CHAPITRE 7 (THOMAS) : LE PROJET DE SARAH
Ah oui, je jouis !!!
J’éjacule une nouvelle fois dans la bouche de marraine. Cette dernière n’en perd pas une goutte. Une fois l’affaire terminée, elle se recouche à mes côtés et nous nous enlaçons.
Cela fait deux mois maintenant que les nouvelles recrues sont désormais des nymphes officielles du club. Une soirée a été organisée peu après pour fêter cela. Deux autres ont été organisées plus tard. Les trois se sont aussi terminées en orgie. C’était vraiment le pied !
— Fillot ! J’ai un service à te demander.
— J’écoute, lui réponds-je, intrigué.
— Je suis en train d’organiser une nouvelle soirée initiation car deux filles de ta promo ont manifesté leur envie de rejoindre le club. Le problème, c’est que deux filles, ce n’est pas suffisant pour une soirée initiation. Il m’en faudrait une troisième. J’aimerais donc que tu ailles parler à ton amie Louise et que tu la convainques de rejoindre le club
— Quoi ? Louise ? fais-je, surpris. Alors là, il y a vraiment peu de chance qu’elle accepte. Ce n’est pas son genre.
— Crois-moi, fillot, si je te demande cela c’est qu’il y a des chances qu’elle accepte.
— Et pourquoi Louise, d’abord ? Je suis sûr qu’il y a d’autres filles qui seraient plus aptes à rejoindre le club.
— Non, il faut que ce soit Louise. Nos favoris de troisième année ont manifestés leur désir de voir Louise rejoindre le club. Ils sont plusieurs à l’avoir draguée sans succès.
— Tiens, il me semblait que le club n’obéissait pas aux mecs et faisait ce qu’il voulait.
— Et c’est le cas, fillot. Les troisième année m’ont juste soumis une requête ; rien ne m’oblige à accepter. J’ai examiné cette requête puis j’ai décidé de l’accepter et de faire ce qui était en mon pouvoir pour intégrer Louise.
— Dans ce cas, moi aussi je te fais une requête : laisse Louise en-dehors de tout ça.
— Ça suffit, fait-elle, légèrement énervée. J’ai déjà pris ma décision. Louise doit nous rejoindre et tu vas nous aider à la faire venir.
— Et pourquoi moi, d’abord ? Tu ne peux pas dire à Aliénor de faire ça ?
— Aliénor s’en est déjà occupée. J’ai tenté moi aussi ma chance ; sans résultat, mais nous avons eu une longue discussion. Je suis sûr que toi, tu réussiras à la convaincre. Reste à savoir si tu vas le faire.
— Bon, d’accord ; je peux toujours essayer mais je ne promets rien.
Ah oui, je jouis !!!
J’éjacule une nouvelle fois dans la bouche de marraine. Cette dernière n’en perd pas une goutte. Une fois l’affaire terminée, elle se recouche à mes côtés et nous nous enlaçons.
Cela fait deux mois maintenant que les nouvelles recrues sont désormais des nymphes officielles du club. Une soirée a été organisée peu après pour fêter cela. Deux autres ont été organisées plus tard. Les trois se sont aussi terminées en orgie. C’était vraiment le pied !
— Fillot ! J’ai un service à te demander.
— J’écoute, lui réponds-je, intrigué.
— Je suis en train d’organiser une nouvelle soirée initiation car deux filles de ta promo ont manifesté leur envie de rejoindre le club. Le problème, c’est que deux filles, ce n’est pas suffisant pour une soirée initiation. Il m’en faudrait une troisième. J’aimerais donc que tu ailles parler à ton amie Louise et que tu la convainques de rejoindre le club
— Quoi ? Louise ? fais-je, surpris. Alors là, il y a vraiment peu de chance qu’elle accepte. Ce n’est pas son genre.
— Crois-moi, fillot, si je te demande cela c’est qu’il y a des chances qu’elle accepte.
— Et pourquoi Louise, d’abord ? Je suis sûr qu’il y a d’autres filles qui seraient plus aptes à rejoindre le club.
— Non, il faut que ce soit Louise. Nos favoris de troisième année ont manifestés leur désir de voir Louise rejoindre le club. Ils sont plusieurs à l’avoir draguée sans succès.
— Tiens, il me semblait que le club n’obéissait pas aux mecs et faisait ce qu’il voulait.
