Relisez le chapitre 9
[Jessica au bord de la piscine]
Je m’installai confortablement sur le transat deux places à bascule. Le soleil réchauffait ma peau tandis que le vent la caressait sensuellement.
J’appréciais beaucoup Luc car il était mon parrain ; il comptait beaucoup pour moi. Pas autant que mon père, ni de la même façon. Celui-ci était grand, les cheveux châtain et les yeux bleus. Toujours souriant, son regard profond transpirait de gentillesse. J’étais surprise qu’il se rende complice de la relation que j’entretenais avec mon père alors que sa femme, Liliane, est la meilleure amie de ma mère. C’est d’ailleurs grâce à leur amitié à toutes les deux que je n’avais jamais été coupée de Luc. Grâce à lui, j’avais pu garder un contact avec mon père à travers des dessins et des lettres. Cette complicité nous avait beaucoup rapprochés toutes ces années. Je lui en étais reconnaissante. C’est avec cette pensée émotive qui me fit monter les larmes aux yeux que je décidai de plonger dans la piscine avant que mon père arrive.
Je m’installai confortablement sur le transat deux places à bascule. Le soleil réchauffait ma peau tandis que le vent la caressait sensuellement.
J’appréciais beaucoup Luc car il était mon parrain ; il comptait beaucoup pour moi. Pas autant que mon père, ni de la même façon. Celui-ci était grand, les cheveux châtain et les yeux bleus. Toujours souriant, son regard profond transpirait de gentillesse. J’étais surprise qu’il se rende complice de la relation que j’entretenais avec mon père alors que sa femme, Liliane, est la meilleure amie de ma mère. C’est d’ailleurs grâce à leur amitié à toutes les deux que je n’avais jamais été coupée de Luc. Grâce à lui, j’avais pu garder un contact avec mon père à travers des dessins et des lettres. Cette complicité nous avait beaucoup rapprochés toutes ces années. Je lui en étais reconnaissante. C’est avec cette pensée émotive qui me fit monter les larmes aux yeux que je décidai de plonger dans la piscine avant que mon père arrive.
Je
finissais ma troisième longueur de nage papillon lorsque je vis ce bel
homme, la chemise ouverte sur son corps de rêve, assis sur le bord de la
piscine en train de me regarder.
— Je croyais que les sirènes étaient une légende, sourit-il.
Je m’approchai de lui en marchant. L’eau, m’arrivant à hauteur de la poitrine, me forçait à me déhancher pour avancer.
— Est-ce que cette belle sirène accepterait de me donner un baiser magique ? demanda-t-il.
J’admirais
les reflets lumineux de la piscine qui jouaient sur sa peau bronzée qui
appelait mes caresses et mes baisers. Il tendit sa main caressante pour
amener mon visage vers lui. Ses lèvres prirent délicatement possession
des miennes. Sa langue les effleura avant de s’insérer entres elles. Son
baiser si doux devint langoureux. Mes caresses sur son torse se firent
passionnées et pressantes. Mon père
plongea son bras dans l’eau. Je sentis sa main agripper mes genoux. Il
m’enleva de la piscine en souplesse. Je me serrai contre son corps
bouillant. Nos bouches toujours liées, il me déposa délicatement sur le
transat. Nos mains caressaient lentement le corps de l’autre, conquérant
un nouveau monde de douceur.
— Tu peux enlever ton haut de maillot de bain pour faire bronzer tes seins, murmura mon père.
— Oui, mais Tonton…
Cela me gênait un peu de dévoiler mon corps à mon parrain.
— Ne t’inquiète pas : on ne te voit pas très bien de la terrasse.
Il m’embrassait dans le cou tout en dénouant le nœud derrière ma nuque. Ces gestes doux me faisaient frissonner.
— Tu n’as pas à avoir honte de tes seins ; ils sont magnifiques, murmura-t-il contre ma peau. C’est un crime de les cacher.
Sa
bouche les explorait lentement en les découvrant. Ses mains me
cambraient contre lui en défaisant le nœud au milieu de mon dos. Les
miennes caressaient ses cheveux tandis que j’embrassais son front pour
l’encourager à continuer. Mon parrain pouvait bien nous surprendre ou
nous regarder, cela m’était complètement égal. Il n’y avait plus que mon
père qui comptait et la tendresse qu’il me donnait.
Sa
langue traçait des chemins sur mon ventre humide. Ma peau se modelait
sous sa caresse, comme un paysage subissant les lois de la nature dont
il serait le Créateur. Ses mains massaient délicatement mes seins nus.
Mes petits tétons dressés formaient des sommets pointus sur ces
montagnes ainsi érigées.
Mon père
se releva pour ôter sa chemise. J’en profitai pour admirer et caresser
son torse. Il me sourit et m’embrassa. J’entendis un clapotement et de
l’eau s’écouler. Soudain, un liquide tiède vint se déverser sur mon cou,
arrosant mes seins, s’écoulant sur mon ventre et entre mes jambes.
Surprise, je libérai mes lèvres des siennes. Il avait trempé son
vêtement dans la piscine pour m’arroser avec. Sa langue vint embrasser
mes dunes et boire à la cascade qu’elles provoquaient.
Son bras
dans mon dos me serrait contre lui. Je me cambrai en arrière pour
savourer ses caresses et en apprécier les sensations. Mes mains
caressaient ses cheveux et ses épaules. Il buvait ce fleuve, suivant son
lit jusqu’à sa jetée entre mes jambes. Sa langue vint caresser
l’excroissance dure et gonflée de mon bouton, sous le tissu de mon
maillot de bain. Il la passa sous la bordure de la culotte. Je pouvais
sentir la lave de mon intimité s’écouler abondamment sur sa langue douce
et bouillante. Sa bouche aspira mes lèvres et mon bouton, me faisant
crier de plaisir. Mon intimité ainsi emprisonnée était embrassée,
léchée, caressée, sucée. Mes gémissements se muaient en cris
incontrôlés. Un premier orgasme vint soulever mon corps et le faire
trembler de plaisir.
Mon père
passa ses bras sur mon ventre pour caresser et masser mes seins. Il
gardait mon intimité entre ses lèvres. Sa langue caressante ravageait
mon bouton et s’insérait régulièrement et furtivement dans mon volcan en
éruption. Il me buvait littéralement. Ainsi maintenue, je subissais les
assauts du plaisir que cet homme si précieux me donnait. Mon corps
n’était plus que frissons, vibrations et sensations sous ses caresses.
Ma bouche ne savait plus que gémir et crier. Mes mains libres battaient
l’air, cherchant quelque chose pour s’agripper afin de me maintenir en
relation avec le monde réel. Ma jouissance était si grande qu’elle n’en
finissait plus. Mes orgasmes étaient si répétitifs que je ne pouvais les
compter. J’appartenais à sa langue. J’entrais dans un monde de
sensations dont j’ignorais l’existence et sur lequel je n’avais aucun
contrôle. J’en pleurais de plaisir et de peur.
Mes mains agrippèrent les bras puissants et rassurants de mon père,
faisant de lui mon ancre dans le monde réel. Ainsi rassurée par ce
contact, je m’autorisai à me libérer et je m’offris totalement à lui.
Victime d’un plaisir incontrôlable, mes doigts le serraient, le
pinçaient, le griffaient, tiraient ses cheveux et caressaient son
visage.
Ses lèvres embrassèrent l’intérieur de mes cuisses, me
libérant de cette explosion de sensations. Mes yeux furent éblouis par
le bleu lumineux du ciel lorsque je les ouvris. J’eus beaucoup de mal à
reprendre mon souffle. Ma gorge trop sèche m’empêchait d’avaler ma
salive. Mon père vint s’allonger entre mes jambes. Son sexe en érection frotta contre mon entrejambe, me faisant gémir d’envie.
— Tu as pleuré, remarqua-t-il, surpris.
— C’est la première fois que j’ai autant de plaisir ; ça m’a fait peur.
— J’ai mis ma menace à exécution, sourit-il.
Il
m’embrassa tout en se frottant lentement contre moi. Je caressais
intensément sa peau et ses fesses, le pressant contre mon corps. Je
voulais qu’il comprenne que j’étais toute à lui et que je le désirais en
moi. Ses mouvements de bassin se firent plus intenses et plus précis
tandis qu’il m’embrassait dans le cou.
— Ouvre les yeux, chuchota-t-il.
Mon
visage tourné vers la terrasse, je pus voir mon parrain en train de
siroter une bière, une cigarette entre les doigts. Tandis que son autre
main caressait son sexe par-dessus son short. Il me sourit en me faisant
un clin d’œil.
— Papa, Tonton nous regarde, murmurai-je en gémissant sous la caresse de sa langue.
— Ça a dû l’exciter de te voir jouir autant.
