jeudi 27 novembre 2014

Porte-jarretelles day (4)

Relisez le chapitre 3

Mardi soir, les enfants enfin couchés, assise devant son PC, Nicole effectue des recherches sur les sites de vêtements. Il est temps de changer sa garde-robe ; les achats faits avec Eléanore ne suffisent pas. La séance de la veille l'a tellement perturbée que sa nature de femme a pris le dessus : être désirable, plaire aux hommes, peut-être aussi à Eléanore...

Elle tombe sur un ensemble tailleur de cuir noir. « Ça devrait plaire au boss, pour sortir... Mais non, ma vieille ; pourquoi voudrait-il te sortir ? Il est ton boss, le directeur de l'entreprise. Tout ce qui l'intéresse chez toi, c'est te tripoter, te baiser. Et peut-être pour travailler... Non, quand même, ce serait bien trop provoquant ; et puis je n'aurais plus d'autorité sur mes collègues : ils ne s'intéresseront qu'à mon cul... Mon cul ? Mais enfin, pourquoi je pense souvent à ces mots sales ? »

Puis des sites de bas ; des résilles, des rouges, des bleus. « Non, il ne veut que des bas fins et unis, noirs, gris clair ou couleur chair, a-t-il dit. Je dois rester élégante, classe. »
En continuant ses recherches, elle tombe sur un collant, sans renfort au niveau de la vulve, transparent. Sur la photo, on voit bien les poils de la femme qui le porte. « Ça pourrait lui plaire, les autres jours que le lundi. Il verra mes poils… Il n'aura qu'à le baisser, ce sera facile pour me... Il faut que j'arrête ! Ce n'est pas possible ; je deviens folle, je ne pense plus qu'à ça ! »

Le soir, dans son lit, elle ne peut plus s'endormir sans s'être auparavant masturbée, imaginant les pires scènes de sexe dont elle est l'héroïne.

Avant de se coucher elle retourne sur Internet, hésite, puis finit par commander deux paires de ce collant qu'elle avait repéré, couleur taupe. « Commande livrée sous 48 heures. » lit-elle. En comptant bien, elle devrait les recevoir jeudi soir. Il lui faut aussi des bas tops. Mardi soir, elle retournera aux Nouvelles Galeries en acheter, et puis peut-être ce tailleur de cuir noir…

Devant le miroir de sa penderie, elle s'est examinée. « J'ai vraiment de grosses fesses ! Et mes seins, ils sont gros ; trop, peut-être... » Elle finit par se trouver belle. « Pour une ménagère de moins de cinquante ans, je suis quand même pas mal faite… » pense-t-elle en souriant, fermement décidée à plaire aux hommes ; de tout faire pour leur plaire, pourvu qu'un d'entre eux – ou plusieurs – s'occupent de son corps.


o o o O o o o


Le lendemain, journée de travail ; son boss est absent jusqu'à vendredi. Nicole, qui n'a pas cessé d'être interrompue par des demandes sans grand fondement, prend du retard. Elle ne prend pas le temps de déjeuner ; une idée fixe la taraude : sortir tôt pour se procurer ce dont elle rêve aux Nouvelles Galeries.

Le travail terminé, elle file au grand magasin, essaie un tailleur de cuir noir, celui dont elle rêve depuis la veille. La seule veste disponible est un peu trop ajustée au niveau de la poitrine, mais la vendeuse la rassure. La jupe, elle, ne doit pas être trop courte, alors que la vendeuse insiste pour en prendre une vraiment courte. Debout, le haut des bas top est entièrement découvert ; assise, c'est bien pire : on lui voit entièrement les cuisses, la peau nue jusqu'à l'entrejambe. Excédée, elle finit par expliquer ce qu'elle veut :

— J'ai l'air d'une pute, on voit tout ! Ça ne va pas du tout !
— Oui, en effet, on voit la culotte, répond la vendeuse, un sourire narquois aux lèvres.
— Il faut que la jupe soit suffisamment longue pour cacher le rebord des bas lorsque je suis debout, voyons. Assise, on ne doit deviner que le haut des bas, pas plus. Arrangez-moi ça !
— Ah, je vois, réplique la vendeuse.