— Et c’est le cas, fillot. Les troisième année m’ont juste soumis une requête ; rien ne m’oblige à accepter. J’ai examiné cette requête puis j’ai décidé de l’accepter et de faire ce qui était en mon pouvoir pour intégrer Louise.
— Dans ce cas, moi aussi je te fais une requête : laisse Louise en-dehors de tout ça.
— Ça suffit, fait-elle, légèrement énervée. J’ai déjà pris ma décision. Louise doit nous rejoindre et tu vas nous aider à la faire venir.
— Et pourquoi moi, d’abord ? Tu ne peux pas dire à Aliénor de faire ça ?
— Aliénor s’en est déjà occupée. J’ai tenté moi aussi ma chance ; sans résultat, mais nous avons eu une longue discussion. Je suis sûr que toi, tu réussiras à la convaincre. Reste à savoir si tu vas le faire.
— Bon, d’accord ; je peux toujours essayer mais je ne promets rien.
Louise ?
Pourquoi Louise ? Parce que cinq types de troisième année ont fait une
« requête » ? C’est louche, quand même. Mais bon, je ne peux pas me
permettre de ne pas rendre ce service à marraine, après tout ce qu’elle a
fait pour moi. Mais comment demander à une de ses meilleures amies
d’aller se faire baiser par un tas de gars ?
— Merci, fillot. Il faut que tu fasses ça demain : l’initiation est pour ce vendredi.
J’entame
donc la journée suivante avec une boule au ventre. Louise s’étonne de
mon silence et cherche à tout prix à savoir ce que j’ai. Je cherche
toute la matinée comment aborder le sujet, mais rien ne me vient en
tête. Finalement, je décide de me jeter à l’eau lors de la pause de
midi. Nous nous sommes isolés des autres pour discuter tranquillement.
Le moment ne pourrait pas être mieux choisi.
— Euh… Dis-moi, Louise, balbutié-je. Il paraît que t’es maintenant au courant pour le club…
—
Oui, il paraît bien. Je me demandais quand tu allais te décider à m’en
parler. Ça doit faire plus de deux mois que t’es au courant de cette
histoire, c’est ça ?
— Euh, oui, c’est ça…
— Bon. Alors, qu’est-ce tu as à me dire ? demande-t-elle devant ma réticence à continuer sur cette voie.
— Eh ben, dis-je d’une voix hésitante, je me disais que peut-être ça te dirait de le rejoindre.
— Tu veux que je le rejoigne ? fait-elle, pas du tout choquée mais intriguée.
—
Euh, non, pas moi ! me défends-je. Mais je me disais que peut-être que
toi tu en avais envie, et que si c’était le cas il ne faudrait pas
hésiter.
— Écoute, Thomas, je n’sais pas trop.
— Tu fais comme tu veux ! Il ne faut pas te sentir obligée.
L’arrivée
de David et Sylvain met fin à cette conversation qui me mettait
vraiment mal à l’aise. Ce n’est pas plus mal. Au moins, je pourrai dire à
marraine que j’ai essayé. Nous partons donc sur d’autres sujets de
conversation, puis rejoignons notre prochain cours à la fin de la pause.
L’après-midi se passe tranquillement ; je n’aborde plus le sujet, mais
je remarque que Louise a l’air soucieux. J’espère qu’elle ne me prend
pas pour un pervers.
En fin de journée, nous nous séparons et je pars chez marraine.
J’ai la surprise de la trouver très joviale. Après m’avoir fait entrer, elle m’embrasse passionnément.
— Merci, fillot ; t’es le meilleur ! me fait-elle.
— Ah bon ? Pourquoi ?
— Pour avoir convaincu Louise de rejoindre le club.
— Quoi ? Elle a accepté ? m’exclamé-je, dubitatif.
— Bien évidemment ; tu as su la convaincre. Elle m’a envoyé un SMS en début d’après-midi pour dire qu’elle était d’accord.
Bah
ça, pour une nouvelle, c’en est une ! Pourtant je n’ai pas fait
grand-chose pour la convaincre. Comment se fait-il qu’elle ait
finalement accepté, et ce quelques minutes seulement après notre
discussion ? J’ai du mal à m’imaginer Louise en nymphe.
Mais
marraine m’empêche de poursuivre mes interrogations. Elle me pousse sur
son canapé et commence à défaire son chemisier avec un sourire coquin.
Je sens que je vais avoir le droit à une petite récompense…
***
Seconde
soirée initiation de l’année. Nous sommes encore une fois installés
dans le cocotier, exactement comme la dernière fois. Sauf qu’il y a
moins de mecs : en me comptant, il y en a seize en tout. Étrange… Il est
prévu cinq garçons par recrue, mais comme il n’y a que trois recrues ce
coup-ci, cela veut dire qu’il y a un mec en trop.
Marraine fait son apparition et recommence le même discours que la dernière fois à propos de Samantha Angevin, la fondatrice.
Arrive
le moment d’accueillir les nouvelles recrues, exactement dans la même
tenue que leurs prédécesseurs : c’est-à-dire complètement nues et
chaussées de talons aiguille. La première est Anita Calais, une petite
rousse très mignonne. La seconde est Sandrine Gimenez, une brune au
teint hâlé originaire d'Espagne. Enfin vient le tour de Louise de faire
son apparition. À son arrivée, les favoris de troisième année redoublent
d’efforts pour lui faire bon accueil ; Aliénor participe aussi avec
enthousiasme au raffut. Pour ma part, je ne me sens pas vraiment
d’humeur. C’est étrange de voir Louise nue devant toutes ses personnes.
Malgré moi, mes yeux s’attardent sur ses attributs de femme. Elle n’est
pas mal du tout, en fait !
Marraine leur indique ensuite de faire le
service et leur fournit à chacune un chariot, exactement comme la
dernière fois. L’heure vient à la distribution des objets. Camille me
tend ce coup-ci un boomerang. Je tends une main dubitative et le
récupère.
— Ouais… C’est moi qui ai eu le gant ! s’exclame Aliénor, encore une fois assise à ma droite.
Sur
ma gauche est installée Miss Punk, qui a obtenu un crayon à papier.
Elle semble tout excitée de revivre une initiation, mais de l’autre
côté. Marie, à sa gauche, a obtenu un nouveau plumeau pour chats.
La
première à venir nous servir est Anita. Marie et Miss Punk lui
demandent si elle n’est pas trop nerveuse. C’est vrai qu’elles sont
toutes les trois amies. Pas besoin de se demander qui l’a convaincue de
rejoindre le club... Marie lui chatouille les seins avec le plumeau, ce
qui lui fait pointer les tétons. Peu de temps après, c’est Aliénor qui
lui tâte les seins grâce à sa main recouverte du gant. Ils ont l’air
bien ferme ; hum, ça donne envie ! La voir si proche et si disponible
commence à m’exciter.
Je tends le boomerang et lui frotte la vulve.
Par cette opération, un peu de cyprine est récoltée. J’apporte le
boomerang à portée de bouche et goûte son nectar. Anita rougit de me
voir faire.
Nous la libérons finalement et dégustons les verres qu’elle nous a servis.
Depuis
les deux derniers mois, on s’entend plutôt bien avec Marie et Miss
Punk, si bien qu’on discute assez souvent. D’ailleurs, les autres aussi
se sont mis à surnommer Anzhelina « Miss Punk ».
La discussion
démarre donc tout naturellement et Marie raconte comment Miss Punk et
elle ont appris à Anita l’existence du club des nymphes et comment elles
l’ont convaincue de le rejoindre.
Je repère du coin de l’œil Louise
pour voir comment elle s’en sort. Visiblement, elle est en train de
servir Élodie et ses favoris. Cette dernière prend un malin plaisir à
claquer le martinet qu’elle a obtenu sur les fesses de Louise. Si au
début elle se contente d’y aller doucement, la force de ses coups
augmente progressivement et finit par faire grimacer Louise.
Heureusement, Sarah passe derrière et fait comprendre à ma sœur d’y
aller doucement.
Miss Punk semble être surexcitée. Elle se dit
impatiente d’atteindre la dernière partie de la soirée. Du coup, on
s’embrasse et je lui tâte ses jolis seins. La vie est si simple avec les
nymphes ! Aliénor est aussi en train d’embrasser un mec à sa droite.
Marie, en bout de canapé, se plaint qu’elle n’a personne pour s’occuper
d’elle. Elle finit par s’asseoir sur les genoux de Miss Punk et me roule
à présent des pelles. Anzhelina passe une main sous sa jupe, et
visiblement commence à la masturber.
— Tiens, on n’a encore jamais baisé toi et moi, me fait Marie.
— Effectivement.
— On se rattrape tout à l’heure ?
— Avec plaisir.
Arrive
Sandrine qui vient nous remplir nos verres. Miss Punk s’amuse à lui
enfoncer le crayon dans le sexe tandis que Marie passe encore le plumeau
sur sa poitrine. C’est au moment où Miss Punk et Marie commencent à
jouer l’une avec l’autre que Louise se ramène pour nous servir à boire.
— Alors, comment tu te sens pour le moment ? lui demande Aliénor.
— Ça peut aller, marraine, lui répond-elle.
— Et ma sœur ne t’a pas trop fait mal tout à l’heure ? l’interrogé-je.
— Si, un peu mais ça va, me répond-elle sans oser me regarder.
Tandis
qu’elle est en train de me préparer un cocktail, la main gantée de sa
marraine se pose sur sa chatte. Elle finit par lui enfoncer un doigt et
lui fouiller le sexe. Moi, je n’ose rien faire et me contente d’observer
la scène. C’est étrange de voir Aliénor masturber ainsi sa fillote. Ça
fait un drôle d’effet. Louise fait tout son possible pour taire ses
gémissements, mais des filets de cyprine s’écoulent de sa chatte et
viennent ainsi trahir son excitation.
Plusieurs minutes plus tard,
marraine annonce qu’il est temps de passer à la première épreuve. Elle
appelle Camille, Élodie et Aliénor afin qu’elles accompagnent les
nouvelles recrues dans leur salle.
— J’ai décidé d’instaurer une
nouvelle règle ce soir, poursuit marraine. Interdiction de commencer
l’orgie avant que tout le monde ne soit revenu.
Elle appelle ensuite les trois premiers gars. Ma sœur, Camille et Aliénor une fois réapparues les guident jusqu’aux filles.
Sarah
m’appelle alors à mon tour et me demande de la suivre. Je la suis sans
savoir à quoi m’attendre ce coup-ci. Elle m’amène jusqu’à une salle de
classe où nous rentrons tous deux. Il n’y a personne. Il se trouve juste
un ordinateur portable posé sur une table devant deux chaises.
— Vas-y, assieds-toi, me fait marraine.
J’obéis.
Elle s’installe à côté et ouvre une fenêtre sur l’ordinateur. Apparaît
une image vidéo où l’on voit une jeune fille à genoux, les yeux bandés
et les mains attachées dans le dos par une paire de menottes.
— Mais c’est Louise ! m’exclamé-je.
—
Chut, pas trop de bruit, me dit-elle. Elle est juste à côté. Nous avons
installé une webcam dans la pièce et nous l’avons reliée à cet
ordinateur. Ainsi, nous pouvons suivre la scène sans en déranger les
protagonistes.
— Et pourquoi elle est attachée ? demandé-je. Ce n’est pas dans le règlement !
— Oui je sais, mais je fais une exception pour elle. C’est un cadeau aux troisième année.
Justement,
on voit à l’écran Christopher Larbat, le parrain d’Aliénor sortir son
sexe et le frotter sur les lèvres de Louise. Une langue timide fait son
apparition et lèche doucement le gland du type. Un peu plus tard, Louise
ouvre grand la bouche et l’autre y engouffre sa bite d’un coup. Il
positionne ensuite ses mains derrière la tête de Louise et commence à
lui baiser littéralement la bouche.
— Eh, mais ça aussi c’est interdit ! protesté-je. Il est sensé la laisser se débrouiller toute seule.
— Cadeau aux troisième année, se contente de dire Sarah en me passant une main sur l’entrejambe.
Les
assauts du type sont assez violents, et en plus il a l’air pas mal
membré. Louise semble ne pas aimer beaucoup la situation. Elle essaie de
reculer la tête pour se défaire mais son grand-parrain la maintient et
continue de lui baiser la bouche. Il se retire finalement. Louise tousse
et crache pas mal de salive qui atterrit sur sa poitrine. Bien malgré
moi, le spectacle m’excite. Voir Louise ainsi soumise est bandant.
Marraine sent ma bite se tendre sous sa main. Elle la libère et commence
à me sucer.
— Qu’est-ce que tu fais ? dis-je, surpris.
— Chut ! Contente-toi de regarder ton amie se faire prendre la bouche, dit-elle juste avant un coup de langue sur mon gland.
Dans
la pièce d’à côté, Christopher réinvestit de nouveau la bouche de
Louise pour la lui baiser. Il ne se montre pas plus doux qu’auparavant. À
chaque va-et-vient, un filet de bave est expulsé de la bouche de Louise
et vient s’écraser sur sa poitrine. En peu de temps elle semble
trempée. Je suis fasciné par ce spectacle.
