CHAPITRE 3 : Interlude
Il ne me reste malheureusement plus qu’une vidéo pour en découvrir plus sur cette fille. J’espère en apprendre un peu plus. Que va-t-elle me réserver ? Peut-être que celle-ci me mènera chez la dame. Une seule façon de le savoir, c’est de la lancer.
Je suis surpris par ce nouveau décor. Enfin, pas si nouveau que ça puisque je reconnais rapidement les tenues aux couleurs pastel des serveurs. Je suis à l’intérieur de L’Interlude. Il semble que j’ai fini par franchir la porte. La caméra est posée sur la table, probablement cachée à l’intérieur de ma mallette. Je suis visiblement installé dans un coin de la salle.
Ma nymphette apparaît à l’image un café à la main. Elle me sert, puis reste là à discuter avec moi, pour enfin, au bout d’une minute environ, s’asseoir à ma table afin de poursuivre la conversation plus à son aise. Elle tourne le dos aux autres personnes. Dommage de ne pas avoir le son et de ne pas savoir lire sur les lèvres : j’aimerais bien connaître nos sujets de discussion. Comme ça a l’air parti pour un long dialogue, j’essaie de mettre la vidéo plus loin. J’ai la surprise de voir sa chemise indécemment – mais pas complètement – ouverte. On a une vue sur son joli soutien-gorge noir. Je remets en arrière pour découvrir comment les choses ont débuté. Après plusieurs essais, je trouve le moment où la situation semble partir.
Visiblement, ma serveuse semble agitée après une phrase que j’ai dû lui dire. On voit ma main sur l’écran glisser sur la table un billet dans sa direction. Ma nymphe sourit nerveusement, lance des regards inquiets à droite et à gauche, se mord la lèvre et s’empare du billet. Une lueur s’est allumée dans son regard ; elle me fait craquer. On y lit son envie perverse de se soumettre à mes caprices. Personne autour ne nous observe, le patron n’est pas dans les alentours ; la garce défait lentement trois boutons de sa chemise. Elle écarte les pans de son vêtement et me permet d’apercevoir la dentelle de son soutien-gorge. Elle jette des coups d’œil pour vérifier que personne ne soupçonne son manège. Après un certain temps, elle cache de nouveau sa poitrine en me lançant un regard malicieux. La discussion reprend, elle rit, elle écarte plusieurs fois sa chemise le temps d’un instant.
Je vois ma main tendre deux autres billets. Hésitante, elle les prend. Voilà deux nouveaux boutons qui sautent. Elle écarte sa chemise en me fixant de son regard envoûtant. Elle passe une main sous le tissu et la laisse glisser sur son ventre, sa poitrine et sa nuque. Purée, ce n’est peut-être pas grand-chose, mais ça me fait un effet dingue ! La sensualité de son geste a déclenché un ouragan en moi. Elle est en train de s’exhiber devant un client en plein sur son lieu de travail ! Tournant le dos à ses collègues et aux autres clients, je suis le seul à profiter du spectacle, mais elle risque fort de se faire surprendre. Cette fille n’a décidément pas froid aux yeux.
Et le show ne s’arrête pas là puisque ses mains libèrent un sein de sa prison de tissu. Elle se caresse devant moi sans aucune pudeur. Une fierté brille dans ses yeux ; elle devait aimer l’effet qu’elle me faisait ce jour-là. Elle roule son téton entre ses doigts. Elle passe sa langue sur ses lèvres en affichant un air de salope. Je me demande comment j’ai fait pour ne pas me jeter sur elle... D’un simple regard, elle est capable de déclencher un incendie en moi. Imaginez donc l’état dans lequel je suis maintenant ! J’ai beau avoir éjaculé un peu plus tôt, mon sexe est déjà prêt pour un autre round.