Nicole essaie une deuxième jupe, trop longue. Puis une autre ; la bonne longueur cette fois-ci : elle s'arrête au-dessus des genoux, sans découvrir les cuisses. Elle s'assoit, vérifie dans le miroir. On devine à peine le haut des bas. Elle croise les jambes : un morceau de chair apparaît ; mais bon, il faudra faire attention. « Surtout ne pas croiser les cuisses trop haut. Quoique... les hommes vont aimer ça, surtout le boss ; et Patrick, le consultant que je trouve séduisant, et... » Elle imagine la scène, assise dans le fauteuil face au boss, le consultant près d'elle dans l'autre fauteuil, tous les trois parlant travail. De temps en temps elle sent le regard des deux hommes lorgnant ses belles cuisses. Elle fait semblant de ne rien remarquer, les yeux baissés sur son dossier, les cuisses croisées, un peu trop haut...

Elle reprend ses esprits, vérifie la qualité du cuir. Il est différent, plus fin, plus agréable à la vue et au toucher. Elle se regarde dans le miroir. « Mon Dieu, elle moule vraiment beaucoup mon derrière… » Elle réfléchit, tourne, se regarde encore, puis finit par se décider.

— C'est bon, je la prends.

Elle cherche des culottes fines, transparentes, blanches, noires. « On va voir mes poils à travers, c'est vraiment si fin… » Puis quatre paires de bas tops. « Il me faut des paires de rechange, comme l'a recommandé Eléanore, au cas où... » se dit-elle, un sourire aux lèvres. Puis trois autres paires de bas fins pour le porte-jarretelles ; deux en nylon, un en soie, de différentes couleurs : gris clair, taupe, et noir. « Pour lundi prochain, porte-jarretelles day... Je suis complètement folle ! »


o o o O o o o


Vendredi soir, rentrée dans son appartement, elle tourne en rond. Son boss ne s'est pas montré, en voyage avec le consultant depuis mardi. Elle est énervée : tous ces achats effectués, et pas l'ombre d'une opportunité pour les porter ! Il faut dire que la masse de travail qui lui est tombée dessus ne lui a pas laissé une minute de temps libre.
Chaque soir, elle s'est masturbée, c'est devenu une habitude. Mais frustrée de ne rien sentir dans sa chatte à part ses doigts, elle a eu du mal à trouver le sommeil.

En tee-shirt et pantalon de jogging, elle observe les nouveaux vêtements éparpillés sur son lit : les bas, les porte-jarretelles, les collants, les jupes, le tailleur. Ses enfants ne sont pas là, elle les a déposés chez son ex-mari pour le week-end.
Espérant se calmer, elle met un CD de blues, va dans la cuisine, sort un avocat, un concombre... «Il est vraiment gros, celui-là… » se dit-elle en souriant.
Dring ! La sonnette de l'entrée. «Qui cela peut-il être ? Il est 19 heures. Encore une asso qui veut de l'argent. » Elle s'approche de la porte, regarde par l'œilleton... Un bouquet de roses, blanches et rouges : c'est tout ce qu'elle peut voir.
Méfiante, elle entrouvre la porte.

— Monsieur Picard ! Mais...
— Bonsoir, ma chère Nicole ; je vous dérange peut-être ? dit-il en lui tendant le bouquet de fleurs.

Il sait bien qu'il la dérange, qu'il empiète sur son intimité.

— Je... Merci. Mais... non... je ne suis pas présentable, je...

Elle rougit, se sent honteuse d'être vue dans ce jogging sans forme.
Il la regarde, toujours souriant, les yeux plantés dans ceux de Nicole. Toujours immobile sur le seuil, elle lui barrant le passage, il dit doucement :

— Dois-je rester planté sur le pas de votre porte ? Ou peut-être partir ?
— Je... non... réplique-t-elle un peu trop précipitamment. Euh... entrez.
— Merci, Nicole. J'ai appris que vous êtes seule un week-end sur deux, alors j'ai pensé… Peut-être aimeriez-vous sortir ? Un dîner avec moi, dans une brasserie qui pourrait vous plaire.
— Mais... je ne peux pas sortir comme ça !
— Eh bien, prenez votre temps, allez donc vous changer.

