samedi 13 septembre 2014

Voyage professionnel

Avril 1999, encore un voyage pour Roznov, petite ville industrielle de la République Tchèque. Décidément, je passe beaucoup de temps dans les aéroports et les chambres d’hôtel depuis quelques années. Parti de Toulouse deux heures plus tôt, me voilà à Roissy CDG, dans la salle d’embarquement du vol CSA pour Prague. Ce soir, nuit à l’hôtel, puis il faudra me lever à 5 h 30 pour attraper le vol d’Ostrava sur un petit bimoteur. Il fait beau ; je passe le contrôle des bagages à main et m’installe dans la salle d’embarquement.

Les sièges de plastique ont été remplacés par des banquettes recouvertes de velours bleu, disposées en demi-arc de cercle. Lisant distraitement un journal, j’aperçois face à moi une femme en tailleur noir, chemisier blanc, escarpins, un collant couleur champagne, assise les jambes croisées bien haut. Je la trouve gonflée : elle montre la moitié de ses cuisses. Cheveux coupés au carré, un beau visage rond, elle aussi lit une revue. Moi qui ai toujours été attiré par les femmes d’allure classe, ses cuisses pleines m’attirent, je ne peux détacher mon regard. Elle doit le sentir car elle jette un coup d’œil vers moi, plonge ses yeux dans les miens, tentant de me faire baisser les yeux sans y parvenir, puis m’ignore royalement. Peu importe, je continue à la fixer ; le jeu m’amuse.

On nous appelle pour l’embarquement. Je la laisse se lever avant moi. Son attaché-case à la main, la lanière du sac sur une épaule, un foulard rouge noué autour du cou, juchée sur ses escarpins faisant ressortir des mollets musclés et bien dessinés, elle a vraiment beaucoup d’allure, et surtout… des formes de femme : une poitrine bien ronde, des fesses moulées par la jupe serrée. Je la trouve superbe.

Entrant dans l’avion pour prendre place en business class, le jeu prend une tournure à laquelle je ne m’attendais pas : dans la même rangée que moi, de l’autre côté de l’allée centrale : elle ! Déjà assise, toujours les jambes croisées exhibant la moitié sinon plus de ses cuisses pulpeuses, elle m’ignore toujours, le regard plongé dans ses documents.

Pendant tout le trajet jusqu’à Prague, je ne cesse pas de la regarder en coin. Elle paraît s’en moquer complètement ; pourtant je remarque qu'elle remue beaucoup, faisant glisser de temps en temps une cuisse sur l'autre, ce qui bien entendu fait remonter le bord de la jupe, l'obligeant à la remettre fréquemment en place. Une hôtesse ravissante distribuant les boissons s’aperçoit de mon manège et m’adresse un sourire.

Nous arrivons enfin. La femme a disparu après avoir passé le contrôle de police. Je cherche un taxi pour le Hilton, et finis par l’oublier complètement.

L'hôtel est magnifique. Situé sur les bords de la Vltava (affluent de l'Elbe), en plein centre, avec un immense lobby décoré de très hautes plantes vertes ; ma chambre est située au 11ème étage, vue directe sur le fleuve. Après avoir dîné, plutôt que de regarder la télé seul dans ma chambre, je m’installe dans un des recoins du lobby, deux banquettes en L entourées de plantes. La luminosité a été diminuée, donnant une atmosphère douce dans ce hall immense.

Soudain, je vois passer la femme, celle de l’avion. Elle m'aperçoit, s’arrête, se dirige vers moi, et avec un grand sourire :

— Vous êtes là !

Stupéfait, je réponds en bafouillant un peu :

— Oui, bonsoir. Vous aussi vous êtes descendue dans cet hôtel ?
— On y est bien. J’aime cet hôtel, les chambres sont vraiment spacieuses.
— Et la vue est splendide, sur le fleuve et les bâtiments baroques.
— Je m’appelle Marie. Vous venez souvent à Prague ?
— Patrick, enchanté. Asseyez-vous donc, je vous offre un verre ?

