Relisez le chapitre 3
FEELING
Lioubov
approche doucement ses doigts de ma minette et l’écarte un peu plus.
J’ouvre mon vagin pour qu’il le voie mouiller. J’ai envie de sentir ses
doigts glisser profondément en moi. Un désir brûlant enflamme ses yeux.
Sa langue si douce se pose délicatement sur l’ouverture de mon intimité
et commence à lécher, puis sucer mes lèvres.
Humm, tant de douceur…
c’est bon ! Je gémis en sentant sa langue caresser mon clito bien dur
tandis que ses lèvres l’aspirent doucement. Il lèche soigneusement toute
mon intimité, ne se concentrant pas uniquement sur mon clito. Je
savoure ce doux plaisir, même si je devine que – de cette manière – je
serai longue à jouir. Mais c’est une caresse tellement agréable que je
veux bien qu’elle dure plusieurs heures.
Pour une fois, je ne
suis pas soumise à un homme qui désire expédier mon orgasme le plus
rapidement possible, comme s’il s’agissait d’une vulgaire corvée ;
alors, j’en profite !
Après quelques minutes, je n’ai toujours
pas d’orgasme ; le désir et le plaisir sont pourtant toujours présents.
J’ai envie de sentir ses doigts profondément en moi pendant qu’il me
lèche ; mais je refuse de demander quelque faveur que ce soit à mon
Maître.
LIOUBOV
Je viens de
procurer à Feeling de longues caresses buccales qui ne l’ont cependant
pas amenée à l’orgasme. Je suppose que mes caresses ont quand même dû la
mettre en condition pour recevoir ma verge. Serait-elle plus vaginale
que clitoridienne, alors ? Ce n’est pourtant pas ce qu’elle m’avait dit…
Je
me redresse et me penche sur elle pour amener mon sexe au contact du
sien ; je prends ma verge en main pour guider mon gland turgescent le
long de sa fissure gluante, puis je le fais glisser de bas en haut et de
haut en bas pendant quelques instants avant de le placer sur son
clitoris que je caresse de mon renflement satiné en faisant varier la
vitesse et la pression de mes attouchements. Je le place enfin à
l’entrée de son vagin, où je le fais aller et venir doucement, mais de
plus en plus profondément.
Quelle surprise lorsque je m’introduis
en elle : le vagin de Feeling est aussi étroit et serré que celui d’une
jeune fille ! Ses parois m’enserrent délicieusement… J’effectue
quelques mouvements de va-et-vient en la pénétrant de plus en plus, mais
je me retrouve bientôt au bout de mes possibilités : nos pubis se
cognent. J’aimerais la pénétrer plus profondément ; mais que puis-je
faire avec un sexe qui se situe dans la moyenne ? Je me couche alors sur
le dos et demande à Feeling de venir me chevaucher : dans cette
position, la pénétration est censée être plus profonde.
C’est
elle qui mène la danse, montant et descendant le long de ma verge. Mes
mains se saisissent de ses seins pour en étirer les tétons… Mais à un
moment, ses mouvements se font trop amples et mon sexe est éjecté de son
doux fourreau : je me dis qu’avec son mari, elle doit être habituée à
une verge plus imposante que la mienne, et que je ne saurai pas la
satisfaire avec un membre bien plus modeste que celui que les Africains
sont supposés avoir ! À partir de ce moment-là, doutant de mes capacités
à lui procurer un orgasme, j’estime que ce n’est pas la peine de
continuer et qu’il me faudra employer une technique différente pour
l’amener au plaisir.
Je demande à Feeling de remonter de quelques
dizaines de centimètres afin d’amener sa vulve à hauteur de mon visage,
puis de s’abaisser légèrement. Dans cette position, son sexe vient se
plaquer sur ma bouche. J’étouffe presque entre ses cuisses. Ses lèvres
hypertrophiées se déploient sur mes joues… Je suis bien, là, dans les
replis intimes de sa vulve qui palpite et dont les sécrétions intimes
coulent sur mon visage et jusqu’au fond de ma gorge. J’aspire les chairs
qui s’offrent à moi sans la moindre pudeur ; je me gorge de son
délicieux nectar. C’est trop bon… Jamais je ne pourrai être plus heureux
qu’en cet instant précis. Ah, comme ce serait doux de mourir noyé,
étouffé par cette vulve dégoulinante…
« Ce serait encore meilleur en affinant mes sens au maximum… »
Je laisse Feeling et me dirige à l’avant du camping-car pour apprécier
une spécialité importée d’Afghanistan que j’avais préparée en vue de
cette occasion.
FEELING
Lioubov
se relève. J’imagine que sa langue est endolorie. J’espère avoir une
nouvelle chance de jouir dans sa bouche un peu plus tard. Il prend son
sexe dans sa main et se sert de son gland pour caresser ma minette. Je
tends mon bassin vers lui, l’invitant à me pénétrer. Son gland glisse
doucement dans l’entrée de mon vagin. C’est encore mieux que ses doigts !
Ses va-et-vient sont doux et de plus en plus profonds. Mon intimité
l’aspire entièrement. Je comprime les parois de mon vagin afin de le
serrer plus encore. Je le sens mieux s’agiter en moi. Je gémis de
plaisir. J’ai envie qu’il m’écarte largement les cuisses pour me
pénétrer encore plus profondément.
Il me propose alors de le chevaucher : j’accepte avec grand plaisir. Je me positionne et le prends en moi. « J’aurais dû prendre le temps de me frotter délicieusement sur sa verge… »
pensé-je subitement. Comme il entreprend de lents va-et-vient, je
l’accompagne et commence à monter et descendre le long de son membre.
Mais après quelques minutes, son sexe est éjecté : je m’y suis
évidemment mal prise. Je le réinsère délicatement en moi et j’ondule
doucement du bassin d’avant en arrière. Je sens sa verge caresser les
profondeurs de mon vagin.
Je dénoue mon haut et offre mes seins à la caresse de ses mains douces et brûlantes.
Humm,
c’est très bon ! Je l’embrasse tendrement. Lioubov me serre contre lui
et rabat les draps sur moi. Je suis bien dans ses bras, contre la douce
chaleur de sa peau. Il se retire lentement de moi et commence à caresser
ma minette. S’il savait que j’adore ça ! Ses doigts explorent mon
intimité ; je me laisse aller à ce plaisir, retenant mon orgasme ; j’ai
envie qu’il me caresse longuement…
Lioubov me propose alors de le sucer. Je m’exécute et lèche délicatement sa verge endormie.
— Attends : après avoir fumé, ça sera encore meilleur !
Je
le regarde, surprise. Cela ne m’aurait pas dérangée si je supportais la
fumée, mais ce n’est pas le cas. Il m’abandonne pour aller fumer une
grosse cigarette conique à l’avant du camping-car.
LIOUBOV
Lorsque
je rejoins Feeling sous la couette, une intense émotion m’envahit ; une
bouffée de chaleur explose en moi... J’éprouve une immense tendresse
pour elle ; plus question de domination ni de rapports pervers. La fumée
exotique délicieusement épicée de mon joint m’a éclairci les idées : je
me sens incapable de continuer à jouer ce rôle de macho dominateur.
Quel mauvais acteur je suis !
Désormais, je ne suis plus qu’un petit
garçon désarmé qui prend soudainement conscience des sentiments qu’il
avait jusque là refoulés… Cette belle femme, en plus de la désirer comme
un fou, je l’aime. Oui : je l’aime ! Comment des sentiments aussi
surannés peuvent-ils s’immiscer dans une relation qui ne se revendiquait
que purement sexuelle ?
Profondément troublé, je prends Feeling
dans mes bras et la serre très fort contre moi, longtemps. Très
longtemps. J’apprécie le contact de son corps contre le mien, qui
m’apaise. Je suis bien. J’accède à un autre univers. Durant un moment
incommensurable, nous nous laissons submerger par les vagues
tumultueuses d’un océan d’infinie tendresse ; nos baisers, qui n’ont
plus rien à prouver, deviennent… sincères.
FEELING
Lioubov
me rejoint enfin sous la couette. Son lit est vraiment confortable ; je
n’ai pas envie de le quitter. Je me blottis dans ses bras, contre sa
douce peau de bébé. Nous nous câlinons. Ses lèvres se posent
délicatement sur les miennes tandis que ma langue gourmande se fraie
déjà un chemin entre elles. Nous échangeons un long et tendre baiser. Je
soupire de contentement. Je me sens bien dans cette explosion de
tendresse.
Ses lèvres quittent les miennes le temps de me faire
des allusions à son âge et au fait qu’il pourrait être mon père, voire
même mon grand-père. Je m’attendais à ce qu’il en profite pour me
proposer un scénario incestueux, mais non. Sa main se glisse d’elle-même
entre mes cuisses. Je m’imagine lui répliquer « Oh, Papy, t’as pas le
droit de me faire ça ! » Cette seule pensée me fait inonder ses doigts.
Je le laisse me caresser longuement et je glisse ma main vers sa verge.
Ma langue vibre déjà dans ma bouche ; son sexe endormi ne demande qu’à
se réveiller entre mes lèvres gourmandes.
LIOUBOV
Feeling
quitte cependant mes bras pour descendre au niveau de mon bas-ventre.
Il me semble lui avoir dit, il y a quelques siècles ou quelques
millénaires, que je désirais goûter à la douceur de ses lèvres sur mon
vieux gland… Elle s’empare de ma verge en semi-érection et commence à la
lécher en me jetant des regards coquins ; dans ces conditions, il me
faut peu de temps pour retrouver une rigidité à toute épreuve. Elle se
met à alterner des pompages du gland avec des gorges profondes ; le fait
que je sois totalement épilé lui facilite la tâche. Elle me branle un
peu aussi, sans omettre de placer son pouce sur mon frein (que j’ai très
développé et hypersensible). Sachant que je suis toujours en train de
filmer, elle pousse le souci du détail jusqu’à relever fréquemment ses
cheveux qui pourraient masquer le délicieux traitement qu’elle procure à
ma vieille bite !
Au bout d’une minute, elle se met à lécher le pourtour de mon méat, pointant même sa langue à l’entrée de mon urètre.
Je
sais ce qu’elle va faire : nous en avions déjà parlé. C’est pourquoi je
ne suis pas surpris lorsqu’elle dépose de la salive sur son auriculaire
et commence à le faire glisser sur l’extrémité de mon gland, tournant
autour du méat pour s’en rapprocher de plus en plus. Elle appuie un peu à
l’entrée, et son doigt disparaît dans mon urètre jusqu’à la première
phalange. Elle le ressort et le réintroduit à plusieurs reprises. Je
commence à pousser des gémissements de plaisir.
— Tu m’arrêtes si je te fais mal…
— Non : continue ; plus loin ! Continue : c’est bon… Force ! N’aie pas peur.
Feeling
maintient fermement ma verge entre ses doigts, juste derrière mon gland
que je vois se déformer tandis qu’elle appuie de plus en plus fort. Sur
mon conseil, elle vient déposer un peu plus de salive pour faciliter
cette introduction perverse ; un long filet de bave relie mon gland à
ses lèvres lorsqu’elle se redresse pour contempler ce qu’elle me fait
subir. C’est vrai qu’elle semble très intéressée par ce qu’elle me fait ;
qu’elle est belle ainsi, en pleine dépravation…
— Vas-y, n’aie pas peur : je n’ai pas mal.
Elle enserre fortement ma verge dans sa main et force encore plus ; ainsi emprisonné, mon gland devient rouge foncé.
— Oh, oui, c’est bon… Ah oui !
Mon
urètre a maintenant absorbé deux phalanges ; Feeling force encore, mais
ne parvient pas à faire pénétrer sa deuxième articulation.
Elle
n’essaie pas d’aller plus loin, craignant sans doute de me déchirer.
Mais elle continue cependant à mouvoir son doigt à l’intérieur de moi en
me branlant de l’extérieur avec son autre main, tout en surveillant
l’expression de mon visage qui doit traduire ce que j’éprouve sous la
délicieuse torture qu’elle m’inflige. Elle sourit et se mord les lèvres
en regardant la progression de son doigt, qu’elle fait maintenant
coulisser en le faisant pivoter, comme si elle vissait et dévissait…
Pour
moi, la sensation est troublante ; je sens mon urètre se dilater en
étant caressé de l’intérieur, où Feeling découvre des zones extrêmement
érogènes. Et puis, cette autre main qui coulisse sur ma hampe tout en me
triturant le gland lorsqu’elle remonte : le plaisir est immense, et la
douleur tout autant ; mais l’une et l’autre sensation se mêlent en un
cocktail des plus agréables. Je sens mon sperme monter… Non, ce n’est
pas ainsi que je veux jouir.
— Ta bouche, maintenant.
Sans
la moindre hésitation, Feeling se penche pour emboucher mon gland. Elle
l’aspire très fort en me branlant la hampe, puis alterne avec des
gorges profondes. À mes gémissements, elle doit penser que je ne vais
pas tarder à jouir ; ses mouvements s’accélèrent, mais je tiens à faire
durer le plaisir.
— Aspire-moi le gland…
M’obéissant
instantanément, elle diminue l’amplitude de ses mouvements pour les
concentrer uniquement sur mon gland, que je vois entrer et sortir de sa
bouche ; elle resserre ses lèvres sensuelles juste derrière la couronne,
zone extrêmement sensible chez moi.
— Ah, comme c’est bon…
Elle continue de me téter le gland en m’envoyant des regards coquins…
— On mettra la vidéo sur Internet ?
— Ah non !
— Ah ah ah ! Je te remets le bandeau, si tu veux.
Elle
recommence une série de gorges profondes, mais un peu trop rapides à
mon goût pour que je puisse apprécier à leur juste valeur ces caresses
délicates.
— Tu sais, ce n’est pas la peine d’aller aussi vite : vas-y doucement ; j’aime bien, aussi.
Obéissante,
Feeling l’est assurément. Elle ralentit ses caresses buccales ; ça doit
la soulager, car ça fait une dizaine de minutes qu’elle me suce sans
discontinuer !
— Oui… Oui ! Humm… Humm… Oui ! Oui !
Mes
yeux sont fixés sur le champignon obscène de mon gros gland qui
disparaît par à-coups entre les lèvres de Feeling… Je sens la pression
monter… Elle me sourit chaque fois qu’elle laisse mon gland sortir de sa
bouche, puis elle me lance des regards effrontés tout en me le léchant
pendant qu’elle me branle.
Quelle délicieuse petite cochonne ! Elle
me branle à présent en faisant virevolter sa langue autour de mon gland.
Comment arrive-t-elle à me sourire en même temps, tout en me lançant
des regards incendiaires ? Quelle salope ! (mais dans ma bouche, c’est
un compliment).
Je commence à souffler comme une vieille
locomotive à vapeur ; la jouissance approche… Mes halètements se font de
plus en plus rapprochés. Feeling prend alors ma verge en la serrant
fortement dans sa main. Ses doigts glissent lentement sur mon gland
brillant de salive tandis que son pouce décrit des mouvements
circulaires sur mon frein. Elle observe ma verge avec énormément
d’intérêt…
J’émets
des gémissements incontrôlables, entrecoupés de halètements
irrépressibles. Elle me reprend encore en bouche ; mon regard éperdu de
désir et de plaisir suit les mouvements de sa langue sur mon gland… Elle
m’amène tout doucement aux portes de la jouissance… Ses lèvres se
resserrent autour de mon gland pour l’aspirer avec une puissance
incroyable…
— Oh… Oh… Oh !
Ma jouissance est toute proche.
Je vois du sperme s’écouler de mon gland violacé à cinq ou six reprises
; Feeling en prend une giclée sur le nez… Mais le véritable orgasme
n’est pas encore là. Elle continue de me malaxer le gland pendant une
quinzaine de secondes avant que l’orgasme ne me submerge. Mes cris de
plaisir se transforment en véritables hurlements ! Feeling n’arrête pas
pour autant ses savantes manipulations…
Je l’avais bien briefée au
cours de nos correspondances enflammées ; elle savait donc ce qu’elle
devait faire pour m’amener jusqu’à cette explosion démentielle. Mais
elle improvise pour augmenter encore – si c’est possible – mon plaisir :
pendant que je hurle sous ses caresses, elle vient me lécher les
bourses ! Un flash m’éblouit ; je perds presque conscience…
Puis
la tension qui m’avait envahi s’apaise ; je flotte dans un bien-être
total… Feeling revient vers moi pour s’allonger sous la couette. Je la
prends dans mes bras et nous nous embrassons tendrement.
(En regardant après coup cette séquence vidéo, j’ai constaté que mon orgasme avait duré une minute et dix secondes, dont cinquante-cinq secondes de hurlements démentiels.)
Auteurs : Feeling et Lioubov
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