Elle file dans la salle de bain, se douche rapidement, puis fébrilement se maquille, s'enduit les lèvres d'un rouge intense, se parfume. «Je ne lui ai même pas proposé de boire quelque chose... » Vingt minutes plus tard, elle se rue dans la chambre. «Le tailleur en cuir, c'est vraiment le moment de le mettre... Des bas ; lesquels ? Hum, couleur taupe, en nylon : ça se mariera bien avec le noir. Le porte-jarretelles ? Blanc, bien entendu. Un petit haut... Non, le chemisier blanc. » Elle enfile les bas, la jupe, frémissante d'excitation, les escarpins noirs, les plus hauts. Vite, un collier de perles. Elle saisit un soutien-gorge. «Trop couvrant, celui-ci. » Finalement elle le retire, choisit celui qu'elle a acheté mercredi soir, très fin, transparent ; il soutient les seins, laissant nue la partie haute des globes. Elle enfile rapidement le chemisier blanc, vérifie son maquillage devant le miroir, les cheveux bien coiffés couvrant les épaules. Elle s'observe une dernière fois, se trouve belle, désirable. «Il manque quelque chose... Ah oui, les boucles d'oreilles ! » Elle en choisit une paire, très classe, achetée la veille.

— Voilà, je suis prête, dit-elle en entrant dans le séjour.

Les talons des escarpins claquent sur le parquet ; la démarche est légèrement chaloupée, les nichons ballotent au rythme des pas. Elle perçoit le regard perçant de l'homme qui l'examine des pieds à la tête. Elle est fière du résultat. «Ouf, je lui plais ! »

— Nicole, vous êtes... absolument ravissante ! (« bandante », pense-t-il). Quelle classe… Vous me gâtez ; je suis fier d'être en présence d'une si belle femme.

Tremblante, elle sent son regard monter des jambes à son visage, puis redescendre vers les cuisses, les jambes, les escarpins.

— Merci, Monsieur... Voulez-vous... Il doit me rester du champagne au frigidaire, et...
— Parfait, ma chère Nicole, ce sera parfait.

Elle fait demi-tour, se dirige vers la cuisine. Il admire son cul, parfaitement moulé par le cuir fin de la jupe, perchée sur ses escarpins, les mollets bien galbés. À son retour, il admire les seins ballotant au rythme de sa démarche. Elle en est presque indécente ; oui, elle l'est, le collier de perles s'arrêtant juste au début du sillon des deux globes.
« La salope, elle m'exhibe ses nichons... elle est bandante, ma DAF ! Quel changement, et tout ça grâce à Eléanore. »
Deux flûtes dans une main, la bouteille dans l'autre, elle la lui tend.

— Voulez-vous la déboucher, s'il vous plaît.
— Avec plaisir, dit-il en se levant.

Elle s'assoit dans un fauteuil profond, face au canapé. Il la sert, en profite pour lorgner le décolleté du chemisier exhibant le haut des gros seins, renverse quelques gouttes du liquide.

— Vous me troublez, dit-il en riant.

Alors elle croise les jambes, les paupières légèrement entrouvertes, en montant un genou plus qu'il ne le faudrait. Le haut des bas apparaît, les attaches des jarretelles, la peau nue...
Devant le spectacle des cuisses découvertes, le boss sent sa queue durcir, coincée par le slip, à l'étroit dans le pantalon.

Ils trinquent, bavardent de choses futiles. Les yeux de l'homme ne cessent de parcourir le corps de Nicole, se régalant de ce qu'elle lui offre complaisamment. L'alcool la détend ; elle rit, croise et décroise les jambes avec indécence. La jupe remonte un peu plus encore, découvre franchement le haut des cuisses, des parcelles de peau nue.

Traînant sur le sol, il remarque un pistolet à eau, un jouet d'enfant. Il l'observe, le tourne dans ses doigts puis, pris d'une idée lubrique, il vise et... asperge le chemisier de Nicole. Surprise, elle baisse les yeux. Son chemisier est trempé ; le tissu colle à sa peau, moulant ses gros seins. Le soutien-gorge ne cache rien, il est tellement transparent... Les pointes apparaissent nettement ; l'eau rend bien visible la peau des globes lourds.
Elle comprend... « Le salaud ! » Un frémissement d'excitation court le long de son échine. « Quel pervers… Il a vraiment des idées d'une lubricité inouïe ! »

— Ma chère Nicole, vous êtes d'une impudeur !
— Mais... c'est vous qui...

Il la coupe :

— Vous avez une paire de nichons superbes ; ils valent largement vos jambes. Vous êtes ravissante, délicieusement excitante et... bandante !

