jeudi 2 octobre 2014

Le club des nymphes (15 et 16)

Relisez les chapitres 13 et 14
CHAPITRE 15 (ELODIE) : NEGOCIATIONS


Sérieusement ? Mais que vient-il de se passer au juste ? Thomas vient de me repousser. Qu'est-ce que cela veut dire ? Suis-je moins attirante d'un coup, au point que même mon pervers incestueux de frère ne veuille plus de moi ? Ça ne peut être possible, je dois être en train de rêver. Personne ne m'a jamais repoussée. Ce n'est pas aujourd'hui que cela va commencer, surtout pas lui. Non, je refuse. Je n'ai pas dit mon dernier mot.
Je frappe :

— Ouvre moi la porte, petit frère. Il faut qu'on parle.

Pas de réponse, ce fumier m'ignore. Il s'est enfermé dans sa chambre et refuse de me parler. Si seulement j'arrive à lui faire ouvrir la porte, je suis sûre de pouvoir reprendre le contrôle de la situation. Thomas ne peut pas m'échapper maintenant. J'ai encore besoin de lui pour convaincre la petite conne d'abandonner la course à la présidence. De plus, je n'aime pas ne pas finir ce que j'ai commencé, et je dois avouer que j'étais tout excitée en attendant le retour de mon frère à l'idée d'avoir de nouveau sa bite dans ma bouche.

— Allez, petit frère… insisté-je. Ouvre-moi, s'il te plaît. Je sais que tu en as autant envie que moi.

Putain, toujours pas de réponse. Cela commence sérieusement à m'agacer. Je suis sûre que d'une façon ou d'une autre ces salopes de Sarah et Louise ont réussi à le monter contre moi. Je dois avouer que ces garces sont douées. Qui aurait pu croire qu'elles le soigneraient de sa perversité ? Merde, mais je vais vraiment finir par perdre mon frère. Elles sont bel et bien en train de me le voler. Non, je refuse !

— Putain, sale petit merdeux, lui hurlé-je en tapant comme une forcenée sur la porte. T'as pas le droit de me faire ça ! T'as pas le droit de me jeter comme de la merde. Ouvre-moi la porte ou tu me le paieras très cher !

C'est injuste ! Il ne peut pas guérir de sa perversité au moment même où la mienne est en train de progresser. Pourquoi ? Je ne comprends pas sa réaction. Je sais qu'il bande sur moi depuis des années. Comment se fait-il que la situation ait changé ? Ces garces sont douées, mais je suis meilleure qu'elles, non ? Alors, pourquoi me fuit-il maintenant ? Est-ce moi qui ai fait quelque chose de travers ? Je ne peux pas laisser cela se faire. Je dois leur reprendre mon frère.

— Excuse-moi, Thomas, je ne voulais pas dire cela. Tu sais, j'ai réfléchi. Je suis prête maintenant, prête à me donner à toi. Ouvre-moi, s'il te plaît.

Oui, je suis prête ! Prête à tout pour le reprendre et le posséder. Je ne laisserai plus aucune fille l'approcher. Je le veux rien qu'à moi. Je veux qu'il me désire comme avant. Je suis prête à tout.

— Allez, petit frère, ouvre-moi… l'imploré-je. Je ferai tout ce que tu désires. Je peux même t'offrir mon cul si tu le veux. Tu sais que jamais personne n'est passé par là ? Tu serais le premier. Dis, tu ne veux pas défoncer mon joli petit cul ? Je suis sûre qu'il t'a toujours bien fait bander. Oh, si tu savais à quel point j'ai envie de te sentir en moi… Viens m'enculer, s'il te plaît.

Rien n'y fait, il n'ouvre toujours pas. Je perds vraiment espoir. Si même la promesse de me donner complètement à lui ne marche pas, c'est que la situation est bien plus grave que je ne le croyais au début. Je viens de perdre mon frère et par la même occasion la meilleure chance que j'avais de faire abandonner la petite conne. Il ne veut plus de moi ! Une larme coule le long de ma joue. C'est comme si on m'avait arraché une partie de moi. Même si j'ai très longtemps ressenti du dégoût envers les désirs incestueux de mon frère, j'ai fini par m'y habituer et à aimer le fait de l'exciter. J'ai pris plaisir à jouer avec lui pour le rendre dingue, à le torturer. Et contre toute attente, j'ai finalement même pris du plaisir à le sucer. Maintenant, tout cela s'écroule comme un château de cartes ; toutes mes certitudes volent en éclats, tout ce que je croyais acquis se révèle bien plus fragile que ce que j'imaginais. Mon ego en prend un sacré coup.

J'abandonne ! J'en ai marre. Je rejoins à mon tour ma chambre et me jette sur mon lit. Je prends mon portable et téléphone à mon parrain. J'ai besoin de baiser pour oublier cette merde. Franck décroche. Je lui demande si je peux passer le voir. Il me sort une excuse bidon ; visiblement, il est déjà en compagnie féminine. Je raccroche donc énervée. J'essaie avec deux autres gars, mais la même situation se produit. En colère, je finis par jeter mon portable le long du mur. Qu'est-ce qu'ils ont tous à m'envoyer balader ce soir ? En position fœtale sur mon lit, j'éclate en sanglots.

J'ai passé une mauvaise nuit ; tous les derniers événements se sont bousculés dans ma tête. J'ai essayé de trouver un sens à tout cela, de comprendre ce qui avait bien plus clocher, ce que j'avais fait de travers.
Aujourd'hui, j'ai rendez-vous avec le directeur, Patrick Povin. Si je veux devenir présidente, il s'agit de me montrer la plus convaincante possible. Je dois abandonner l'espoir de me débarrasser de Louise avant les élections, vu que je ne peux plus me servir de mon frère. Mais avec ce qu'il s'est passé hier soir, je suis très nerveuse à l'idée de rencontrer monsieur Povin. Vais-je parvenir à le satisfaire ?

C'est l'esprit agité que je frappe à la porte de son bureau. Une voix autoritaire me dit d'entrer, ce que je ne tarde pas à faire. Il est assis derrière son bureau, les traits de son visage paraissent sévères.

— Mademoiselle Dejoel, bienvenue. Veuillez-vous asseoir.

Son regard me trouble ; je détourne donc mes yeux tandis que je m'assieds. Je trouve l'atmosphère de la pièce pesante.

— Avant de commencer, j'aimerais vous parler de la journée sans culotte, déclare-t-il.
— Euh... oui, fais-je, surprise.
— Vous avez poussé le professeur Gluau à participer pleinement à cette journée, et ceci en plein cours devant plusieurs élèves. Est-ce exact ?
— Oui, confirmé-je, hésitante.
— Je ne tolérerai plus ce genre d'initiative à l'avenir, lance-t-il d'un ton sec. J'ai autorisé le club des nymphes à poursuivre ses activités secrètes quand j'ai découvert son existence, mais je lui avais demandé de se montrer discret. Plusieurs dizaines d'élèves ont été témoins de ce qu'il s'est passé pendant le cours de comptabilité. J'ai pu éviter le scandale mais, par votre faute, j'ai dû me résigner à me séparer du professeur Gluau. La survie de votre club dépend de sa discrétion et, pour être honnête, mon propre poste en dépend aussi. Si jamais ce qu'il se passe dans cette école était découvert et que je corroborais tout cela, on courrait à la catastrophe. Si vous êtes élue présidente, il vous faudra vous montrer plus discrète. Est-ce bien clair ?
— Oui, Monsieur.

Aïe ! Ça commence mal. Je me prends une soufflante dès le début. Il va vraiment me falloir assurer si je veux obtenir son vote.

— Bien. Venez ici maintenant, dit-il sur un ton plus doux.

Je fais donc le tour du bureau. Le directeur me fait asseoir sur ses genoux. Il pose sa main sur ma cuisse tandis qu'il me donne des baisers dans le cou. Ses lèvres se posent sur les miennes et une chaude langue s'insinue dans ma bouche. Sa main plonge sous ma jupe et atteint mon sexe préalablement dénudé. Ces contacts me font fondre. Je commence à me détendre et à mouiller comme une folle. Je vais enfin baiser ! Avec la déconvenue d'hier, j'en avais bien besoin.

Nos langues s'emmêlent, ses doigts agacent mon intimité, mes mains parcourent son torse et défont cravate et chemise. Son autre main empoigne fermement mon sein qui finit par échapper à sa prison de tissu. Sa bouche plonge sur le téton dressé et sa langue l'entoure. Je gémis de bonheur.
Il joue ainsi avec mon corps de longues minutes. Sa bouche m'embrasse efficacement, ses doigts s'enfoncent dans mon sexe et frottent mon clitoris. Je pousse des râles de satisfaction. J'adore !

Puis je décide de prendre les devants. Je quitte ses cuisses pour m'agenouiller devant lui. Ma main teste la rigidité de la bosse formée à son entrejambe. Je ne suis pas déçue du résultat. Impatiente, je défais la ceinture et ouvre son pantalon pour libérer son sexe arrogamment dressé. Il est plutôt grand et fin. Son odeur m'envahit les narines et me laisse rêveuse.
N'y faisant ni une ni deux, ma bouche gobe avec délice ce nouveau cadeau qui m’est offert. Comme j'aime avoir un sexe en bouche ! J'aime contrôler le plaisir de l'homme ! J'ai l'impression qu'ils sont à ma merci. J'aime pomper jusqu'à sentir leur semence envahir ma bouche. Comme hier soir je n'ai pas eu le droit à cela, j'ai vraiment hâte d'avaler son sirop de corps d'homme.

