[Jessica, seule dans sa chambre]
Je me massai le corps avec un lait parfumé, puis j’enfilai une petite jupe légère noire avec un chemisier à manches courtes, en satin gris argent. Je relevai mes longs cheveux blonds en chignon négligé et je me maquillai légèrement. Je regardai mon reflet dans le miroir : j’appréciais la façon dont mon chemisier moulait mes seins nus, mais je défis tout de même un bouton supplémentaire pour accentuer le décolleté. Je roulai l’élastique de ma jupe afin de la raccourcir. Celle-ci virevoltait autour de mes cuisses au moindre mouvement.
Je m’assis à mon bureau et commençai à faire mes devoirs. J’arrêtai la révision de ma leçon d’histoire lorsque je me mis à repenser aux caresses de mon père dans ma raie. J’avais adoré sentir mon anus s’ouvrir sous l’envie qu’il y insère son doigt. C’est bien ce que je pensais : il suffisait que je sois très excitée pour que ce passage secret me livre tous ses mystères. Je désirais mon père, et il le savait. L’attente qu’il prenne ma virginité devenait une douce et délicieuse souffrance. Plus il me donnait du plaisir, plus je voulais qu’il m’en donne. J’adorais sa tendresse et sa douceur.
Je me massai le corps avec un lait parfumé, puis j’enfilai une petite jupe légère noire avec un chemisier à manches courtes, en satin gris argent. Je relevai mes longs cheveux blonds en chignon négligé et je me maquillai légèrement. Je regardai mon reflet dans le miroir : j’appréciais la façon dont mon chemisier moulait mes seins nus, mais je défis tout de même un bouton supplémentaire pour accentuer le décolleté. Je roulai l’élastique de ma jupe afin de la raccourcir. Celle-ci virevoltait autour de mes cuisses au moindre mouvement.
Je m’assis à mon bureau et commençai à faire mes devoirs. J’arrêtai la révision de ma leçon d’histoire lorsque je me mis à repenser aux caresses de mon père dans ma raie. J’avais adoré sentir mon anus s’ouvrir sous l’envie qu’il y insère son doigt. C’est bien ce que je pensais : il suffisait que je sois très excitée pour que ce passage secret me livre tous ses mystères. Je désirais mon père, et il le savait. L’attente qu’il prenne ma virginité devenait une douce et délicieuse souffrance. Plus il me donnait du plaisir, plus je voulais qu’il m’en donne. J’adorais sa tendresse et sa douceur.
— Faut que je me concentre, sinon je vais jamais y arriver…
Je
repris mes révisions intensément jusqu’à pouvoir réciter aisément ma
leçon. J’entrepris de faire mes exercices de maths, mais je n’y
comprenais rien. J’avais beau relire mon cours et essayer de me rappeler
les explications du professeur, rien à faire. Mes calculs étaient
toujours mauvais et mes équations à deux inconnues restaient… inconnues.
Irritée par mon incompétence, je pris mes manuels et décidai d’aller
chercher de l’aide auprès de mon père.
Je
me dirigeai vers salon, où la télé fonctionnait. Je posai mes devoirs
sur la table de la salle à manger. Ce bel homme, concentré sur l’écran,
était allongé sur le canapé. D’où j’étais, je ne voyais que le sommet de
sa tête qui dépassait de l’accoudoir. Je m’approchai discrètement de
lui et m’agenouillai sur le sol. Je l’embrassai tendrement. L’effet de
surprise passé, ses baisers répondirent aux miens. Je savourais notre
étreinte aussi douce que ses lèvres.
— Ouah… Tu as voyagé avec moi ? demanda-t-il, les yeux rouges et le regard lointain.
— Oui, Papa… souris-je, le cœur battant.
Je
l’embrassai encore et passai mes mains dans sa chemisette à moitié
déboutonnée. Sa peau douce et musclée attirait mes caresses. Son cœur
battait aussi fort que le mien. J’avais envie d’embrasser son torse. Je
l’entendis soupirer et, relevant les yeux, j’aperçu l’érection qui
déformait son jean. J’y portai instinctivement les doigts comme s’ils
étaient aimantés et la caressai doucement.