Mais, probablement pour me narguer, elle met fin à son spectacle et remet de l’ordre dans sa tenue. La discussion reprend. Elle semble m’écouter dire quelque chose. Quoi, je ne sais pas, mais à son expression je devine que ça ne lui plaît pas vraiment. Elle me fait non de la tête. Je glisse ce coup-ci trois billets vers elle : nouveau non. J’en ajoute un autre : même résultat. Je ne sais pas ce que je lui ai demandé, mais ça a eu l’air d’éteindre toutes ses ardeurs. Elle commence à se relever. Non ! Ça ne peut pas se finir maintenant ! Je me vois tendre une main brusquement et l’attraper par le poignet pour la retenir. Elle parvient à se libérer, me lance un regard mi surpris, mi furieux et m’abandonne.
Merde, j’ai gâché le spectacle avec mon insistance. J’ai dû trop lui en demander. Je me maudis. Finalement, en y réfléchissant de plus près, c’est plutôt de sa faute. Elle était prête à tout et d’un coup se dégonfle. Elle n’a pas assumé son rôle de pute. Bon, mettons ma rage de côté et concentrons-nous pour savoir comment la retrouver. L’Interlude est une bonne piste. Une rapide recherche sur le net m’indique où il se situe. Je n’ai plus qu’à prendre ma voiture et aller y faire un tour. Avec un peu de chance, ma nymphette sera là et je pourrai la soumettre à toutes mes envies.
Il ne me faut que quelques minutes pour retrouver le fameux bar.
Je jette un coup d’œil à l'intérieur : aucune trace de ma garce préférée. J'hésite, puis je me décide finalement à entrer à l'intérieur. J'ai revêtu un imper, des lunettes de soleil et une casquette. Je me sens ridicule dans cette tenue qui était censée me faire passer inaperçu, mais qui doit plus attirer l'attention qu'autre chose. Tant pis, c'est trop tard pour changer ; je franchis la porte.
J’entre ainsi dans le café et vais m'asseoir à une table dans un coin. Je pose ma mallette sur le bord de la table. La caméra à l'intérieur doit avoir un bon angle sur la pièce. Je regarde rapidement la carte et jette un coup d’œil autour de moi. Je ne repère toujours pas ma nymphette. Mais où est-elle, bon sang ? Il me faut la retrouver. Elle m'obsède tellement !
— Je sais pourquoi vous êtes ici.
Je suis surpris par l'arrivée d'une serveuse blonde âgée d’environ la quarantaine.
— Émilie n'est pas là, poursuit-elle devant mon regard surpris.
Émilie ? C'est donc comme cela qu'elle se nomme. Joli prénom ! La serveuse me reconnaît donc. Elle pourra peut-être me renseigner un peu plus sur ma nymphette.
— Oh, je suppose qu'elle est en congé, dis-je.
— Non. Elle est censée travailler toute la semaine, mais cela fait quelques jours qu'elle ne s'est pas présentée.
— Rien de grave, j'espère ? fais-je, l'air inquiet.
— Vous savez, ce n'est pas la première fois qu'elle manque des jours de boulot. Mais là, elle abuse vraiment. Si elle continue, même son cul ne pourra pas la sauver.
— Comment cela ?
— Eh bien, je la soupçonne de se faire tringler par le patron. Ce n'est pas possible qu'elle ait gardé si longtemps sa place.
Je ne sais pas quel crédit je peux apporter à ses soupçons ; elle dit peut-être cela juste par jalousie, mais en tout cas, cette serveuse semble bien bavarde. Tant mieux, je pourrai peut-être en apprendre plus grâce à elle.
— Vraiment ? Et pouvez-vous m'en dire plus sur cette Émilie ? l'encouragé-je à poursuivre.
— On va faire un marché tous les deux, déclare-t-elle. Mon service finit dans quelques minutes ; raccompagnez-moi chez moi et je vous dirai tout ce que vous voulez savoir.
— OK, ça me va.
— Très bien. Au fait, moi c'est Chantal.
— Eh bien, enchanté, Chantal. Je m'appelle Matthieu.
— Enchantée, Matthieu. Je vous sers quoi ?
— Ah oui, un simple café noir, sans sucre s'il vous plaît.