Ma langue glisse sur cette longue tige et vient admirablement titiller le gland et agacer son frein. La respiration de notre cher directeur s’accélère de plus en plus. Je continue de déguster ma sucrerie avec délectation. Ma main caresse ses bourses et son bas-ventre. J'ai vraiment envie de le rendre dingue. De toute façon il le faut, si je veux qu'il vote pour moi. Je suis là pour cela. Monsieur Povin ondule du bassin et commence à me baiser doucement la bouche. Sa main se pose sur mon crâne, caresse mes cheveux puis me retient la tête tandis qu'il enfonce son sexe le plus profondément en moi. Je me laisse faire et essaie d'avaler le plus possible cette longue sucette. Mais elle est trop grande et l'exercice s'avère ardu, sans provoquer de nausée. Je reprends la situation en main, littéralement. Je le branle doucement pour m'accorder une pause tandis que je le fixe d'un regard aguicheur. Povin m'implore de le reprendre en bouche. Je joue encore un peu avec son sexe avant de lui faire la grâce de mes lèvres. Ma langue titille de nouveau son gland. Povin s'agite de plus en plus. Je sens la sève monter, alors j'accélère. Penser que je vais bientôt avoir droit à ma récompense me rend heureuse. Cette fois, ça y est : quelques soubresauts, et me voilà la gorge remplie de son doux nectar.

— Eh bien, vous les nymphes êtes vraiment douées pour ce genre d'exercice.
— Merci, Monsieur ! lui souris-je.
— Bien ; passons au round numéro deux.

Il me fait me relever et me plaque le ventre sur son bureau. Il remonte ma jupe pour découvrir mon arrière-train.

— Hum, jolies fesses, fait-il en me les claquant. Écarte un peu plus les cuisses.

J’obtempère. Un doigt se promène le long de mes lèvres intimes.

— Tu m'as l'air bien humide. Tu as sans doute aimé me vider les couilles.
— Oui, avoué-je.
— On dit « Oui Monsieur », me corrige-t-il en me claquant une fesse.
— Oui, Monsieur.

Il m'enfonce un doigt dans mon intimité. Je laisse échapper un soupir de satisfaction. J'ai hâte de sentir sa bite me ramoner. Un deuxième doigt rejoint le premier. Il me branle sans ménagement. Soudain, sa tête approche de ma croupe et sa langue vient lécher doucement les contours de mon cul. Je me tends suite à la surprise.

— Du calme, me fait-il. Il faut que tu sois détendue pour la sodomie.

Quoi ? Il a bien parlé de sodomie ? Non, je ne veux pas.

— Non, pas ça… l’imploré-je alors que sa langue s'insinue dans mon derrière.
— Quoi ? fait-il, surpris. J'aurais imaginé qu'une fille comme toi n'aurait aucune gêne avec ce genre de pratique, d'autant plus que ta collègue a semblé bien apprécier. Mais si tu ne veux pas, ce n'est pas grave. Je ne vais pas te forcer. Après tout, ce n'est qu'une élection.

Tss ! Il ne me laisse pas le choix, tout du moins si je veux obtenir son vote. Il faut obligatoirement que j'en passe par là. J'ai toujours été inquiétée par cette pratique ; pourtant, j'étais prête à offrir mon cul à Thomas, hier. Aujourd'hui est un jour différent, et il me faut franchir le pas.

— Je ne l'ai jamais fait, alors allez-y doucement... Monsieur, concédé-je.
— Bien, c'est mieux ainsi. Je dois dire que j'apprécie beaucoup défoncer un cul de jeune fille. Tu ne le regretteras pas, ma chère.

Et sa langue reprend son boulot. Elle s'insinue de nouveau dans mon cul et s'égare de temps en temps sur ma chatte. Ses doigts me pilonnent, quant à eux, chatte et cul. J'essaie de me détendre au maximum. Je dois dire que son traitement est plutôt efficace. J'essaie aussi de me préparer mentalement à cette future épreuve. Sans y faire attention, mon esprit se perd en s'imaginant que c'est Thomas lui-même qui s’apprête à m'enfiler. Mais je chasse rapidement cette pensée, prise par une nausée de dégoût.
Povin s'est relevé et a retiré la totalité de ses vêtements. Je sens son gland se poser sur ma rondelle.

— Demande-moi de t'enculer ! m'ordonne-t-il.
— S'il vous plaît, Monsieur, enculez-moi… joué-je le jeu.
— Mieux que, ça petite salope !
— Oh, pitié, Monsieur… Enfoncez votre longue bite dans mon petit cul et faites-vous plaisir. Défoncez-moi la raie. Je veux sentir votre virilité prendre possession de mon cul comme il vous revient de droit.