Pendant ce temps-là,
Sarah continue de me pomper la bite et use de tout son talent pour me
rendre l’expérience la plus agréable possible.
Christopher profite
bien de la situation ; il pelote les seins de Louise et lui enfonce bien
profondément la bite dans la gorge.
Finalement, après plusieurs
minutes à lui malmener la bouche, je le vois retirer sa bite, se branler
énergiquement et éjaculer des jets puissants sur le visage et la
poitrine de Louise. Cadeau aux troisième année, je suppose ! Je ne
prends pas la peine de poser la question à marraine ; de toute façon,
elle a la bouche pleine et je ne voudrais pas l’interrompre.
Après
s’être rhabillé, Christopher disparaît de la pièce en laissant Louise
couverte de sperme. Je la regarde attendre patiemment le prochain type
qui ne devrait pas tarder à arriver.
Je suis moi-même pas très loin
de jouir. L’excitant spectacle et la bouche de Sarah me procurent un
plaisir certain. En fait, je prends un pied d’enfer ! Je n’aurais jamais
cru ressentir autant de plaisir à voir mon amie se faire baiser la
bouche comme cela. Pendant un instant, j’ai même souhaité être à la
place du grand-parrain afin de lui baiser moi-même la bouche.
C’est
la dernière ligne droite ; marraine me pompe passionnément la bite et
provoque mon orgasme. Je me libère une nouvelle fois dans sa succulente
bouche.
C’est le moment que choisit le prochain type pour entrer dans
la pièce. Lui aussi est un troisième année. Oh ! Je viens seulement de
comprendre que marraine a réservé les cinq favoris de troisième année
pour Louise. Elle va donc subir la même chose cinq fois.
CHAPITRE 8 (LOUISE) : L’INITIATION DE LOUISE
Je
viens à peine de me remettre de la précédente fellation que le type
suivant entre dans la salle. Je ne le vois pas mais surveille le moindre
de ses mouvements grâce au son. Bruit de baguette : c’est parti pour le
round 2. Le mec s’amuse à me claquer la bite sur la joue, puis la fait
glisser jusqu’à mes lèvres. J’ouvre alors la bouche et accueille cette
nouvelle bite toute chaude. Ses mains me retiennent la tête et il
commence à son tour à me baiser la bouche.
Je n’ai pas compris
tout à l’heure pourquoi marraine m’avait attaché avec des menottes et
qu’elle m’avait conseillé de me laisser faire. Pauvre innocente que
j’étais, je m’attendais à pouvoir garder le contrôle de la situation ;
mais non : apparemment, on en avait décidé autrement pour moi, et ce
malgré les règles de l’épreuve. Quoi qu’il en soit, je suis bien décidée
à aller jusqu’au bout de l’épreuve, peu importe ce qu’on me réserve
encore. Maintenant que j’ai commencé sur cette voie, je ne vais pas
abandonner.
Ce second mec me baise aussi la bouche mais,
contrairement au précédent, il se montre moins violent. J’apprécie
énormément. Il a aussi un sexe plus petit, ce qui est plus pratique.
J’en
profite pour participer un peu plus et me sers de ma langue. Je n’ai
pas beaucoup d’expérience dans ce domaine ; avant ce soir, je n’avais
sucé qu’un garçon : mon petit copain du lycée. Certes, il avait aimé ;
mais comme j’étais la première fille qui le lui faisait, il n’avait pas
de points de comparaison.
D’après les grognements que j’entends, lui aussi semble apprécier la situation.
Il se retire et je l’entends haleter. Est-il en train de se branler ? Lui aussi va-t-il m’éjaculer dessus ?
Un
jet chaud atteignant ma joue me confirme que oui. Une autre giclée de
sperme s’écrase sur mon front et sur mes cheveux. Une troisième s’écrase
sur ma poitrine. Il me pénètre une dernière fois la bouche pour que je
le nettoie et je m’exécute. Ma langue parcourt son gland et récolte tout
le sperme restant que j’avale.
J’entends le mec se rhabiller et
quitter la pièce. Plus que trois ! Je me sens sale ; j’ai énormément
bavé et j’ai plein de sperme sur le corps. J’ai hâte de pouvoir prendre
une douche.
