— Hum, c’est délicieux. Vraiment, Lucas. Toutes mes félicitations pour ta brandade de morue.
Le compliment était sincère. Aurore est vraiment étonnée de cette performance. Elle n’a jamais mangé de plat aussi bon. Lucas est vraiment surprenant.
— Merci, c’est gentil. Mais pour être honnête, je n’ai fait que suivre les conseils de ma mère.
— Ne sois pas si modeste, mon chéri, lance Carole, la mère de Lucas.
Et voilà, Lucas a encore une fois tenu sa promesse et invité sa copine à venir dîner chez lui. Le couple est donc installé à table en compagnie des parents de Lucas. Carole est fière de voir que son fils a une petite amie aussi ravissante. Elle s’est tout de suite prise d’affection pour cette jeune fille. Franck, le père, se montre un peu plus distant. Aurore l’observe depuis le début du repas. Il n’a quasiment pas dit de mot. Il est plutôt bel homme : des traits qui peuvent paraître sévères mais qui cachent en fait une belle tendresse. Sa carrure est imposante. Aurore trouve dommage que son fils n’ait pas hérité de son physique ; elle aurait pu envisager une véritable relation avec lui dans ces conditions.
Le compliment était sincère. Aurore est vraiment étonnée de cette performance. Elle n’a jamais mangé de plat aussi bon. Lucas est vraiment surprenant.
— Merci, c’est gentil. Mais pour être honnête, je n’ai fait que suivre les conseils de ma mère.
— Ne sois pas si modeste, mon chéri, lance Carole, la mère de Lucas.
Et voilà, Lucas a encore une fois tenu sa promesse et invité sa copine à venir dîner chez lui. Le couple est donc installé à table en compagnie des parents de Lucas. Carole est fière de voir que son fils a une petite amie aussi ravissante. Elle s’est tout de suite prise d’affection pour cette jeune fille. Franck, le père, se montre un peu plus distant. Aurore l’observe depuis le début du repas. Il n’a quasiment pas dit de mot. Il est plutôt bel homme : des traits qui peuvent paraître sévères mais qui cachent en fait une belle tendresse. Sa carrure est imposante. Aurore trouve dommage que son fils n’ait pas hérité de son physique ; elle aurait pu envisager une véritable relation avec lui dans ces conditions.
— Monsieur Trivet, Lucas m’a dit que vous étiez professeur au lycée ?
— Oui, en effet, confirme-t-il ; mais j’ai démissionné il y a deux ans maintenant.
— Ah oui ? Alors vous avez peut-être eu ma grande sœur en cours : Sophie Deschefaux.
À
son nom, Franck Trivet écarquille les yeux en grand et ses muscles se
tendent. Il fait tout pour cacher sa réaction qui n’échappe cependant
pas à une Aurore assidue.
— Oui, en effet. Elle était mon élève la dernière année où j’ai enseigné.
Franck
observe discrètement la jeune fille maintenant plus attentivement. Nul
doute qu’il s’agit bien de la sœur de Sophie. Même yeux, même sourire
sûr de soi. Elle aussi l’observe ; il détourne la vue. Il est soudain
mal à l’aise. Il sent le regard de la jeune fille peser sur lui. Des
souvenirs du passé lui remontent en mémoire, souvenirs qu’il avait tenté
d’oublier.
***
Aurore et
Lucas sont maintenant dans la chambre de ce dernier, enlacés l’un à
l’autre. Lucas caresse la joue délicatement d’Aurore en la dévorant des
yeux. Elle se sent gênée par ce regard si intense, comme si elle
craignait de s’y noyer. La culpabilité l’envahit encore, mais elle
chasse ce sentiment de son cœur. D’un coup, Lucas fouille dans sa table
de nuit et en sort un petit cadeau.
— Tiens, c’est pour toi, lui tend-il.
— Oh ! fait-elle, surprise. Mais il ne fallait pas. C’est en quel honneur ?
— Juste parce que je t’aime.
— Merci, mon amour, fait-elle en l’embrassant.
Elle
ouvre le cadeau et découvre un magnifique collier. Elle est touchée par
ce geste, ce qui ravive ses remords. Encore un truc que n’aurait jamais
fait Fabien. Pour tous ces gestes attentionnés, Lucas se montre un bien
meilleur petit ami. Ce dernier aide Aurore à enfiler son nouveau bijou.
Elle le remercie d’un baiser, puis hésite un peu et finalement se lance
:
— J’ai envie de te faire un cadeau moi aussi, déclare-t-elle en s’agenouillant devant lui.
Lucas
est ravi de la voir ouvrir son pantalon et d’en extraire sa verge. Il
ne met pas longtemps à se raidir sous les agréables caresses d’Aurore.
Bientôt il atteint son ampleur maximale. Aurore n’en croit pas ses yeux :
il est quasiment aussi bien membré que Fabien. Après une seconde
d’hésitation, elle dépose plusieurs petits baisers, puis quelques coups
de langue avant de faire disparaître le gland au fond de sa bouche.
Lucas
apprécie fortement la chaleur dans laquelle il s’est glissé. Depuis le
temps qu’il attendait un tel traitement ! La fille la plus belle du
lycée est en train de le sucer. Il est aux anges, d’autant plus
qu’Aurore semble très douée et semble y trouver son plaisir. On ne lui
avait jamais prodigué un tel traitement. Ressentir un plaisir si
important dans la bouche d’une fille ne lui semblait pas possible. Il a
l’impression de sentir la langue de sa copine partout le long de sa
tige. Il sent la pression monter bien trop rapidement.
— Je vais bientôt jouir… prévient-il.
— D’accord, répond-elle. Je n’avale pas, mais si tu veux tu peux jouir sur mon visage.
— OK, répond-il, enthousiaste.
Elle
le masturbe pour le finir, ce qui ne tarde pas. De longues giclées
blanchâtres s’étalent sur le visage et les cheveux d’Aurore. Cette
dernière s’étonne de cette abondante quantité. Il avait vraiment besoin
de se vider les couilles.
— Tu ferais peut-être mieux d’aller te nettoyer dans la salle de bain, lui lance-t-il.
Aurore
prend son portable pour éclairer le couloir, comme c’est le soir. Cela
sera plus discret qu’allumer la lumière. Elle ne traîne pas et rejoint
rapidement la salle de bain en verrouillant derrière elle. Elle observe
le résultat dans le miroir : le salaud ne l’a pas loupée ; il lui en a
mis partout !
Elle prend son portable pour relire le dernier message
que lui a envoyé Fabien un peu plus tôt dans la journée : « Même mission
que la dernière fois : pipe, éjac faciale, puis photo. Sauf que le mec
doit être Lucas. Tu as jusqu’à 22h »
Aurore arbore son plus beau sourire et prend la photo. Elle joint un petit texte au MMS avant de l’envoyer. « Quel salaud ! M’obliger à faire ça… »
***
— C’est gentil de me raccompagner, Frank… Vous permettez que je vous appelle Frank ?
— Euh… oui ; comme tu veux, Aurore. Je sais qu’il n’y a pas beaucoup de bus à cette heure-ci, alors c’est normal.
En
fait, Frank Trivet n’a trouvé aucune excuse pour refuser de
raccompagner Aurore chez elle quand son fils est venu lui demander ce
service. Décliner sans raison valable aurait éveillé des soupçons. Cette
fille le met vraiment mal à l’aise. L’ombre de sa sœur plane sur elle.
Il l’observe rapidement grâce au rétroviseur de sa voiture. C’est
vraiment la copie conforme ; il aurait dû s’en apercevoir plus tôt. Sa
façon de parler, sa façon de bouger, sa façon de le fixer du regard,
tout est identique. Pourquoi son passé revient-il le hanter maintenant ?
Il croyait avoir chassé ses démons. Frank a du mal à cacher sa
nervosité.
— Quelque chose ne va pas ? demande-t-elle innocemment en posant sa main sur l’avant-bras de l’homme.
— Non, tout va très bien, se défend-il en dégageant brusquement son bras.
—
Vous êtes sûr ? Vous avez l’air tendu. C’est parce que je vous rappelle
ma sœur ? demande-t-elle en posant sa main cette fois sur la cuisse de
l’homme.
— Arrête ce petit jeu.
— Quoi ? Je ne te plais pas ? Elle te plaisait pourtant, elle !
— J’en ai fini avec tout ça.
— Vraiment ? doute-t-elle en caressant l’homme au niveau de l’entrejambe.
Malgré
lui, Frank bande. Cette fille est une véritable bombe, comme sa sœur.
Une garce si excitante... C’est la copie conforme. Il doit se montrer
fort cette fois-ci. Il doit résister à la tentation.
— Arrête ça, bon sang ! s’énerve-t-il en poussant sa main. Je suis un homme marié.
—
Cela semble pourtant ne pas t’avoir gêné la première fois. Je te jure
que je suis très discrète. Ni ta femme, ni ton fils n’en sauront jamais
rien. S’il te plaît, Frank, j’ai très envie de toi.
— Jamais !
—
Dommage, je sais que tu en as toi aussi très envie. Je l’ai senti quand
je t’ai caressé. J’ai envie de te goûter. J’ai envie de te sentir dans
mon ventre. Hum, je ferai tout ce que tu voudras. S’il te plaît, Frank…
insiste-t-elle en reposant sa main sur l’entrejambe de l’homme.
—
Cette fois, ça suffit ! s’énerve-t-il en freinant brusquement. Il te
reste deux kilomètres jusqu’à chez toi. Alors descends : tu vas les
faire à pied.
Aurore voit qu’elle a dépassé les bornes. Il semble
vraiment furieux. Elle se résigne donc à descendre du véhicule. La
voiture fait alors demi-tour et part à toute vitesse. « Merde ! Ce n’était pas loin, remarque-t-elle ; un peu plus et je l’avais. »
Et ce con qui la laisse en pleine nuit à faire deux kilomètres à
pied... Elle le maudit tandis qu’elle commence à marcher d’un pas
énervé.
Après plusieurs minutes de marche, elle entend une
voiture arriver derrière elle et lève le pouce en signe de stop. Le
véhicule s’arrête sur le côté. Quelle chance ! Éblouie par les phares,
elle ne reconnaît pas tout de suite l’automobile. Ce n’est qu’en ouvrant
la portière qu’elle retrouve Frank.
— Bon, je te raccompagne chez toi et on n’en parle plus ?
— OK.
Elle
monte dans le véhicule sans un mot et sans le regarder. Elle se demande
si c’est par remords qu’il est venu la rechercher – laisser une jeune
fille seule la nuit pourrait être dangereux – ou alors si c’est parce
qu’il a changé d’avis. Elle attend un peu et retente une attaque. Sa
main se pose sur l’entrejambe. Il bande fermement. C’est gagné ! Elle le
caresse. Il ne dit rien. Elle extrait sa bite de son pantalon. Frank
préfère se garer à l’abri des regards. Encore une fois il s’est montré
trop faible. Il se maudit, mais sait qu’il va adorer le moment qui va
suivre. Il a honte de son comportement ! Cela n’a pourtant plus
d’importance, tout du moins pour les prochaines minutes qui vont suivre.
Aurore
admire ce nouveau sexe chaud dans sa main. Il a environ les mêmes
proportions que celui de son fils. Elle se penche et l’embouche
voracement, dégustant ainsi son deuxième sexe de la soirée. D’abord le
fils, puis le père. Elle sent cependant qu’elle va avoir bien plus de
plaisir à sucer celui-ci. Et voilà qu’elle le pompe goulûment. Frank
apprécie. Elle lèche le moindre recoin de chair et le dévore avec
gourmandise.
Frank sait très bien qu’il commet une énorme
erreur, mais il est incapable de résister à la tentation, surtout quand
elle se présente avec un visage si jeune et si excitant, et qu’elle vous
gobe la bite avec plaisir. Il s’était promis que plus jamais il ne se
laisserait aller ainsi, mais tout a volé en éclats à cause de ses yeux
voraces de harpie. Il est si faible, et Dieu que c’est bon ! Sentir ces
lèvres gourmandes coulisser le long de son membre mérite bien les
risques qu’il prend. Il sent la jouissance arriver à grand pas. Aurore
le devine et se retire, laissant Frank éjaculer dans le vide et souiller
son pantalon. Elle est fière de son travail.
C’est sans dire un
mot qu’il la raccompagne finalement chez elle. Avant de descendre de la
voiture, elle lui roule une dernière pelle.
***
Aujourd’hui,
Aurore s’est rendue chez Fabien comme le lui avait ordonné ce dernier.
Cette fois encore, elle a menti à ses parents en leur disant qu’elle
allait chez son amie Mylène. Heureusement que cette dernière la couvre.
Et heureusement que ses parents sont crédules. Elle joue si bien la
fille sage qu’ils ne peuvent imaginer toutes les perversités auxquelles
elle se soumet.
Ils ont baisé tout l’après-midi avec Fabien.
Elle est toujours étonnée de son endurance. Il n’est jamais rassasié
d’elle, ce qu’elle trouve très flatteur. Ils sont maintenant tous les
deux allongés nus dans son lit. Elle se sent bien et se blottit contre
lui.
— Tu m’as pris pour ton copain ou quoi ? la repousse-t-il.
On baise, et rien d’autre, n’oublie pas. Les câlins, t’as qu’à en
réclamer à ton minable.
Elle est surprise par sa réaction. Par le
passé, il aurait au moins accepté un câlin. Finalement, elle n’est plus
qu’un objet pour lui. Elle se sent sale, alors elle se retourne et
boude. Elle avait envie de tendresse après tous ces exercices physiques.
— Allez, pardonne-moi, s’excuse-t-il en lui caressant le dos. Ne fais pas la tête.
— Je ne fais pas la tête, ment-elle en frissonnant sous les caresses de son ex.
— N’oublie pas que je te connais par cœur. Au fait, tu ne m’as toujours pas dit pourquoi tu jouais la comédie avec Lucas.
— Ça ne te regarde pas !
— Allez, dis-le-moi, insiste-t-il en déposant des petits baisers dans le cou.
— Non… hésite-t-elle.
— Allez !
Il
continue de l’embrasser dans le cou et de lui caresser le dos. Une de
ses mains descend sur les fesses d’Aurore et les palpe. Ses doigts
s’engouffrent dans sa chatte qui est déjà bien humide. Elle aussi ne
semble jamais rassasiée de lui. Il insiste encore pour connaître les
motivations d’Aurore. C’est bien la première fois en plusieurs jours
qu’il la sent prête à se confier ; alors il ne lâche pas l’affaire.
— Allez, dis-moi.
— C’est à cause de son père, laisse-t-elle échapper.
— Quoi, son père ? Il te plaît, et tu veux te le taper ?
— Non, ce n’est pas ça… Il était prof au lycée quand ma sœur y était.
— Ouais, et alors ?
— Tu n’as pas besoin de savoir ! s’énerve-t-elle. Ça ne te regarde pas.
— Bah, allez, joue pas la pénible. Dis-moi.
— N’insiste-pas. Et puis ma sœur ne veut pas que j’en parle.
— Laisse-moi deviner. Il s’est passé un truc entre ta sœur et monsieur Trivet, mais tu ne me diras pas quoi ?
— Oui, grimace-t-elle.
— Quoi ? Elle l’a sucé pour des bonnes notes ? plaisante-t-il.
— Non. C’est juste… qu’il doit payer.
— Elle s’est prostituée ? continue-t-il.
— Mais arrête ! Il ne s’agit pas d’argent.
— Donc c’est une histoire de vengeance. Et c’est pour ça que tu te coltines Lucas ?
—
Oui, je suis sortie avec lui pour me rapprocher de son père,
admet-elle, et je vais faire payer monsieur Trivet pour ce qu’il a fait à
ma sœur.
— Comment comptes-tu procéder ?
— Je vais tout
simplement briser sa famille. Je compte coucher avec lui et m’arranger
pour que sa femme le surprenne. Elle n’aura pas d’autre choix que celui
de divorcer. Et Lucas aussi le détestera.
— Eh ben, quel programme !
Tu es vraiment diabolique, plaisante-t-il en lui claquant les fesses.
Bon courage, ma petite salope adorée.
— Merci.
— Maintenant, si
on passait à des choses un peu plus sérieuses ? propose-t-il en plaquant
sa bite de nouveau raide le long du cul d’Aurore.
— Quoi ? T’en as encore envie ?
— Toujours !
Elle veut se retourner pour lui faire face, mais il l’en empêche.
— Attends, ne bouge pas et laisse-toi faire, lui ordonne-t-il.
Elle
obéit, ne sachant pas trop où il veut en venir. Il lui palpe pour
l’instant les fesses, et de temps en temps deux doigts effleurent sa
vulve pour y récolter un peu de cyprine. Après plusieurs minutes à se
faire malaxer sans ménagement le postérieur, Aurore a la surprise de
sentir un doigt humide se présenter à l’orée de son œillet. Elle se
contracte instinctivement.
— Laisse-toi faire, je t’ai dit, la rappelle-t-il à l’ordre. Détends-toi.
Il
pousse avec son doigt et s’engouffre à l’intérieur. Aurore ne peut
s’empêcher de grimacer. Elle hésite à le laisser continuer. Le doigt à
l’intérieur d’elle commence à s’agiter et à faire des mouvements de
va-et-vient malgré l’étroitesse.
— Attends, arrête ! proteste Aurore. Tu sais que je n’aime pas par là.
— Et pourtant tu vas me laisser faire, à moins que tu veuilles que je fasse échouer ton joli petit plan.
Merde
! Il la tenait encore cette fois-ci. Elle n’avait pas d’autre choix que
de lui donner ce qu’il voulait. Elle n’avait pas prévu cette
conséquence quand elle s’était placée volontairement sous sa coupe.
Alors elle essaie de se détendre afin de lui faciliter la tâche. Elle
sait très bien que plus elle sera tendue, plus elle risque d’avoir mal.
Un
second doigt rejoint bientôt le premier et continue d’élargir le trou
et de détendre les chairs. Fabien ordonne à Aurore de s’installer sur le
ventre avant de présenter un troisième doigt à son cul. Après quelques
va-et-vient, il sent qu’il est maintenant temps de la pénétrer avec un
plus gros calibre. Il pose son gland sur l’œillet, et d’un coup de reins
s’engouffre dans le cul d’Aurore qui en a le souffle coupé. Il attend
que le cul s’habitue à ce nouveau volume avant de bouger lentement en
elle. Aurore se sent rassurée de le voir y aller doucement. Elle avait
peur qu’il la prenne violemment. Elle commence donc à se décrisper, ce
qui a pour conséquence de faciliter l’introduction de Fabien.
La
sodomie peut maintenant commencer. Fabien a rentré sa bite toute entière
dans le divin cul d’Aurore et commence à le lui limer. Aurore a mal,
mais la douleur est plus tolérable qu’elle l’imaginait. Voyant que tout
se passe bien, Fabien en profite pour augmenter l’ampleur de ses coups
de boutoir, ce qui fait couiner Aurore.
Après plusieurs minutes
de ce petit jeu, il se laisse aller et se déchaîne dans ce petit cul
offert. Il lui défonce maintenant le cul. Aurore crie et gémit. Il ne
parvient pas à savoir si c’est de douleur ou de plaisir. À vrai dire,
cela fait déjà longtemps qu’il ne se préoccupe plus du plaisir de sa
partenaire. L’ayant larguée plusieurs semaines auparavant, il considère
qu’il ne le lui doit plus. Il se fait plaisir avec le cul de son ex, et
tout ça sous l’objectif de sa toute nouvelle caméra qu’il s’est offerte
pour son anniversaire.
Fabien est aux anges ; depuis le temps
qu’il voulait l’enculer... Avec un cul comme le sien, il en rêvait même
avant de sortir avec elle. Mais elle s’était toujours refusée à la
chose. Aujourd’hui, ce jour est enfin arrivé, et il ne se prive pas d’en
profiter. L’étroitesse du cul d’Aurore lui enserre fortement la bite,
ce qui décuple ses sensations. Mais le plaisir n’est pas que physique ;
il est psychique aussi. Il se sent mâle dominant, prenant possession de
sa femelle. Elle lui est complètement offerte, soumise. Finalement, la
baise n’aura jamais été mieux avec elle que depuis qu’ils sont séparés.
C’est depuis ce moment qu’elle s’est offerte totalement à lui. Il
n’éprouve aucune honte à en profiter sans limite.
Il s’enfonce
maintenant bien à fond sur un rythme effréné. Il sait qu’il va bientôt
atteindre le point de non-retour. Il puise dans ses dernières réserves
d’énergie pour arracher à Aurore ses derniers cris. Et finalement il
jouit au plus profond d’elle dans un râle de plaisir.
Auteur : Nathan Kari
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De bien jolies nouvelles. Merci pour ces très beaux textes.
RépondreSupprimerMais de rien :)
SupprimerBonjour, merci de votre commentaire.
SupprimerSi nous proposons de beaux textes, vous proposez de belles images.
Nous autoriseriez-vous à piocher une ou deux image de votre livre http://www.blurb.com/ebooks/550025-fine-art-nudes en échange d'un lien accompagnant notre publication.
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