CINQUIÈME OPÉRATION
Londres, 31 août 1944
Depuis
 que nous sommes rentrés, les infos sur la libération de telle ou telle 
ville tombent sans cesse : Paris, Nice, Troyes ; Reims, hier. Nous 
avançons vers une libération longue et compliquée, mais nous avançons. 
Elisabeth
 et moi sommes en congés forcés. Ralph est parti en mission avec une 
rouquine que je ne connais pas pour récupérer des toiles d’une certaine 
Charlotte Salomon, déportée et assassinée.
Le débriefing avec l’agent Katarina 271 a été « spécial »… comme l’agent, mais je ne raconterai rien : c’est top secret.
Malgré
 tout ce qu’elle a eu à supporter durant la dernière mission, Elisabeth 
va bien, très bien même ; pour preuve, elle me saute dessus tous les 
soirs et nous faisons l’amour avec passion.
Cela n’a pas échappé à la colonelle Thorp, et elle m’a convoqué dans son bureau ce matin.
— Franck, le débriefing s’est bien passé ?
— Oui, Ma Colonelle.
— Comment trouvez-vous le moral d’Elisabeth ?
— Très bien, Ma Colonelle.
—
 Je vous sens très proches tous les deux ; vous ne pourrez plus partir 
ensemble en mission : vos sentiments réciproques altéreraient vos 
réactions. Vous partez demain avec Simone, direction Arnhem. Au mois de 
septembre nous lançons l’opération Market Garden. Vous allez préparer le
 terrain pour 1ère division aéroportée britannique du général Urquhart 
qui sera larguée au nord-ouest d'Arnhem afin de s'emparer de son pont.
En moi-même je me dis « Simone est une peste insipide ; pas de risque que je m’attache. » et puis « C’est où, Arnhem ? » mais je n’interromps pas mon officier.
Elle ajoute alors :
— Vous faut-il une mise à niveau ou un complément d’entraînement ?
— En géographie, alors ? Ou peut-être « Comment baiser une femme que l’on ne trouve pas attirante ? »
Elle
 sourit, et m’indiquant la porte de son bureau, me signifie la fin de 
l’entretien et l’impertinence de ma question. Dans le couloir je croise 
Simone ; elle me gratifie d’un sourire pincé. Une blonde filiforme, sans
 fesses ni seins, avec un visage fade et sans relief. Une petite bouche 
aux lèvres absentes, de grands yeux bleus qui sont la seule partie de 
son visage qui semble sourire. Sa seule fantaisie est une fleur en tissu
 rose qu’elle fixe dans ses cheveux. Je la trouve sans charme, et 
pourtant lors de notre « préparation » il y a quelques semaines, Ralph 
ne cessait de dire combien son sourire était beau et presque aussi 
attirant que son cul.  Ouais, bof ! 
Je pars donc dès demain pour
 la ville d’Arnhem faire du repérage, compter les forces en présence et 
préparer l’arrivée de nos troupes début septembre. Simone m’a bien sûr 
accompagné, et je dois lui reconnaître un certain professionnalisme.
Nous
 sommes censés être deux formateurs issus de la 719e Infanterie-Division
 de la Fallschirmjäger-Division Erdmann (une division d'entraînement 
parachutiste) et nous venons former les nombreuses recrues présentes 
dans la région qui vont bientôt être envoyées au front. C’est Simone qui
 assure mon briefing pendant le vol vers cette région allemande. En 
fait, elle a un joli sourire, avec de belles dents, bien blanches… mais 
toujours pas de formes dans son soutien-gorge.
Arnhem, Pays-Bas, 1er septembre 1944, 3 h  
Après
 nous avoir déposés nuitamment au milieu de nulle part, notre petit 
appareil s’est envolé, nous laissant tous les deux, seuls dans le noir. 
Nous savons qu’un véhicule nous attend à quelques kilomètres de notre 
point d’atterrissage, et qu’en marchant bien nous devrions y arriver 
vers 7 heures du matin. C’est le moment délicat du début de cette 
mission : nous devons rejoindre ce point de rendez-vous sans nous faire 
attraper par les soldats qui pullulent dans la région ; car comment 
expliquer que deux officiers en tenue se promènent en pleine nuit sur 
une route de campagne ? Compliqué. C’est pourquoi nous cheminons sur le 
bas-côté, prêts à nous jeter dans le fossé ou derrière un muret au 
premier bruit. Nous sommes tous les deux aux aguets.
Cela fait 
maintenant plus d’une heure que nous marchons ainsi en silence quand 
j’entends le bruit typique d’un blindé qui semble arriver à travers les 
champs de pommes de terre, sur notre droite. Sans le moindre éclairage, 
ce véhicule évolue à travers la campagne. Je prends Simone par le bras 
et l’entraîne dans la cour de la ferme sur le côté gauche de la route. 
Nous entrons dans la cour, elle aussi sans éclairage, faute au 
couvre-feu.
Caché derrière le mur, j’essaie d’apercevoir le 
véhicule qui avance dans notre direction : c’est un blindé de la 
Panzerbrigade 107 ; un Panther plus précisément, j’en reconnais le 
blason. Et, pas de chance, cet engin entre dans la cour de ferme où nous
 venons de nous cacher, aussitôt suivi par un kubelwagen (jeep 
allemande) avec quatre soldats à son bord. Je profite de l’obscurité et 
pousse Simone dans la grange où nous courons nous cacher à l’étage, 
au-dessus des vaches.
L’officier part directement à la porte du 
logis et frappe pour annoncer leur arrivée. Le fermier lui ouvre, un peu
 hébété, réveillé en sursaut par cette intrusion. De mon poste, 
j’entends la conversation qui est en fait un monologue du soldat. Il 
explique qu’il positionne un tank dans la ferme, qu’il sera bientôt 
rejoint par une unité de la Flak car on s’attend à un assaut des Alliés 
dans la zone. Il semble que nous arrivons un peu tard : l’info est déjà 
connue, Market Garden n’est plus un grand secret. Nous devons passer 
l’information rapidement ; nous devons aussi faire le compte des forces 
en présence, mais pour l’instant nous sommes coincés dans ce grenier 
sans moyen de fuir ni de communiquer. Nous devons revoir notre plan.
