Est-ce de l’exhibitionnisme ? Il lui arrive
d’avoir des relations dans des lieux les plus improbables. Peut-être que
le risque d’être vu ajoute du piquant au plaisir sexuel ?
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Mariée à l’une de ses connaissances, Sylvie était une petite brune pétillante qui l’émoustillait. Un soir de 14 juillet, il la retrouva sur une place publique parmi la foule d’un concert en plein-air. Bien qu’accompagné de son épouse, il s’esquiva discrètement avec la brunette en se fondant dans la foule.
Sachant qu’elle était chaude, mais délaissée (son mari ne pouvant presque plus bander suite à une maladie), il l’entraîna dans un recoin sombre de la place, dézippa sa braguette et sortit sa verge ; elle s’agenouilla aussitôt devant lui, sachant ce qu’il attendait d’elle, même si les fêtards continuaient de passer à deux ou trois mètres d’eux. Comme elle suçait bien, il ne fut pas long à lui décharger dans la bouche. Mais comme il tenait à la baiser consciencieusement – et que ce n’était pas possible là où ils se trouvaient – il l’amena chez lui.
Comme il avait joui dans sa bouche peu de temps auparavant, il put la pénétrer longuement, par devant et par derrière. Sylvie, qui avait dû être privée de sexe pendant longtemps, s’extasiait de la rigidité inflexible de sa verge et n’arrêtait pas de gémir « Ah, quelle queue… Ah, quelle queue ! » Il lui largua sa semence une nouvelle fois – mais dans le cul – pendant qu’elle jouissait.
Lorsqu’il rejoignit son épouse, celle-ci lui donna une gifle mémorable ; mais il l’avait bien méritée !
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C’est au cours de l’été 1976, si ses souvenirs sont exacts, qu’un festival de musique avait rassemblé pendant trois jours à Orcines (sur une colline à proximité de Clermont-Ferrand) des centaines de gens bizarres aux cheveux longs, adeptes de culture alternative. Parmi les musiciens qui s’y produisaient, entre autres, la belle et ténébreuse Nico. Trois journées magiques de musique et de défonce ; les plus sages ne fumaient que des pétards, mais tous les autres étaient continuellement sous acide.
Au soir de la troisième journée, pendant le passage du dernier groupe, alors que presque tout le public était déjà reparti et qu’il ne restait qu’entre 150 et 200 hippies allongés dans leurs sacs de couchage sous le chapiteau qui abritait les concerts, il s’aperçut – à travers les hallucinations dues au LSD – que sa voisine était bien mignonne... Comme elle semblait avoir froid, il recouvrit ses épaules de son sac de couchage ; elle le souleva pour l’inviter à venir se blottir contre elle.
Sans savoir comment c’est arrivé, ils se sont retrouvés tous deux allongés sur le sol, sous le sac de couchage, lui sur elle, en train de faire l’amour. La position pas très confortable les empêchait de voir ce qui se passait sur scène ; ils se sont allongés sur le côté – elle lui tournant le dos – et ils reprirent leur coquine activité au milieu des autres spectateurs qui, soit ne s’aperçurent de rien, soit trouvèrent leur copulation tout à fait normale dans ces circonstances. La tolérance était grande, en ces temps-là…
À la fin du concert, ils repartirent chacun de leur côté sans avoir échangé la moindre parole.
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Une mignonne adolescente aux longs cheveux châtains… Elle résidait dans une famille d’accueil dont le père travaillait comme gardien d’un château en Dordogne.
Deux images lui reviennent en mémoire. La première : le parc Gamenson, un jardin public où, agenouillée devant lui, à peine masquée par un buisson, elle lui suçait la queue. L’autre, encore plus excitante : alors qu’il la ramenait chez elle, il arrêta sa voiture sur une petite aire de stationnement en bordure d’une route départementale, en rase campagne du côté de Villars. Il en descendit et vint se placer contre le véhicule, au niveau de la portière côté passager. La minette, restée assise dans la voiture, abaissa la vitre lorsqu’elle vit qu’il était en train d’extraire sa bite de son pantalon ; comme elle était juste à la bonne hauteur, elle la prit dans sa bouche sans qu’une parole n’ait été échangée. Ses lèvres s’activèrent sur cette verge pendant que des voitures circulaient à trois ou quatre mètres d’eux ; mais elle n’arrêta de téter son gros gland que lorsqu’elle eût ingurgité sa dose de sperme.
