mardi 7 avril 2015

Une épouse presque fidèle (4)

Relisez le chapitre 3

FEELING

Lioubov approche doucement ses doigts de ma minette et l’écarte un peu plus. J’ouvre mon vagin pour qu’il le voie mouiller. J’ai envie de sentir ses doigts glisser profondément en moi. Un désir brûlant enflamme ses yeux. Sa langue si douce se pose délicatement sur l’ouverture de mon intimité et commence à lécher, puis sucer mes lèvres.
Humm, tant de douceur… c’est bon ! Je gémis en sentant sa langue caresser mon clito bien dur tandis que ses lèvres l’aspirent doucement. Il lèche soigneusement toute mon intimité, ne se concentrant pas uniquement sur mon clito. Je savoure ce doux plaisir, même si je devine que – de cette manière – je serai longue à jouir. Mais c’est une caresse tellement agréable que je veux bien qu’elle dure plusieurs heures.


Pour une fois, je ne suis pas soumise à un homme qui désire expédier mon orgasme le plus rapidement possible, comme s’il s’agissait d’une vulgaire corvée ; alors, j’en profite !

Après quelques minutes, je n’ai toujours pas d’orgasme ; le désir et le plaisir sont pourtant toujours présents. J’ai envie de sentir ses doigts profondément en moi pendant qu’il me lèche ; mais je refuse de demander quelque faveur que ce soit à mon Maître.


LIOUBOV

Je viens de procurer à Feeling de longues caresses buccales qui ne l’ont cependant pas amenée à l’orgasme. Je suppose que mes caresses ont quand même dû la mettre en condition pour recevoir ma verge. Serait-elle plus vaginale que clitoridienne, alors ? Ce n’est pourtant pas ce qu’elle m’avait dit…

Je me redresse et me penche sur elle pour amener mon sexe au contact du sien ; je prends ma verge en main pour guider mon gland turgescent le long de sa fissure gluante, puis je le fais glisser de bas en haut et de haut en bas pendant quelques instants avant de le placer sur son clitoris que je caresse de mon renflement satiné en faisant varier la vitesse et la pression de mes attouchements. Je le place enfin à l’entrée de son vagin, où je le fais aller et venir doucement, mais de plus en plus profondément.

Quelle surprise lorsque je m’introduis en elle : le vagin de Feeling est aussi étroit et serré que celui d’une jeune fille ! Ses parois m’enserrent délicieusement… J’effectue quelques mouvements de va-et-vient en la pénétrant de plus en plus, mais je me retrouve bientôt au bout de mes possibilités : nos pubis se cognent. J’aimerais la pénétrer plus profondément ; mais que puis-je faire avec un sexe qui se situe dans la moyenne ? Je me couche alors sur le dos et demande à Feeling de venir me chevaucher : dans cette position, la pénétration est censée être plus profonde.

C’est elle qui mène la danse, montant et descendant le long de ma verge. Mes mains se saisissent de ses seins pour en étirer les tétons… Mais à un moment, ses mouvements se font trop amples et mon sexe est éjecté de son doux fourreau : je me dis qu’avec son mari, elle doit être habituée à une verge plus imposante que la mienne, et que je ne saurai pas la satisfaire avec un membre bien plus modeste que celui que les Africains sont supposés avoir ! À partir de ce moment-là, doutant de mes capacités à lui procurer un orgasme, j’estime que ce n’est pas la peine de continuer et qu’il me faudra employer une technique différente pour l’amener au plaisir.

Je demande à Feeling de remonter de quelques dizaines de centimètres afin d’amener sa vulve à hauteur de mon visage, puis de s’abaisser légèrement. Dans cette position, son sexe vient se plaquer sur ma bouche. J’étouffe presque entre ses cuisses. Ses lèvres hypertrophiées se déploient sur mes joues… Je suis bien, là, dans les replis intimes de sa vulve qui palpite et dont les sécrétions intimes coulent sur mon visage et jusqu’au fond de ma gorge. J’aspire les chairs qui s’offrent à moi sans la moindre pudeur ; je me gorge de son délicieux nectar. C’est trop bon… Jamais je ne pourrai être plus heureux qu’en cet instant précis. Ah, comme ce serait doux de mourir noyé, étouffé par cette vulve dégoulinante…

« Ce serait encore meilleur en affinant mes sens au maximum… » Je laisse Feeling et me dirige à l’avant du camping-car pour apprécier une spécialité importée d’Afghanistan que j’avais préparée en vue de cette occasion.


