mercredi 22 juillet 2015

Un père admirable (13)

Relisez le chapitre 12

[Jessica est seule dans son lit]

Je me réveillais doucement, tirée du sommeil par le soleil qui illuminait ma chambre. Un tissu soyeux rouge profond, posé à côté de mon oreiller, attira mon regard. Je l’attrapai et reconnus le boxer que mon père portait la veille au soir lorsqu’il était venu dans ma chambre. Le souvenir de son corps nu au-dessus de moi m’enflamma. Je ressentais encore la caresse sensuelle de son sexe entre mes seins, la douceur de son gland entre mes lèvres, le goût délicieux de sa sève qui s’écoulait sur ma langue et se mêlait à ma salive.

Le corps frissonnant d’envie de revivre cet instant magique, je sortis de ma chambre. C’est en petite culotte et top noirs en satin, le boxer à la main, que je me dirigeai vers celle de mon père. Je regrettai un instant de ne pas m’être dévêtue. Ainsi, nue contre lui, il aurait senti mon désir et j’aurais pu profiter de ses caresses sans qu’il perde le temps de me déshabiller. Même s’il le faisait merveilleusement bien. Un filet de mouille s’écoula de mon corps vibrant de l’envie de se glisser entre ces draps interdits et de se blottir entre ses bras protecteurs.

Je poussai discrètement la porte. Cette fois, il n’était pas question que je lui donne du plaisir dans son sommeil. J’étais décidée à le réveiller doucement en l’embrassant et le caressant partout avec ma bouche, mes mains et mon corps. La lumière du jour filtrait faiblement par l’embrasure des volets. M’habituant à la faible clarté, je m’aperçus, déçue, que mon père n’était pas dans son lit. Je décidai d’aller voir s’il se trouvait dans sa salle de bain. Celle-ci, attenante à la chambre, était désespérément vide. Une merveilleuse idée de vengeance traversa mon esprit et me fit sourire. Pour pimenter ma perversion, je décidai qu’une photo comme preuve serait la bienvenue. Je retournai dans ma chambre en hâte pour récupérer mon portable et revins dans la chambre de mon père. Je posai le mobile sur la table de chevet et me déshabillai.

J’ouvris les draps du lit et m’allongeai confortablement. Ceux-ci et l’oreiller étaient imprégnés de sa merveilleuse odeur enchanteresse. Elle me faisait brûler de désir chaque fois que je la respirais. J’attrapai le boxer de mon père et en humai la fragrance virile. Appréciant la douceur du textile, j’en caressai sensuellement mon corps en prenant soin de m’attarder sur mes parties les plus sensibles. Je n’hésitai pas à le frotter sur mon intimité humide afin de le souiller convenablement.

J’enfilai le boxer couvert de mouille ; je le trouvais confortable et appréciais la douceur du lycra sur ma peau. Savoir que mon père l’avait porté avant moi et avait eu une belle érection dedans m’excitait. Je m’allongeai sur le dos, les jambes légèrement écartées. Je caressais ma peau du bout des doigts. J’effleurais mes seins, mon ventre, le boxer, ma minette. Je remontai doucement ma main vers mes seins pour les caresser encore, puis je l’introduisis dans le boxer. Je pris mon abricot dans le creux de ma paume. Il était déjà très juteux. Je caressais uniquement son dos, passant très furtivement sur mon bouton qui durcissait.

Mon envie était très forte, mais je voulais prendre le temps de me faire l’amour comme mon père le faisait. Je passai mes deux mains par-dessus son boxer et touchai mon bouton et mes lèvres. Un flot de mouille inonda aussitôt le tissu, me faisant gémir. Je les remontai lentement sur mes seins pour les caresser doucement. J’effleurai mes mamelons et mes petits tétons déjà dressés du bout des doigts. Ceux-ci, encore trempés de mouille, glissaient facilement sur ma peau douce, me laissant frissonnante sur leur passage.