Après plusieurs minutes, le troisième type entre à
son tour. Une fois que j’en aurai fini avec lui, j’aurai fait plus de la
moitié du boulot. Je ne traîne donc pas et gobe sa bite dès que je la
sens à portée de bouche. Je la pompe comme une furie afin de le faire
jouir le plus rapidement possible. Mais d’un seul coup, une main
m’attrape la tête et me la retient. Il veut prendre le contrôle de la
situation, comme les autres. Ça y est, il me baise à son tour la bouche.
Il y met tout son cœur. Si pour le premier, c’était difficile pour moi,
là je commence à m’y faire et essaie de prendre plus de plaisir de la
situation. Être ainsi offerte au bon vouloir de plusieurs types a quand
même un côté excitant. Marraine avait raison, même si je l’ai prise pour
une folle quand elle m’en a parlé. Comment aurais-je pu me douter que
la douce Aliénor s’adonnait à ce genre de pratique ?
Ça y est, le
troisième type a eu son compte ; je le sens se branler alors qu’il a
posé le bout de son gland au-dessus de ma bouche. Son sperme gicle et me
coule sur les lèvres puis le menton pour enfin s’écraser sur mes seins.
Monsieur me fait nettoyer sa bite, se rhabille et se casse sans un mot.
Round
4 : le quatrième gars n’y va pas par quatre chemins. Il prend ma tête
et s’enfonce violemment pour me baiser avec vigueur. J’essaie
d’accueillir le mieux possible son gland qui me pilonne la bouche. Il a
l’air de s’en donner à cœur-joie. J’imagine l’image que je dois donner
maintenant ; offerte comme une salope et couverte de sperme. Ça doit
être vraiment excitant pour les mecs. Comment réagirait Thomas à la
place de ce type ? Voudrait-il me baiser lui aussi la bouche ?
Le mec
tente de me faire faire une gorge profonde. J’essaie de lui donner ce
qu’il veut, mais je suis prise de nausées ; alors celui-ci abandonne
heureusement.
Il me pilonne de nouveau, puis plusieurs minutes plus
tard, passe en mode manuel avant de m’arroser la tronche à coup de
chauds jets de semence.
Round 5 : enfin ! Plus qu’un type à
satisfaire. Ce dernier a l’air sympathique car il me laisse faire le
boulot. Je me débrouille de mon mieux et me surprends même à prendre
vraiment du plaisir à le sucer. J’hésite un moment et décide de retenter
une gorge profonde avec lui. Il a un membre plus petit, cela devrait
donc être plus aisé. Mais non, j’arrive au même résultat que
précédemment. Tant pis, j’aurai essayé ! Je ne dois pas être faite pour
les gorges profondes.
Je continue donc de le pomper et celui-ci m’accompagne de légers mouvements du bassin.
Contrairement
aux autres, il attend la dernière minute pour sortir de ma bouche. Je
suis ainsi surprise, n’ayant pas eu le temps de me préparer. Tout son
foutre chaud m’éclabousse.
Je le nettoie de quelques rapides coups de langue et il s’en va.
Ça y est, c’est fini. Il n’y a plus qu’à attendre qu’on vienne me libérer.
Justement,
la porte s’ouvre de nouveau une minute après. J’entends des talons
aiguille frapper le sol. Un peu de bruit, la fille s’en va et revient
juste après. Elle passe derrière moi ; j’entends le déclic des menottes
qui se détachent et on mon retire le bandeau. La lumière m’éblouit.
Quand je retrouve une bonne vision, Sarah est positionnée devant moi.
— Pourquoi tu m’as fait attacher ? rouspété-je en me frottant les poignets.
— Désolée, ma chérie : ça faisait partie du plan.
— Et ça aussi ? lui demandé-je en indiquant tout le sperme qui me recouvre.
— Absolument, fait-elle, souriante.
— Tu aurais pu au moins me prévenir, pesté-je en me levant.
— Je voulais vérifier que tu étais bien prête à tout pour notre projet.
— Tu sais très bien que oui ! me plains-je. Bon, il faut que je me nettoie un peu maintenant !
—
Non ; tu n’as pas compris, Louise. Tu retournes au cocotier dans cet
état. Et un conseil : quand tu franchiras la porte, fais-le avec un
grand sourire ! Allez, viens maintenant, finit-elle en ouvrant la route.
Je la suis tout en sentant des coulées de sperme le long de mon corps. Vivement la douche !