C'est parfait ! Elle est d'accord pour me lâcher tout ce qu'elle sait. Je vais enfin en savoir plus sur cette Émilie. Chantal m'apporte ensuite mon café que je déguste lentement en attendant la fin de son service. Je profite de ce temps pour l'observer plus en détail. C'est une femme plutôt jolie et aux belles formes. Elle a le regard pétillant, de fines lèvres, un petit nez aquilin adorable. Ses cheveux dorés sont attachés en queue-de-cheval. Sa tenue de travail met bien son corps en valeur et la rend très attirante.
Enfin, après un certain temps, elle se dirige vers la porte du personnel et me jette un coup d’œil complice avant de la franchir. Je comprends qu'elle a ainsi fini son service. Je prends ma mallette, éteins la caméra à l'intérieur, me lève, paie l'addition et sors afin d'attendre ma serveuse.
Il ne lui faut pas longtemps pour sortir à son tour.
— Vous avez une voiture ? me demande-t-elle.
— Euh, oui, bien sûr. Par ici, fais-je.
Elle m'attrape la main en me lançant un sourire espiègle. Elle a l'air d’être assez joueuse. Nous avançons ainsi jusqu'à ma voiture. Je lui ouvre la portière pour lui permettre de monter du côté passager. Je m'installe à mon tour, jette la mallette sur le siège arrière, démarre et me dirige dans la direction qu'elle m'indique.
— Vous savez, lance Chantal, Émilie n'est pas le genre de fille à fréquenter. Elle vous fera perdre la tête tôt ou tard.
— Je prends le risque.
— Elle est fiancée, affirme-t-elle. Vous êtes au courant ?
— Oui, j'avais cru comprendre cela. Vous a-t-elle parlé de moi ?
— Pas vraiment. J'ai bien remarqué qu'elle ne vous laissait pas indifférent les dernières fois où je vous ai vu, et je lui en ai fait la remarque. Nous avons ensuite toutes les deux plaisanté à votre sujet. Après – elle ne l'a jamais confirmé – mais en évoquant votre sujet, j'ai très bien vu qu'il s'était passé quelque chose entre vous.
Chantal m'indique ensuite de tourner à droite et d'emprunter une longue route jusqu'au prochain rond-point.
— Je ne sais pas ce que vous attendez d'elle exactement, mais je vous dis cela pour que vous ne vous fassiez pas trop d'illusions, reprend-elle. N'espérez pas obtenir quoi que ce soit d'elle. Émilie est une femme qui n'en fait qu'à sa tête.
— Qu'est-ce qui vous fait dire cela ?
— Eh bien, Émilie est fiancée, à un riche parti en plus, et pas moche du tout, sympathique et cultivé. Cet homme lui paie tout : son appart’, ses fringues. Bref, tout ce dont elle a besoin. Non, vraiment, un tas de femmes rêveraient être à sa place. Mais elle, elle se contente de perdre son temps comme serveuse dans un café minable et va jusqu'à coucher avec notre patron pour garder sa place qui ne lui sert à rien. Je ne vois pas pourquoi elle ferait cela, à part si elle y prenait du plaisir. Il n'y a aucune logique. Et en plus de cela, il y a vous, et peut-être d’autres encore ! Tournez à droite maintenant. Dans deux cents mètres il y a un parking, vous pouvez vous garer ici.
Je suis ses instructions et me gare entre deux voitures. Je remarque que Chantal semble nerveuse.
— Elle vous a sucé pour de l'argent, n'est-ce-pas ? lâche-t-elle après avoir pris une grande inspiration.
— Pardon ? Qu'est-ce qui vous fait dire cela ?
— C'est la fois que vous lui avez laissée un gros pourboire. Elle m'a dit pour plaisanter un truc du genre : « Tu as vu ce qu'il me laisse pour un café ? Pour une pipe, il me laisserait combien d'après toi ? » Seulement, si le ton était plaisantin, son regard était bien différent. Il était excité. Je suis sûre qu'elle se posait vraiment la question. Alors, vous a-t-elle sucé ?
— Oui, avoué-je.
— Et c'est pour cela que vous la cherchez ?
