dimanche 13 avril 2014

Détective privé à Boston

18 HEURES

Le taxi se gare à côté de moi, je fais un clin d’œil au chauffeur, une jolie brune dans la trentaine qui me sourit en retour. En se penchant, elle m’expose sa poitrine volumineuse par l’ouverture de son chemisier un peu trop déboutonné, car je vois les globes jumeaux largement dévoilés, presque jusqu’aux aréoles.

Moi, c’est Jérémie, 25 ans, dans les 1,90 sous la toise pour 92 kg de muscles, brun, yeux bleus ravageurs, fossette au menton, et sur les joues quand je souris. Irrésistible. Je me suis installé au centre de la banquette arrière pour pouvoir voir mon joli chauffeur. Dix minutes après, je savais qu’elle était mariée, mais insatisfaite, et dix minutes après, Angéla se garait dans un coin d’un parking souterrain, arrêtait le compteur, et se tournait vers moi avec un regard langoureux.

— Alors, beau brun, comment tu me trouves ?
— Sors, les mains sur le capot et tu vas le savoir, ma petite salope.

Je l’ai prise sur le capot, sa jupe retroussée et sa culotte baissée, je l’ai défoncée de plus en plus fort, à la fin elle criait tellement je la démontais, puis je l’ai sodomisée sans lui laisser le temps de réfléchir, lui explosant la rondelle avec mon mandrin de 23 centimètres ; elle a commencé à gueuler, mais je l’ai tellement ramonée qu’à la fin elle ruisselait de partout, alors je lui ai rempli le cul de foutre bien chaud. Après, je l’ai fait mettre à genoux pour qu’elle me nettoie le braquemart, puis nous sommes repartis.

Elle s’est assise en biais pour conduire tellement son cul était en feu, mais elle m’a donné une carte de visite pour que je la rappelle quand je voudrais, et elle ne m’a pas fait payer la course.


19 HEURES

Je suis entré dans l’immeuble de bureaux qui s’était pratiquement vidé. La réceptionniste était une jeune Black pourvue d’une forte poitrine. Paméla. Je l’ai questionnée sur les occupants de l’immeuble en matant sans vergogne sa poitrine ; elle a ri, et j’ai cru la voir rougir, ce qui n’était pas évident, mais elle avait une bouche à tailler des pipes et j’ai commencé à bander comme un malade. Je sentais bien que je ne la laissais pas indifférente. Derrière elle, il y avait une porte donnant sur une petite salle avec plein d’écrans et d’enregistreurs de DVD.

Elle m’a ouvert et a enlevé tous ses vêtements : tee-shirt blanc sans soutif, jupette noire et string noir. Epilée, beau cul et gros seins, c’est elle qui m’a taillé une pipe, au lieu de la taxi-girl. Je l’ai forcée à faire une gorge profonde, elle se bavait dessus mais s’appliquait. Je lui ai rempli la bouche de sperme qu’elle a avalé difficilement tellement je l’avais arrosée.

— Bien, ma pute, tourne-toi et écarte les fesses, je vais t’enculer jusqu’à l’os, tu vas en redemander.
— Doucement, vous êtes vachement gros. Attention ! Ah !

J’avais craché sur sa rondelle avant de forcer, et ma grosse bite était rentrée comme dans du beurre. Paméla devait avoir l’habitude ; alors j’y suis allé franco, j’ai pris ses hanches avant de la tringler à grands coups de reins, lui faisant apprécier toute ma longueur, mon ventre claquait sur ses fesses, elle criait et me demandait d’y aller doucement. Mais j’ai accéléré, au contraire, et elle a beuglé quand je me suis vidé, lui mettant tellement de sperme qu’après il lui dégoulinait sur les cuisses ; sans rien dire, les yeux brillants, elle s’est agenouillée pour lécher ma queue avant de la ranger soigneusement dans mon calbute. J’ai pris son adresse avant de partir sur un clin d’œil.