Visiblement il semble conquis de mes paroles. Son gland entre de quelques centimètres dans mon cul. Je me contracte, alors il attend un peu que je m'habitue à cette présence. Chose faite, il commence un lent va-et-vient à travers mon cul, gagnant à chaque coup de plus en plus de terrain. Pour le moment, l'exercice me paraît plus douloureux qu'autre chose.
Je hoquette à chaque coup de boutoir. J'essaie de me concentrer sur ses doigts qui me fouillent encore la chatte ; mais plus le temps passe, plus je m'habitue à cette présence étrangère. La douleur se transforme peu à peu en plaisir.

Voyant que je commence vraiment à me détendre et à apprécier, Povin accélère la cadence. Il râle de bonheur et me félicite pour mon cul divin. Il m'enfile de tout son long maintenant. Je sens son pubis venir claquer mon fessier à chaque coup de bite. Je me sens pleine. Je me fais ramoner le derrière pour la première fois de ma vie et j'aime ça. Tant pis pour toi, Thomas ; tu aurais pu être le premier à avoir l'honneur de me prendre par ce côté, hier soir, mais ta chance est passée.
Si j'avais su, j'aurais franchi le pas plus tôt que ça.

— Alors, pourquoi devrais-je voter pour toi ? demande Povin entre deux râles.

Vraiment ? Je lui offre déjà mon cul. Je pensais que cela serait suffisamment convaincant pour obtenir son vote. A-t-il conscience de l'effort qu’il m'a fallu faire pour me résigner à me donner comme cela ? Visiblement, il va falloir que j’aie plus à lui offrir pour remporter son vote.

— Je vous sucerai tous les matins avant les cours, lui promets-je.
— Et c'est tout ?

Comment ça, c'est tout ? Une présidente a déjà l'obligation de se le taper une fois par semaine. Si je le suce en plus tous les matins, j'aurais pensé qu'il serait satisfait.

— Vous pourrez me prendre quand vous voudrez, ajouté-je.
— La proposition est tentante, mais je dois avouer que ta concurrente m'a fait une promesse plus intéressante. Il va me falloir plus que ça pour voter pour toi.

Quoi, qu'est-ce que je peux offrir de plus ? Et qu'a bien pu proposer cette petite conne de Louise ? Ce n'est pas possible, elle ne peut encore gagner cette bataille. Non, je refuse. Tandis que je réfléchis à quoi ajouter à ma proposition, lui continue de me défoncer le cul avec plaisir.

— Je serai complètement à vous, et je vous enverrai toutes les filles que vous désirez, tenté-je. Je les convaincrai de se donner à vous. Vous pourrez toutes vous les tapez. Je ferai tout ce que vous voudrez. Vous n'aurez qu'à ordonner et je vous obéirai.
— Ah, intéressant, lâche-t-il avec un grand sourire. Et si jamais j'organise une petite soirée à mon domicile avec quelques-uns de mes amis et qu'il me faut des filles ?
— Oui, oui, oui ! Je vous les fournirai, lui promets-je. Je vous l'ai dit : je ferai tout ce que vous m'ordonnerez. Vous pourrez réaliser tous vos fantasmes grâce à moi.

J'espère avoir remporté la partie grâce à cette offre. Il semble plutôt intéressé. Il ne répond rien mais accélère encore la cadence ! J'ai le cul en feu mais c'est trop bon. J'accompagne ses à-coups par d'habiles mouvements de bassin. Je m'empale moi-même sur ce pieu. Je ne parviens plus à retenir des cris de jouissance. Je l'implore de me défoncer encore plus fort. Sa virilité répond à mes plaintes au-delà de mes espérances. Il me malmène et me maltraite le derrière. Je suis sa chose et le serai pendant un bout de temps si je suis élue présidente. Il le sait et en profite. Il s'en donne à cœur-joie.
D'un coup, je sens son corps se raidir et plusieurs salves de sperme chaud m'envahissent le cul. Il a joui avec une belle fureur. Épuisé, il s'effondre sur son fauteuil tandis que je redresse doucement mon corps endolori.

— Nous avons maintenant un marché ; alors vous avez intérêt à remporter les élections, me déclare-t-il. En tout cas, vous pouvez déjà compter sur mon vote.

Parfait ! Je retrouve espoir de l'emporter sur Louise. Je suis toute proche de devenir présidente, maintenant. Je pourrai enfin écraser mon frère et sa petite conne. Plus qu'une étape maintenant avant les élections.








CHAPITRE 16 (LOUISE) : LES JEUX EROTIQUES.


C'est la dernière étape avant les élections qui auront lieu demain. Tout se joue ce soir. Toutes les nymphes sont réunies dans le cocotier avec les quarante favoris à qui on a accordé un droit de vote. Je ne sais pas encore en quoi consisteront les épreuves de ce soir ; Sarah a voulu me garder la surprise. Elle semble plutôt confiante en ma victoire, mais moi je me méfie d’Élodie. Je suis sûre qu'elle a encore quelques surprises dans son sac.
Sarah nous a installées, Élodie et moi, au milieu de la salle. Nous sommes nues comme le jour de notre initiation. Nous sommes entourées par six fauteuils portant chacun un numéro de 1 à 6. Le reste du monde est, comme le jour de l'initiation, installé sur des banquettes le long des murs de la salle afin d'admirer le spectacle.
Sarah se lève et me fait un clin d’œil pour m'encourager. On dirait que l'épreuve va commencer.