Je descendis une main sur le boxer pour caresser mon pubis et narguer mon bouton par-dessus le tissu. Je l’introduisis dans le textile en écartant largement mes jambes. J’entrepris de m’infliger la même sentence. Puis je me retournai sur le ventre en relevant légèrement les fesses. Je me les caressai avec la même douceur que celle qu’avait employée mon père. J’utilisai deux doigts pour faire de lents va-et-vient dans ma raie, de sa naissance jusqu’à mon bouton gonflé et bien dur. Je tirai sur le tissu trempé afin qu’il épouse bien ma peau. Je passai ma main sous moi et fis les mêmes mouvements, de mon bouton à l’entrée de mon vagin. Toute excitée, j’accompagnais ce geste en ondulant du bassin. Je recommençai comme précédemment en caressant ma raie. Je sentais mon anus s’ouvrir sous le frottement de mes doigts. Je trouvais cela excitant de me sentir ouverte des deux côtés.

Je me retournai de nouveau sur le dos. Introduisant les deux mains dans le boxer de mon père, je me servis de l’une pour caresser mon bouton et de l’autre – passée entre mes fesses – pour insérer délicatement un doigt dans mon intimité brûlante et accueillante. La pénétration, d’abord douce, devint rapide et profonde. Comme je mouillais abondamment sur mes doigts, je pouvais entendre des clapotis. Je gémissais sans retenue en faisant des mouvements pressants du bassin. Mon désir impérieux et la vague de plaisir qui m’habitaient me témoignaient l’arrivée imminente de l’orgasme.

Je décidai que c’était le bon moment pour faire une belle photo. J’allumai la lampe de chevet et attrapai mon portable. La main sur la minette, dans le boxer, la bouche entre-ouverte et le regard provocateur, c’était fait. Je m’assurai que le résultat soit convenable. En premier plan, j’avais une merveilleuse vue sur le textile inondé. Au second plan, je pouvais voir mon bras qui passait sur mon ventre, laissant deviner où se cachait ma main. Et au troisième plan, mon visage souriant – entre mes seins dressés – regardait l’objectif. Ravie de ma photo, je reposai le portable et repris mes activités.

Mon plaisir retrouva très rapidement son entrain. Je me retournai sur le ventre. Les mains toujours à l’intérieur du boxer, l’une passée sous moi caressait activement mon bouton. Et de l’autre, j’avais introduit un doigt dans mon vagin. Je m’imaginais chevauchant mon père comme la veille. J’ondulais du bassin de la même façon que je m’étais frottée sur son sexe. Toute excitée, j’insérai délicatement un deuxième doigt dans mon intimité. Ils glissaient très facilement. Je me pénétrais rapidement et profondément. J’imaginais la verge de mon père au plus profond de moi tandis que je me caresserais le bouton. Prise par l’intensité de mon excitation et de mon plaisir, je me laissai aller à fantasmer ouvertement.

— Plus fort, papa, gémis-je.

J’intensifiais mes pénétrations, comme mon désir et mon corps les réclamaient.

— Oh ! Oui… Comme ça !

Mon bassin suivait le rythme. Mes sensations étaient si réelles que j’avais cette merveilleuse impression d’être pénétrée.

— Oh ! Papa… Tu m’fais jouir…

L’orgasme très intense me submergeait, mais je n’arrêtais ni ne ralentissais la cadence de la pénétration, comme si je jouissais sur son sexe. Je criai mon plaisir dans l’oreiller qui ne couvrait pas mes cris. Je poursuivis les va-et-vient dans mon intimité pendant encore quelques minutes. Mon plaisir ne faiblissant pas, j’avais l’impression qu’il pouvait durer encore longtemps. Toujours les fesses en l’air, je retirai doucement mes doigts en gémissant. Un long filet de mouille les accompagna. Je tapotai ma minette pour la remercier de tout le plaisir qu’elle m’avait donné.

En remontant doucement la main le long de ma raie, je fus surprise de sentir mon anus ouvert. Je caressai doucement cet anneau humide en faisant des cercles autour de lui. J’appuyai doucement l’extrémité de mon index sur son entrée en la massant. Le sentant glisser vers l’intérieur, j’introduisis une phalange. Je partais lentement à l’exploration de ces parois qui s’élargissaient sur son passage. Elles étaient serrées, mais semblaient élastiques. Le toucher était agréable et cela me procurait un certain plaisir. Je décidai de continuer mon exploration pour voir jusqu’où je pourrais enfoncer mon doigt. Je fus surprise de constater qu’il y glissait entièrement sans rencontrer de résistance. Ce tunnel était très doux et, contrairement à mon vagin, ne formait aucune aspérité.
Souhaitant savoir s’il pouvait me procurer autant de plaisir que ce dernier, j’entrepris de très lents va-et-vient. J’appréciai beaucoup la caresse, certes, mais pour le reste c’était différent. Je pensais qu’il serait intéressant d’exploiter cela la prochaine fois que je caresserais mon bouton. Il suffisait peut-être que je sois excitée pour que mon anus me donne du plaisir.

Ravie de cette décision, je sortis du lit de mon père. Jetant un coup d’œil dans la pièce, je découvris qu’il ne m’avait ni épiée, ni surprise. Je décidai qu’il valait mieux que je garde l’exploration des mystères de mon anatomie pour moi. J’avais bien trop peur qu’il m’interdise de mettre mon doigt dans mon anus, comme il l’avait fait pour mon nez ! S’il trouvait que se gratter les narines c’était dégoûtant, qu’est-ce qu’il dirait s’il l’apprenait ?

Je retirai son boxer et m’essuyai soigneusement les parties intimes avec jusqu’à être complètement sèche. Ce qui eut pour effet d’inonder plus encore le tissu ; je me retrouvai avec les mains pleines de mouille. Je me rhabillai et refis le lit proprement avant d’utiliser la salle de bain pour me laver les mains.

Le temps était venu de mettre ma vengeance à exécution. Je récupérai mon portable et envoyai la photo de mes ébats solitaires, accompagnée de la légende « voici ce que je fais quand je ne trouve pas dans ton lit », à mon père.

Je sortais de sa chambre alors que celui-ci montait les escaliers. Il me trouva sur le palier.

— Bonjour, Papa, souris-je.
— Bonjour, ma chérie, m’embrassa-t-il sur la joue.

Il me prit dans ses bras en me lançant un regard hésitant et inquisiteur. Ses yeux parcoururent sa chambre, dans mon dos, avant de revenir sur moi.

— Tu cherches quelque chose ? demandai-je sournoisement.
— Mon boxer rouge ; tu ne l’aurais pas vu ?

Bien sûr que si … Même que je le cachais derrière mon dos !

— Celui-ci ? demandai-je.

Je brandis le textile visiblement humide qui diffusait mon odeur intime. Je vis ses yeux noisette s’enflammer de désir.

— Oui… Où était-il ?
— Tu l’as oublié à côté de mon oreiller hier soir.

Son visage rougit violemment. C’était risible et adorable.

— Je constate que tu t’es bien amusée avec, dit-il en me le prenant des mains.

Je sentis son sexe durcir contre ma hanche tandis qu’il malaxait son boxer souillé entre ses doigts.

— Je suis déçu d’avoir raté quelque chose de très intéressant, déclara-t-il en me montrant le message que je lui ai envoyé. J’ai cru que tu m’invitais…
— Eh non ! J’ai été très déçue de ne pas t’avoir trouvé, alors je me suis vengée.

— Attends, ce n’est pas juste ! s’écria-t-il. J’étais en train de préparer le petit déjeuner pour te le porter au lit !
— Mais je suis pas malade…

Mon père sourit, visiblement amusé.

— Oh ! Mais il n’y a pas besoin d’être malade pour prendre le petit déjeuner au lit. On passe un moment agréable en mangeant ensemble, et après on se fait de très longs câlins jusqu’à avoir de nouveau faim, sans sortir des draps.
— Ouah… Génial ! Je retourne me coucher, alors…
— Oh ! Pas si vite, petite chipie ! s’exclama-t-il en m’étreignant fortement.

Son sexe bien dur se pressa douloureusement contre mon ventre. Son envie communicative me fit gémir.

— Je voudrais m’assurer que je peux te faire encore plus mouiller et te donner bien plus de plaisir que toi, toute seule.

