Relisez le chapitre 15
[Adam, seul au salon]
Allongé confortablement sur le canapé, je ne voyais plus le film qui passait sur l’écran plat. Les images érotiques du corps offert de ma fille défilaient devant mes yeux. Mon sexe en érection me poussait à me demander ce qui m’avait pris de lui dire que je ne souhaitais plus lui faire l’amour. Nos corps et notre plaisir s’accordaient à merveille. La seule ombre à mon bonheur, c’est qu’elle est ma fille. Cela ne pouvait-il donc pas n’être qu’un simple petit détail insignifiant ? Telle était la question que je me posais lorsque mon téléphone a sonné.
Sa mère ; que pouvait-elle bien me vouloir ? Je décrochai. Rien que d’entendre sa voix, j’en étais malade. Je comptais bien écourter la conversation.
Allongé confortablement sur le canapé, je ne voyais plus le film qui passait sur l’écran plat. Les images érotiques du corps offert de ma fille défilaient devant mes yeux. Mon sexe en érection me poussait à me demander ce qui m’avait pris de lui dire que je ne souhaitais plus lui faire l’amour. Nos corps et notre plaisir s’accordaient à merveille. La seule ombre à mon bonheur, c’est qu’elle est ma fille. Cela ne pouvait-il donc pas n’être qu’un simple petit détail insignifiant ? Telle était la question que je me posais lorsque mon téléphone a sonné.
Sa mère ; que pouvait-elle bien me vouloir ? Je décrochai. Rien que d’entendre sa voix, j’en étais malade. Je comptais bien écourter la conversation.
Jessica, ma fille,
fit son apparition à ce moment-là avec sa boîte de Monopoly dans les
mains. Sa mini-jupe virevoltant autour de ses jolies cuisses passa
lentement au-dessus de mon visage. Je me cambrai en arrière pour
regarder dessous en soulevant le tissu. Son ravissant petit derrière
éblouit mes yeux. Elle se retourna, surprise. Je lui lançai un sourire
enjôleur et un clin d’œil. Elle me sourit et déposa son jeu sur la table
basse.
Mon ex-femme me parlait de sa merveilleuse vie de famille
recomposée. Elle était enceinte jusqu’aux yeux et son bonheur me
mettait mal à l’aise. Il me rappelait amèrement ce que j’avais perdu.
Mais le joli brin de femme qui me souriait me rappela la chance que j’ai
de l’avoir près de moi et combien je tiens à elle. J’avais attendu ce
bonheur toute ma vie, un peu comme un prince endormi réveillé par une
déesse. Nous nous éveillions ensemble à l’érotisme, à la sensualité et
au plaisir. Cela faisait tellement longtemps que je n’avais pas autant
fait l’amour avec autant de douceur et de passion… Je me sentais
rajeunir, revivre.
J’admirai son joli corps que je désirais tant.
Ma fille installait silencieusement son jeu, sans me regarder. Je me
servis de mon pied pour soulever sa jupe. Son coquillage entrouvert
laissait apercevoir son clito et ses lèvres toutes roses. Nos regards se
croisèrent et je léchai mes lèvres avec gourmandise. Les siennes
s’étirèrent en un sourire enjôleur. Je lui caressai un sein par-dessus
le tissu soyeux de son chemisier gris argent. Elle se tendit vers moi,
les yeux brillants. Son téton se dressa sous mes orteils. Je tirai la
langue et la remuai doucement comme si je le léchais. Jessica me
répondit par un joli haussement de sourcil appréciateur. Je désignai le
bouton de son chemisier avec mes orteils pour lui demander de le
défaire. Ma fille s’exécuta et agrandit l’échancrure de son vêtement.
Ses seins se libérèrent, me permettant de les caresser lentement. Elle
me regardait faire, puis elle les prit en coupe et les présenta à mon
pied en les massant. J’appréciai la caresse de ses tétons dressés. Je
fis de lents va-et-vient entre ses seins tendus. La blondinette se lécha
les lèvres et accompagna mes mouvements. Je me mordis les doigts en la
regardant faire.
— …cadeau ? demanda sa mère.
Ma fille se
leva pour se rapprocher de moi en détachant un bouton et amena ses seins
à portée de mon visage. Je posai un doigt sur mes lèvres pour lui faire
comprendre qu’on ne pouvait pas se permettre d’éveiller les soupçons.
— Oui, répondis-je banalement.