— Bienvenue à tous pour cette nouvelle soirée, débute-t-elle. Comme vous le savez, cette année nous avons deux candidates à la présidence. Je suis sûre que la plupart d'entre vous ont déjà fait leur choix mais, pour les indécis, nous avons organisé une soirée spéciale afin que chacune d'entre elles vous montre de quoi elle est capable. Et, qui sait, peut-être parviendront-elles à convaincre certains d'entre vous de modifier leur vote. Je déclare donc les jeux érotiques ouverts !

Tonnerre d'applaudissements, la salle semble en furie. Moi, je me sens un peu nerveuse, j'ignore encore tout de l'épreuve. Je jette un coup d’œil vers Élodie. Cette dernière a l'air plus confiant que moi.

— Bien. Avant de vous expliquez les règles, continue Sarah, je vais demander à chacune de nos candidates de choisir trois favoris. Élodie, veux-tu choisir ton premier favori ?
— Avec plaisir, Sarah, fait-elle en souriant. J'appelle Thomas Dejoel.

Hein ? Je rêve ou quoi ? Elle appelle vraiment son frère. Je n'y comprends rien ; elle doit bien se douter que l'on va devoir avoir des relations avec ces six mecs. Le public semble aussi abasourdi que moi par cet appel. Elle observe attentivement ma réaction avec un petit sourire moqueur. Attends, je crois comprendre son manège. Il s'agit uniquement d'une tactique de déstabilisation. Élodie est maligne : elle a dû penser que je choisirais Thomas et m'a prise de court pour me surprendre. La vérité, c'est que je ne l'aurais jamais choisi. Si jamais je dois avoir une relation sexuelle avec Thomas, je préfère que ce soit en-dehors d'un quelconque jeu érotique.

Sarah fait asseoir son fillot dans le fauteuil numéro un. Elle m'indique que c'est mon tour de choisir quelqu'un. Je réfléchis rapidement et appelle Christopher Larbat, mon grand-parrain, qui vient s'asseoir sur le deuxième fauteuil.
Élodie prend David en second choix. Merde, elle sait que je le déteste ; j'espère que je n'aurais pas à coucher avec lui. David s’assoit tout fier dans le troisième fauteuil.
En deuxième choix, je prends François, le copain de Miss Punk, celui que l'on avait rencontré à l'association « Des jeux pour tous ». Il s'agit du premier favori de l'histoire du club à ne pas faire partie de l'école. Ce dernier vient s'asseoir dans le quatrième fauteuil.
En troisième choix, Élodie prend son parrain, Franck Ferral, qui se positionne dans le cinquième fauteuil. Quant à moi, j'hésite pour mon dernier choix et prends finalement Jean Copte, l'un des potes de troisième année de mon grand-parrain. Il s'installe dans le dernier fauteuil.

— Bien. Maintenant, les filles, je vais vous demander de déshabiller vos favoris, indique Sarah. Ils n'auront pas besoin de leurs affaires pour la suite.

On s’attelle à la tâche et les garçons sont rapidement défaits de leurs vêtements. Plusieurs d'entre eux semblent déjà au garde-à-vous.

— Il est temps de vous expliquer les règles, qui sont plutôt simples. Cette partie va se jouer avec seulement deux dés : un rouge et un blanc. Chacune votre tour, vous lancerez les dés et vous aurez alors une action à accomplir. Le dé rouge indiquera sur quel favori l'action devra être accomplie. Le dé blanc indiquera l'action à accomplir. Chaque action dure une minute. La victoire reviendra à la candidate qui fera jouir le plus de mecs. Je vous donne la liste des actions déterminées par le dé blanc. En un, la candidate devra caresser le mec, mais interdiction de lui toucher le sexe. En deux, la candidate devra embrasser le mec. Elle peut le faire n'importe où, mais pas sur le sexe encore une fois. En trois, la candidate devra effectuer une masturbation sur le favori. En quatre, elle devra effectuer une mazophallation, mieux connue sous le nom de branlette espagnole. En cinq, elle devra effectuer une fellation. Et enfin en six, elle devra effectuer un coït.

C'est à Élodie de commencer les hostilités. Elle lance les dés et fait un double trois. Elle s'approche donc de David et saisit son sexe qui tient déjà une belle érection. Elle commence à le branler doucement. David semble aux anges. La minute se termine cependant.

