Je suis un presque quadragénaire récent séparé, vivant ma petite vie
sans relief dans un immeuble sans charme d'une ville de France. En fait,
je vis assez bien. Je suis comme la majorité des Français : monsieur
personne, et cela me va bien.
Dans mon immeuble, je côtoie quelques voisins sympathiques, une petite vieille casse-pieds qui ne sait pas vivre en communauté et un jeune couple ; la femme doit avoir 22ans ou légèrement plus et elle est enceinte.
En fait, je les connais assez mal, tout juste suis-je capable de dire qu'ils s’appellent Boris et Mathilde et qu'ils travaillent tous les deux. Je n'avais jamais prêté beaucoup d'attention à cette jeune femme somme toute assez mignonne. Cela vient-il du fait que j'étais en couple jusqu'à peu ou qu'elle dégage, depuis qu'elle est enceinte, un sex-appeal d'une rare intensité ? Je ne sais pas vraiment ce qui m'attire en elle ; toujours est-il que je me surpris à la regarder un peu plus, autrement.
Mon regard se fait un peu plus lourd sur elle. Je ne sais pas si elle le ressent mais, pour le dire franchement, son ventre rond et ses seins devenus lourds, sa démarche difficile et ses regards par dessous me plaisent.
Depuis quelque temps, je n'entends plus les grincements caractéristiques que le couple produit durant ses ébats, alors je commence à tâter le terrain et, à la première occasion, dans le couloir de l'immeuble, je laisse dériver une conversation sur le sexe durant la grossesse. Rien de très direct, plutôt un sujet personnel abordé sur le ton de la rigolade. Et pourtant, j'apprendrai à cette occasion que monsieur ne la touchait plus depuis plusieurs semaines déjà, celui-ci ayant trop de respect pour la femme enceinte pour la souiller. Et puis, ce sera son premier enfant ; je conçois que son regard sur sa femme change. Toujours est-il que celui-ci ne couche plus avec sa femme depuis le quatrième mois de grossesse, ce qui fait donc six semaines sans relations sexuelles pour eux.
Dans mon immeuble, je côtoie quelques voisins sympathiques, une petite vieille casse-pieds qui ne sait pas vivre en communauté et un jeune couple ; la femme doit avoir 22ans ou légèrement plus et elle est enceinte.
En fait, je les connais assez mal, tout juste suis-je capable de dire qu'ils s’appellent Boris et Mathilde et qu'ils travaillent tous les deux. Je n'avais jamais prêté beaucoup d'attention à cette jeune femme somme toute assez mignonne. Cela vient-il du fait que j'étais en couple jusqu'à peu ou qu'elle dégage, depuis qu'elle est enceinte, un sex-appeal d'une rare intensité ? Je ne sais pas vraiment ce qui m'attire en elle ; toujours est-il que je me surpris à la regarder un peu plus, autrement.
Mon regard se fait un peu plus lourd sur elle. Je ne sais pas si elle le ressent mais, pour le dire franchement, son ventre rond et ses seins devenus lourds, sa démarche difficile et ses regards par dessous me plaisent.
Depuis quelque temps, je n'entends plus les grincements caractéristiques que le couple produit durant ses ébats, alors je commence à tâter le terrain et, à la première occasion, dans le couloir de l'immeuble, je laisse dériver une conversation sur le sexe durant la grossesse. Rien de très direct, plutôt un sujet personnel abordé sur le ton de la rigolade. Et pourtant, j'apprendrai à cette occasion que monsieur ne la touchait plus depuis plusieurs semaines déjà, celui-ci ayant trop de respect pour la femme enceinte pour la souiller. Et puis, ce sera son premier enfant ; je conçois que son regard sur sa femme change. Toujours est-il que celui-ci ne couche plus avec sa femme depuis le quatrième mois de grossesse, ce qui fait donc six semaines sans relations sexuelles pour eux.
Outre les précieuses informations recueillies, cette
discussion se termina bizarrement, dans cette tension pré-sexuelle que
l'on ressent lorsqu’une personne vous attire mais que vous ne savez pas
si l'attraction est réciproque. Et puis le charme fut rompu par un
voisin ouvrant la porte d'entrée au retour des courses et pestant sur sa
femme qui avait fait des achats pour trois semaines...