Ce qu'il aime par-dessus tout, c'est faire déraper les femmes, surtout une femme sage comme l'est Nicole, ou plutôt comme elle l'était avant cette histoire de porte-jarretelles.
Elle ressent un mélange de culpabilité, de honte, de dégoût d'être traitée de la sorte, mais aussi de plaisir, un plaisir qui envahit ses neurones, qui la fait mouiller. Elle se lève brusquement, se dirige vers le couloir menant à la salle de bain.
Une voix à la fois ferme et douce parvient à ses oreilles :

— Nicole, restez ici, voulez-vous ! Ne vous retournez pas vers moi, pas encore. Ne bougez plus ; laissez-moi admirer vos jambes, votre cul merveilleusement moulé par cette jupe de cuir.

La femme s'immobilise, les bras le long du corps. Elle sent comme un poids lourd le regard de l'homme. Tous ses sens sont en éveil, ses seins lui font un peu mal tellement ils sont devenus durs. Elle se sent vulnérable. Les secondes s'écoulent. Sa culotte s'humidifie, colle à sa vulve. Elle est tellement fine, cette culotte ! Elle écarte les pieds de quelques centimètres, cambre le dos.
« Il regarde mon derrière, mon... mon cul ! Mon gros cul ! Regarde-le bien. Tu l'aimes, mon gros cul, sale pervers ? Tu vas le toucher. Vas-y, salaud, regarde, régale-toi : tu vas y mettre ta langue... »
Elle se délecte de ces mots sales qui défilent dans sa tête. D'où lui viennent un tel langage, ces mots grossiers ? Elle qui une semaine auparavant était encore une mère de famille sage, dont la vie était réglée entre le travail et l'éducation de ses enfants... « Je deviens vraiment une salope ! »

Elle sent une présence derrière elle. Des mains se posent sur ses épaules, des lèvres déposent un baiser dans son cou, là où la peau est fragile et si sensible. Elle frémit, folle d'excitation. Les mains de l'homme glissent dans son dos, passent sous les aisselles.
« Ça y est, il va toucher mes seins… » se dit-elle en penchant la tête sur le côté afin de mieux offrir son cou aux lèvres qui l'embrassent.

Les mains collent au tissu mouillé du chemisier, finissent par se poser en coupe sous les deux globes lourds aux pointes dures. Il défait un bouton, puis un autre, encore un autre, donnant accès aux mamelles. Le chemisier est complètement ouvert ; il abaisse le fin tissu du soutien-gorge, libérant les deux globes de chair rendus durs par l'excitation. Alors, son corps collé contre le derrière de Nicole, il saisit les seins à pleines mains, les malaxe, les soupèse encore.

Elle gémit, cambre le dos, pose les mains sur le mur, les bras tendus à l'horizontale, recule les fesses pour mieux sentir la queue dure de l'homme collée contre son derrière, lui faisant sentir combien elle apprécie ce qu'il lui fait. Elle s'offre ; elle a abdiqué depuis longtemps déjà, depuis qu'elle s'est changée pour lui plaire, pour le séduire.
« Il va me baiser, il va me mettre sa queue... Mon Dieu, j'ai tellement envie qu'il me baise, qu'il me mette sa bite dans ma... dans ma chatte de salope ! »

Il la sent excitée, continue à jouer avec les nichons, couvrant le cou de la femme de baisers humides de salive. Puis les mains descendent, caressent le ventre, descendent encore le long de la jupe, saisissent le rebord qu'il agrippe de ses deux mains. Pour mieux voir, il se décolle du corps de Nicole, tire le cuir vers le haut, lentement, très lentement, pour bien profiter des cuisses gainées qui s'offrent à lui, le bord des bas, l'attache des jarretelles, le morceau de peau qui se dévoile, souligné par les liens qui relient les bas à la ceinture du porte-jarretelles.

La jupe monte encore, plus haut... Il s'accroupit, remonte encore un peu la jupe, révélant quelques poils châtains qui débordent de la culotte. Le bas des fesses apparaît à sa vue. Il bande dur ; lui aussi est terriblement excité. Brusquement, il expose les fesses à peine recouvertes par la fine culotte. La jupe est maintenant enroulée à la taille, montrant tout : les cuisses, le cul large, la raie profonde.
Alors il baisse la culotte jusqu'au milieu des cuisses, pose ses lèvres sur une fesse, y dépose un baiser, puis sur l'autre fesse, caressant les cuisses des doigts, jouant avec les jarretelles. Il remonte les mains, saisit les globes, les sépare en tirant vers l'extérieur, sort la langue... qu'il glisse dans la raie.

