mercredi 1 avril 2015

Contes immoraux : Five shades of brown (3)

Jeannine était la sœur de l’un de ses copains ; d’origine espagnole, elle arborait un hâle naturel été comme hiver. Il l’avait aidée à déménager et, pour remercier tous ceux qui avaient participé au déménagement, elle les avait invités à pendre la crémaillère dans son nouvel appartement. Bien entendu, tous avaient bien picolé… À la fin du repas, elle lui demanda :

— Et toi, que veux-tu comme dessert ?
— Une fellation ! lui répondit-il sur le ton de la plaisanterie (mais peut-être avait-il dit « Une pipe ! », il ne s’en souvient plus avec précision, vu son état d’ébriété).

Jeannine l’entraîna dans une chambre et, après avoir baissé son pantalon, elle entreprit de le sucer.
Ce soir-là, elle eut droit à deux desserts ; le tout premier qu’elle avala, ce fut son sperme.

Par la suite, il revint chez elle à plusieurs reprises pour aller plus loin sur le chemin de la dépravation. Elle le surprit en lui montrant de quelle manière elle aimait se masturber à l’aide d’un briquet qu’elle s’introduisait à l’entrée du vagin. Désirant lui enseigner une autre technique, il plaça un pied à l’orée de sa vulve et il poussa. Son vagin était assez large pour l’accueillir jusqu’à la cheville (en effet, elle avait eu un enfant quelques mois plus tôt). Il apprécia d’avoir un pied bien au chaud, d’autant plus que cela se passait au cours d’un hiver rigoureux ! Il regretta toutefois qu’elle n’ait pas eu le cul assez ouvert pour y enfiler son autre pied : de ce côté-là, il y avait juste assez de place pour sa bite, qui le visitait souvent…

Un après-midi, elle l’accueillit chez elle pour lui présenter deux copines. Ces filles étaient plutôt délurées ; il fut quand même surpris lorsqu’elles lui proposèrent de les baiser l’une et l’autre. Comme ce n’était pas pour lui déplaire, il s’introduisit dans le vagin de la première.

— Je ne sens pas grand-chose…

Soit elle était habituée à des calibres supérieurs, soit elle voulait le taquiner.

— Dis, tu me le prêtes ? Je voudrais bien l’essayer moi aussi.

Il changea de partenaire, mais celle-ci déclara à son tour :

— Je ne sens rien moi non plus !

Là, il comprit que c’était un coup monté destiné à le faire tourner en bourrique. Il sortit de son vagin, la retourna et lui enfila sa queue directement dans le cul sans l’avoir préparée à cette intromission.

— Et maintenant, tu sens quelque chose ?

Effectivement, elle sentait bien ce membre qui lui ramonait le rectum ; puis il changea à nouveau de partenaire et encula sa copine pour se vider les couilles dans son petit orifice pendant que Jeannine se branlait la chatte en les regardant.



*****


Magnifique jeune femme d’origine espagnole, encore plus bronzée que Jeannine, Marie-Neige devait avoir entre 25 et 30 ans. Il la connaissait de vue, mais ils n’avaient jamais été vraiment intimes.

Il la rencontra un soir, par hasard, dans un bar. Elle n’était pas en forme. Comme il s’inquiétait de la cause de sa tristesse, elle lui répondit qu’elle se croyait frigide. Toujours secourable, il s’empressa de la convaincre du contraire, arguant qu’elle n’avait jusque là eu affaire qu’à des goujats qui ne pensaient qu’à leur propre plaisir sans s’inquiéter de celui de leur partenaire. Elle ne paraissait pas très convaincue (ou peut-être faisait-elle semblant) ; il insista, et lui proposa même une démonstration pratique de ce qu’il avançait. Elle ne fut pas difficile à convaincre ! Ayant accepté, elle le suivit dans sa Mercedes.

Après avoir parcouru quelques kilomètres dans la nuit, il s’arrêta dans un petit chemin tranquille, en pleine campagne. Là, il la prit dans ses bras et commença à échauffer ses sens par quelques baisers. Ses lèvres quittèrent les siennes pour aller lécher les aréoles de ses seins qu’il avait dénudés, tout en évitant soigneusement ses tétons qui s’étaient érigés. Elle se cabra lorsque sa langue en effleura un, puis l’autre. Lorsqu’il prit en bouche ses mamelons pour les sucer, les aspirant tout en caressant de la langue leur pointe devenue toute dure, elle gémit.

Mais elle gémit encore plus lorsque sa langue descendit sur son ventre ; comprenant son intention, elle enleva elle-même son jean, lui laissant le champ libre. Il lui lécha l’intérieur des cuisses, remontant tout doucement vers le string déjà moite d’une humidité odorante ; mais chaque fois que sa langue arrivait à proximité de cette vulve qui palpitait sous le fin tissu, elle s’en écartait sans chercher à l’atteindre. Après avoir effectué plusieurs fois ce parcours, et alors que sa langue suivait le contour du string, il sentit les mains de Marie-Neige lui agripper la tête pour la plaquer contre son bas-ventre et l’y maintenir de force. La pauvre n’en pouvait plus…

Il voulut prolonger encore un peu l’attente interminable qu’il lui faisait subir ; restant immobile, il se contenta de souffler de l’air chaud à hauteur de son sexe, à travers le fin rempart du string. Les jambes de Marie-Neige étaient parcourues de tremblements, tellement elle avait envie qu’il aille plus loin ; il consentit à mettre fin à son attente. Délicatement, la pointe de sa langue parcourut à plusieurs reprises le sous-vêtement à hauteur des petites lèvres gonflées qu’il sentait émerger de sa fente ; puis, plaquant sa bouche sur la vulve, il l’aspira à travers le fin tissu. Marie-Neige haletait. Elle poussa un long feulement de satisfaction lorsque ses lèvres se posèrent enfin sur la petite proéminence de son clitoris ; c’est elle qui écarta son string pour lui faciliter l’accès à son bouton, et il put alors le lécher et le téter, l’aspirant entre ses lèvres. Quelques secondes de ce traitement suffirent pour qu’un rugissement lui signale que ses efforts avaient produit leur effet, prouvant ainsi à Marie-Neige qu’elle n’était pas frigide.
Mais croyait-elle vraiment l’être, ou bien lui avait-elle joué la comédie ?

Par la suite, ils se sont revus à plusieurs reprises, et c’est avec sa bite qu’il la fit jouir. Il se souvient que c’était une bonne suceuse, qui sut lui procurer beaucoup de plaisir.

*****


Un soir, un de ses amis lui demanda de l’accompagner dans l’enceinte d’une colonie de vacances où, lui dit-il, il y avait des filles, dont une qu’il connaissait. Cette fille avait une amie qui, comme elle, travaillait en tant que monitrice.
Une fois arrivés là-bas, son ami s’éloigna avec sa copine, et il se retrouva seul avec une mignonne petite Arabe d’origine égyptienne. Très bronzée, elle était mince et finement musclée.

Elle ne lui opposa aucune résistance lorsqu’il l’attira contre lui pour l’embrasser ; bien au contraire, elle se lova dans ses bras d’une manière très sensuelle. Ils s’allongèrent sur l’herbe, avec juste la clarté des étoiles pour les éclairer ; c’était assez romantique comme entrée en matière.

Tout en la caressant, il la dénuda entièrement ; il amena son visage au niveau de son pubis recouvert d’une abondante toison frisée. Il lui fallut écarter ses poils pour découvrir son sillon déjà suintant d’envie, que sa langue parcourut de haut en bas à plusieurs reprises. Sous ses caresses buccales, la petite fente était devenue une large fissure d’où les petites lèvres émergeaient. Il fut agréablement surpris de découvrir un clitoris largement plus gros et long que ceux qu’il avait connus jusqu’alors ; il en fut étonné car il savait que la plupart des Égyptiennes subissent l’excision, une mutilation abominable qui les prive d’un organe quasiment indispensable au plaisir sexuel. Fort heureusement, la vulve de son Égyptienne avait échappé à la lame de rasoir…

Elle lui expliqua que – comme beaucoup d’Arabes – elle devait arriver vierge au mariage, mais qu’il pouvait la prendre par derrière, dans son petit cul. Il ne devait pas être le premier à passer par ce chemin-là, car malgré ses 17 ans, le sphincter de la jolie Maghrébine l’accueillit sans s’opposer au passage de son gland, pourtant assez volumineux.

Il éprouva un plaisir immense en enculant cette délicieuse gazelle par une nuit d’été étoilée !

*****


Il appréciait les filles jeunes ; très jeunes, même. Il ne se souvient plus des circonstances dans lesquelles il avait fait la connaissance de Monique, une adorable petite métisse de la Réunion, âgée de 15 ans. Elle était interne dans une institution religieuse. Celle-là, elle n’était pas pucelle… Elle avait le feu au cul, n’hésitant pas à se dénuder et à s’allonger sur le sol glacé en plein hiver pour se faire enfiler par tous les trous. Elle avait un magnifique petit cul cambré, comme presque toutes les Noires (elle ne l’était pas vraiment, se qualifiant de « cafouine ») ; il adorait lui lécher sa chatte baveuse, dont l’intérieur rose nacré contrastait admirablement avec la couleur sombre de sa peau.

Monique n’était pas pudibonde ; elle n’avait pas d’inhibition avec le sexe et s’offrait sans aucune retenue au moindre de ses désirs. L’un de ses plaisirs préférés consistait à lui sucer la bite tout en lui caressant les couilles ; lorsqu’elle sentait sa queue tressauter entre ses lèvres – annonçant son orgasme tout proche – elle arrêtait de le sucer et, avec sa langue vicieuse comme support à son gland congestionné, elle le branlait jusqu’à ce qu’il lui remplisse la bouche de son sperme qu’elle avalait avec délectation…

Il lui arrive encore, 35 ans plus tard, de se caresser en regardant une photo sur laquelle elle écarte les lèvres de sa chatte en les étirant au maximum pour ouvrir le délicieux trésor niché entre ses cuisses d’ébène.

*****


Elle était au bord d’une grande artère qui menait au centre-ville, le pouce en l’air, attendant qu’une voiture s’arrête. Elle… Magnifique vision d’une fine statue d’ébène aux formes déliées et au petit cul rebondi et haut planté. Lorsqu’il s’arrêta à sa hauteur, elle leva vers lui ses grands yeux de biche surplombant un fin petit nez légèrement retroussé et une grande bouche bien dessinée, aux lèvres pulpeuses à souhait… Elle s’installa à ses côtés dans la C5, et il l’amena faire quelques achats.

Lorsqu’elle eut terminé, il la reconduisit au pied de son immeuble ; elle lui proposa alors un rafraîchissement pour le remercier de son obligeance. Il la suivit sans se faire prier : quatre étages sans ascenseur, mais avec la vision de son magnifique petit cul qui ondulait à quelques centimètres de ses yeux exorbités !

En fait, son rafraîchissement, c’était la bouteille de rhum qu’elle venait d’acheter. Elle lui expliqua qu’elle venait du Sénégal après avoir épousé un militaire français, mais qu’à présent ils étaient divorcés. Curieusement, bien qu’étant de religion musulmane, Safitou s’arrogeait des arrangements avec certains interdits, et notamment celui de la consommation d’alcool. Comme il devait rentrer chez lui, il ne put rester longtemps avec elle ce soir-là ; ils décidèrent de se revoir car il désirait prendre des photos ce cette magnifique Black de 32 ans mais qui paraissait tout juste la moitié de son âge.

La semaine suivante, il vint la chercher pour l’emmener au bord du canal où il la mitrailla avec son Nikon, puis il la ramena chez elle pour continuer les prises de vues en intérieur. Après quelques photos anodines, il la fit s’asseoir sur son canapé et lui demanda de relever un peu sa minijupe. Elle se prit au jeu et ouvrit même ses jolies cuisses pour lui permettre de photographier son string rouge qui lui rentrait dans la fente ; il sentit sa verge prendre de l’ampleur… Il s’allongea sur le sol entre ses jambes pour la shooter en contreplongée. Mais ce qui l’excita le plus, c’est lorsqu’elle s’assit sur un fauteuil, une jambe sur un accoudoir, les cuisses écartées, et qu’elle tira son string de côté pour lui dévoiler sa vulve.

Elle n’avait pas beaucoup de poils et, contrairement à ce qu’il connaissait des Blacks, ses petites lèvres n’étaient pas très développées ; par contre, il constata avec satisfaction que – bien qu’étant Africaine de religion musulmane – son clitoris n’avait pas été excisé : il dardait en haut de sa vulve qu’elle maintenait ouverte et dont l’intérieur brillait d’un rose nacré, contrastant avec sa peau sombre, mate, presque noire.

Il s’agenouilla à moins d’un mètre d’elle pour la photographier, mais il ne put résister à la vive tentation qui le submergeait. Il approcha son visage pour poser ses lèvres sur cette chatte épanouie ; mais lorsqu’il arriva à quelques centimètres et qu’il humait déjà son parfum enivrant, cette fausse ingénue le repoussa gentiment, prétextant qu’en bonne musulmane elle devait être fidèle à son homme ! Sa bite lui faisait mal, tellement il bandait…

Il quitta le living pour se rendre aux toilettes, où il n’alluma pas la lumière mais dont il laissa la porte ouverte afin de regarder cette beauté noire. Baissant son pantalon à mi-cuisses, il dégagea son membre douloureux pour se branler à quelques mètres de Safitou, face à elle, qui faisait semblant de ne pas le voir ; mais il percevait ses regards furtifs qui observaient sa main s’agiter le long de sa queue dont le gland rouge violacé, gorgé de sang, envoya au bout de quelques secondes seulement de puissants jets de foutre sur le dallage des WC. Lorsqu’il revint auprès d’elle, soulagé, elle ne fit aucune allusion à ce qu’il venait de faire.

Chaque fois qu’il revint chez elle pour la photographier – le plus souvent nue – elle s’arrangea toujours pour l’exciter et le laisser sur sa faim. Il ne l’a jamais baisée ; mais combien de fois s’est-il apaisé en s’astiquant la queue dans ses toilettes en se sachant observé ?
Peut-être aimait-elle seulement voir les hommes se branler…

Auteur : Lioubov

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