Le
 fermier est retourné se coucher ; les soldats ont installé de quoi 
faire de même dans un autre bâtiment, et il reste deux gardes qui 
tournent autour de leur tank en fumant des cigarettes. Simone me dit 
alors :
— Je suis fatiguée, je vais dormir un peu. Tu veux bien prendre le premier tour de garde ?
Gentleman,
 j’acquiesce et m’installe en position de surveillance alors qu’elle 
s’allonge sur une botte de paille. Comme rien ne bouge, tout en 
surveillant les Allemands, je me surprends à regarder ma compagne de 
mission. Je détaille sa plastique. Sa jupe étroite est remontée à 
mi-cuisses, et je découvre de longues et fines jambes gainées de bas 
couleur chair. Ses hanches me semblent mieux dessinées dans cette 
position, et malgré la quasi-absence de poitrine, je finis par la 
trouver mignonette. Sûr, ce n’est pas la pulpeuse Elisabeth, mais 
finalement Ralph avait raison : elle n’est pas si mal que ça.
Je 
la laisse dormir jusqu'à 6 h 45, heure à laquelle le fermier vient dans 
la grange nourrir ses bêtes ; je ne voudrais pas l’alerter par les 
petits ronflements de la blonde filiforme. Elle ouvre doucement ses yeux
 bleus et, découvrant mon visage près du sien, sourit et pose sa bouche 
sur la mienne. Surpris, je ne réponds pas à son baiser. Elle me regarde,
 étonnée, et me glisse :
— Le matin, je suis amoureuse…
Je
 ne lui réponds pas, et la prenant par la main je l’entraîne derrière la
 pile de bottes de paille afin que le fermier ne nous trouve pas. Elle 
se laisse entraîner, et comme moi s’effondre sur la paille. Sa jupe 
n’est pas redescendue ; au contraire, elle est remontée un peu plus haut
 encore, dévoilant la lisière de ses bas. Simone a vu mon regard sur ses
 cuisses. Elle me regarde par-dessous, et dans un souffle me glisse :
— Cela te plaît ?
J’acquiesce
 simplement de la tête. Elle remonte alors sa jupe un peu plus haut, 
dévoilant maintenant ce qu’il y a dessous : à savoir rien, si ce n’est 
un sexe glabre et luisant d’humidité dans la lumière du jour naissant. 
Je suis encore plus surpris, non seulement par ses gestes, mais aussi 
par ce que je découvre : elle ne porte pas de sous-vêtements et épile sa
 toison pubienne, ce qui est peu courant. Dans mes yeux, elle doit lire 
la stupéfaction car elle ajoute :
— Je suis une vraie blonde, j’ai donc peu de poils ; alors je les retire. Dans ma Calédonie natale, c’est un geste courant.
Calédonie
 ? Cela explique sûrement la fleur dans ses cheveux. Mais le moment 
n’est pas à l’explication et je reprends un air des plus sérieux. 
Cependant Simone, elle, ne semble pas vouloir me suivre dans ce 
comportement. Assise sur le sol paillé, elle replie ses jambes, ouvrant 
ainsi largement ses cuisses et dévoilant complètement son intimité. Et 
sans lâcher mon regard, elle commence à se caresser doucement le sexe.
Troublé,
 je ne peux détacher mes yeux de cette main qui ouvre ce sexe, qui en 
caresse les lèvres puis doucement le clitoris, pour finalement enfoncer 
deux doigts loin dans le vagin. Elle se masturbe de plus en plus vite, 
mordant ses lèvres pour ne pas gémir et me regardant toujours droit dans
 les yeux. Ma queue est dure dans mon pantalon, mais ma raison me dit de
 ne pas bouger. Non seulement pour ne pas être repéré par le fermier, 
mais aussi car l’instant est irréel et que je ne veux pas l’interrompre.
Ses
 allers et retours au plus profond de sa chatte épilée ont vite fait de 
l’amener à la jouissance, et elle se mord les lèvres fortement pour ne 
pas faire de bruit alors qu’elle se crispe sur ses doigts plantés dans 
son sexe et qu’un jet de mouille arrose largement ses cuisses. Elle se 
laisse alors tomber en arrière pour déguster ce moment. Moi aussi 
j’irais bien la déguster, mais du mouvement dans la cour me retient à ma
 place.
En effet, un troisième véhicule vient d’entrer dans la 
cour à grand bruit : c’est un semi-chenillé SdKfz 6/2 équipé du fameux 
Flak 36/37 qui tire des obus explosifs capables d’abattre un bombardier 
de chez nous d’un seul coup. Ma jolie blonde reprend son sérieux et, 
interrompant ses jeux matinaux, redescend sa jupe et vient se 
positionner près de moi.
La situation ne s’améliore pas : c’est 
maintenant une dizaine d’Allemands qui sont installés dans la ferme et 
qui nous privent de toute possibilité de quitter notre cachette. Parmi 
les soldats en présence, je constate la présence de deux femmes et de 
jeunes hommes qui ont tout au plus 16 ans. J’avais entendu dire que le 
Reich recrutait de plus en plus de jeunes, et que des femmes étaient 
embrigadées pour être servants sur ces pièces d’artillerie. Les hommes 
en âge de se battre ayant été envoyés sur le front de l’Est, il ne reste
 pour défendre le pays que les jeunes et les femmes. Cela ne va en rien 
nous aider à poursuivre notre mission, mais je me dis que cela sera 
peut-être plus simple d’échapper à des soldats moins aguerris. Tout ce 
petit monde s’installe à l’autre bout de la cour de la ferme, et nous ne
 parvenons pas à entendre les conversations.
