jeudi 22 octobre 2015

Un père admirable (16)

Relisez le chapitre 15

[Adam, seul au salon]

Allongé confortablement sur le canapé, je ne voyais plus le film qui passait sur l’écran plat. Les images érotiques du corps offert de ma fille défilaient devant mes yeux. Mon sexe en érection me poussait à me demander ce qui m’avait pris de lui dire que je ne souhaitais plus lui faire l’amour. Nos corps et notre plaisir s’accordaient à merveille. La seule ombre à mon bonheur, c’est qu’elle est ma fille. Cela ne pouvait-il donc pas n’être qu’un simple petit détail insignifiant ? Telle était la question que je me posais lorsque mon téléphone a sonné.

Sa mère ; que pouvait-elle bien me vouloir ? Je décrochai. Rien que d’entendre sa voix, j’en étais malade. Je comptais bien écourter la conversation.

Jessica, ma fille, fit son apparition à ce moment-là avec sa boîte de Monopoly dans les mains. Sa mini-jupe virevoltant autour de ses jolies cuisses passa lentement au-dessus de mon visage. Je me cambrai en arrière pour regarder dessous en soulevant le tissu. Son ravissant petit derrière éblouit mes yeux. Elle se retourna, surprise. Je lui lançai un sourire enjôleur et un clin d’œil. Elle me sourit et déposa son jeu sur la table basse.

Mon ex-femme me parlait de sa merveilleuse vie de famille recomposée. Elle était enceinte jusqu’aux yeux et son bonheur me mettait mal à l’aise. Il me rappelait amèrement ce que j’avais perdu. Mais le joli brin de femme qui me souriait me rappela la chance que j’ai de l’avoir près de moi et combien je tiens à elle. J’avais attendu ce bonheur toute ma vie, un peu comme un prince endormi réveillé par une déesse. Nous nous éveillions ensemble à l’érotisme, à la sensualité et au plaisir. Cela faisait tellement longtemps que je n’avais pas autant fait l’amour avec autant de douceur et de passion… Je me sentais rajeunir, revivre.

J’admirai son joli corps que je désirais tant. Ma fille installait silencieusement son jeu, sans me regarder. Je me servis de mon pied pour soulever sa jupe. Son coquillage entrouvert laissait apercevoir son clito et ses lèvres toutes roses. Nos regards se croisèrent et je léchai mes lèvres avec gourmandise. Les siennes s’étirèrent en un sourire enjôleur. Je lui caressai un sein par-dessus le tissu soyeux de son chemisier gris argent. Elle se tendit vers moi, les yeux brillants. Son téton se dressa sous mes orteils. Je tirai la langue et la remuai doucement comme si je le léchais. Jessica me répondit par un joli haussement de sourcil appréciateur. Je désignai le bouton de son chemisier avec mes orteils pour lui demander de le défaire. Ma fille s’exécuta et agrandit l’échancrure de son vêtement. Ses seins se libérèrent, me permettant de les caresser lentement. Elle me regardait faire, puis elle les prit en coupe et les présenta à mon pied en les massant. J’appréciai la caresse de ses tétons dressés. Je fis de lents va-et-vient entre ses seins tendus. La blondinette se lécha les lèvres et accompagna mes mouvements. Je me mordis les doigts en la regardant faire.

— …cadeau ? demanda sa mère.

Ma fille se leva pour se rapprocher de moi en détachant un bouton et amena ses seins à portée de mon visage. Je posai un doigt sur mes lèvres pour lui faire comprendre qu’on ne pouvait pas se permettre d’éveiller les soupçons.

— Oui, répondis-je banalement.

Je léchais et suçais doucement ses tétons dressés.

— Quoi, oui ? Je t’ai demandé ce que tu offrais à Jess pour son anniversaire.

Le trouble que me provoquaient les charmes de ma fille me fit sourire.

— Je ne sais pas encore. Je lui ai demandé ce qui lui ferait plaisir, mais elle n’a pas su me répondre.

J’étais hypnotisé par cette magnifique paire de seins que ma belle caressait au-dessus de mes yeux.

— Jess, ta mère demande ce que tu souhaites pour ton anniversaire.