Et elle s’installe près de moi, sur l’autre côté de la banquette, toujours en croisant les jambes bien haut ! Cette petite garce m’a ignoré pendant tout le voyage, et la voilà engageant la conversation sur la ville de Prague, me posant des questions sur la raison de mon voyage. Je lui propose une coupe de champagne, qu’elle accepte avec un large sourire. Elle a ajouté des boucles d’oreille, assorties à un ras-du-cou en or fin. Le foulard de soie rouge est toujours là, lui couvrant la nuque. Cette fois-ci, elle ne fait plus hautaine du tout. Je la trouve très séduisante, attirante, de plus en plus. Elle est volubile, agite les mains en parlant. Assise dans la banquette profonde, sa jupe a encore remonté…

Deux coupes de Gosset plus tard, je m’amuse maintenant franchement : je mate sans vergogne ses cuisses pleines. Elle le sent, bien entendu, et ça semble l’amuser beaucoup ; elle ne se gêne pas pour croiser et décroiser les jambes. Je commence sérieusement à croire qu’elle cherche à m’allumer. Mais ce genre de situation n’arrive que dans les films. Et puis, je dois me lever tôt demain matin. Elle me dit travailler dans la mode, et doit rencontrer de jeunes créateurs locaux. Egayés par l’alcool, notre conversation dérive vers les dessous féminins. Je lui avoue aimer les jambes gainées par des bas fins en voile. Elle me sourit :

— Vous n’aimez pas les collants ?
— J’ai horreur de ça. Est-ce grave, Docteur ?

Son rire crépite, elle est très à l’aise. Soudainement elle se lève et annonce :

— Je reviens dans cinq minutes. Commandez-moi une autre coupe de ce merveilleux champagne, et surtout attendez-moi !

Que répondre à cela ? Je suis sa silhouette tandis qu’elle se dirige vers les ascenseurs, faisant claquer ses talons sur le dallage en marbre, balançant les fesses à chaque pas, plus que naturellement il me semble. Elle m’excite, cette belle femme. Pas jolie comme un mannequin, non, d’ailleurs ça ne m’aurait pas intéressé ; mais son allure la rend vraiment belle, avec des hanches de femme. De sa silhouette émane une sensualité à fleur de peau.

Quinze minutes plus tard, personne. Bien, elle m’a allumé, elle s’est bien amusée ; il est temps de me coucher moi aussi. À l’instant où j’allais me lever, je la vois arriver. Quelle délicieuse vision : le chemisier largement ouvert, deux boutons ont été défaits, la démarche fait ballotter les seins… son soutien-gorge a disparu ! Elle est débordante de sensualité. Elle ne sourit plus ; j’ai l’impression de voir un léger tremblement de la main lorsqu'elle saisit sa coupe. Évidemment, j'ai une pleine vue sur ses seins, de beaux nichons lourds à la peau laiteuse. Rougissante, elle s’assoit, croise les jambes comme à l’accoutumée, découvrant ce morceau de peau blanche, si chaud et si tendre, au-dessus de la lisière des bas couleur chair qu’elle porte maintenant !

Mon cœur bat à tout rompre. Elle s’est remaquillé les yeux ; la bouche est recouverte d’un rouge luisant, lui donnant des lèvres pulpeuses. Son parfum m’enivre. Nous ne disons rien pendant presque une minute, la tension due à cette exhibition nous rend silencieux. Je sens ma queue à l'étroit dans mon pantalon, me faisant presque mal. Elle boit une nouvelle gorgée de liquide, se cambre, tourne le buste vers moi, m’exhibant encore une fois la moitié de ses seins nus. Alors, un léger sourire sur les lèvres, elle me dit d’une voix  rauque :

— Ça vous plaît ?
— Quoi donc, Marie ? je lui rétorque, m’efforçant de garder une voix assurée.
— Ce que vous regardez...

Sidéré par son audace, je marque un temps avant de lui répondre. Pour garder le contrôle de la situation, je fixe mon regard sur ses cuisses si joliment gainées, puis ses seins. Elle respire vite, soulevant sa poitrine à chaque bouffée d’air.

— Bien entendu, ça me plaît. Vous êtes superbe... superbe, et délicieusement sexy !
— Vous n’avez pas cessé de me mater dans l’avion. Alors maintenant, je vous en offre un peu plus !
— Vous aimez exciter les hommes, n'est-ce pas...
— Je ne cherchais pas à vous exciter.
— Pourtant, dans la salle d'embarquement, vous m'avais bien défié du regard.
— Évidemment : vous aviez le regard braqué sur moi. C'en était indécent.

J'éclate de rire.