Comment nous sortir 
de ce mauvais pas ? Impossible de tout faire sauter : il est trop tôt 
dans la mission, les bombardements ne commenceront que dans deux jours, 
et cela ne nous aiderait pas à terminer notre job. Je vois alors Simone 
ouvrir son bagage et en sortir un fusil à lunette dont elle assemble les
 pièces en quelques secondes. Je la regarde, un peu étonné.
— De là, je peux les abattre un par un.
— Oui, et ils peuvent tourner le canon vers nous et nous avoir d’un coup unique lui réponds-je en souriant.
— On peu pas rester là au risque de nous faire prendre.
— Pas faux, ma belle ; alors on va bouger.
Je
 lui expose mon idée et l’entraîne vers le fond du bâtiment, là où la 
toiture rejoint le plancher sur lequel nous marchons. En défaisant 
quelques tuiles, nous pouvons passer sur le toit, puis rejoindre le 
chemin ; le bruit causé par le blindé encore en mouvement dans la cour 
devrait couvrir les sons de notre fuite.
Je pousse donc doucement
 quelques tuiles et escalade les chevrons de la toiture de la grange. Je
 marche le long de la gouttière, priant pour qu’aucun autre véhicule ne 
passe sur le chemin, bientôt rejoint par Simone, qui pour réaliser cet 
exercice a retiré ses chaussures à talons qu’elle porte dans la même 
main que son sac à dos. Je me laisse glisser le long du mur et lui fais 
signe de me lancer ses affaires que je réceptionne et entasse près de 
moi. La blonde se laisse glisser à son tour, et je ne peux m’empêcher de
 regarder son postérieur se trémousser pendant la descente le long du 
mur.
Elle récupère son bien, se redonne une apparence de sérieux 
officier de la Division Erdmann et se rechausse. Nous marchons alors 
d’un pas décidé en direction du portail, feignant de découvrir ces 
soldats par hasard en passant devant. Nous saluons ces hommes et ces 
femmes comme il se doit en Allemagne nazie, et j’engage la conversation 
avec un jeune officier.
— Notre voiture est tombée en panne un 
peu plus loin. Nous devons rejoindre un bataillon d'instruction de 
Panzergrenadier pour les former au combat rapproché près d’Arnhem. Vous 
pourriez nous aider, Lieutenant ?
Le jeune lieutenant est devenu 
rouge écarlate quand il a découvert les blasons de mon uniforme, et il 
balbutie quelque chose comme « … Oui… », mais en plus confus. Il me 
propose l’aide du mécanicien du camion à chenilles, qui d’ailleurs est 
une femme. Je l’en remercie et propose que nous nous mettions en route 
rapidement, mais un « vieux » caporal, qui n’a pas lâché Simone des yeux
 depuis son apparition, nous propose gentiment un café. Je n’ai pas le 
temps de répondre que ma blonde d’acolyte accepte, provoquant un large 
sourire de l’homme qui en fait doit avoir tout au plus 35 ans, mais qui 
semble tellement plus âgé au milieu de cette troupe de gamins.
Le
 jeune officier s’empresse de courir dans le logement des fermiers leur 
réclamer la boisson, mais comme le précieux liquide est épuisé, il se 
lance dans la préparation d’une nouvelle cafetière. La mécanicienne, 
elle, vient engager la conversation avec moi afin de connaître les 
symptômes de la panne de notre auto. Je lui invente rapidement une 
panne, que je sais comment provoquer simplement. C’est une jolie fille, 
dans la vingtaine, qui malgré son uniforme de combattant qui en cache 
les atouts, me semble bien faite. J’élude rapidement le problème de 
l’auto et fais semblant de m’intéresser à elle, histoire de noyer un peu
 le poisson.
Le café arrive enfin, et c’est en voulant en offrir une 
tasse à Simone que je me rends compte qu’elle n’est plus à mes côtés, 
tout comme le caporal d’ailleurs. Avec un sourire, ma mécanicienne qui 
se nomme Annelie, me dit alors :
— Le caporal Kurff n’as pas vu 
de femmes depuis au moins deux ans ; il revient de l’Est, et votre 
collègue est fort jolie. Moi, j’ai réussi à lui échapper, mais elle non !
— Je crois que mon adjointe est elle aussi en manque d’affection.
— Comme nous tous, ajoute la jolie brune avec un sourire enjôleur.
Mon
 jeune lieutenant est passé au rubicond en comprenant la teneur de notre
 conversation, et il est parti sans demander son reste rejoindre les 
autres jeunes hommes qui composent son hétéroclite petite unité. Dans ma
 tête, les idées se bousculent. Comment récupérer des infos depuis ce 
petit avant-poste ? Baiser cette brunette serait-il intéressant ? 
Sommes-nous en capacité de les neutraliser ? A-t-elle de beaux nichons ?
 Mes réflexions sont interrompues par Annelie qui, me prenant par la 
main, m’entraîne dans la grange où nous étions cachés, et avec un 
sourire éclatant me dit simplement :
— Viens me baiser, j’en crève d’envie. Y a pas un homme digne de ce nom parmi ces puceaux des Jeunesses Hitlériennes.
L’invitation
 repousse à plus tard mes autres réflexions, disons plus stratégiques, 
et c’est avec une joie simple que je la suis dans la paille. Elle 
s’installe derrière un paillé, ouvrant d’une main sa combinaison de 
mécano et laissant apparaître une paire de seins gigantesques. C’est 
l’été, et elle ne porte rien sous cette tenue vert/gris ; c’est ce que 
je découvre en finissant de lui retirer le vêtement. Sa peau est d’une 
blancheur laiteuse, et le reste de son corps frêle. C’est à se demander 
comment elle fait pour porter de tels nichons.
Peu importe ; pour
 le moment, je plonge mon visage dans ses deux mamelles bien fermes et 
me régale les mains, les yeux et la bouche de ce don du ciel. Je la 
caresse, la dévore et enfouis mon visage entre ses deux magnifiques 
montgolfières. Je n’en oublie pas pour autant la demoiselle et commence à
 lui branler le sexe, deux doigts profondément installé dans sa chatte 
trempée, mon pouce effleurant sa rondelle par instants. Elle n’en 
attendait pas moins et se tortille sous mes doigts. En à peine quelques 
minutes, elle écarquille les yeux, ouvre la bouche en grand, cherchant 
son souffle, et jouit bruyamment. Pour le coup les « puceaux » ont au 
moins le son de nos ébats. Je retire mes doigts gluants de son jus, et 
elle saisit ma main pour en lécher chaque centimètre.
Continuant 
cette caresse, suçant chacun de mes doigts goulûment, elle s’empresse de
 sortir ma queue toujours prisonnière de mon pantalon, un peu à 
l’étroit, et entreprend d’en faire autant de mon membre. Sa bouche est 
douce sur mon gland, et elle se contente de jouer avec l’extrémité de ma
 queue. Mes mains sont revenues caresser son énorme poitrine et, lisant 
dans mes yeux, elle s’agenouille entre mes jambes et installe mon sexe 
entre ses seins pour me prodiguer une caresse trop rare. En penchant la 
tête, elle parvient même à me sucer le gland alors que je vais et je 
viens entre ses globes. La caresse est divine. Elle me demande :
— Les garçons adorent cela, non ?
Je
 lui réponds d’un hochement de tête, mais la brunette en veut un peu 
plus et n’entend pas me faire jouir ainsi entre ses divins tétons. Elle 
me tourne le dos, s’installe à califourchon sur moi et s’empale sans 
préambule sur ma queue. En tendant les bras, je peux malaxer ses seins 
tandis qu’elle commence son va-et-vient sur moi. De ma main droite 
j’attrape donc l’une de ses mamelles que je presse, et de la main gauche
 je viens visiter la raie de son joli petit cul, insérant mon pouce 
brutalement dans sa rondelle. L’effet de cette intrusion est immédiat, 
et ma petite Amazone accélère la cadence de ses transports et se met à 
gémir plus fort encore. Après quelques belles minutes de cette agréable 
cavalcade, nous jouissons tous les deux d’un bel ensemble, la brunette 
s’effondrant en avant pour laisser échapper ma queue qui déverse alors 
les long jets de sperme sur son postérieur et le bas de son dos.
Alors
 que nous récupérons tranquillement de ce premier galop, j’entends des 
ordres criés dans la cour par le jeune lieutenant. Il se passe quelque 
chose ; il faut aller voir. Je me lève et enfile mon pantalon, remonte 
mes bretelles et sors la chemise encore ouverte.
La scène que 
j’aperçois au travers de la fumée me semble irréelle : la fumée provient
 d’une caisse de munitions stockée près du blindé ; il y a au sol huit 
corps de soldats allemands – dont le jeune lieutenant – tous ayant une 
balle dans le corps. Le dernier homme de ce petit groupe semble être 
dans la maison des fermiers, et il appelle ses deux derniers camarades, à
 savoir ma brunette Amazone et le vieux caporal. Il semblerait que ma 
blonde ait fait des siennes...
Je me tourne vers la brune encore 
nue et cherchant ses vêtements dans les bottes de paille. Je me saisis 
de l’arme que je porte au côté et l’en menace. Elle comprend alors que 
je ne suis sûrement pas celui que je prétends être et se jette vers moi 
toutes mamelles dehors. Je l’accueille d’un revers de la main et la 
projette au sol. Je pose mon arme sur sa jolie poitrine, lui faisant 
comprendre que j’ai l’avantage. Elle baisse les yeux et se laisse tomber
 en arrière sur le plancher couvert de paille. J’entends alors ma blonde
 qui m’interpelle depuis la cour : 
— Bon, alors ? T’as bientôt fini ? Moi j’en ai eu huit, et toi tu n’arrives pas à te débarrasser d’une seule ?
Je
 ne réponds pas à cette pique et sors de la grange derrière la brunette 
qui a posé ses mains sur sa tête, résignée et prisonnière.
— Beaux nichons ! siffle alors Simone.
Je ne réponds même pas.
— Que veux-tu en faire, de ta brune à forte poitrine ?
— Pas la moindre idée… Et toi, que s’est-il passé ?
Elle me montre son fusil à lunette et me réponds
—
 Le « vieux » caporal avait les yeux plus gros que la bite, et il a fini
 son affaire en moins de temps qu’il ne faut pour le dire ; et comme il 
n’était pas vraiment en forme, je l’ai éliminé rapidement. Après, en 
regardant dehors, j’ai vu que le groupe était réuni au centre de la cour
 et que je pouvais faire un joli carton. J’en ai raté un seul ! Il est 
avec les fermiers dans la maison.
Je fais mettre la mécanicienne à genoux devant moi et je lance au dernier des artilleurs allemands caché dans la maison :
— Sors, et je te laisse vivant. Si tu n’obéis pas, j’abats immédiatement ta camarade, et ensuite je m’occupe de toi ! 
C’est
 un tout jeune garçon d’à peine 15 ans qui se montre alors à la porte, 
en pleurs, les mains sur la tête et sous la menace du fusil de chasse du
 fermier. Simone le désarme et le fait s’agenouiller près de la brunette
 dont la moue boudeuse aurait tendance à me faire rire. Je lui dis :
— C’est quoi, cette moue ? T’es vivante, toi !
Elle me répond alors :
— Pour une fois que je trouve un beau garçon qui sait me faire l’amour… c’est un traître !
— Un Américain, cocotte, un Américain… précise Simone
Je
 ris de bon cœur. Qu’allons-nous faire de ces deux prisonniers ? Alors 
que je cherche une solution, c’est le fermier qui m’apporte la réponse.