20 HEURES

J’ai pris l’ascenseur jusqu’au 12ème, et je suis entré sans frapper dans les bureaux de la SA ACME (fournitures) ; une secrétaire blonde a levé les yeux sur moi, surprise, mais rassurée quand elle a vu mon sourire. Je lui ai montré mon badge de flic (faux) et me suis penché sur son bureau après avoir admiré ses jambes fines. Accoudé, j’ai plongé dans ses innocents yeux bleus avant de lui faire un large sourire, le n° 3 avec râtelier 32 dents blanches.

— Police, brigade financière. Ann ? Joli prénom ! Et joli brin de fille ; tu as quel âge ?
— 19 ans, Monsieur.
— Bon, lève-toi et écarte les bras, il faut que je te fouille pour savoir si tu as un micro.
— Ah bon ? Je n’en ai pas… Bon, d’accord…

Je l’ai palpée sous toutes les coutures, finissant la main dans son slip avec deux doigts dans sa chatte bien baveuse. Elle couinait et respirait fort, alors je l’ai couchée sur son bureau, les seins écrasés sur le plateau de verre, j’ai écarté sa culotte et me suis planté d’un coup bien profond, lui arrachant un cri de surprise. Sa chatte était bouillante, un petit marécage où ma bite se sentait bien, serrée et au chaud. Je l’ai ramonée un long moment avant de changer de trou malgré ses plaintes. Son petit cul était étroit, mais avec mon traitement il ne l’est pas resté longtemps. Elle a commencé à jouir en essayant de retenir ses cris, et à la fin je l’ai retournée pour pouvoir lui inonder la gueule de rasades de crème bien épaisse qui lui ont recouvert le visage. Elle a léché ma queue avec entrain, puis m’a noté son adresse sur un Post-it.


21 HEURES

Je lui ai fait un baiser sur la joue et lui ai fait signe de partir et de rentrer chez elle. Son patron serait surpris, me disais-je. Mais quand j’ai ouvert la porte du DG, il n’était pas là. Une femme en noir photographiait des documents sortis d’un coffre mural ouvert. Jessica, ma collègue du BDSM (Bureau de Détectives Spécialisé en Matrimonial) ; une fouille-braguette, en somme. À ce propos, elle est super-canon, fine et athlétique, 35 ans mais super bien foutue ; elle me regarda en rigolant.

— Alors, Jérémie, à la bourre comme d’hab ; trop occupé à sauter les secrétaires, je pense.
— Tu sais qu’il n’y a que toi qui comptes, ma pute adorée.
— Eh bien prouve-le, vantard. Oh, bon sang, l’engin que tu te trimbales, c’est du lourd ! J’en avais entendu parler, mais pas à ce point !

Jessica s’est déshabillée en un tournemain ; petits seins, joli cul, elle s’est précipitée pour avaler ma bite bien raide, avalant tout jusqu’aux couilles et me regardant de ses yeux de biche. J’ai pris ses oreilles pour lui baiser la bouche à grand coups de queue, elle en redemandait, la garce ! Je l’ai jetée à genoux sur un fauteuil et je lui ai défoncé l’œillet d’une poussée puissante, ma bite s’est plantée à fond. J’ai plongé trois doigts dans sa chatte, elle mouillait comme une vache, alors j’ai changé de trou. Plusieurs fois, je suis passé du cul à la chatte, lui arrachant des cris énamourés avant de lui remplir la matrice de plusieurs grosses rasades de sperme. Il a fallu que je lui claque les fesses pour qu’elle daigne lécher ma queue et la nettoyer comme il faut.

Puis je lui ai pris ses vêtements avant de me casser sous un torrent de supplications et d’injures. Je lui ai laissé sa veste et son sac à main, je ne suis pas une brute. Pour son adresse, je la connais.


22 HEURES

Le taxi m’a déposé devant la maison du DG ; le chauffeur est un Pakistanais de 70 ans au moins, j’ai payé en petites coupures ; j’ai sonné, une jolie Portoricaine a ouvert, l’air inquiet quand je lui ai montré mon badge. Je suis entré dans le salon richement meublé mais désert. Où était ce foutu patron ? J’ai décidé de tirer les vers du nez de la petite chicana. Je me suis assis et lui ai fait signe de s’asseoir sur mes genoux ; elle a obéi en rechignant mais n’a pas osé regimber quand j’ai glissé la main sous sa courte jupe noire.

