mardi 17 mars 2015

Une épouse presque fidèle (3)

Relisez le chapitre 2



LIOUBOV

Reprenant la laisse, je tire Feeling en direction d’un fauteuil où je la fais s’asseoir. Ainsi, elle est à la hauteur de ma verge. Tiens, celle-là, je l’avais oubliée… Que devient-elle ? En fait, elle est en semi-érection, presque à l’horizontale. Je la saisis pour la passer délicatement sur les joues de la jeune femme, puis je lui en caresse légèrement les lèvres, qu’elle entrouvre. Mon excitation augmente encore lorsqu’elle laisse dépasser le bout de sa langue ; que c’est doux ! Mais elle tire un peu plus sa langue, ce qui me permet de déposer mon gros gland sur ce support chaud et humide… Je me repais de cette vision hautement érotique !


Mais Feeling ne me laisse pas beaucoup de temps pour admirer ce spectacle licencieux ; avançant la tête, elle me prend entre ses douces lèvres puis, après quelques allers-retours sur la surface soyeuse de mon gland, elle le fait pénétrer dans sa bouche. Oh, quelle volupté ! Ma verge finit de se déployer dans l’intimité chaude et humide de cette si belle femme… Des sensations extraordinaires m’envahissent lorsque Feeling commence à faire coulisser délicatement ses lèvres le long de ma hampe, s’interrompant parfois pour aller caresser mon scrotum de sa langue et même prendre mes testicules dans sa bouche brûlante. Comme ses mains sont entravées par des menottes, elle ne peut les utiliser pour maintenir mon membre ; quant à ses yeux bandés, ils ne lui sont d’aucune utilité. Alors, lorsqu’elle laisse ma verge sortir de sa bouche, elle est obligée de la chercher à tâtons avec ses lèvres sensuelles. Je laisse parfois échapper des « Oh… », des « Hmm… », des « Ouiii… » et des « Oh oui ! » lorsque mon plaisir devient trop fort. Je sens que si elle continue comme ça, je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps…

— Ça va, chienne ; tu t’es assez amusée !

Je me retire – à regret – de sa bouche de suceuse experte et je l’entraîne, au bout de la laisse, vers le lit où je la fais s’allonger sur la couette, les jambes pendantes hors de la couche.


FEELING

Je sens Lioubov tirer sur la laisse. Il me fait asseoir sur un siège. Je sens son gland ferme et d’une douceur incomparable se poser sur mes lèvres. Il ne les caresse pas avec lui, comme il m’avait dit par mail désirer le faire. Alors, j’en profite pour l’embrasser délicatement. Sa douceur sensuelle m’attire. Je le lèche doucement. Il se tend vers ma bouche. Je lèche lentement le contour de cette vigoureuse verge sur toute sa longueur. Je titille le frein de la pointe de la langue. J’ai envie de le mordiller et de le sucer, mais il m’échappe.


J’aspire son gland entre mes lèvres : il est aussi délicieux que je l’avais imaginé. Je le suce avec gourmandise, aspirant doucement sa verge dans les profondeurs de ma bouche. Ma langue et mes lèvres s’activent savamment le long de sa hampe.

Lioubov me laisse faire en gémissant. Je suis à la fois soumise à ses désirs et maîtresse de son plaisir. Ne pas le voir, mais juste l’entendre est très excitant. Je m’applique encore mieux. Ma bouche fait de longs va-et-vient sur sa verge que j’absorbe entièrement. Elle est vraiment délicieuse !

Je lèche son scrotum qu’il a soigneusement épilé. Quel délice de le sentir se contracter sur ma langue ! Je prends délicatement ses bourses entre mes lèvres, chacune leur tour. Je les suce doucement. Lioubov gémit ; je continue. J’avais envie de les absorber ensemble entre mes lèvres pour les sucer et les lécher subtilement, mais je ne peux me libérer pour les maintenir contre ma bouche.

Je lèche toute la longueur de cette délicieuse verge et l’aspire profondément entre mes lèvres. Je la dévore entièrement, en faisant de longs et rapides va-et-vient.

— Ça va, chienne ; tu t’es assez amusée !