— En partie, oui.
— Si vous voulez, lance-t-elle hésitante, je peux le faire à sa place.
— Pardon ? fais-je, surpris.
— Ben oui, je pourrais moi aussi vous sucer en échange de quelques billets. J'ai bien plus besoin d'argent qu'elle. Je suis mère célibataire de deux enfants, et j'ai vraiment du mal à boucler mes fins de mois. S'il vous plaît, laissez-moi vous sucer.
— Vous êtes sûre ?
— J'ai vraiment besoin d'argent, insiste-t-elle. Et puis, vous êtes plutôt pas mal bâti, ça ne devrait pas être trop désagréable.
— Bon, OK. On fait ça chez toi, je suppose.
— Non, on va le faire ici. Chez moi, ma mère s'occupe des petits.
Eh ben, si je m'attendais à ça ! Je ne vais pas refuser cette offre, bien au contraire. Chantal détache sa ceinture de sécurité tandis que je recule un peu mon siège et me mets à l'aise. Ma ceinture de sécurité vole à son tour tandis que mon autre ceinture la suit peu de temps après.
Chantal se penche vers mon entrejambe et commence doucement à me caresser. Elle tire lentement la braguette et engouffre sa main à l'intérieur de mon pantalon. Elle me frotte la verge à travers le boxer. Cette dernière durcit peu à peu et gagne en volume. Afin de lui permettre une expansion optimale, je fais glisser mon pantalon et mon boxer. Mon sexe se retrouve donc à l'air libre sous le regard décidé de Chantal. Elle continue de le caresser délicatement, enroule et déroule ses petits doigts autour et libère mon gland de sa coquille de peau. Ses attouchements sont très agréables. Je sens que je vais passer un très plaisant moment.
— Attends avant de commencer, lui fais-je soudain.
Je me penche vers l'arrière pour récupérer la mallette là où je l'avais laissée. Je sors la caméra et la rallume. Je ne tiens pas à manquer le spectacle. Chantal me lance un regard de reproche – elle n'a pas l'air d'apprécier l'idée – mais je lui fais comprendre de continuer sans rien dire. Après tout, c'est moi qui paie !
Le visage de Chantal s'approche de plus en plus de mon membre, si bien que je finis par sentir son souffle chaud sur mon gland. Elle semble malgré tout hésitante. Finalement elle se décide et sa bouche plonge pour se refermer sur mon gland. Une décharge me traverse à ce contact. Elle reste un moment immobile puis commence par un léger mouvement de va-et-vient. Des coups de langue timides viennent titiller mon gland. Hum, c'est délicieux. Je suis pris d'une vague de frissons.
Sa langue s'enhardit et se met à explorer minutieusement les contours de mon gland. Ses lèvres engouffrent de plus en plus mon sexe. Elle semble finalement s'être bien décidée à aller jusqu'au bout.
La pression de ses lèvres se fait plus forte, sa langue se fait plus présente et plus gourmande. La chaleur de sa bouche me fait fondre doucement. C'est si bon ! Ma respiration s'accélère sous l'effet du plaisir qui monte en moi. Sa bouche quitte finalement mon pieu de chair pour aller se repaître de mes bourses. Tandis qu'elle me lèche doucement les couilles, une main me masturbe doucement. Chantal finit par me gober une boule, puis elle se décide à me reprendre en bouche. Ses lèvres font de mon sexe leur prisonnier. Sa bouche me tète, me suçote et m'aspire. Son visage glisse le long de mon sexe. Je ne cache pas à Chantal le plaisir qu'elle est en train de me fournir. Elle semble plutôt fière d'elle. Dans ma main, la caméra ne rate rien du merveilleux spectacle.
Je vois ma bite pénétrer et sortir inlassablement de sa bouche ; Chantal me pompe avec un plaisir de moins en moins dissimulé. Elle me suce avec gourmandise, me lèche avec voracité et savoure les moindres recoins. J'ai comme l'impression qu'elle n'a pas connu de sexe masculin depuis un bon bout de temps.