Il ne nous faut pas longtemps pour nous retrouver devant les portes fermées du cocotier.
— Attends-moi là deux secondes, je vais leur annoncer ton retour.
— Attends, lui dis-je en lui attrapant le poignet avant qu’elle franchise la porte, tu es aussi amoureuse de lui, n’est-ce pas ?
Elle ne me répond pas mais me lâche un petit sourire. Elle franchit ensuite la porte et la ferme derrière elle.
—
Mesdemoiselles, Messieurs, entends-je à travers la porte, j’aimerais
que vous accueilliez maintenant une de nos recrues qui a réussi
l’épreuve au-delà de nos espérances.
Je franchis à mon tour la
porte avec une boule au ventre et en essayant d’afficher mon plus beau
sourire. Je suis accueillie par une nuée d’applaudissements. Sarah me
prend une main et me lève le bras comme pour signifier une victoire. Les
applaudissements redoublent, des cris de félicitations les
accompagnent. La salle est en délire. Anita et Sandrine sont déjà
revenues et m’applaudissent elles aussi de bon cœur. Je repère Thomas
qui participe lui aussi à l’enthousiasme général. Seule sa sœur a l’air
de tirer une drôle de tête. Comprend-elle ce qui est en train de se
jouer ce soir ?
Pour enfoncer un peu plus le clou, je passe un
doigt sur mon sein pour récupérer un peu de sperme et le porte à ma
bouche. Je le goûte ainsi devant tout le monde pour assurer le show.
« Le secret de la réussite est de les marquer. » m’avait dit Sarah. Je crois que cette fois c’est fait.
Sarah annonce peu après le début de l’orgie et marraine, complètement nue, me fait signe de venir la rejoindre.
Je
m’assieds à côté d’elle et elle m’enfonce sa langue dans ma bouche. Je
suis incapable de résister à ses baisers et ma langue se mêle donc au
ballet. Elle me félicite, s’excuse d’avoir dû me menotter et me demande
si ça a été. Je la rassure mais lui dis que j’aurais bien besoin d’une
douche. Elle me sourit et dépose un baiser sur ma joue couverte de
sperme. Je sens bientôt sa langue lécher la semence.
— Allonge-toi, me dit-elle. Je vais te nettoyer.
J’obéis
et laisse faire la langue si habile de marraine. Elle se met à quatre
pattes au-dessus de moi et commence à me lécher les seins. Ces derniers
réagissent rapidement et pointent, alors elle joue un peu avec les
tétons. Elle continue ainsi à laper le sperme qui recouvre mon corps
pendant de longues minutes. Je remarque à un moment qu’un type a pris
position derrière elle pour la prendre en levrette tandis qu’elle
continue à me nettoyer comme si de rien n’était. Elle me lèche le
visage, le cou, la poitrine, le ventre. Une fois qu’elle m’a quasiment
toute nettoyée du sperme, sa bouche atteint mon sexe et commence un doux
cunnilingus. C’est si bon ! Ça me rappelle la première fois qu’elle m’a
fait ça.
C’était une semaine après la soirée parrainage. Elle
m’avait invitée chez elle pour faire plus ample connaissance et nous
avons discuté une bonne partie de la soirée en sirotant des verres. Je
me sentais bien avec elle ; j’étais détendue, alors j’ai fini par parler
de Thomas et de ce que je ressentais pour lui. Elle m’a prise dans ses
bras. Elle était si douce… Et puis, elle a fini par m’embrasser. J’ai
été surprise mais je me suis laissé faire. Une chose en entraînant une
autre, on s’est retrouvées nues toutes les deux et elle a commencé à me
lécher. C’était la première fois que je couchais avec une autre fille,
mais j’ai adoré. Personne ne m’avait jamais léché comme cela.
Aujourd’hui,
la situation est différente ; nous avons laissé de côté l’intimité de
son appartement, mais Aliénor me lèche toujours aussi bien tandis que le
mec derrière elle continue à la pilonner.
Elle me pourlèche de tout
son art et je ne résiste pas à laisser échapper des gémissements. Elle
s’attaque ensuite à mon clitoris et le suce, me rentre un doigt dans le
sexe pour me masser les parois intérieures. C’est absolument délicieux.
Je me masse les seins et me tortille de plaisir.
Puis, après
plusieurs minutes de ce traitement, mes jambes se mettent soudainement à
trembler et je hurle mon plaisir tandis que l’orgasme me foudroie.