—
 Vous savez, nous ne sommes pas tous nazis, et je crois que c’est la fin
 d’une époque. Si vous ne voulez pas leur faire de mal, je peux les 
garder ici, à la ferme, pendant quelques jours ; je suis sûr qu’ils 
seront d’accord pour aider et quitter leurs uniformes : je suis certain 
qu’ils ne souhaitent pas mourir.
Voilà une solution qui me plaît !
 Nous allons pouvoir reprendre notre mission sur l'identité et la 
localisation des formations blindées allemandes. Nous prenons donc le 
kubelwagen pour continuer notre route vers Arnhem. Nous n’avons pas fait
 deux kilomètres que Simone se tourne vers moi et dit :
— Dis 
donc, dans tout ça, moi j’ai toujours envie de baiser. La p’tite bite du
 Kaporal m’a à peine émoustillée, et ma caresse de ce matin ne m’a pas 
satisfaite. Tu t’arrêterais pas dans un chemin de traverse ?
— Tu es folle ? On est en pleine mission en plein centre du Reich !
Elle ajoute alors en défaisant sa veste :
— Ouais... Bah, mission ou pas, je veux que tu me baises maintenant ; et tu va me faire ce plaisir !
Et
 pour me montrer sa motivation elle se tourne vers moi, et alors que je 
conduis entreprend de me caresser la queue au travers de l’uniforme. Ses
 doigts longs et fins parcourent lentement ma verge à travers le tissu, 
et rapidement elle lui donne la forme attendue. Contente de cette 
première victoire, elle se couche sur mes cuisses et entreprend de 
sortir l’objet convoité de son logement. Alors que je conduis toujours 
en pleine campagne, elle parvient à extirper mon sexe de sa cachette, et
 avec un grand soupir en gobe le gland délicatement.
Je suis un 
peu inquiet. En effet, ce qui me déplaisait le plus chez Simone, c’était
 son sourire, non pas qu’il soit laid, mais il découvre à chaque fois 
une magnifique rangée de dents bien blanches… mais grandes ! Et ce sont 
justement ces dents qui m’inquiètent un peu. Mais rapidement, je suis 
rassuré : la blonde frisée, dont je vois maintenant la chevelure monter 
et descendre entre mes cuisses, sait y faire et elle me suce divinement.
 Allant jusqu'à la base de ma queue, elle avale littéralement toute la 
longueur de l’objet et tortille délicatement sa langue à divers 
endroits, provoquant des vagues de plaisir qui remontent de plus en plus
 distinctement jusqu'à mes bourses. Partie qu’elle n’oublie pas de 
cajoler également de sa main qu’elle a enfouie dans mon pantalon. N’y 
tenant plus, je tourne dans le premier chemin venu et m’arrête sous les 
arbres d’un bosquet. Elle se redresse, et souriant encore plus 
largement, ses yeux bleus pétillant de désir, elle me dit :
— Ah, enfin tu t’arrêtes... Allez, viens t’occuper un peu de moi !
Elle
 ouvre alors sa portière, descend la jupe de son uniforme puis s’assoit 
de nouveau dans la voiture, les jambes grandes ouvertes vers 
l’extérieur. Le pantalon sur les chevilles, je contourne le véhicule 
pour venir lui faire face. Son sexe tout nu me surprend encore, et 
j’avance une main vers cette curiosité.
— C’est doux... lui dis-je.
— Oui, c’est un peu fait dans ce but. Allez, lèche-moi.
Je
 m’accroupis entre les cuisses de la jolie blonde et entreprends de 
goûter ce petit abricot qui me semble juteux à souhait. J’ai à peine 
posé la langue sur ses grandes lèvres qu’elle passe ses deux mains 
derrière ma tête et appuie fort pour coller ma bouche à une partie plus 
érectile de son sexe. Obéissant à la dame, je m’emploie donc à lui 
lécher consciencieusement le bouton, aventurant ma langue régulièrement 
vers l’entrée de son sexe. Mes caresses sont visiblement à son goût car 
elle relâche la pression de ses mains sur mon crâne, me laissant œuvrer à
 ma guise. Rapidement, je la sens au bord de la jouissance ; tous ces 
amuse-bouche de la matinée l’ont rendue plus que réceptive.
— Je veux ta bite bien au fond !
— Vos désirs sont des ordres, Madame.
Je
 me redresse et présente mon sexe à l’entrée de son vagin dégoulinant 
d’un mélange de cyprine et de ma salive, et sans préambule enfile 
l’objet jusqu'à la garde d’un seul coup. Elle lance sa tête en arrière 
et se met à gémir doucement :
— Ah oui, tu as une belle bite, bien dure… Allez, baise-moi fooort !
Comme
 on dit « Ce que femme veut… », pour ne pas faire mentir l’adage je me 
mets à la baiser aussi fort que possible ; mes coups de boutoir la 
clouent au siège de la voiture et elle remonte ses jambes sur mes 
épaules afin que je puisse la pénétrer encore plus loin. Mes cuisses 
claquent contre ses fesses ; je la tiens aux hanches et je la pilonne 
pendant un long moment, et lorsqu’elle se laisse aller à la jouissance 
dans un long cri, je me permets de me lâcher également au plus profond 
de son sexe. À l’instant même où elle prend son pied, j’observe son 
visage et constate avec un certain plaisir que ses traits ne sont pas 
déformés par l’effort, ou le plaisir : au contraire, elle semble 
heureuse et sourit de toute sa jolie bouche.
— Alors, tu vois ? Me baiser n’était pas si horrible que ça ! dit-elle en se dégageant.
Au passage, elle me gratifie d’un doux baiser sur la joue. Voulant répondre à sa pique, je dis :
— Je n’ai jamais dit que c’était horrible !
— Tu as dit exactement « Comment baiser une femme que l’on ne trouve pas attirante ? » à notre colonelle avant de partir !
Je reste sans voix : c’est vrai que j’ai dit ça ; mais ça, c’était avant !