Mathilde me
fit un joli sourire et partit vers son appartement. Je restai songeur,
la regardant s'élever de sa démarche chaloupée et difficile. Fut un
temps où, dans d'autres conditions, j'aurais pu tomber amoureux de ce
sourire.
Je ne devais plus croiser Mathilde seule pendant trois
semaines ; tout juste un bonjour au couple et un regard échangé, presque
volé, alors qu'elle était au bras de son mari. Parfois, de derrière ma
fenêtre, je la regardais se rendre à la boulangerie pour revenir
quelques minutes plus tard. J'aurais pu descendre les escaliers sous un
prétexte totalement inventé, pour la croiser, lui parler et profiter de
son aura. Ce n'est qu'au retour du travail, un vendredi soir, que je la
rattrape dans les escaliers. Elle commence son septième mois et les
trois étages lui sont de plus en plus difficiles. Je la salue,
m'inquiète de sa lenteur mais elle me rassure. Son état de femme
enceinte la rend vraiment belle, elle rayonne. A posteriori, je pense
pouvoir dire que son corps laisse transparaître son besoin de sexe.
D'ailleurs elle me sort de ma rêverie et pointe mon entrejambe :
-
Oh, c'est moi qui vous mets dans cet état ? J'aimerais continuer à
exciter mon mari, mais ma grossesse ne lui fait pas cet effet.
Me voilà rouge ! Peut-être la honte de ma vie, et cette petite ingénue en rigole.
- Ne rougissez pas : je suis flattée et heureuse de faire cet effet à quelqu'un. Vous pouvez me laisser la toucher ?
Autant
vous dire que cette question m'a laissé interloqué. « Bien sûr ! »
avais-je envie de crier. Et pourtant, les yeux soutenant son regard
gourmand, je ne dis rien. Alors la jeunette s'approcha de moi, déposa un
baiser sur ma joue et prit mon membre en main. Je l'entends encore,
alors que je suis sur le point de décharger dans mon slip comme un
adolescent, me chuchoter :
- Ah ! Quelle envie, si vous saviez !
Elle
me masturbe légèrement ; j'ai les yeux fermés et je sens sa main sur
mon sexe, ses seins lourds collés à ma poitrine. Je la sens lentement
s'agenouiller, ouvrir ma braguette. J'ouvre les yeux et sors de ma
rêverie, je scrute les bruits dans la cage d'escalier. Un voisin tire de
l'eau, la rue est animée mais les bruits sont étouffés. Et cette jeune
fille de 22 ou 23 ans, la tête entre mes jambes, entame une fellation
comme elle n'en plus faites depuis plus de deux mois. Je la sens qui
jubile, qui prend un plaisir immense à sucer mon sexe.
Elle a
commencé par le gland, certainement pour se régaler du liquide séminal
produit par sa masturbation. Je la vois qui glisse la main dans son
pantalon. La pauvre est tellement en manque que son orgasme ne tarde pas
: son corps se tend et se contracte, mais sa bouche ne quitte pas mon
sexe. Une fois l'orgasme passé, elle se changea presque en furie, je me
retrouvai d'autorité plaqué au mur. Elle avait les deux mains accrochées
à mes fesses, la tête vaillante. Je mis une main sur son sein que je
commençai à malaxer et je l'entendis gémir en même temps qu'elle
plongeait mon sexe au fond de sa gorge. Après quelques va-et-vient
profonds, je la vis prendre mon sexe en main et relever la tête. Elle se
recula légèrement et, les yeux dans les yeux, elle me chuchota :
- Viens dans ma bouche.
Quelle
invitation ! J'ai 16 ou 17 ans de plus que cette petite, enceinte, et
dans quelques secondes elle avalera mon sperme ! D'ailleurs cela ne dura
pas. Une petite dizaine de mouvements et les contractions
caractéristiques se font sentir. Elle s'arrête, profite tout autant que
moi de cette semence chaude et collante qui se projette dans sa bouche.
Elle reçoit tout, elle avale tout et garde mon sexe en bouche ; elle me
nettoie de sa langue coquine. Je sens chez elle l'envie que cela ne
s'arrête jamais.
Puis elle se redresse et me glisse à l'oreille :
- Mon mari travaille toute la semaine, venez manger lundi à midi si vous le voulez.