La
scène a stimulé le mec derrière marraine qui redouble d’ardeur et a
augmenté la cadence de ses assauts. La bouche de marraine abandonne ma
vulve dégoulinante afin d’exprimer elle aussi son plaisir. Le type lui
tient fermement les hanches et la baise comme si sa vie en dépendait.
C’est en même temps que tous deux jouissent bruyamment.
Les jambes
coupées, marraine se laisse tomber sur moi et nous nous enlaçons toutes
les deux doucement. Je profite de cette pause pour observer les autres.
Mes yeux s’arrêtent sur Thomas. Il est enlacé à Marie et tous deux ont
l’air de faire l’amour sensuellement. Je m’étais préparée à voir ce
genre de scène et je m’attendais à ressentir une pointe de jalousie. Je
n’en ressens pas ; ou alors, c’est très discret. Là, je suis plutôt sous
l’effet des endorphines libérées par l’orgasme et je plane presque. En
tout cas, il a l’air heureux et c’est tout ce qui compte.
— Vous me faites une place, les filles ?
— Avec joie, parrain, lance Aliénor, joviale.
Christopher,
mon grand-parrain, vient de faire son apparition, complètement nu.
Aliénor et moi nous nous écartons afin qu’il puisse s’asseoir entre nous
deux. Une fois assis, marraine se colle à lui et l’embrasse
langoureusement. Il se détache d’elle puis se tourne vers moi pour
finalement m’embrasser. Sur le moment, je suis presque à reculer mais ne
le fais pas. Il m’avait déjà draguée avant que je n’apprenne
l’existence du club des nymphes ; mais comme j’espérais encore une
relation avec Thomas, je l’avais gentiment repoussé. Mais c’est vrai
qu’il ne m’avait quand même pas laissée indifférente. Il est grand et
plutôt bien bâti.
Pendant qu’il m’embrasse, je le sens prendre
ma main et la déposer sur son sexe. Hésitante au début, je me décide
finalement à le caresser doucement tandis que marraine lui masse les
couilles. Je le sens grossir dans mes doigts et prendre de belles
proportions. Je suis fascinée par l’engin. Marraine me décale la main et
embouche le gland, qu’elle commence à pomper. Je la regarde faire
attentivement en caressant le torse de mon grand-parrain. Mais ce
dernier ne semble pas décidé à me voir inactive puisque je sens une main
m’appuyer sur la tête afin que je participe. J’approche alors de son
sexe et marraine me passe le relais. Je goûte à cette bite avec bien
plus de plaisir que je n’en ai ressenti durant l’épreuve. Ma langue
parcourt ce sexe afin d’en découvrir les moindres recoins. Alors que la
main de Christopher a atteint ma vulve trempée, je m’aperçois que cette
bite ne m’est pas si inconnue : il me semble que c’est la première à
s’être occupée de moi durant l’épreuve.
Je lui pardonne pour sa rudesse de tout à l’heure car je n’espère plus qu’une chose : sentir sa virilité investir mon corps.
— Baise ta petite fillote, lui lance Aliénor. Baise-la.
— J’en avais bien l’intention, fait-il tandis que je relève la tête.
Il
me prend avec force et m’allonge sur le canapé. Positionné au-dessus de
moi, il finit rapidement par me perforer la chatte et commence à me la
défoncer avec autant de vigueur qu’il en avait mis lors de l’épreuve.
Sentir sa grosse bite me ramoner ainsi me fait couiner de bonheur. Je le
plaque contre moi, le serre dans mes bras et le serre entre mes cuisses
comme si je ne voulais plus jamais le lâcher. Je sens son souffle chaud
dans mon cou ; ça me rend folle. Grand-parrain donne pas mal de son
énergie pour me faire crier, et il y arrive pas mal. Je ne sais plus ce
que fait marraine en ce moment, je ne vois plus rien de ce qui se passe
autour : toute mon attention est dirigée vers ce membre qui me perfore
le ventre. Mes sens bouillonnent, mes membres vibrent et en nouvel
orgasme me déchire. Lui jouit aussi. Sa semence se répand en moi.
Je suis fatiguée, éreintée, épuisée. Heureusement, la soirée ne tarde pas à se terminer.
Auteur : Nathan Kari
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toujours aussi bien écrit, une envie folle de connaitre la suite de cette histoire. merci Nathan K
RépondreSupprimerReprise de la série "le club des nymphes". Bonne lecture !
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