Elle était un peu exhibitionniste, et savait ce qu’il aimait ; quant à lui, il savait ce qu’elle aimait : sucer des queues – du moins la sienne – pour en extraire la semence dont elle se régalait…
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Il la voyait régulièrement au night-club où il travaillait comme DJ, puisque Marie-Claude, une belle blonde très élégante, était l’épouse du patron de la boîte de nuit. Des années plus tard, il eut l’occasion de la retrouver ; elle était venue le rencontrer, dans l’administration où il travaillait alors, pour résoudre un problème. Après lui avoir rendu ce service, il poussa l’obligeance jusqu’à la raccompagner à sa voiture. Au moment de se séparer, elle lui dit :
— Alors, tu ne m’embrasses pas ?
Il lui fit une bise sur la joue. En le regardant d’un air coquin, elle précisa :
— Mieux que ça…
Ils échangèrent alors un long baiser qui provoqua instantanément le durcissement de sa verge. Alors qu’elle s’éloignait, il prit place dans sa voiture qui était stationnée à quelques mètres de la sienne, et commença à se branler pour évacuer le désir qui l’avait envahi. Marie-Claude n’avait pas démarré. Qu’attendait-elle ? Il prit son téléphone pour lui demander si elle pouvait deviner ce qu’il était en train de faire ; comme elle l’ignorait, il lui dit :
— Je suis en train de me caresser, parce que tu m’as excité.
Elle descendit de sa voiture pour le rejoindre dans son coupé Volvo. Là, elle se pencha pour prendre sa verge dans sa bouche pulpeuse ; elle suçait d’une manière experte… Pendant qu’elle lui prodiguait cette superbe fellation, une collégienne passa le long de la voiture en jetant un regard intéressé sur ce qui se déroulait dans l’habitacle ; la proximité de la jeune voyeuse ajouta à son excitation, et il se déversa dans la bouche gourmande. La belle blonde avala toute sa semence. Par la suite, il la revit à plusieurs reprises : elle venait lui sucer la queue dans son bureau, ou bien ils faisaient l’amour dans les toilettes du bâtiment administratif, où il l’a souvent sodomisée.
Ils ont aussi passé quelques moments torrides dans la nature. Comme elle avait une vulve assez large, il a tenté de la fister : alors que quatre de ses doigts étaient déjà dans son vagin, il voulut y introduire aussi le pouce ; mais il a dû y renoncer car elle souffrait. Lorsqu’elle l’a sucé, il a pris quelques photos d’elle avec son gros gland sur ses lèvres, puis sur sa langue, et enfin dans sa bouche, où il a craché de chaudes giclées de sperme pendant qu’elle lui branlait le cul, où elle avait introduit deux de ses doigts.
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Élizabeth fut la plus âgée de ses maîtresses ; en effet, professeur de lettres modernes en préretraite, artiste-peintre et grande amatrice de whiskies single malt, elle devait avoir aux alentours de 55 ans lorsque leurs chemins se croisèrent. Mince petite brune aux cheveux courts, pétillante de vie, elle avait la particularité d’être lesbienne ; pour lui, la séduire était donc un défi incontournable !