L’intéressée ôta ses tétons de mes lèvres et caressa mon sexe en érection par-dessus mon jean. Ses yeux brûlants de désir et son sourire enjôleur me firent clairement comprendre ce qu’elle voulait que je le lui offre. Je ne pouvais pas fournir cette réponse à sa mère.

— Elle réfléchit.

Seulement, la blondinette embrassa mon sexe sur toute sa longueur. J’espérais qu’elle réfléchissait en même temps. Ses yeux ne quittaient pas les miens tandis que sa langue léchait mon jean. La situation était gênante et très excitante ; je me mordis la lèvre pour étouffer mes soupirs.

— Elle n’a pas d’idée, répondis-je à sa place en me forçant à garder une voix naturelle.
— C’est embêtant. J’ai prévu de faire une grande fête avec des amis pour elle et pour fêter la naissance de sa sœur.
— Jess est avec moi cette année le jour de son anniversaire, lui rappelai-je.

Ma fille commençait à déboutonner ma chemisette en embrassant mon ventre. Sa langue brûlante sur ma peau m’enflammait. Je la regardais faire en caressant ses cheveux.

— Oui, je sais bien, mais cela ne m’empêche pas de le fêter aussi, déclara mon ex-femme.

La blondinette terminait d’ouvrir ma chemise en m’embrassant dans le cou. Mon corps frissonnait de désir. Elle serait sûrement fière d’apprendre qu’elle faisait mieux l’amour que sa mère... Cette dernière ne m’avait jamais caressé de cette manière ni ne m’avait donné autant de plaisir.

— Ça t’ennuierait qu’on échange nos prochains week-ends de garde ? demanda-t-elle.
— Pourquoi ?
— Parce que pour celui-ci, Jess va te voir à ton tournoi et que tu avais prévu de me l’amener samedi soir, ce qui le raccourcit. Et comme le suivant, c’est le premier des vacances scolaires et qu’elle passera la semaine avec moi, alors autant les inverser pour éviter des trajets en voiture pour rien.
— Attends, je ne comprends rien… T’es déjà en vacances ? demandai-je à ma fille.
Celle-ci releva la tête de mon téton durci qu’elle léchait pour répondre :
— Dans deux semaines.

J’avais intérêt à poser mes jours de congés rapidement si je voulais profiter de sa présence.

— Donc, tu veux que je garde Jess avec moi ce week-end aussi ? demandai-je.

Celle-ci releva la tête et laissa exploser silencieusement sa joie en dansant. J’admirai le balancement excitant de ses seins.

— C’est ça, et elle passera le suivant et sa première semaine de vacances avec moi.
— Attends ! Ça fait combien de jours ?! m’exclamai-je d’une voix blanche.

La belle s’arrêta aussitôt.

— Sept.

Ses mains vinrent caresser doucement mon torse.

— Sept jours sans voir Jess… grimaçai-je.

L’idée de cette future séparation me semblait déjà une souffrance insurmontable. L’expression que je lisais sur le visage de ma princesse reflétait le même sentiment.

— C’est ce qu’on fait à chaque vacance, et tu l’as toujours bien vécu.

« Oui ; mais ça, c’était avant… » pensai-je. Ma fille joint de tendres baisers à ses caresses. Je la regardais faire en caressant ses cheveux.

— Vous passerez autant de temps ensemble la deuxième semaine, me rassura-t-elle. Mais si tu le prends comme ça, tu auras intérêt de t’accrocher en juillet.
— Ah bon, pourquoi ? m’inquiétai-je.

Ma peau frissonnait sous ses lèvres et sa langue qui dessinaient le contour de mes muscles.

— Parce qu’elle le passera avec moi, m’annonça-t-elle. Tu n’as quand même pas oublié que pendant les vacances d’été, elle passe le mois de juillet avec moi et le mois d’août avec toi ?
— Non, murmurai-je, en état de choc.

Je me souvins en effet que ce premier mois de vacances était un vrai supplice pour moi. Je n’osais même pas imaginer ce qu’il en serait dorénavant. Je serrai ma fille fortement contre moi. Je ne voulais pas qu’on nous sépare. Comme je la maintenais plaquée fermement contre mon torse, elle resta immobile quelques instants en effleurant ma peau du bout des doigts, puis elle s’allongea sur moi en m’embrassant sensuellement dans le cou. Je laissais ses douces lèvres m’enivrer de plaisir.