Arnhem, Pays-Bas, 16 septembre 1944
Quinze
 jours maintenant que nous nous sommes fondus dans la masse des troupes 
allemandes stationnées dans la région. Nous avons fait un travail de 
fourmis pour renvoyer à notre haut commandement un maximum de détails 
sur les troupes présentes et les mouvements. Nos informations sont 
parvenues à Bletchey Park (base stratégique de Montgomery) ; nous avons 
annoncé  le mouvement de la 9e Panzerdivision SS Hohenstaufen de Harzer 
et de la 10e Panzerdivision SS Frundsberg de Harmel, des divisions 
blindées stationnées à Nimègue et Arnhem, mais les Anglais refusent de 
modifier leurs plans et nous ordonnent même de rentrer, le jour J étant 
prévu pour demain.
Simone a fait un travail remarquable, 
n’hésitant pas à donner de son corps pour obtenir des infos précises. De
 mon côté, j’ai usé une secrétaire du centre de formation à force de la 
limer pour avoir les noms des officiers présents sur ce futur front. 
Elle m’a demandé de venir à nouveau ce soir sous motif de m’informer 
d’un événement d’ampleur prévu dans quatre jours. 
Dans quatre 
jours nous aurons attaqué, et je ne suis pas très motivé pour cette 
soirée qui va immanquablement se terminer par une baise forcée. Forcée, 
oui, c’est bien le terme car la secrétaire en question, en plus d’être 
insatiable, n’est pas jolie du tout, mais le devoir patriotique m’impose
 de ne pas être trop regardant. Elle a juste un joli petit cul, qu’elle 
se refuse d’ailleurs à m’offrir. Elle refuse aussi de me sucer, de me 
laisser éjaculer sur son corps ou son visage, et ne veut pas que la 
lumière soit allumée lorsque je couche avec elle.
Elle est d’un 
triste, cette Teutonne... Bref, elle se pense amoureuse et parle 
d’avenir, son seul but étant de se faire épouser rapidement ; et pour 
une fois qu’elle a trouvé un mâle qui veut bien d’elle, elle ne le lâche
 plus. Un peu comme sa dernière chance. 
Moi, il ne me manque 
qu’une seule info, et c’est elle qui l’a. Ce soir je lui offre la plus 
mémorable partie de jambes en l’air qu’elle a vécue ; je lui fais la 
totale, et je suis sûr d’obtenir cette foutue information. 
Vers 18 h 30, je croise enfin ma complice blonde et lui expose mon projet. Elle me dit alors :
— Elle est coincée, à ce que tu m’en as dit ; tu veux que je t’aide à la mettre dans de bonnes dispositions ? 
— M’aider ? T’as une idée ?
Je vois alors son immense sourire s’afficher sur sa bouche tandis que ses yeux bleu clair s’illuminent :
— Oui, j’ai une idée. Je vais de ce pas la voir, et attends-toi au meilleur !
— OK, ma belle ! Au fait, le rendez-vous est à minuit pour rentrer.
D’un signe de tête elle me signifie son accord et ajoute :
—
 Elle doit être persuadée que tu va faire ta vie avec elle ; je me 
charge de la « conseiller » pour te garder. Voyons jusqu’où je peux 
l’amener. 
— Tu es diabolique, Simone !
Elle fait demi-tour et
 je regarde son joli petit postérieur se diriger tout droit vers le 
bureau d’Elga, ma secrétaire coincée au cul si divinement bombé. Un 
instant mon esprit s’égare, et je me prends à rêver de ces deux femmes 
nues à mes pieds, Simone me léchant la bite juste à l’entrée du cul 
d’Elga. Hum... Ouais, pas gagné ! Je n’aurai pas le temps de l’amener à 
de telles extrémités, elle est si  classique... Dommage pour moi.  
Arnhem, Pays-Bas, 16 septembre 1944, 20 h  
Je
 suis devant la porte d’Elga. Les volets sont fermés, couvre-feu oblige.
 Une petite maison ouvrière, sans fioritures, en briques rouges, comme 
partout dans la région.
Je frappe à la porte. Une voix à l’intérieur me dit :
— Entre, et rejoins-moi dans la chambre.
Un
 peu surpris par tant d’audace, je soupçonne immédiatement ma jolie 
Simone d’avoir atteint son objectif. J’écoute donc la consigne et me 
débarrasse seulement de ma veste dans l’entrée. Les pièces sont sombres 
hormis la chambre, au bout du couloir d’où filtre la lumière vacillante 
d’une bougie. J’avance donc vers cette lueur et pénètre dans la pièce.
Sur
 le lit est étendue Elga ; elle a retiré ses vêtements et n’as plus sur 
elle que son porte-jarretelles et ses bas. Ses seins sont libres et 
pointent fièrement. Elle baisse les yeux, et malgré la pénombre je la 
vois rougir en disant :
— Fais de moi ce qu’il te plaît !
Qu’est
 ce que Simone a bien pu promettre à cette petite dinde pour qu’elle 
s’offre ainsi ? Je n’en sais rien, mais je compte bien profiter de la 
demoiselle qui me semble être dans de bien bonnes dispositions.
—
 J’ai besoin de savoir si tu m’aimes, Elga, si tu es prête à tout pour 
me garder. Car tu le sais, pour m’attacher à ta vie, il me faut être 
heureux. Es-tu prête à satisfaire l’homme qui sera le tien si tu sais 
l’honorer ?
— Oui…
La voix est timide, le regard fuyant ; elle
 n’ose pas lever les yeux vers moi. Elle s’est mise à genoux sur le lit,
 bien droite, le regard bas, les mains dans le dos. Je la détaille : le 
visage n’est pas des plus jolis, sans être laid non plus. Le corps est 
un peu pataud, les hanches déjà grasses et les seins petits avec une 
large aréole.