C'est donc à mon tour de lancer les dés. Le rouge indique six et le blanc un. Bon, ça me va, ça commence plutôt doucement. Je m'approche donc de Jean et laisse mes mains parcourir son corps. Il est plutôt bien bâti, la sensation n'est pas désagréable. Je vois que mes caresses lui font aussi de l'effet. Il frissonne et son sexe se tend un peu plus.

A la fin de ma minute, Élodie lance les dés et fait un un rouge et un deux blanc. Elle s'approche donc de son frère, et sans hésiter lui roule une pelle. Je remarque cependant que Thomas a un mouvement de recul au moment où leurs bouches se soudent. C'est un pincement au cœur d'assister à ce genre de scène incestueuse. Élodie libère son frère à la fin de la minute.

À mon tour, les dés indiquent une fellation pour Franck, le parrain d’Élodie. Je m'exécute et gobe son sexe. Durant cette minute, je sens grossir cette bite dans ma bouche et Franck pousse déjà quelques gémissements.
Élodie enchaîne ensuite par devoir sucer mon grand-parrain.

Mon résultat de dés suivant m'indique que je dois embrasser Thomas. Je m'approche de lui, nerveuse. Mon cœur bat la chamade. Je pose timidement mes lèvres sur les siennes et je sens sa langue s'engouffrer dans ma bouche. Nos langues s'emmêlent. Le contact me fait frémir. Je commence à être de plus en plus excitée. La minute se termine bien trop rapidement à mon goût.

Les coups suivants se poursuivent. Élodie enchaîne tour à tour devoir caresser François, baiser avec Jean et masturber Christopher. Quant à moi, j'ai à devoir branler David, qui apprécie bien la chose, à embrasser François et aussi à branler Jean.

Les garçons commencent à être vraiment très excités. Notre public aussi. Plusieurs personnes se caressent. C'est au tour d’Élodie de jouer : les dés indiquent un six rouge et un quatre blanc. Elle s'approche de Jean, que je viens à l'instant de quitter, et positionne le sexe de ce dernier entre ses seins. Elle a une poitrine parfaite pour ce genre d'exercice, bien plus adaptée que la mienne. Jean s'agite de plus en plus, il est tout rouge. Soudain, il se contracte et jouit sur les seins d’Élodie. Cette dernière, la poitrine maculée de sperme, se tourne vers moi avec un sourire narquois :

— Et un point pour moi !

Sarah renvoie Jean dans le public. Elle nous indique que dorénavant, nous devrons relancer le dé rouge à chaque fois qu'il fera un six puisqu'il n'y a plus que cinq favoris en jeu.
C'est à mon tour de jouer ; je dois aussi réaliser une branlette espagnole, mais c'est Christopher qui est concerné. Je me débrouille comme je peux, mais j'ai les seins trop petits pour cela ; sa bite m'échappe trop souvent. Au final, je me contente plus de frotter son sexe sur ma poitrine.

Élodie enchaîne à caresser François, et moi je me retrouve à devoir m'empaler sur le sexe de Franck. Je ne retiens pas un gémissement au moment de m'embrocher. Je suis très excitée, et me sentir remplie me fait donc un bien fou. Malheureusement, la minute se termine trop rapidement et c'est presque avec regret que je quitte ce sexe.

Élodie lance les dés et obtient un un rouge et un cinq blanc.
Cette fois non plus elle n'hésite pas à commettre un nouvel acte incestueux. Elle commence à pomper goulûment son frère sans aucune honte. Thomas essaie de retenir des gémissements, mais ils sortent bien malgré lui. J'ai du mal à poser mes yeux sur cette scène. Finalement, mon calvaire se termine après ce qui est, probablement, la plus longue minute de ma vie.

— Dommage que tu n'aies pas joui dans ma bouche, petit frère, dit-elle assez fort pour que je l'entende. La dernière fois, c'était un régal.

Comment cela, « la dernière fois » ? Elle veut dire qu'elle l'a déjà sucé ? Non, ce n'est pas possible ! Ça ne peut être vrai. Thomas n'aurait pas pu me faire cela. Je fais tout cela pour lui, pour le protéger de sa sœur, et lui se serait vautré dans l'inceste avec elle ?
Le regard coupable de Thomas m'indique que c'est la vérité. Merde, alors il l'a vraiment fait ! Je me sens vide d'un coup, humiliée, idiote. Élodie observe attentivement ma réaction dans l'espoir de me voir abandonner ici. Elle sait qu'elle vient de frapper un grand coup. Non, je ne peux pas lui laisser cette satisfaction. Je vais me battre jusqu'à la fin. Et de toute façon, mon souhait de devenir présidente ne concerne plus uniquement Thomas. Cela va plus loin maintenant, comme je l'ai fait comprendre à monsieur Povin lors de notre rendez-vous il y a deux semaines. Je dois me concentrer sur cet objectif si je veux vaincre. Élodie perd son sourire méprisant quand elle voit la détermination revenir sur mon visage.