Ils se retrouvaient souvent chez elle autour d’une bouteille de Lagavulin. Il était certainement en manque d’affection ce jour-là, et elle lui montrait ses bas noirs : il a posé une main sur sa cuisse, qu’il a commencé à caresser. Comme elle semblait apprécier, sa main est remontée jusqu’à sa culotte qu’il frôla avec délicatesse à l’endroit où il devinait son clitoris. Il sentit le tissu s’humidifier, ce qui l’incita à l’écarter pour avoir un accès direct à sa vulve ; son doigt découvrit une masse de chairs liquéfiées, une chatte épanouie, comme il en avait rarement rencontrées…
Élizabeth protesta lorsqu’il prit sa main pour la placer sur son pantalon, qu’une bosse déformait. Il fit aller et venir cette main sur le tissu qui recouvrait sa verge tout en lui expliquant que, comme elle n’était pas énorme, elle n’aurait qu’à penser que c’était juste un gros clito et non pas une bite ! L’ayant convaincue, il ouvrit sa braguette pour en extraire sa queue, et il lui montra les endroits les plus sensibles à caresser. Comme elle apprenait vite, après une ou deux minutes de cette agréable branlette il incita Élizabeth à la prendre en bouche ; curieuse, elle ouvrit ses lèvres pour lécher son gland décalotté et, constatant que c’était doux, elle fit pénétrer le membre dans sa bouche : d’abord son extrémité congestionnée, puis de plus en plus profondément. Victoire : il était en train de se faire sucer par une lesbienne !
Puis elle accepta de recevoir sa verge entre ses cuisses. Ce fut difficile de l’amener à l’orgasme vaginal ; elle était plutôt clitoridienne (elle avait d’ailleurs un clitoris bien développé), et il lui fallut plusieurs séances pour qu’elle arrive à jouir de cette manière. Par contre, elle appréciait de se faire sodomiser… Élizabeth n’était pas pudique : il l’a photographiée nue, principalement des gros plans de sa vulve, une très belle vulve – soit dit en passant – aux longues et volumineuses lèvres. Elle a même découpé en plusieurs parties une photo de sa jolie chatte pour les intégrer sous forme de puzzle à l’une de ses toiles, qu’elle a exposée.
Il allait souvent chez elle pour se livrer à des jeux indécents, bien que ceux-ci aient pu avoir lieu dans les endroits les plus divers : un soir, il lui a longuement bouffé la chatte dans sa voiture garée en plein centre-ville, alors que les passants allaient et venaient sur le trottoir juste à côté d’eux ; un autre soir, ils firent l’amour sur une pelouse jouxtant des toilettes publiques, à trois mètres d’une grande avenue ; une autre fois, dans un bar, il sortit sa verge et, prenant la main d’Élizabeth pour la poser dessus, il se fit branler sous la table, sous les yeux des consommateurs qui n’imaginaient pas ce qui se passait à quelques mètres d’eux !
Mais le summum fut atteint lorsque, un soir, il la retrouva chez elle en compagnie de son amie lesbienne (qui était âgée d’une trentaine d’années) ; il est possible que le whisky y ait été pour quelque chose… Ils se sont retrouvés tous les trois par terre, sur les tapis ; pendant qu’il branlait la chatte d’Élizabeth, sa copine l’embrassait. Elle embrassait un homme sous les yeux de sa maîtresse… N’y tenant plus, il sortit sa queue et l’enfila dans le ventre de l’artiste-peintre, où il s’activa pendant quelques minutes ; puis il la laissa sortir de son vagin, luisante de ses sécrétions. Lorsque la jeune lesbienne la vit, elle la prit en main pour l’examiner de près, puis elle s’en approcha encore plus pour refermer ses lèvres autour du gland congestionné, et elle aspira sa pine jusqu’au fond de sa gorge pour la sucer. C’est ainsi qu’il fit l’amour avec deux lesbiennes !
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Un samedi après-midi de l’été 1967, il voyageait en train pour rejoindre Sylviane, sa fiancée avec qui il devait passer le week-end. Les compartiments étaient pris d’assaut, si bien que beaucoup de voyageurs devaient rester debout dans le couloir ; c’est là qu’il se trouvait. Il sentit bientôt un corps contre le sien, qui le touchait par intermittence à la faveur des cahots ; il n’y prêta tout d’abord pas attention. Guettant du coin de l’œil, il s’aperçut qu’il s’agissait d’une jolie adolescente. Les contacts entre les corps – dus l’initiative de la jeune fille car ils se produisaient même en l’absence de tout cahot – se faisaient de plus en plus fréquents et de plus en plus longs, jusqu’à ce qu’elle se colle contre lui et pose sa tête sur son épaule. Comment résister à une telle invitation ?
Il la prit par la main et, sans dire un mot, l’entraîna dans les toilettes situées à une extrémité du wagon. Enfermés dans le réduit, sans échanger la moindre parole, ils ont commencé à explorer leurs corps tout en s’embrassant à en perdre haleine. En ces temps-là, les filles portaient rarement des pantalons ; il n’eut qu’à relever sa robe jusqu’à la taille et faire glisser sa culotte le long de ses jambes pour avoir accès à sa chatte. Ses doigts rencontrèrent des lèvres gonflées par le désir et dégoulinantes de mouille… Sans perdre un instant – car il devait descendre à la gare suivante, une vingtaine de minutes plus tard – il prit sa verge en main pour faire coulisser son gland le long de la fente baveuse, en insistant sur le clitoris. Quelques mouvements suffirent pour porter leur excitation à son paroxysme et il s’introduisit en elle, dans la chaleur humide de son jeune vagin bien étroit.
Ils étaient debout, face à face ; cette position ne lui permettait pas de la pénétrer profondément, et ils étaient déséquilibrés, tant par les cahots que par la force d’inertie dans les courbes. Il s’assit sur le siège des WC et prit la jeune fille sur ses genoux. Ils baisèrent ainsi, puis il la fit se relever et prendre appui contre le lavabo pour lui présenter son joli petit cul. Debout derrière elle, il eut quelque peine à introduire son gland assez volumineux dans son fondement ; mais dès que la couronne eut dépassé la barrière du sphincter, le reste de sa queue s’engouffra d’un trait dans son rectum soyeux.
Tout en faisant glisser sa bite en de langoureux allers et retours dans ce cul bien cambré, il jetait de temps en temps un coup d’œil à sa montre pour ne pas dépasser la gare où il devait descendre… À un moment, alors qu’il la besognait avec acharnement, des coups métalliques résonnèrent sur la porte : c’était le contrôleur qui frappait avec sa pince pour poinçonner son billet. Il dut alors déculer pour le lui passer sous la porte ; l’agent de la SNCF le lui restitua par la même voie. Dès qu’il fut parti, il encula à nouveau la belle enfant. Alors que le plaisir montait de plus en plus fort et qu’il allait bientôt se vider les couilles dans cet accueillant boyau, il entendit un voyageur mécontent demander derrière la porte s’il avait bientôt fini ! Oui, il avait presque terminé… Quelques mouvements supplémentaires les amenèrent simultanément à la jouissance.
Ils se rajustèrent rapidement et quittèrent ensemble le réduit sous les regards médusés du râleur et d’autres voyageurs qui attendaient que les toilettes se libèrent ! De retour dans le couloir, ils commencèrent enfin à échanger quelques paroles. Sa prestation avait dû plaire à la belle car elle a passé les cinq minutes qui restaient avant qu’il arrive à destination à le harceler pour qu’il reste avec elle durant tout le week-end.
Lorsqu’il descendit du train, Sylviane l’attendait sur le quai de la gare.
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Comment l’avait-il rencontrée ? Il lui semble que c’était en allant rendre visite à un copain hospitalisé qu’il avait croisé Bernadette dans la cour de l’hôpital où elle déambulait, vêtue seulement d’une longue chemise de nuit. Cette minette ne semblait pas être farouche ; il a donc engagé la conversation avec elle. Elle était en observation en attendant son transfert à Lyon où elle devait subir une intervention. Après avoir échangé leurs adresses respectives, ils ont correspondu pendant quelques jours, puis il est allé la retrouver à Lyon, à l’hôpital Edouard Herriot.
Comme elle occupait une chambre individuelle, ils en ont profité pour s’embrasser et se caresser. Il était sur un siège qui jouxtait son lit ; à un moment, elle posa sa main sur la bosse qui déformait son pantalon et se mit à lui masser la verge. Terriblement excité, il ouvrit sa braguette et sortit sa queue. Bernadette, après l’avoir branlé, se pencha en avant pour engloutir son gland. C’était sa toute première fellation ; il avait 16 ans. Comme c’était bon !
