avec un air
moqueur. « Bonjour l'image du service ! » me disais-je. Quant au
téléphone, sa façon atone de parler à ses correspondants et de ne jamais
savoir quoi leur répondre déclenchait souvent leur agressivité devant
laquelle elle restait impassible et sans savoir quoi dire que « Oui,
oui… Je sais bien… Euh… », même quand elle finissait par se faire
copieusement engueuler.
Cette passivité avait, il est vrai, le don de mettre rapidement tout le monde hors de soi.
Je
me disais qu'elle avait de la chance d'être en province, parce que dans
une banlieue difficile (comme on dit maintenant), avec un public de
racailles, impatients et agressifs, elle n'aurait pas fait trois jours :
elle aurait fini par se prendre "un pain"… ou même pire.
En
quelques semaines j'étais passé de la patience (ou plutôt de
l'irritation contenue), de l'attitude bienveillante et compréhensive du
supérieur envers une secrétaire – surtout quand il s'agit d'une jeune
fille débutante – à une résignation exaspérée et pessimiste, car j'avais
fait le constat que, quoiqu'on lui dise, quoiqu'on fasse, elle ne
s'améliorerait jamais. D'autant qu'en discutant – durant un rare moment
de libre – elle m'avait appris qu'elle avait quand même 26 ans, malgré
son air d'adolescente attardée et indolente.
À cet âge, c'était encore plus navrant, et je trouvai du coup qu'elle n'avait même pas l'excuse de la jeunesse.
J'avais
fini par prendre mon mal en patience, me disant que c'était l'affaire
d'une dizaine de mois, mais je ne l'épargnais plus et lui lançais à
chaque boulette une remarque acide, remarque qu'elle prenait sans
broncher, sans même avoir l'air de s'en émouvoir.
Je me demandais même si cela la touchait.
Mais
un jour un événement me fit sortir de mes gonds. Un confrère m'appela
pour me parler d'un patient et fit référence à un courrier que je devais
lui adresser. Il me fit part de son étonnement quant au fait que je ne
l'avais pas rappelé au téléphone comme il me l'avait demandé par
l'intermédiaire de ma secrétaire qu'il avait eue plusieurs fois au bout
du fil, plusieurs jours auparavant.
Je dus donc m'excuser, lui
disant que mon courrier avait dû être égaré. Cependant, la secrétaire
avait bien "mangé la commission", et plusieurs fois de suite. Quand je
raccrochai, la moutarde m'était montée au nez et j'allai immédiatement
voir Julie pour la secouer un peu au sujet de ces commissions jetées aux
oubliettes.
Croyez-vous qu'elle m'aurait au moins dit, confuse : «
Oui c'est vrai, j'ai oublié. » ? Mais non, bien sûr, ç'aurait été trop
normal ! Elle ânonna des « Oui... », « Oui... » à chacune de mes
phrases, les dents à peine desserrées, les yeux baissés derrière ses
lunettes de gamine attardée.
Bien entendu, j'avais à ce moment-là
envie de la jeter contre le mur, avec son air gauche et sa
queue-de-cheval, mais je contins ma rage, fulminant, pestant brièvement.
Le reste de la matinée, je ne lui parlai que sur ton très sec,
me défoulant en lui balançant à chaque échange de paroles des réflexions
acerbes.
L'après-midi, parce qu'on n’est jamais aussi bien
servi que par soi-même (et surtout mieux que par une quasi-demeurée), je
me mis en quête de dossiers dont j'avais besoin. En fouillant dans son
capharnaüm, sur quoi tombai-je soudain ? Une pile de courriers anciens
même pas ouverts, de lettres et de comptes rendus cachetés et jamais
envoyés.
Je sentis monter en moi comme une rage froide.
Très calmement, avec un air glacial, je pris la pile et la jetai sur son bureau, juste sous son nez.
— Pouvez-vous me dire ce que c'est que ça, Julie ?
Elle
regarda les feuilles étalées avec un air crétin, ne répondit rien, me
regarda brièvement avec un petit haussement d'épaules fataliste et un
petit rictus imperceptible. Ç'aurait été un môme, on aurait trouvé ça
insolent. Mais je la savais tellement stupide qu'elle en était
incapable. Cela ne semblait pas lui faire grand-chose, tout simplement.
