[Adam est seul dans la cuisine]
Deux jours ont passé
depuis la discussion que j'ai eue avec Jessica, ma fille. Je n'ai
toujours pas compris pourquoi elle s'était emportée lors de notre
conversation sur ses relations sexuelles. Cela m'a beaucoup surpris
d'apprendre qu'elle soit attirée par un homme d'une trentaine d'années.
Pourtant
très jolie, elle n'a encore jamais eu de petit ami à me présenter.
Jusqu'à cette déclaration, j'étais serein. Comme tous les pères, je
redoutais le jour où cela arriverait. Mais là, je n'osais même pas
imaginer son corps de dix-sept ans entre les mains d'un homme.
S'il
était comme Luc, mon meilleur ami, qui préfère les jeunes filles de
dix-huit à vingt ans, j'avais beaucoup de soucis à me faire. Bien
qu'étant marié, il les enfilait à tout-va, les oubliant aussitôt. Luc
prétendait que certaines étaient déjà très coquines pour leur âge, mais
il préférait celles qui ne s'y connaissaient pas trop. Dans ces
occasions, c'était un plaisir pour lui de leur faire tout découvrir. Il
disait avoir l'impression d'être un professeur et de rendre service à
ses successeurs.
Je préférerais qu'elle rencontre un homme comme moi,
doux et attentionné, préférant l'amour sensuel à l'amour bestial.
J'aimerais que ma fille trouve un homme qui prendrait soin d'elle et de
son plaisir.
C'est avec cette pensée que je jetai un coup d’œil à
l'horloge murale. Jessica avait cinq minutes de retard ; j'avais eu le
temps de finir de déjeuner avant qu'elle n'arrive, ce qui me surprenait.
Je décidai de monter à l'étage pour le lui faire remarquer. Ma fille
sortait de la salle de bain ; elle manqua de me heurter lorsque je
parvins sur le palier.
— Bonjour Papa ! sourit-elle.
Je
remarquai que la blondinette n'était toujours pas maquillée. Ses cheveux
trempés dégouttaient sur ses épaules nues. Son corps était enveloppé
dans une serviette de bain rose qui lui montait haut sur les cuisses.
— Bonjour ma chérie ; tu n'es toujours pas prête ?
Elle sentait bon le gel douche et le parfum.
— Je suis restée sous l'eau chaude, s'excusa-t-elle.
— Et tu vas partir avec les cheveux mouillés ?
— J'ai pas le temps de les sécher, déclara-t-elle.
Jessica
passa brusquement une main dans le haut de son dos, ce qui eut pour
effet de dévoiler un sein rond et ferme. Le téton rose pointait dans ma
direction. Sa peau frissonnait. Elle me regardait sans rien dire, les
lèvres entrouvertes. Je devinai qu'elle avait remarqué que je n'avais
rien manqué de ce beau spectacle. À ma grande surprise – et pour mon
plus grand plaisir – ma fille ne remontait pas sa serviette. Une goutte
d'eau chuta sur sa clavicule. Je la rattrapai du bout du doigt avant
qu'elle ne descende plus bas sur le sein dénudé.
— Tu risques d'attraper froid, murmurai-je d'une voix lointaine.
Le
temps semblait s'être arrêté. Ma fille posa sa main sur la mienne. Elle
me regardait droit dans les yeux. J'avais le souffle coupé devant le
désir que je voyais brûler dans ses prunelles bleu lagon. Mon cœur
tambourinait dans ma poitrine. Je pouvais sentir le sien qui battait
aussi fort sous ma main. Nous paraissions attendre que l'autre fasse le
premier pas. Ma conscience ne cessait de me répéter que c'était
dangereux et que la limite à ne pas franchir était fragile.
Je la
trouvais incroyablement sexy, nue sous cette serviette. J'avais envie
de caresser ses seins, plus beaux que dans mes fantasmes. Je voulais les
effleurer, les câliner, les masser, les embrasser et les téter. Je
souhaitais lui faire découvrir qu'elle pouvait y prendre beaucoup de
plaisir si un homme s'y employait avec beaucoup de douceur et de
patience. J'embrassai délicatement son front.