— Indécent ? Vous aimez l'indécence, vous aimez vous exhiber. Il y a certaines choses qu'un homme sent quand une femme aime être regardée...
— Je ne cherchais pas à être regardée !
— Vraiment ?
— ...
— Vous avez de très jolies jambes, ou plutôt de très belles cuisses…

Elle sourit, son visage rosit légèrement. Redressant le buste, elle plonge ses jolis yeux dans les miens.

— La couleur des bas vous plaît ?
— Pas que la couleur, Marie, pas que la couleur ; ce qu'il y a en haut de la lisière des bas me plaît aussi... Savez-vous que vous êtes... – puis, laissant passer trois secondes avant de poursuivre – ...excitante !

Elle rit, nerveusement, un rire qui vient du plus profond de sa gorge. Profitant de la lumière tamisée du hall, je pose une main sur sa joue. Nous sommes bien, abrités par les rangées de plantes vertes qui entourent notre banquette. Alors j’en profite. Je laisse glisser mes doigts le long de son visage, effleurant le cou, descends jusqu’au sillon des seins, dégrafe un autre bouton de son chemisier, qui s’ouvre jusqu’au ventre. Elle me laisse faire, toujours cambrée, les yeux plantés dans les miens. Ma main empaume un des globes nus durcis par l’excitation. Elle soupire, semble chercher de l’air, les lèvres entrouvertes. Je me régale à caresser ce sein, dont la peau est brûlante, douce et moite. Je le soupèse, gratte le téton avec l'ongle de mon pouce, le pinçant légèrement.

Puis, délaissant la poitrine, je pose la main sur son genou, remonte lentement le long de sa cuisse, faisant crisser mes doigts sur le tissu fin du bas. Elle suit du regard le mouvement de ma main, décroise les jambes, redresse la tête, plonge les yeux dans les miens, me défiant fièrement du regard. Mes doigts franchissent la lisière du bas, atteignent la chair nue, là où le grain de peau est si fin, électrisant ma paume. Elle se cambre encore, ferme les yeux, écarte légèrement les genoux. J’en profite pour glisser la main entre ses cuisses, là où la peau est brûlante, ferme et tendre à la fois, une peau de femme, délicieuse à toucher, à caresser.

— Retirez votre main, on va nous voir !
— C’est vous qui avait provoqué ce jeu ; maintenant, il faut assumer.
— Non, c'est vous, dans la salle d'embarquement, dans l'avion.

Ignorant ses arguments, mes doigts glissent un peu plus haut, effleurant quelques poils débordant de la culotte, englués de mouille.

— S’il vous plaît, arrêtez !
— Voyons, Marie, vous aimez mes doigts, n'est-ce pas... Écartez encore un peu vos si belles cuisses !
— Nonnn, je vous en prie, je suis trop... excitée.

Retirant ma main, je porte les doigts à mes lèvres, hume l'odeur de chatte qui en émane, les glisse dans ma bouche... Je bande comme un salaud, elle me rend dingue !

— Patrick, s'il vous plaît, partons d'ici, emmenez-moi...

Nous nous levons. Elle referme sa veste, me regarde encore dans les yeux, le regard flou. En étant debout, elle se rend compte qu’elle est affreusement mouillée. Le tissu de la culotte colle à sa vulve. Elle part devant. La suivant, je ne vois que ses fesses plantureuses étroitement moulées par le tissu de la jupe. Sa démarche est élégante, perchée sur ses escarpins. Malgré ses formes de femme épanouie, les attaches des chevilles et des genoux sont fines. Dans l’ascenseur qui monte à mon étage, je caresse son cul. En gémissant, elle se colle à moi, me tend ses lèvres, m’embrasse fougueusement. Nos dents s'entrechoquent, sa langue repousse la mienne pour envahir ma bouche, des filets de bave collent à nos lèvres.

Reprenant son souffle, elle avoue :

— Salaud, vous m’avez excitée comme une folle dans cet avion. Je sentais vos yeux fixés sur moi, je ne savais vraiment plus où j’en étais. Rarement un homme m’avait déshabillée du regard comme vous l’avez fait ; j’en avais les jambes qui tremblaient. J’avais terriblement envie de vous. Je sentais votre regard qui me brûlait, j’aurais voulu pouvoir vous en montrer plus, là, au milieu de tous ces gens.