La désinvolture totale. Comme s'il s'était agi d'une gosse qui avait
oublié d'acheter quelque chose sur sa liste de courses. Incapable
d'évaluer la gravité d'une faute.
Je continuai d'un ton coupant et très calme :
— Cette fois c'en est trop, Julie. Je ne peux pas passer sur ça.
— …
— Après la fin des consultations vous viendrez me voir.
Elle
finit son après-midi comme si de rien n'était, sans exprimer d'émotion
particulière. Je sentais qu'elle allait "oublier" ce que je lui avais
dit comme le reste, et qu'elle essaierait de partir comme s'il ne
s'était rien passé et comme si je ne lui avais pas demandé de venir me
voir.
Elle était d'une lenteur inimaginable, même pour se
préparer et, de ce fait, tous les jours j'étais bien-sûr parti avant
elle. C'est pourquoi, les consultations terminées et le dernier patient
sorti, j'attendis dans mon bureau, la porte restée ouverte, et je
l'écoutai, me demandant ce qu'elle allait faire.
Ce fut bien entendu
interminable, mais la vengeance étant de toute façon un plat qui se
mange froid, je fis preuve de patience, résolu que j'étais à attendre le
temps qu'il faudrait.
Quel culot ! Comme une sale gamine qui
feint d'oublier un ordre ou une recommandation, elle se présenta sa
serviette à la main, prête à partir, comme pour me dire bonsoir ou pour
attendre que je la libère, abandonnant ma décision.
Mais elle dût être déçue. D'une voix blanche je lui dis :
— Allez fermer la porte à clé, Julie, et revenez me voir.
Elle
sembla prête à balbutier quelque chose, à poser une question, mais mon
regard droit dans ses yeux lui fit comprendre que je n'étais pas
d'humeur à discuter. Elle prit la clé, et de son pas grotesque alla
jusqu'à la porte qu'elle verrouilla et revint dans son bureau où je
l'attendais.
— J'ai fait preuve de beaucoup de patience avec
vous depuis que vous travaillez avec moi, Julie. J'ai attendu, et espéré
que vous vous amélioriez. Mais cette fois c'en est trop ! Quoi qu'on
vous dise, vous vous en foutez. Vous ne faites attention à rien. Tout
vous passe au-dessus. Vous ne cherchez même pas à mieux faire et encore
moins à réparer vos erreurs. Et ce que j'ai découvert aujourd'hui me
confirme que vous n'avez aucune conscience de la gravité de vos fautes,
puisque vous les avez répétées sans aucune vergogne. Cette fois, je ne
peux pas passer sur vos bêtises. Alors puisque vous vous conduisez comme
une gamine, je vais vous traiter comme une gamine. C'est vous qui
l'aurez voulu.
Elle m'écoutait, face à moi, debout devant son bureau, tête basse, me regardant comme un chiot au regard inexpressif.
— Tournez-vous et posez vos mains à plat sur le bureau.
Elle
s'exécuta sans protester, soumise. Je pris une règle en plastique
plate, de 30 cm, que je fis claquer légèrement dans la paume de ma main.
— Déboutonnez votre pantalon.
Elle resta quelques
instants comme interdite, puis lentement défit les boutons de son jean,
sans poser de question. Quand cela fut fait, j'attrapai les côtés du
pantalon et brutalement le fis descendre – le jetant littéralement – sur
ses chevilles. Elle se retrouva en culotte (un slip de coton rose) et
ne broncha pas. Immédiatement et sans lui laisser le temps de réagir, je
saisis les élastiques du slip et le descendis de la même façon vive.
Elle
était désormais nue en dessous de la taille (hormis les vêtements
piteusement étalés en accordéon à ses chevilles sur ses chaussures d'été
à talons hauts) et me présentait des fesses de jeune fille d'un beau
galbe, et des cuisses et des jambes élancées, à la peau très blanche ;
une peau de blonde (comme on dit, car Julie était brune).
Je me plaçai légèrement sur son côté droit, pris un peu de recul et abattis la règle en travers des fesses.
CLAC !
Elle poussa un « OUH ! » bref en portant ses mains à ses fesses.