Figurez-vous
que j'ai repensé à cela tout le week-end, me masturbant furieusement,
et que le lundi à midi – contrairement à mes habitudes – je n'ai pas
mangé au travail. Prétextant l'oubli d'un document important à mes
collègues étonnés, je suis rentré chez moi. En fait, pour tout dire, je
suis passé chez moi prendre une bouteille de vin rouge et je suis allé
chez ma voisine. Je sonne, j'attends, elle m'ouvre... et explose de rire
en voyant la bouteille.
- Vous n'avez pas bien compris mon invitation, me glissa-t-elle. Je vous ai invité pour me bouffer le minou !
Sur
ce, elle me prit par la main et me fit entrer dans son appartement.
Elle m'attire à elle, colle sa poitrine contre moi, féline. Elle pose
mes mains sur ses hanches avant que je reprenne le contrôle de la
situation. Je relève son haut. La voilà en robe, le ventre proéminent et
les seins prisonniers du soutien-gorge. Je me fais un devoir de les
libérer plus, à mon grand plaisir d'admirer ces objets de mes fantasmes
des derniers mois. Je n'avais jamais senti cette attirance impérieuse
pour une femme enceinte, pas même la mienne. Et aujourd'hui, je ne jure
plus que par ces deux globes lourds et d'un blanc laiteux. J'adore comme
ils réagissent dans ma main, ou alors j'adore comment Mathilde réagit à
mes caresses. Elle a les yeux fermés, la tête légèrement penchée sur le
côté. Elle s'est abandonnée à ma main et à ma bouche qui parcourent ces
merveilles.
Au bout de quelques minutes je la prends par la
taille et je la fais reculer jusqu'au canapé où je la fais s'asseoir.
Après tout, ne m'a-t-elle pas invité à manger ? Je relève sa robe légère
et tombe sur une de ces chattes à la mode, totalement épilée et sans
culotte. Cette mode ne me déplaît pas, mais elle rajoute aujourd'hui à
la différence d'âge. Je prends conscience de la quantité d'interdits que
nous brisons. Je vais brouter le minou de la femme de mon voisin,
enceinte, arborant un sexe de jeune fille et de 17 ans ma cadette... Je
vous laisse imaginer l'état de mon sexe !
La robe bien relevée,
je m'attarde sur la peau tendre de ses cuisses. Peut-être la partie que
je préfère du corps féminin, surtout sur une jeune femme qui fond à ce
contact. Mon index survole plus qu'il ne caresse sa fente, juste le
temps d'évaluer son degré d'excitation... peut-être autant que moi. Ma
bouche furette, se promène, ma langue fait connaissance avec ce sexe
humide. Je la sens qui réagit à mes baisers, je ressens les tensions
créées par tous les passages de ma langue sur ses chairs intimes. Je
sens comme une libération pour elle : enfin quelqu'un s'occupe d'elle
après tant de temps et tant de besoins refrénés ! Elle contrôle ses
bruits et s'efforce de ne pas crier, mais le reste de son corps
s'abandonne à mon contact. Pour l'aider, je lui plaque la main sur la
bouche avec force, ce qui la libère d'autant plus. En quelques secondes
un orgasme dévastateur monte et traverse son corps, la libérant sans
aucune entrave de ces mois de disette et de pâles plaisirs solitaires.
Puis elle s'apaise ; ma bouche inondée continue son ouvrage sur le corps
de la femme enceinte de mon voisin. Je suis heureux d'avoir pu
déclencher cet orgasme, mais je prends surtout un plaisir sans bornes à
caresser, embrasser ce sexe, véritable hymne au plaisir et à la
sexualité dans son sens le plus noble.
Ma jeune amante reprend
ses esprits, me sourit des yeux. J'adore ses non-dits pleins de cette
tension qui nous unit depuis notre première discussion osée. Elle me
regarde et me demande de changer de place. Elle se redresse un instant
pour quitter sa robe et la rouler en boule sous ses genoux. Je l'observe
nue devant moi et je jurerais que, l'espace d'un instant, elle a rougi.
Je ne suis pas dans sa tête et je peux presque dire que son sens moral
réprouve totalement ses agissements les plus crus. Ces considérations ne
l'empêchent pas de reprendre goulûment mon sexe en bouche, avec cette
même envie que j'ai découverte vendredi dans les escaliers. Quelle folie
! Et si un voisin était passé, je n'ose imaginer la réaction de notre
vieille voisine acariâtre.
