vendredi 30 janvier 2015

Contes immoraux : Road trips (1)

LA BOURGEOISE


Dans les années 70, la pratique de l’auto-stop était très répandue. Bien souvent, il s’agissait de jeunes étrangers qui ne faisaient que traverser la France pour se rendre au Maroc, qui était la destination préférée de ces routards, de ces beatniks, comme on les appelait à l’époque. Et puis il y avait tous ces marginaux, ces chevelus qui vivaient en communauté, se réclamant du mouvement hippy qui, né en Californie au cours de la décade précédente, avait mis cinq ans pour traverser l’océan Atlantique. Il était fréquent de voir ces jeunes le long des routes, le pouce levé, attendant qu’un automobiliste les prenne à bord de son véhicule.

Lui, musicien aux longs cheveux, âgé d’une trentaine d’années, s’arrêtait toujours pour leur faire parcourir quelques kilomètres dans sa vieille Renault 4L. Mais ce jour-là, il fut surpris par l’apparence de celle qui levait le pouce au bord de la route : une femme d’une cinquantaine d’années, élégamment vêtue ; une bourgeoise, quoi… Il s’arrêta à sa hauteur.

— Bonjour, Monsieur ; je suis très embêtée : ma voiture vient de tomber en panne. Pourriez-vous me conduire jusqu’à la ville suivante ? Il doit bien y avoir un garagiste qui acceptera de la réparer.
— Bien sûr, Madame ; montez donc.
— Je vous remercie ; vous êtes bien aimable, Monsieur.

Tout en roulant, il l’observait du coin de l’œil ; même si elle avait une bonne vingtaine d’années de plus que lui, elle ne semblait pas trop décrépite, la bourgeoise. Maquillée un peu outrageusement, certes, mais cependant élégante, et même attirante… Ils engagèrent la conversation, devisant de tout et de rien ; à un moment, ils vinrent à parler de leurs enfants.

— Moi, je n’ai qu’un fils ; comme il n’a que trois ans, il ne va pas encore à l’école, dit-il.
— Mon fils est plus âgé que le vôtre : il est dans une école d’ingénieurs. J’ai aussi une fille, qui est interne dans un établissement religieux. Mais les Sœurs sont très sévères.
— Sévères… De quelle manière ?
— Elles pratiquent encore les punitions corporelles : elles donnent des branlées.

Dans la bouche de cette bourgeoise BCBG, ce terme trivial de « branlée » le surprit ; mais elle poursuivit :

— Oui, elles donnent des branlées pour faire respecter la discipline !

« Encore une fois… Pourquoi s’exprime-t-elle ainsi ? » Mais la bourgeoise insistait lourdement sur ce mot, car elle l’employa encore à deux ou trois reprises. Il comprit qu’elle ne l’utilisait pas innocemment…

— Savez-vous, Madame, que les branlées ne sont pas toutes déplaisantes, et qu’il en existe même certaines qui sont très agréables ?

Joignant le geste à la parole, il ouvrit sa braguette et dégagea sa verge qu’il se mit à branler sous les yeux de la bourgeoise qui, bien que faisant mine d’être choquée, ne détournait toutefois pas son regard de la main qui allait et venait sur ce membre qui prenait de l’ampleur.

— Oh ! Espèce de cochon ! Oh, petit salaud !

Ses commentaires ne le perturbaient pas, bien au contraire. Il continua à s’astiquer la bite tout en conduisant, sous le regard intéressé de sa passagère qui fixait cette verge dont le gland semblait prêt à éclater, tellement il était gorgé de sang. Elle devait être excitée, car son discours changea ; elle se mit à adopter le tutoiement.

— Je sais que je suis plus âgée que toi, mais je suis encore pas mal du tout. Regarde mes seins : ils sont bien conservés, non ? Est-ce qu’ils te plaisent, mes seins ?

Tout en prononçant ces mots, elle avait déboutonné son corsage et libéré sa poitrine de son soutien-gorge. En effet, des seins d’un bon volume, mais un peu affaissés, s’offrirent à la vue de celui qui conduisait tout en se branlant.

— Ils sont encore beaux, n’est-ce pas ? Ils te plaisent ?
— Oui, Madame ; ils sont très beaux, et ça m’excite de les voir. Regardez comme ils me font bander !

En fait, ce n’était pas ses seins qui l’excitaient (il était poli et ne voulait pas la décevoir) mais la situation : une femme bien plus âgée que lui, qu’il ne connaissait pas encore un quart d’heure plus tôt, et qui lui exhibait ses seins pendant qu’il se branlait à côté d’elle… Il n’allait pas pouvoir se retenir bien longtemps encore, sentant le plaisir monter irrésistiblement dans sa tige, d’autant plus que cette vicieuse se pinçait le bout des seins en faisant rouler ses tétons érigés entre ses doigts.

Il attrapa un chiffon sous son siège et le disposa sur ses genoux pour éviter de tacher ses vêtements. Sa main serra avec force la hampe de sa bite ; son gland enfla encore plus, devint congestionné tandis que quelques gouttes de liquide transparent apparaissaient à son extrémité.

La vieille bourgeoise vicieuse n’en perdait pas le moindre détail ; son regard, fixé sur sa bite, devint halluciné tandis qu’elle tordait avec violence ses tétons. D’un doigt lubrifié par le liquide qui s’écoulait de son méat, il se caressa délicatement le frein, sous le gland. Sa bite se mit à tressauter dans sa main qui l’étranglait fermement et, par saccades, son sperme jaillit avec force. Les premiers jets vinrent s’écraser sur la planche de bord et sur le volant, puis le reste se déversa sur le chiffon qu’il avait judicieusement étalé sur ses jambes.

C’est en voyant tout ce sperme jaillir que l’honorable mère de famille, qui triturait le bout de ses seins, partit dans un orgasme qui la fit hurler de plaisir. Peu de temps après, ils arrivèrent à destination. Il la laissa devant un garage et lui dit seulement :

— Nous sommes arrivés, Madame ; au revoir, et merci pour tout !



UNE CHATTE DÉCEVANTE


Il prenait souvent à bord de sa voiture – une GS X2 – les gens qui faisaient de l’auto-stop, quels qu’ils fussent, filles ou garçons. Ce jour-là, c’était une fille qui levait le pouce au bord de la route. Comme elle allait loin et qu’il était déjà tard, il lui offrit de l’héberger ; elle accepta avec reconnaissance. Il l’amena donc chez lui, une maison de campagne isolée au sommet d’une colline ; là, elle pourrait disposer de tout le confort nécessaire à une étape agréable avant de poursuivre son voyage.

Pendant qu’elle prenait un bain, il prépara le repas. Comme elle était fatiguée, il lui proposa de se coucher tout de suite et de lui servir son dîner au lit. Cette offre lui plut, et elle se mit au lit. Alors qu’il la servait, elle lui demanda s’il allait manger seul. Il lui répondit que c’était ce qu’il envisageait, à moins qu’elle ne l’invite à ses côtés. Avec un sourire, elle ouvrit le lit pour qu’il la rejoigne. Il eut le temps de voir qu’elle ne portait qu’un long tee-shirt qui lui arrivait à mi-cuisses ; ses jambes étaient maigres et pâles : elle ne lui faisait pas du tout envie.

Il la rejoignit néanmoins ; après le repas (et quelques pétards), et comme il n’avait pas baisé depuis quelques jours, il se dit que – finalement – elle n’était pas si moche que ça, et que ça lui fournirait l’occasion de découvrir une nouvelle chatte. Il était alors toujours aussi curieux du sexe féminin, tant sa diversité est importante : il avait rarement rencontré, au cours de sa déjà longue carrière de baiseur, deux vulves semblables. En conséquence, il entreprit de se rapprocher d’elle ; elle ne refusa pas ses caresses.

Lorsqu’il découvrit sa vulve, il fut déçu car elle ne correspondait pas du tout à ses goûts (il préférait celles qui sont dotées de longues lèvres saillantes). Celle-ci, au contraire, présentait de toutes petites lèvres de quelques millimètres seulement, bien cachées par les grandes lèvres. De même, son clitoris n’offrait qu’une minuscule excroissance, qu’il eut bien du mal à dénicher.

Il introduisit quand même sa bite dans son vagin, qu’elle avait serré et très peu lubrifié ; ce fut pour lui une expérience décevante. C’est pourquoi, après avoir tiré son coup, il ne remit pas le couvert et s’endormit à ses côtés ;  le lendemain matin, il fut bien content de s’en débarrasser en la reconduisant le plus rapidement possible à l’endroit où il l’avait trouvée au bord de la route.



LA FILLE DU GENDARME


Encore une fille prise en stop, une mignonne petite blonde aux cheveux courts qui levait le pouce à la sortie de Ribérac.

— Bonjour ; vous pouvez m’emmener à Périgueux ?
— Oui, c’est possible, mais à condition que tu ne sois pas pressée. Je suis en train de coller des affiches pour un prochain spectacle, et je dois m’arrêter dans tous les villages ; heureusement, j’ai bientôt terminé. Alors, ça te convient quand même ?
— D’accord, c’est bon.

Elle semblait toute timide lorsqu’elle monta dans sa CX, mais elle se sentit bientôt à l’aise car le conducteur, même s’il avait une quarantaine d’années, lui parut fort sympathique avec ses cheveux longs et son look d’artiste.

— Que vas-tu faire à Périgueux ?
— C’est là que j’habite. Je suis demi-pensionnaire au collège Arnaut Daniel, mais comme je n’ai pas cours cet après-midi, je ne vais pas rester jusqu’à ce soir à m’emmerder dans ce trou à rats !
— Comment t’appelles-tu ?
— Valérie.
— Et tu as quel âge ?
— Seize ans.

Assez jeune pour être sa fille…
En ce début du mois de juin, le soleil brillait et il faisait très chaud.

— Bon, je tourne à droite pour rejoindre St Pardoux ; après, nous rejoindrons Périgueux en passant par St Aquilin puis par St Astier. Ça te dérange ?
— Pas de problème.

Quelques kilomètres plus loin, à une intersection, il avisa un pré accueillant en bordure d’une forêt.

— Ça te dirait de faire une petite pause ?
— Pourquoi pas ? D’accord.

Il gara la CX blanche à proximité de la lisière du bois. Elle ne résista pas lorsqu’il l’embrassa, ni quand ses mains s’égarèrent sur son corps d’adolescente. Elle avait de tout petits seins et, vu la taille de ses hanches et ses cheveux courts, on aurait pu la prendre pour un garçon en la voyant de dos. S’abandonnant à ses baisers, elle avança son bassin à la rencontre de la main qu’il avait posée sur l’une de ses cuisses menues et qui montait doucement le long du jean délavé en direction de son entrejambe.

Constatant que l’apparemment timide Valérie cherchait des émotions plus fortes qu’un simple flirt, il l’entraîna hors de la voiture ; prenant dans le coffre une couverture qui avait déjà servi plus d’une fois, il l’étala sur l’herbe et ils s’étendirent dessus.

L’adolescente était vierge ; mais un quart d’heure plus tard, elle ne l’était plus, ni de la chatte, ni du cul !

Malgré les légères douleurs qu’il lui avait infligées lors de ces deux déflorations consécutives, elle a aimé recevoir sa queue en elle, et elle le lui a dit. Dans le feu de l’action, Valérie ne s’est même pas inquiétée lorsqu’un groupe de cyclistes passa sur la route, à une dizaine de mètres d’eux. Ils entendirent les exclamations des sportifs : ils semblaient apprécier ce spectacle qui agrémentait leur randonnée… Mais ils ne cessèrent pas de forniquer pour autant !

Cette première exhibition involontaire avait donné à Valérie le goût d’être vue dénudée. Pour preuve, alors que – quelques jours plus tard – ils étaient en train de faire l’amour, nus en pleine nature au bord de l’Isle, ils entendirent du bruit sur l’autre rive du cours d’eau. Alertés, ils ont suspendu leurs ébats pendant quelques secondes, à l’écoute. Les craquements se répétaient, comme si quelqu’un écrasait des branches en marchant, puis ils s’arrêtèrent définitivement ; le voyeur avait dû trouver un point d’observation qui lui convenait.

— Je crois qu’on nous regarde, Valérie…
— Et alors ?

Comme cela semblait lui plaire, elle se laissa faire lorsqu’il lui écarta les cuisses en direction de l’endroit d’où le bruit était venu et lui ouvrit sa chatte juvénile pour lui caresser le clitoris jusqu’à ce qu’elle jouisse. Il espéra que le voyeur avait bien profité de l’exhibition qu’ils lui avaient offerte pour se branler avec frénésie…

Un soir, elle lui demanda de la raccompagner chez elle ; il s’inquiéta un peu lorsqu’il découvrit qu’elle résidait dans une gendarmerie. Mais il fut encore plus surpris lorsqu’il apprit que le père de Valérie était plus jeune que lui !



MONSTRUEUSE !


C’est le hasard qui lui avait fait rencontrer cette fille ; mais pouvait-elle vraiment être considérée comme une fille ?

C’était à l’époque où il travaillait dans une entreprise de transports routiers comme chauffeur d’attelages de 38 tonnes et, comme chaque fin de semaine, un apéritif rassemblait toute l’équipe – une quinzaine de personnes – au siège de l’entreprise. Ce soir-là, il avait bu plus que de raison ; lorsqu’il avait pris le volant de sa voiture pour rejoindre son domicile, il faisait déjà nuit. Il était complètement schlass.

Dans le faisceau des phares de sa CX turbo-D gris métallisé apparut une silhouette féminine qui marchait au bord de la route. Féminine ? Enfin, n’exagérons pas ! C’était un gros tas, large du cul.
Il s’arrêta à sa hauteur.

— Salut. Je ne vais quand même pas vous laisser marcher comme ça, toute seule dans la nuit.

Elle ouvrit la portière et s’installa. À la lumière du plafonnier, il put constater le désastre ambulant : des seins que le soutien-gorge arrivait tout juste à maintenir au niveau du nombril sur un bide proéminent, une tronche large aux traits ingrats… Un monstre, quoi ! Impossible de lui donner un âge ; elle aurait très bien pu avoir 20 ans comme 50.

Pourquoi l’avait-il invitée à monter dans sa voiture ? Par jeu, peut-être ; l’alcool l’empêchait de raisonner. Il était âgé de 43 ans, et jusque là il n’avait eu des rapports sexuels qu’avec de jolies – voire très jolies – femmes. Que se passa-t-il dans sa tête ? Le besoin de découvrir des sensations nouvelles ? Le désir pervers de baiser une mocheté ? L’envie d’offrir à cette fille défavorisée par la Nature l’occasion de se taper un homme plutôt mignon ? L’instinct primaire, venu de la nuit des temps, de copuler avec une Vénus callipyge ? Certainement un cocktail de ces différentes motivations… Toujours est-il que la grosse était maintenant assise à ses côtés, et il ne savait pas trop comment proposer une partie de jambes en l’air à cette baleine.

— Je vous propose un jeu : nous allons rouler au hasard en tirant à pile ou face la direction à prendre à chaque intersection.

Elle accepta sans réticence ; pour elle, se faire draguer par le beau gosse qu’il était alors représentait une aubaine inespérée…

C’est donc le hasard qui les amena sur une petite route au milieu des bois. Comme elle se terminait en cul de sac, il voulut faire demi-tour ; mais, dans son ivresse, il ne vit pas le fossé qui longeait la voie forestière : la CX bascula, endommageant au passage le capot et une aile. Comme le véhicule immobilisé était incapable de revenir sur le bitume, il dut faire appel aux services d’une dépanneuse équipée d’un treuil.

En attendant l’arrivée du camion, il entreprit la grosse ; après l’avoir allongée sur la voiture, il releva sa robe et abaissa sa culotte : une forte odeur se répandit aux alentours. La chair molle et blafarde de ses cuisses énormes s’étalait comme de la gelée sur le capot encore chaud de la CX. Mais la puanteur devint presque insoutenable lorsqu’il partit à la recherche de sa chatte ; il dut soulever les replis graisseux de son ventre pour atteindre une vulve proportionnée à sa corpulence, qui lui fendait tout le bas-ventre depuis son gros cul gélatineux !