— J'ai dit : les mains à plat sur le bureau ! Interdiction de les enlever !
Cela
avait été dit d'une voix autoritaire et sans appel. Elle avait senti
que je n'étais pas d'humeur à rigoler. Elle replaça ses mains.
—
Si jamais vous les enlevez encore, rien qu'une seule fois, je vous
garantis que je prendrai ma ceinture ; et là, vous le regretterez.
J'abattis
la règle, cette fois en visant la fesse gauche. Elle tressaillit mais
n'osa pas quitter la position. Puis je claquai la fesse droite.
De belles marques roses commencèrent à orner sa chair, bien délimitées, bien droites, tranchant sur la peau laiteuse.
Et
je me mis à alterner fesse droite, fesse gauche, milieu, à un rythme
lent et implacable, et commençai à frapper le haut de la croupe, tout
près des reins (avec une intensité plus légère), puis en descendant
lentement et alternant de la même façon les zones traitées, dosant bien
ma force, claquant plus puissamment la partie bien rebondie et bien
charnue, finissant par le dessous sensible des fesses.
À chaque
coup, ses jambes tressautaient sur place, comme après une décharge
électrique, et elle poussait des cris de plus en plus perçants : « OUCH !
», « AAH ! », « HAA ! » sans lever les pieds du sol. Son visage
grimaçait, de plus en plus crispé à mesure que je descendais.
Ma
colère s'était estompée et avait cédé le pas à du plaisir. La passivité
de cette fille commençait à me plaire, et je m'excitais en corrigeant
la chair fraîche de cette jeune gourde.
Elle commençait à tordre
ses reins, sans bouger de place, et quand je finis par attaquer les
cuisses, ses cris plus forts, plus longs, plus plaintifs,
s'accompagnèrent d'un tremblement bref de tout son corps.
Elle n'osa
pas abandonner sa posture, mais tandis que je zébrais
consciencieusement ses cuisses, du haut (près du tendre sillon qui la
sépare de la fesse) jusqu'aux jarrets, en bas, de belles traces bien
parallèles, ses cris étaient devenus des : « NON ! », « OH NON ! », «
ASSEZ ! », « NON ! », « ARRÊTEZ ! » dont un tremolo naissant annonçait
des sanglots prochains.
Pourtant je fus étonné qu'une fois mon
ouvrage accompli jusqu'au bout, contre toute attente elle ne se mit pas à
pleurer. Ses yeux étaient un peu humides, certes, mais elle retrouva
son calme et sa lenteur habituels.
Néanmoins, avant de la laisser se
reculotter, je la fis se retourner pour un dernier sermon. Elle n'eut
même pas la pudeur de mettre ses mains devant son sexe pour le cacher.
Je la regardai droit dans les yeux.
— Vous avez compris, maintenant ?
Elle hocha la tête, comme d'habitude.
—
Vous ferez attention désormais à ne plus faire d'erreurs, sinon gare !
Car croyez-moi, à partir d'aujourd'hui, chacune de vos bêtises sera
sanctionnée, et de cette façon-là ! Et la prochaine fois, si par malheur
il doit y en avoir une, la punition sera pire ! Croyez-moi, la règle en
plastique n'est rien du tout à côté de ce je vous réserve. Allez,
reculottez-vous et rentrez chez vous ! À vendredi.
Car j'étais
bien décidé à remettre ça si elle persistait dans ce comportement ;
chose qui arriverait, j'en étais sûr, puisque elle était totalement
stupide et incapable de s'améliorer.
Et ce ne fut plus désormais
avec agacement et amertume que j'entrevis mon travail avec Julie
jusqu'à la fin de son contrat, mais avec un plaisir trouble, puisque le
destin m'avait envoyé une petite gourde dont la bêtise et la soumission
m'assuraient de pouvoir me livrer à une activité qui n'avait été jusqu'à
ce jour qu'un vague fantasme : la formation et l'éducation à l'anglaise
d'une jeune sotte.
Auteur : Docsevere
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Déjà publié sur Xstory !
RépondreSupprimerBonjour. Les textes publiés sur notre blog ont, et nous l'assumons, plusieurs vies. Le Café d'Aphrodite reste cependant leur plus bel écrin.
Supprimersuper nice sexy !!!!!!!!!!
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