LA BOURGEOISE
Dans les années 70, la pratique de l’auto-stop était très répandue. Bien souvent, il s’agissait de jeunes étrangers qui ne faisaient que traverser la France pour se rendre au Maroc, qui était la destination préférée de ces routards, de ces beatniks, comme on les appelait à l’époque. Et puis il y avait tous ces marginaux, ces chevelus qui vivaient en communauté, se réclamant du mouvement hippy qui, né en Californie au cours de la décade précédente, avait mis cinq ans pour traverser l’océan Atlantique. Il était fréquent de voir ces jeunes le long des routes, le pouce levé, attendant qu’un automobiliste les prenne à bord de son véhicule.
Lui, musicien aux longs cheveux, âgé d’une trentaine d’années, s’arrêtait toujours pour leur faire parcourir quelques kilomètres dans sa vieille Renault 4L. Mais ce jour-là, il fut surpris par l’apparence de celle qui levait le pouce au bord de la route : une femme d’une cinquantaine d’années, élégamment vêtue ; une bourgeoise, quoi… Il s’arrêta à sa hauteur.
Dans les années 70, la pratique de l’auto-stop était très répandue. Bien souvent, il s’agissait de jeunes étrangers qui ne faisaient que traverser la France pour se rendre au Maroc, qui était la destination préférée de ces routards, de ces beatniks, comme on les appelait à l’époque. Et puis il y avait tous ces marginaux, ces chevelus qui vivaient en communauté, se réclamant du mouvement hippy qui, né en Californie au cours de la décade précédente, avait mis cinq ans pour traverser l’océan Atlantique. Il était fréquent de voir ces jeunes le long des routes, le pouce levé, attendant qu’un automobiliste les prenne à bord de son véhicule.
Lui, musicien aux longs cheveux, âgé d’une trentaine d’années, s’arrêtait toujours pour leur faire parcourir quelques kilomètres dans sa vieille Renault 4L. Mais ce jour-là, il fut surpris par l’apparence de celle qui levait le pouce au bord de la route : une femme d’une cinquantaine d’années, élégamment vêtue ; une bourgeoise, quoi… Il s’arrêta à sa hauteur.
— Bonjour, Monsieur ; je suis très embêtée : ma voiture
vient de tomber en panne. Pourriez-vous me conduire jusqu’à la ville
suivante ? Il doit bien y avoir un garagiste qui acceptera de la
réparer.
— Bien sûr, Madame ; montez donc.
— Je vous remercie ; vous êtes bien aimable, Monsieur.
Tout
en roulant, il l’observait du coin de l’œil ; même si elle avait une
bonne vingtaine d’années de plus que lui, elle ne semblait pas trop
décrépite, la bourgeoise. Maquillée un peu outrageusement, certes, mais
cependant élégante, et même attirante… Ils engagèrent la conversation,
devisant de tout et de rien ; à un moment, ils vinrent à parler de leurs
enfants.
— Moi, je n’ai qu’un fils ; comme il n’a que trois ans, il ne va pas encore à l’école, dit-il.
—
Mon fils est plus âgé que le vôtre : il est dans une école
d’ingénieurs. J’ai aussi une fille, qui est interne dans un
établissement religieux. Mais les Sœurs sont très sévères.
— Sévères… De quelle manière ?
— Elles pratiquent encore les punitions corporelles : elles donnent des branlées.
Dans la bouche de cette bourgeoise BCBG, ce terme trivial de « branlée » le surprit ; mais elle poursuivit :
— Oui, elles donnent des branlées pour faire respecter la discipline !
« Encore une fois… Pourquoi s’exprime-t-elle ainsi ? »
Mais la bourgeoise insistait lourdement sur ce mot, car elle l’employa
encore à deux ou trois reprises. Il comprit qu’elle ne l’utilisait pas
innocemment…
— Savez-vous, Madame, que les branlées ne sont pas
toutes déplaisantes, et qu’il en existe même certaines qui sont très
agréables ?
Joignant le geste à la parole, il ouvrit sa braguette
et dégagea sa verge qu’il se mit à branler sous les yeux de la
bourgeoise qui, bien que faisant mine d’être choquée, ne détournait
toutefois pas son regard de la main qui allait et venait sur ce membre
qui prenait de l’ampleur.
— Oh ! Espèce de cochon ! Oh, petit salaud !
Ses
commentaires ne le perturbaient pas, bien au contraire. Il continua à
s’astiquer la bite tout en conduisant, sous le regard intéressé de sa
passagère qui fixait cette verge dont le gland semblait prêt à éclater,
tellement il était gorgé de sang. Elle devait être excitée, car son
discours changea ; elle se mit à adopter le tutoiement.
— Je sais
que je suis plus âgée que toi, mais je suis encore pas mal du tout.
Regarde mes seins : ils sont bien conservés, non ? Est-ce qu’ils te
plaisent, mes seins ?
Tout en prononçant ces mots, elle avait
déboutonné son corsage et libéré sa poitrine de son soutien-gorge. En
effet, des seins d’un bon volume, mais un peu affaissés, s’offrirent à
la vue de celui qui conduisait tout en se branlant.
— Ils sont encore beaux, n’est-ce pas ? Ils te plaisent ?
— Oui, Madame ; ils sont très beaux, et ça m’excite de les voir. Regardez comme ils me font bander !
En
fait, ce n’était pas ses seins qui l’excitaient (il était poli et ne
voulait pas la décevoir) mais la situation : une femme bien plus âgée
que lui, qu’il ne connaissait pas encore un quart d’heure plus tôt, et
qui lui exhibait ses seins pendant qu’il se branlait à côté d’elle… Il
n’allait pas pouvoir se retenir bien longtemps encore, sentant le
plaisir monter irrésistiblement dans sa tige, d’autant plus que cette
vicieuse se pinçait le bout des seins en faisant rouler ses tétons
érigés entre ses doigts.
Il attrapa un chiffon sous son siège et
le disposa sur ses genoux pour éviter de tacher ses vêtements. Sa main
serra avec force la hampe de sa bite ; son gland enfla encore plus,
devint congestionné tandis que quelques gouttes de liquide transparent
apparaissaient à son extrémité.
La vieille bourgeoise vicieuse
n’en perdait pas le moindre détail ; son regard, fixé sur sa bite,
devint halluciné tandis qu’elle tordait avec violence ses tétons. D’un
doigt lubrifié par le liquide qui s’écoulait de son méat, il se caressa
délicatement le frein, sous le gland. Sa bite se mit à tressauter dans
sa main qui l’étranglait fermement et, par saccades, son sperme jaillit
avec force. Les premiers jets vinrent s’écraser sur la planche de bord
et sur le volant, puis le reste se déversa sur le chiffon qu’il avait
judicieusement étalé sur ses jambes.
C’est en voyant tout ce
sperme jaillir que l’honorable mère de famille, qui triturait le bout de
ses seins, partit dans un orgasme qui la fit hurler de plaisir. Peu de
temps après, ils arrivèrent à destination. Il la laissa devant un garage
et lui dit seulement :
— Nous sommes arrivés, Madame ; au revoir, et merci pour tout !
UNE CHATTE DÉCEVANTE
Il
prenait souvent à bord de sa voiture – une GS X2 – les gens qui
faisaient de l’auto-stop, quels qu’ils fussent, filles ou garçons. Ce
jour-là, c’était une fille qui levait le pouce au bord de la route.
Comme elle allait loin et qu’il était déjà tard, il lui offrit de
l’héberger ; elle accepta avec reconnaissance. Il l’amena donc chez lui,
une maison de campagne isolée au sommet d’une colline ; là, elle
pourrait disposer de tout le confort nécessaire à une étape agréable
avant de poursuivre son voyage.
Pendant qu’elle prenait un bain,
il prépara le repas. Comme elle était fatiguée, il lui proposa de se
coucher tout de suite et de lui servir son dîner au lit. Cette offre lui
plut, et elle se mit au lit. Alors qu’il la servait, elle lui demanda
s’il allait manger seul. Il lui répondit que c’était ce qu’il
envisageait, à moins qu’elle ne l’invite à ses côtés. Avec un sourire,
elle ouvrit le lit pour qu’il la rejoigne. Il eut le temps de voir
qu’elle ne portait qu’un long tee-shirt qui lui arrivait à mi-cuisses ;
ses jambes étaient maigres et pâles : elle ne lui faisait pas du tout
envie.
Il la rejoignit néanmoins ; après le repas (et quelques
pétards), et comme il n’avait pas baisé depuis quelques jours, il se dit
que – finalement – elle n’était pas si moche que ça, et que ça lui
fournirait l’occasion de découvrir une nouvelle chatte. Il était alors
toujours aussi curieux du sexe féminin, tant sa diversité est importante
: il avait rarement rencontré, au cours de sa déjà longue carrière de
baiseur, deux vulves semblables. En conséquence, il entreprit de se
rapprocher d’elle ; elle ne refusa pas ses caresses.
Lorsqu’il
découvrit sa vulve, il fut déçu car elle ne correspondait pas du tout à
ses goûts (il préférait celles qui sont dotées de longues lèvres
saillantes). Celle-ci, au contraire, présentait de toutes petites lèvres
de quelques millimètres seulement, bien cachées par les grandes lèvres.
De même, son clitoris n’offrait qu’une minuscule excroissance, qu’il
eut bien du mal à dénicher.
Il introduisit quand même sa bite
dans son vagin, qu’elle avait serré et très peu lubrifié ; ce fut pour
lui une expérience décevante. C’est pourquoi, après avoir tiré son coup,
il ne remit pas le couvert et s’endormit à ses côtés ; le lendemain
matin, il fut bien content de s’en débarrasser en la reconduisant le
plus rapidement possible à l’endroit où il l’avait trouvée au bord de la
route.
LA FILLE DU GENDARME
Encore une fille prise en stop, une mignonne petite blonde aux cheveux courts qui levait le pouce à la sortie de Ribérac.
— Bonjour ; vous pouvez m’emmener à Périgueux ?
—
Oui, c’est possible, mais à condition que tu ne sois pas pressée. Je
suis en train de coller des affiches pour un prochain spectacle, et je
dois m’arrêter dans tous les villages ; heureusement, j’ai bientôt
terminé. Alors, ça te convient quand même ?
— D’accord, c’est bon.
Elle
semblait toute timide lorsqu’elle monta dans sa CX, mais elle se sentit
bientôt à l’aise car le conducteur, même s’il avait une quarantaine
d’années, lui parut fort sympathique avec ses cheveux longs et son look
d’artiste.
— Que vas-tu faire à Périgueux ?
— C’est là que
j’habite. Je suis demi-pensionnaire au collège Arnaut Daniel, mais comme
je n’ai pas cours cet après-midi, je ne vais pas rester jusqu’à ce soir
à m’emmerder dans ce trou à rats !
— Comment t’appelles-tu ?
— Valérie.
— Et tu as quel âge ?
— Seize ans.
Assez jeune pour être sa fille…
En ce début du mois de juin, le soleil brillait et il faisait très chaud.
—
Bon, je tourne à droite pour rejoindre St Pardoux ; après, nous
rejoindrons Périgueux en passant par St Aquilin puis par St Astier. Ça
te dérange ?
— Pas de problème.
Quelques kilomètres plus loin, à une intersection, il avisa un pré accueillant en bordure d’une forêt.
— Ça te dirait de faire une petite pause ?
— Pourquoi pas ? D’accord.
Il
gara la CX blanche à proximité de la lisière du bois. Elle ne résista
pas lorsqu’il l’embrassa, ni quand ses mains s’égarèrent sur son corps
d’adolescente. Elle avait de tout petits seins et, vu la taille de ses
hanches et ses cheveux courts, on aurait pu la prendre pour un garçon en
la voyant de dos. S’abandonnant à ses baisers, elle avança son bassin à
la rencontre de la main qu’il avait posée sur l’une de ses cuisses
menues et qui montait doucement le long du jean délavé en direction de
son entrejambe.
Constatant que l’apparemment timide Valérie
cherchait des émotions plus fortes qu’un simple flirt, il l’entraîna
hors de la voiture ; prenant dans le coffre une couverture qui avait
déjà servi plus d’une fois, il l’étala sur l’herbe et ils s’étendirent
dessus.
L’adolescente était vierge ; mais un quart d’heure plus tard, elle ne l’était plus, ni de la chatte, ni du cul !
Malgré
les légères douleurs qu’il lui avait infligées lors de ces deux
déflorations consécutives, elle a aimé recevoir sa queue en elle, et
elle le lui a dit. Dans le feu de l’action, Valérie ne s’est même pas
inquiétée lorsqu’un groupe de cyclistes passa sur la route, à une
dizaine de mètres d’eux. Ils entendirent les exclamations des sportifs :
ils semblaient apprécier ce spectacle qui agrémentait leur randonnée…
Mais ils ne cessèrent pas de forniquer pour autant !
Cette
première exhibition involontaire avait donné à Valérie le goût d’être
vue dénudée. Pour preuve, alors que – quelques jours plus tard – ils
étaient en train de faire l’amour, nus en pleine nature au bord de
l’Isle, ils entendirent du bruit sur l’autre rive du cours d’eau.
Alertés, ils ont suspendu leurs ébats pendant quelques secondes, à
l’écoute. Les craquements se répétaient, comme si quelqu’un écrasait des
branches en marchant, puis ils s’arrêtèrent définitivement ; le voyeur
avait dû trouver un point d’observation qui lui convenait.
— Je crois qu’on nous regarde, Valérie…
— Et alors ?
Comme
cela semblait lui plaire, elle se laissa faire lorsqu’il lui écarta les
cuisses en direction de l’endroit d’où le bruit était venu et lui
ouvrit sa chatte juvénile pour lui caresser le clitoris jusqu’à ce
qu’elle jouisse. Il espéra que le voyeur avait bien profité de
l’exhibition qu’ils lui avaient offerte pour se branler avec frénésie…
Un
soir, elle lui demanda de la raccompagner chez elle ; il s’inquiéta un
peu lorsqu’il découvrit qu’elle résidait dans une gendarmerie. Mais il
fut encore plus surpris lorsqu’il apprit que le père de Valérie était
plus jeune que lui !
MONSTRUEUSE !
C’est le hasard qui lui avait fait rencontrer cette fille ; mais pouvait-elle vraiment être considérée comme une fille ?
C’était
à l’époque où il travaillait dans une entreprise de transports routiers
comme chauffeur d’attelages de 38 tonnes et, comme chaque fin de
semaine, un apéritif rassemblait toute l’équipe – une quinzaine de
personnes – au siège de l’entreprise. Ce soir-là, il avait bu plus que
de raison ; lorsqu’il avait pris le volant de sa voiture pour rejoindre
son domicile, il faisait déjà nuit. Il était complètement schlass.
Dans
le faisceau des phares de sa CX turbo-D gris métallisé apparut une
silhouette féminine qui marchait au bord de la route. Féminine ? Enfin,
n’exagérons pas ! C’était un gros tas, large du cul.
Il s’arrêta à sa hauteur.
— Salut. Je ne vais quand même pas vous laisser marcher comme ça, toute seule dans la nuit.
Elle
ouvrit la portière et s’installa. À la lumière du plafonnier, il put
constater le désastre ambulant : des seins que le soutien-gorge arrivait
tout juste à maintenir au niveau du nombril sur un bide proéminent, une
tronche large aux traits ingrats… Un monstre, quoi ! Impossible de lui
donner un âge ; elle aurait très bien pu avoir 20 ans comme 50.
Pourquoi
l’avait-il invitée à monter dans sa voiture ? Par jeu, peut-être ;
l’alcool l’empêchait de raisonner. Il était âgé de 43 ans, et jusque là
il n’avait eu des rapports sexuels qu’avec de jolies – voire très jolies
– femmes. Que se passa-t-il dans sa tête ? Le besoin de découvrir des
sensations nouvelles ? Le désir pervers de baiser une mocheté ? L’envie
d’offrir à cette fille défavorisée par la Nature l’occasion de se taper
un homme plutôt mignon ? L’instinct primaire, venu de la nuit des temps,
de copuler avec une Vénus callipyge ? Certainement un cocktail de ces
différentes motivations… Toujours est-il que la grosse était maintenant
assise à ses côtés, et il ne savait pas trop comment proposer une partie
de jambes en l’air à cette baleine.
— Je vous propose un jeu : nous allons rouler au hasard en tirant à pile ou face la direction à prendre à chaque intersection.
Elle
accepta sans réticence ; pour elle, se faire draguer par le beau gosse
qu’il était alors représentait une aubaine inespérée…
C’est donc
le hasard qui les amena sur une petite route au milieu des bois. Comme
elle se terminait en cul de sac, il voulut faire demi-tour ; mais, dans
son ivresse, il ne vit pas le fossé qui longeait la voie forestière : la
CX bascula, endommageant au passage le capot et une aile. Comme le
véhicule immobilisé était incapable de revenir sur le bitume, il dut
faire appel aux services d’une dépanneuse équipée d’un treuil.
En
attendant l’arrivée du camion, il entreprit la grosse ; après l’avoir
allongée sur la voiture, il releva sa robe et abaissa sa culotte : une
forte odeur se répandit aux alentours. La chair molle et blafarde de ses
cuisses énormes s’étalait comme de la gelée sur le capot encore chaud
de la CX. Mais la puanteur devint presque insoutenable lorsqu’il partit à
la recherche de sa chatte ; il dut soulever les replis graisseux de son
ventre pour atteindre une vulve proportionnée à sa corpulence, qui lui
fendait tout le bas-ventre depuis son gros cul gélatineux !
Des
grandes lèvres phénoménales pendouillaient de part et d’autre d’une
fente profonde, suintante et nauséabonde. Répugné et attiré tout à la
fois, il avança une main prudente vers ces replis innommables ; de cette
monstruosité se répandait une viscosité inquiétante… Il n’aurait pas
été surpris si une nuée de mouches bleues s’était envolée de
l’entrecuisse béant.
Sa main entra en contact avec ces chairs
malsaines et fut comme aspirée dans le ventre de la grosse, qui se mit à
couiner de plaisir. Il ferma son poing et entreprit de lui ramoner le
conduit avec violence, poussant en avant jusqu’à ce qu’un tiers de son
avant-bras disparaisse dans les entrailles de cette grosse vache qui
meugla son violent plaisir sous la lune. Puis il enfila sa bite dans
cette masse de chairs visqueuses et gluantes.
En quelques allers et retours, il se vida les couilles dans cette abomination.
LA COMMERCIALE DE SON ENTREPRISE
Cette
entreprise de transports avait bien des avantages ; en plus de lui
permettre de sillonner les routes au volant d’un gros semi-remorque et
de rencontrer de mignonnes auto-stoppeuses, elle lui a permis de faire
la connaissance de Sophie, une belle blonde plantureuse qui exerçait
l’activité de commerciale pour l’agence. Sophistiquée, elle l’était,
avec ses vêtements de luxe et sa BMW. Les regards qu’elle lui lançait
étaient chargés de promesses…
Il résolut de planter son stick dans son corps pulpeux, la rendant ainsi Sophiestickée.
Un
samedi après-midi, elle l’invita chez elle pour déguster des beignets
aux acacias. Bien entendu, ce n’était qu’un prétexte : ils n’étaient
dupes ni l’un ni l’autre.
Après quelques banalités d’usage, il la
prit bien vite dans ses bras pour l’embrasser ; elle lui rendit mon
baiser puis, s’agenouillant aussitôt devant lui, elle entreprit d’ouvrir
sa braguette pour en sortir un sexe déjà raide qu’elle engouffra
instantanément dans sa bouche.
Elle suçait fort bien ; elle eut
même la politesse d’avaler la dose de foutre qu’il lui envoya au fond de
la gorge, puis elle l’amena dans sa chambre où, sur son lit, ils firent
l’amour. Au moment où elle se mit à jouir, il sentit une chaleur humide
inonder sa verge et ses cuisses ; Sophie s’excusa, expliquant qu’elle
n’avait pas pu se retenir d’uriner lorsque le plaisir l’avait envahie.
Par la suite, ils se sont revus souvent, et chaque fois qu’elle
jouissait, elle se pissait dessus.
À cette époque-là, il ignorait encore l’existence des femmes fontaines.
Comme
il effectuait chaque soir une rotation entre deux villes distantes
d’une centaine de kilomètres au volant d’un 38 tonnes, Sophie
l’accompagnait régulièrement, agrémentant le trajet de subtiles caresses
des lèvres sur son gland. Et même, à plusieurs reprises, il l’a baisée
tout en conduisant : après avoir enlevé sa culotte et relevé sa robe,
elle venait s’asseoir sur ses genoux et frottait son cul sur sa bite
jusqu’à ce qu’elle se dresse, puis elle la prenait en main pour se
l’introduire dans le vagin.
Par chance, il n’a jamais eu de
contrôle routier pendant qu’ils pratiquaient ces activités licencieuses ;
quelle surprise les gendarmes auraient eue !
UNE CLIENTE PARTICULIÈRE
Celle-là,
il ne se souvient plus de son nom ; et même s’il se le rappelait, il ne
le citerait pas car elle était mariée. Artisan d’art, elle habitait à
la campagne, dans une bourgade reculée ; c’était une jolie femme mature
d’environ 45 ans aux cheveux châtain clair, assez courts.
À cette
époque-là, il travaillait dans une entreprise de transports routiers ;
le directeur de l’agence lui avait demandé d’aller charger quelques
colis chez ce couple. Il était arrivé chez ces nouveaux clients
(démarchés par la plantureuse Sophie…) dans la matinée et, à ce qu’il
lui avait semblé, la dame était seule à la maison.
Comme elle
l’avait reçu en chemise de nuit et qu’elle était à son goût, il pensait
pouvoir aller avec elle bien au-delà de simples rapports de travail,
tant elle lui avait parue ouverte à des relations extraprofessionnelles…
À vrai dire, il était excité, et il bandait en repartant de chez elle.
Après
avoir chargé ses colis dans le camion, il lui parut impossible de
reprendre la route, affligé de cette érection qui le perturbait. À
l’abri des regards indiscrets, derrière la semi-remorque, il défit sa
braguette et sortit sa verge toute dure pour apaiser cette excitation
qui enflammait ses sens ; il se branla à proximité de la maison de sa
cliente tout en jetant des regards furtifs autour de lui, craignant
d’être surpris dans cette activité assez peu professionnelle.
Enfin,
quelques jets de sperme vinrent le délivrer de la tension qui s’était
accumulée dans son slip, et il put repartir pour continuer sa tournée.
Lorsqu’il
arriva au dépôt en fin d’après-midi, le directeur lui demanda de
téléphoner à cette cliente car elle avait appelé l’agence au cours de la
journée ; alors qu’il craignait le pire (elle aurait pu le voir se
masturber et se plaindre auprès du chef d’agence), elle lui déclara
qu’elle aimerait bien le revoir. Sans le lui dire expressément, elle lui
laissa entendre qu’elle l’avait vu se branler, et que ça l’avait
excitée. Ils convinrent d’un rendez-vous et, le jour suivant, elle
grimpa dans le 38 tonnes pour l’accompagner dans sa tournée.
Ils
sympathisèrent au cours de la matinée et, lors de la pause méridienne,
il la prit dans ses bras. La cabine du Mercedes était bien équipée :
elle disposait de deux couchettes superposées, mais ils n’en occupèrent
qu’une seule. Affamée de baisers, cette femme mariée était encore plus
affamée de caresses.
Bien entendu, sa bouche s’est régalée de sa
chatte ; bien entendu, elle l’a pompé à mort pour avaler tout ce que sa
bite pouvait lui décharger au fond de la gorge ; bien entendu, il l’a
baisée avec toute l’énergie dont il était capable. Et, sans mentir, il
peut affirmer que la dame s’est éclatée. Elle mouillait tellement que le
matelas de la couchette en porte encore les traces…
ROUTE DE NUIT
Au
volant de son 38 tonnes, il venait de reprendre la route pour rejoindre
son dépôt après avoir effectué sa rotation quotidienne entre deux
villes distantes d’une centaine de kilomètres.
Pour ce musicien
qui avait besoin d’arrondir ses fins de mois, ce travail n’était pas
trop fatigant : son job consistait à dételer la semi-remorque qu’il
avait tractée jusqu’à Limoges après l’avoir mise à quai, et à en atteler
une autre pour la conduire à Périgueux. Ces allers-retours avaient lieu
en soirée. Il aimait conduire, surtout la nuit lorsque les routes sont
dégagées de toute circulation ; et le ronflement feutré du gros moteur
situé sous la cabine du Mercedes lui conférait un sentiment de puissance
maîtrisée.
Il avalait les kilomètres avec délices…
Ce
soir-là, à la sortie de Limoges, le faisceau des phares éclaira une
frêle silhouette : une jeune fille qui, le bras levé et le pouce tendu,
faisait le signe caractéristique de ceux qui désirent bénéficier d’un
transport gratuit.
Pas de problème : il aimait rendre service à qui
que ce fût, filles ou garçons. Son talon appuya sur la pédale du
ralentisseur, étouffant le moteur ; il rétrograda et, dans le
chuintement de l’air comprimé qui actionnait les freins, il immobilisa
son « gros cul » juste à la hauteur de l’auto-stoppeuse.
— Vite, montez : c’est dangereux, là où je me suis arrêté.
Il
fut surpris par la beauté de la jeune fille ; même si son corps était
enveloppé d’un long manteau sombre, le minois qui émergeait du vêtement
ne le laissa pas indifférent : des traits fins, de longs cheveux bruns
qui descendaient jusque sur ses épaules, un petit nez retroussé, une
bouche aux lèvres pulpeuses… À cause du faible éclairage que diffusait
le plafonnier, il fut déçu de ne pas pouvoir distinguer la couleur de
ses yeux en amande. Marron, certainement, puisqu’elle était
indubitablement d’origine asiatique.
— Merci beaucoup ; vous être vraiment gentil. C’est qu’il fait froid, dehors…
Il régla la climatisation sur la chaleur maximale.
— Vous allez loin, comme ça, en pleine nuit ?
— Jusqu’à Bordeaux. C’est sur votre route ?
— Désolé : j’aurais aimé pouvoir vous y conduire, mais je m’arrête à Périgueux.
— Ne vous inquiétez pas : c’est déjà bien ainsi.
La
cabine du Mercedes se souleva en s’inclinant vers l’arrière lorsqu’il
enclencha la première, freinée par la lourde masse de la semi-remorque
qu’il tractait. L’attelage reprit sa vitesse de croisière. Dans
l’habitacle, il sélectionna une émission de jazz afin de rendre
l’atmosphère conviviale, d’apporter une certaine intimité propice aux
confidences.
« Belle ; elle est vraiment belle… » Bien
plus belle que toutes les autres filles qu’il avait déjà prises en stop.
Ces filles qu’il avait baisées, pour la plupart d’entre elles (enfin,
les baisables, pas les baleines…) sur l’étroite couchette de la cabine.
Du coup, il hésitait. « Non… Celle-ci est vraiment trop belle pour
que je la traite comme les autres ; elle mérite mieux qu’un simple coup
de queue tiré vite fait. »
Le camion avalait le long ruban de
bitume, et plus les kilomètres passaient, plus son excitation devenait
importante… Comment faire ? Dans la pénombre de la cabine, il avait
ouvert sa braguette pour se caresser le gland. Il comptait se donner
discrètement du plaisir afin de faire retomber la tension qui
l’habitait. Le problème, c’est qu’il n’avait pas de chiffon qui aurait
pu recueillir son sperme sans tacher ses vêtements. Il arrêta sa
masturbation juste avant d’éjaculer. Par bonheur, il aperçut un panneau
de signalisation qui indiquait « parking à 500 m » ; il ralentit et,
arrivé à l’entrée de ce parking providentiel, il y engagea son 38
tonnes.
— Je suis obligé de m’arrêter pendant quarante-cinq
minutes car j’ai atteint mon quota d’heures de conduite, et je suis dans
l’obligation de faire une coupure avant de pouvoir reprendre le volant.
—
Ce n’est pas grave : sans vous, je serais encore à Limoges en train
d’attendre. Et puis, ce n’est que demain matin que je dois être à
Bordeaux.
— Dans ce cas, je vais descendre pour fumer un cigarillo.
Bien
entendu, c’était un mensonge car il n’avait accumulé qu’une demi-heure
de conduite depuis son départ de Limoges ; mais il devait absolument
évacuer le trop-plein de sperme qui était sur le point de se déverser
dans son pantalon… Il alluma le plafonnier et descendit du tracteur.
À
quelques pas du Mercedes, il sortit sa queue encore raide ; la nuit
sombre le protégeait du regard de sa passagère, mais il pouvait la voir
grâce à l’éclairage intérieur de la cabine ; elle écoutait la radio.
Tout en la regardant, il reprit la masturbation interrompue quelques
minutes plus tôt ; mais là, il ne s’arrêta pas. D’une main, il tenait
serrée la base de sa verge pour la faire gonfler et la rendre encore
plus volumineuse, surtout son gland décalotté et richement innervé dont
l’autre main – lubrifiée de salive – caressait délicatement la zone si
sensible située juste en arrière la couronne.
C’est sur le sol
que s’écrasèrent les quelques centimètres cubes de sperme qu’il aurait
préféré larguer entre les cuisses ou dans la bouche de sa belle
passagère. Sa jouissance fut brève, mais fulgurante. Et c’est soulagé
qu’il grimpa dans la cabine ; après quelques minutes d’attente, il fit
ronfler le moteur et reprit sa route.
Arrivé au dépôt, il mit son
camion à quai et invita sa passagère à changer de véhicule ; et c’est
dans son coupé Volvo 480 ES qu’il lui fit traverser Périgueux pour la
laisser à la sortie de la ville, en direction de Bordeaux.
Au moment où elle descendait du coupé, il ne put s’empêcher de lui avouer :
—
Il faut que je vous dise quelque chose : si je me suis arrêté en route,
c’est parce que vous m’aviez tellement excité que j’ai dû me masturber.
— Hein ? Mais il fallait me le dire ! J’aurais tellement aimé vous regarder pendant que vous vous branliez…
Auteur : Lioubov
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