Elle a obligeamment écarté les cuisses, me laissant caresser sa fente libre de toute culotte. Cinq minutes plus tard, je la culbutais sur la table basse en bois vernis ; ma grosse queue s’est plantée sans difficulté dans sa chatte accueillante. Encore une habituée des amours ancillaires ! Je l’ai pistonnée vigoureusement jusqu’à ce qu’elle appelle sa mère, puis j’ai changé de trou, lui défonçant le cul, qu’elle avait bien accueillant ; elle a crié un peu pour la forme, mais après elle a écarté ses fesses et s’est cambrée pour que j’aille bien profond. Alors je lui ai démonté le cul centimètre par centimètre avec mon gourdin, sûr qu’elle pourrait plus s’asseoir les deux jours qui viennent.

— Bon, ça suffit, je vais me finir dans ta bouche, à genoux, gorda puta, et fais-moi briller la queue !
Si, señor...

Elle s’est agenouillée pour me pomper le dard, je le lui ai fait avaler jusqu’aux couilles avant de lui remplir la gueule de sperme, il y en avait trop pour elle, ça lui ressortait par les trous de nez, elle toussait quand je l’ai laissée pour monter à l’étage en lui faisant signe de la fermer.


23 HEURES

J’ai commencé à ouvrir les portes au hasard, la troisième était une chambre, et une petite blonde dormait, les seins à l’air, la fille du DG, Ingrid, 17 ans ; mon sang n’a fait qu’un tour, je me suis déshabillé rapido et j’ai tiré doucement le drap : elle était nue. J’ai commencé à lui bouffer la chatte ; une vraie blonde, elle avait une fine fourrure qui ne cachait rien de ses lèvres roses ; elle s’est éveillée, a poussé un cri, mais je lui ai fait un clin d’œil en continuant à lécher. Dès qu’elle a été bien mouillée, je lui ai montré ma matraque raide, elle a ouvert de grands yeux.

— Allez doucement, elle est énorme, vous allez me déchirer.
— T’inquiète, la chaudasse, je vais te faire décoller si vite que tu appelleras ta mère.

Et je l’ai baisée façon western, par tous les trous ; elle taillait des super pipes, son cul était accueillant, je l’ai défoncée en changeant, de cul à chatte jusqu’à ce qu’elle grimpe aux rideaux, je me suis vidé deux fois, lui remplissant le cul de sperme la première fois puis lui faisant un ravalement de façade tel qu’elle pouvait plus ouvrir les yeux. Puis j’ai pris une douche express ; quand j’ai quitté la chambre, Ingrid léchait ses doigts couverts du sperme qu’elle récoltait sur son visage. Elle m’a fait un sourire comblé, je lui ai fait mon célèbre mouvement de sourcils piqué à Magnum.


MINUIT

Deux portes plus loin, une chambre où m’attendait une fille nue, roulée comme une gitane, BCBG (beau cul belle gueule) ; Anita, aussi brune que sa sœur est blonde. Peau mate satinée jusqu’au pubis épilé.

— C’est toi qui as fait tout ce raffut chez Ingrid ? Elle a l’air d’avoir aimé. Il te reste un peu de jus ?
— T’en fais pas, pour une pouffiasse roulée comme toi, j’ai toujours ce qu’il faut !
— Bon sang ! Tu es monté comme un Dieu ! Viens, mon beau mec !

Cette souris-là, elle en redemandait, et je l’ai démontée grave ; la chatte que j’ai distendue tellement qu’elle aura plus besoin de péridurale pour accoucher, le cul ensuite, puis la gorge en dernier pour la faire taire ; je me suis fini dans son cul qui s’était même pas refermé, tellement j’y étais allé fort. Anita jouissait sans arrêt, la salope. Elle demandait que j’y aille plus fort. Moi, vous me connaissez, je sais pas résister aux femmes. Je lui en ai mis une deuxième couche si épaisse sur la gueule qu’elle avait du mal à parler après. Je l’ai quand même interrogée, conscience professionnelle oblige.

— Tu sais pas où est ton père ? J’arrive pas à mettre la main dessus.
— Il doit être chez sa pouf’, je vais te donner son adresse, je la lui ai piquée. Si tu reviens me voir.
— Une chaude du cul comme toi, je vais pas t’oublier.


1 HEURE

Je suis arrivé à l’adresse indiquée, une petite maison de plain-pied à 10 minutes de route. Il y avait encore de la lumière, j’ai sonné. Une gamine est venue ouvrir. Rectificatif, une petite asiatique, toute mimi en kimono de soie. Je lui ai montré mon badge.

— M. Lioubov est ici ?
— Non, je suis seule.

Je suis entré en force et elle a refermé derrière moi. J’ai fouillé la maison, vite fait : personne. J’ai toisé la jolie chinetoque en m’asseyant sur le lit.

— Comment tu t’appelles ?
— Kim, Monsieur.
— Approche, viens ici, ma jaune amie.

Je l’ai prise dans mes bras, j’ai glissé une main sur ses petites fesses de moineau. Elle n’a pas réagi ; si elle n’avait pas sa carte verte, ça se comprenait. Elle était toute menue, sans poitrine, les hanches à peine marquées, aucun poil sur le corps, j’avais deux doigts plongés dans sa cramouille chaude et humide. Elle réagissait vite, déboutonnant ma chemise sans dire un mot. Je lui ai roulé une pelle baveuse et une minute après je plongeai ma grosse queue dans sa chatte trempée et bien serrée. Je la lui ai élargie sévère avant de m’attaquer à son cul. Elle a couiné dans sa langue ; j’ai bien compris qu’elle la sentait passer.

Pas à dire, elle était accueillante ; vite fait, elle n’a plus protesté, mais s’est offerte comme une pute en chaleur à ma vaillante lance, j’ai pu l’embrocher encore plus profond, et elle en redemandait. J’étais si excité par ses cris de joie aigus que je lui ai rempli le cul de semence, ça débordait de partout quand je suis ressorti. Elle a tenu à me nettoyer la bite avec sa langue ; la délicatesse orientale, il y a que ça.


2 HEURES

Écœuré, je suis rentré chez moi. Foutue journée ! Juliet dormait, je me suis déshabillé, j’ai pris une bonne douche et me suis collé contre elle, caressant ses hanches et ses seins pointus. Elle a frémi et s’est tournée vers moi avec un regard ensommeillé. Jolie comme un cœur ; 24 ans, blonde aux yeux verts, elle travaillait comme réductrice de têtes dans un cabinet médical ; une chaudasse, toujours prête à se faire fourrer.

— T’es rentré, mon loup… Tu as trouvé ton type ?
— M’en parle pas, la galère ! Je me suis cassé le cul à le chercher ; rien, évaporé. C’est crevant, c’est un boulot où il faut payer de sa personne.
— Oui, et tu l’aimes, ce métier, je sais que tu te donnes à fond…
— Allez, taille-moi une bonne pipe, ça me détendra. Après, je m’occuperai de tes fesses, ma belle, j’ai les couilles pleines, tu vas prendre cher…

Je l’ai baisée par tous les trous, couchés, debout, elle jouissait sans arrêt, je lui ai rempli la matrice en rasades tellement puissantes qu’elle a failli s’évanouir, puis je l’ai enculée ; elle a l’habitude avec moi et elle aime ça, la salope ! Je lui ai fait une démo de marteau-piqueur qui l’a fait grimper aux rideaux puis elle a eu droit à une bonne éjac faciale genre masque de beauté bien épais. Après, je suis allé pisser et je lui ai rapporté une lingette pour son visage. Moi, vous me connaissez, je suis la délicatesse et la courtoisie même.


Auteur : Matt Démon

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire