dimanche 1 mars 2015

Contes immoraux : The dark side of the mood (2)

Années 70’s. Ah, les seventies ! En ces temps-là, il était musicien : énorme avantage pour rencontrer des filles – délurées ou faussement sages – que le « prestige » de sa profession attirait. Combien en a-t-il baisées ? Il ne s’en souvient pas ; il faut dire qu’à raison de plus de 50 concerts chaque année pendant au moins 10 ans, ça en fait quelques-unes ! Il les a oubliées pour la plupart, ne se souvenant ni de leurs visages, ni de leurs corps à peine entrevus dans l’obscurité. Il se rappelle cependant quelques-unes, non pas qu’elles l’aient marqué, mais à cause des circonstances de leurs ébats.

Précisons qu’à cette époque où le SIDA n’avait pas encore fait son apparition et où les minettes prenaient la pilule, elles ne se faisaient pas prier pour écarter les cuisses, quel que soit le moment : avant, pendant les concerts ou après, et même plus tard. Voici quelques souvenirs livrés en vrac.



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Il y avait des histoires de cul même au sein de l’équipe de musiciens. Une chanteuse se produisait quelquefois avec ce groupe ; bien qu’étant très jeune (dans les 17-18 ans), elle n’avait pas froid aux yeux… ni ailleurs ! Dans le car de l’orchestre, au cours d’un déplacement, deux ou trois de ses collègues la draguaient plutôt lourdement, jusqu’à ce qu’elle déclare :

— Je branlerai celui qui a la plus belle. Montrez-les-moi !

Les musiciens étaient forts en gueule, mais uniquement en gueule : aucun n’osa déballer son matériel pour que la belle fasse son choix. Par contre, comme elle ne donnait pas l’apparence d’être farouche, il lui avait donné rendez-vous pour – avait-il prétexté car il pratiquait les sports aériens – l’emmener voir les avions de l’aéro-club.

Quelques jours plus tard, par un bel après-midi d’été, après lui avoir fait visiter les hangars et montré les avions au sol, il l’invita à le suivre jusqu’au seuil de la piste pour les voir en vol, à l’atterrissage, lorsqu’ils n’évoluaient pas trop haut. Ils se rendirent dans un pré, non loin de l’axe de la piste, et ils s’allongèrent dans l’herbe pour profiter du spectacle. À l’atterrissage, les avions se dirigeaient vers eux alors qu’ils étaient en vent arrière, puis ils obliquaient à 90° lors de l’étape de base, et encore de 90° pour la finale.

Bien entendu, il ne resta pas inactif longtemps ; sa main se posa sur une jambe bronzée et, comme la chanteuse ne protestait pas, il la fit remonter le long de sa cuisse en la caressant légèrement. C’est elle qui écarta les jambes pour lui permettre l’accès à sa culotte, qu’il découvrit déjà humide…

Il ne se souvient pas précisément de quelle manière ils ont passé le reste de l’après-midi à baiser ; son unique souvenir, ce sont les avions qui passaient à 150 mètres au-dessus d’eux pendant qu’ils se donnaient du plaisir. Les pilotes devaient les voir pendant la phase de vent arrière et en étape de base ; mais leur attention devait se focaliser sur leur badin, leur vario et leur plan de descente pendant la finale, car aucun Robin, Rallye  ou Cessna ne s’est crashé ce jour-là.


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Les musiciens ne disposent pas toujours de beaucoup de temps pour arriver à leurs fins. C’est ainsi que, faute de pouvoir descendre de scène et s’éclipser discrètement, il lui arrivait de tirer des minettes debout dans les coulisses pendant les concerts, alors que juste un rideau les séparait de la salle.


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Ce jour-là, il installait la sonorisation avec ses collègues musiciens lorsqu’une adolescente est arrivée. Elle se tenait à quelques mètres de la scène pour les regarder monter le matériel. Pendant que ses collègues effectuaient la balance, il l’a rejointe pour la baratiner ; elle était certainement venue dans l’intention de se faire tirer par des « artistes », car il n’eut pas à la baratiner longtemps : quelques minutes plus tard, il l’emmenait à l’extérieur de la salle pour la baiser debout contre une palissade après lui avoir enlevé sa minijupe et simplement écarté sa petite culotte alors que ses collègues – cessant sur le champ toute activité – les regardaient par une fenêtre.


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Au cours d’un concert dans le Tarn-et-Garonne, pas loin de la centrale nucléaire de Golfech, il avait levé une petite nana qu’il avait amenée dans le car de l’orchestre. Un des musiciens, assez pervers, l’avait vu faire et l’avait devancé en allant se planquer entre les sièges du véhicule pour les épier.

N’ayant pas beaucoup de temps à lui consacrer, il se contenta de relever la minijupe de l’adolescente, de lui enlever sa culotte et de lui faire effectuer un demi-tour de manière à ce qu’elle lui présente sa croupe. Ses doigts inquisiteurs le renseignèrent rapidement sur l’état de sa cramouille : elle était liquéfiée… Il enduisit l’anus de la belle avec ce lubrifiant naturel, et il lui planta directement sa pine dans le cul. Lorsqu’il lui eut rempli le rectum de quelques bonnes giclées de sperme pendant qu’elle jouissait, elle lui a demandé :

— Comment t’as pu deviner que c’est ce que je préfère, me faire enculer ?


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Cette fille n’était pas très belle, mais il avait des antennes pour repérer les « bons coups ». Un dimanche après-midi du côté d’Angers, plutôt que d’aller au restaurant avec ses collègues en attendant le concert de la soirée, il avait préféré rester avec elle. C’est dans un pré qu’il l’a tringlée, par devant et par derrière, pour faire bonne mesure : quoi de plus normal pour un musicien ?
En revenant vers la salle de spectacle, il remarqua des toilettes publiques.

— J’aimerais bien réaliser un fantasme…
— C’est quoi, ton fantasme ?
— Faire de l’exhibitionnisme dans des chiottes publiques. Ça te dit ?
— Ben oui, pourquoi pas ?

Ils entrèrent tous deux dans l’édicule. La disposition des lieux se prêtait parfaitement à son plan : contre l’un des murs, une rangée d’urinoirs ; sur le côté opposé, 4 ou 5 cabines individuelles munies de portes.

— Entre dans cette cabine ; laisse la porte ouverte. Remonte ta minijupe et assieds-toi sur la cuvette. Moi, je te regarderai te branler la chatte.

Il se plaça devant les urinoirs et sortit sa queue pour pisser. L’adolescente, respectant ses instructions, ouvrit ses cuisses, écarta d’une main sa petite culotte et commença à s’astiquer la moule.

Tout en pissant, il lançait des regards par-dessus son épaule ; le spectacle excitant qui se déroulait à quelques mètres de lui provoqua un début d’érection. Il commença à se masturber lentement jusqu’à ce que sa verge atteigne sa rigidité optimale. À ce moment-là, il se retourna en direction de la jeune fille qui continuait à se caresser la chatte tout en le regardant, utilisant parfois ses deux mains pour écarter au maximum ses lèvres intimes afin de lui dévoiler l’intérieur de sa vulve. Ils continuèrent à se branler jusqu’à ce qu’elle jouisse en gémissant, les yeux fixés sur sa bite, qui se mit alors à expulser de puissantes giclées de sperme dans sa direction.


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Ses turpitudes ne s’exerçaient pas uniquement dans les salles de spectacle ; il avait levé une gamine de 15 ans qu’il avait emmenée après le spectacle avec sa Mercedes dans un chemin au milieu des bois. Là, il lui a caressé le minou, puis il lui a léché la chatte pendant qu’elle branlait malhabilement sa queue avant de la sucer, tout aussi maladroitement : pucelle, elle n’avait aucune expérience. C’est pourquoi il n’a pas voulu la pénétrer ; mais ce n’est pas l’envie qui lui en manquait…

Lorsqu’il a voulu repartir, la Mercedes était enlisée dans la boue et il a dû faire appel au tracteur d’une ferme voisine pour la tirer de ce mauvais pas.

Dans les jours qui suivirent, comme elle ne résidait qu’à une cinquantaine de kilomètres de son domicile, ils se sont revus quelquefois ; ce fut l’occasion pour elle de perdre son pucelage. Elle a même présenté le musicien à ses parents. Ah, quel scandale en perspective s’ils avaient su que ce type qui avait 20 ans de plus que leur fille était marié et père de famille !


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Au cours d’un concert donné à l’occasion d’une course qui se déroulait sur une durée de 24 heures (ne cherchez pas : ce n’était pas au Mans, et les cylindrées étaient bien moins importantes), une mignonne gamine lui faisait les yeux doux. Elle était vraiment jeune ; ses seins ne formaient que deux légères protubérances sous son tee-shirt. Il ne sait plus comment il s’est débrouillé pour la convaincre de le suivre sous la tente que les organisateurs avaient mise à sa disposition pour le week-end.

Là, dans l’obscurité presque totale – à part le faisceau d’une lampe de poche – il l’a initiée aux choses de l’amour. Pendant plus d’une heure, ils se sont embrassés tandis que ses mains s’aventuraient sous le tee-shirt de la gamine à la recherche de ses seins. Il caressa tendrement les deux petites éminences au sommet desquelles un téton pointait et durcissait entre ses doigts. La toute jeune fille haletait, appréciant la douceur des effleurements qu’il lui procurait.

C’est alors qu’il posa délicatement sa main sur l’une de ses cuisses, remontant tout doucement jusqu’à leur jointure. La petite portait un jeans, qu’il ne tenta pas d’enlever : il se contenta d’appuyer légèrement du doigt au niveau de sa petite fente qui devait bouillonner, car il sentit son pantalon devenir moite à l’entrecuisse. Il osa sortir sa queue bandée à mort et prit l’une des mains de la gamine pour la poser dessus, lui montrant comment la faire aller et venir pour le branler.

— Veux-tu l’embrasser ?
— Euh… oui, j’aimerais bien essayer.

Elle posa ses lèvres sur sa bite ; il fut submergé par une terrible excitation.

— Tu sens mon gland, comme il est doux ?
— C’est quoi, un gland ?
— C’est le bout tout gonflé de ma queue, là, sous tes lèvres de petite dévergondée.
— Hmmm… On dirait du velours !
— Maintenant, ouvre ta bouche, et mets ce bout si doux à l’intérieur.

Obéissant scrupuleusement à ses injonctions, la gamine ouvrit ses lèvres pour laisser le gland décalotté pénétrer l’intérieur sa bouche. C’était chaud et doux…

— Eh bien, si tes parents savaient ce que tu es en train de faire, ils ne seraient vraiment pas contents, mais alors pas contents du tout !
— Mmmh…
— Ce serait encore meilleur si tu faisais avec ta langue les mêmes choses que lorsque tu m’embrasses !

Elle était vraiment docile – ou curieuse – car elle fit ce qu’il lui demandait sans qu’il ait besoin de la forcer ; elle semblait aimer ça, même… Quel plaisir teinté de perversité que celui de se faire pomper le dard par une jeune pucelle ! C’était tellement excitant qu’il sentit bien vite sa queue tressauter dans la bouche de la gamine, prête à exploser. Il se retira rapidement, et tout en continuant à tâter les contours de cette jeune vulve vierge par-dessus le jeans de la gamine, il saisit sa bite pour se branler langoureusement sous le regard intéressé de la petite, jusqu’à ce que de puissants jets de sperme giclent un peu partout, les éclaboussant tous deux ; mais il n’a pas poussé la perversité jusqu’à lui faire goûter sa semence. Peut-être aurait-elle aimé ?


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À Argenton sur Creuse, le groupe avait un contrat de deux jours pour le week-end entier. Elles étaient deux copines ; avec le batteur, ils les ont baisées tout le dimanche après-midi dans une chambre d’hôtel. C’étaient de belles salopes… Elles leur ont demandé de les partouzer ; heureusement qu’il a refusé leur proposition : quelques jours plus tard, son collègue souffrait d’une chaude-pisse. Quant à lui, il avait chopé des morpions.

Imaginez ce qui serait arrivé s’il avait accédé à leur demande : ils auraient eu tous deux à la fois une blenno et des petits crabes à la base de leurs poils pubiens !


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Parmi les membres du groupe, le chanteur – un Arabe aux cheveux longs, beau comme un dieu – avait beaucoup de succès auprès des minettes ; il s’en était levé une bien mignonne et, après le concert, comme ils étaient très complices, le chanteur lui avait proposé de le rejoindre dans sa chambre d’hôtel où il avait amené la demoiselle.

Celle-ci n’éleva aucune objection à se faire prendre simultanément par eux deux. Comme le chanteur avait une grosse bite, il la lui enfila dans la chatte, tandis que lui, avec son calibre plus modeste, prit l’entrée de derrière. C’était étrange de sentir la queue de son copain coulisser dans le vagin de la minette, séparée de la sienne par une fine paroi tandis qu’il l’enculait.

Elle se fit abondamment graisser les deux orifices et, vu ses gémissements, elle en retira beaucoup de plaisir.


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Celle-ci, rencontrée dans un concert, pas très belle mais hyper-chaude, venait parfois le rejoindre dans la maison de campagne qu’occupait cette communauté de musiciens. Bien qu’elle eût une chatte très serrée avec de toutes petites lèvres – ce qu’il n’appréciait pas, car il adore s’en mettre plein la bouche – elle partageait souvent sa couche pour des journées de baise délirantes. Ils passaient des heures et des heures – ah, la jeunesse n’a pas besoin d’adjuvants chimiques – à baiser tout en écoutant de la musique (à cette époque, en 1970 : les premiers albums de Chicago et de Blood, Sweat & Tears).

Il n’aimait pas sa vulve, qui se réduisait à une simple fente ; pourtant, qu’est-ce qu’il a pu y décharger comme quantité de sperme ! Mais il fallait bien passer le temps entre les répétitions du groupe et les baignades dans l’étang de la propriété…


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Et puis il y avait cette autre, qu’il n’avait pas baisée mais qui, plutôt perverse, aimait le branler sous les yeux de sa copine…

Et aussi cette femme mariée qu’il était retourné voir à Brive, chez elle, deux jours après un concert. Vicieuse au point de téléphoner à son mari tout en lui suçant la bite, ou de se faire enculer à sa fenêtre tout en regardant les passants sur le trottoir, un étage plus bas.

N’oublions pas Marylin, une sacrée petite vicieuse (elle aussi…) Elle frimait devant ses copines lorsqu’il venait la chercher à la sortie de son collège avec le véhicule de l’orchestre. Bien qu’âgée de 14 ans seulement (44 ans après les faits, il y a prescription), elle n’était plus vierge ; et certainement depuis longtemps. Elle avait dû se faire défoncer par des engins de gros calibre, vu la taille de sa chatte ! C’est avec délectation qu’il plongeait sa bite dans ce vagin distendu, surprenant pour une gamine de cet âge.
Comme son père était très sévère avec elle, Marylin allait mouiller ses cheveux à une fontaine avant de retourner chez elle, justifiant son retard par une prétendue séance de piscine !

À cette époque-là, il baisait également sa cousine (qui avait 19 ans mais qui, curieusement, était encore vierge lorsqu’il l’avait rencontrée).


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Des années plus tard, alors qu’il avait plus de 40 ans, il avait arrêté la musique live et était devenu DJ dans un night-club. Derrière ses platines, il avait remarqué une petite blonde d’une vingtaine d’années qui venait danser en se plantant juste devant la régie-son où il officiait.
Pour être petite, Marie-Françoise l’était vraiment : moins de 1 m 40 ; elle ressemblait à Vanessa Paradis (du moins, à ses débuts, à l’époque de Joe le Taxi).

Comme elle ne faisait que le regarder en souriant, un soir, après avoir programmé une série de slows, il est allé l’inviter à danser. Elle se collait contre lui, et il ne leur fallut que peu de temps pour s’embrasser, isolés par l’obscurité complice.

À la fin de la soirée, elle l’attendait ; il l’a prise par la main pour l’amener jusqu’à sa CX et il l’a baisée là, sur le parking. Du fait de sa petite taille et de son faible poids, il pouvait la faire bouger pratiquement sans effort. Malgré ses apparences de petite fille, elle avait cependant une grosse vulve bien développée dans laquelle sa queue coulissait facilement.

Au cours des soirées, il arrivait à Marie-Françoise de le rejoindre à l’intérieur de la régie-son ; et là, dissimulée sous les platines, elle le suçait pendant qu’il calait ses disques et peaufinait ses enchaînements. Ah, si les clients avaient su ce qui se passait sous leurs yeux !

Auteur : Lioubov

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