Je léchais et suçais doucement ses tétons dressés.
— Quoi, oui ? Je t’ai demandé ce que tu offrais à Jess pour son anniversaire.
Le trouble que me provoquaient les charmes de ma fille me fit sourire.
— Je ne sais pas encore. Je lui ai demandé ce qui lui ferait plaisir, mais elle n’a pas su me répondre.
J’étais hypnotisé par cette magnifique paire de seins que ma belle caressait au-dessus de mes yeux.
— Jess, ta mère demande ce que tu souhaites pour ton anniversaire.
L’intéressée
ôta ses tétons de mes lèvres et caressa mon sexe en érection par-dessus
mon jean. Ses yeux brûlants de désir et son sourire enjôleur me firent
clairement comprendre ce qu’elle voulait que je le lui offre. Je ne
pouvais pas fournir cette réponse à sa mère.
— Elle réfléchit.
Seulement,
la blondinette embrassa mon sexe sur toute sa longueur. J’espérais
qu’elle réfléchissait en même temps. Ses yeux ne quittaient pas les
miens tandis que sa langue léchait mon jean. La situation était gênante
et très excitante ; je me mordis la lèvre pour étouffer mes soupirs.
— Elle n’a pas d’idée, répondis-je à sa place en me forçant à garder une voix naturelle.
— C’est embêtant. J’ai prévu de faire une grande fête avec des amis pour elle et pour fêter la naissance de sa sœur.
— Jess est avec moi cette année le jour de son anniversaire, lui rappelai-je.
Ma
fille commençait à déboutonner ma chemisette en embrassant mon ventre.
Sa langue brûlante sur ma peau m’enflammait. Je la regardais faire en
caressant ses cheveux.
— Oui, je sais bien, mais cela ne m’empêche pas de le fêter aussi, déclara mon ex-femme.
La
blondinette terminait d’ouvrir ma chemise en m’embrassant dans le cou.
Mon corps frissonnait de désir. Elle serait sûrement fière d’apprendre
qu’elle faisait mieux l’amour que sa mère... Cette dernière ne m’avait
jamais caressé de cette manière ni ne m’avait donné autant de plaisir.
— Ça t’ennuierait qu’on échange nos prochains week-ends de garde ? demanda-t-elle.
— Pourquoi ?
—
Parce que pour celui-ci, Jess va te voir à ton tournoi et que tu avais
prévu de me l’amener samedi soir, ce qui le raccourcit. Et comme le
suivant, c’est le premier des vacances scolaires et qu’elle passera la
semaine avec moi, alors autant les inverser pour éviter des trajets en
voiture pour rien.
— Attends, je ne comprends rien… T’es déjà en vacances ? demandai-je à ma fille.
Celle-ci releva la tête de mon téton durci qu’elle léchait pour répondre :
— Dans deux semaines.
J’avais intérêt à poser mes jours de congés rapidement si je voulais profiter de sa présence.
— Donc, tu veux que je garde Jess avec moi ce week-end aussi ? demandai-je.
Celle-ci releva la tête et laissa exploser silencieusement sa joie en dansant. J’admirai le balancement excitant de ses seins.
— C’est ça, et elle passera le suivant et sa première semaine de vacances avec moi.
— Attends ! Ça fait combien de jours ?! m’exclamai-je d’une voix blanche.
La belle s’arrêta aussitôt.
— Sept.
Ses mains vinrent caresser doucement mon torse.
— Sept jours sans voir Jess… grimaçai-je.
L’idée
de cette future séparation me semblait déjà une souffrance
insurmontable. L’expression que je lisais sur le visage de ma princesse
reflétait le même sentiment.
— C’est ce qu’on fait à chaque vacance, et tu l’as toujours bien vécu.
«
Oui ; mais ça, c’était avant… » pensai-je. Ma fille joint de tendres
baisers à ses caresses. Je la regardais faire en caressant ses cheveux.
—
Vous passerez autant de temps ensemble la deuxième semaine, me
rassura-t-elle. Mais si tu le prends comme ça, tu auras intérêt de
t’accrocher en juillet.
— Ah bon, pourquoi ? m’inquiétai-je.
Ma peau frissonnait sous ses lèvres et sa langue qui dessinaient le contour de mes muscles.
—
Parce qu’elle le passera avec moi, m’annonça-t-elle. Tu n’as quand même
pas oublié que pendant les vacances d’été, elle passe le mois de
juillet avec moi et le mois d’août avec toi ?
— Non, murmurai-je, en état de choc.
Je
me souvins en effet que ce premier mois de vacances était un vrai
supplice pour moi. Je n’osais même pas imaginer ce qu’il en serait
dorénavant. Je serrai ma fille fortement contre moi. Je ne voulais pas
qu’on nous sépare. Comme je la maintenais plaquée fermement contre mon
torse, elle resta immobile quelques instants en effleurant ma peau du
bout des doigts, puis elle s’allongea sur moi en m’embrassant
sensuellement dans le cou. Je laissais ses douces lèvres m’enivrer de
plaisir.
Je raccrochai quelques minutes plus tard et fis un
résumé de la conversation à ma fille. Nous restâmes dans les bras l’un
de l’autre en méditant sur notre future séparation. Je caressais ses
cheveux en respirant son odeur de femme. J’appréciais la chaleur et la
douceur de son corps contre le mien.
— On le fait, ce jeu ? demanda-t-elle subitement. On est ensemble pendant deux semaines : autant en profiter.
Son enthousiasme me fit sourire.
— Tout à fait d’accord.
Nous nous assîmes sur le sol et débutâmes la partie de Monopoly.
—
J’ai beaucoup aimé ton câlin tout à l’heure, dis-je en regardant ses
lèvres que j’avais envie d’embrasser. Oh ! Je suis chez toi ; combien je
te dois ?
— Tu embrasses mes seins, dit-elle en me lançant un regard espiègle, la poitrine offerte.
Je fus surpris par son invitation très tentante.
— Sois sérieuse, souris-je.
— Hmm hmm… Je veux pas de ton argent. Embrasse mes seins, dit-elle en portant ses tétons à mes lèvres.
Je
plongeai mes yeux dans les siens en léchant ses petits bouts tout durs.
Pris par ce jeu excitant, j’embrassai doucement ses jolies pommes bien
fermes que ma fille tenait en coupe. Je glissai ma langue entre elles en
léchant doucement sa tendre vallée. Je me régalais du plaisir qui
inondait ses yeux et des soupirs qui s’échappaient de ses lèvres
entrouvertes.
— C’est bien mieux que tes papiers ridicules, dit-elle, espiègle.
— C’est certain… souris-je. Et si tu tombes chez moi, tu me payes comment ?
Ma fille réajusta son chemisier en réfléchissant, un sourire sur les lèvres.
—
Je te ferai un massage. Si c’est un terrain avec maison, je
t’embrasserai le torse. S’il y en a quatre, je te masturberai et si
c’est sur un hôtel, alors je caresserai ton sexe avec mes seins.
— J’en ai de la chance, dis-je d’une voix suave, mais les prix ne sont pas les mêmes sur tout le plateau.
— Eh bien, si je tombe sur la « Rue de la Paix », alors tu pourrais m’apprendre à te sucer…
— Tant que ça ? Non, certainement pas, grimaçai-je.
La déception se peignit sur son visage.
— Mais je veux bien que tu embrasses mon gland en me caressant, chuchotai-je à son oreille.
J’avais
le cœur battant parce que j’en avais très envie, mais cela me gênait de
lui demander une chose pareille. Ma fille me lança le plus merveilleux
des regards et m’embrassa tendrement.
— Puisque tu as changé
toutes les règles, alors je dois m’adapter aussi. Si tu as des maisons,
je caresse ta minette ; et un hôtel, je la lèche. Si c’est « Rue de la
Paix », je pourrai te caresser avec mon sexe.
Le désir enflamma son regard.
— On a oublié la banque, constatai-je. Est-ce que je distribue toujours 200 € en passant la case départ ?
— Je veux bien m’occuper du banquier, dit-elle d’une voix suave en caressant mon sexe par-dessus mon pantalon.
— Oh… de quelle façon ? demandai-je, excité.
— Je pourrais me caresser dessus, proposa-t-elle. Mais si je tombe sur l’impôt sur le revenu…
— Tu refais pareil ; seulement, je te caresse les seins en même temps, proposai-je.
— Humm… Mais ça me fait payer plus cher, remarqua-t-elle.
— C’est pour les intérêts, souris-je.
Les
règles ainsi établies, nous reprîmes la partie. Le premier tour de jeu
était érotique, variant entre les baisers sensuels sur ses seins et ses
massages. Son premier dans mon dos et ma nuque était doux et agréable.
Celui-ci me permit de caresser sensuellement ses cuisses. Toutefois,
pour les suivants, je lui demandai de masser plutôt mon torse. J’en
profitais ainsi pour caresser ses seins par-dessus son chemisier et ses
cuisses, tandis que ma fille ondulait doucement du bassin sur mon
érection.
— J’aimerais que tu ouvres ton chemisier pour que je puisse admirer tes seins durant toute la partie, demandai-je.
Ses
yeux brillants plantés dans les miens, elle entreprit de le déboutonner
très lentement en se déhanchant sensuellement et en caressant son torse
sur le tissu soyeux. Puis elle se mit à jouer avec les pans, dénudant
une épaule après l’autre sans dévoiler sa poitrine. Ma fille prit
ensuite ses pommes en coupe pour les caresser avec le vêtement ouvert
qui laissait apparaître la peau douce et tendre de son ventre. Son
regard et son sourire m’envoûtaient. Elle était tellement sensuelle et
excitante... J’avais envie de lui arracher son chemisier et de la
dévorer.
— Tu sais qu’à trop jouer avec les allumettes on peut se
brûler ? demandai-je en léchant la salive qui perlait au coin de mes
lèvres.
— Pourquoi ? Je t’ai mis le feu ? s’enquit-elle d’une voix suave.
Elle
se déhanchait plus encore en remuant lentement les pans de son
chemisier. Ses mouvements dévoilaient ses magnifiques seins qui se
balançaient doucement. Ses cheveux blonds flottaient autour de ses
épaules dénudées. Elle me lançait parfois des regards langoureux en se
léchant les lèvres. Ma fille était gracieuse, belle et sensuelle à
damner un saint. Quant à moi, je méritais de brûler en enfer pour la
désirer si fort en cet instant magique.
Je l’attirai à moi, la
blottissant dans mes bras. Mon cœur cognait fort dans ma poitrine et mon
érection menaçait d’exploser mon jean. Je l’embrassai passionnément en
caressant ses seins.
— C’est très dangereux ce que tu fais, murmurai-je entre deux baisers.
Je
repris doucement le contrôle de ma respiration, des battements de mon
cœur et de mes émotions. Nous pûmes continuer la partie.
J’étais ravi
de pouvoir contempler sa magnifique poitrine. Je profitai d’un
lancement de dés pour caresser ses tétons durcis, les faisant rouler
entre mes doigts. La blondinette soupira de plaisir.
— Chance ! m’exclamai-je en tirant une carte. Votre fille doit vous embrasser tendrement.
Jessica me lança un regard surpris.
— Si tu n’es pas d’accord, tu vas tout droit en prison sans passer par la case départ, plaisantai-je.
Elle
rit et vint me chevaucher. Je sentis sa minette brûlante frotter sur la
bosse qui gonflait mon pantalon. Sa langue lécha doucement mes lèvres
avant de s’insérer dans ma bouche pour caresser la mienne. Je la serrai
contre moi, appréciant la douceur et la fermeté de ses seins contre ma
poitrine.
Ma fille commença à aller et venir lentement sur mon
érection tout en m’embrassant. C’était agréable et délicieux.
J’effleurai ses seins, puis les caressai doucement à pleines mains. Elle
gémissait entre mes lèvres. Ses mouvements de reins s’intensifièrent,
aiguisant mon désir. Je passai mes mains sous sa jupe pour lui caresser
les fesses. J’insérai délicatement un doigt dans son vagin serré et
trempé qui l’aspira profondément en elle. Nous gémîmes d’envie. J’y fis
quelques va-et-vient imposés par le rythme de ses hanches.
Je
retirai mon doigt inondé de liqueur pour en caresser sa délicieuse raie.
Ma fille cambra ses fesses en arrière lorsque j’ai effleuré son anus.
Il se dilatait doucement sous mes caresses furtives. Excitée, elle
accéléra ses mouvements de bassin en gémissant. J’insérai de nouveau mon
doigt dans son vagin qui était maintenant dilaté et coulait à flots.
J’y glissai un deuxième et commençai une douce pénétration. Les
mouvements de ma fille, plus rapides, lui intimaient une cadence plus
intense sur mes doigts. Ses lèvres se séparèrent des miennes pour
laisser libre cours à ses cris de plaisir. Son front appuyé contre le
mien, je me noyais dans l’ivresse de son regard brûlant.
Je
retirai mes doigts de son intimité pour caresser furtivement son petit
trou. Celui-ci était ouvert et accueillant. Il me donnait envie de
l’explorer délicatement. Je réinsérai profondément mes doigts dans son
intimité avant de revenir caresser furtivement son anneau et je
recommençai encore, encore… et encore.
Ma fille hurlait de
plaisir en serrant mon visage contre le sien. Son bassin se mouvait à
une cadence effrénée sur mon érection. Je me sentais venir d’un instant à
l’autre dans mon jean. Soudain, Jessica se raidit ; ses doigts
agrippèrent fermement mes cheveux tandis que son regard plongeait au
fond du mien. Son corps vibrait dangereusement ; ses cris menaçaient de
percer mes tympans. Mes doigts pénétraient en elle intensément et
profondément. Son vagin se contractait et sa liqueur inondait ma main.
Elle se souleva en appuyant mon visage contre ses seins. J’en profitai
pour prendre un de ses tétons dressés en bouche et le sucer doucement.
— Ça ne devait être qu’un baiser, souris-je lorsqu’elle fut calmée.
Ma
fille m’embrassa tendrement. Je la blottis dans mes bras en soupirant
longuement. J’étais tellement heureux de lui donner tant de plaisir…
Nous
reprîmes la partie ; nos règles érotiques intensifiaient mon désir.
Lorsque ma fille passa par la case départ, je libérai mon sexe de sa
prison sous ses yeux ravis. Le banquier en érection accueillit avec
bonheur les caresses de sa minette toute trempée. Installée dans la même
position que précédemment, j’attrapai ses fesses à pleines mains et
leurs donnai une cadence de va-et-vient acharnée. Sa minette et son
petit trou dilatés glissaient merveilleusement bien sur ma verge tendue,
m’excitant formidablement. Nous gémissions tous les deux en nous
embrassant fougueusement.
— Je suis désolé, ma chérie… J’ai trop envie, gémis-je.
Notre échange était plus passionné que sensuel. Un désir brûlant nous enflammait.
— Oh, Papa… pénètre-moi ! ordonna-t-elle.
Son
ordre me porta le coup de grâce. Je serrai ses fesses autour de mon
sexe en criant ma victoire. Mon sperme gicla dans sa raie, arrosant ses
orifices. Ma fille me serrait dans ses bras en m’embrassant dans le cou.
Je me sentais aimé et adoré. Mon corps tremblait vivement contre le
sien. Je la blottis dans mes bras en l’embrassant tendrement tandis que
l’extase me quittait et que je reprenais le contrôle de mes émotions.
Comme il se faisait tard, je rangeai le jeu pendant que Jess se douchait.
— Où vas-tu ? demandai-je en la croisant sur le palier.
Ma fille, enroulée dans un drap de bain, avait la peau encore humide.
— Dans ma chambre, sourit-elle.
— Oh… fis-je en lui ôtant sa serviette.
Elle me laissa faire en frissonnant.
— Je sais que je n’ai pas été très doux, tout à l’heure ; mais cela me ferait vraiment plaisir que tu passes la nuit avec moi.
Ses
yeux se mirent à briller de joie et d’amour. Son regard était si
intense que mon cœur se mit à cogner très fort dans ma poitrine.
— Je veux bien, dit-elle en m’embrassant tendrement.
Je
fus tout ému de la sentir nue contre moi. Je respirais son odeur
fleurie en la serrant délicatement dans mes bras. Puis je la guidai
silencieusement jusqu’à mon lit. Je lui ouvris les draps ; ma fille s’y
glissa pendant que je regardais son corps nu. Une très forte émotion
brillait dans ses yeux lorsqu’elle les leva vers moi.
— Je vais me doucher et j’arrive, murmurai-je avant de l’embrasser doucement.
Je
sortis de ma salle de bain, nu et la peau encore humide. Ma fille avait
adopté une position détendue dans mon lit. Elle me souriait sans
quitter mon corps des yeux. Je m’allongeai à ses côtés ; elle vint
aussitôt se blottir dans mes bras.
Auteure : Feeling
Lisez la suite
Très belle histoire, pleine d'érotisme très très chaud. C'est vraiment terrible d'attendre la su!te. Va-t'elle se faire dépuceler par son père. Va-t'ilo accepter de succomber enfin???????que de suspens
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