Elle doit maintenant sentir les palpitations qui agitent mon sexe. J'accompagne sa belle fellation de quelques mouvements de bassin. Je sens que je ne suis plus très loin de jouir maintenant. La situation est très excitante. Cette femme est en train de me tailler une merveilleuse pipe dans ma voiture garée sur le parking à côté de son immeuble. Il n'y a pas beaucoup de passage, mais un voisin pourrait quand même nous surprendre. Chantal est prête à courir ce risque. Elle préfère cela plutôt que de le faire discrètement chez elle. Malgré ses enfants et sa mère, je suppose qu'on aurait pu trouver un moyen de le faire. Elle ne veut sans doute pas me présenter à sa mère afin de cacher notre arrangement. Quoi qu'il en soit, la situation me convient quand même. Le risque de se faire surprendre apporte toujours une plus grande excitation.
Le goût du risque m'a toujours attiré un maximum. Je me souviens du jour où j'ai découvert cela. Je n'avais pas encore fondé mon entreprise, et j'étais l'un des meilleurs éléments de mon patron. Il avait une totale confiance en moi. C'est pour ça que quand sa jeune fille – Margot si je ne me trompe pas de prénom – est venue faire un stage dans son entreprise, c'est à moi qu’il a confié la charge de s'occuper d'elle. Seulement, la petite n'était pas aussi sage, malgré ses airs de fille à papa bien élevée. J'ai très vite compris que son air sérieux cachait une fille bien chaude. Je n'ai donc pas mis longtemps à me faire la petite. Je l’ai grimpée quasiment tous les jours, au risque de me faire surprendre par des collègues ou mon patron. J'étais incapable de me retenir malgré le risque. Je risquais de perdre mon boulot si notre relation était découverte. C'est ce qui est finalement arrivé lorsque j'étais en train de défoncer la petite dans le bureau de mon boss qui était censé être en déplacement. Il nous a surpris et j'ai perdu mon boulot, mais pas mon goût du risque.
Quels merveilleux souvenirs ! Dommage que j'aie perdu le contact avec cette jeune nympho par la suite. Je n'ai malheureusement jamais retrouvé un tel niveau d'excitation, et avec ma propre entreprise par la suite, j'ai eu beaucoup moins de temps à consacrer à des conquêtes féminines.
Mais voilà, je sens que ma vie est aujourd'hui sur un nouveau tournant. Cette Émilie a l'air d'être une sacrée garce ! Bien que la situation soit différente, j'ai bien l'impression qu'elle a beaucoup à m'apporter, qu'elle peut m'offrir une excitation similaire. Elle m'a sucé malgré ses fiançailles. Et maintenant, j'ai aussi l'occasion de me servir de Chantal. Comment ai-je pu rester si longtemps si loin de ces plaisirs ?
Chantal continue de mon pomper frénétiquement la bite. Elle y met vraiment tout son cœur. Je sens que je vais souvent en profiter. Le plaisir m'a complètement envahi. Je le sens vibrer jusqu'au bout de mes doigts. La tête me tourne, et les souvenirs dans lesquels j'ai précédemment vagabondé s'estompent peu à peu. Mon corps se concentre sur mon orgasme qui est maintenant très proche. Encore deux coups de langue bien placés et j'explose par saccades dans la merveilleuse bouche de cette quadragénaire. Je la sens laper ma semence afin de ne pas en perdre une goutte.
Elle termine finalement sa tâche et me laisse me rhabiller. Je fouille dans mon portefeuille et en sors plusieurs billets que je lui transmets. Elle me remercie et griffonne plusieurs chiffres sur un bout de papier.
— Appelle-moi quand tu en as besoin, me fait-elle en me tendant le bout de papier. Je verrai ce que je peux faire pour toi.
Je range le papier dans mon portefeuille, lui fais la bise et la laisse descendre. La caméra qui n'a rien manqué des derniers événements la filme jusqu'à l'entrée de son immeuble. Une fois la porte franchie, je coupe la vidéo et démarre la voiture.
