jeudi 29 mai 2014

Mise en scène

— Non, mais arrête ! Laisse mes seins tranquilles, me plaigné-je.
— Allez, bébé, ça fait si longtemps…

Je fais semblant de repousser ses mains. Malheureusement pour moi, il n’insiste pas. Dommage, cela est si agréable.
J’aime jouer à la fille farouche. Je meurs d’impatience de sentir ses mains parcourir mon corps, mais je ne veux pas le laisser me gagner si facilement. J’aime qu’un homme me prenne, m’impose son désir. J’aime le sentir s’emparer de moi. Bizarrement aujourd’hui, malgré son absence de deux mois, Ben ne me harcèle pas plus.
Pourtant je sens bien qu’il en a envie lui aussi.

Deux mois que nous n’avons rien fait. Il doit être tout aussi en manque que moi.
Je me suis faite désirable pour lui ce soir ; et par « désirable », j’entends que je me suis habillée légèrement, histoire de l’émoustiller un peu plus. Une courte jupe dévoile mes longues jambes fuselées tandis qu’un fin débardeur offre une magnifique vue sur ma poitrine avantageuse. J’ai omis les sous-vêtements. Je me suis également épilée, légèrement maquillée et ai laissé ma longue chevelure brune détachée comme je sais que Ben aime.

Nous sommes tous les deux installés sur notre canapé.
Après ses deux mois de stage loin d’ici, je n’en peux plus d’attendre son retour. J’ai envie de baiser ! Surtout que j’ai la tête posée sur ses cuisses et que je sens un sexe raidi sous sa couche de vêtements. Oh chéri, pourquoi ne m’ordonnes-tu pas de te sucer ?

J’avais pensé que dès son retour, il m’aurait sauté dessus pour me baiser. J’attendais cela avec impatience. Mais non ; à la place, il a l’air de vouloir prendre son temps. Que c’est frustrant ! Cherche-t-il à ce que je fasse le premier pas ?

— Chérie, tu ne voulais pas aller prendre une douche ? me rappelle-t-il.
— Si, c’est vrai. Tu viens ?
— Non, j’ai quelques trucs à faire sur l’ordi.

Hein ? Il ne veut même pas d’une douche coquine ! Mais à quoi joue-t-il ? Tant pis pour lui.
Je me rends donc dans notre salle de bain, malheureusement seule. J’enlève mes habits et les dépose délicatement. J’admire rapidement mon reflet devant le miroir ; je suis fière de ce que je peux observer : cela ne fait pas de doute que je suis bandante. J’entre finalement dans la douche et ouvre l’eau.

Les premières gouttes m’atteignent et parcourent mes délicieuses courbes. J’aime sentir l’eau ruisseler sur mon corps. Ce n’est pas aussi agréable que des caresses masculines, mais c’est déjà pas mal. Je me laisse aller à mes songes et passe une main sur mon ventre que je commence à caresser doucement. Une douce chaleur, prélude de futur plaisir adorable, m’envahit d’autant plus. Comment mon chéri peut-il me faire attendre après deux mois sans sexe ? Je n’en peux plus. Je suis en feu, et ce n’est pas la douche qui va réussir à calmer mes ardeurs. J’ai eu la décence de ne pas le tromper ; il pourrait au moins avoir l’obligeance de me baiser.

Et pourtant, je n’étais pas loin de le faire cocu. Son ami Marc m’a invitée la semaine dernière en boîte. Il faut dire que je l’ai un peu allumé, tout comme j’ai allumé l’ami qui l’accompagnait et que je ne connaissais pas. Je me suis déhanchée comme jamais, ai dansé lascivement et me suis même frottée à eux. Ils en ont profité pour me palper. J’étais si excitée ! Mais j’ai finalement retrouvé mes esprits avant de commettre un faux pas et ai mis fin au jeu. Mes sentiments pour Ben sont bien plus importants.

Tout de même, ces souvenirs m’échauffent et, bien malgré moi, mes mains se mettent à caresser mes seins puis à me frotter le clitoris. Je suis toute mouillée, et ce n’est pas dû qu’à l’eau de la douche !
Je me retrouve peu de temps après les doigts dans la chatte avec les souvenirs de cette soirée plein la tête. Mon dieu ! Mais que fais-je ? Je suis en train de me masturber en m’imaginant des mains autres que celle de mon chéri me caresser, encore une fois. Je devrais avoir honte de moi.

Quoi qu’il en soit, je suis tellement en manque que l’action de mes doigts me procure rapidement un orgasme. Je finis de me savonner, me rince, sors de la douche, me sèche et remets mes habits, toujours sans aucun sous-vêtement. Je me dirige vers le salon et remarque que la lumière est éteinte. J’appuie sur l’interrupteur mais la pièce reste figée dans l’obscurité. J’appelle Ben pour lui demander ce qu’il se passe, mais il ne me répond pas.

D’un seul coup, je sens une présence dans mon dos. Je n’ai pas le temps de réagir qu’elle m’agrippe et me plaque une main sur la bouche.

— En voilà une belle prise… me chuchote une voix à l’oreille.

Mon corps est pris de tremblements nerveux et mon cœur s’accélère.

— Viens, avance ! m’ordonne cette voix masculine. Et ne hurle pas, ou tu pourrais le regretter.

Tandis qu’il me pousse vers le canapé en me maintenant les poignets dans le dos d’une main ferme, son autre main profite de la situation pour venir me palper les fesses.
Je tente de me débattre pour échapper à son emprise mais l’homme me serre bien trop fort. Il finit par me jeter sur le canapé. C’est alors que la lumière fait son retour dans la pièce et je découvre mon agresseur. Il est grand, bien trop costaud pour moi, et cagoulé, me cachant ainsi son identité.
Voilà que débarquent deux autres types, eux aussi cagoulés.

— Regarde sur quoi j’ai mis la main, chef !
— Hum, quel joli morceau ! Les gars, je sens que je vais en profiter un peu, et je crois que je vais avoir besoin de vous. Vous allez me la maintenir pendant que je fais découvrir à cette chienne ce qu’est un vrai homme.

J’ai peine à croire ce qui est en train de m’arriver. C’est tellement inattendu. Ben a décidé de mettre en scène l’un de mes fantasmes les plus inavouables.
Je lui avais raconté une fois que j’avais le fantasme du viol, et je lui avais décrit un scénario dans lequel je le voyais dans le rôle de chef d’un petit groupe de cambrioleurs qui me prendrait de force devant ses complices. Même si je l’espérais au fond de moi, jamais je n’avais pensé qu’il mettrait vraiment en place ce scénario. Ben est vraiment un amour !
Mon corps tremble encore plus. L’excitation n’a jamais été aussi grande.

Ben, cagoulé, s’approche de moi tandis que ses complices, chacun à mes côtés, me maintiennent. Il commence à me caresser doucement les seins. Je tente de me débattre, de jouer mon rôle de fille violée, mais les types sont bien trop forts pour moi.
Qui Ben a-t-il bien pu convaincre de s’embarquer dans cette folle histoire ? À bien y réfléchir, il me semble que la voix rauque du premier type correspond à celle de Marc. Et puis ce type a l’air de faire la même carrure.

Mon dieu, mais que cette situation est excitante ! Heureusement que tout cela est faux ; j’ai beau fantasmer sur le viol, je ne crois pas que j’aimerais me retrouver dans une situation réelle.
Ben me pince les tétons et m’enserre les seins. Je me tortille comme pour échapper à mes agresseurs. Il commence aussi à me caresser les cuisses que je serre au maximum. Je prends mon rôle très à cœur. Mon chéri aussi prend son rôle au sérieux. Peut-être même un peu trop. Il tente d’imiter le rire sadique qu’aurait un malfrat dans ce genre de situation. Il est tellement peu convaincant que je manque de m’étouffer en me retenant de rire. Quoi qu’il en soit, j’en perds ma concentration et Ben en profite pour glisser sa main jusqu’à ma chatte. J’imagine le fier sourire qu’il doit arborer sous sa cagoule en la découvrant nue et humide.

Tandis que Ben continue de me tripoter, Marc me lâche et recule dans le fond de la pièce. Je ne vois pas ce qu’il fait, trop occupée à me défendre contre les assauts de mon chéri. Brusquement je suis surprise de voir ce dernier reculer. Marc l’a agrippé et le tire en arrière. Le troisième complice dont j’ignore encore l’identité se jette à son tour sur Ben pour le maîtriser.

— Mais qu’est-ce que vous faites ? hurle ce dernier.
— On a décidé de changer les plans, explique Marc. C’est nous qui allons nous occuper d’elle, et toi tu vas nous regarder faire.

Je regarde la suite des événements, incrédule. Ben se défend mais les deux autres le maintiennent fermement. Il est rapidement ligoté à une chaise, puis bâillonné. Mais qu’est-ce que cela veut dire ? Que vient-il de se passer au juste ? Etait-ce prévu ? Normalement non, je n’en n’avais jamais parlé dans le scénario initial ; mais rien n’empêche Ben d’avoir voulu me réserver une plus grande surprise. A-t-il réussi à lire entre les lignes de mon scénario ? Si j’y faisais intervenir des complices, c’est que je m’imaginais qu’ils finiraient eux aussi par me baiser, même si je n’ai jamais osé lui avouer.

— À nous trois ! me lance Marc tandis que lui et son complice s’avancent vers moi sous l’œil de Ben.

Mince, qu’est-ce que je fais ? Je continue à jouer le jeu ou pas ? Je tente une fuite mais Marc, plus rapide, se jette sur moi et me pousse sur le canapé. Je ne sais pas ce que je dois faire. Je n’y comprends rien. Est-ce que Ben a donné son accord pour cela ? Rien ne me l’indique. Ce qui est sûr, c’est que je suis toujours aussi excitée et que les deux complices de Ben semblent déterminés. À bien y réfléchir, que Ben ait donné son aval sur ce rebondissement ou non, je n’ai rien d’autre à faire que de continuer à jouer mon rôle en me défendant.

Je me débats, tente de gifler, de griffer, de taper mais je ne peux lutter contre deux hommes. Je fais tout pour que d’un point de vue extérieur on ait vraiment l’impression que l’on s’apprête à me violer. L’un des types m’attrape les poignets et me les bloque dans le dos. On me plaque sur le canapé, on m’empêche de bouger. Des mains commencent à me maltraiter les seins ; d’autres me claquent les fesses. Mon corps réagit sous ce traitement. Mes seins pointent et mon sexe dégouline.
Une main remonte le bas de mon débardeur au-dessus de mes seins, les découvrant ainsi à la vue des deux hommes. Marc retire sa cagoule et plonge sa bouche pour venir me lécher et me mordiller les tétons. Je pousse un gémissement que j’arrive à faire passer pour un cri de protestation. Pendant ce temps-là, la main de l’autre type se glisse sous ma jupe.

— Oh, putain ! La salope ne porte pas non plus de culotte...

Et lui pose ses lèvres pour venir me brouter le minou. Sa langue glisse sur mes lèvres intimes pour venir laper mon jus. Le plaisir grimpe grâce à l’action de ces deux bouches. Plus les minutes passent et plus j’oublie que je suis censée me débattre. J’ai même de plus en plus de peine à retenir mes gémissements. J’ai honte de me montrer ainsi devant mon chéri. D’autant plus que je doute de plus en plus de son accord sur cette partie du scénario. Il est en train de remuer sur sa chaise et, malgré son bâillon, on devine ses cris. Peut-être continue-t-il de jouer le jeu et que tout ça fait partie de son plan ? Quoi qu’il en soit, il est trop tard pour faire machine arrière. Il n’a jamais été question de ne pas me faire baiser ce soir. Que Ben participe ou non m’importe de moins en moins.

