Relisez le chapitre 13
Je trouvais ma fille, Jessica, très attirante avec ses yeux brillants de
plaisir et un demi-sourire béat sur ses lèvres rougies. Je n’avais pas
imaginé un seul instant que ses jambes ne la porteraient pas. Elle
aurait pu se blesser si je ne l’avais pas rattrapée. Son corps vibrant
de plaisir, sur le sol, me ravissait. Ses yeux brûlants de désir
regardaient mon érection.
Je pris délicatement Jessica dans mes bras et entrai dans ma chambre.
— Je n’aurais jamais imaginé emmener ma fille dans mon lit, un jour, dis-je tendrement.
Accrochée à mon cou, elle me lança un regard espiègle tandis que je la déposais délicatement sur les draps.
Je pris délicatement Jessica dans mes bras et entrai dans ma chambre.
— Je n’aurais jamais imaginé emmener ma fille dans mon lit, un jour, dis-je tendrement.
Accrochée à mon cou, elle me lança un regard espiègle tandis que je la déposais délicatement sur les draps.
— Papa, tu aimes mes seins ? demanda-t-elle en soulevant son top en satin noir.
— Tu veux jouer à ce jeu-là avec moi ?
Son jeu de séduction me plaisait et m’excitait énormément.
— Oui, Papa… Alors, dis-moi, comment tu les trouves ?
Je les effleurai et les embrassai légèrement.
—
Ils sont très beaux et très doux. J’adore tes tétons qui se dressent
dès que je les embrasse et les caresse. J’ai beaucoup aimé la façon dont
tu m’as donné du plaisir avec eux, hier soir.
— Moi aussi.
—
J’aime t’embrasser. J’aime aussi tes lèvres, ta langue et tes mains qui
me donnent tant de caresses et de plaisir. Par contre, je vais devoir me
méfier de cette jolie bouche… dis-je en l’embrassant tendrement.
— Pourquoi ?
— Parce que je la trouve trop coquine et bien trop gourmande à mon goût, souris-je en tapotant ses lèvres.
— J’ai beaucoup aimé avoir ton sexe dans la bouche, dit-elle avec un sourire espiègle.
— C’est justement pour cela que je vais devoir apprendre à m’en méfier.
— Tu n’as pas aimé ? demanda-t-elle, déçue.
— Si ; mais tu es ma petite Princesse adorée, et je te respecte trop pour accepter que tu me fasses ça.
— Tu me donnes bien du plaisir avec ta bouche ; alors, pourquoi moi je ne pourrais pas le faire aussi ?
Sa question était pertinente ; difficile d’y répondre.
— Tu me trouves égoïste ?
Ma fille baissa la tête en réfléchissant pour peser ses mots.
—
Dans un certain sens… J’aimerais pouvoir te donner autant de plaisir
que tu m’en donnes. J’ai droit à des orgasmes à répétition et toi… tu
jouis une fois ou deux.
— C’est le corps d’un homme qui veut ça,
souris-je. Ce n’est pas parce que je n’ai pas autant d’orgasmes que toi
que je ne prends pas autant de plaisir. Crois-moi, tu m’en donnes
beaucoup. Je ne suis pas habitué à cela. J’ai toujours pris soin du
plaisir de mes petites amies sans penser au mien. Tu m’apprends à
partager et à recevoir en retour.
— Tu me considères comme ta petite amie ? demanda-t-elle, d’un ton hésitant.
— Plutôt comme ma Princesse.
— C’est mieux ?
—
Tu es privilégiée… Je dois t’avouer que si tu ne m’avais pas rejoint
dans mon lit et si je ne m’étais pas réveillé en prenant du plaisir dans
ta main… Je suppose que c’était calculé – son sourire espiègle me le
confirma – je n’aurais jamais fait le premier pas vers toi pour te
donner du plaisir ou t’en demander. Je ne t’aurais sans doute jamais
embrassée non plus.
— Tu regrettes ?
— Oh, ça non ; certainement pas ! Mais j’ai peur qu’un jour, toi, tu regrettes.
— Non, je ne regretterai jamais.
— Tu ne peux pas savoir. Peut-être que, plus tard, tu me reprocheras d’avoir profité de la situation.
— Avec tout le plaisir que tu me donnes ? C’est pas possible.
—
Si tu trouves que je t’en donne trop, il ne faut pas hésiter à me le
dire… Peut-être que je suis moi aussi trop coquin, et que d’une certaine
manière je profite de la situation, dis-je d’un ton suave.
Ma fille arrondit un sourcil. Je joignis les gestes à la parole :
—
J’adore passer mes doigts dans ta culotte sans t’en demander
l’autorisation. Te sentir mouiller sans même avoir commencé à te donner
du plaisir. Sentir ton clito gonfler et durcir…
— Mon quoi ?
— Ton clitoris, souris-je. Ça…
J’ai dû préciser, en la voyant ne pas comprendre. Je le lui caressai tendrement. Il glissait entre mes doigts humides.
— Ooh… gémit-elle, c’est comme ça que tu l’appelles…
— C’est son nom… Comment tu l’appelles, toi ?
— Bouton…
— J’adore caresser ton bouton d’amour… T’entendre gémir comme ça… Mais ce que j’aime par-dessus tout… C’est te voir jouir.
Je le caressai un peu plus intensément.
— Ooooh… Papa…
— Jouis pour moi…
— Humm… Oui…
Blotti
contre moi, son corps se tendait vers le mien. Ses lèvres gémissaient à
quelques centimètres des miennes. Je me noyais dans le plaisir qui
bouillonnait dans ses yeux.
— Voilà… comme ça… c’est bon… chuchotai-je pour l’encourager.
Son
bassin ondulait contre le mien, me réclamant dans ses douces
profondeurs. Je vis des frissons parcourir sa peau tandis que son corps
se convulsait d’extase. Ma fille s’agrippait fermement au col de ma
chemisette. J’ai regretté de l’avoir gardée. J’aurai aimé la sentir
jouir, nue contre moi.
— C’est bon de t’entendre crier, dis-je en l’embrassant passionnément.
Mon
érection était maintenant douloureuse. Je la gardai blottie dans mes
bras en caressant doucement sa peau. Je profitai qu’elle soit encore au
septième ciel pour passer ma main dans mon jean. Celui-ci était trempé
de jus. Je caressai mon sexe doucement. Sa pression était telle qu’il
était prêt à exploser très rapidement. Mais je n’avais pas envie de
jouir dans mon pantalon. Je voulais lover mon corps contre la lingerie
super douce et très sexy de ma fille. J’avais envie de me caresser
contre elle.
Je voyais l’extase quitter ses yeux progressivement,
tout en douceur. J’ôtai la main de mon pantalon et commençai à
déboutonner ma chemisette. Ma fille, surprise, me regarda faire puis se
releva brusquement pour se joindre à moi. Je la laissai terminer afin de
caresser son joli corps de mes mains libres. Elle ouvrit mon vêtement.
Je me relevai un peu. Sans un mot, elle le fit glisser le long de mes
bras. Je le lui pris des mains et le jetai au loin, ce qui la fit rire.
Je
l’attirai à moi, les mains dans ses cheveux soyeux, pour l’embrasser
tendrement. Les siennes parcouraient mon torse, dessinant le contour de
mes muscles. Elles descendirent caresser mon sexe par-dessus le jean. Je
gémis de plaisir et d’envie. Je la laissai ouvrir ma braguette. Mon
membre se tendit vers ses doigts qui l’effleuraient. Surprise par ce
contact, elle ouvrit grand ses yeux bleus.
— Oooh… Papa, gémit-elle en regardant mon sexe qui sortait de l’ouverture.
— Que se passe-t-il ?
— T’as pas de sous-vêtement…
— Ça te gêne ? demandai-je d’un ton suave.
Ses
yeux brûlants d’envie ne le quittaient pas. Sa façon de le regarder
m’excitait. Ma fille fit « non » avec la tête en se léchant les lèvres,
puis elle prit mon sexe dans sa petite main et entreprit de doux
va-et-vient. Je la laissai faire en caressant sa lingerie qui me faisait
vraiment envie. Je l’attirai entre mes bras, dans lesquels elle se
blottit.
— J’adore ce que tu portes, c’est tellement doux, dis-je en me pressant contre ma fille.
Je
me lovais contre son corps en ondulant du bassin. J’embrassais
sensuellement ses lèvres et son cou. Sa main intensifia ses va-et-vient
sur mon sexe, me faisant gémir de plaisir. La jouissance était proche.
J’entrepris d’enlever mon pantalon. Elle me regarda faire en me
caressant. Je la repris aussitôt dans mes bras en la pressant contre
moi. Je caressais ses fesses qu’elle tendait vers ma main.
— J’aime bien comme ça, dit-elle.
Ma
fille prit mes doigts pour leur faire faire des va-et-vient dans sa
raie, de sa naissance jusqu’à son clito. Je sentais son petit trou
s’ouvrir sous le tissu fin et soyeux.
— Tu es sûre ? hésitai-je.
— Oui, Papa… gémit-elle.
Son
intimité était offerte et son clito encore bien dur. Sa culotte toute
trempée me faisait très envie. Je l’embrassai langoureusement. Ma fille
gémissait au rythme de mes caresses et de mon bassin.
— Est-ce que je peux remplacer ma main par mon sexe ? demandai-je timidement.
— Ooh… Oui, Papa, gémit-elle.
Jessica
plaça mon membre entre ses cuisses. Je le frottai aussitôt contre sa
culotte toute trempée. J’ondulais du bassin en pressant ses fesses
bouillantes dans mes mains. Nous gémissions d’envie en nous embrassant
goulûment. Je ne voulais pas quitter sa bouche. Ma fille resserra ses
cuisses autour de mon sexe, intensifiant notre plaisir.
— Viens dans ma culotte…
— Tu es sûre ? gémis-je entre ses lèvres.
— Oui… Papa…
J’écartai
sa lingerie tandis que ma fille prenait mon sexe dans ses mains. Je
m’attendais à ce qu’elle me caresse jusqu’à me faire jouir. Mais je
m’immobilisai en sentant sa fente dégoulinante contre mon gland.
— Que fais-tu ?
— Je te mets dans ma culotte, gémit-elle.
Mon
sexe glissa entièrement contre le sien, me faisant gémir. Elle se mit à
onduler du bassin au même rythme que je le faisais précédemment. Je la
laissai me donner ce plaisir. Ma fille prit mes fesses dans ses mains
pour me serrer plus encore contre elle. Cela m’excitait de sentir sa
liqueur inonder mon sexe. Son intimité accueillante et ouverte
m’invitait dans ses profondeurs.
— Ta minette est pleine de promesses…
— Lesquelles ?
— Beaucoup de plaisir, de jouissance et de longs moments de tendresse…
— J’aime te sentir là, gémit-elle.
— Moi aussi… C’est bon…
Je
la serrai plus fort encore contre moi en caressant son merveilleux
corps et en l’embrassant. J’ondulais du bassin à son rythme. Nous
gémissions de plaisir ensemble. Libéré de mes appréhensions, je me
sentais prêt à jouir contre son intimité. J’avais besoin de sa
sensualité pour me sentir rassuré.
La jouissance me gagnant, mon
sexe gonfla et se tendit contre son intimité. Mon gland pénétra
doucement son paradis, nous faisant gémir d’envie et de surprise. Un
puissant jet de sperme inonda son vagin encore vierge. Je pris mon
membre entre mes doigts pour le retirer afin de jouir contre sa fente
luisante. Je gémissais en l’embrassant et en tenant son visage dans ma
main, mes yeux dans les siens. Ses mains caressaient mon corps qui
tremblait de plaisir.
Apaisé et le cœur tambourinant, je la
gardai dans mes bras en l’embrassant tendrement. Nos mains exploraient
et caressaient le corps de l’autre. Mon sexe, emprisonné dans sa culotte
en satin, mollissait progressivement.
Soudain, nous entendîmes l’estomac de ma fille gronder.
—
Le petit déjeuner s’impose, souris-je. Tu veux le prendre au lit ou
est-ce que tu veux d’abord te doucher, et on le prend à la cuisine ?
— Au lit, et je prendrais un bain après.
— D’accord…
Je
m’imaginais déjà pénétrant dans la salle de bain pour m’assurer que
l’eau était à bonne température. J’improviserais la suite selon ses
envies.
— Glisse-toi sous les draps et fait semblant de dormir… Je reviens très vite, dis-je en l’embrassant langoureusement.
Ses
lèvres me manquaient déjà lorsque je me séparai de ma fille. Je
soupirai d’émerveillement en la regardant fermer les yeux, le sourire
sur les lèvres.
Quelques minutes plus tard, j’étais de retour
dans ma chambre avec nos cafés fumants et des viennoiseries. Je posai le
plateau sur la table de chevet et me glissai entre les draps.
— Bonjour Princesse, murmurai-je en embrassant délicatement ma fille.
Elle ouvrit les yeux, m’enlaça et répondit à mon baiser.
— Bonjour, beau Prince.
J’étais partagé entre l’envie de la câliner et l’appétit qui dévorait mes entrailles.
— On mange pendant que c’est encore chaud ? demandai-je.
— Oui, sourit-elle.
Je sentis les draps se soulever tandis que je me tournais pour prendre le plateau.
— Oh ! Papa… Tu es tout nu… dit-elle.
Son
ton moqueur me rappela celui que ma fille avait pris, alors qu’elle
n’était qu’une toute petite fille, la première fois qu’elle m’avait
surpris nu.
— Hééééé ! fis-je, interloqué.
— Quoi ? J’aime ton corps, il est… parfait… lança-t-elle d’un ton suave.
— Pour ça, je l’ai bien remarqué, dis-je sur le même ton. J’adore ta façon de le regarder, le caresser et l’embrasser…
Nous discutions en déjeunant :
— Tu es sorti à la boulangerie ? demanda-t-elle, surprise en découvrant les viennoiseries.
— Oui, c’est pour ça que je me suis levé tôt. Et voilà comment je me fais punir…
Ma fille se mit à rire.
—
J’aime beaucoup tes lingeries. Tu me fais découvrir toute une gamme de
textures que je ne connaissais pas. J’ai l’impression d’être un petit
garçon qui découvre ses sens du toucher et de la vue.
— Merci ; ça fait plaisir.
— Tout le plaisir est pour moi, surtout…
— Ah ! Non ! Parce que c’est trop bon quand tu te frottes contre moi comme tout à l’heure.
—
Plaisir partagé, dis-je en lui adressant un clin d’œil. D’ailleurs, je
veux bien participer à ton budget lingerie dans ce cas-là.
— Tu l’as déjà fait puisque c’est avec mon argent de poche que je l’ai achetée.
— Oui, mais j’aimerais beaucoup t’accompagner la prochaine fois.
— Ça pourrait être amusant, sourit-elle mystérieusement.
— J’aurais aimé que tu m’en dises un peu plus sur tes fantasmes, lançai-je.
J’étais curieux de savoir si je répondais à ses attentes.
— C’est exactement ce que l’on fait, sauf que je n’avais jamais imaginé que tu me donnerais autant de plaisir.
Je souris, fier de moi.
—
Je voulais que ce soit doux et sensuel ; c’est pour ça que je n’ai pas
compris pourquoi tu m’avais dit que ce serait malsain et pervers si on
faisait l’amour ensemble.
— À cause de la différence d’âge. Et puis,
j’étais choqué que tu me dises vouloir faire l’amour avec un
trentenaire. À aucun moment je n’ai imaginé qu’il s’agissait de moi.
— C’est pour ça que je t’ai conseillé de te regarder dans un miroir, rit-elle.
— Oh ! Vraiment très drôle, dis-je sur un ton sarcastique… Moi aussi, je désirais la même chose que toi.
Nous
nous embrassâmes tendrement. Une grande complicité nous rapprochait
plus encore. Rassasié, je sortis du lit pour faire couler le bain de ma
fille. J’y ajoutai une grande quantité de bain moussant pour lui faire
beaucoup de mousse : elle adore ça. Jessica me sourit et détailla mon
corps d’un regard appréciateur lorsque je revins dans la chambre.
— Pourquoi tu te caches ? demanda-t-elle, tandis que je m’allongeais à ses côtés.
—
Par pudeur, sans doute : je n’ai pas l’habitude de me promener nu
devant toi, souris-je. Et puis, tu ne devrais pas me regarder comme ça !
— Ah bon… Pourquoi ?
— Parce que… je suis ton père, répondis-je en imitant la réplique de Dark Vador dans Star Wars.
— Ce n’est plus une raison valable, rit-elle.
Ma fille passa ses bras autour de mon cou et me chevaucha.
— Tu fais quoi, là ? demandai-je, surpris.
— Un câlin, m’embrassa-t-elle sur la joue.
— Tu as besoin de me monter dessus pour me faire un câlin ?
Elle rit de bon cœur en se blottissant dans mes bras.
— C’est plus pratique, sourit-elle.
— Et plus dangereux aussi… Tu as vu ce qu’il s’est passé tout à l’heure ?
— J’ai beaucoup aimé, sourit-elle.
—
Moi aussi… Mais demain soir, je vais te chercher à la sortie des cours
pour t’emmener voir un médecin. Il est urgent que tu prennes une
contraception.
— Tu as raison… Ça arrive plus vite qu’on le pense, rit-elle.
— Oui, et je n’ai pas trop envie de me retrouver Papa et Papy en même temps, souris-je.
Ma fille rit plus fort encore.
— Hééé ! Doucement : tu pourrais me donner encore envie à remuer comme ça…
Elle me lança un regard espiègle.
— Tu as encore envie ? Et moi qui pensais t’avoir donné du plaisir pour au moins une semaine… plaisantai-je.
Jessica me lança un regard surpris. Puis son expression devint sérieuse.
— Tu penses que c’est pas normal que j’aie autant envie ?
— Non, pas du tout, souris-je.
— Tu penses que c’est important, le sexe dans un couple ?
— Autant que la communication. J’estime que quand on aime l’autre, on le désire.
— Tu aimes faire l’amour ?
— Bien sûr.
— J’ai de la chance, alors, parce que tu fais super bien l’amour, sourit-elle.
— Raconte pas ça à tes copines : elles seraient très jalouses, plaisantai-je.
— Ça, c’est sûr, rit-elle.
J’aimais son rire angélique.
— Oh ! Est-ce que tu portes des sous-vêtements sous ton kimono ? demanda-t-elle soudainement.
Sa question me surprit et me fit sourire. La blondinette n’était pas si innocente que ça, finalement.
— Tu n’auras qu’à venir vérifier par toi-même lorsque je m’entraînerai demain soir, lui proposai-je.
Je vis son regard s’enflammer.
Nous
restâmes quelques instants blottis dans les bras l’un de l’autre à
discuter et nous embrasser. Puis, je me levai pour vérifier la
température du bain.
— L’eau est prête et il y a beaucoup de mousse, annonçai-je. Tu peux y aller.
— Merci.
J’en profitai pour débarrasser le plateau du petit déjeuner et faire la vaisselle.
J’ouvris
discrètement la porte de la salle de bain. La pièce était très chaude
et vaporeuse. Ma fille était totalement allongée dans la grande
baignoire. Seul son visage était émergé. Les yeux fermés, elle souriait
paisiblement. La mousse épaisse m’empêchait de voir son merveilleux
corps. Je m’agenouillai sur le sol et posai mon menton sur mes
avant-bras appuyés sur le rebord de la baignoire. Je la regardais,
attendri.
Soudain, ma fille ouvrit les yeux et se releva brusquement.
— Papa… balbutia-t-elle, visiblement surprise.
L’eau coulait en cascade de ses cheveux qui camouflaient ses tétons.
— Je suis venu voir si la température te convenait, souris-je.
— Oui, elle est parfaite ; merci.
— Je peux vérifier ?
Je glissai ma main dans l’eau, sans la quitter des yeux. Je frôlai un genou.
— Tu dois avoir très chaud, non ?
J’effleurai sa cuisse, remontant vers son tendre coquillage.
— Non, ça va, soupira-t-elle.
Mon doigt glissa sur son clito et s’inséra dans son intimité.
— C’est pourtant brûlant, là…
Ma
fille écarta ses cuisses et je commençai de doux va-et-vient. Je la
sentais s’humidifier sur mes doigts. Je l’admirais gémir, ses yeux
accrochés aux miens.
Ses mains agrippèrent la mienne tandis que son
bassin ondulait, accompagnant l’intensité de la pénétration de mon doigt
en elle. Ma fille criait son plaisir, les yeux mi-clos. Son corps se
tendait vers l’extase qui la gagnait et la transportait. De mon doigt
habile, je courtisais son clito glissant. Celui-ci tentait de
m’échapper. Aussi je l’emprisonnai entre mon pouce et mon index pour le
caresser intensément. La jouissance submergea ma belle, la faisant
vibrer de plaisir.
Je remontai ma main le long de son ventre, le
caressant tendrement. J’écartai les cheveux de ses seins pour les
effleurer et les caresser librement. Je les pris en coupe et les massai
délicatement. Je passais mes pouces entre eux, en faisant de lents
va-et-vient. Je me noyais dans ses prunelles bleu lagon brûlantes de
désir. Ma fille gémissait, comprenant désormais le sens de mes caresses.
Elle
sortit une main de l’eau et frôla mon sexe nu et en érection. Ce
contact nous fit tous les deux soupirer de désir. Sa main trempée et
mousseuse se referma sur ma verge, l’entreprenant de doux va-et-vient.
Sa main glissait toute seule sur mon membre. Je la laissai me caresser à
sa guise, plus ou moins intensément.
Je me mis debout, dominant
ma fille de toute ma hauteur. Je caressai tendrement sa joue et ses
cheveux afin d’adoucir cette position inégale. La blondinette me sourit
et prit une grande quantité de mousse, dont elle se servit pour
camoufler mon sexe et mes testicules. Puis elle reprit ses caresses en
massant doucement ces derniers. C’était vraiment agréable.
Sa
deuxième main rejoint la première sur mon membre. Ma fille intensifia
aussitôt ses caresses, entreprenant ma verge de longs et rapides
va-et-vient. Je gémissais, ondulant du bassin pour les accompagner. Je
me laissais aller entre ses douces mains qui guidaient mon plaisir.
— Attention, Princesse ! Je jouis… gémis-je.
Je
caressai sa joue en la regardant. Ses yeux gourmands fixés sur mon
sexe, entre ses mains, attendaient patiemment ma gloire. Je gémissais et
criais de plaisir. Mon corps se révulsa tandis que mon sperme
jaillissait sur ses seins.
Ma fille me souriait en caressant
doucement mon sexe. Elle n’avait pas besoin de mots pour me faire
comprendre que cela lui avait plu. J’aimais m’abandonner à ses caresses,
m’offrir totalement. Je ressentais ce puissant sentiment de lui
appartenir. J’étais perdu dans mes émotions et dans son regard
affectueux lorsqu’elle embrassa tendrement mon gland.
— Eh bien… J’espère que tu n’aimes pas plus mon sexe que tu m’aimes, moi ! lui dis-je, attendri par la douceur de son baiser.
— Non, rit-elle.
Je
l’embrassai tendrement en prenant son beau visage entre mes mains. Je
m’agenouillai sur le sol sans quitter ses lèvres. Notre étreinte était
passionnée. Sa délicieuse langue sensuelle caressait la mienne. Nous
échangeâmes un doux baiser et je la serrai tendrement dans mes bras. Je
l’entendis pousser un long soupir de bien-être qui m’attendrit.
J’embrassai doucement son front.
Je pris l’eau mousseuse du bain pour nettoyer sa peau.
— Regarde-moi ça : je t’en ai mis partout, dis-je affectueusement.
Mes gestes étaient caressants et soignés. Ma fille sourit et se cambra en arrière pour offrir ses seins à mes caresses.
— Eh bien ! Petite coquine…
— C’est bon… dit-elle d’une voix suave.
Ma fille me lança un regard brûlant, un sourire envoûtant sur ses lèvres.
La
poitrine rincée, je l’aidai à se mettre debout. Je pris du gel douche
dans le creux de ma paume et frottai mes mains l’une contre l’autre. Je
les appliquai sur son buste. Ma fille me sourit et j’entrepris de la
laver soigneusement. Sa peau moussait abondamment sous mes caresses.
J’appréciais la façon dont mes mains glissaient sur ses seins dressés.
Je m’attardais sur eux pour les câliner.
— J’adore… murmurai-je. T’es toute douce…
Je
lavai son ventre et son pubis. Ma fille écarta ses jambes pour
m’encourager vers son intimité. Je souris, mais ne cédai pas à son
invitation. Je lavai ses jambes, puis l’aidai à se tourner pour me
donner son dos. Je repris du gel douche et le lui savonnai aussi
soigneusement. Mes mains glissèrent sur son sublime fessier arrondi, qui
se tendit sous mes tendres caresses.
— J’adore tes jolies fesses…
Elle tourna son visage souriant vers moi.
Je
glissai doucement ma main dans sa raie. Mes doigts rencontrèrent son
anus fermé, son vagin trempé et son clito qui se dressa aussitôt. Je le
lui caressai comme elle m’avait dit apprécier. Je sentis son anneau se
détendre doucement. Ma fille appuya ses avant-bras sur le mur, écarta
ses jambes et se cambra. Ses yeux admiraient mon corps et ses lèvres
soupiraient. Son intimité offerte inondait mes doigts tandis que son
anneau s’ouvrait doucement. Il m’attirait inévitablement.
Je
changeai le sens de mes caresses. Je me servis de mon pouce pour
caresser son anus et de deux doigts pour flatter son vagin et son clito.
J’entamai de doux va-et-vient de part et d’autre de son périnée. Ma
fille, gémissante, se cambra plus encore.
— Tu te caresses souvent la raie ?
J’avais très envie d’elle. Malgré mes jouissances précédentes, mon sexe tendu était encore prêt à la satisfaire.
— J’ai découvert ça ce matin, murmura-t-elle entre deux gémissements.
— Dommage que je n’étais pas là, dis-je, déçu.
Ma
fille rougit et baissa la tête. Je me suis demandé si elle était
embarrassée parce que je souhaitais assister à ses découvertes, ou si
elle avait poussé l’exploration de son corps au point d’en ressentir de
la honte.
J’entrepris de caresser son clito glissant entre mes
doigts trempés, en faisant des petits cercles sur son anus avec mon
pouce. Celui-ci se dilata sous mes douces caresses. Ma fille gémissait
plus fort. Elle se cambra plus encore en me regardant droit dans les
yeux. J’avais envie d’insérer délicatement mon pouce entre ses fesses
offertes. Son regard m’y encourageait, mais je résistais à la délicieuse
tentation.
Sa cambrure m’offrait une merveilleuse vue sur son
intimité dégoulinante d’envie et son anus dilaté. Je désirais ardemment
frotter tendrement mon sexe tendu sur ses orifices avant de les pénétrer
délicatement tour à tour. Ma fille, gémissante, ondulait du bassin sur
mes doigts. Ses fesses caressaient mon membre, accentuant mon
excitation. Son désir faisait plaisir à voir.
— Tu me donnes envie de te faire de très vilaines choses…
— Oh, Papa… Fais-moi tout ce que tu veux ! s’écria-t-elle en me lançant un regard fiévreux.
J’embrassai
son dos, rapprochant ainsi mon corps du sien. Ma fille déplaça son
bassin pour prendre mon sexe entre ses fesses. Surpris, je retirai mes
mains de son entrejambe. J’admirais sa raie faire de doux va-et-vient
sur ma hampe. Mon gland jutait sur ses orifices dilatés. J’attrapai
fermement ses hanches pour accompagner ces excitants mouvements. Mon
désir prenait le dessus sur ma raison.
Soudain, je relevai le torse de ma fille et la serrai dans mes bras.
— Oh, je t’aime, Princesse ! lançai-je d’une voix rauque et essoufflée contre sa joue.
— J’ai très envie de toi, m’embrassa-t-elle.
Je
lui rendis son baiser en caressant ses seins, puis je glissai mes mains
entre ses jambes. Son intimité avala entièrement les deux doigts que je
lui présentais. Je caressais son clito en même temps. Plaquée contre
mon corps, son plaisir m’appartenait. Ma fille s’agrippait à ma nuque.
Son bassin effectuait des va-et-vient sur mon sexe qui glissait entre
ses fesses. Excité, mais contrôlant la situation, j’accompagnais ses
mouvements. Nous gémissions en nous embrassant. Et c’est ensemble que
nous atteignîmes l’orgasme.
Nos corps tremblaient de plaisir
tandis que nous restions enlacés et que nous nous embrassions
tendrement. Je rinçai ses reins et son dos, témoins de mon plaisir. Je
l’embrassai, puis je partis me doucher dans ma salle de bain
personnelle.
Auteure : Feeling
Lisez la suite bientôt
Un récit haut en couleurs (les 14 premiers chapitres) ! Je ne sais pas comment finira l'histoire. En tout cas, cette relation coupable n'a pas l'air de détruire cette jeune fille et de lui rendre impossible par la suite la découverte d'un VERITABLE amour (non incestueux).
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