Mathilde ne pense pas à toutes ces
choses, semble-t-il ; elle a accumulé depuis la dernière fois que son
mari l'a touchée une forte carence en sperme, et elle met beaucoup
d'entrain à la résorber. Je prends plaisir à sa fellation, la petite a
un don et elle fait ça avec beaucoup de plaisir. Je profite un peu de la
situation, une main palpant un sein, l'autre accompagnant le mouvement
de sa tête. Il ne lui faudra que quelques minutes pour en finir avec
moi. Je la sens presque déçue. Elle me regarde et me dit :
- J'aimerais vous revoir jeudi, mais faites-moi un petit plaisir.
- Ce que vous voulez !
- Venez avec les bourses pleines.
Quelle
torture… Trois jours de travail, trois jours de souvenirs intenses et
d'excitation contenue. Quelle torture de la croiser dans les couloirs et
de ne pouvoir la plaquer au mur, supporter l'appel du sexe permanent
qu'elle constitue pour moi. Qui aurait dit un jour que je me laisserais
conquérir par les charmes d'une femme enceinte ? Suis-je un animal ?
Jeudi
midi, je reviens à mon immeuble. Je la vois qui me scrute depuis sa
fenêtre avant de s'éloigner. Je monte les étages quatre à quatre pour
arriver devant se porte, à peine entrouverte. Je me glisse et referme
derrière moi. Je l'appelle et elle me répond d'une voix douce. Je me
dirige vers la pièce d'où est sortie la voix et la trouve dos à la
porte, le sexe totalement offert. Elle a les seins et la tête sur le
matelas de son lit. Ses mains maintiennent ses jambes au niveau du
genou. L'invitation est on ne peut plus claire, et pourtant elle trouve
la nécessité de me dire de la prendre. J'hésite, vérifie rapidement le
contenu de la chambre...
- Vous avez des préservatifs ?
- Non, je veux sentir ton sperme couler en moi. Tu t'es masturbé ces derniers-jours ?
- Non, avouai-je.
- Alors viens en moi, je n'en peux plus !
Rapidement,
mes vêtements tombent et je me retrouve aussi nu qu'elle. Je m'approche
de son sexe que j'embrasse. Elle est tellement mouillée… Pour la
première fois, j'insère un doigt dans son vagin ; elle soupire. Elle est
serrée. Je présente mon sexe que j'insère lentement. Quel plaisir ! Je
me penche légèrement sur elle pendant que mon sexe entre petit à petit
dans ce canal étroit. Une main caresse son ventre rond, l'autre
s'attarde sur un sein. J'ai l'impression qu'elle a prévu tout cela de
longue date. La position, cette façon presque dégradante de la prendre
comme un morceau de viande, j'ai la sensation que ça l'excite. Je me
penche au maximum pour lui mordiller le cou. Elle se laisse faire puis
me présente sa bouche. C'est la première fois que nous nous embrassons ;
nous profitons tous les deux de cet instant suave. Après un moment, je
lui demande si elle veut changer de position ; elle me répond par la
négative et m'explique :
- C'est la position où ton sperme
restera le mieux en moi. J'ai besoin de sentir qu'un homme me désire et
qu'il est prêt à faire des folies pour ça.
Ainsi passèrent les
minutes suivantes. Je parvins à la faire se redresser sur ses mains pour
faciliter nos baisers, pour avoir un accès plus facile à ses seins,
mais elle reprit bien vite sa position lorsque je lui annonçai ma
jouissance. Et c'est ainsi, dans cette position bestiale, que trois
jours de torture se sont déversés par puissantes saccades dans ses
chairs intimes. J'ai senti son orgasme sur mon sexe alors que mon sperme
la remplissait et que la gravité faisait son œuvre. Je me retire et je
me rhabille tandis que la belle Mathilde restait dans cette position.
- Il se fait tard, me dit-elle, les fesses toujours en l'air ; on se voit lundi prochain ?
- Oui bien sûr, acquiesçai-je, heureux de la proposition
Elle se redresse enfin et se tourne vers moi ; elle m'embrasse.
Jusqu'à
sa dernière semaine de grossesse, nous avons continué à nous voir
ainsi. Le petit est né, il est mignon. Le père a repris ses obligations
conjugales, mais j'entends depuis quelques jours la mère prendre un
malin plaisir à le faire plus bruyamment qu'avant.
Peut-être veut-elle me faire savoir qu'elle sera bientôt enceinte à nouveau ?
Auteur : LeBiterrois
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