— Euh… Je suis pas
venue pour ça, dis-je en retirant vivement ma main et me forçant à
retrouver mes esprits. J’ai besoin d’aide pour mes exercices de maths ;
j’y arrive pas.
— Quoi ? Tu m’embrasses et me caresses pour me demander un service ?
Mon père me prit dans ses bras en s’asseyant sur le canapé.
— Tu mérites ta fessée… dit-il en m’installant sur ses genoux.
Les fesses cambrées, ma jupe se releva sur le haut de mes cuisses. Mon père commença à les claquer doucement. Il releva le tissu.
— Elle est où, ta culotte ? demanda-t-il, surpris.
Je ris, heureuse de sa découverte.
— Depuis quand on se balade sans culotte ? demanda-t-il en me fessant de plus belle.
Ses
tendres claques me forçaient à cambrer mes fesses. J’émettais des
petits cris et tentais faussement de me libérer de son emprise. Sa
fessée n’était pas douloureuse ; elle me faisait mouiller. Ce jeu
m’excitait.
— Je recommencerai plus, je te promets, m’excusai-je pour le faire arrêter.
J’espérais secrètement qu’il n’en ferait rien.
Sa main vint tapoter mon clito et l’entrée de mon vagin.
— C’est quoi cette minette toute trempée ? Elle veut encore un doigt ?
Sans attendre de réponse, il l’inséra doucement. Celui-ci glissa entièrement, aspiré au plus profond de moi.
— Oh oui… Papa…
Il entama de doux va-et-vient qui s’intensifièrent progressivement, me faisant crier et me tortiller de plaisir.
— Je vais te faire jouir encore… lança-t-il d’une voix suave.
Je
sentis un deuxième doigt m’envahir. Ses caresses plus précises étaient
rapides et courtes. Je me sentis mouiller abondamment tandis que mon
vagin se contractait de plaisir.
— Oh, Papa ! C’est bon….
Je
criais ouvertement tandis que je jouissais, les fesses en l’air. Mon
bassin faisait des mouvements de va-et-vient pour accompagner ses
doigts.
— Viens t’asseoir sur les genoux de Papa, dit-il en m’y installant lui-même.
Encore vibrante de plaisir, j’étais toujours au septième ciel. Je sentais son érection sous mes fesses tandis que mon père
m’enlaçait tendrement. Il plongea une main dans mon décolleté et
l’autre entre mes jambes. Ses doigts s’emparèrent de mon clito pendant
qu’il caressait doucement mes seins. Je gémis en me cambrant entre ses
bras.
— J’adore te caresser et te faire jouir, murmura-t-il contre mon oreille.
Mon père
m’embrassait dans le cou ; un long frisson parcourut mon corps. Je
jouissais en criant mon plaisir, prise de tremblements. Il en profita
pour insérer deux doigts profondément dans mon intimité ; quelques
va-et-vient suffirent à déclencher un autre orgasme.
Sa joue contre la mienne, mon père
suça ses doigts avec gourmandise. Il m’embrassa tendrement. Je me
goûtai sur sa langue pour la première fois : c’était délicieux. Il me
garda quelques instants dans ses bras en caressant mes seins.
— Allons combattre ces maths ! lança-t-il en mettant fin à notre douce étreinte.
Je me levai la première.
— Ooh ! Tu m’as inondé…
Je
me retournai et découvris son jean mouillé d’une belle auréole, juste
sur la déformation provoquée par son érection. Je ne pus m’empêcher de
me lécher les lèvres en la regardant.
— Si tu fais bien tes devoirs, alors je te laisserai peut-être l’embrasser, sourit-il en prenant mon visage dans sa main.
Sa
proposition plus qu’intéressante me fit brûler de désir. Ses lèvres
appétissantes embrassèrent tendrement les miennes. Ce doux baiser me fit
voyager. Mon père sourit devant mon regard troublé et m’embrassa légèrement.
Nous
nous assîmes à table ; je lui présentai mon livre de maths et ouvris
mon cahier de leçons ainsi que celui de brouillon. Je lui montrai mes
nombreux et vains essais. Mon père
m’expliqua à son tour mon cours du mieux qu’il put ainsi que mes
erreurs. Je fis la première équation avec son aide et la suivante sans.
J’attaquais la troisième lorsqu’il défit un bouton de mon chemisier. Je
le regardai, surprise.
— C’est pour mieux t’admirer, expliqua-t-il d’une voix suave. Reste concentrée.
Je
retins mon souffle en sentant sa main s’introduire dans mon décolleté
et caresser mes seins. Suivant son conseil, j’essayais de rester
concentrée. J’entendis un zip s’ouvrir. Attirée par le bruit, je
découvris que mon père avait sorti son sexe en érection de son pantalon et le caressait doucement. Je m’en léchai les lèvres d’envie. Mon père me sourit.
— Dépêche-toi de finir et de t’appliquer si tu veux le caresser et l’embrasser, m’encouragea-t-il.
J’eus
toutes les peines du monde à me concentrer, sachant qu’il se donnait du
plaisir juste à côté de moi. Ses soupirs me troublaient. J’avais très
envie de le caresser. Je sentis les doigts de mon père défaire un autre bouton de mon chemisier. Surprise, je les ai regardés agrandir l’échancrure sans rien dire.
— C’est pour que je puisse mieux admirer tes seins, sourit-il.
Il
les caressa doucement jusqu’à faire dresser mes tétons qui dépassaient
du tissu, puis il les abandonna pour se donner du plaisir en les
regardant. Mon père m’avait laissée le cœur battant, le souffle court et brûlante de désir.
— Oh non… m’exclamai-je, déçue.
— Que se passe-t-il ?
— Je ne me souviens plus de la méthode pour résoudre mes équations…
— Tu plaisantes ? demanda-t-il, surpris.
Je fis un « non » désespéré de la tête. Mon père
se rapprocha de moi pour me réexpliquer tout en se caressant. Lorsque
j’eus de nouveau compris, je pus reprendre où j’en étais. Il resta près
de moi pour s’assurer que je ne me trompais plus.
Je sentis sa main glisser de nouveau dans mon chemisier et caresser tendrement mes seins.
— Papa… soupirai-je, tu vas me déconcentrer…
— Ignore-moi ! lança-t-il d’une voix envoûtante. Imagine-moi comme le perturbateur de la classe que tu es obligée de snober.
Je
me replongeai dans mes exercices du mieux que je pus. Il m’était
impossible d’ignorer mon désir. J’avais hâte de terminer pour qu’on
fasse encore tendrement l’amour. J’injuriais intérieurement mes
équations qui paraissaient interminables.
— J’ai très envie de toi… chuchota mon père au creux de mon oreille.
Sa
voix était douce et très sensuelle. Son souffle me caressa le cou,
hérissant ma peau. Je posai mon regard troublé sur son visage souriant
et rouge de désir.
— Je suis le plus grand des perturbateurs,
dit-il d’une voix suave. Dépêche-toi… sinon, je vais jouir tout seul.
Tant pis pour toi.
Sa façon de faire monter mon désir me rendait folle.
Quelques
instants plus tard, sa main se glissa sous ma jupe et caressa doucement
mes grandes lèvres. Mon clito se dressa aussitôt avec l’espérance
d’être courtisé. Un filet de mouille s’échappa de mon intimité.
— Papa… gémis-je, tu me déconcentres…
— Tu me repousses ?
Son
regard laissait filtrer de la surprise, de l’incompréhension et un
petit rien de déception. Je ne savais comment réagir devant son air de
chien battu. Ma compassion me poussait à l’embrasser. Un sourire fleurit
sur ses lèvres qui laissèrent échapper un rire cristallin.