Marc se relève et libère son sexe qu’il place devant mon visage. Je tourne la tête, me débats, proteste, mais Marc me choppe la tête et la tourne vers son membre. Son gland violacé de désir fait pression sur mes lèvres. Mon propre désir me fait céder assez rapidement et le long sexe noueux de mon bourreau s’engouffre dans ma bouche. Il est accueilli par une langue gourmande.

— Allez suce, salope, si tu tiens à la vie, me crache-t-il.

Oh oui, je vais te sucer autant que tu veux, et de la façon que tu veux. Mes lèvres enserrent sa bite, ma langue se régale de son gland et je pompe. Marc exprime sa satisfaction. Il faut dire que je suis une experte en la matière. Mais il semble vouloir reprendre l’initiative ; une de ses mains se pose derrière ma tête pour la maintenir. C’est alors qu’il commence à donner plusieurs coups de boutoir au fond de ma bouche pendant que son autre main me maltraite les seins.

Le spectacle semble inspirer son compagnon qui finit lui aussi par faire jaillir son sexe hors de son pantalon pour le positionner à l’entrée de mon vagin. C’est un plaisir de sentir cette bite me perforer la chatte. Si je n’avais pas une bite en bouche, j’aurais sûrement hurlé ma joie. Depuis le temps que j’attendais de me faire remplir comme une salope… J’essaie encore de temps en temps de me défendre, mais c’est peine perdue. Je suis prise entre deux types qui me baisent, l’un la bouche, l’autre la chatte, sans ménagement. Dieu, comme j’aime être leur chose ! J’ai l’impression de n’être pour eux qu’un objet, un vide-couilles. J’aime la sensation que cela me procure.

L’un me défonce la chatte, me la déchire. J’ai l’impression qu’il s’enfonce jusqu’à la garde, qu’il atteint le fond de mon vagin en me pilonnant violemment. Ma chatte suinte de mouille. L’autre me baise la bouche avec tout autant d’ardeur, à m’en faire mal la mâchoire. Il s’enfonce dans ma gorge au point de déclencher par moment des hoquets. J’ai même de la peine à respirer. Ma bouche dégouline de bave.

Et tout ça sous l’œil de Ben qui semble encore espérer pouvoir se libérer de ses liens. J’ignore toujours si je lui dois ce retournement de situation, mais au fond de moi j’ai décidé qu’il n’avait rien à voir avec ça. Je ne sais pas si c’est vrai, mais je choisis cette réalité car je trouve cela encore plus excitant. Je suis en train de me faire prendre par deux types, et mon copain assiste impuissant à la scène. J’ai toujours honte, mais je dois dire que j’adore avoir cédé à d’autres types. Tant pis pour les conséquences futures ; tout ce qui m’importe vraiment en ce moment, c’est de satisfaire au mieux ces deux virilités.

— On échange ? lance Marc à son complice.
— OK !

J’ai le regret de me sentir vide tandis que les deux hommes changent de place, me laissant le temps de reprendre mon souffle.

— Dans le cul… me retrouvé-je à quémander à Marc. Encule-moi !
— Quelle bonne idée ! lance-t-il avec joie.

Cette fois c’est bon, je n’en peux plus de jouer. Je veux me faire défoncer et j’exprime mon désir en toute honnêteté. Je reconnais ainsi prendre plaisir à me faire prendre devant mon copain.
Les garçons me retournent pour me mettre sur le ventre. Le type dont j’ignore toujours l’identité s’assied devant moi et ma bouche plonge sur sa bite. Les doigts de Marc parcourent mes lèvres intimes pour récolter de la cyprine qu’il étale sur ma rondelle, puis il tente d’en enfoncer un.

— Non, pas besoin de me préparer, protesté-je. Prends-moi comme ça de force. Défonce-moi le cul, fais-moi mal.

Tandis que ma bouche retrouve la bite qu’elle avait brièvement abandonnée, je sens le gland de Marc faire pression sur ma rondelle. Un grand coup de reins et sa bite s’enfonce de quelques centimètres. J’ai failli lâcher un hurlement de douleur. Après plusieurs autres coups de reins qui semblent me déchirer à chaque fois, Marc finit par s’enfoncer entièrement dans mon cul. La douleur est toujours bien présente, mais elle laisse place de plus en plus à un doux plaisir au fur et à mesure que Marc me ramone le derrière.

L’autre type me baise à son tour la bouche et je me laisse volontairement faire. Mon dieu, que c’est bon ! Je m’offre finalement à ces types devant les yeux de mon copain qui, je l’espère, n’était pas consentant. Je ne pense qu’à son regard peiné posé sur moi tandis que je prends mon plaisir avec ses potes. Je sais que si c’est vraiment le cas – si vraiment Ben n’avait pas l’intention de me donner à ses potes – je regretterais ce que je suis en train de faire, mais je n’en ai cure pour le moment. L’excitation de le tromper est bien plus forte.

Marc continue de me défoncer le cul. La douleur épice le plaisir ressenti. Le mélange est détonnant. Je sens que je vais avoir mal au cul demain, mais je m’en fiche. Tout ceci est extrêmement bon. Je me régale ! J’adore me faire prendre ainsi. La pression est à son comble. Je me sens venir de plus en plus. J’atteins finalement un orgasme dévastateur. Ma bouche est obligée d’abandonner brièvement la bite de l’inconnu pour lâcher un râle de contentement. Je n’en peux plus, mais les garçons n’ont pas fini. Bien que fatiguée par cet orgasme, je suis ingrate. Je me remets donc au boulot pour les faire jouir. Je tends encore le cul vers Marc et reprends la bite de son collègue en bouche. Je la lèche, la suçote et la pompe. Je mets tout mon talent au service de cette virilité.

— Putain, sa bouche est trop bonne… Je crois que je vais bientôt jouir ! crie le type dont je ne parviens pas à mettre un nom dessus, bien que la voix me dise quelque chose.
— Moi, aussi, ajoute Marc. Son cul est bien serré, à cette putain !
— Je lui offrirais bien une douche de sperme, à cette salope ; qu’est-ce que tu en penses ?
— Bonne idée !

Ils abandonnent ainsi tous les deux mes trous et me font m’agenouiller par terre. Ils se positionnent debout, la bite devant mon visage et se branlent frénétiquement. Il ne faut pas longtemps avant de sentir la première giclée de sperme chaud m’atteindre le visage. C’est l’inconnu qui a joui le premier. Son éjaculation semble plutôt abondante. Il m’en met partout sur le visage, et ça coule aussi sur mes seins. Marc vient peu après et se montre tout aussi généreux.
Ils m’ordonnent ensuite de nettoyer leur bite du sperme qui y reste, ce à quoi je m’exécute d’un coup de langue habile.

Finalement, ils se rhabillent tandis que je me colle au canapé. Marc déclare qu’il me laisse le soin de détacher Ben. Il sort de l’appartement accompagné de son complice en me laissant là, comblée par cette folle soirée de sexe. Ben ne dit plus rien sur sa chaise. Il se contente de m’observer. Dans un dernier geste de provocation, je passe mon doigt sur ma joue afin de récupérer un peu de sperme que j’avale en arborant un grand sourire.

Auteur : Nathan Kari

5 commentaires:

  1. Un texte d'un érotisme débridé, très bien écrit, parfaitement imagé, j'en redemande !

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  2. Merci pour ce commentaire. Cela fait plaisir de savoir que ce que l'on écrit plait.

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  3. Un pur régal !

    Merci !

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  4. J'ai bien aimé le récit mais disons que j'attendais une meilleure chute...

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    1. Merci de votre message.
      J'ai l'idée d'une série de petits concours, la réécriture des fins de nos textes pourrait effectivement être l'un d'entre eux !

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