— Vous m’avez plu tout de suite. J’aime votre allure si classe, vos formes, vos seins lourds et durs, vos cuisses que vous montrez sans vergogne...
— Oh, taisez-vous ! J’ai tellement envie d’un homme, de… vous.

Arrivés au 11ème étage, la prenant par la taille, je l’entraîne dans ma chambre. Elle se colle encore contre moi, nous heurtant contre le chambranle de la porte. Sa langue s’enfonce dans ma bouche, tourne, virevolte. Je lui rends son baiser avec passion, pétris ses fesses à pleines mains. D’un coup de pied, je referme la porte.

Fou de désir, mes mains se ruent à l’assaut de son chemisier, l’ouvrent. Les seins jaillissent, libres. Ils ne sont pas parfaits, mais ça la rend plus humaine, plus excitante. Ils sont lourds et fermes, durcis par l’excitation. Longtemps je les caresse, les tripote. Des gouttes de transpiration roulent dans le sillon séparant les deux globes. Les aréoles, terminées par des mamelons épais, tendus, me donnent envie de la téter. Les reins cambrés, elle me les offre, le regard flou, enserrant mon visage de ses mains.

Pour la calmer, je délaisse sa poitrine, l’embrasse tendrement. Mes mains caressent son dos nu, descendent le long des reins. Je lui fais sentir mon désir en appuyant ma queue contre son pubis. Le brusque silence la trouble. Fuyant mon regard, elle remonte sa jupe au niveau des reins, offrant ses fesses presque nues à la caresse de mes mains. Je saisis les deux globes de chair vivante, les pétris, insinuant un doigt le long du bord de la culotte.

Ivre d’envie, elle ouvre ma chemise, caresse mon torse – quelques instants seulement – avant de se ruer vers ma ceinture qu’elle défait maladroitement, les doigts tremblants d’excitation. Ses doigts bagués saisissent mon membre, le dégagent du slip. Mon cœur bat à tout rompre. Elle fixe ma queue au gland mauve qu’elle fait saillir dans sa paume.

Mes doigts suivent le contour de sa culotte, atteignent la vulve à peine recouverte par le tissu fin. Quelques poils englués de mouille s’accrochent à mes ongles.

— Vous êtes trempée, petite cochonne, votre culotte est à tordre !

Je baisse son slip jusqu’au niveau des genoux, pas plus bas. Ses jambes tremblent. Ma main s’infiltre ; deux doigts suivent le contour des petites lèvres, les pincent légèrement, atteignent le clitoris turgescent, l’effleurant à peine. Elle pousse un gémissement, tend sa chatte à la rencontre de mes doigts. Brusquement, je les enfonce dans le con gluant, bien à fond. Lâchant ma queue, elle s'agrippe à mes épaules.

— Marie, je vais te baiser ! Ta chatte dégouline, tu sens la femelle en chaleur. Tu as envie d'une bite, n'est-ce pas, une bonne bite bien dure !
— Oh, vous me dites des choses… tu… tu me parles comme à une… c’est… ça m’excite !

Mes mots fouettent l’excitation de la femme qui ferme les yeux. Elle tend le bras, cherche ma tige en tâtonnant ; sa main l’empoigne, la serre à m’en faire crier. Elle soupire ; j’en profite pour la plaquer contre le bureau. Mon gland cogne contre son pubis, froisse les nymphes enflées de sa vulve. Elle écarte les jambes autant que lui permet la culotte qui lui scie les cuisses. Elle étouffe des gémissements sourds en plaquant sa bouche dans mon cou. Mes doigts écartent les petites lèvres gonflées, fouillent la vulve. Des gouttes de mouille glissent, engluant les poils, ma main est trempée de jus, du jus brûlant de femelle ; elle me rend fou.

— Prends-moi, s’il te plaît, vite…
— Tu veux quoi, Marie ?
— Te sentir, en moi.
— Je n’ai pas bien compris, Marie. Tu veux quoi, et où ?
— Oh, tu es si vicieux… Je veux… ta queue ! dit-elle dans un souffle.
— Tu veux ma queue, c’est ça ? Tu la veux bien profond ?
— Ouiii, profond, loin ; je veux la sentir dans ma chatte, je veux qu’elle me remplisse…

Maladroitement, elle tente de se débarrasser de son slip, réussit finalement à le faire glisser jusqu’à ses chevilles. Je l’attrape par la taille, l’assois sur la console, bousculant au passage le combiné du téléphone. L’agrippant sous les genoux, je soulève ses cuisses. Ses jambes gainées par le nylon me rendent dingue. La vulve est enflée, gorgée de jus. Pour me provoquer, elle l’ouvre à deux mains. Mes narines s’enivrent de l’odeur qui s’en échappe. Je ne sais plus où porter le regard : ses jambes, ses seins, son sexe offert, ses yeux vitreux, un demi-sourire un peu moqueur sur les lèvres.