Ses mains et sa bouche caressaient et embrassaient savamment mes seins, me faisant frissonner.
— Tu veux que je lui dise d’arrêter ? demanda-t-il.
— Non, soupirai-je.
Je
ne voulais surtout pas qu’il arrête ses caresses qui me donnaient tant
de plaisir. Mes mains parcouraient son corps et sa peau. Je voulais
profiter de chaque instant si précieux à mon cœur ; le reste n’était que
pacotille. Je passai mes mains si fines dans son jean. Elles entrèrent
en contact avec ses fesses si douces et bombées que j’affectionnais. Je
l’entendis soupirer contre mes seins. Je le pressai encore plus contre
moi. Son bassin ondulait, frottant son sexe plus intensément contre mon
bouton. Le transat à bascule accompagnait nos mouvements, intensifiant
mon excitation. Nos bouches s’effleuraient en gémissant d’envie et de
plaisir. Nos peaux en sueur étaient brûlantes...
— J’ai envie que tu enlèves ton pantalon, dis-je.
Il
me regarda, hésitant ; puis, s’asseyant sur le bord du transat, il me
tourna le dos pour l’enlever. Je me plaçai derrière lui, embrassant sa
nuque et caressant sa poitrine. Je me pressais contre lui pour frotter
mes seins et mes tétons dressés contre sa peau. Je fis descendre ma main
sur son boxer de bain afin de caresser son érection. Je le vis regarder
mon parrain en soupirant, les yeux mi-clos. Celui-ci avait une main
dans son short ; elle s’agitait rapidement sous le vêtement.
J’embrassai mon père
dans le cou en passant mes doigts sous son maillot de bain. Il me
laissa faire en gémissant et écarta largement les jambes. Mon parrain
avait une vue parfaitement dégagée sur ma main qui faisait de longs
va-et-vient sur le sexe vigoureux et dressé sous le tissu. Mon père gémissait au creux de mon oreille. Il agrippa soudainement mes doigts, arrêtant leurs caresses.
— Doucement, ma belle : tu vas me faire jouir, soupira-t-il.
Cet
aveu me fit mouiller abondamment. Je le trouvai si beau, le visage
rougi de plaisir, que je l’embrassai tendrement. Il posa sa main sur ma
joue pour m’embrasser passionnément. J’enlevai doucement la mienne de
son maillot et me dégageai de son dos. Je la posai sur son torse en
effectuant une légère pression pour l’allonger. Je le chevauchai
prudemment, m’asseyant confortablement sur son sexe. Ses yeux
cherchaient les miens, nos bouches toujours liées. Ses mains caressaient
mon dos, me pressant contre sa poitrine. Son bassin ondulait contre mon
entrejambe. Ses jambes fléchies écartaient considérablement les
miennes. Ses va-et-vient frottant intensément sur mon bouton
m’excitaient. Ses mains vinrent empoigner mes hanches pour qu’elles
accompagnent ses mouvements. Je pouvais sentir son sexe caresser
l’entrée de mon vagin. Je gémissais d’envie. Je voulais le sentir
profondément en moi. J’étais prête à me donner entièrement et sans aucun
regret.
Je me relevai en frottant mon intimité toute trempée sur
sa verge. Je le vis admirer le mouvement de mes seins qui ballotaient
au rythme de nos bassins. Je les pris en coupe dans mes mains et
entrepris de les caresser. Je les pressais entre mes doigts en veillant à
laisser mes tétons dressés à l’air. Je les massai en leur faisant faire
des cercles. Mon père,
hypnotisé, ne les quittait pas des yeux. Ses va-et-vient se firent plus
rapides et plus pressants contre mon intimité. Je sentais son sexe
durcir encore sur mon bouton et mon vagin.
Soudain, il me plaqua contre sa poitrine.
— Tu m’excites trop, dit-il d’une voix rauque que je ne lui avais jamais entendue.
Il
embrassa passionnément mes lèvres. Son cœur cognait si fort contre ma
poitrine que j’en avais mal. Ses mains descendirent le long de ma
colonne vertébrale et se saisirent de mon fessier, me faisant gémir. Il
reprit lentement ses va-et-vient. Ses doigts caressèrent l’intérieur de
mes fesses en les écartant légèrement ; je trouvai cela très excitant.
Mon père massa les côtés
de mon vagin. Puis il en caressa l’entrée en faisant de légers
va-et-vient qui accompagnaient ses mouvements du bassin. Je la sentis
s’ouvrir, et un flot de mouille s’en échappa. Nous gémîmes de désir. Un
doigt s’incrusta sous mon maillot de bain.