Joignant le geste à la parole, je sentis ses merveilleux doigts venir caresser mon bouton qui se dressa aussitôt. Mon intimité s’ouvrit au passage de ces intrus et les inonda. Ses yeux dans les miens et un sourire provocant sur les lèvres, il me faisait comprendre que je lui appartenais totalement. Mon corps lui obéissait et s’abandonnait à ses caresses. Mes gémissements brisaient le silence de notre étreinte. Quelques secondes suffirent à ses doigts pour me faire atteindre l’extase. Secouée de violents spasmes, je m’accrochai encore plus fortement à lui.

Mon père me sourit et m’embrassa fougueusement. Je gémis en sentant sa langue si douce et si sensuelle s’introduire entre mes lèvres, tandis qu’un doigt s’immisçait dans mon intimité pour entama de doux va-et-vient qui me firent crier contre sa bouche. De bruyants clapotis témoignaient mon plaisir et mon envie. Désirant ardemment jouir encore sur ses doigts, j’entrepris de caresser mon bouton tout trempé.

— Oooh… fit-il, agréablement surpris en regardant ma main entre mes jambes. Humm, j’adore… T’en veux un deuxième ?

Sans même attendre de réponse, je sentis un deuxième doigt s’insérer délicatement dans mon intimité et entamer des va-et-vient plus intenses. Cela m’excitait de me tenir debout, les jambes écartées, et de voir nos deux mains me donner du plaisir. Nos corps pressés l’un contre l’autre ondulaient harmonieusement. Quelques merveilleuses petites minutes plus tard, un orgasme me foudroyait. Les bras forts de mon père maintenaient mon corps de coton qui ne m’obéissait et ne m’appartenait plus. Sa bouche dévorait la mienne, étouffant faiblement mes cris.

Lorsque je fus enfin calmée et que je pus tenir de nouveau en équilibre, mon père s’agenouilla entre mes jambes. Il déposa un baiser sur ma minette par-dessus ma culotte. Sa langue vint caresser mon bouton encore dressé. Il vibra à ce contact. Mon père lécha ma peau sous la bordure du tissu soyeux, puis il l’écarta pour conquérir mon intimité. Les lèvres emprisonnées dans sa bouche, il était prêt à me dévorer. Je passais déjà mes mains dans ses cheveux, acceptant de m’offrir entièrement. Sa douce langue habile m’expédia rapidement au septième ciel et se faufila dans les profondeurs bouillonnantes d’envie de mon intimité. Elle caressa de nouveau mon bouton. Cette fois, je n’eus pas le temps de souffler qu’un deuxième orgasme me dévasta.

Mon père maintenait fermement mon bassin entre ses bras puissants. Je ne pouvais échapper à sa langue dévastatrice. Mes orgasmes se succédaient sans me laisser le temps de reprendre mon souffle. Ils devinrent si proches que je n’arrivais plus à distinguer leur début et leur fin. Ma gorge et ma bouche étaient sèches et douloureuses à force de crier. La violence de mon plaisir m’obligeait à contrôler ma force et mes gestes afin qu’ils ne soient pas brusques ni incontrôlés envers mon père. Je maintenais fermement son visage entre mes mains, caressant parfois tendrement ses joues pour m’excuser. Ses yeux ne quittaient pas les miens, si bien que je pouvais y lire le plaisir qui brûlait dans ses prunelles noisette lorsque je croisais son regard.

Lorsqu’enfin il relâcha la pression de ses bras sur mon bassin, je m’écroulai sur le sol. Mes jambes étaient incapables de me soutenir. Mon corps, transporté par la violence d’un orgasme, se révulsait encore de plaisir. Mon père avait rattrapé mes membres inférieurs dans ma chute afin de l’amortir. Il me regardait en souriant fièrement, assis sur ses pieds.

— Tu vas me tuer… murmurai-je douloureusement, la gorge sèche.
— Ça serait une très belle mort… sans doute la plus merveilleuse…

Je l’admirais, complètement ailleurs. Je le trouvais beau et sensuel, avec ses yeux brillants et son sourire éblouissant qui étirait sa bouche humide de mouille. Son sexe était si tendu qu’il paraissait pouvoir faire exploser son jean d’un moment à l’autre. Une envie de le satisfaire me traversa et me fit retrouver mes esprits.

Auteure : Feeling

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