Je lui lance un regard de défi tandis que les dés indiquent l'action suivante. On dirait que ma chatte va se faire remplir encore une fois, et ce coup ci par la bite de François. C'est ainsi que je m'empale sur lui et commence un rapide va-et-vient, bien décidée à le faire jouir. Hum, ça fait du bien. Lui aussi semble apprécier. Il est de plus en plus agité. Je sens qu'il est sur le point de jouir. Il faut que je m'arrange pour le faire jouir avant la fin de la minute.

— Oh oui, l'encouragé-je. Tu te souviens du jour de la collecte ? Tu te souviens comment Aliénor et moi on s'est occupées de toi ? Et tu te souviens après, avec tes collègues, comment tu as fini par jouir en moi ?

Ces souvenirs semblent suffisants pour le stimuler assez, et François jouit en poussant un râle de bonheur. Je me retourne vers Élodie et lui lance :

— Un point aussi pour moi. On est à égalité.

Sarah renvoie donc François dans le public, qui se positionne à côté de Miss Punk. Elle l'accueille avec une belle galoche. Dorénavant, nous devons ignorer les résultats de six et de quatre sur le dé rouge.
Élodie enchaîne le coup suivant. Elle doit embrasser Christopher. Je me retrouve ensuite à masturber Franck, puis Élodie branle David entre ses seins. Il est sur le point de jouir mais parvient à se retenir. Je me retrouve le coup d'après à devoir caresser mon grand-parrain qui me lâche quelques encouragements.
Élodie lance les dés et se retrouve à devoir sucer son parrain. Elle obtient une nouvelle victoire en moins de trente secondes et la savoure jusqu'au bout sans en perdre une goutte.

— Et de deux ! me lance-t-elle.
— Plus que trois favoris en course, déclare Sarah tandis que Franck rejoint le public. Au lieu d'ignorer un nouveau résultat sur le dé rouge, nous allons faire plus simple ; un score de un et de deux sera pour Thomas, trois et quatre pour Christopher et cinq et six pour David.

Je lance alors les dés. Je me retrouve une nouvelle fois à devoir branler mon grand-parrain avec mes seins. J'échoue cependant à le faire jouir.
C'est au tour d’Élodie de jouer. Elle obtient un quatre rouge et un six blanc.
Elle se positionne donc sur les cuisses de Christopher et s'empale sur sa bite en poussant un fredonnement de satisfaction. Elle ondule du bassin de façon savante, arrachant à Christopher des plaintes. Au fur et à mesure que les secondes passent, grand-parrain halète de plus en plus fort. Il a l'air d'avoir très chaud. C'est finalement à la cinquante-neuvième seconde qu'il pousse un râle bruyant, signifiant qu’Élodie vient de remporter une nouvelle victoire.

— Trois à un ! me lance cette dernière, fière d'elle.
— Désolé, me dit doucement grand-parrain tandis qu'il se dirige vers le public. Je n'ai pas réussi à me retenir. Elle est trop forte.

Plus que deux favoris encore présents : Thomas et David. À présent, je ne peux qu'arracher une égalité à Élodie. Sur qui vais-je tomber maintenant ? Sarah nous indique sans surprise que dorénavant le score de un-deux-trois concernera Thomas, et quatre-cinq-six concernera David pour le dé rouge.
Que me réserve le hasard ? Je lance les dés pour le découvrir : sucer David. Et merde !
Je me positionne à genoux devant lui et commence à lui lécher timidement le gland. Il a un grand sourire.

— Allez suce, salope ! me lance-t-il.
— Au fait, tu me dois toujours une trousse, lui réponds-je en ignorant l'insulte.
— Si tu avales tout, je te promets que je te la rembourse.

Le coquard que David arborait à l’œil n'est aujourd'hui plus visible. C'est dommage ; je trouvais que ça lui allait bien. Il l'a bien mérité en tout cas. Depuis la journée sans culotte, nous ne le fréquentons plus, déjà que j'avais du mal avant. Même Sylvain, qui était pourtant tout le temps fourré avec lui s'en est détourné. Quelques jours après la fameuse journée, Sylvain est venu s'excuser pour ce que m'avait fait David alors qu'il n'y était pour rien. Il était même absent ce jour-là. Depuis, il ne traîne plus avec son ancien ami et s'est, à la place, beaucoup rapproché d'Anita, au point qu'ils ont fini par sortir ensemble. Ils forment d'ailleurs un beau couple.

Je continue de sucer ce mec que j’abhorre. Qu'il en profite, parce que ce n'est pas près de se reproduire ! En tout cas, c'est ce qu'il a l'air de faire, vu les gémissements de plaisir qu'il souffle. Le goût de son sexe n'est pas désagréable ; dommage que ce soit le sien. J'essaie de m'imaginer en train de sucer quelqu'un d'autre pour me motiver, du genre mannequin stéréotypé que l'on peut croiser au cinéma. Seulement, les « Ah ouais, salope ! » et autres joyeuseries qui sortent de sa bouche m'empêchent de me concentrer. Soudain, je suis surprise de sentir un flot de sperme m'envahir la bouche. C'est sans réfléchir que j'avale tout. Je viens de marquer mon second point.