— Tu devrais te dépêcher, lui conseillai-je.
Je
remontai le pan de serviette qui avait glissé et le lui remis dans sa
main. Je m'éloignai d'elle sans dire un mot en essayant de cacher au
mieux mon trouble. Cela faisait quelques nuits que je rêvais de son
corps, me maudissant au réveil. Le fait d'avoir pu le découvrir en
partie avait éveillé mon désir. J'étais sensible à sa beauté et sa
féminité.
Je me rendis dans la cuisine afin d’accomplir mes
tâches quotidiennes. L'horloge m'indiqua qu'il ne restait plus que vingt
minutes avant d'emmener ma fille au lycée et de partir ensuite au
travail.
— Jess, tu vas être en retard ! criai-je.
Quelques
minutes plus tard, la belle fit son apparition, toute rayonnante et
souriante. Mes yeux glissaient sur ce jeune corps parfait vêtu d'une
tunique pourpre nouée par une épaisse ceinture. Le vêtement très sexy
tombant à mi-cuisses dévoilait de belles jambes habillées de leggins
noirs et de bottines à talons. Elle s'était légèrement habillée, comme à
son habitude.
Mes yeux ne pouvaient quitter la forme arrondie de
sa poitrine. Je revoyais sa peau frissonnant au contact de mon doigt et
ce joli téton tout rose, dressé, attirant mes lèvres et ma langue.
L'envie de les caresser et de les embrasser s'imposa encore à moi.
Jessica passa à mes côtés silencieusement en souriant, sans me regarder.
Elle se servit un bol de café tandis que je remplissais le lave-linge.
Soudain, mes doigts attrapèrent une petite chose douce et super sexy. Je restai bouche bée en la regardant.
— Qu'est-ce que c'est que ça ? demandai-je en tenant la lingerie du bout des doigts par pudeur.
— C'est le shorty que j'ai porté hier, sourit-elle le plus naturellement du monde.
Celui-ci était fait d'une matière synthétique blanche rehaussée d'une ceinture en dentelle rose.
— Depuis quand mets-tu ce genre de choses ? demandai-je, mi-gêné, mi-intrigué.
—
Depuis avant-hier. Normalement, tu devrais trouver le tanga rouge que
j'ai mis à laver hier, dit-elle en fouillant le linge sale. Ah le voilà !
s'écria-t-elle en le brandissant à deux mains.
Je fixais la
dentelle d'un air béat. Ma femme n’avait jamais mis un truc pareil
lorsque nous vivions ensemble. Et parmi le peu de femmes que je
rencontrais, rares étaient celles qui en portaient.
— Tu préfères ça ou mes chiffons de petite fille ? demanda-t-elle en me montrant une culotte en coton.
—
J'aime bien les petits nœuds sur le devant, commençai-je sincèrement ;
mais c'est vrai que ça (je pris le shorty à deux mains afin de mieux le
voir) c'est vraiment plus... euh... sexy.
Mes yeux allaient et
venaient de la lingerie à son corps. Je ne pouvais m'empêcher de
l'imaginer sur elle. Mon désir déjà bien éveillé s'aiguisa tout à fait.
Je sentis mon sexe finir de se développer dans mon pantalon.
— Je m'en suis acheté toute une collection lorsque j'ai fait ma sortie shopping avec mes copines l'autre jour, déclara-t-elle.
En effet, je me souvenais que celle-ci avait eu lieu trois jours auparavant.
Soudain, ma fille me tourna le dos et se cambra.
— Qu'est-ce que tu penses de celui-là ? demanda-t-elle en baissant ses leggins.
Jessica
m'offrait une vue imprenable sur son magnifique cul. Elle portait un
boxer noir, trop court pour couvrir entièrement son fessier tendu.
—
Je me demande si c'est la dentelle qui te fait de belles fesses, ou
bien tes fesses qui rendent la dentelle si belle, la complimentai-je en
me léchant les lèvres.
Jessica me sourit en se rhabillant. Je regrettai de ne pas avoir encore mis ma veste de costume pour cacher ma belle érection.
Elle
terminait son petit déjeuner tandis que je glissais son shorty blanc
dans ma poche. Je l'avais trouvé si sexy que je désirais me caresser
avec plus tard.
— Papa, est-ce que je peux te présenter quelqu'un ce soir, après les cours ?
— J'ai une réunion ce soir, commençai-je. Je devrais rentrer vers 18h30. Tu as une nouvelle amie ?
— Non... euh... C'est un petit ami, hésita-t-elle.
Je mis un temps bref pour avaler l'annonce.
— C'est pour lui que tu portes cette lingerie ? demandai-je sur un ton trop brusque.
Jessica
baissa les yeux en rougissant. J'avais senti la colère m'envahir
subitement. J'étais jaloux de ce petit ami qui avait le droit d'admirer
et de désirer ouvertement son magnifique corps dans cette dentelle.
—
Non, pas du tout ! s'exclama-t-elle. C'est juste que... je me suis dit
que... Comme tu as remarqué que j'étais devenue une femme alors... je
pouvais commencer à mettre de jolis sous-vêtements féminins.
— Oh ! fis-je penaud... Ça fait combien de temps que vous êtes ensemble ?
— Quatre jours.
— C'est tout neuf, souris-je. Tu es amoureuse ?
—
Eh bien, pas vraiment. Mais mes copines m'ont dit qu'il était temps
pour moi que j'en aie un et elles se sont arrangées pour m’en trouver
un.
— Attends, tu veux dire que ce n’est pas le type de mon âge dont tu me parlais ? remarquai-je.
— Ben... Non, fit-elle, déçue. C'est le premier de ma classe.
—
Oh ! Un intello ! fis-je fièrement. Si tu le trouves mignon, tu vas
devoir y faire attention. Les femmes recherchent toutes un homme beau et
intelligent.
— Si c'était le cas, Maman serait toujours avec toi ! répliqua-t-elle d'un ton cinglant.
—
Euh... Merci, répondis-je bêtement. Puisqu'on parle de petit ami, je
suppose qu'il est temps qu'un médecin te prescrive la pilule.
— Je veux pas coucher avec lui ! s'écria-t-elle, ce qui me rassura.
— Tu sais ces choses arrivent plus vite qu'on s'y attend. Et ça me rassurerait de te savoir protégée.
— D'accord, soupira-t-elle longuement en levant les yeux au ciel.
Je
pris tendrement son visage dans une main. Jessica y appuya sa joue et
joint sa main à la mienne. L'envie d'embrasser ses lèvres roses et
gourmandes me fit soupirer.
— J'espère qu'il sait la chance qu'il a de t'avoir, murmurai-je. Et j'aurai une conversation d'homme à homme avec lui.
— Quel genre ? s'inquiéta-t-elle devant mon ton menaçant.
— Le genre qu'un père aimant se doit d'avoir avec le petit ami de sa fille.
Elle haussa joliment un sourcil interrogateur.
— S'il te fait souffrir ou se comporte mal avec toi, je lui ferai subir la même souffrance en dix fois plus intense.
Jessica déglutit difficilement.
— Allez ! Il est l'heure de partir, lançai-je.
Sur
le trajet du lycée, j'avais envie de lui demander pourquoi est-ce que
finalement la liaison qu'elle souhaitait tant avec l'homme mystérieux
n'avait pu aboutir. Cependant, je ne le fis pas.
J’abaissai sa vitre
afin de la regarder s'éloigner. J'admirai le dodelinement de son joli
cul que j'aimais tant. Je n'avais peut-être pas le droit d'avoir de
relation incestueuse avec ma fille, mais le simple fait de pouvoir
l'admirer et la désirer en secret me devenait précieux.
Elle
rejoignit ses amies qui m'adressèrent un signe de la main et de grands
sourires. J'eus même droit à un clin d’œil qui me fit sourire.
Je
remontai la vitre teintée et sortis le shorty de ma poche. Il était
très doux. Je le portai machinalement à mon visage pour respirer la
merveilleuse odeur qu'il dégageait. Je l'embrassai délicatement et le
serrai fortement dans ma main.
— S'il me porte chance, je le garderai, souris-je bêtement.
Sur
le trajet, je me caressai par-dessus la fine toile de mon pantalon avec
la lingerie de ma fille. Mon sexe en érection, trop à l'étroit dans mes
vêtements, demandait à être libéré. J'avais hâte d'arriver et de me
caresser en fantasmant sur sa belle poitrine et ses sublimes fesses.
Cela ne m'était encore jamais arrivé, mais pourquoi pas... Juste une
fois.
Lorsque j'arrivai sur mon lieu de travail, je fus déçu de
constater que mon premier rendez-vous m’attendait déjà dehors. Il
s'agissait de Sofia, une jeune italienne de dix-huit ans qui étaient
placée en famille d'accueil. C’était une brune aux grands yeux noirs et à
la peau mate. Ses longs cheveux relevés étaient retenus négligemment
par une pince derrière la tête. Cette coiffure lui donnait facilement
deux ans de plus. Sa large bouche, aux lèvres pulpeuses maquillées en
rouge me sourit.
— Bonjour, tu es en avance, lançai-je.
— Bonjour, oui je sais, répondit-elle. J'ai plein de trucs à faire après.
— Je t'en prie, entre, dis-je en lui tenant la porte.
Cela
m'arrangeait bien qu'elle soit pressée. Je la fis entrer dans mon
bureau. Je m'assis confortablement sur mon siège tandis qu'elle ôtait
son manteau rouge vif qui lui arrivait à mi-cuisses. Cela eut pour effet
de révéler ses formes généreuses.
Sofia portait un pull blanc,
court et très décolleté, à même la peau. Il était si fin que je voyais
ses gros mamelons foncés au travers. Elle portait également une
mini-jupe noire, évasée et transparente. Ses jambes étaient couvertes de
collants en résille à larges mailles. J'étais scandalisé par sa tenue
vestimentaire, bien que j'aurais dû m'y habituer depuis un an que je la
suivais.
— Pourquoi as-tu avancé notre rendez-vous ? demandai-je.
— Parce que j'ai besoin de fric, annonça-t-elle.
— Je ne vais rien pouvoir faire pour toi. Je t'ai donné ton argent de poche du mois la semaine dernière.
Je
trouvais que certains de ces jeunes ont la vie trop facile. Nous,
éducateurs, avons l'obligation de leur donner une enveloppe par mois,
qu'ils peuvent utiliser pour se vêtir et pour leurs loisirs.
Heureusement que cela sortait des caisses de l’État. Nous devions aussi
les aider à trouver une formation qualifiante ou un emploi stable.
Seulement, mademoiselle Sofia n'aimait pas se bouger le derrière.
— Je sais, mais j'ai besoin d'une avance sur le mois prochain.
—
Tu sais très bien que je ne peux pas faire ça, lançai-je fermement. Et
je peux savoir pourquoi tu ne t'es pas présentée à ton entretien
d'embauche hier ?
— J'ai oublié et j'avais autre chose à faire !
— C’n’est pas comme ça que tu vas t'en sortir ! Comment est-ce que je peux t'aider si tu ne fais pas d'efforts de ton côté ?
— Ben, donne-moi mon argent et je fais tous les efforts que tu veux !
— Ça ne marche pas comme ça ! Mais y a une question à laquelle j'aimerais bien que tu répondes.
— Laquelle ? demanda-t-elle d'un air maussade.
— Pourquoi est-ce que ma fille de dix-sept ans a besoin de mettre ça ? lui demandai-je en lui montrant le shorty.
—
C'est super sexy ! Mais moi je ferais pas que te montrer ma lingerie,
déclara-t-elle d'un ton provoquant ; je te sucerais tous les jours si
j'étais ta fille !
— Tu veux dire qu'elle fait exprès de me montrer ça ? demandai-je, perplexe.
— Ben oui ! Une fille met et montre ses dessous sexy au mec qu'elle veut se taper ! C'est une invitation, tu vois !
J'en
restai bouche bée. Si elle disait vrai, ma fille aurait donc fait un
pas vers moi. Et si me dévoiler un sein en était un deuxième ? Mon cœur
bondit de plaisir dans ma poitrine, mais je restais sceptique. Pourquoi
me séduirait-elle ?
— Je suis son père, pourquoi ferait-elle ça ?
— Sûrement pour avoir plus d'argent de poche ou plus de cadeaux, dit-elle en haussant les épaules.
— Ça n'a pas de sens.
—
Tu connais pas les filles, toi ! lança-t-elle. On est prête à tout pour
avoir ce qu'on veut ! Quand j'ai vraiment besoin de fric, je couche
avec Hervé ou je lui fais des gâteries. Si c'est bien fait, il me donne
plus que ce que je demande.
J'étais complètement choqué par son
aveu. Hervé était le chef de sa famille d'accueil. Il représentait donc
l'autorité parentale. Comme moi avec ma fille.
— Qu'est-ce qu'il se passe s'il ne te paye pas ?
— Je dis à Jacqueline qu'il me force à coucher avec lui et qu'il me touche.
— Et c'est vrai ?
— Bien sûr que non ! C'est juste pour le forcer à payer et à recommencer !
Le jeu malsain dans lequel elle avait entraîné le pauvre quadragénaire me mettait mal à l'aise.
— Ça arrive souvent ? demandai-je.
— Ben, à chaque fois que j'en ai besoin.
— Ça ne te gêne pas qu'il soit assez âgé pour être ton père ?
—
Ah ! Non pas du tout ! J'ai jamais autant pris mon pied et il m'apprend
plein de trucs. Il est très cochon, tu sais, déclara-t-elle fièrement.
— Tu fais quoi avec tout cet argent ? demandai-je en essuyant son commentaire.
—
Je m'achète de la beuh, avoua-t-elle. J'ai trouvé un vendeur qui en a
de la bonne. Avant, il était OK pour que je lui fasse une pipe ou pour
que je couche avec lui en échange. Mais il a eu des problèmes avec son
dealer. Alors, maintenant, je suis obligée de payer.
— Tu te drogues ! m'exclamai-je, surpris.
— Je préfère fumer des joints que des clopes. J'ai pas envie de choper un cancer des poumons.
—
Les joints attaquent tes neurones, ce n’est pas mieux, répliquai-je en
lui tendant un dépliant sur la prévention des drogues. Lis ça et on en
reparle au prochain rendez-vous.
Je la congédiai afin de ne pas
m'éterniser. Son langage vulgaire faisait faiblir mon érection. J'avais
hâte qu'elle s'en aille avant de l'anéantir complètement.
— OK, et tu fais quoi pour moi ? demanda-t-elle.
— On verra ensemble pour t'aider à décrocher.
— Non, je veux dire là, tout de suite.
— Je ne peux rien faire de plus. Tu devras attendre le mois prochain pour ton argent de poche.
— Vas-y ! J'ai besoin de fric ! Je suis en manque !
— Pourquoi tu ne demandes pas à Hervé ?
— Non, je lui ai vidé les couilles et les poches hier, déclara-t-elle. Il a plus un rond... Mais, je pourrais te sucer.
— Non, merci, lançai-je brusquement.
Je
sentais le piège à plein nez. Je ne pouvais pas prendre le risque de
perdre mon emploi et un marchandage pareil pouvait aller très loin.
— Tu vas aimer ça, insista-t-elle. Je suce super bien. Je vais te faire prendre ton pied comme jamais tu l'as pris.
— Mon pied va très bien, merci. Ça ne m'intéresse vraiment pas.
— Y en a pour cinq minutes et après je m'en vais.
—
Cinq minutes ? Ça ne vaut même pas le coup ! Et puis, si un jour je te
dis que ça ne m'intéresse plus tu vas me menacer ? Je préfère que tu me
suces pour me remercier du mal que je me donne pour toi que pour
t'acheter de la drogue.
— J'aurai pas besoin de t'en faire,
déclara-t-elle, sûre d'elle. Je te sucerai si bien que tu me demanderas
toi-même de te le faire et tu me payeras sans que je te demande rien.
Son
assurance commençait à m'exciter. C'était la première fois qu'une
femme, même si jeune, proposait de me sucer. Pas besoin de perdre du
temps à la séduire : elle se mettait à ma disposition. C'était un
fantasme de longue date.
— Ce n'est pas dans mes habitudes de payer une femme pour passer de bons moments avec elle, commençai-je. Tu demandes combien ?
— 50 euros.
— 50 euros pour me sucer cinq minutes ?! Certainement pas ! C'est 20 euros ou rien.
— 20 ?! Mais c'est juste une barrette de shit ! s'écria-t-elle.
— T'auras qu'à la faire durer, répliquai-je.
— 40 et je te suce dix minutes, essaya-t-elle de négocier.
— Non, je ne te donnerai pas plus de 20. Si ça ne te convient pas, tu peux partir.
— Bon d'accord, va pour 20 euros, céda-t-elle.
Sofia me regardait comme si elle attendait quelque chose.
— Ben qu'est-ce qu'on fait ? demanda-t-elle après un moment de silence.
— C'est toi qui veux me sucer ; alors viens te servir ! ordonnai-je.
Je
reculai ma chaise. Sofia vint s'agenouiller à mes pieds. Elle me sourit
en ouvrant ma ceinture et ma braguette. La jeune fille passa sa main
dans l'ouverture et caressa mon sexe par-dessus mon boxer. Le membre
somnolent ne tarda pas à se réveiller. Elle remplaça sa main par sa
langue, lui faisant faire des va-et-vient. Puis elle mima une fellation
sur le tissu. Mon sexe retrouva toute sa vigueur entre ses lèvres.
J'avais hâte de m'enfoncer dans sa bouche. Sofia lécha la ceinture de
mon boxer. Elle passa sa langue dans l'ouverture que formait mon gland
gonflé, puis elle le lécha. Je fermai les yeux à ce contact agréable.
Je
ne la trouvais pas très jolie, avec ses yeux globuleux trop rapprochés.
Son nez paraissait trop petit entre ses joues rondes. Sa bouche aspira
mon membre qui buta sur son palais. Sa langue s'agitait sur ma verge.
Elle commença à faire des va-et-vient en variant la vitesse et la
profondeur. Sofia avait raison : elle était habile. Si elle continuait
aussi intensément, je n'allais pas tarder à jouir.
— Tu aimes ? demanda-t-elle en léchant ma verge sur toute sa longueur.
— Oui, beaucoup, dis-je de ma voix rendue rauque par le plaisir. Tu suces bien.
— Je te l'ai dit... Mais je n'avale pas, prévint-elle.
— Tais-toi et suce ! ordonnai-je.
Mon
envie était trop pressante pour que je perde mon temps en badinages. Je
plaçai ma main derrière sa nuque et abattit sa bouche sur mon sexe. Je
l'encourageai à faire des va-et-vient rapides et profonds.
Tandis
que je me faisais sucer, je portai le shorty de ma fille contre mon
nez. J'en respirai son odeur sexuelle. Je l'imaginais se caressant et
mouillant abondamment dedans. Cela m'excitait autant que si je me
branlais avec. Je revoyais ma fille avec sa serviette, son sein dénudé.
Je m'imaginais l'embrassant langoureusement en la débarrassant de ce
linge. Je caressais chaque partie de son corps, ses seins d'abord. Sur
lesquels je me serai attardé pour les lécher et les embrasser. Je
l'aurais fait gémir de plaisir. Puis, j'aurai caressé tendrement ses
fesses, les massant, les écartant pour passer mes mains à l'intérieur de
ses cuisses. J'aurais effleuré cette partie sensible sur les côtés de
son vagin, sans toucher son sexe. Je l'aurais tant sollicitée qu'elle
aurait tendu son cul sublime dans mes mains. Je les aurais fait remonter
le long de sa raie sans toucher son anus, mais de façon à caresser ses
fesses de l'intérieur en les écartant délicatement. J'aurais ainsi fait
de longs va-et-vient interminables.
Et quand, enfin, ses
trémoussements d'envie se feraient pressants, je lui aurais caressé
tendrement sa minette. Je lui aurais titillé son clito du bout du doigt
en faisant de petits cercles jusqu'à la faire jouir. Puis après,
j'aurais inséré un doigt dans son vagin serré, humide et brûlant. Je
serais parti à la recherche de son point G. Je l'aurais sollicité tout
en lui caressant à nouveau le clito, jusqu'à lui donner un orgasme.
J'avais envie d'entendre ma fille hurler de plaisir et crier mon nom. Je
voulais la sentir mouiller dans mes mains. Qu'elle frotte son beau
corps contre le mien. Qu'elle me supplie de la faire jouir encore. Je
n'en pouvais plus. Je la désirais trop fort.
J'attrapai les joues
de Sofia à pleines mains et je leur fis faire des va-et-vient de plus
en plus profonds sur mon sexe, qui n'allait pas tarder à exploser. Je
lui remplissais la bouche au maximum. Elle en avait des haut-le-cœur,
mais j'étais trop excité pour m'arrêter. La jeune fille posa ses mains à
plat sur mon ventre et me repoussa pour que je n'aille pas trop loin.
— Ouvre bien ta bouche pour ne pas avoir mal, lui conseillai-je.
Ce
qu'elle fit aussitôt. J'en ai profité pour m'enfoncer plus profondément
dans sa gorge, poussant plus loin à chacun de ses haut-le-cœur. Mon
sexe entra enfin entièrement dans sa bouche. Cela m'excitait de le
sentir coulisser entre ses joues, sous mes mains.
Soudain, la
vision du beau visage de ma fille à la place de celui de Sofia s'imposa à
moi. Voir ainsi mon sexe entre ses lèvres m'excita plus que je ne pus
le supporter. Je fus surpris par la puissance du jet de sperme que je ne
pus retenir. Ma pénétration devint plus lente et plus douce entre les
lèvres accueillantes. Je poussai des râles rauques de plaisir. L'orgasme
me submergeait, provoquant des spasmes dans tout mon corps.
Je
maintins mon sexe dans la bouche de Sofia le temps que je me calme et
que mon sperme ait fini de gicler. Je lui tendis un mouchoir et la
laissai se retirer. Des gouttes de jus accompagnèrent son mouvement,
s'échappant de ses lèvres. Sofia prit le papier et y cracha tout ce
qu'elle put.
— Je suis désolé, m'excusai-je ; c'est la première fois que ça m'arrive.
Des
larmes gouttaient au coin de ses yeux. Ne sachant comment réagir, je me
rhabillai et lui tendis 30 euros. Sofia les prit sans dire un mot et
partit.
Cela m'avait beaucoup plu, mais je me retrouvais seul
comme lorsque je me satisfaisais moi-même. Bien que les sensations et
l'acte soient différents, j'étais tout de même blasé par ce manque
d'affection et de partage. Le shorty de Jessica posé sur mon bureau,
devant moi, me fit penser à elle. Je revis son magnifique sourire et le
regard profond de ses yeux bleus lagon. Je poussai un long soupir.
J'étais surpris de ressentir un manque de ma fille m'envahir.
Je
pris mon portable et lui envoyait un texto : " Je t'ai trouvée très
jolie, ce matin. " Je m'aperçus que ce n'était pas l'heure de sa
récréation et qu'elle pouvait avoir des ennuis avec son professeur à
cause de moi. Je me trouvais aussi ridicule de lui avoir dit un truc
pareil alors que je la trouvais belle tous les jours. C'est juste que de
la savoir nue sous sa serviette et sans maquillage, je l'avais trouvée
encore plus attirante.
Une heure plus tard, je reçus un texto.
Jessica me répondait : " Merci, je suis très touchée. Je t'ai trouvé
très élégant aussi dans ta nouvelle chemise. Je t'aime. " Je fus surpris
qu'elle ait remarqué qu'elle était neuve. Ce qui prouvait qu'elle me
regardait plus que je ne le pensais. Je souris tout seul et commençai ma
journée de très bonne humeur. J'avais hâte de la finir afin de
retrouver ma fille.
Auteur : Feeling
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