FEELING

Lioubov se relève. J’imagine que sa langue est endolorie. J’espère avoir une nouvelle chance de jouir dans sa bouche un peu plus tard. Il prend son sexe dans sa main et se sert de son gland pour caresser ma minette. Je tends mon bassin vers lui, l’invitant à me pénétrer. Son gland glisse doucement dans l’entrée de mon vagin. C’est encore mieux que ses doigts !
Ses va-et-vient sont doux et de plus en plus profonds. Mon intimité l’aspire entièrement. Je comprime les parois de mon vagin afin de le serrer plus encore. Je le sens mieux s’agiter en moi. Je gémis de plaisir. J’ai envie qu’il m’écarte largement les cuisses pour me pénétrer encore plus profondément.

Il me propose alors de le chevaucher : j’accepte avec grand plaisir. Je me positionne et le prends en moi. « J’aurais dû prendre le temps de me frotter délicieusement sur sa verge… » pensé-je subitement. Comme il entreprend de lents va-et-vient, je l’accompagne et commence à monter et descendre le long de son membre. Mais après quelques minutes, son sexe est éjecté : je m’y suis évidemment mal prise. Je le réinsère délicatement en moi et j’ondule doucement du bassin d’avant en arrière. Je sens sa verge caresser les profondeurs de mon vagin.

Je dénoue mon haut et offre mes seins à la caresse de ses mains douces et brûlantes.
Humm, c’est très bon ! Je l’embrasse tendrement. Lioubov me serre contre lui et rabat les draps sur moi. Je suis bien dans ses bras, contre la douce chaleur de sa peau. Il se retire lentement de moi et commence à caresser ma minette. S’il savait que j’adore ça ! Ses doigts explorent mon intimité ; je me laisse aller à ce plaisir, retenant mon orgasme ; j’ai envie qu’il me caresse longuement…

Lioubov me propose alors de le sucer. Je m’exécute et lèche délicatement sa verge endormie.

— Attends : après avoir fumé, ça sera encore meilleur !

Je le regarde, surprise. Cela ne m’aurait pas dérangée si je supportais la fumée, mais ce n’est pas le cas. Il m’abandonne pour aller fumer une grosse cigarette conique à l’avant du camping-car.


LIOUBOV

Lorsque je rejoins Feeling sous la couette, une intense émotion m’envahit ; une bouffée de chaleur explose en moi... J’éprouve une immense tendresse pour elle ; plus question de domination ni de rapports pervers. La fumée exotique délicieusement épicée de mon joint m’a éclairci les idées : je me sens incapable de continuer à jouer ce rôle de macho dominateur. Quel mauvais acteur je suis !
Désormais, je ne suis plus qu’un petit garçon désarmé qui prend soudainement conscience des sentiments qu’il avait jusque là refoulés… Cette belle femme, en plus de la désirer comme un fou, je l’aime. Oui : je l’aime ! Comment des sentiments aussi surannés peuvent-ils s’immiscer dans une relation qui ne se revendiquait que purement sexuelle ?

Profondément troublé, je prends Feeling dans mes bras et la serre très fort contre moi, longtemps. Très longtemps. J’apprécie le contact de son corps contre le mien, qui m’apaise. Je suis bien. J’accède à un autre univers. Durant un moment incommensurable, nous nous laissons submerger par les vagues tumultueuses d’un océan d’infinie tendresse ; nos baisers, qui n’ont plus rien à prouver, deviennent… sincères.


FEELING

Lioubov me rejoint enfin sous la couette. Son lit est vraiment confortable ; je n’ai pas envie de le quitter. Je me blottis dans ses bras, contre sa douce peau de bébé. Nous nous câlinons. Ses lèvres se posent délicatement sur les miennes tandis que ma langue gourmande se fraie déjà un chemin entre elles. Nous échangeons un long et tendre baiser. Je soupire de contentement. Je me sens bien dans cette explosion de tendresse.

Ses lèvres quittent les miennes le temps de me faire des allusions à son âge et au fait qu’il pourrait être mon père, voire même mon grand-père. Je m’attendais à ce qu’il en profite pour me proposer un scénario incestueux, mais non. Sa main se glisse d’elle-même entre mes cuisses. Je m’imagine lui répliquer « Oh, Papy, t’as pas le droit de me faire ça ! » Cette seule pensée me fait inonder ses doigts. Je le laisse me caresser longuement et je glisse ma main vers sa verge. Ma langue vibre déjà dans ma bouche ; son sexe endormi ne demande qu’à se réveiller entre mes lèvres gourmandes.


LIOUBOV

Feeling quitte cependant mes bras pour descendre au niveau de mon bas-ventre. Il me semble lui avoir dit, il y a quelques siècles ou quelques millénaires, que je désirais goûter à la douceur de ses lèvres sur mon vieux gland… Elle s’empare de ma verge en semi-érection et commence à la lécher en me jetant des regards coquins ; dans ces conditions, il me faut peu de temps pour retrouver une rigidité à toute épreuve. Elle se met à alterner des pompages du gland avec des gorges profondes ; le fait que je sois totalement épilé lui facilite la tâche. Elle me branle un peu aussi, sans omettre de placer son pouce sur mon frein (que j’ai très développé et hypersensible). Sachant que je suis toujours en train de filmer, elle pousse le souci du détail jusqu’à relever fréquemment ses cheveux qui pourraient masquer le délicieux traitement qu’elle procure à ma vieille bite !
Au bout d’une minute, elle se met à lécher le pourtour de mon méat, pointant même sa langue à l’entrée de mon urètre.

Je sais ce qu’elle va faire : nous en avions déjà parlé. C’est pourquoi je ne suis pas surpris lorsqu’elle dépose de la salive sur son auriculaire et commence à le faire glisser sur l’extrémité de mon gland, tournant autour du méat pour s’en rapprocher de plus en plus. Elle appuie un peu à l’entrée, et son doigt disparaît dans mon urètre jusqu’à la première phalange. Elle le ressort et le réintroduit à plusieurs reprises. Je commence à pousser des gémissements de plaisir.

— Tu m’arrêtes si je te fais mal…
— Non : continue ; plus loin ! Continue : c’est bon… Force ! N’aie pas peur.

Feeling maintient fermement ma verge entre ses doigts, juste derrière mon gland que je vois se déformer tandis qu’elle appuie de plus en plus fort. Sur mon conseil, elle vient déposer un peu plus de salive pour faciliter cette introduction perverse ; un long filet de bave relie mon gland à ses lèvres lorsqu’elle se redresse pour contempler ce qu’elle me fait subir. C’est vrai qu’elle semble très intéressée par ce qu’elle me fait ; qu’elle est belle ainsi, en pleine dépravation…
— Vas-y, n’aie pas peur : je n’ai pas mal.

Elle enserre fortement ma verge dans sa main et force encore plus ; ainsi emprisonné, mon gland devient rouge foncé.

— Oh, oui, c’est bon… Ah oui !

Mon urètre a maintenant absorbé deux phalanges ; Feeling force encore, mais ne parvient pas à faire pénétrer sa deuxième articulation.

Elle n’essaie pas d’aller plus loin, craignant sans doute de me déchirer. Mais elle continue cependant à mouvoir son doigt à l’intérieur de moi en me branlant de l’extérieur avec son autre main, tout en surveillant l’expression de mon visage qui doit traduire ce que j’éprouve sous la délicieuse torture qu’elle m’inflige. Elle sourit et se mord les lèvres en regardant la progression de son doigt, qu’elle fait maintenant coulisser en le faisant pivoter, comme si elle vissait et dévissait…

Pour moi, la sensation est troublante ; je sens mon urètre se dilater en étant caressé de l’intérieur, où Feeling découvre des zones extrêmement érogènes. Et puis, cette autre main qui coulisse sur ma hampe tout en me triturant le gland lorsqu’elle remonte : le plaisir est immense, et la douleur tout autant ; mais l’une et l’autre sensation se mêlent en un cocktail des plus agréables. Je sens mon sperme monter… Non, ce n’est pas ainsi que je veux jouir.

— Ta bouche, maintenant.

Sans la moindre hésitation, Feeling se penche pour emboucher mon gland. Elle l’aspire très fort en me branlant la hampe, puis alterne avec des gorges profondes. À mes gémissements, elle doit penser que je ne vais pas tarder à jouir ; ses mouvements s’accélèrent, mais je tiens à faire durer le plaisir.

— Aspire-moi le gland…

M’obéissant instantanément, elle diminue l’amplitude de ses mouvements pour les concentrer uniquement sur mon gland, que je vois entrer et sortir de sa bouche ; elle resserre ses lèvres sensuelles juste derrière la couronne, zone extrêmement sensible chez moi.

— Ah, comme c’est bon…

Elle continue de me téter le gland en m’envoyant des regards coquins…

— On mettra la vidéo sur Internet ?
— Ah non !
— Ah ah ah ! Je te remets le bandeau, si tu veux.

Elle recommence une série de gorges profondes, mais un peu trop rapides à mon goût pour que je puisse apprécier à leur juste valeur ces caresses délicates.

— Tu sais, ce n’est pas la peine d’aller aussi vite : vas-y doucement ; j’aime bien, aussi.

Obéissante, Feeling l’est assurément. Elle ralentit ses caresses buccales ; ça doit la soulager, car ça fait une dizaine de minutes qu’elle me suce sans discontinuer !

— Oui… Oui ! Humm… Humm… Oui ! Oui !

Mes yeux sont fixés sur le champignon obscène de mon gros gland qui disparaît par à-coups entre les lèvres de Feeling… Je sens la pression monter… Elle me sourit chaque fois qu’elle laisse mon gland sortir de sa bouche, puis elle me lance des regards effrontés tout en me le léchant pendant qu’elle me branle.
Quelle délicieuse petite cochonne ! Elle me branle à présent en faisant virevolter sa langue autour de mon gland. Comment arrive-t-elle à me sourire en même temps, tout en me lançant des regards incendiaires ? Quelle salope ! (mais dans ma bouche, c’est un compliment).

Je commence à souffler comme une vieille locomotive à vapeur ; la jouissance approche… Mes halètements se font de plus en plus rapprochés. Feeling prend alors ma verge en la serrant fortement dans sa main. Ses doigts glissent lentement sur mon gland brillant de salive tandis que son pouce décrit des mouvements circulaires sur mon frein. Elle observe ma verge avec énormément d’intérêt…

J’émets des gémissements incontrôlables, entrecoupés de halètements irrépressibles. Elle me reprend encore en bouche ; mon regard éperdu de désir et de plaisir suit les mouvements de sa langue sur mon gland… Elle m’amène tout doucement aux portes de la jouissance… Ses lèvres se resserrent autour de mon gland pour l’aspirer avec une puissance incroyable…

— Oh… Oh… Oh !

Ma jouissance est toute proche. Je vois du sperme s’écouler de mon gland violacé à cinq ou six reprises ; Feeling en prend une giclée sur le nez… Mais le véritable orgasme n’est pas encore là. Elle continue de me malaxer le gland pendant une quinzaine de secondes avant que l’orgasme ne me submerge. Mes cris de plaisir se transforment en véritables hurlements ! Feeling n’arrête pas pour autant ses savantes manipulations…
Je l’avais bien briefée au cours de nos correspondances enflammées ; elle savait donc ce qu’elle devait faire pour m’amener jusqu’à cette explosion démentielle. Mais elle improvise pour augmenter encore – si c’est possible – mon plaisir : pendant que je hurle sous ses caresses, elle vient me lécher les bourses ! Un flash m’éblouit ; je perds presque conscience…

Puis la tension qui m’avait envahi s’apaise ; je flotte dans un bien-être total… Feeling revient vers moi pour s’allonger sous la couette. Je la prends dans mes bras et nous nous embrassons tendrement.

(En regardant après coup cette séquence vidéo, j’ai constaté que mon orgasme avait duré une minute et dix secondes, dont cinquante-cinq secondes de hurlements démentiels.)

Auteurs : Feeling et Lioubov

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