Je raccrochai quelques minutes plus tard et fis un résumé de la conversation à ma fille. Nous restâmes dans les bras l’un de l’autre en méditant sur notre future séparation. Je caressais ses cheveux en respirant son odeur de femme. J’appréciais la chaleur et la douceur de son corps contre le mien.

— On le fait, ce jeu ? demanda-t-elle subitement. On est ensemble pendant deux semaines : autant en profiter.

Son enthousiasme me fit sourire.

— Tout à fait d’accord.

Nous nous assîmes sur le sol et débutâmes la partie de Monopoly.

— J’ai beaucoup aimé ton câlin tout à l’heure, dis-je en regardant ses lèvres que j’avais envie d’embrasser. Oh ! Je suis chez toi ; combien je te dois ?
— Tu embrasses mes seins, dit-elle en me lançant un regard espiègle, la poitrine offerte.
Je fus surpris par son invitation très tentante.
— Sois sérieuse, souris-je.
— Hmm hmm… Je veux pas de ton argent. Embrasse mes seins, dit-elle en portant ses tétons à mes lèvres.

Je plongeai mes yeux dans les siens en léchant ses petits bouts tout durs. Pris par ce jeu excitant, j’embrassai doucement ses jolies pommes bien fermes que ma fille tenait en coupe. Je glissai ma langue entre elles en léchant doucement sa tendre vallée. Je me régalais du plaisir qui inondait ses yeux et des soupirs qui s’échappaient de ses lèvres entrouvertes.

— C’est bien mieux que tes papiers ridicules, dit-elle, espiègle.
— C’est certain… souris-je. Et si tu tombes chez moi, tu me payes comment ?

Ma fille réajusta son chemisier en réfléchissant, un sourire sur les lèvres.

— Je te ferai un massage. Si c’est un terrain avec maison, je t’embrasserai le torse. S’il y en a quatre, je te masturberai et si c’est sur un hôtel, alors je caresserai ton sexe avec mes seins.
— J’en ai de la chance, dis-je d’une voix suave, mais les prix ne sont pas les mêmes sur tout le plateau.
— Eh bien, si je tombe sur la « Rue de la Paix », alors tu pourrais m’apprendre à te sucer…
— Tant que ça ? Non, certainement pas, grimaçai-je.

La déception se peignit sur son visage.

— Mais je veux bien que tu embrasses mon gland en me caressant, chuchotai-je à son oreille.

J’avais le cœur battant parce que j’en avais très envie, mais cela me gênait de lui demander une chose pareille. Ma fille me lança le plus merveilleux des regards et m’embrassa tendrement.

— Puisque tu as changé toutes les règles, alors je dois m’adapter aussi. Si tu as des maisons, je caresse ta minette ; et un hôtel, je la lèche. Si c’est « Rue de la Paix », je pourrai te caresser avec mon sexe.

Le désir enflamma son regard.

— On a oublié la banque, constatai-je. Est-ce que je distribue toujours 200 € en passant la case départ ?
— Je veux bien m’occuper du banquier, dit-elle d’une voix suave en caressant mon sexe par-dessus mon pantalon.
— Oh… de quelle façon ? demandai-je, excité.
— Je pourrais me caresser dessus, proposa-t-elle. Mais si je tombe sur l’impôt sur le revenu…
— Tu refais pareil ; seulement, je te caresse les seins en même temps, proposai-je.
— Humm… Mais ça me fait payer plus cher, remarqua-t-elle.
— C’est pour les intérêts, souris-je.

Les règles ainsi établies, nous reprîmes la partie. Le premier tour de jeu était érotique, variant entre les baisers sensuels sur ses seins et ses massages. Son premier dans mon dos et ma nuque était doux et agréable. Celui-ci me permit de caresser sensuellement ses cuisses. Toutefois, pour les suivants, je lui demandai de masser plutôt mon torse. J’en profitais ainsi pour caresser ses seins par-dessus son chemisier et ses cuisses, tandis que ma fille ondulait doucement du bassin sur mon érection.

— J’aimerais que tu ouvres ton chemisier pour que je puisse admirer tes seins durant toute la partie, demandai-je.

Ses yeux brillants plantés dans les miens, elle entreprit de le déboutonner très lentement en se déhanchant sensuellement et en caressant son torse sur le tissu soyeux. Puis elle se mit à jouer avec les pans, dénudant une épaule après l’autre sans dévoiler sa poitrine. Ma fille prit ensuite ses pommes en coupe pour les caresser avec le vêtement ouvert qui laissait apparaître la peau douce et tendre de son ventre. Son regard et son sourire m’envoûtaient. Elle était tellement sensuelle et excitante... J’avais envie de lui arracher son chemisier et de la dévorer.

— Tu sais qu’à trop jouer avec les allumettes on peut se brûler ? demandai-je en léchant la salive qui perlait au coin de mes lèvres.
— Pourquoi ? Je t’ai mis le feu ? s’enquit-elle d’une voix suave.

Elle se déhanchait plus encore en remuant lentement les pans de son chemisier. Ses mouvements dévoilaient ses magnifiques seins qui se balançaient doucement. Ses cheveux blonds flottaient autour de ses épaules dénudées. Elle me lançait parfois des regards langoureux en se léchant les lèvres. Ma fille était gracieuse, belle et sensuelle à damner un saint. Quant à moi, je méritais de brûler en enfer pour la désirer si fort en cet instant magique.
Je l’attirai à moi, la blottissant dans mes bras. Mon cœur cognait fort dans ma poitrine et mon érection menaçait d’exploser mon jean. Je l’embrassai passionnément en caressant ses seins.

— C’est très dangereux ce que tu fais, murmurai-je entre deux baisers.

Je repris doucement le contrôle de ma respiration, des battements de mon cœur et de mes émotions. Nous pûmes continuer la partie.
J’étais ravi de pouvoir contempler sa magnifique poitrine. Je profitai d’un lancement de dés pour caresser ses tétons durcis, les faisant rouler entre mes doigts. La blondinette soupira de plaisir.

— Chance ! m’exclamai-je en tirant une carte. Votre fille doit vous embrasser tendrement.

Jessica me lança un regard surpris.

— Si tu n’es pas d’accord, tu vas tout droit en prison sans passer par la case départ, plaisantai-je.

Elle rit et vint me chevaucher. Je sentis sa minette brûlante frotter sur la bosse qui gonflait mon pantalon. Sa langue lécha doucement mes lèvres avant de s’insérer dans ma bouche pour caresser la mienne. Je la serrai contre moi, appréciant la douceur et la fermeté de ses seins contre ma poitrine.

Ma fille commença à aller et venir lentement sur mon érection tout en m’embrassant. C’était agréable et délicieux. J’effleurai ses seins, puis les caressai doucement à pleines mains. Elle gémissait entre mes lèvres. Ses mouvements de reins s’intensifièrent, aiguisant mon désir. Je passai mes mains sous sa jupe pour lui caresser les fesses. J’insérai délicatement un doigt dans son vagin serré et trempé qui l’aspira profondément en elle. Nous gémîmes d’envie. J’y fis quelques va-et-vient imposés par le rythme de ses hanches.

Je retirai mon doigt inondé de liqueur pour en caresser sa délicieuse raie. Ma fille cambra ses fesses en arrière lorsque j’ai effleuré son anus. Il se dilatait doucement sous mes caresses furtives. Excitée, elle accéléra ses mouvements de bassin en gémissant. J’insérai de nouveau mon doigt dans son vagin qui était maintenant dilaté et coulait à flots. J’y glissai un deuxième et commençai une douce pénétration. Les mouvements de ma fille, plus rapides, lui intimaient une cadence plus intense sur mes doigts. Ses lèvres se séparèrent des miennes pour laisser libre cours à ses cris de plaisir. Son front appuyé contre le mien, je me noyais dans l’ivresse de son regard brûlant.

Je retirai mes doigts de son intimité pour caresser furtivement son petit trou. Celui-ci était ouvert et accueillant. Il me donnait envie de l’explorer délicatement. Je réinsérai profondément mes doigts dans son intimité avant de revenir caresser furtivement son anneau et je recommençai encore, encore… et encore.

Ma fille hurlait de plaisir en serrant mon visage contre le sien. Son bassin se mouvait à une cadence effrénée sur mon érection. Je me sentais venir d’un instant à l’autre dans mon jean. Soudain, Jessica se raidit ; ses doigts agrippèrent fermement mes cheveux tandis que son regard plongeait au fond du mien. Son corps vibrait dangereusement ; ses cris menaçaient de percer mes tympans. Mes doigts pénétraient en elle intensément et profondément. Son vagin se contractait et sa liqueur inondait ma main. Elle se souleva en appuyant mon visage contre ses seins. J’en profitai pour prendre un de ses tétons dressés en bouche et le sucer doucement.

— Ça ne devait être qu’un baiser, souris-je lorsqu’elle fut calmée.

Ma fille m’embrassa tendrement. Je la blottis dans mes bras en soupirant longuement. J’étais tellement heureux de lui donner tant de plaisir…

Nous reprîmes la partie ; nos règles érotiques intensifiaient mon désir. Lorsque ma fille passa par la case départ, je libérai mon sexe de sa prison sous ses yeux ravis. Le banquier en érection accueillit avec bonheur les caresses de sa minette toute trempée. Installée dans la même position que précédemment, j’attrapai ses fesses à pleines mains et leurs donnai une cadence de va-et-vient acharnée. Sa minette et son petit trou dilatés glissaient merveilleusement bien sur ma verge tendue, m’excitant formidablement. Nous gémissions tous les deux en nous embrassant fougueusement.

— Je suis désolé, ma chérie… J’ai trop envie, gémis-je.

Notre échange était plus passionné que sensuel. Un désir brûlant nous enflammait.

— Oh, Papa… pénètre-moi ! ordonna-t-elle.

Son ordre me porta le coup de grâce. Je serrai ses fesses autour de mon sexe en criant ma victoire. Mon sperme gicla dans sa raie, arrosant ses orifices. Ma fille me serrait dans ses bras en m’embrassant dans le cou. Je me sentais aimé et adoré. Mon corps tremblait vivement contre le sien. Je la blottis dans mes bras en l’embrassant tendrement tandis que l’extase me quittait et que je reprenais le contrôle de mes émotions.
Comme il se faisait tard, je rangeai le jeu pendant que Jess se douchait.

— Où vas-tu ? demandai-je en la croisant sur le palier.

Ma fille, enroulée dans un drap de bain, avait la peau encore humide.

— Dans ma chambre, sourit-elle.
— Oh… fis-je en lui ôtant sa serviette.

Elle me laissa faire en frissonnant.

— Je sais que je n’ai pas été très doux, tout à l’heure ; mais cela me ferait vraiment plaisir que tu passes la nuit avec moi.

Ses yeux se mirent à briller de joie et d’amour. Son regard était si intense que mon cœur se mit à cogner très fort dans ma poitrine.

— Je veux bien, dit-elle en m’embrassant tendrement.

Je fus tout ému de la sentir nue contre moi. Je respirais son odeur fleurie en la serrant délicatement dans mes bras. Puis je la guidai silencieusement jusqu’à mon lit. Je lui ouvris les draps ; ma fille s’y glissa pendant que je regardais son corps nu. Une très forte émotion brillait dans ses yeux lorsqu’elle les leva vers moi.

— Je vais me doucher et j’arrive, murmurai-je avant de l’embrasser doucement.

Je sortis de ma salle de bain, nu et la peau encore humide. Ma fille avait adopté une position détendue dans mon lit. Elle me souriait sans quitter mon corps des yeux. Je m’allongeai à ses côtés ; elle vint aussitôt se blottir dans mes bras.

Auteure : Feeling

Lisez la suite

1 commentaire:

  1. Très belle histoire, pleine d'érotisme très très chaud. C'est vraiment terrible d'attendre la su!te. Va-t'elle se faire dépuceler par son père. Va-t'ilo accepter de succomber enfin???????que de suspens

    RépondreSupprimer