— Oh ! C’est une très grosse envie que tu as là, ma belle, gémit-il en insérant son doigt dans mon intimité.
Un petit cri s’échappa de mes lèvres tandis qu’il faisait de profond va-et-vient en moi.
— Dis-moi ce que fait ton parrain.
Je me retournai pour le voir. Il était toujours assis à la même place.
— Il a sorti son sexe et se caresse.
— Humm… et il est comment ?
— Je peux pas le voir : il va trop vite.
Son
visage était rouge de plaisir. Il me souriait en se léchant les lèvres
entrouvertes. Je pouvais facilement l’imaginer en train de gémir. Luc
avait une très belle vue sur mes fesses et mon maillot de bain écarté.
— Ça t’excite ?
— Oh ! Oui… gémis-je.
— J’ai envie de t’enlever ton maillot de bain… déclara-t-il.
Sans attendre de réponse, mon père baissait déjà ma culotte et la fit habilement glisser entre mes jambes grâce à ses pieds.
— Oh ! Papa… fis-je, surprise de me retrouver si rapidement déculottée.
Avoir
les fesses à l’air et ainsi exposée au regard de mon parrain me fit
mouiller abondamment. Un long filet de mouille très chaud s’échappa de
mon vagin et coula sur mes cuisses écartées.
— Ouah ! fit mon père en prenant mon minou dans sa main.
Il
inséra de nouveau son doigt dans mon intimité qui l’aspira entièrement,
puis il y fit des va-et-vient rapides et profonds comme j’aimais. Son
bassin ondulait de façon harmonieuse, sollicitant mon bouton. Il inséra
un deuxième doigt. Je sentis mon vagin s’ouvrir plus encore. À ma grande
déception, mon père se
mit à en caresser seulement l’entrée. Mon désir devint plus fort. Mon
bassin accompagnait le sien. Je me cambrai plus pour le sentir plus
profondément en moi.
— J’ai peur de te faire mal si j’enfonce plus mes doigts, déclara-t-il.
— Essaie, gémis-je.
Je les sentis glisser tout seuls et mon vagin s’écarter plus encore sur leur passage.
— C’est juste, mais ça passe, murmura-t-il.
— Oh ! Oui, c’est bon… gémis-je.
Mon vagin était douloureusement dilaté tant mon désir était important.
Mon père
inséra de nouveau ses doigts profondément en moi. Ses va-et-vient
étaient longs et rapides. Je me cambrai pour les recevoir entièrement.
Ses mouvements de bassin étaient tout aussi intenses. Nous gémissions
sans nous quitter des yeux. Je pouvais lire le plaisir et l’excitation
dans son regard. Son sexe était encore plus dur et gonflé contre mon
bouton.
— Il fait quoi, ton parrain ? demanda mon père en soupirant.
— Je vous regarde, répondit celui-ci.
Nous
nous regardâmes, surpris, puis je me retournai vivement. Luc se tenait
nu, à deux mètres de nous, le sexe dans la main. Son corps était mince
et élancé. Ses muscles fins n’étaient toutefois pas aussi bien marqués
que ceux de mon père.
— Il se caresse, déclarai-je.
Je
n’arrivais pas à quitter son membre des yeux, tant sa taille
m’impressionnait. Il était tendu en direction de mes fesses. Je pouvais
voir sur le visage de mon parrain que son plaisir était intense et
l’orgasme très proche.
— J’ai envie qu’il jouisse sur mes fesses, déclarai-je.
Mon père
lui fit signe de s’approcher ; mon parrain obéit. Nous gémissions de
plaisir tous les trois ensemble. Cela m’excita tellement de voir Luc se
masturber en regardant mon intimité avec tant de désir que je jouis sur
les doigts de mon père.
Celui-ci augmenta l’intensité de sa pénétration et la pression de son
bassin contre le mien. Je sentis son sexe gonfler encore entre nos
ventres tandis que son sperme jaillissait par une ouverture que son
gland avait faite sous la bordure de son boxer. La semence brûlante de
mon parrain vint arroser mes fesses et ma raie bien ouverte. Je la
sentis couler sur mon anus et mon vagin que mon père doigtait copieusement. Nos cris se mêlaient tandis que l’orgasme me faisait vibrer, mon bassin ondulant sur son sexe.
Auteure : Feeling
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