Brusquement, la porte s’ouvrit : une jeune aide-soignante pénétra dans la chambre où ils se livraient à ces ébats licencieux. Son regard se posa sur eux ; elle se figea sur place. Bernadette, pas gênée du tout, se rallongea. Quant à lui, ne sachant que faire, il restait là avec la bite en érection, mouillée tant par la salive de sa suceuse que par les gouttes annonciatrices d’un plaisir imminent… Après quelques secondes d’immobilité, l’aide-soignante fit demi-tour et sortit précipitamment de la chambre.
Pour éviter le scandale qui s’annonçait, il quitta rapidement l’hôpital, les couilles encore pleines de ce sperme qu’il aurait tant aimé décharger dans la bouche de Bernadette.
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Avec son épouse, ils avaient fait la connaissance de Brigitte dans une association dont ils étaient membres tous les trois ; s’ensuivit une relation amicale avec cette petite rouquine aux cheveux courts, un peu enrobée, approchant de la cinquantaine.
À l’occasion d’une fête donnée par une amie commune, ils s’étaient retrouvés – après un repas bien arrosé – à poil dans la piscine. Au bout d’un moment, sa femme dut abandonner la fraîcheur de l’eau pour reconduire en voiture l’une des invitées, puis ce fut notre hôtesse qui retourna dans sa maison pour préparer des boissons.
Il était seul avec Brigitte dans la piscine ; en nageant, elle passa tout contre lui à plusieurs reprises en le frôlant ; le contact de sa peau l’excita et, lorsqu’ils cessèrent de nager pour discuter, le regard de la petite rouquine ne put que constater la rigidité de son sexe. Sans dire un mot, elle le prit dans sa main et, après en avoir éprouvé la raideur, fit coulisser ses doigts autour de son membre. De son côté, il amena une main entre les cuisses de cette amie ; un de ses doigts se plaqua sur sa fente et, lorsque son extrémité s’immisça entre ses lèvres, ce fut pour découvrir une vulve poisseuse de sécrétions intimes. Après quelques caresses manuelles, il souleva Brigitte pour la planter sur sa bite, et son gros gland se retrouva dans une chaude moiteur. Ils firent l’amour debout dans l’eau ; après avoir éprouvé un orgasme, Brigitte lui déclara qu’il était un bon baiseur.
Comme il n’avait pas joui, il sortit de l’eau pour s’asseoir sur la margelle de la piscine, les pieds dans l’eau et la queue en érection ; Brigitte – encore dans la piscine – comprit ce qu’il désirait : son dard étant juste à la hauteur de sa bouche, elle commença par lui lécher le gland, puis elle s’appliqua à lui prodiguer une pipe fort excitante. Alors qu’il sentait le plaisir approcher, Brigitte s’arrêta subitement de le sucer et, libérant sa bouche de son gros gland, lui déclara dans un souffle :
– Ta femme… Elle revient !
Effectivement, son épouse – qui était de retour – se dirigeait vers la piscine. Comme il lui tournait le dos, il n’avait pas remarqué qu’elle arrivait ; quant à elle, elle ne pouvait pas voir à quelles activités buccales Brigitte était en train de se consacrer. Heureusement que la suceuse était vigilante, sinon quel scandale cette pipe aurait provoqué… Il se laissa glisser dans l’eau, dont la fraîcheur le fit débander avant que sa femme ne s’aperçoive de son état !
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S’il lui était arrivé de tomber sur des oies blanches, Nelly n’en faisait certainement pas partie ; elle était plutôt du genre vampire… Un vampire non pas assoiffé de sang, mais de sperme ! Il avait fait sa connaissance au Moulin Rouge – un night-club situé à 80 km de chez lui – où il avait ses habitudes. Comme le dancing était ouvert le samedi et le dimanche après-midi et que son tenancier exerçait conjointement une activité d’hôtel-restaurant, il y louait une chambre chaque week-end. C’était en 1966, et il avait tout juste 20 ans.
Cette brune aux cheveux noirs mi-longs et au regard charbonneux avait attiré son attention par son air vicieux : elle dégageait un sex-appeal exacerbé. Il n'eut aucun problème pour l’amener dans sa chambre. Dès la première fois (car elle partagea sa couche pendant de nombreux week-ends), ce fut torride ! Ils passaient des nuits entières à baiser, usant et abusant de tous les orifices du corps de cette jeune chienne en chaleur… Chienne, oui, elle l’était, à tel point qu’il lui est arrivé de se faire sucer et de l’enfiler debout dans les toilettes d’une maison des Jeunes et de la Culture, ou bien allongée sur une tombe, de nuit, dans un cimetière.
Elle aimait tellement la bite qu’une fois, au petit matin, après s’être fait défoncer le cul pendant toute la nuit, alors qu’elle devait rejoindre le domicile de ses parents en faisant de l’auto-stop et que l’inconnu qui l’avait prise à bord de sa voiture avait ouvert sa braguette et sorti sa queue, elle l’avait branlé, puis sucé ! Bien que connaissant son goût pour la bite, il fut quand même un peu étonné lorsqu’elle lui raconta cet épisode…
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Revenons sur Marie-Françoise, cette petite blonde d’une vingtaine d’années qui, dissimulée sous les platines, le suçait pendant qu’il officiait comme DJ dans un night-club.
Ce jour-là, il l’avait emmenée à la campagne et demandé de s’allonger dans l’herbe pour se masturber, comme si elle était seule, puis il s’était éloigné. Après quelques minutes, il revint sans faire de bruit et, se dissimulant derrière les buissons, il l’a observée. C’était excitant d’épier cette femme en modèle réduit se donner du plaisir ; une de ses jambes était allongée tandis que l’autre était repliée. Elle avait ouvert ses cuisses en grand. Pendant que l’une de ses mains s’activait sur son clitoris, l’autre écarta largement les lèvres de sa vulve ; elle fit glisser un doigt le long de sa fente puis elle se l’introduisit dans le vagin. Un autre doigt rejoignit bientôt le premier ; caché derrière un buisson, il était excité de voir cette gamine qui se branlait frénétiquement la chatte à quelques mètres de lui. N’y tenant plus, il sortit sa queue pour la caresser, s’approcha de Marie-Françoise et il se masturba ostensiblement et langoureusement devant elle jusqu’à ce son sperme éclabousse le corps dénudé de la minette.
Une autre fois, alors qu’ils se baignaient nus dans un étang, il la prit dans ses bras et la planta sur sa bite. Comme elle était très petite et que l’eau diminuait notablement son poids, il put la maintenir soulevée – ses pieds ne touchant plus le fond – uniquement à l’aide de sa verge, puis il la prit par les hanches et la fit coulisser le long de son sexe en quasi-apesanteur.
Ils aimaient baiser dans les endroits les plus insolites. À l’occasion de ses fréquents voyages à Paris, elle décida au dernier moment de l’accompagner. Marie-Françoise n’avait pas de billet alors qu’il avait, comme d’habitude, réservé une couchette. Elle se glissa dans le compartiment (qui comportait six couchettes, les cinq autres étant déjà occupées) et le rejoignit sous la couverture. Bien qu’ils aient copulé (pas très discrètement…) pendant deux ou trois heures, les autres voyageurs n’ont pas protesté : même s’ils n’ont pas beaucoup dormi au cours de ce voyage mouvementé, leur libido a dû elle aussi rester en éveil…
Le lieu le plus insolite où ils ont fait des galipettes, c’était dans la devanture d’une boutique. Marie-Françoise venait de temps en temps le soir y faire un peu de ménage, et ce soir-là il l’avait accompagnée. Aux environs de 22 heures, ils se sont installés derrière la vitrine – toutes lumières éteintes, bien entendu – et il l’a prise en levrette. Parfois, des gens passaient juste devant la boutique, mais aucun n’eut l’idée de regarder ce qui s’y passait !
Il lui arrive encore de regarder une vidéo sur laquelle on la voit se branler la chatte, puis lui sucer la verge. Cet enregistrement se termine sur une scène très érotique : d’une main, il tient Marie-Françoise par sa queue de cheval afin de lui maintenir la tête inclinée en arrière ; de l’autre main, il se branle devant son visage pendant qu’elle ouvre la bouche et tire la langue pour recueillir des giclées de sperme qu’elle avale.
Auteur : Lioubov
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