Il ne me reste malheureusement plus qu’une vidéo pour en découvrir plus sur cette fille. J’espère en apprendre un peu plus. Que va-t-elle me réserver ? Peut-être que celle-ci me mènera chez la dame. Une seule façon de le savoir, c’est de la lancer.
Je suis surpris par ce nouveau décor. Enfin, pas si nouveau que ça puisque je reconnais rapidement les tenues aux couleurs pastel des serveurs. Je suis à l’intérieur de L’Interlude. Il semble que j’ai fini par franchir la porte. La caméra est posée sur la table, probablement cachée à l’intérieur de ma mallette. Je suis visiblement installé dans un coin de la salle.
Ma nymphette apparaît à l’image un café à la main. Elle me sert, puis reste là à discuter avec moi, pour enfin, au bout d’une minute environ, s’asseoir à ma table afin de poursuivre la conversation plus à son aise. Elle tourne le dos aux autres personnes. Dommage de ne pas avoir le son et de ne pas savoir lire sur les lèvres : j’aimerais bien connaître nos sujets de discussion. Comme ça a l’air parti pour un long dialogue, j’essaie de mettre la vidéo plus loin. J’ai la surprise de voir sa chemise indécemment – mais pas complètement – ouverte. On a une vue sur son joli soutien-gorge noir. Je remets en arrière pour découvrir comment les choses ont débuté. Après plusieurs essais, je trouve le moment où la situation semble partir.
Visiblement, ma serveuse semble agitée après une phrase que j’ai dû lui dire. On voit ma main sur l’écran glisser sur la table un billet dans sa direction. Ma nymphe sourit nerveusement, lance des regards inquiets à droite et à gauche, se mord la lèvre et s’empare du billet. Une lueur s’est allumée dans son regard ; elle me fait craquer. On y lit son envie perverse de se soumettre à mes caprices. Personne autour ne nous observe, le patron n’est pas dans les alentours ; la garce défait lentement trois boutons de sa chemise. Elle écarte les pans de son vêtement et me permet d’apercevoir la dentelle de son soutien-gorge. Elle jette des coups d’œil pour vérifier que personne ne soupçonne son manège. Après un certain temps, elle cache de nouveau sa poitrine en me lançant un regard malicieux. La discussion reprend, elle rit, elle écarte plusieurs fois sa chemise le temps d’un instant.
Je vois ma main tendre deux autres billets. Hésitante, elle les prend. Voilà deux nouveaux boutons qui sautent. Elle écarte sa chemise en me fixant de son regard envoûtant. Elle passe une main sous le tissu et la laisse glisser sur son ventre, sa poitrine et sa nuque. Purée, ce n’est peut-être pas grand-chose, mais ça me fait un effet dingue ! La sensualité de son geste a déclenché un ouragan en moi. Elle est en train de s’exhiber devant un client en plein sur son lieu de travail ! Tournant le dos à ses collègues et aux autres clients, je suis le seul à profiter du spectacle, mais elle risque fort de se faire surprendre. Cette fille n’a décidément pas froid aux yeux.
Et le show ne s’arrête pas là puisque ses mains libèrent un sein de sa prison de tissu. Elle se caresse devant moi sans aucune pudeur. Une fierté brille dans ses yeux ; elle devait aimer l’effet qu’elle me faisait ce jour-là. Elle roule son téton entre ses doigts. Elle passe sa langue sur ses lèvres en affichant un air de salope. Je me demande comment j’ai fait pour ne pas me jeter sur elle... D’un simple regard, elle est capable de déclencher un incendie en moi. Imaginez donc l’état dans lequel je suis maintenant ! J’ai beau avoir éjaculé un peu plus tôt, mon sexe est déjà prêt pour un autre round.