Elle avance sur le dessus de lit, toujours bien 
dressée, le regard vers mes chaussures. Je n’ai pas bougé. Elle descend 
du lit, s’agenouille sur le sol de sa chambre et entreprend de défaire 
les boutons de mon pantalon. Ma queue est déjà au garde-à-vous dans mon 
caleçon de coton, et elle l’extirpe maladroitement. Je me doutais un peu
 de son manque d’expérience. Elle enserre ma hampe entre ses petits 
doigts et commence à me branler doucement. Je la laisse faire, ne bouge 
pas, attendant de voir ce que Simone l’a persuadée de faire.
Simone
 a dû être convaincante car Elga avance maintenant un petit bout de 
langue vers mon gland et entreprend de le lécher par petits coups. Je 
soupire car la caresse, bien que maladroite, est agréable. Elle lève les
 yeux vers moi, le regard interrogateur. Je lui souris et acquiesce pour
 l’encourager.
— Finalement, c’est plutôt bon... dit-elle en gobant enfin mon gland.
Encore
 une fois je ne fais aucun commentaire et la laisse débuter une lente 
succion de ma queue. Elle s’applique et entreprend même de faire des 
allers et retours, avalant un maximum de centimètres. Encore surpris par
 un tel élan d’érotisme, je pose ma main sur sa tête pour lui imposer un
 rythme qui me semble plus approprié. Elle se crispe un peu mais se plie
 à la cadence que je lui impose. Sa fellation est finalement plutôt une 
réussite, et je pense qu’avec un peu plus d’expérience elle devrait 
exceller dans la pratique. 
Heureuse de sa réussite, elle 
prolonge cette caresse, espérant je pense m’amener à la jouissance ; 
mais là n’est pas mon intention, et je l’interromps en lui demandant de 
se lever. À regret elle me lâche le manche pour venir m’embrasser à 
pleine bouche. Je réponds à son baiser puis la retourne pour la faire 
mettre à quatre pattes sur le lit. J’ai face à moi ses si jolies fesses.
 Je les saisis à pleines mains, les caresse puis les écarte, dévoilant 
toute son intimité visiblement déjà humide.
Pour m’en assurer, je
 plonge mon visage directement dans sa petite chatte trempée et lui 
prodigue les mêmes caresses que celles qu’elle m’a offertes 
précédemment. J’explore son sexe du bout de ma langue, m’attardant 
tantôt sur son clitoris, tantôt entre ses lèvres ouvertes, m’aventurant 
parfois sur sa rondelle poivrée. Même cette dernière caresse ne semble 
pas la bloquer ; Simone est vraiment un démon de luxure !
Fort de
 mes avancées sur sa sexualité, j’introduis maintenant deux doigts dans 
son antre brûlant, la branlant rapidement, mon pouce bien en appui sur 
son clito gonflé. Ma langue, elle, explore maintenant pleinement son 
anus bien serré. Elle retient avec peine ses gémissements de plaisir. 
Même si au début de ma dégustation anale j’ai bien senti qu’elle se 
raidissait, je sens maintenant qu’elle s’est rendue et qu’elle me laisse
 lui faire plaisir. Accélérant mon mouvement de main, je la sens partir 
d’un coup et je reçois sur le menton et toute ma main une giclée de son 
plaisir. Sa liqueur dégouline partout et elle s’effondre dans un long 
râle. 
Bien décidé à la mener encore plus loin, je n’ai pas 
ralenti mes explorations et elle prend conscience que je ne vais pas en 
rester là. Elle se redresse et se remet à geindre sous mes doigts, mon 
autre main étant venue rejoindre ma langue et s’enfonçant maintenant 
d’une phalange dans son cul. Elle mouille de plus en plus, jouissant 
pour la seconde fois, plus rapidement qu’à la première et m’inondant 
encore une fois de son jus. Je ne cesse de la doigter, et elle cherche à
 échapper à ma main en se tortillant. J’abandonne donc un instant son 
vagin détrempé et hypersensible pour me consacrer à sa rondelle. Je 
masse maintenant sa corolle avec deux doigts trempés par sa liqueur, 
assouplissant l’entrée de ce cul que je vais fendre sous peu. Le 
pantalon toujours sur les chevilles, je la fais s’allonger sur le lit, 
les pieds touchant le sol et m’offrant ainsi son divin derrière. Je lui 
dis alors :
— Écarte tes fesses de tes deux mains : je vais te faire découvrir le plaisir de la sodomie.
Elle
 ne fait rien d’autre qu’enfoncer sa tête dans le couvre-lit, sûrement 
honteuse de ressentir du plaisir à cette caresse perverse.
— Écarte tes fesses, et prends du plaisir.
En m’avançant, je vois son visage qui est maintenant cramoisi. Elle obtempère enfin, me glissant juste :
— Je ne l’ai jamais fait ; fais doucement, s’il te plaît !
Je
 ne réponds pas, saisis ses mains et les pose sur son postérieur. Elle 
suit enfin les instructions, et avant d’enfoncer ma queue au fond de son
 anus, je m’assure du bout des doigts de la souplesse de cette entrée. 
Ne trouvant nulle résistance, ils avancent sans aucune difficulté et me 
laissent en sortant une rondelle bien entrouverte. J’appuie alors mon 
gland et m’enfonce de quelques centimètres. Elle se met à souffler 
rapidement, cherchant sûrement à contrôler la douleur de cette première 
intromission. Le gland est passé ; je la sens se détendre un peu. Afin 
de l’aider, je glisse ma main entre ses cuisses et entreprends un 
branlage en règle de son clitoris turgescent.
Ses soufflements se
 transforment en halètements alors que je m’enfonce millimètre après 
millimètre dans son cul. Arrivé au fond, je m’arrête de bouger, branlant
 toujours son bouton de chair. Elle m’encourage alors à bouger et se met
 elle-même en mouvement, accompagnant mes allers-retours dans son 
fondement. Petit à petit, Elga prend un certain plaisir à se faire 
ramoner le cul, et c’est elle qui donne le rythme maintenant. 