Des grandes lèvres phénoménales pendouillaient de part et d’autre d’une fente profonde, suintante et nauséabonde. Répugné et attiré tout à la fois, il avança une main prudente vers ces replis innommables ; de cette monstruosité se répandait une viscosité inquiétante… Il n’aurait pas été surpris si une nuée de mouches bleues s’était envolée de l’entrecuisse béant.

Sa main entra en contact avec ces chairs malsaines et fut comme aspirée dans le ventre de la grosse, qui se mit à couiner de plaisir. Il ferma son poing et entreprit de lui ramoner le conduit avec violence, poussant en avant jusqu’à ce qu’un tiers de son avant-bras disparaisse dans les entrailles de cette grosse vache qui meugla son violent plaisir sous la lune. Puis il enfila sa bite dans cette masse de chairs visqueuses et gluantes.
En quelques allers et retours, il se vida les couilles dans cette abomination.



LA COMMERCIALE DE SON ENTREPRISE


Cette entreprise de transports avait bien des avantages ; en plus de lui permettre de sillonner les routes au volant d’un gros semi-remorque et de rencontrer de mignonnes auto-stoppeuses, elle lui a permis de faire la connaissance de Sophie, une belle blonde plantureuse qui exerçait l’activité de commerciale pour l’agence. Sophistiquée, elle l’était, avec ses vêtements de luxe et sa BMW. Les regards qu’elle lui lançait étaient chargés de promesses…
Il résolut de planter son stick dans son corps pulpeux, la rendant ainsi Sophiestickée.

Un samedi après-midi, elle l’invita chez elle pour déguster des beignets aux acacias. Bien entendu, ce n’était qu’un prétexte : ils n’étaient dupes ni l’un ni l’autre.

Après quelques banalités d’usage, il la prit bien vite dans ses bras pour l’embrasser ; elle lui rendit mon baiser puis, s’agenouillant aussitôt devant lui, elle entreprit d’ouvrir sa braguette pour en sortir un sexe déjà raide qu’elle engouffra instantanément dans sa bouche.

Elle suçait fort bien ; elle eut même la politesse d’avaler la dose de foutre qu’il lui envoya au fond de la gorge, puis elle l’amena dans sa chambre où, sur son lit, ils firent l’amour. Au moment où elle se mit à jouir, il sentit une chaleur humide inonder sa verge et ses cuisses ; Sophie s’excusa, expliquant qu’elle n’avait pas pu se retenir d’uriner lorsque le plaisir l’avait envahie. Par la suite, ils se sont revus souvent, et chaque fois qu’elle jouissait, elle se pissait dessus.

À cette époque-là, il ignorait encore l’existence des femmes fontaines.

Comme il effectuait chaque soir une rotation entre deux villes distantes d’une centaine de kilomètres au volant d’un 38 tonnes, Sophie l’accompagnait régulièrement, agrémentant le trajet de subtiles caresses des lèvres sur son gland. Et même, à plusieurs reprises, il l’a baisée tout en conduisant : après avoir enlevé sa culotte et relevé sa robe, elle venait s’asseoir sur ses genoux et frottait son cul sur sa bite jusqu’à ce qu’elle se dresse, puis elle la prenait en main pour se l’introduire dans le vagin.

Par chance, il n’a jamais eu de contrôle routier pendant qu’ils pratiquaient ces activités licencieuses ; quelle surprise les gendarmes auraient eue !



UNE CLIENTE PARTICULIÈRE


Celle-là, il ne se souvient plus de son nom ; et même s’il se le rappelait, il ne le citerait pas car elle était mariée. Artisan d’art, elle habitait à la campagne, dans une bourgade reculée ; c’était une jolie femme mature d’environ 45 ans aux cheveux châtain clair, assez courts.

À cette époque-là, il travaillait dans une entreprise de transports routiers ; le directeur de l’agence lui avait demandé d’aller charger quelques colis chez ce couple. Il était arrivé chez ces nouveaux clients (démarchés par la plantureuse Sophie…) dans la matinée et, à ce qu’il lui avait semblé, la dame était seule à la maison.

Comme elle l’avait reçu en chemise de nuit et qu’elle était à son goût, il pensait pouvoir aller avec elle bien au-delà de simples rapports de travail, tant elle lui avait parue ouverte à des relations extraprofessionnelles… À vrai dire, il était excité, et il bandait en repartant de chez elle.

Après avoir chargé ses colis dans le camion, il lui parut impossible de reprendre la route, affligé de cette érection qui le perturbait. À l’abri des regards indiscrets, derrière la semi-remorque, il défit sa braguette et sortit sa verge toute dure pour apaiser cette excitation qui enflammait ses sens ; il se  branla à proximité de la maison de sa cliente tout en jetant des regards furtifs autour de lui, craignant d’être surpris dans cette activité assez peu professionnelle.

Enfin, quelques jets de sperme vinrent le délivrer de la tension qui s’était accumulée dans son slip, et il put repartir pour continuer sa tournée.

Lorsqu’il arriva au dépôt en fin d’après-midi, le directeur lui demanda de téléphoner à cette cliente car elle avait appelé l’agence au cours de la journée ; alors qu’il craignait le pire (elle aurait pu le voir se masturber et se plaindre auprès du chef d’agence), elle lui déclara qu’elle aimerait bien le revoir. Sans le lui dire expressément, elle lui laissa entendre qu’elle l’avait vu se branler, et que ça l’avait excitée. Ils convinrent d’un rendez-vous et, le jour suivant, elle grimpa dans le 38 tonnes pour l’accompagner dans sa tournée.

Ils sympathisèrent au cours de la matinée et, lors de la pause méridienne, il la prit dans ses bras. La cabine du Mercedes était bien équipée : elle disposait de deux couchettes superposées, mais ils n’en occupèrent qu’une seule. Affamée de baisers, cette femme mariée était encore plus affamée de caresses.

Bien entendu, sa bouche s’est régalée de sa chatte ; bien entendu, elle l’a pompé à mort pour avaler tout ce que sa bite pouvait lui décharger au fond de la gorge ; bien entendu, il l’a baisée avec toute l’énergie dont il était capable. Et, sans mentir, il peut affirmer que la dame s’est éclatée. Elle mouillait tellement que le matelas de la couchette en porte encore les traces…



ROUTE DE NUIT


Au volant de son 38 tonnes, il venait de reprendre la route pour rejoindre son dépôt après avoir effectué sa rotation quotidienne entre deux villes distantes d’une centaine de kilomètres.

Pour ce musicien qui avait besoin d’arrondir ses fins de mois, ce travail n’était pas trop fatigant : son job consistait à dételer la semi-remorque qu’il avait tractée jusqu’à Limoges après l’avoir mise à quai, et à en atteler une autre pour la conduire à Périgueux. Ces allers-retours avaient lieu en soirée. Il aimait conduire, surtout la nuit lorsque les routes sont dégagées de toute circulation ; et le ronflement feutré du gros moteur situé sous la cabine du Mercedes lui conférait un sentiment de puissance maîtrisée.
Il avalait les kilomètres avec délices…

Ce soir-là, à la sortie de Limoges, le faisceau des phares éclaira une frêle silhouette : une jeune fille qui, le bras levé et le pouce tendu, faisait le signe caractéristique de ceux qui désirent bénéficier d’un transport gratuit.
Pas de problème : il aimait rendre service à qui que ce fût, filles ou garçons. Son talon appuya sur la pédale du ralentisseur, étouffant le moteur ; il rétrograda et, dans le chuintement de l’air comprimé qui actionnait les freins, il immobilisa son « gros cul » juste à la hauteur de l’auto-stoppeuse.

— Vite, montez : c’est dangereux, là où je me suis arrêté.

Il fut surpris par la beauté de la jeune fille ; même si son corps était enveloppé d’un long manteau sombre, le minois qui émergeait du vêtement ne le laissa pas indifférent : des traits fins, de longs cheveux bruns qui descendaient jusque sur ses épaules, un petit nez retroussé, une bouche aux lèvres pulpeuses… À cause du faible éclairage que diffusait le plafonnier, il fut déçu de ne pas pouvoir distinguer la couleur de ses yeux en amande. Marron, certainement, puisqu’elle était indubitablement d’origine asiatique.

— Merci beaucoup ; vous être vraiment gentil. C’est qu’il fait froid, dehors…

Il régla la climatisation sur la chaleur maximale.

— Vous allez loin, comme ça, en pleine nuit ?
— Jusqu’à Bordeaux. C’est sur votre route ?
— Désolé : j’aurais aimé pouvoir vous y conduire, mais je m’arrête à Périgueux.
— Ne vous inquiétez pas : c’est déjà bien ainsi.

La cabine du Mercedes se souleva en s’inclinant vers l’arrière lorsqu’il enclencha la première, freinée par la lourde masse de la semi-remorque qu’il tractait. L’attelage reprit sa vitesse de croisière. Dans l’habitacle, il sélectionna une émission de jazz afin de rendre l’atmosphère conviviale, d’apporter une certaine intimité propice aux confidences.

« Belle ; elle est vraiment belle… » Bien plus belle que toutes les autres filles qu’il avait déjà prises en stop. Ces filles qu’il avait baisées, pour la plupart d’entre elles (enfin, les baisables, pas les baleines…) sur l’étroite couchette de la cabine. Du coup, il hésitait. « Non… Celle-ci est vraiment trop belle pour que je la traite comme les autres ; elle mérite mieux qu’un simple coup de queue tiré vite fait. »

Le camion avalait le long ruban de bitume, et plus les kilomètres passaient, plus son excitation devenait importante… Comment faire ? Dans la pénombre de la cabine, il avait ouvert sa braguette pour se caresser le gland. Il comptait se donner discrètement du plaisir afin de faire retomber la tension qui l’habitait. Le problème, c’est qu’il n’avait pas de chiffon qui aurait pu recueillir son sperme sans tacher ses vêtements. Il arrêta sa masturbation juste avant d’éjaculer. Par bonheur, il aperçut un panneau de signalisation qui indiquait « parking à 500 m » ; il ralentit et, arrivé à l’entrée de ce parking providentiel, il y engagea son 38 tonnes.

— Je suis obligé de m’arrêter pendant quarante-cinq minutes car j’ai atteint mon quota d’heures de conduite, et je suis dans l’obligation de faire une coupure avant de pouvoir reprendre le volant.
— Ce n’est pas grave : sans vous, je serais encore à Limoges en train d’attendre. Et puis, ce n’est que demain matin que je dois être à Bordeaux.
— Dans ce cas, je vais descendre pour fumer un cigarillo.

Bien entendu, c’était un mensonge car il n’avait accumulé qu’une demi-heure de conduite depuis son départ de Limoges ; mais il devait absolument évacuer le trop-plein de sperme qui était sur le point de se déverser dans son pantalon… Il alluma le plafonnier et descendit du tracteur.

À quelques pas du Mercedes, il sortit sa queue encore raide ; la nuit sombre le protégeait du regard de sa passagère, mais il pouvait la voir grâce à l’éclairage intérieur de la cabine ; elle écoutait la radio. Tout en la regardant, il reprit la masturbation interrompue quelques minutes plus tôt ; mais là, il ne s’arrêta pas. D’une main, il tenait serrée la base de sa verge pour la faire gonfler et la rendre encore plus volumineuse, surtout son gland décalotté et richement innervé dont l’autre main – lubrifiée de salive – caressait délicatement la zone si sensible située juste en arrière la couronne.

C’est sur le sol que s’écrasèrent les quelques centimètres cubes de sperme qu’il aurait préféré larguer entre les cuisses ou dans la bouche de sa belle passagère. Sa jouissance fut brève, mais fulgurante. Et c’est soulagé qu’il grimpa dans la cabine ; après quelques minutes d’attente, il fit ronfler le moteur et reprit sa route.

Arrivé au dépôt, il mit son camion à quai et invita sa passagère à changer de véhicule ; et c’est dans son coupé Volvo 480 ES qu’il lui fit traverser Périgueux pour la laisser à la sortie de la ville, en direction de Bordeaux.

Au moment où elle descendait du coupé, il ne put s’empêcher de lui avouer :

— Il faut que je vous dise quelque chose : si je me suis arrêté en route, c’est parce que vous m’aviez tellement excité que j’ai dû me masturber.
— Hein ? Mais il fallait me le dire ! J’aurais tellement aimé vous regarder pendant que vous vous branliez…

Auteur : Lioubov

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