— Je vais te faire des perturbations sismiques, lança-t-il d’une voix légère et envoûtante.
Un petit rire m’échappa.
— Je crois pas que ça existe, ça…
— Attends de sentir le tremblement de niveau 12 sur l’échelle de Richter que je vais te faire, me menaça-t-il.
— Elle s’arrête pas à 9, son échelle ? demandai-je avec insolence.
— Ça, c’est son problème ; mais la mienne va jusqu’à 12, et tu vas bien le sentir.
— Et il correspond à quoi, ton 12 ?
— À la taille de mon sexe, plaisanta-t-il.
— Pfff… Il est bien plus grand que ça, ris-je.
Je me servis de l’écartement entre mon pouce et mon auriculaire pour prendre sa mesure. Mon père me mit une tape sur la main avant même que je puisse le toucher et en estimer la taille.
— On ne mesure pas le sexe de son père, petite fille ! me disputa-t-il.
Comprenant
que j’étais allée trop loin, je repris mes exercices sans dire un mot.
Ses doigts effectuaient de doux va-et-vient sur mes grandes lèvres. Ses
tendres caresses me faisaient mouiller abondamment. Je sentais le feu me
monter aux joues. Je cachai mon trouble derrière le rideau de mes
cheveux. Mon père inséra
délicatement un doigt dans mon intimité qui émit un bruit de succion.
Je m’amusai à serrer mon vagin autour de son doigt, pensant l’extraire ;
mais au contraire, mon corps l’aspira profondément. Je gémis de
surprise. Il entama de lents va-et-vient. Ainsi contractée, je découvris
que mon plaisir était plus intense. Je me sentais mouiller abondamment
sur son doigt. Je décidai de m’empêcher de gémir afin de mieux apprécier
les soupirs de mon père. J’avais beaucoup de mal à rester concentrée. Mon cerveau ne savait plus calculer.
Soudain, son doux visage souriant apparut devant le mien. Une lueur espiègle illuminait ses yeux.
— Je ne te fais pas mal ?
Je fis « non » de la tête. Mon père
intensifia sa pénétration dans mon intimité pour lui donner un rythme
en harmonie avec ses caresses sur son sexe. Nos soupirs se mêlaient.
—
J’aimerais redevenir un lycéen rien que pour le plaisir de pouvoir te
caresser pendant les cours, sans que personne ne se doute de quoi que ce
soit.
Je gémis en imaginant ses propos prendre vie.
— J’aurais de très mauvaises notes, alors…
Il avait suffi que je voie son visage pour perdre le Nord. Je lui appartenais totalement. Il sourit et m’embrassa tendrement.
— Je veux que tu ouvres ton cahier de brouillon à une page où tu as fait des devoirs dont tu n’as plus besoin.
Je m’exécutai sans dire un mot.
— Maintenant, tu m’écris un message : ce que tu veux, ce qui te passe par la tête…
Je mordis mon stylo en réfléchissant brièvement. Je commençai à écrire soigneusement :
«
Mon Prince Charmant. Quand je te prends dans mes bras et t’embrasse, le
temps trépasse. Mon corps tremble, mon cœur bat plus fort et en lui tu
prends place. Finis, mes doutes et mes peurs : la joie les remplace. Le
bonheur m’envahit et avec lui un amour vivace. Ta Princesse. »
— Ouah ! C’est vraiment beau… Je m’attendais à quelque chose de plus érotique.
— Tu n’aimes pas ?
— Si, bien sûr… Mets-le au propre ; comme ça, je le garderai en souvenir.
Mon père
me souriait ; son regard tendre et plein d’amour me bouleversait. Je
recopiai mon petit poème sur une feuille propre tandis qu’il caressait
sensuellement mon corps et embrassait ma nuque. Puis mon père repoussa un peu mon cahier.
Il
me souleva dans ses bras et me déposa sur la table. Mes fesses
reposaient sur mon cahier de brouillon. Il se plaça entre mes jambes
pour m’embrasser et caresser mes seins. Ses lèvres et sa langue
déposaient de légers baisers dans mon cou, sur mes seins, sur mon ventre
tandis que ses mains me caressaient doucement partout. Les miennes,
dans ses cheveux, l’encourageaient à continuer. Sa sensualité me rendait
fiévreuse. Je voulais mourir sous ses lèvres qui laissaient ma peau
frissonnante sur leur passage.
Sa bouche continua sa descente sur
mon pubis. Il embrassa ma minette et aspira doucement mon clito. Sa
langue pénétra mon intimité inondée d’envie. Je regardais mon père
me savourer lentement, son doigt flirtant avec la partie la plus
secrète de mon anatomie. Mon plaisir appartenait à sa langue. L’orgasme
me consuma, me laissant tremblante et gémissante entre ses mains. La
quintessence de mon corps se déversait dans sa bouche.
Une fois
repu, ses lèvres reprirent leur douce et lente ascension jusqu’à ma
bouche. Nous nous embrassâmes tendrement. Son sexe effleura le mien. Mon
père le prit dans sa
main sans quitter mes lèvres et se caressa doucement. Je coulais sur son
gland en contact perpétuel avec ma minette. Ses soupirs m’indiquèrent
qu’il se caressait intensément, ainsi placé entre mes jambes. Je défis
sa chemisette et laissai mes mains parcourir doucement son corps. Je fus
ravie de sentir sa peau frissonner et ses tétons se dresser sous mes
doigts. J’embrassais sa bouche, son cou, ses clavicules, ses pectoraux.
Mon père
me fit descendre de la table et continua de se masturber au-dessus de
mon cahier de brouillon. Son gland qui mouillait abondamment me faisait
envie. Je l’embrassai et le léchai. Je désirais sentir son sexe
coulisser sur ma langue aussi rapidement que les caresses qu’il se
donnait, mais sa main m’empêchait de le prendre en bouche. Mon père gémissait en me regardant faire, tout en caressant tendrement mes cheveux.
Il
prit doucement mon visage dans sa main pour plaquer ma tête contre son
bas-ventre. Mes lèvres embrassèrent la base de son sexe, qui paraissait
plus long vu sous cet angle. Il plaça mes petits doigts sur ses
testicules. J’entrepris de les lui malaxer, il soupira de plaisir.
— Je vais hurler ! s’écria-t-il en caressant tendrement ma joue.
Des
râles rauques s’échappaient de ses lèvres tandis que de longs jets de
sperme vinrent zébrer mon cahier. Son corps tremblait contre mon visage.
Sa main ralentit sa cadence sur son sexe jusqu’à en extraire la
dernière goutte de semence.
Mon père
referma son jean, puis il passa ses doigts sur ma minette. J’avais
tellement eu envie de lui que celle-ci, toute inondée, avait dégouliné
sur mes cuisses. Il en inséra deux, profondément en moi, me faisant
gémir. Ses yeux dans les miens s’illuminèrent. Il m’embrassa tendrement.
Mon père
tourna les pages de mon cahier souillé jusqu’à celle de mes équations.
Elle était encore intacte tandis que les autres s’imbibaient de nos
sécrétions.
— Tu peux continuer tes devoirs, maintenant, déclara-t-il.
Quelques minutes plus tard, il les corrigea et je lui récitai ma leçon.
— Eh bien, c’est parfait, s’écria-t-il.
— Je préfère l’histoire à la géographie, souris-je.
— Je parie que tu serais plus à l’aise si tu étudiais la carte de mon corps plutôt que celle des régions, me taquina-t-il.
— Ça, c’est sûr ! approuvai-je avec un regard langoureux.
Mon père
m’embrassa tendrement. J’en profitai pour passer mes mains sous sa
chemise et caresser son dos. Je me pressais contre lui. Son corps
brûlant m’attirait. Je me ressourçais au contact de la douceur de sa
peau. Mon sens du toucher devenait aussi vital que mon besoin de
respirer. Ce simple plaisir me fit gémir contre ses lèvres.
— Eh bien, sourit-il en voyant mon regard troublé.
Mon père se sépara de moi. Mon corps était déjà en manque du sien. Son air pensif me fit redescendre sur terre.
— On devrait arrêter tout ça, dit-il en caressant tendrement mon visage.
— Pourquoi ? J’ai fait quelque chose de mal ? demandai-je.
Mon cœur déçu se mit à battre très fort dans ma poitrine.
— J’en ai fait autant que toi…
Ses yeux tristes ne regardaient plus les miens.
—
Ce n’est pas bien. Si ça venait à se savoir, on nous séparerait. Tu
serais obligée de vivre chez ta mère ; et moi, j’irais sûrement en
prison.
— Non ! C’est moi qui t’ai embrassé et t’ai donné du plaisir
la première : s’il y a quelqu’un qui doit être emprisonné, c’est moi !
— Tu ne m’as pas violé, que je sache, sourit-il.
— Mais toi non plus !
— Peut-être, mais en tant que père, j’aurais dû résister à tes charmes…
— Tu regrettes ?
— Oh non, pas du tout… Mais on devrait arrêter pendant qu’il en est encore temps : si on attend, nous n’en aurons pas la force.
Cette
conversation me brisait le cœur. Je n’avais jamais imaginé qu’il me
demanderait une telle chose. Pas après tout ce que nous avions partagé.
J’étais déçue et en colère. Je ne comprenais pas ce retournement de
situation.
— J’ai pas envie d’arrêter ! On n’a qu’à se marier ; comme ça, personne ne pourra plus nous séparer !
—
Pour se marier, il faut présenter des livrets de famille. Que penses-tu
qu’ils vont dire en voyant que l’homme que tu vas épouser est celui qui
t’a vue naître ?
— On n’a qu’à aller se marier à Las Vegas !
Il se mit à rire.
— Tu demandes ton père en mariage ? m’interrogea-t-il d’un ton léger.
Son sourire et ses yeux doux me faisaient fondre.
—
Je t’aime, Papa, et je veux faire ma vie avec toi ! On peut se marier
et aller vivre dans une ville où personne ne nous connaît…
Pour moi, la solution était simple. J’étais prête à le suivre au bout du monde. Mon père se mit à rire et me prit dans ses bras. Je l’entendis soupirer longuement.
—
Je ne m’attendais pas à ce que tu tombes amoureuse de moi. Ta
proposition me flatte et me fait rêver… Mais je sais qu’un jour tu
rencontreras un homme qui saura te rendre plus heureuse que moi. C’est
avec lui que tu te marieras et que tu auras des enfants, parce que c’est
la vie qui veut ça.
Mon cœur se serra ; mes yeux me brûlaient. Mon père
n’avait pas compris que j’étais amoureuse de lui depuis ma plus tendre
enfance. Je l’ai toujours vu comme mon prince charmant sur son beau
cheval blanc. Lorsque je jouais à la poupée, il avait son rôle de mari
imaginaire. Avec l’adolescence, des rêves plus romantiques et des
fantasmes très érotiques ont nourri mon imagination.
Je me retournai
pour lui cacher les larmes de déception qui roulaient sur mes joues. Je
refermai mes livres et mes cahiers. Je sentis ses lèvres déposer un
baiser sur ma nuque.
— Tu boudes ? demanda-t-il.
Sa bouche continuait sa tendre aventure.
— Non, répondis-je en serrant mes livres contre moi.
Ses doux baisers m’apprivoisaient. Ses mains glissèrent sur mon chemisier et me serrèrent doucement contre lui.
— Je t’aime, chuchota-t-il contre mon oreille.
Son souffle sur mon cou me fit frissonner. Sa douceur me désarmait.
Ses
mains prirent délicatement mes seins en coupe par-dessus mon chemisier,
me faisant gémir. Je posai mes livres pour passer les miennes dans ses
cheveux. Je l’encourageais à continuer de m’embrasser dans le cou. Je
sentais son sexe se dresser contre mes reins. Sa bouche vint à la
recherche de la mienne.
— Tu as pleuré ? demanda-t-il subitement en s’arrêtant à mi-chemin.
— Oui… Mais c’est pas grave, dis-je précipitamment.
Je l’embrassai tendrement, comme la première fois.
— Tes beaux yeux ne sont pas faits pour pleurer, murmura-t-il entre deux baisers.
Mon père me retourna contre lui et m’embrassa passionnément en me serrant dans ses bras puissants et sécurisants.
— Tu veux faire l’amour avec moi une dernière fois ? demanda-t-il d’une voix envoûtante.
Un long frisson parcourut mon corps et un désir brûlant enflamma mon bas-ventre.
— Oui, soupirai-je.
Je
comptais bien profiter de cette occasion pour découvrir toutes les
choses dont mes copines m’avaient tant parlé et réaliser tous mes
fantasmes.
Je répondis fiévreusement à son baiser. Je léchais et
titillais sa douce langue sensuelle. Son simple contact suffisait à me
consumer de désir. Son odeur alléchante m’enflammait. Je le serrai
fortement contre moi. Mes doigts caressaient son dos, son torse, ses
abdominaux. Je pris ses petites fesses arrondies et musclées à pleines
mains. Je les caressais en plaquant son bassin contre le mien. Son
érection s’enfonça dans mon ventre, me faisant gémir d’envie. Mon père soupirait. Je le voulais plus près de moi encore. J’avais besoin de le sentir en moi, qu’on ne fasse qu’un.
— Tu veux me dévorer ? demanda-t-il, les yeux flamboyants de désir.
— Oui, répondis-je, affamée en attirant son visage contre le mien.
Je
refusais que sa langue quitte la mienne. Ses mains pressèrent bientôt
mon corps contre le sien et me rendirent mes caresses fiévreuses. Je
voulais sentir sa peau douce et brûlante contre la mienne. J’entrepris
de déboutonner sa chemise. Mais les petits boutons me résistaient. Cette
perte de temps me donnait envie de la lui arracher.
Le désir qui
me consumait me donnait vraiment très chaud. Je ne me reconnaissais
plus. Je n’arrivais plus à me contrôler. Sa langue, son odeur, son corps
me rendaient folle. J’embrassai sensuellement son cou. Je lui fis
volontairement un suçon pour laisser l’empreinte de mon amour sur sa
peau. Je léchai et suçai délicatement les lobes de ses oreilles. Mon père
soupira. Je le serrai fortement dans mes bras. J’embrassais ses
clavicules, ses pectoraux. Je léchais ses mamelons et suçais ses tétons
dressés. Son cœur battait follement contre mes lèvres. Il fit passer sa
chemisette par-dessus sa tête. J’en profitai pour manger ses abdominaux.
Je caressais son sexe en érection par-dessus son jean moulant. J’appréciais le volume imposant de la bosse. Mon père
gémit et entreprit d’enlever mon chemisier en m’embrassant. Je passai
ma main dans son pantalon. Je gémis en sentant son sexe nu, trempé
d’envie. Ses lèvres esquissèrent un sourire de plaisir et sa langue
pénétra doucement ma bouche. Je l’aspirai aussitôt et la suçai.
Son
sexe dur et gonflé glissait dans ma main. Son bassin ondulait,
accompagnant mes caresses. Ses doigts se faufilèrent sous ma jupe et
entrèrent en contact avec ma minette qui coulait à flots le long de mes
cuisses. Mon père gémit
en serrant mon corps plus fortement contre le sien. J’émis un petit cri
de plaisir lorsqu’un de ses doigts pénétra profondément mon intimité.
Affamée, celle-ci était douloureusement dilatée. Un de ses confrères ne
tarda pas à le rejoindre. Le délicieux massage qu’ils m’infligeaient me
faisait gémir et transformait ma douleur en plaisir. Ce mouvement de
va-et-vient accompagnait harmonieusement mes caresses.
J’ouvris le pantalon de mon père
afin de libérer son sexe. Il gémit entre mes lèvres. J’avais envie de
le lécher et qu’il m’apprenne à le sucer. Je le caressais en massant
délicatement ses testicules. Nos lèvres se séparèrent juste le temps de
regarder avec envie le plaisir que je lui donnais. J’admirai son corps
parfait qui ondulait, les hanches en avant pour offrir son sexe à mes
caresses. Désirant le sentir en moi, je me tendais vers lui de la même
façon. Je frottais mon clito sur son gland.
— Tu vas me rendre fou ! s’écria-t-il en me prenant dans ses bras.
Son sexe se plaça de lui-même entre mes jambes, nous faisant gémir. Mon père
me posa sur la table et caressa ma minette avec son membre. Je le
regardais faire des va-et-vient de l’entrée de mon vagin jusqu’à mon
clito. Sa verge bien dure et brillante de mouille coulissait sur toute
sa longueur contre mes lèvres. J’écartai largement les cuisses afin de
lui montrer que j’étais prête à le recevoir.
Il prit son sexe en
main et commença à se masturber intensément. Je caressais son torse
merveilleusement bien marqué par ses muscles contractés. Sa peau hâlée
en sueur reflétait la lumière. J’appréciais la douce caresse de son
gland sur mon clito. J’étais toute excitée de regarder mon père
se donner du plaisir. Le désirer si fort en moi était une souffrance
sucrée et jouissive à souhait. L’extase traversa mon corps, me faisant
crier et vibrer de bonheur.
— Oh ! Papa, je te veux ! Maintenant !
Son
visage rougi se tendit vers le mien. Il m’embrassa fougueusement. Je
sentis son gland pénétrer doucement l’entrée de mon vagin. Nous gémîmes
de plaisir. Le feu brûlant du désir parcourut mon corps et me fit
frissonner. Mon père
continua de se caresser en embrassant mon cou et mes seins. Cela
provoquait des vibrations en moi qui m’excitaient et me donnaient du
plaisir. Je me caressais le clito en regardant son gland faire des
va-et-vient en moi.
— C’est beau, dis-je contre ses lèvres.
— C’est bon aussi…
— Oui…
Nos voix n’étaient qu’un murmure de plaisir. Mon corps tout entier se mit à frissonner.
Le
désirant au plus profond de moi, je pris appui sur mes bras et me
tendis vers lui. Sa main serra brusquement sa verge pour l’empêcher de
me pénétrer.
Ses lèvres entrouvertes laissèrent échapper un long gémissement. Je sentis un liquide chaud inonder mon intimité. Mon père
s’en retira pour jouir sur ma minette. Je regardai son sperme arroser
mes lèvres et l’entrée de mon vagin encore ouverte, tandis qu’il
gémissait en embrassant mes seins.
Il me sourit. Il frotta son
gland sur ma minette avant de l’insérer délicatement en moi. Je gémis et
mouillai aussitôt abondamment sur lui. Je le regardais faire de doux
va-et-vient à l’entrée de mon vagin. J’étais toute excitée et j’avais
besoin d’assouvir mon désir. J’attrapai ses fesses à pleines mains et le
pressai entre mes jambes. Mon père se retira de justesse, comme s’il l’avait pressenti.
Je le regardai, surprise ; il me souriait malicieusement, le regard brillant.
— S’il te plaît, Papa, je veux que tu sois mon premier, le suppliai-je.
Il
m’embrassa langoureusement et se dégagea de moi pour remettre son sexe
qui faiblissait en place, puis il referma son pantalon. Ce simple geste
tout à fait anodin m’excita.
— C’est tout, déclara-t-il en m’embrassant encore. Je t’aime, Princesse.
Mon père tapota tendrement mon nez avec un doigt en souriant.
Auteure : Feeling
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