— Oh, gémit-elle, non... pas ça, s'il vous plaît... C'est... c'est sale !

Les mains bien agrippées aux fesses, il lèche, fouille le sillon humide, se régale de l'odeur de femelle excitée. Elle sent la langue glisser, passer sur son trou, y revenir, descendre. Son corps réagit automatiquement : elle baisse le torse, cambre son cul, l'offrant aux baisers lubriques de l'homme.

— Arrêtez, s'il vous plaît, Monsieur… C'est immonde ! Non... dit-elle en s'offrant un peu plus.

Rendu fou par ce cul dont il se délecte, il enfouit son visage entre les deux globes, lèche comme un chien fou, la langue tirée, s'enivre de l'odeur âcre émanant de la raie.

— Nicole, vous sentez fort : vous sentez la femelle. Je vais vous baiser !
— Oh... Mon Dieu !

« Décidément, elle fait toujours appel à Dieu quand on l'excite… » se dit-il.

— Vous en avez envie, Nicole ? Vous le voulez ? Ma queue bien calée dans votre con, ça vous tente ?
— ...
— Dites-moi, belle jeune femme, avez-vous envie d'une bonne bite bien dure ?
— Salaud !
— Ou peut-être la voudriez-vous dans votre cul ?
— Nonnn, pas dans... Je préfère dans... dans ma vulve.
— Dans quoi ? Votre vulve ? Votre chatte, vous voulez dire, votre con, dans votre moule de cochonne excitée !
— ...
— Je n'ai pas bien compris... Où la voulez-vous ?
— Dans ma... ma chatte !

Il la plaque contre le mur, dégrafe sa ceinture, sort sa queue, fléchit les genoux et s'enfonce d'un seul coup dans le con gluant. Elle écarte les pieds autant que le lui permet la culotte toujours coincée au milieu des cuisses.

— Oh... ouiii ! lâche-t-elle dans un long gémissement.
— Eh bien, Nicole, ma bite est entrée d'un seul coup tellement votre fente est détrempée.

Il la baise, lentement, dégustant la sensation de la vulve qui épouse délicieusement les formes de son chibre.

— Ça fait du bien ?

Elle gémit continuellement, se sent remplie, emportée par une excitation qui la rend folle de plaisir.

— Nicole, ça fait du bien, une bonne bite au fond du con ?
— Oui... mais... cessez de me poser des questions avec vos mots dégoûtants, vous êtes... Ohhh !
— Dégoûtant, moi ? Allons ma belle, vous adorez ça, être traitée comme une...
— Une... une quoi ? parvient-elle à articuler difficilement.
— Comme une salope : c'est ce que tu es en train de devenir, une salope qui a besoin de sexe !
— Oh... Ouiii ! Mais continuez de me vouvoyer, c'est plus...
— Plus excitant, pervers peut-être. C’est ça ?

Elle ne répond pas. Difficilement, elle tord le cou, lui tend ses lèvres.
Il colle sa bouche à celle de la femme ; les langues se touchent, s'enroulent. Lui aussi est terriblement excité. Le rythme de ses coups de reins accélère ; il empoigne les seins, s'en met plein les mains, fait rouler les pointes entre ses doigts. Un bruit de clapotis envahit la pièce.

— J'adore vos gros seins, ils me rendent fou !
— Oh, j'en ai honte... Ils sont trop gros, et ils pendent.
— Oui, ils ballotent, belle salope. C’est encore plus excitant, vos grosses mamelles qui bougent à chaque fois que je m'enfonce dans votre con ; j'aime jouer avec elles.

Horrifiée par tant de luxure, par la perversité des mots sales qu'il murmure à son oreille, mais terriblement excitée, elle enroule encore sa langue avec celle de l'homme.
Posant les mains sous les deux globes, il les fait sauter dans ses paumes.

— Nicole, vous dégoulinez, cochonne ; votre jus coule sur mes couilles !
— Ohhh, c'est dégoûtant…
— Oui, c'est sale, dégoûtant : c'est ça qui vous plaît, quand c'est sale... Salope !
— Ouiii !

Elle sent le pubis de l'homme claquer contre son cul, plus vite, plus fort.
Il la retourne, la recolle contre la paroi, l'embrasse à pleine bouche. Saisissant les hanches, il présente sa bite à la fente ; le gland connaît le chemin à travers la brousse dense de son pubis.
Elle baisse le regard, regarde la queue qui se fraie un passage au contact des lèvres velues. Le spectacle salace de la bite qui ouvre et s'engloutit dans sa fente est fascinant ; elle contemple la queue qui disparaît à moitié dans sa touffe.

— Dites-moi encore des mots... ces mots...
— Vous aimez avoir une bonne bite dans votre trou de pute, Nicole ? Une pute qui aime montrer son corps, ses formes pulpeuses, ses gros nichons, ses larges fesses !
— Ouiii !
— Il est bon, votre trou, il moule bien ma queue. Il faudra que j'essaie votre cul, que je m'y enfonce profond.
— ...
— Vous aimeriez que je vous encule ? Que j'enfonce mon chibre dans le trou que vous m'avez laissé lécher, petite pute ?
— ...
— Salope, ta moule dégouline, j'en ai plein les couilles !

Alors les prémices de la jouissance montent au creux de ses reins ; elle se cambre, lance son bas-ventre à la rencontre de la queue qui la perfore, qui la baise ! La respiration bloquée, la bouche grande ouverte, les muscles de son corps se raidissent. Un gémissement rauque monte du plus profond de sa gorge : elle jouit, la bite enfouie profondément en elle. Ravagée par l'orgasme, elle émet un jet de cyprine qui éclabousse les couilles de l'homme.
À son tour il se lâche, sort sa queue du con gluant et éjacule sur la chatte de la femme, engluant encore plus les poils, en criant « Salope ! »

Elle pose son visage dans le cou de l'homme, les bras accrochés à son épaule, puis elle fait une chose inimaginable, à laquelle elle n'aurait jamais pensé : elle se laisse glisser au sol, à genoux, pose sa joue contre la bite engluée de mouille et de foutre mélangés. Il la regarde, subjugué par le geste de sa partenaire. Alors il saisit sa queue encore dure, la frotte contre le visage de Nicole, les joues, les lèvres, les ailes du nez, le menton, le cou.
Elle le laisse faire, passive, soumise, le sperme gluant sur le bas de son visage. Elle respire les effluves de leur étreinte, cette odeur forte de sexe qui l'avait intriguée quand elle avait pénétré dans le bureau du boss après la sortie d'Eléanore. Elle aime cette odeur ; elle l'enivre. C'est tellement sale et excitant, délicieusement excitant...

Quelques minutes plus tard, ils sont allongés dans le canapé, elle blottie contre lui, une main posée sur la queue redevenue molle de son boss, lui caressant tendrement les cheveux emmêlés, avec toujours cette odeur forte de sperme et de cyprine.

— Nicole, je vous invite à dîner. Aimez-vous les fruits de mer ?
— Oh oui, j'adore ça ! répond-elle, un grand sourire aux lèvres.
— Alors allons-y.

Maintenant à l'aise, décontractée, la peau du visage devenue lisse et détendue, elle éclate de rire.

— Attendez, je ne peux pas partir comme ça : il faut que je retrouve une mine convenable. Et vous, vous sentez l'artisan ayant transpiré toute la journée !

Une heure plus tard, elle vêtue de son tailleur de cuir noir, chemisier blanc, bas noirs et escarpins, ils partent. Elle passe le bras sous le coude de son partenaire. Elle se sent vraiment bien.

Dans la brasserie, assis côte à côte, un plateau de fruits de mer face à eux, elle se sent délicieusement bien. De temps en temps il passe la main sous la nappe blanche, caresse furtivement la cuisse de Nicole. Elle a remonté sa jupe afin qu'il ait accès à la peau nue au-dessus de la lisière des bas. Il joue avec la jarretelle, glisse les doigts sous le bas, flatte la peau moite, sans excès. Une soirée merveilleuse, comme elle n'en a jamais vraiment connue depuis le départ de son mari.

De retour chez elle, ils font l'amour ; ils baisent, puis refont l'amour tendrement, dans le lit, elle nue, mais... ayant conservé les bas et le porte-jarretelles.

Auteur : hpassage

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