Il ne reste plus que Thomas en course, et c'est au tour de sa sœur de jouer. Va-t-elle parvenir à remporter la partie, ou aurai-je une chance de faire jouir le garçon de mes rêves, qui m'a cependant bien déçue en se donnant à sa sœur ? Tout dépend de son résultat de dé. Elle lance donc le dé blanc (puisque le rouge ne sert plus à rien) et obtient un six. C'est plutôt mauvais signe.
Je vais devoir encore assister à une scène incestueuse entre Thomas et sa sœur diabolique. Après avoir vu cette dernière l'embrasser puis le sucer, je vais les voir baiser. Beurk ! J'en ai déjà la nausée.

Élodie coulisse sur le sexe de son frère avec un plaisir non dissimulé, comme elle l'avait fait un peu plus tôt sur le sexe de Christopher. « Elle est trop forte ! » m'a dit mon grand-parrain. Impossible donc que Thomas résiste à ce traitement, surtout vu depuis le temps qu'il fantasme sur la diablesse. Élodie va vaincre. Elle va gagner cette manche ; cette fois, j'en suis sûre. Cela me fait mal de l'admettre. Vu ses mouvements de bassin, Thomas ne mettra pas longtemps à jouir. Elle coulisse sur le sexe de son frère sur un rythme rapide tout en haletant, lui jetant des regards aguicheurs et se léchant les seins. Mais, ô surprise, je remarque seulement que Thomas détourne la tête. Son visage à l'air plutôt tendu, comme s'il souhaitait ne pas être à cette place et qu'il combatte le plaisir ressenti. Non, ça ne doit pas être possible. Je me fais sûrement encore des idées…

Mais la minute se termine, et Thomas – au grand dam de sa sœur – n'a toujours pas joui. Il s'est montré plus fort que Christopher. C'est à mon tour de m'occuper de lui. Que vais-je devoir lui faire ? Je jette le dé blanc avec nervosité et obtient un trois. Cela veut dire que je vais devoir le masturber.
Je m'approche de lui et commence par lui caresser le sexe et les bourses avant de commencer à proprement parler la masturbation. Lui aussi semble nerveux.

— Je suis désolé, me dit-il doucement. J'ai voulu t'en parler avant mais je savais pas comment aborder le sujet.

Je lui empoigne la bite avec force et commence à le branler de façon désagréable tout en lui lançant un regard noir. Je n'ai pas envie d'entendre de pitoyables excuses.

— C'est arrivé qu'une fois, continue-t-il. Je n'ai pas pu résister cette fois-là, mais je te jure qu'après j'ai réussi à la repousser. Tu avais raison à son propos. Je vois maintenant clair dans son jeu. Aujourd'hui, elle n'a plus d'emprise sur moi.

Une fois ? Et il l'aurait repoussée par la suite ? Peut-être que la situation n'est pas aussi pire que ce que j'avais imaginé. S'il est vraiment parvenu à combattre efficacement ses désirs incestueux, c'est plutôt une bonne nouvelle, finalement. Ma main commence à se montrer plus douce sur son sexe.

— Que tu me pardonnes ou non, s'il te plaît, ne la laisse surtout pas gagner, m'implore-t-il. Tu vaux bien mieux qu'elle.

Il me fixe avec un regard de chien battu qui me fait craquer. Décidément, je ne peux pas résister à ce garçon et je sens au fond de moi que je lui ai déjà pardonné.

— D'accord, lui lancé-je avec un timide sourire. Elle ne gagnera pas.

Et je le branle maintenant le plus habilement possible. Thomas semble rassuré et je le sens se détendre dans son fauteuil. J'accélère la cadence, vu qu'il ne me reste plus beaucoup de secondes. Je dois à tout prix le faire jouir avant la fin du compte à rebours, sinon il risque de ne pas résister à une autre séance avec sa sœur. C'est étrange d'être en train de masturber le sexe du garçon de mes rêves. J'ai très envie de le prendre en bouche, mais ce serait contre les règles. Tandis que je le branle énergétiquement d'une main, l'autre lui masse les bourses. Je manipule ce sexe avec tendresse et précaution, et juste ce qu'il faut de vigueur, comme s'il s'agissait d'une œuvre d'art. Puis, alors que le compte à rebours touche presque à sa fin, trois jets puissants de sperme s'échappent du sexe tant désiré et viennent s'écraser sur la poitrine de Thomas.

Je me relève et lance un « Égalité ! » à la diablesse.

Auteur : Nathan Kari
Lisez la suite

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire