— Nous venons d’atterrir à Prague Vaclav Havel
Airport ; il est 14 h 00, la température extérieure est de 30°. Merci
d’avoir choisi Air France pour votre voyage. Nous vous souhaitons un
agréable séjour et espérons vous retrouver bientôt sur nos lignes…
Ça y est, j’y suis… Je me présente : Hervé M., cinquante-quatre ans. D’après tous les gens qui me connaissent, j’en fais dix de moins. Moderne dans mon habillement, je suis, je crois, jeune de caractère et plein de dynamisme malgré le veuvage qui m’a frappé il y a maintenant un peu plus de trois ans.
Ça y est, j’y suis… Je me présente : Hervé M., cinquante-quatre ans. D’après tous les gens qui me connaissent, j’en fais dix de moins. Moderne dans mon habillement, je suis, je crois, jeune de caractère et plein de dynamisme malgré le veuvage qui m’a frappé il y a maintenant un peu plus de trois ans.
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Nous
vivions en pleine symbiose avec ma femme malgré la différence d’âge ;
elle avait six ans de plus que moi mais un corps sain avec une peau
douce et des seins encore fermes qui se tenaient encore bien malgré ses
deux maternités – nous avons eu deux filles –, une taille de guêpe qui
mettait en valeur ses fesses que j’adorais caresser tant elles étaient, à
la fois, dures et tendres au toucher. Notre accord tant sur le plan
moral que physique était total.
Avant sa disparation, suite à un arrêt cardiaque autant soudain qu’imprévu, nous faisions l’amour régulièrement au moins deux fois par semaine.
Pas l’amour « à la papa », mais des étreintes pleines de fougue et d’imagination qui nous laissaient pantelants autant elle que moi. Sa jouissance exprimée par des cris avait le don de me – de nous – galvaniser. Nous nous autorisions tout. Nous n’avions aucun tabou, hormis violence et scato, et nous nous suffisions à nous-mêmes sans avoir le besoin d’aller partager ce bonheur avec d’autres. Tout cela depuis plus de trente ans.
Se retrouver seul après une vie si riche était dur. Le soir, je n’arrivais même pas à me masturber et je ne faisais que me tourner et me retourner dans « notre » lit. Je me suis connecté sur des sites de rencontres, mais les femmes que j’ai pu y rencontrer ne m’ont mené qu’à des échecs.
Je n’arrivais même plus à bander, m’attendant chaque fois à redécouvrir Thérèse, la femme de ma vie, trop tôt disparue, et les émotions qui avaient jalonné toute notre vie.
Retraité d’une grande entreprise d’État, donc libre comme l’air, je me reportai alors sur les voyages, et voilà pourquoi aujourd’hui je suis à Prague. Nous y avions passé quelques jours il y a près de 10 ans et nous avions adoré cette ville, le parc qui entourait la « Tour Eiffel » ayant servi un soir à nos ébats alors que nous nous étions mutuellement excités et que nous ne pouvions pas attendre d’être retournés à notre hôtel. Je l’avais prise debout, en levrette, contre un arbre et j’avais dû étouffer ses cris avec ma main tellement sa jouissance, et par communication la mienne, avait été intense.
Avant sa disparation, suite à un arrêt cardiaque autant soudain qu’imprévu, nous faisions l’amour régulièrement au moins deux fois par semaine.
Pas l’amour « à la papa », mais des étreintes pleines de fougue et d’imagination qui nous laissaient pantelants autant elle que moi. Sa jouissance exprimée par des cris avait le don de me – de nous – galvaniser. Nous nous autorisions tout. Nous n’avions aucun tabou, hormis violence et scato, et nous nous suffisions à nous-mêmes sans avoir le besoin d’aller partager ce bonheur avec d’autres. Tout cela depuis plus de trente ans.
Se retrouver seul après une vie si riche était dur. Le soir, je n’arrivais même pas à me masturber et je ne faisais que me tourner et me retourner dans « notre » lit. Je me suis connecté sur des sites de rencontres, mais les femmes que j’ai pu y rencontrer ne m’ont mené qu’à des échecs.
Je n’arrivais même plus à bander, m’attendant chaque fois à redécouvrir Thérèse, la femme de ma vie, trop tôt disparue, et les émotions qui avaient jalonné toute notre vie.
Retraité d’une grande entreprise d’État, donc libre comme l’air, je me reportai alors sur les voyages, et voilà pourquoi aujourd’hui je suis à Prague. Nous y avions passé quelques jours il y a près de 10 ans et nous avions adoré cette ville, le parc qui entourait la « Tour Eiffel » ayant servi un soir à nos ébats alors que nous nous étions mutuellement excités et que nous ne pouvions pas attendre d’être retournés à notre hôtel. Je l’avais prise debout, en levrette, contre un arbre et j’avais dû étouffer ses cris avec ma main tellement sa jouissance, et par communication la mienne, avait été intense.
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Arrivé
à l’hôtel que j’avais réservé – un palace dans le centre de la ville –,
je m’empressai de commander pour les jours suivants une visite complète
de Prague et de ses environs avec un guide attitré parlant français. Je
ne voulais pas me retrouver avec des touristes volubiles, mitraillant à
tout-va et pérorant sur tout et n’importe quoi sans écouter un poil de
ce que pouvait dire leur guide.
Ce soir-là, après une courte ballade sur le Pont Charles, je rentrai à mon hôtel et je m’endormis profondément, pour la première fois. Un signe ?
Après le petit déjeuner pris dans ma chambre, le téléphone sonna. La réception m’annonçait que mon guide était arrivé et qu’il m’attendait dans le hall.
Je pris une sacoche, genre besace pour ne pas m’encombrer, qui contenait le strict nécessaire à une visite : eau minérale, téléphone, papiers…
À la sortie de l’ascenseur, je cherchai des yeux mon guide et, ne le voyant pas, je m’adressai à la réceptionniste, qui d’un signe de la main me « LA » montra. ELLE était debout, adossée à une colonnade, son regard plongé dans des revues, des guides touristiques probablement. Elle semblait toute frêle, habillée d’une petite robe simple, boutonnée devant, de couleur beige, sans manches, serrée à la taille par une ceinture qui mettait en valeur sa poitrine qui paraissait importante. Un léger décolleté montrait à peine la naissance de ses seins. Il faisait chaud (nous étions en plein mois de juillet), et pourtant il émanait d’elle une certaine fraîcheur et un rayonnement intense qui faisaient que l’on se demandait si c’était une femme, ou plutôt à mes yeux une gamine, tant elle paraissait jeune.
Une émotion incontrôlée, que je n’avais pas connue depuis longtemps, m’envahit à cet instant. Je ne sais pas si cela se vit sur le moment, mais une bouffée de chaleur gagna mon visage.
À ma vue, elle s’avança pour se présenter :
— Vous êtes Hervé M… ? Je m’appelle Lucia et je vais être votre guide pendant les trois jours qui vont suivre.
— Lucia, bienvenue ! arrivai-je à peine à bredouiller.
J’étais comme un gamin boutonneux ne sachant plus quoi dire devant cette jeune fille qui aurait pu être ma fille. Elle était belle à croquer et parlait un français parfait.
Elle m’exposa le programme de nos visites pour les prochains jours. Je buvais ses paroles tant j’étais captivé. Je lui fis remarquer qu’elle parlait un français sans aucun accent et, à ma grande surprise, elle me dit qu’elle ne l’apprenait que depuis un an. Hormis le slovaque – sa langue natale – elle parlait couramment le tchèque, l’anglais, l’allemand, l’espagnol et avait des notions d’italien. J’avais appris tout au long de ma vie que les slaves étaient doués pour les langues ; Lucia venait de me le confirmer…
Je lui demandai si faire le guide était son métier. Elle me répondit qu’elle le faisait pour se perfectionner dans ses études d’interprétariat. Âgée de vingt-quatre ans, elle en avait encore pour un an. Cela confirmait mon impression : femme et gamine tout à la fois.
Ce soir-là, après une courte ballade sur le Pont Charles, je rentrai à mon hôtel et je m’endormis profondément, pour la première fois. Un signe ?
Après le petit déjeuner pris dans ma chambre, le téléphone sonna. La réception m’annonçait que mon guide était arrivé et qu’il m’attendait dans le hall.
Je pris une sacoche, genre besace pour ne pas m’encombrer, qui contenait le strict nécessaire à une visite : eau minérale, téléphone, papiers…
À la sortie de l’ascenseur, je cherchai des yeux mon guide et, ne le voyant pas, je m’adressai à la réceptionniste, qui d’un signe de la main me « LA » montra. ELLE était debout, adossée à une colonnade, son regard plongé dans des revues, des guides touristiques probablement. Elle semblait toute frêle, habillée d’une petite robe simple, boutonnée devant, de couleur beige, sans manches, serrée à la taille par une ceinture qui mettait en valeur sa poitrine qui paraissait importante. Un léger décolleté montrait à peine la naissance de ses seins. Il faisait chaud (nous étions en plein mois de juillet), et pourtant il émanait d’elle une certaine fraîcheur et un rayonnement intense qui faisaient que l’on se demandait si c’était une femme, ou plutôt à mes yeux une gamine, tant elle paraissait jeune.
Une émotion incontrôlée, que je n’avais pas connue depuis longtemps, m’envahit à cet instant. Je ne sais pas si cela se vit sur le moment, mais une bouffée de chaleur gagna mon visage.
À ma vue, elle s’avança pour se présenter :
— Vous êtes Hervé M… ? Je m’appelle Lucia et je vais être votre guide pendant les trois jours qui vont suivre.
— Lucia, bienvenue ! arrivai-je à peine à bredouiller.
J’étais comme un gamin boutonneux ne sachant plus quoi dire devant cette jeune fille qui aurait pu être ma fille. Elle était belle à croquer et parlait un français parfait.
Elle m’exposa le programme de nos visites pour les prochains jours. Je buvais ses paroles tant j’étais captivé. Je lui fis remarquer qu’elle parlait un français sans aucun accent et, à ma grande surprise, elle me dit qu’elle ne l’apprenait que depuis un an. Hormis le slovaque – sa langue natale – elle parlait couramment le tchèque, l’anglais, l’allemand, l’espagnol et avait des notions d’italien. J’avais appris tout au long de ma vie que les slaves étaient doués pour les langues ; Lucia venait de me le confirmer…
Je lui demandai si faire le guide était son métier. Elle me répondit qu’elle le faisait pour se perfectionner dans ses études d’interprétariat. Âgée de vingt-quatre ans, elle en avait encore pour un an. Cela confirmait mon impression : femme et gamine tout à la fois.
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Cette
première journée se déroula comme dans un rêve. Je me sentais bien en
sa présence, conforté par son érudition sur la ville de Prague, sa
finesse dans la conversation et son aptitude à plaisanter en français,
une des difficultés dans la maîtrise d’une langue. Elle était mûre au
plus haut point dans ses raisonnements, et tout me fascinait chez elle.
Je ne m’imaginais rien. J’avais cinquante-quatre ans, elle en avait vingt-quatre… Comment aurait-elle pu se commettre avec un homme de mon âge ?
Pourtant, je profitais du moindre frôlement pour sentir son odeur, son haleine fraîche, la douceur de sa peau ; je lui prenais parfois la main pour lui faire descendre des marches abruptes, et des frissons m’envahissaient. J’aurais eu son âge, je l’aurais déjà prise dans mes bras ! Ma tête n’était plus que remplie de fantasmes. Je m’imaginais ses seins durs, libres de soutien-gorge, dont les pointes durcissaient sous mes caresses et son regard bleu me suppliant de mettre un terme à ce doux supplice en lui faisant l’amour.
Fantasme, fantasme, quand tu nous tiens !
À l’inverse, je sentais son intérêt pour moi. Elle me posait des questions sur ma vie en France, et lorsque j’évoquai la perte de mon épouse elle eut un geste attendrissant et me caressa le visage en me regardant dans les yeux. Surpris par cette attitude, je le lui fis remarquer.
Sa réponse fut tout autant inattendue :
— Vous êtes un homme doux et je ne veux pas vous voir triste pendant votre séjour à Prague. Je vais tout faire pour qu’il soit agréable.
Tout faire ? J’avais l’impression qu’il manquait des points de suspension après « agréable », et je commençais à me poser des questions.
Des réponses vinrent au cours de cette première journée lorsqu’à un moment, alors qu’elle était accoudée à un muret, elle me fit signe de la rejoindre. Il n’y avait pas assez de place pour que je puisse me mettre à côté d’elle et je dus me positionner en retrait.
Tout en me parlant, son corps bougea et ses fesses vinrent s’appuyer sur ma cuisse. Je sentais son parfum dans son cou ; ses seins appuyés sur le muret semblaient déborder sur le côté. Ma tête était prête à exploser et mon sexe se mit à durcir.
Je ne sais si elle le sentit, mais elle tourna alors sa tête vers moi, illuminée par un grand sourire. Ses yeux parlaient pour elle comme pour dire « Tu vois, je vais te rendre heureux ! »
Le désir qui m’animait à ce moment-là me poussait à la prendre dans mes bras, appuyer ses fesses contre mon sexe à l’étroit dans mon caleçon qui semblait reprendre vie après presque trois ans d’impuissance, l’embrasser dans le cou, lui caresser ses seins, presser ses tétons, la faire gémir… Mais la raison l’emporta. Elle avait vingt-quatre ans ; le reste ne pouvait être qu’illusion.
Ces doux instants furent stoppés par l’arrivée d’un groupe de touristes, et ça me sembla mieux comme ça.
La fin de la première journée s’annonçait et nous allions nous quitter au seuil de mon hôtel où elle venait de me ramener quand j’eus une inspiration soudaine. Au moment où j’écris, je me demande comment j’avais pu être si audacieux.
Au risque de me faire rabrouer vertement, je lui demandai si elle accepterait de dîner avec moi ce soir. Elle me répondit oui sans aucune hésitation de sa part, mais qu’elle devait rentrer chez elle pour prendre une douche et se changer. Elle serait présente à mon hôtel pour 20 h 30.
Sa réponse m’illumina de bonheur car je ne pensais pas qu’elle accepterait…
À la réception de mon hôtel, je demandai d’effectuer une réservation dans un restaurant au bord de la Vltava – plus connue sous le nom de Moldau en allemand, œuvre du compositeur tchèque Smetana – que j’avais repéré dans la journée.
Je pris une douche, m’habillai élégamment mais sobrement : chemise en lin de couleur bleue, manches légèrement retroussées, pantalon bleu assorti, mocassins dans le même ton et une écharpe légère « mode » nouée autour de mon cou.
J’étais comme un gamin lors de son premier rendez-vous, fébrile, limite gauche en l’attendant dans le hall de l’hôtel.
Et là, stupéfaction : à 20 h 30 pile, je vis une femme magnifique se diriger vers moi. Maquillage discret, rouge à lèvres léger ; sa robe bleue juste à la bonne longueur, légèrement bouffante à la ceinture, laissait apercevoir des jambes sublimes juchées sur des escarpins aux talons qu’elle avait dû choisir à la bonne hauteur pour ne pas me dépasser, vu ma taille moyenne de 1 m 74.
Ses bras étaient nus, et le décolleté de sa robe sans aucune provocation. De la grande classe ! Qui eût cru qu’elle n’avait que vingt-quatre ans ?
Je lui fis des compliments sur sa tenue. Elle eut alors cette remarque sibylline :
— Vous n’êtes pas mal non plus ! Nous allons former un beau couple au restaurant…
Elle continua pour me demander si nous pouvions nous tutoyer. Je n’avais pas osé le lui demander, aussi je répondis que je serais très heureux de pouvoir le faire.
Nous nous fîmes déposer en taxi au restaurant, situé au pied du Pont Albert, et dans lequel j’avais réservé deux couverts. Sous les yeux de tous les gens présents, le maître d’hôtel nous dirigea vers notre table située juste au bord de l’eau.
Les hommes me regardaient avec envie et devaient se dire que j’avais beaucoup de chance.
Cela semblait beaucoup amuser Lucia qui, comme pour s’affirmer auprès de moi, une fois assis à notre table me prit la main et me dit :
— Je suis bien avec toi.
J’étais comme dans un rêve. Cette fille sublime, qui aurait pu être ma fille, venait carrément de me draguer !
— Tu sais que j’ai cinquante-quatre ans ?
— Oui ; et alors ? Tu ne veux pas profiter de la vie ? Moi, tu me plais. Je n’avais jamais vécu une journée comme aujourd’hui. Tu es gai, intéressant, plus jeune dans ta tête que des hommes de mon âge, et physiquement très beau. Pourquoi voudrais-tu que je cherche ailleurs ?
Je pressai sa main dans la mienne. J’avais envie de l’embrasser, de la culbuter sur la table et de lui faire l’amour, mais c’eût été inconvenant, vous ne trouvez pas ?
Comme si elle lisait dans mes pensées, elle ajouta :
— J’aimerais te faire connaître où j’habite après notre dîner. Tu veux bien ?
À ce moment précis, j’aurai dit oui à tout ce qu’elle m’aurait demandé… C’est pourquoi j’acquiesçai.
Le dîner, arrosé de champagne et vin blanc de Bohème, fut à la hauteur de mes espérances et je n’avais qu’une hâte : me retrouver seul avec elle, chez elle. Mais c’était sans compter avec l’esprit libre de Lucia qui, depuis le début de la soirée, prenait toutes les initiatives.
Non seulement elle était drôle, mais elle agissait en femme moderne, faisant fi de tous les préjugés.
Alors que nous nous tenions les mains, son regard profond ancré dans le mien, je la vis reculer légèrement et je sentis quelque chose se poser sur mon entrejambe. Elle venait de poser son pied nu sur mon sexe. Là où nous étions, nul ne pouvait voir sa tentative.
Je lui facilitai le travail en écartant les cuisses et, passant ma main droite sous la nappe, je commençai un long massage de son pied et de sa jambe. Ses orteils titillaient mon appendice au travers de mon pantalon qui, suite à ce travail, commençait à se réveiller.
— Je ne voudrais pas gâcher notre soirée, Lucia, parce que je ne sais pas si tu vas répondre à ma demande, mais j’ai envie de toi. J’ai envie de te prendre dans mes bras, de te serrer très fort, de sentir ton corps nu presser le mien…
— Chut ! Tais-toi, Hervé ! Crois-tu que j’aurais accepté de dîner avec toi si je n’étais pas sûre que cela se termine, ou plutôt débute comme cela ? Oui, moi aussi je te veux. Allons-nous en, la nuit ne fait que commencer !
Elle habitait non loin du restaurant, dans le quartier du « Petit Côté », et c’est à pied que nous nous rendîmes chez elle.
Nous nous tenions la main et ce qui devait arriver arriva… Lucia s’engagea dans une petite ruelle, m’indiquant que c’était un raccourci et, à peine engagée, elle stoppa, se tourna vers moi et posa ses lèvres sur les miennes. Elles étaient douces, avaient le goût du caramel et de la menthe du dessert que nous avions pris en commun. Je répondis immédiatement à son baiser ; nos langues se mêlèrent fougueusement dans un ballet endiablé. Je la serrais contre moi, mes mains parcourant son corps magnifique ; d’abord ses fesses fermes, sentant au travers de sa robe la ficelle de son string, puis remontant pour empaumer ses seins libres de toute entrave.
Mon sexe devenu dur comme de la pierre se pressait contre le sien. Elle ne pouvait plus ignorer mon état… Notre baiser n’en finissait plus. C’est elle qui s’écarta pour plonger son doux regard dans le mien, et elle eut juste cette phrase :
— Prends-moi !
— Là ? Tout de suite ? Ici ?
— Oui, je te veux maintenant, je ne veux plus attendre. Viens, suis-moi !
— Je n’ai pas de préservatif !
— Je sais que tu n’as pas fait l’amour depuis le décès de ta femme et que tu étais un homme sérieux, alors j’ai confiance en toi. Quant à moi, j’ai fait un test il y a quinze jours et je prends la pilule…
Elle semblait connaître car elle m’entraîna dans un escalier qui menait directement à une cave voûtée. La porte d’entrée n’était pas fermée à clef. Devant moi, elle alluma un faible éclairage.
Je décidai de prendre l’initiative : ne lui laissant pas le temps de se retourner, je la pris dans mes bras, dos à moi. Ma main droite souleva sa robe pour venir se plaquer sur son pubis pendant que l’autre s’occupait de caresser ses seins.
Mes doigts s’introduisirent dans son string que je fis descendre. Lucia m’aida pour qu’il tombe à ses pieds. Ma main engloba son sexe glabre tout entier et je fis pénétrer lentement et sans brusquerie mon majeur dans sa chatte. Elle était bouillante de désir et je la sentais prête à jouir.
Je ne croyais pas si bien dire car, à peine son clitoris touché par mon index, elle poussa un cri et son corps fut parcouru de tremblements. Elle venait d’avoir un premier orgasme avec moi.
Mon désir ne faisait que s’amplifier.
Appuyant dans son dos pour la faire plier en avant, elle posa ses mains sur un muret et écarta ses cuisses d’elle-même. Je baissai mon pantalon et mon caleçon ; mon sexe se dressait, arrogant. Soulevant sa robe, ma bite vint au contact de sa raie culière. M’aidant de ma main que j’avais libérée de sa moule, je la fis glisser dans son antre brûlant pour l’embrocher d’une seule poussée. Elle poussa un rugissement de plaisir.
Prenant possession entièrement d’elle, j’empaumai ses deux seins pour triturer ses tétons avec mes doigts ; je commençai un lent pilonnage, puis j’accélérai le rythme. Elle se mit à crier des mots d’amour, puis ses termes devinrent de plus en plus crus :
— Je t’aime ! Baise-moi ! Défonce-moi !
J’accélérai encore, sentant que le point de non-retour allait être atteint, et dans une ultime poussée je criai :
— Je jouis ! Je jouis en toi !
En réponse Lucia cria :
— Oui ! Oui ! Oui ! Vas-y ! Je viens avec toi, mon amour !
Épuisée, elle se laissa tomber à terre, m’entraînant avec elle.
Je l’aidai à se relever et la pris dans mes bras tendrement. Elle en fit de même et appuya sa tête contre mon épaule. À cet instant, je ne pus m’empêcher de gamberger. Comment une fille si jeune avait pu tomber amoureuse de moi ? Comment connaissait-elle cet endroit où nous avions fait l’amour pour la première fois ? N’étais-je qu’une proie pour elle, ou était-elle sincère ? Pourtant j’étais sûr qu’elle n’avait en rien simulé ses deux orgasmes, tant elle était trempée.
Je ne sais si elle lut dans mes pensées, mais elle s’écarta de moi, me regarda profondément et s’adressa à moi en ces termes :
— Je sais qu’en ce moment tu doutes de moi. Tu te dis qu’il est impossible qu’une femme de mon âge puisse tomber amoureuse d’un homme tel que toi aussi rapidement. Je me trompe ?
Je la regardai d’un air penaud… Elle ne me laissa pas le temps de répondre.
— Chut ! Laisse-moi parler et aller jusqu’au bout. Ce matin, quand je t’ai vu arriver dans le hall de l’hôtel, j’ai craqué. Je ne sais pas pourquoi, mais ton charisme a fait que, brutalement, ce fut le coup de foudre. Je te voulais et j’ai décidé de tout faire pour te garder. J’ai toujours été attiré par des hommes plus âgés que moi. C’est probablement dans mes gènes… Toute cette première journée que nous avons passée ensemble a été merveilleuse. Tu es intelligent, tu as une grande culture, tu es doux, prévenant en permanence. J’étais bien. Tu ne peux pas savoir comment j’ai été comblée quand tu m’as invitée au restaurant lorsque je t’ai raccompagné à ton hôtel. Je pensais que le coup de foudre n’était pas réciproque, bien qu’ayant senti de ta part une certaine tendresse vis-à-vis de moi, et que cette journée allait s’achever banalement. Je te sentais timide, réservé. Je suis une femme moderne et j’ai tout fait ce soir pour te libérer. Toute cette fin de soirée est préméditée. Je me suis toujours dit que lorsque je rencontrerai l’homme de vie, j’aimerais faire l’amour la première fois avec lui dans un lieu qui avait marqué ma vie. C’est ce que nous avons fait. C’est là que nous nous réunissions avec une bande de copains – en tout bien tout honneur – pour refaire le monde, et c’était toute mon adolescence. Tu m’as fait jouir comme jamais aucun homme ne l’avait fait jusqu’à présent, dans ce lieu qui représente beaucoup pour moi. Je ne voudrais pas que ça s’arrête, mais c’est ton choix maintenant. Il n’y a qu’une seule alternative : ou tu viens chez moi tout de suite et nous continuons à nous aimer, ou nous nous quittons définitivement.
Je l’avais laissée parler tout ce temps sans l’interrompre. Sa déclaration m’avait ému et rassuré. J’étais bien ! Aussi ma seule réponse fut de la prendre tendrement dans mes bras encore une fois et de lui dire à l’oreille :
— Allons chez toi tout de suite, j’ai encore envie de toi !
Nos lèvres se joignirent alors dans un profond baiser qui scella notre amour réciproque. Nous étions dans un triste état, robe et pantalon tire-bouchonnés, cheveux défaits. Cela nous fit rire beaucoup durant tout le chemin qui menait à l’appartement de Lucia, à quelques centaines de mètres de là.
Elle habitait dans un deux-pièces au deuxième étage dans un immeuble cossu du style ex-URSS, assez austère. Il appartenait à ses parents, qui eux-mêmes, Slovaques d’origine comme Lucia, habitaient à Bratislava, capitale de la Slovaquie.
Lucia me fit entrer dans le living, assez grand, meublé sobrement avec goût, dans un style moderne avec un grand canapé face à un écran de télévision géant. Dire qu’il y a à peine quinze heures je ne la connaissais pas, et que je venais d’entrer dans son univers…
— Tu veux un verre ?
— Oui. je veux bien un whisky sec.
— Je te laisse quelques minutes. Ce ne sera pas trop ? me dit-elle avec un sourire aux lèvres.
— Ça va être dur, mais je m’y ferai ! lui dis-je ironiquement.
J’entendis des bruits d’eau signifiant qu’elle prenait probablement une douche après notre étreinte brutale dans la cave. Après de longues minutes qui me parurent une éternité, elle apparut alors dans le living, entièrement nue. Une grande émotion m’envahit à cet instant, tellement elle était belle.
— Je te plais ?
— Qui pourrait ne pas l’être à la vue de ton corps parfait ? Tes seins sont magnifiques, tes fesses en harmonie, ton regard, ton visage un enchantement. Je sens que je vais devenir dingue de toi si ce n’est déjà fait.
— Flatteur ! Tu veux toucher ? dit-elle en s’avançant vers moi assis dans le canapé.
Debout devant moi, entre mes jambes, je lui pris les fesses pour la faire avancer encore plus. Ma bouche se posa sur son nombril et ma langue vint le titiller. Un frisson la parcourut. Mes mains remontèrent dans son dos, puis les ramenant vers l’avant j’empaumai ses seins.
J’exerçai une douce pression sur son corps pour qu’ils puissent venir à la hauteur de ma bouche et pouvoir ainsi téter l’un de ses tétons.
Je sentais la pression monter en elle, son abandon était total ; elle goûtait pleinement ces moments qu’elle avait tant attendus. Je voulais la faire jouir à l’infini sans qu’elle se préoccupe de moi. J’étais d’ailleurs toujours habillé…
Je la fis installer sur le dos, dans le sens de la longueur, sur le canapé, ses jambes pendant hors de l’accoudoir. Elle était ainsi à ma merci… et vu sa rapidité à répondre à ma demande, elle aimait ma prise d’initiative.
À genoux à même le sol, ma bouche sur la sienne dans un baiser passionné, j’entrepris une découverte manuelle de son corps avec d’abord ses seins sublimes, comprimés alternativement, ses pointes sur lesquelles je m’attardai, étirées avec de légères pressions de mes doigts fiévreux.
Et là, quelle ne fut pas ma surprise, alors que je ne m’y attendais pas : je la sentis partir, crier des mots d’amour – probablement en slovaque – son corps s’arc-boutant et retombant dans un orgasme foudroyant. Elle avait joui uniquement du travail que j’avais effectué sur ses seins. C’était étonnant !
— Milujem ťa, má lásko ; je t’aime mon amour, tu es magnifique. Tu es tel que je te désire, attentionné à mon propre plaisir avant le tien, mais je voudrais aussi que ce soit partagé et que je ne sois pas la seule à jouir comme une égoïste.
— Chut, ma belle Lucia, laisse-toi faire. Il faut que tu saches que partager un amour avec un homme de mon âge n’est pas multiplier les actes jusqu’à l’éjaculation, mais au contraire se faire plaisir mutuellement. Il me faut du temps pour régénérer et avoir une nouvelle érection, et cela n’a rien à voir avec le désir que j’éprouve pour toi. Tout est dans ma tête, et je viens d’éprouver un immense plaisir à te sentir gémir et exprimer ta joie dans ta langue natale. Je n’ai pas compris mais… j’ai deviné. Je t’aime !
Elle posa ses mains sur ma tête, comme apaisée. Elle avait besoin d’amour et j’allais lui en donner encore.
Mes mains, après cet arrêt inopiné, continuèrent l’exploration de son corps, caressant son ventre pour aboutir à la fourche de ses jambes, endroit plus que désiré que j’avais déjà exploré dans la cave. Mais je voulais varier les attentions à son puits d’amour, et quoi de plus beau pour cela que d’utiliser ma langue ?
Je me positionnai entre ses cuisses surélevées et posai ma bouche sur l’entièreté de son sexe glabre, comme pour l’avaler. Ma langue commença alors un long travail de sape, d’abord pour goûter les saveurs qu’elle avait émises lors de sa jouissance, puis en pénétrant peu à peu en elle, mon nez pouvant humer son odeur de femme heureuse, mais aussi en virevoltant autour de son clitoris sans le toucher. Ce mets délicat que j’avais au bout de la langue était plus qu’un délice : un rêve goûteux à souhait.
Lucia appréciait mes actions en prononçant « Ano ! Ano ! Nie ! » (ce qui, traduit du slovaque en français, veut dire « Oui ! Oui ! Non ! ») et en enserrant fortement ma tête entre ses cuisses.
Je répondis à cela en allant presser ses seins avec mes mains inactives. Elle se tortillait au rythme de mes actions, et les plaintes qu’elle émettait se transformèrent vite en cris, puis en hurlements de satisfaction. Ma femme était beaucoup moins expressive lorsque nous faisions l’amour, mais là, Lucia se libérait avec la fougue de sa jeunesse. Il était plus de minuit, elle allait réveiller tout le quartier !
Je décidai de porter l’estocade. Libérant ma main droite de son sein gauche, je fis pénétrer deux doigts dans sa chatte brûlante sans aucune difficulté, tant elle était mouillée, et j’entrepris le branle de son point G à une vitesse stupéfiante. Tout son être était agité par le travail de ma langue et de mes doigts conjugués. C’est alors que diaboliquement, je fis tourner ma langue sur son clitoris puis j’entamai une succion de celui-ci.
C’en était trop pour elle ; elle hurla « Baví ma ! Baví ma ! Baví maaaaaaaaa ! (Je jouis ! Je jouis ! Je jouiiiiiis !) Don’t stop ! Baví ma, moka láska (Je jouis, mon amour !) »
Elle s’écroula, trempée de ma salive et de sa mouille mêlées, épuisée.
Le temps de se remettre de ses émotions, elle se rassit dans le canapé et m’invita à venir à côté d’elle.
J’étais toujours habillé. Ne manquant pas d’humour, elle m’invita à me mettre à l’aise pour que nous soyons sur le même pied d’égalité.
— Tu peux aller dans la salle de bain si tu préfères, pour prendre une douche. Je te suis... dit-elle d’un air coquin.
Je me déshabillai prestement et fis couler la douche. Je m’apprêtais à me savonner quand je sentis un corps nu se coller à moi et de douces mains savonneuses prendre mon sexe. Elle entama des caresses précises, soulevant mes bourses, grattant mon périnée, remontant pour empoigner ma verge molle et la branler doucement, sans heurt. Le résultat fut rapide : je bandais à nouveau. Elle me fit tourner face à elle.
— Je vois que tu reprends de la vigueur. Je croyais que les vieux mettaient plus de temps ! Tu m’as menti : tu n’es pas si âgé que tu le dis, non ?
Tout cela sur le ton d’une douce ironie. Nos lèvres se joignirent à nouveau, étouffant ma réponse :
— Tu es une diableschhchch...
— Tu peux faire mieux j’en suis sûre…
Elle se laissa tomber à mes pieds et entama sa première fellation sur moi. Ses douces lèvres parcoururent ma hampe, happant mes bourses à sa base, remontant, léchant ma verge comme un esquimau pour venir l’engloutir complètement sans en laisser un seul centimètre.
Mon gland touchait sa luette, ses lèvres pressées touchaient mes gonades, qui à cet instant étaient prêtes à émettre leur semence.
Elle me pompait carrément comme pour m’extirper les dernières gouttes de mon jus. Ma bite était dure comme du bois. Je revivais sous sa langue qui s’enroulait autour de ma queue. Je voulus me retirer car je sentais que j’allais venir, mais elle pressa sur mes fesses pour m’en empêcher. Ce qui devait arriver arriva : je déchargeai à longs jets au fond de sa gorge. Elle avala tout, heureuse.
Je la fis relever et j’embrassai sa bouche pour sentir le goût de mon sperme et la remercier de cette marque d’amour que beaucoup de femmes n’aiment pas forcément donner. Ses seins durs touchaient mon torse et, stupéfaction, je ne débandais pas, galvanisé probablement par cette jeunesse qui se donnait à moi sans détours.
En voyant cela, nous nous essuyâmes rapidement et Lucia m’entraîna dans sa chambre. Elle s’allongea sur son lit et je vins sur elle, pressant mon vit sur son ventre. Je remontai pour le placer entre ses seins et me branler lentement entre eux. Elle m’aida dans cette démarche en les pressant avec ses mains. Elle me regardait amoureusement et me dit simplement :
— Viens !
Ni une, ni deux, je lui écartai doucement les cuisses, et après avoir ajusté mon sexe pour ouvrir ses lèvres avec mon gland, je démarrai une lente intromission facilitée par les sécrétions de plaisir qu’elle émettait. Ma bite coulissait sans heurt et emplissait sa matrice, lui faisant pousser des gémissements de plaisir. J’accélérai le rythme avec de grandes amplitudes, sortant complètement pour rentrer à nouveau, cela pendant plusieurs minutes. Je m’arrêtais parfois bien au fond pour qu’elle sente les palpitations de mon gland et je reprenais mon pilonnage endiablé. J’étais inépuisable à ce stade. Je la sentis jouir plusieurs fois (Baví ma ! Baví ma !) ; j’aimais de plus en plus ce leitmotiv qu’elle m’avait traduit…
Je la fis basculer sur moi pour qu’elle me chevauche et se donne du plaisir à son propre rythme. Je la redressai pour caresser ses seins, puis la fis pencher pour mordiller légèrement ses tétons. Elle se pâmait, me criant des mots d’amour en slovaque. C’est ce moment intense qui nous vit, dans une osmose complète, atteindre les sommets de la volupté à la même seconde. Moi en lui inondant son vagin de mon sperme renouvelé, elle en ayant ce spasme si spécifique de l’orgasme féminin. Elle s’écroula sur moi, épuisée. Nous nous endormîmes ensemble, enlacés tendrement, mon sexe amolli encore en elle.
Je ne m’imaginais rien. J’avais cinquante-quatre ans, elle en avait vingt-quatre… Comment aurait-elle pu se commettre avec un homme de mon âge ?
Pourtant, je profitais du moindre frôlement pour sentir son odeur, son haleine fraîche, la douceur de sa peau ; je lui prenais parfois la main pour lui faire descendre des marches abruptes, et des frissons m’envahissaient. J’aurais eu son âge, je l’aurais déjà prise dans mes bras ! Ma tête n’était plus que remplie de fantasmes. Je m’imaginais ses seins durs, libres de soutien-gorge, dont les pointes durcissaient sous mes caresses et son regard bleu me suppliant de mettre un terme à ce doux supplice en lui faisant l’amour.
Fantasme, fantasme, quand tu nous tiens !
À l’inverse, je sentais son intérêt pour moi. Elle me posait des questions sur ma vie en France, et lorsque j’évoquai la perte de mon épouse elle eut un geste attendrissant et me caressa le visage en me regardant dans les yeux. Surpris par cette attitude, je le lui fis remarquer.
Sa réponse fut tout autant inattendue :
— Vous êtes un homme doux et je ne veux pas vous voir triste pendant votre séjour à Prague. Je vais tout faire pour qu’il soit agréable.
Tout faire ? J’avais l’impression qu’il manquait des points de suspension après « agréable », et je commençais à me poser des questions.
Des réponses vinrent au cours de cette première journée lorsqu’à un moment, alors qu’elle était accoudée à un muret, elle me fit signe de la rejoindre. Il n’y avait pas assez de place pour que je puisse me mettre à côté d’elle et je dus me positionner en retrait.
Tout en me parlant, son corps bougea et ses fesses vinrent s’appuyer sur ma cuisse. Je sentais son parfum dans son cou ; ses seins appuyés sur le muret semblaient déborder sur le côté. Ma tête était prête à exploser et mon sexe se mit à durcir.
Je ne sais si elle le sentit, mais elle tourna alors sa tête vers moi, illuminée par un grand sourire. Ses yeux parlaient pour elle comme pour dire « Tu vois, je vais te rendre heureux ! »
Le désir qui m’animait à ce moment-là me poussait à la prendre dans mes bras, appuyer ses fesses contre mon sexe à l’étroit dans mon caleçon qui semblait reprendre vie après presque trois ans d’impuissance, l’embrasser dans le cou, lui caresser ses seins, presser ses tétons, la faire gémir… Mais la raison l’emporta. Elle avait vingt-quatre ans ; le reste ne pouvait être qu’illusion.
Ces doux instants furent stoppés par l’arrivée d’un groupe de touristes, et ça me sembla mieux comme ça.
La fin de la première journée s’annonçait et nous allions nous quitter au seuil de mon hôtel où elle venait de me ramener quand j’eus une inspiration soudaine. Au moment où j’écris, je me demande comment j’avais pu être si audacieux.
Au risque de me faire rabrouer vertement, je lui demandai si elle accepterait de dîner avec moi ce soir. Elle me répondit oui sans aucune hésitation de sa part, mais qu’elle devait rentrer chez elle pour prendre une douche et se changer. Elle serait présente à mon hôtel pour 20 h 30.
Sa réponse m’illumina de bonheur car je ne pensais pas qu’elle accepterait…
À la réception de mon hôtel, je demandai d’effectuer une réservation dans un restaurant au bord de la Vltava – plus connue sous le nom de Moldau en allemand, œuvre du compositeur tchèque Smetana – que j’avais repéré dans la journée.
Je pris une douche, m’habillai élégamment mais sobrement : chemise en lin de couleur bleue, manches légèrement retroussées, pantalon bleu assorti, mocassins dans le même ton et une écharpe légère « mode » nouée autour de mon cou.
J’étais comme un gamin lors de son premier rendez-vous, fébrile, limite gauche en l’attendant dans le hall de l’hôtel.
Et là, stupéfaction : à 20 h 30 pile, je vis une femme magnifique se diriger vers moi. Maquillage discret, rouge à lèvres léger ; sa robe bleue juste à la bonne longueur, légèrement bouffante à la ceinture, laissait apercevoir des jambes sublimes juchées sur des escarpins aux talons qu’elle avait dû choisir à la bonne hauteur pour ne pas me dépasser, vu ma taille moyenne de 1 m 74.
Ses bras étaient nus, et le décolleté de sa robe sans aucune provocation. De la grande classe ! Qui eût cru qu’elle n’avait que vingt-quatre ans ?
Je lui fis des compliments sur sa tenue. Elle eut alors cette remarque sibylline :
— Vous n’êtes pas mal non plus ! Nous allons former un beau couple au restaurant…
Elle continua pour me demander si nous pouvions nous tutoyer. Je n’avais pas osé le lui demander, aussi je répondis que je serais très heureux de pouvoir le faire.
Nous nous fîmes déposer en taxi au restaurant, situé au pied du Pont Albert, et dans lequel j’avais réservé deux couverts. Sous les yeux de tous les gens présents, le maître d’hôtel nous dirigea vers notre table située juste au bord de l’eau.
Les hommes me regardaient avec envie et devaient se dire que j’avais beaucoup de chance.
Cela semblait beaucoup amuser Lucia qui, comme pour s’affirmer auprès de moi, une fois assis à notre table me prit la main et me dit :
— Je suis bien avec toi.
J’étais comme dans un rêve. Cette fille sublime, qui aurait pu être ma fille, venait carrément de me draguer !
— Tu sais que j’ai cinquante-quatre ans ?
— Oui ; et alors ? Tu ne veux pas profiter de la vie ? Moi, tu me plais. Je n’avais jamais vécu une journée comme aujourd’hui. Tu es gai, intéressant, plus jeune dans ta tête que des hommes de mon âge, et physiquement très beau. Pourquoi voudrais-tu que je cherche ailleurs ?
Je pressai sa main dans la mienne. J’avais envie de l’embrasser, de la culbuter sur la table et de lui faire l’amour, mais c’eût été inconvenant, vous ne trouvez pas ?
Comme si elle lisait dans mes pensées, elle ajouta :
— J’aimerais te faire connaître où j’habite après notre dîner. Tu veux bien ?
À ce moment précis, j’aurai dit oui à tout ce qu’elle m’aurait demandé… C’est pourquoi j’acquiesçai.
Le dîner, arrosé de champagne et vin blanc de Bohème, fut à la hauteur de mes espérances et je n’avais qu’une hâte : me retrouver seul avec elle, chez elle. Mais c’était sans compter avec l’esprit libre de Lucia qui, depuis le début de la soirée, prenait toutes les initiatives.
Non seulement elle était drôle, mais elle agissait en femme moderne, faisant fi de tous les préjugés.
Alors que nous nous tenions les mains, son regard profond ancré dans le mien, je la vis reculer légèrement et je sentis quelque chose se poser sur mon entrejambe. Elle venait de poser son pied nu sur mon sexe. Là où nous étions, nul ne pouvait voir sa tentative.
Je lui facilitai le travail en écartant les cuisses et, passant ma main droite sous la nappe, je commençai un long massage de son pied et de sa jambe. Ses orteils titillaient mon appendice au travers de mon pantalon qui, suite à ce travail, commençait à se réveiller.
— Je ne voudrais pas gâcher notre soirée, Lucia, parce que je ne sais pas si tu vas répondre à ma demande, mais j’ai envie de toi. J’ai envie de te prendre dans mes bras, de te serrer très fort, de sentir ton corps nu presser le mien…
— Chut ! Tais-toi, Hervé ! Crois-tu que j’aurais accepté de dîner avec toi si je n’étais pas sûre que cela se termine, ou plutôt débute comme cela ? Oui, moi aussi je te veux. Allons-nous en, la nuit ne fait que commencer !
Elle habitait non loin du restaurant, dans le quartier du « Petit Côté », et c’est à pied que nous nous rendîmes chez elle.
Nous nous tenions la main et ce qui devait arriver arriva… Lucia s’engagea dans une petite ruelle, m’indiquant que c’était un raccourci et, à peine engagée, elle stoppa, se tourna vers moi et posa ses lèvres sur les miennes. Elles étaient douces, avaient le goût du caramel et de la menthe du dessert que nous avions pris en commun. Je répondis immédiatement à son baiser ; nos langues se mêlèrent fougueusement dans un ballet endiablé. Je la serrais contre moi, mes mains parcourant son corps magnifique ; d’abord ses fesses fermes, sentant au travers de sa robe la ficelle de son string, puis remontant pour empaumer ses seins libres de toute entrave.
Mon sexe devenu dur comme de la pierre se pressait contre le sien. Elle ne pouvait plus ignorer mon état… Notre baiser n’en finissait plus. C’est elle qui s’écarta pour plonger son doux regard dans le mien, et elle eut juste cette phrase :
— Prends-moi !
— Là ? Tout de suite ? Ici ?
— Oui, je te veux maintenant, je ne veux plus attendre. Viens, suis-moi !
— Je n’ai pas de préservatif !
— Je sais que tu n’as pas fait l’amour depuis le décès de ta femme et que tu étais un homme sérieux, alors j’ai confiance en toi. Quant à moi, j’ai fait un test il y a quinze jours et je prends la pilule…
Elle semblait connaître car elle m’entraîna dans un escalier qui menait directement à une cave voûtée. La porte d’entrée n’était pas fermée à clef. Devant moi, elle alluma un faible éclairage.
Je décidai de prendre l’initiative : ne lui laissant pas le temps de se retourner, je la pris dans mes bras, dos à moi. Ma main droite souleva sa robe pour venir se plaquer sur son pubis pendant que l’autre s’occupait de caresser ses seins.
Mes doigts s’introduisirent dans son string que je fis descendre. Lucia m’aida pour qu’il tombe à ses pieds. Ma main engloba son sexe glabre tout entier et je fis pénétrer lentement et sans brusquerie mon majeur dans sa chatte. Elle était bouillante de désir et je la sentais prête à jouir.
Je ne croyais pas si bien dire car, à peine son clitoris touché par mon index, elle poussa un cri et son corps fut parcouru de tremblements. Elle venait d’avoir un premier orgasme avec moi.
Mon désir ne faisait que s’amplifier.
Appuyant dans son dos pour la faire plier en avant, elle posa ses mains sur un muret et écarta ses cuisses d’elle-même. Je baissai mon pantalon et mon caleçon ; mon sexe se dressait, arrogant. Soulevant sa robe, ma bite vint au contact de sa raie culière. M’aidant de ma main que j’avais libérée de sa moule, je la fis glisser dans son antre brûlant pour l’embrocher d’une seule poussée. Elle poussa un rugissement de plaisir.
Prenant possession entièrement d’elle, j’empaumai ses deux seins pour triturer ses tétons avec mes doigts ; je commençai un lent pilonnage, puis j’accélérai le rythme. Elle se mit à crier des mots d’amour, puis ses termes devinrent de plus en plus crus :
— Je t’aime ! Baise-moi ! Défonce-moi !
J’accélérai encore, sentant que le point de non-retour allait être atteint, et dans une ultime poussée je criai :
— Je jouis ! Je jouis en toi !
En réponse Lucia cria :
— Oui ! Oui ! Oui ! Vas-y ! Je viens avec toi, mon amour !
Épuisée, elle se laissa tomber à terre, m’entraînant avec elle.
Je l’aidai à se relever et la pris dans mes bras tendrement. Elle en fit de même et appuya sa tête contre mon épaule. À cet instant, je ne pus m’empêcher de gamberger. Comment une fille si jeune avait pu tomber amoureuse de moi ? Comment connaissait-elle cet endroit où nous avions fait l’amour pour la première fois ? N’étais-je qu’une proie pour elle, ou était-elle sincère ? Pourtant j’étais sûr qu’elle n’avait en rien simulé ses deux orgasmes, tant elle était trempée.
Je ne sais si elle lut dans mes pensées, mais elle s’écarta de moi, me regarda profondément et s’adressa à moi en ces termes :
— Je sais qu’en ce moment tu doutes de moi. Tu te dis qu’il est impossible qu’une femme de mon âge puisse tomber amoureuse d’un homme tel que toi aussi rapidement. Je me trompe ?
Je la regardai d’un air penaud… Elle ne me laissa pas le temps de répondre.
— Chut ! Laisse-moi parler et aller jusqu’au bout. Ce matin, quand je t’ai vu arriver dans le hall de l’hôtel, j’ai craqué. Je ne sais pas pourquoi, mais ton charisme a fait que, brutalement, ce fut le coup de foudre. Je te voulais et j’ai décidé de tout faire pour te garder. J’ai toujours été attiré par des hommes plus âgés que moi. C’est probablement dans mes gènes… Toute cette première journée que nous avons passée ensemble a été merveilleuse. Tu es intelligent, tu as une grande culture, tu es doux, prévenant en permanence. J’étais bien. Tu ne peux pas savoir comment j’ai été comblée quand tu m’as invitée au restaurant lorsque je t’ai raccompagné à ton hôtel. Je pensais que le coup de foudre n’était pas réciproque, bien qu’ayant senti de ta part une certaine tendresse vis-à-vis de moi, et que cette journée allait s’achever banalement. Je te sentais timide, réservé. Je suis une femme moderne et j’ai tout fait ce soir pour te libérer. Toute cette fin de soirée est préméditée. Je me suis toujours dit que lorsque je rencontrerai l’homme de vie, j’aimerais faire l’amour la première fois avec lui dans un lieu qui avait marqué ma vie. C’est ce que nous avons fait. C’est là que nous nous réunissions avec une bande de copains – en tout bien tout honneur – pour refaire le monde, et c’était toute mon adolescence. Tu m’as fait jouir comme jamais aucun homme ne l’avait fait jusqu’à présent, dans ce lieu qui représente beaucoup pour moi. Je ne voudrais pas que ça s’arrête, mais c’est ton choix maintenant. Il n’y a qu’une seule alternative : ou tu viens chez moi tout de suite et nous continuons à nous aimer, ou nous nous quittons définitivement.
Je l’avais laissée parler tout ce temps sans l’interrompre. Sa déclaration m’avait ému et rassuré. J’étais bien ! Aussi ma seule réponse fut de la prendre tendrement dans mes bras encore une fois et de lui dire à l’oreille :
— Allons chez toi tout de suite, j’ai encore envie de toi !
Nos lèvres se joignirent alors dans un profond baiser qui scella notre amour réciproque. Nous étions dans un triste état, robe et pantalon tire-bouchonnés, cheveux défaits. Cela nous fit rire beaucoup durant tout le chemin qui menait à l’appartement de Lucia, à quelques centaines de mètres de là.
Elle habitait dans un deux-pièces au deuxième étage dans un immeuble cossu du style ex-URSS, assez austère. Il appartenait à ses parents, qui eux-mêmes, Slovaques d’origine comme Lucia, habitaient à Bratislava, capitale de la Slovaquie.
Lucia me fit entrer dans le living, assez grand, meublé sobrement avec goût, dans un style moderne avec un grand canapé face à un écran de télévision géant. Dire qu’il y a à peine quinze heures je ne la connaissais pas, et que je venais d’entrer dans son univers…
— Tu veux un verre ?
— Oui. je veux bien un whisky sec.
— Je te laisse quelques minutes. Ce ne sera pas trop ? me dit-elle avec un sourire aux lèvres.
— Ça va être dur, mais je m’y ferai ! lui dis-je ironiquement.
J’entendis des bruits d’eau signifiant qu’elle prenait probablement une douche après notre étreinte brutale dans la cave. Après de longues minutes qui me parurent une éternité, elle apparut alors dans le living, entièrement nue. Une grande émotion m’envahit à cet instant, tellement elle était belle.
— Je te plais ?
— Qui pourrait ne pas l’être à la vue de ton corps parfait ? Tes seins sont magnifiques, tes fesses en harmonie, ton regard, ton visage un enchantement. Je sens que je vais devenir dingue de toi si ce n’est déjà fait.
— Flatteur ! Tu veux toucher ? dit-elle en s’avançant vers moi assis dans le canapé.
Debout devant moi, entre mes jambes, je lui pris les fesses pour la faire avancer encore plus. Ma bouche se posa sur son nombril et ma langue vint le titiller. Un frisson la parcourut. Mes mains remontèrent dans son dos, puis les ramenant vers l’avant j’empaumai ses seins.
J’exerçai une douce pression sur son corps pour qu’ils puissent venir à la hauteur de ma bouche et pouvoir ainsi téter l’un de ses tétons.
Je sentais la pression monter en elle, son abandon était total ; elle goûtait pleinement ces moments qu’elle avait tant attendus. Je voulais la faire jouir à l’infini sans qu’elle se préoccupe de moi. J’étais d’ailleurs toujours habillé…
Je la fis installer sur le dos, dans le sens de la longueur, sur le canapé, ses jambes pendant hors de l’accoudoir. Elle était ainsi à ma merci… et vu sa rapidité à répondre à ma demande, elle aimait ma prise d’initiative.
À genoux à même le sol, ma bouche sur la sienne dans un baiser passionné, j’entrepris une découverte manuelle de son corps avec d’abord ses seins sublimes, comprimés alternativement, ses pointes sur lesquelles je m’attardai, étirées avec de légères pressions de mes doigts fiévreux.
Et là, quelle ne fut pas ma surprise, alors que je ne m’y attendais pas : je la sentis partir, crier des mots d’amour – probablement en slovaque – son corps s’arc-boutant et retombant dans un orgasme foudroyant. Elle avait joui uniquement du travail que j’avais effectué sur ses seins. C’était étonnant !
— Milujem ťa, má lásko ; je t’aime mon amour, tu es magnifique. Tu es tel que je te désire, attentionné à mon propre plaisir avant le tien, mais je voudrais aussi que ce soit partagé et que je ne sois pas la seule à jouir comme une égoïste.
— Chut, ma belle Lucia, laisse-toi faire. Il faut que tu saches que partager un amour avec un homme de mon âge n’est pas multiplier les actes jusqu’à l’éjaculation, mais au contraire se faire plaisir mutuellement. Il me faut du temps pour régénérer et avoir une nouvelle érection, et cela n’a rien à voir avec le désir que j’éprouve pour toi. Tout est dans ma tête, et je viens d’éprouver un immense plaisir à te sentir gémir et exprimer ta joie dans ta langue natale. Je n’ai pas compris mais… j’ai deviné. Je t’aime !
Elle posa ses mains sur ma tête, comme apaisée. Elle avait besoin d’amour et j’allais lui en donner encore.
Mes mains, après cet arrêt inopiné, continuèrent l’exploration de son corps, caressant son ventre pour aboutir à la fourche de ses jambes, endroit plus que désiré que j’avais déjà exploré dans la cave. Mais je voulais varier les attentions à son puits d’amour, et quoi de plus beau pour cela que d’utiliser ma langue ?
Je me positionnai entre ses cuisses surélevées et posai ma bouche sur l’entièreté de son sexe glabre, comme pour l’avaler. Ma langue commença alors un long travail de sape, d’abord pour goûter les saveurs qu’elle avait émises lors de sa jouissance, puis en pénétrant peu à peu en elle, mon nez pouvant humer son odeur de femme heureuse, mais aussi en virevoltant autour de son clitoris sans le toucher. Ce mets délicat que j’avais au bout de la langue était plus qu’un délice : un rêve goûteux à souhait.
Lucia appréciait mes actions en prononçant « Ano ! Ano ! Nie ! » (ce qui, traduit du slovaque en français, veut dire « Oui ! Oui ! Non ! ») et en enserrant fortement ma tête entre ses cuisses.
Je répondis à cela en allant presser ses seins avec mes mains inactives. Elle se tortillait au rythme de mes actions, et les plaintes qu’elle émettait se transformèrent vite en cris, puis en hurlements de satisfaction. Ma femme était beaucoup moins expressive lorsque nous faisions l’amour, mais là, Lucia se libérait avec la fougue de sa jeunesse. Il était plus de minuit, elle allait réveiller tout le quartier !
Je décidai de porter l’estocade. Libérant ma main droite de son sein gauche, je fis pénétrer deux doigts dans sa chatte brûlante sans aucune difficulté, tant elle était mouillée, et j’entrepris le branle de son point G à une vitesse stupéfiante. Tout son être était agité par le travail de ma langue et de mes doigts conjugués. C’est alors que diaboliquement, je fis tourner ma langue sur son clitoris puis j’entamai une succion de celui-ci.
C’en était trop pour elle ; elle hurla « Baví ma ! Baví ma ! Baví maaaaaaaaa ! (Je jouis ! Je jouis ! Je jouiiiiiis !) Don’t stop ! Baví ma, moka láska (Je jouis, mon amour !) »
Elle s’écroula, trempée de ma salive et de sa mouille mêlées, épuisée.
Le temps de se remettre de ses émotions, elle se rassit dans le canapé et m’invita à venir à côté d’elle.
J’étais toujours habillé. Ne manquant pas d’humour, elle m’invita à me mettre à l’aise pour que nous soyons sur le même pied d’égalité.
— Tu peux aller dans la salle de bain si tu préfères, pour prendre une douche. Je te suis... dit-elle d’un air coquin.
Je me déshabillai prestement et fis couler la douche. Je m’apprêtais à me savonner quand je sentis un corps nu se coller à moi et de douces mains savonneuses prendre mon sexe. Elle entama des caresses précises, soulevant mes bourses, grattant mon périnée, remontant pour empoigner ma verge molle et la branler doucement, sans heurt. Le résultat fut rapide : je bandais à nouveau. Elle me fit tourner face à elle.
— Je vois que tu reprends de la vigueur. Je croyais que les vieux mettaient plus de temps ! Tu m’as menti : tu n’es pas si âgé que tu le dis, non ?
Tout cela sur le ton d’une douce ironie. Nos lèvres se joignirent à nouveau, étouffant ma réponse :
— Tu es une diableschhchch...
— Tu peux faire mieux j’en suis sûre…
Elle se laissa tomber à mes pieds et entama sa première fellation sur moi. Ses douces lèvres parcoururent ma hampe, happant mes bourses à sa base, remontant, léchant ma verge comme un esquimau pour venir l’engloutir complètement sans en laisser un seul centimètre.
Mon gland touchait sa luette, ses lèvres pressées touchaient mes gonades, qui à cet instant étaient prêtes à émettre leur semence.
Elle me pompait carrément comme pour m’extirper les dernières gouttes de mon jus. Ma bite était dure comme du bois. Je revivais sous sa langue qui s’enroulait autour de ma queue. Je voulus me retirer car je sentais que j’allais venir, mais elle pressa sur mes fesses pour m’en empêcher. Ce qui devait arriver arriva : je déchargeai à longs jets au fond de sa gorge. Elle avala tout, heureuse.
Je la fis relever et j’embrassai sa bouche pour sentir le goût de mon sperme et la remercier de cette marque d’amour que beaucoup de femmes n’aiment pas forcément donner. Ses seins durs touchaient mon torse et, stupéfaction, je ne débandais pas, galvanisé probablement par cette jeunesse qui se donnait à moi sans détours.
En voyant cela, nous nous essuyâmes rapidement et Lucia m’entraîna dans sa chambre. Elle s’allongea sur son lit et je vins sur elle, pressant mon vit sur son ventre. Je remontai pour le placer entre ses seins et me branler lentement entre eux. Elle m’aida dans cette démarche en les pressant avec ses mains. Elle me regardait amoureusement et me dit simplement :
— Viens !
Ni une, ni deux, je lui écartai doucement les cuisses, et après avoir ajusté mon sexe pour ouvrir ses lèvres avec mon gland, je démarrai une lente intromission facilitée par les sécrétions de plaisir qu’elle émettait. Ma bite coulissait sans heurt et emplissait sa matrice, lui faisant pousser des gémissements de plaisir. J’accélérai le rythme avec de grandes amplitudes, sortant complètement pour rentrer à nouveau, cela pendant plusieurs minutes. Je m’arrêtais parfois bien au fond pour qu’elle sente les palpitations de mon gland et je reprenais mon pilonnage endiablé. J’étais inépuisable à ce stade. Je la sentis jouir plusieurs fois (Baví ma ! Baví ma !) ; j’aimais de plus en plus ce leitmotiv qu’elle m’avait traduit…
Je la fis basculer sur moi pour qu’elle me chevauche et se donne du plaisir à son propre rythme. Je la redressai pour caresser ses seins, puis la fis pencher pour mordiller légèrement ses tétons. Elle se pâmait, me criant des mots d’amour en slovaque. C’est ce moment intense qui nous vit, dans une osmose complète, atteindre les sommets de la volupté à la même seconde. Moi en lui inondant son vagin de mon sperme renouvelé, elle en ayant ce spasme si spécifique de l’orgasme féminin. Elle s’écroula sur moi, épuisée. Nous nous endormîmes ensemble, enlacés tendrement, mon sexe amolli encore en elle.
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Lucia
dormait paisiblement sur le dos, la bouche légèrement entrouverte,
quand je me réveillai. Elle était belle dans cet état d’abandon total,
ses tétons dressés vers le ciel.
Je pensais à cette première journée, mais aussi tristement à mon prochain départ. Il ne nous restait que deux jours avant cela et je ne savais pas quelle serait la suite, moi à Paris, elle à Prague. La distance n’allait-elle pas détruire notre amour naissant ? Et d’ailleurs était-ce bien raisonnable de le poursuivre ? Tant de questions auxquelles je n’avais pas de réponse… pour l’instant.
Je me penchai sur elle et ma bouche se posa sur son sein droit. Ma langue tourna autour de son téton pour qu’il puisse se dresser et mes lèvres le prirent dans une douce succion. Je recommençai le même manège sur son sein gauche. Lucia se réveilla lentement ; je le sentis aux frissons qui commençaient à l’agiter.
— Dobrý deň, moja láska. Čo sladké prebudenie ! Vezmi ma chcem ťa !
— Tu peux me traduire ?
— Bonjour, mon amour. Quel doux réveil ! Prends-moi, je te veux ! dit-elle en s’étirant et en se tournant sur le côté.
Je me mis derrière elle et vins m’encastrer dans son dos. Mon pénis se mit à durcir au contact de ses fesses et se glissa dans sa raie culière. J’entamai un léger va-et-vient pour le rigidifier encore plus. Je passai ma main droite sous son corps pour lui prendre son sein droit ; ma main libre vint se placer tout naturellement sur son sein gauche. Elle gémissait de contentement.
Je soulevai sa cuisse pour faciliter l’intromission de mon sexe qui entra en contact avec les lèvres du sien. Ma main gauche, quittant un moment son sein gauche, m’aida dans cette tâche.
Puis, par petits à-coups, mon gland, telle une tête chercheuse, trouva l’entrée de son antre. Elle était un peu sèche car endormie encore, mais les mouvements de ses fesses me montraient qu’elle se réveillait et participait activement. Ses doigts, qu’elle fit pénétrer dans sa chatte, vinrent m’aider rapidement pour doucement me branler.
Il n’y avait plus aucune résistance de sa part, et c’est tout naturellement que je m’enfonçai d’une seule poussée au fond de sa matrice, un petit cri de sa part me signalant que j’étais bien au bout.
Dans cette position, elle était totalement abandonnée dans mes bras, ses seins fermes malaxés, ses pointes étirées, son vagin défoncé, à ma merci et j’en abusai. Elle en voulait encore, me le demandait, mais je commençais à fatiguer. Aussi, accélérant le rythme, je la fis haleter de plaisir pour finir en déchargeant toute ma semence en elle, repu, alors qu’un énième orgasme la prenait.
Elle se dégagea de notre éteinte violente et, tout en restant à côté de moi, elle se pencha, ses seins fermes touchant mon torse, baisa mes lèvres et me dit :
— Nikdy som si nepredstavoval, milovanie s mužom tak intenzívne. Milujem ťa láskou môjho života. Som moc s tebou, nechcem, aby si odišiel.
— Tu me dis quoi ?
Elle répondit en rougissant :
— Je te dis que jamais je n'aurais imaginé faire l'amour avec un homme d'une manière si intense. Je t'aime, amour de ma vie. Je suis trop bien avec toi, je ne veux pas que tu partes.
— Pourtant, tu sais que dans deux jours il faut que je rentre à Paris ?
— Oui, mais mon plus cher désir serait que notre aventure n’ait pas de fin. Tu crois que c’est possible ?
— Je ne sais pas encore. Chaque fois que je te mène à l’orgasme je dis oui, même si en mon for intérieur je sais que ce sera difficile. Tu as ta vie ici, tes études d’interprétariat, tes parents en Slovaquie, mes deux filles à peine plus âgées que toi… notre différence d’âge, beaucoup de points en suspens. Et puis ça ne fait qu’une journée que nous nous connaissons.
— Tu as raison. Alors profitons à fond des deux jours qui nous restent et nous réfléchirons à notre futur. Retourne à ton hôtel, prends tes affaires et viens loger chez moi. J’en profiterai pour faire des courses et te concocter des spécialités tchèques et slovaques. Je te ferai goûter aussi à nos vins et nous ferons l’amour toute la journée ; la nuit aussi.
Lucia rayonnait en disant cela. J’étais aux anges ; le démon de midi, comme on dit.
— Tu as intérêt à mettre beaucoup de piment si tu veux que je tienne le coup, parce qu’à mon âge c’est difficile de soutenir un tel rythme et je n’ai pas de Viagra dans mes valises, lui dis-je en riant.
Elle éclata de rire elle aussi dans une osmose qui nous réunissait tous les deux.
— Pour le Viagra, ça peut s’arranger : j’ai une copine pharmacienne. Tu veux bien ?
Que pouvais-je une fois encore lui refuser ?
— Oui : je ne veux pas qu’un seul instant soit gâché parce que je ne serai pas à la hauteur, lui dis-je en souriant.
— Alors ne perdons pas une minute ! Je prends ma douche, seule, car je commence à te connaître ! Tu as un double des clés de mon appart sur la table du salon. On se retrouve ici dans une heure ?
N’attendant pas ma réponse qui aurait été une évidence, elle déposa un baiser sur mes lèvres, sauta du lit et se dirigea vers la salle de bain. Quelques secondes plus tard, j’entendis l’eau qui coulait.
Je pensais à cette première journée, mais aussi tristement à mon prochain départ. Il ne nous restait que deux jours avant cela et je ne savais pas quelle serait la suite, moi à Paris, elle à Prague. La distance n’allait-elle pas détruire notre amour naissant ? Et d’ailleurs était-ce bien raisonnable de le poursuivre ? Tant de questions auxquelles je n’avais pas de réponse… pour l’instant.