« Quoi, déjà ? Mais je me régale, moi ! » Je n’ai pas envie d’arrêter. Je suis tout de même mon Maître qui m’entraîne, en tirant sur la laisse, vers le lit où il m’allonge délicatement. Dans ma bouche, ma langue est déjà en manque de son gland…


LIOUBOV

Feeling est là, devant moi, toujours entravée et aveuglée, la laisse en travers de la poitrine. Elle attend mon bon vouloir, soumise et confiante, prête à tout. Des collants sombres à motifs gainent ses jambes ; une minijupe ultracourte laisse entrevoir le fin voile d’un string noir qui masque encore – mais si peu – l’objet de mes désirs : sa vulve ! L’iPhone, qui enregistre toujours, se rapproche pour zoomer sur cette vision de rêve. Ma main rabat la minijupe sur son ventre. À travers les mailles ajourées du string, je distingue nettement la fente vulvaire qui, bien qu’encore fermée, ne peut contenir l’excroissance de ses petites lèvres qui me semblent particulièrement développées. Son pubis est totalement épilé. Je lui caresse les cuisses, laissant parfois ma main glisser négligemment sur son sexe. Alors qu’un de mes doigts tente de se glisser sous le fin voile afin d’offrir à mon regard cette vulve qui m’obsède, elle reçoit un SMS sur son téléphone mobile. Feeling se lève pour répondre. Je lui enlève les menottes et le bandeau qui l’aveuglait.

— Attends, je reviens et je reprends la pose… me dit-elle.
— J’y compte bien !


FEELING

Le lit est moelleux à souhait. Je suis là, offerte, les cuisses écartées et le corps tremblant d’envie. Je sens ses doigts qui m’effleurent légèrement. Ses mains caressent mes cuisses, et furtivement ma minette. Je la sens dégouliner d’envie et mon clito se tendre.

Mon portable sonne, à ma grande déception ; je demande à Lioubov de m’excuser. C’est mon époux. Je suis obligée de répondre pour maintenir le faux-semblant. Le retour dans ma vie de tous les jours est rude ! Après avoir répondu, je pousse un long soupir pour me détendre et me replonger dans la volupté de l’instant précédent.

Je croise le regard tendre de Lioubov, qui me sourit. J’ai l’impression de le voir pour la première fois, maintenant que la nervosité du premier échange m’a quittée. Ses lèvres pulpeuses attirent les miennes. J’ai envie de l’embrasser. Son corps mince est vêtu d’un catsuit en résille ; il est habillé sans l’être. Je trouve cela sexy. J’ai envie de tendre la main pour caresser sa peau.

Je suis surprise de voir ses cheveux si longs, mais ramenés sur sa nuque en catogan. Je lui trouvais plus de charme lorsqu’ils étaient libres, tombant sur ses épaules, sur les photos qu’il m’avait envoyées. Je reviens vers lui, attendant ses ordres.


LIOUBOV

Lorsque Feeling revient, elle reprend sa place sur le lit. Je détache la laisse et dégage ses seins ; ses aréoles roses sont assez développées, et ses tétons érigés témoignent de l’excitation qu’elle ressent.

— Alors, tu me le montres, ce minou ?

Pour toute réponse, elle écarte ses cuisses et fait glisser son string sur le côté. Sa vulve apparaît ; ses « petites » lèvres sont d’une taille exceptionnelle… Elles sont déjà entrouvertes ; Feeling finit de les ouvrir avec ses doigts, les étirant au maximum, et les maintient plaquées contre ses cuisses à l’aide de ses majeurs.

Ses index ne restent pas inactifs : elle s’en sert pour dégager un clitoris qui bande déjà. Cette petite perverse exhibitionniste offre sa vulve écartelée et luisante de sécrétions à mon regard lourd de convoitise.


— Hmm, charmant… Je sens que je vais me régaler ! Comment aimes-tu te caresser ? Montre-moi.

Elle fait glisser son index le long de ses lèvres qui s’ouvrent encore plus, puis se caresse le clitoris en tournoyant autour de son organe érigé.

— Tu as de superbes lèvres… Aaaah… Elles sont magnifiques !

À présent, Feeling se branle le clitoris en me regardant droit dans les yeux tout en me souriant. Parfois, elle passe une langue humide sur ses lèvres gourmandes. Un filet de mouille s’écoule de sa vulve et glisse le long de sa cuisse. Elle gémit.

— Tu vas jouir ?
— Pas encore…
— Et si j’y mets ma langue ?

Je ne peux plus résister à ce spectacle d’un érotisme insoutenable ; je n’ai plus qu’une envie : me jeter sur cette vulve incroyablement appétissante pour la dévorer !


FEELING

C’est avec surprise que je le regarde détacher délicatement la laisse et agrandir l’échancrure de mon décolleté pour libérer mes seins. Mes tétons sont dressés vers ses mains si douces, espérant une tendre caresse. Je reprends docilement ma place sur le lit.

— Alors, tu me le montres, ce minou ?

J’écarte un peu plus mes cuisses et la ficelle de mon string. J’ouvre bien grand ma minette, offrant mon intimité à l’objectif de sa caméra.

— Hmm, charmant… Je sens que je vais me régaler ! Comment aimes-tu te caresser ? Montre-moi.

Je commence à faire des cercles autour de mon clito déjà bien dur. J’imagine sa langue le lécher et le sucer. Lioubov se lèche les lèvres d’envie ; il m’excite… Je mouille abondamment sous mes doigts ! J’ai envie qu’il me goûte et de jouir sur sa langue. Mon désir est si fort que j’en gémis ; l’orgasme n’est pas très loin, mais je veux faire durer mon plaisir.

— Tu vas jouir ?
— Pas encore…
— Et si j’y mets ma langue ?

« Oh, que oui ! » Il se rapproche pour me filmer de plus près. J’espère qu’il voit comme je mouille pour lui…


LIOUBOV

Mes doigts s’approchent lentement de ses lèvres et les écartent délicatement pour ouvrir la corolle de cette fleur vénéneuse qui laisse échapper ses sucs entêtants.
Des filets baveux s’étirent entre les replis que je sépare…

Je ne peux retenir une exclamation admirative :

— Un vrai bijou !

De toute ma vie amoureuse – pourtant bien remplie – jamais je n’ai vu de vulve aussi extraordinairement belle que celle de Feeling. Et pourtant, j’en avais connues, des vulves ! Mais la sienne correspond exactement à mes préférences, à celles qui m’ont fait fantasmer depuis toujours : des lèvres hypertrophiées, d’un rose nacré à l’intérieur se transformant progressivement en un gris-mauve sur leur périphérie. Et tellement volumineuses, pesantes et gluantes que je les colle, étalées, sur ses cuisses ouvertes ; son sexe me fait penser à un majestueux papillon aux ailes déployées, prêt à prendre son envol.

Je n’en peux plus d’attendre. Je me précipite sur sa corolle qui palpite ; mais c’est avec la plus grande douceur que ma langue fait connaissance avec cette orchidée épanouie. Hmmm… Enfin !

Quelques subtils allers et retours sur toute sa longueur, puis sur ses lèvres déployées avant de les aspirer tendrement. Je suis comblé : ma bouche est entièrement remplie par cette masse de chairs palpitantes que j’enserre délicatement entre mes lèvres. Ma langue commence à suivre les contours de ces lèvres phénoménales avant de s’immiscer entre elles pour les lécher de l’intérieur tout en les tétant. J’entends Feeling haleter… Elle gémit lorsque ma langue vient papillonner autour de son clitoris en de subtiles caresses, puis l’aspire tendrement. À présent, je tète alternativement toute la partie supérieure de sa vulve, lèvres et clitoris ensemble, puis sa partie inférieure, périnée et entrée du vagin, dans lequel ma langue s’immisce de plus en plus profondément.

Une pensée m’assaille : « Elle a dû se laver le sexe. Quel dommage… J’aurais préféré me régaler de son goût naturel, certainement plus prononcé que cette saveur aseptisée ! »

Mes caresses buccales se poursuivent longtemps, car c’est une pratique que j’adore ; surtout lorsqu’il s’agit de câliner une vulve aussi exceptionnelle que celle de Feeling ! Cependant, malgré toute l’habileté dont je me crois capable, je suis incapable de lui arracher le moindre orgasme. Elle m’avait pourtant dit qu’elle était capable de jouir en moins d’une minute… Aurais-je perdu toutes mes capacités ? Cela m’inquiète.

Auteurs : Feeling et Lioubov

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