Posant sa main sur mon crâne, elle me plaque la bouche sur ses lèvres molles qui s’écartent sur les muqueuses enflées. Je lèche la fente à l’aveuglette, fouille les replis de sa chatte. Sous ma langue, je sens un petit bout de chair très dur : le bouton. Elle pousse un cri aigu, de surprise et de plaisir. J’aspire son clitoris entre mes lèvres, le titillant avec ma langue. Elle pousse un râle rauque, en soulevant son bassin. Pour jouir si rapidement, elle doit en avoir autant envie que moi.
Mais le désir est trop fort, un désir incontrôlable. Je me redresse, et mes yeux plongés dans les siens, je courbe ma queue contre sa chatte.

— Tu es belle, Marie, terriblement belle et obscène, une merveilleuse femelle.

Les yeux vagues, elle se laisse aller en arrière et m’attire sur elle en murmurant d’une voix sourde :

— Oh... Tu es vraiment... Viens en moi !

Mon membre dérape entre les replis de la vulve, puis brusquement, violemment, s’enfonce dans le con brûlant. Elle est très ouverte, son vagin est chaud, émettant de petits flots de mouille. Je suis bien en elle, je sens ses chairs souples sous mes mains.

— Tu me sens, Marie ?
— Ouiii, tu me remplis. Bourre-moi fort, vas-y !

Mais je la trouve trop passive. Pour l’exciter, je lui glisse dans l’oreille :

— Ta chatte me suce la bite, Marie, c’est délicieux.

Les mots sales que je lui susurre fouettent ses sens. Elle pousse un cri, attrape mes fesses et me serre contre elle. Des mots sans suite s’échappent de ses lèvres. Elle gémit, sentant la jouissance monter du creux de ses cuisses, provoquant d’interminables secousses dans son ventre. À chaque mouvement des reins, mes couilles frappent son cul. Nos bouches se cherchent, nos dents s’entrechoquent, nos langues s’emmêlent dans un ballet infernal. Ses seins couverts de sueur s’écrasent contre mon torse. Je l’agrippe sous les cuisses, écartant ses fesses qui remplissent bien mes mains.

— Tu sens mes doigts qui ouvrent ton cul ?
— Oh, quand même… mais… Oui, continue !

Je n’en peux plus. Hors de moi, je m’enfonce encore plus profond ; à chaque va-et-vient mon bassin heurte le sien, provoquant un claquement de chairs humides. Son attitude de femelle en manque m’excite comme un dingue. Soudain, elle pousse un long cri aigu. Je sens une giclée de mouille chaude me brûler la queue.

— Marie, ma belle, je vais jouir, je ne vais plus pouvoir tenir longtemps.

Le regard vague, la voix tremblante, elle me dit :

— Attends, je veux ton sperme… sur mes seins.

Me séparant d’elle, je laisse retomber ses jambes. Elle descend du meuble, s’accroupit, tend ses yeux brillants vers les miens :

— Viens, vas-y, donne-moi tout de toi.

Un spasme secoue mon bas-ventre, mon sperme fuse, éclabousse ses seins, son ventre. Je m’affaisse sur elle, dans ses bras chauds.

Nous dormons l’un contre l’autre, elle le dos tourné, bien calée contre mon torse. Je l’entoure de mon bras, emprisonnant un de ses seins. Le lendemain, lorsque le réveil sonne, elle n’est plus là. Seule l’odeur chaude de son corps a laissé son empreinte dans les draps. Marie a disparu.


Auteur : Hpassage

2 commentaires:

  1. Je ne sais pas si c'est une expérience vécue mais les descriptions et les détails sont tellement réalistes que je peux le penser.

    J'avoue que c'est quelque chose qui pourrait m'arriver, si les circonstances font que...

    Merci !

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  2. Oui Lizzy, c'est du vécu, à 90%
    Content de savoir que tu as aimé cette histoire :)

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