Je me penchai sur elle et ma bouche se posa sur son sein droit. Ma langue tourna autour de son téton pour qu’il puisse se dresser et mes lèvres le prirent dans une douce succion. Je recommençai le même manège sur son sein gauche. Lucia se réveilla lentement ; je le sentis aux frissons qui commençaient à l’agiter.
— Dobrý deň, moja láska. Čo sladké prebudenie ! Vezmi ma chcem ťa !
— Tu peux me traduire ?
— Bonjour, mon amour. Quel doux réveil ! Prends-moi, je te veux ! dit-elle en s’étirant et en se tournant sur le côté.
Je me mis derrière elle et vins m’encastrer dans son dos. Mon pénis se mit à durcir au contact de ses fesses et se glissa dans sa raie culière. J’entamai un léger va-et-vient pour le rigidifier encore plus. Je passai ma main droite sous son corps pour lui prendre son sein droit ; ma main libre vint se placer tout naturellement sur son sein gauche. Elle gémissait de contentement.
Je soulevai sa cuisse pour faciliter l’intromission de mon sexe qui entra en contact avec les lèvres du sien. Ma main gauche, quittant un moment son sein gauche, m’aida dans cette tâche.
Puis, par petits à-coups, mon gland, telle une tête chercheuse, trouva l’entrée de son antre. Elle était un peu sèche car endormie encore, mais les mouvements de ses fesses me montraient qu’elle se réveillait et participait activement. Ses doigts, qu’elle fit pénétrer dans sa chatte, vinrent m’aider rapidement pour doucement me branler.
Il n’y avait plus aucune résistance de sa part, et c’est tout naturellement que je m’enfonçai d’une seule poussée au fond de sa matrice, un petit cri de sa part me signalant que j’étais bien au bout.
Dans cette position, elle était totalement abandonnée dans mes bras, ses seins fermes malaxés, ses pointes étirées, son vagin défoncé, à ma merci et j’en abusai. Elle en voulait encore, me le demandait, mais je commençais à fatiguer. Aussi, accélérant le rythme, je la fis haleter de plaisir pour finir en déchargeant toute ma semence en elle, repu, alors qu’un énième orgasme la prenait.
Elle se dégagea de notre éteinte violente et, tout en restant à côté de moi, elle se pencha, ses seins fermes touchant mon torse, baisa mes lèvres et me dit :
— Nikdy som si nepredstavoval, milovanie s mužom tak intenzívne. Milujem ťa láskou môjho života. Som moc s tebou, nechcem, aby si odišiel.
— Tu me dis quoi ?
Elle répondit en rougissant :
— Je te dis que jamais je n'aurais imaginé faire l'amour avec un homme d'une manière si intense. Je t'aime, amour de ma vie. Je suis trop bien avec toi, je ne veux pas que tu partes.
— Pourtant, tu sais que dans deux jours il faut que je rentre à Paris ?
— Oui, mais mon plus cher désir serait que notre aventure n’ait pas de fin. Tu crois que c’est possible ?
— Je ne sais pas encore. Chaque fois que je te mène à l’orgasme je dis oui, même si en mon for intérieur je sais que ce sera difficile. Tu as ta vie ici, tes études d’interprétariat, tes parents en Slovaquie, mes deux filles à peine plus âgées que toi… notre différence d’âge, beaucoup de points en suspens. Et puis ça ne fait qu’une journée que nous nous connaissons.
— Tu as raison. Alors profitons à fond des deux jours qui nous restent et nous réfléchirons à notre futur. Retourne à ton hôtel, prends tes affaires et viens loger chez moi. J’en profiterai pour faire des courses et te concocter des spécialités tchèques et slovaques. Je te ferai goûter aussi à nos vins et nous ferons l’amour toute la journée ; la nuit aussi.
Lucia rayonnait en disant cela. J’étais aux anges ; le démon de midi, comme on dit.
— Tu as intérêt à mettre beaucoup de piment si tu veux que je tienne le coup, parce qu’à mon âge c’est difficile de soutenir un tel rythme et je n’ai pas de Viagra dans mes valises, lui dis-je en riant.
Elle éclata de rire elle aussi dans une osmose qui nous réunissait tous les deux.
— Pour le Viagra, ça peut s’arranger : j’ai une copine pharmacienne. Tu veux bien ?
Que pouvais-je une fois encore lui refuser ?
— Oui : je ne veux pas qu’un seul instant soit gâché parce que je ne serai pas à la hauteur, lui dis-je en souriant.
— Alors ne perdons pas une minute ! Je prends ma douche, seule, car je commence à te connaître ! Tu as un double des clés de mon appart sur la table du salon. On se retrouve ici dans une heure ?
N’attendant pas ma réponse qui aurait été une évidence, elle déposa un baiser sur mes lèvres, sauta du lit et se dirigea vers la salle de bain. Quelques secondes plus tard, j’entendis l’eau qui coulait.
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Les deux jours qui passèrent filèrent à une vitesse grand V.
Nous vivions nus dans son appartement, et tout était prétexte à faire l’amour. Nous explorions nos corps à la découverte de nouvelles sensations.
Je la fis jouir de nombreuses fois dans toutes les positions, testant chaque pièce, y compris la buanderie où je la pris assise sur la machine à laver le linge en plein essorage.
Dans les moments où j’étais en pleine récupération, mes caresses intimes s’accompagnaient de pénétrations de son sexe soit avec un concombre que j’avais trouvé dans le frigo, soit avec ma main.
J’étais étonné de sa faculté à atteindre l’orgasme rapidement. Elle était faite pour l’amour. Elle me le rendait bien. Sa bouche, que j’adorais fouiller de ma langue, notamment quand nos sucs se mêlaient, était un vrai délice lorsqu’elle venait se poser sur mon sexe pour entamer de divines fellations. Elle avait le don de me faire bander en quelques minutes, surtout quand elle me prenait tout au fond de sa gorge et qu’elle me mettait un doigt dans l’anus pour venir me masser la prostate.
Le reste du temps, nous parlions beaucoup pour mieux nous connaître. J’appris tout de sa vie, elle apprit tout de la mienne.
Nos conversations étaient variées, et j’étais étonné de sa grande culture. Passionnée de musique classique mais aussi de jazz, elle était comme moi éclectique dans ses choix, paraphrasant le livre qui avait marqué ma jeunesse, Love Story d’Eric Segal : « Elle aimait Mozart, Bach, le jazz et les Beatles... Et moi. »
Nous vivions nus dans son appartement, et tout était prétexte à faire l’amour. Nous explorions nos corps à la découverte de nouvelles sensations.
Je la fis jouir de nombreuses fois dans toutes les positions, testant chaque pièce, y compris la buanderie où je la pris assise sur la machine à laver le linge en plein essorage.
Dans les moments où j’étais en pleine récupération, mes caresses intimes s’accompagnaient de pénétrations de son sexe soit avec un concombre que j’avais trouvé dans le frigo, soit avec ma main.
J’étais étonné de sa faculté à atteindre l’orgasme rapidement. Elle était faite pour l’amour. Elle me le rendait bien. Sa bouche, que j’adorais fouiller de ma langue, notamment quand nos sucs se mêlaient, était un vrai délice lorsqu’elle venait se poser sur mon sexe pour entamer de divines fellations. Elle avait le don de me faire bander en quelques minutes, surtout quand elle me prenait tout au fond de sa gorge et qu’elle me mettait un doigt dans l’anus pour venir me masser la prostate.
Le reste du temps, nous parlions beaucoup pour mieux nous connaître. J’appris tout de sa vie, elle apprit tout de la mienne.
Nos conversations étaient variées, et j’étais étonné de sa grande culture. Passionnée de musique classique mais aussi de jazz, elle était comme moi éclectique dans ses choix, paraphrasant le livre qui avait marqué ma jeunesse, Love Story d’Eric Segal : « Elle aimait Mozart, Bach, le jazz et les Beatles... Et moi. »
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Notre
dernier soir, alors que nous venions de terminer un repas typique
slovaque (un goulasch de porc) qu’elle avait concocté avec amour, le
tout arrosé de champagne de Bohème, elle m’entraîna dans sa chambre et,
tout à trac, elle me dit les mots suivants :
— C’est notre dernier soir ; je suis bien, mais je voudrais être encore plus à toi pour te prouver à quel point je t’aime. J’ai déjà donné ma virginité il y a quelques années, mais il y en a une autre qui m’appartient encore : j’aimerais que tu me prennes par derrière. Comment dit-on en français ? Par le cul ? Podľa somár en slovaque. Je veux que tu me possèdes, que tu me domines, que tu m’utilises selon tes désirs… J’ai envie d’être ta femelle, mais j’ai peur aussi d’avoir mal.
En disant cela, ses yeux s’emplirent de larmes. Je la pris dans mes bras, tendrement.
— Je ne sais plus quoi dire devant cette déclaration d’amour un peu triviale, ma chérie ; tu ne m’avais pas habitué à ce langage, mais j’ai compris que, ce soir, tu voulais te donner à moi entièrement. Aussi c’est pour moi le moment de te dire que je n’ai pas envie que ça s’arrête là.
Elle me regarda d’un air étonné, désireuse de comprendre. Elle buvait mes paroles.
— Je vais rentrer à Paris et dans deux mois, le temps de t’organiser, si tu le veux, tu m’y rejoindras. J’ai contacté hier mon meilleur ami ; il occupe un poste de haut responsable à l’UNESCO. Il te prend en stage dans son service où il a besoin d’une interprète de ta qualité dans les langues que tu maîtrises. Tu pourras, de concert, poursuivre tes études en Fac. Bien entendu, tu logeras chez moi ; chez nous, si tu préfères. Nous dirons que tu seras ma jeune fille au pair… Qu’en penses-tu ?
À peine avais-je terminé qu’elle éclata en sanglots. De sa voix hachée par les larmes, elle me dit :
— Oh, mon amour, c’est le plus cadeau que tu puisses me faire. Même dans mes rêves les plus fous, je n’aurais pas cru que notre histoire puisse continuer de la sorte. Je m’étais déjà mis en tête que ça allait être notre dernière nuit. Alors OUI, OUI et trois fois OUI, je le veux ! Je veux continuer à vivre avec toi. Je t’aime, Hervé. Maintenant prends-moi, déflore-moi du cul, je suis à toi, complètement, entièrement.
Nos bouches se rejoignirent dans un baiser profond, passionné, nos langues s’entremêlant. Mon désir montait, impérial…
— J’ai besoin de te préparer pour que cette première fois soit inoubliable et que tu ne souffres pas. Je n’ai pas de lubrifiant, mais on va faire sans, avec nos propres sécrétions. L’amour anal n’est pas anodin mais je vais te le faire aimer. Mets-toi à genoux au bord du lit, tout va bien se passer ; décontracte-toi.
Dans cette position, son sexe et son anus étaient entièrement à ma disposition, entièrement offerts. Je mis un doigt dans sa chatte et commençai un branle de son point G. Elle était déjà ruisselante.
J’approchai ma bouche de son petit trou et ma langue vint l’humidifier. Je crachai dedans, et avec mon doigt plein de sa cyprine je lui massai l'anus pour l’agrandir, le lubrifier et faire en sorte que mon sexe puisse le pénétrer sans heurt ; j’en ajoutai un autre pour l’élargir encore plus et assouplir ses sphincters.
— Ça va ? Je ne te fais pas mal ?
— Non, c’est bon ! Tu es doux… Je découvre la soumission avec toi, et j’aime. Je veux être ta chose. Tu peux continuer.
Mon long travail d’assouplissement arrivait à sa fin. Je jugeai qu’elle était prête pour sa défloration anale. Inutile de vous dire que je bandais comme un âne en plein rut.
J’approchai mon gland de son anus, le fis tourner sur sa corolle tout en poussant légèrement pour le faire pénétrer. Avec mon autre main je récupérai le nectar qui coulait de son sexe pour humecter ma colonne de chair qui allait bientôt l’empaler. Son vagin coulait comme une fontaine ; elle semblait aimer ça. Je sentis que le bout renflé de mon vit venait de franchir un premier obstacle. Elle poussa juste un petit cri.
— Ça va ? Je ne suis pas trop brutal ? Ça ne te brûle pas ?
— Si, un peu, mais continue. C’est passé. Va jusqu’au bout, je te veux !
Ses sphincters commençaient à s’habituer à l’intrusion ; je m’enfonçais inexorablement au fond de ses entrailles jusqu’au moment où mes couilles touchèrent ses fesses. Tout était entré ; Lucia n’avait pas crié, stoïque jusqu’au bout.
— Ça y est, tu es toute à moi. Je vais te défoncer et te faire jouir au maximum.
— Šuká do riti, moja láska ! Urob mi vaša vec ! Défonce-moi le cul, mon amour ! Fais de moi ta chose !
Surexcité par ce qu’elle me disait de manière si triviale, je commençai mes allers-retours dans son fondement ; d’abord doucement pour qu’elle s’habitue à mon pénis, puis de plus en plus rapidement. Elle poussait des cris que je crus être de douleur, mais elle me rassura en répétant comme une litanie, sur tous les tons, pendant tout le temps de sa sodomie « Šuká do riti, moja láska ! Défonce-moi le cul, mon amour ! »
Elle se branlait en même temps le clitoris. J’avais déjà tellement éjaculé pendant ces trois jours qu’à mon âge il devenait difficile de le faire encore une fois. J’étais du coup très endurant. Aussi, pour varier les plaisirs, j’alternais les pénétrations : une fois dans son cul, une fois dans son con, une fois dans son cul, une fois dans son con…
Mes mains avaient saisi ses seins dont je me servais comme de poignées pour mieux la pénétrer. Elle hurlait sa joie d’être ainsi traitée et en était à son deuxième orgasme. Je la sentais au bord de l’épuisement. Elle cria :
— Finis, mon chéri, j’en peux plus, tu vas me faire mourir de joie !
Mais quelques secondes plus tard, c’était pour me dire de continuer.
Alors que je venais de choisir la voie vaginale, je sentis ses doigts enserrer ma verge à l'entrée de sa chatte, ce qui eut pour effet de précipiter la venue de mon sperme. J’eus juste le temps de sortir et d’éjaculer dans son anus, nos deux cris montrant que nous étions arrivés à l’extase encore une fois ensemble.
Elle s’écroula sur le lit ; je la suivis, épuisé. Nous restâmes ainsi de longues minutes, puis nous nous sommes couchés côte à côte, main dans la main, heureux, pour nous dire encore et encore des mots d’amour.
Au petit matin, j’appelai un taxi qui me mena à l’aéroport. Je n’avais pas voulu qu’elle m’accompagne.
— C’est notre dernier soir ; je suis bien, mais je voudrais être encore plus à toi pour te prouver à quel point je t’aime. J’ai déjà donné ma virginité il y a quelques années, mais il y en a une autre qui m’appartient encore : j’aimerais que tu me prennes par derrière. Comment dit-on en français ? Par le cul ? Podľa somár en slovaque. Je veux que tu me possèdes, que tu me domines, que tu m’utilises selon tes désirs… J’ai envie d’être ta femelle, mais j’ai peur aussi d’avoir mal.
En disant cela, ses yeux s’emplirent de larmes. Je la pris dans mes bras, tendrement.
— Je ne sais plus quoi dire devant cette déclaration d’amour un peu triviale, ma chérie ; tu ne m’avais pas habitué à ce langage, mais j’ai compris que, ce soir, tu voulais te donner à moi entièrement. Aussi c’est pour moi le moment de te dire que je n’ai pas envie que ça s’arrête là.
Elle me regarda d’un air étonné, désireuse de comprendre. Elle buvait mes paroles.
— Je vais rentrer à Paris et dans deux mois, le temps de t’organiser, si tu le veux, tu m’y rejoindras. J’ai contacté hier mon meilleur ami ; il occupe un poste de haut responsable à l’UNESCO. Il te prend en stage dans son service où il a besoin d’une interprète de ta qualité dans les langues que tu maîtrises. Tu pourras, de concert, poursuivre tes études en Fac. Bien entendu, tu logeras chez moi ; chez nous, si tu préfères. Nous dirons que tu seras ma jeune fille au pair… Qu’en penses-tu ?
À peine avais-je terminé qu’elle éclata en sanglots. De sa voix hachée par les larmes, elle me dit :
— Oh, mon amour, c’est le plus cadeau que tu puisses me faire. Même dans mes rêves les plus fous, je n’aurais pas cru que notre histoire puisse continuer de la sorte. Je m’étais déjà mis en tête que ça allait être notre dernière nuit. Alors OUI, OUI et trois fois OUI, je le veux ! Je veux continuer à vivre avec toi. Je t’aime, Hervé. Maintenant prends-moi, déflore-moi du cul, je suis à toi, complètement, entièrement.
Nos bouches se rejoignirent dans un baiser profond, passionné, nos langues s’entremêlant. Mon désir montait, impérial…
— J’ai besoin de te préparer pour que cette première fois soit inoubliable et que tu ne souffres pas. Je n’ai pas de lubrifiant, mais on va faire sans, avec nos propres sécrétions. L’amour anal n’est pas anodin mais je vais te le faire aimer. Mets-toi à genoux au bord du lit, tout va bien se passer ; décontracte-toi.
Dans cette position, son sexe et son anus étaient entièrement à ma disposition, entièrement offerts. Je mis un doigt dans sa chatte et commençai un branle de son point G. Elle était déjà ruisselante.
J’approchai ma bouche de son petit trou et ma langue vint l’humidifier. Je crachai dedans, et avec mon doigt plein de sa cyprine je lui massai l'anus pour l’agrandir, le lubrifier et faire en sorte que mon sexe puisse le pénétrer sans heurt ; j’en ajoutai un autre pour l’élargir encore plus et assouplir ses sphincters.
— Ça va ? Je ne te fais pas mal ?
— Non, c’est bon ! Tu es doux… Je découvre la soumission avec toi, et j’aime. Je veux être ta chose. Tu peux continuer.
Mon long travail d’assouplissement arrivait à sa fin. Je jugeai qu’elle était prête pour sa défloration anale. Inutile de vous dire que je bandais comme un âne en plein rut.
J’approchai mon gland de son anus, le fis tourner sur sa corolle tout en poussant légèrement pour le faire pénétrer. Avec mon autre main je récupérai le nectar qui coulait de son sexe pour humecter ma colonne de chair qui allait bientôt l’empaler. Son vagin coulait comme une fontaine ; elle semblait aimer ça. Je sentis que le bout renflé de mon vit venait de franchir un premier obstacle. Elle poussa juste un petit cri.
— Ça va ? Je ne suis pas trop brutal ? Ça ne te brûle pas ?
— Si, un peu, mais continue. C’est passé. Va jusqu’au bout, je te veux !
Ses sphincters commençaient à s’habituer à l’intrusion ; je m’enfonçais inexorablement au fond de ses entrailles jusqu’au moment où mes couilles touchèrent ses fesses. Tout était entré ; Lucia n’avait pas crié, stoïque jusqu’au bout.
— Ça y est, tu es toute à moi. Je vais te défoncer et te faire jouir au maximum.
— Šuká do riti, moja láska ! Urob mi vaša vec ! Défonce-moi le cul, mon amour ! Fais de moi ta chose !
Surexcité par ce qu’elle me disait de manière si triviale, je commençai mes allers-retours dans son fondement ; d’abord doucement pour qu’elle s’habitue à mon pénis, puis de plus en plus rapidement. Elle poussait des cris que je crus être de douleur, mais elle me rassura en répétant comme une litanie, sur tous les tons, pendant tout le temps de sa sodomie « Šuká do riti, moja láska ! Défonce-moi le cul, mon amour ! »
Elle se branlait en même temps le clitoris. J’avais déjà tellement éjaculé pendant ces trois jours qu’à mon âge il devenait difficile de le faire encore une fois. J’étais du coup très endurant. Aussi, pour varier les plaisirs, j’alternais les pénétrations : une fois dans son cul, une fois dans son con, une fois dans son cul, une fois dans son con…
Mes mains avaient saisi ses seins dont je me servais comme de poignées pour mieux la pénétrer. Elle hurlait sa joie d’être ainsi traitée et en était à son deuxième orgasme. Je la sentais au bord de l’épuisement. Elle cria :
— Finis, mon chéri, j’en peux plus, tu vas me faire mourir de joie !
Mais quelques secondes plus tard, c’était pour me dire de continuer.
Alors que je venais de choisir la voie vaginale, je sentis ses doigts enserrer ma verge à l'entrée de sa chatte, ce qui eut pour effet de précipiter la venue de mon sperme. J’eus juste le temps de sortir et d’éjaculer dans son anus, nos deux cris montrant que nous étions arrivés à l’extase encore une fois ensemble.
Elle s’écroula sur le lit ; je la suivis, épuisé. Nous restâmes ainsi de longues minutes, puis nous nous sommes couchés côte à côte, main dans la main, heureux, pour nous dire encore et encore des mots d’amour.
Au petit matin, j’appelai un taxi qui me mena à l’aéroport. Je n’avais pas voulu qu’elle m’accompagne.
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Je suis rentré à Paris, et deux mois plus tard Lucia débarquait chez moi pour s’installer définitivement.
Inutile de vous dire que ces retrouvailles furent plus que brûlantes : nous avions tellement envie l’un de l’autre que, ne pouvant plus attendre, je l’ai même prise dans le parking de Roissy dès sa descente de l’avion. Mes deux filles, qui m’adorent, l’ont adoptée sans problème.
Nous nous sommes mariés un an plus tard.
Lucia, enceinte de trois mois, attend notre premier enfant ; ce sera une fille. Mes filles sont ravies par l'arrivée de cette demi-sœur inattendue.
Notre entente sexuelle et intellectuelle est parfaite. Nous vivons une lune de miel tous les jours, et tous les gens qui nous connaissent disent que nous rayonnons. Bien sûr, des mauvaises langues disent aussi que Lucia m’a épousé pour mon argent ; eh bien, elles se trompent !
En effet, le sort a fait que – malheureusement, quelques mois après son installation – ses parents ont été tués dans un accident de voiture en Slovaquie. Fille unique, Lucia a hérité de leur fortune. Elle est désormais beaucoup plus riche que moi.
Auteur : imaxparis
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