Après
 de longue minutes de sodomie profonde, elle se met à crier, lance son 
derrière de plus en plus violement et se libère enfin dans une 
jouissance démesurée en m’aspergeant de sa liqueur. Elle m’asperge 
littéralement de sa cyprine et se contorsionne tout en tremblant de tout
 son corps. C’est la première fois que je la vois ainsi ; c’est 
d’ailleurs la première fois que je vois une femme jouir ainsi en me 
douchant autant de son jus. J’en ai partout, depuis les genoux jusqu’au 
milieu du torse. Mon pantalon, à mes pieds, en est aspergé ; quant à ma 
chemise, à peine entrouverte sur mon torse, elle est tachée jusqu’au 
col.
N’en pouvant plus et m’étant fait éjecter de son anus par la
 violence de sa jouissance, je l’attrape par l’épaule, la force à se 
mettre à genoux à mes pieds, et je lui fourre ma queue toute grasse dans
 la bouche. Elle a à peine le temps de me pomper une ou deux fois que je
 me libère violemment dans sa bouche et sur son visage. Privilège que 
jusque-là elle m’avait refusé.
Je la prends dans mes bras et la 
dépose sur le lit, m’allongeant auprès d’elle après cette violente 
partie de baise. Elle me glisse alors :
— Quand tu reviendras du front français, nous nous marierons, n’est-ce pas ?
Je
 me retourne pour ne pas éclater de rire devant son air triste et 
tellement grave. Voilà donc ce que lui a raconté Simone : je pars pour 
le front, en France, combattre les Américains qui envahissent le si 
paisible Reich, et je ne suis pas sûr de revenir. C’est pour cela 
qu’elle m’a offert cette dernière nuit, genre nuit du condamné. 
Reprenant mon sérieux, je me tourne vers elle avec la mine déconfite de 
circonstance et lui demande :
— Je pars dès ce soir, ma belle Elga... Que va-t-il t’arriver ?
— Je rejoins la 9ème de reconnaissance SS dans quatre jours et nous avançons vers Nimègue.
— Mais ce bataillon est encore en Allemagne ?
— Non : il avance vers Nimègue. C’est plat, les Pays Bas : ils y seront vite !
Je
 comprends alors que j’ai l’information que je souhaitais : la 9ème SS 
sera sous peu dans la région, et le petit cul d’Elga va en rejoindre les
 rangs. Des femmes et des gamins : voilà ce qui compose les troupes 
allemandes en cette fin de guerre.
Après lui avoir pris le cul, le 
minimum c’est que je lui suggère de ne pas aller se faire tuer dans les 
combats qui vont avoir lieu.
— Elga, ne va pas là-bas : les 
informations que j’ai sur l’attaque alliée sont inquiétantes. Je ne suis
 pas rassuré si tu pars ; rentre en Allemagne, je te rejoindrai dès mon 
retour de France.
— Oh mon amour, ne dis pas cela ! Rassure-toi : 
c’est un régiment de reconnaissance, pas d’infanterie. Et puis je me 
bats pour notre Reich, notre Führer ! 
Reconnaissance… Certes, il
 est intitulé comme cela mais ce sont des SS, et l’essentiel de ses 
effectifs sont connus pour être des reliquats de régiments de 
parachutistes et commandos des SS. Les plus durs et les plus brutaux que
 comptent les rangs nazis.
Je n’insiste pas, car je sais qu’Elga est une fervente du régime d’Adolphe et que je ne pourrai rien y changer. 
Et
 puis j’ai mes petites victoires du jour : non seulement j’ai l’info 
manquante sur les mouvements des troupes allemandes, mais en plus je 
viens d’enculer une nazie convaincue ! Reste plus qu’à rentrer au 
bercail, parce que demain tout ce petit monde va se faire méchamment 
bousculer par nos troupes.
Je quitte donc la petite maison 
néerlandaise d’Elga pour rejoindre Simone au lieu prévu pour notre 
départ. À ma grande surprise, je suis accueilli par des cheminots 
néerlandais qui me conduisent rapidement à la gare proche pour me cacher
 dans un train.
Simone est déjà dans le wagon et m’attend.
— Alors, la petite Elga a parlé ?
— Oui, Simone, tu as bien manœuvré : elle m’a donné les infos qui nous manquaient.  
Avec un grand sourire découvrant toute ses belles dents, elle ajoute :
— Et tu l’as baisée ?
— Oh oui ! Elle m’a offert son cul et je l’ai pris.
La
 résistance néerlandaise est en ordre de bataille ; ils seront demain 
aux côtés de nos soldats pour botter le cul des nazis. Ils vont nous 
faire quitter le pays en passant par le port d’Anvers cette nuit. Voilà 
une affaire rondement menée. Simone et moi nous préparons donc à 
rentrer. Pour cela nous enfilons des tenues civiles plus appropriées et 
attendons le départ.
Le wagon est vide : la grève commencée il y a
 quelques heures par les cheminots des Pays-Bas est plutôt bien suivie ;
 elle a pour but de ralentir l’approvisionnement allemand, et ainsi 
aider nos troupes. Simone me regarde depuis de longues minutes ; je sens
 son regard sur moi mais je reste ostensiblement tourné vers la porte de
 notre véhicule. Je sens alors sa main sur ma cuisse. Elle me susurre à 
l’oreille :
— On a du temps à tuer ; si on jouait un peu tous les trois ?
Surpris, je me tourne vers elle :
— Trois ? 
— Oui, Ralph voudra sûrement jouer lui aussi.
Dans
 la pénombre, je découvre qu’effectivement mon ami Ralph est assis dans 
un coin du wagon ; je ne l’avais pas vu tant il fait sombre, et lui 
rigole de m’avoir si bien piégé.
Auteur : Oshmonek
Lisez la suite très bientôt 
 
 
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