Mais, probablement pour me narguer, elle met fin à son spectacle et remet de l’ordre dans sa tenue. La discussion reprend. Elle semble m’écouter dire quelque chose. Quoi, je ne sais pas, mais à son expression je devine que ça ne lui plaît pas vraiment. Elle me fait non de la tête. Je glisse ce coup-ci trois billets vers elle : nouveau non. J’en ajoute un autre : même résultat. Je ne sais pas ce que je lui ai demandé, mais ça a eu l’air d’éteindre toutes ses ardeurs. Elle commence à se relever. Non ! Ça ne peut pas se finir maintenant ! Je me vois tendre une main brusquement et l’attraper par le poignet pour la retenir. Elle parvient à se libérer, me lance un regard mi surpris, mi furieux et m’abandonne.
Merde, j’ai gâché le spectacle avec mon insistance. J’ai dû trop lui en demander. Je me maudis. Finalement, en y réfléchissant de plus près, c’est plutôt de sa faute. Elle était prête à tout et d’un coup se dégonfle. Elle n’a pas assumé son rôle de pute. Bon, mettons ma rage de côté et concentrons-nous pour savoir comment la retrouver. L’Interlude est une bonne piste. Une rapide recherche sur le net m’indique où il se situe. Je n’ai plus qu’à prendre ma voiture et aller y faire un tour. Avec un peu de chance, ma nymphette sera là et je pourrai la soumettre à toutes mes envies.
Il ne me faut que quelques minutes pour retrouver le fameux bar.
Je jette un coup d’œil à l'intérieur : aucune trace de ma garce préférée. J'hésite, puis je me décide finalement à entrer à l'intérieur. J'ai revêtu un imper, des lunettes de soleil et une casquette. Je me sens ridicule dans cette tenue qui était censée me faire passer inaperçu, mais qui doit plus attirer l'attention qu'autre chose. Tant pis, c'est trop tard pour changer ; je franchis la porte.
J’entre ainsi dans le café et vais m'asseoir à une table dans un coin. Je pose ma mallette sur le bord de la table. La caméra à l'intérieur doit avoir un bon angle sur la pièce. Je regarde rapidement la carte et jette un coup d’œil autour de moi. Je ne repère toujours pas ma nymphette. Mais où est-elle, bon sang ? Il me faut la retrouver. Elle m'obsède tellement !
— Je sais pourquoi vous êtes ici.
Je suis surpris par l'arrivée d'une serveuse blonde âgée d’environ la quarantaine.
— Émilie n'est pas là, poursuit-elle devant mon regard surpris.
Émilie ? C'est donc comme cela qu'elle se nomme. Joli prénom ! La serveuse me reconnaît donc. Elle pourra peut-être me renseigner un peu plus sur ma nymphette.
— Oh, je suppose qu'elle est en congé, dis-je.
— Non. Elle est censée travailler toute la semaine, mais cela fait quelques jours qu'elle ne s'est pas présentée.
— Rien de grave, j'espère ? fais-je, l'air inquiet.
— Vous savez, ce n'est pas la première fois qu'elle manque des jours de boulot. Mais là, elle abuse vraiment. Si elle continue, même son cul ne pourra pas la sauver.
— Comment cela ?
— Eh bien, je la soupçonne de se faire tringler par le patron. Ce n'est pas possible qu'elle ait gardé si longtemps sa place.
Je ne sais pas quel crédit je peux apporter à ses soupçons ; elle dit peut-être cela juste par jalousie, mais en tout cas, cette serveuse semble bien bavarde. Tant mieux, je pourrai peut-être en apprendre plus grâce à elle.
— Vraiment ? Et pouvez-vous m'en dire plus sur cette Émilie ? l'encouragé-je à poursuivre.
— On va faire un marché tous les deux, déclare-t-elle. Mon service finit dans quelques minutes ; raccompagnez-moi chez moi et je vous dirai tout ce que vous voulez savoir.
— OK, ça me va.
— Très bien. Au fait, moi c'est Chantal.
— Eh bien, enchanté, Chantal. Je m'appelle Matthieu.
— Enchantée, Matthieu. Je vous sers quoi ?
— Ah oui, un simple café noir, sans sucre s'il vous plaît.
C'est parfait ! Elle est d'accord pour me lâcher tout ce qu'elle sait. Je vais enfin en savoir plus sur cette Émilie. Chantal m'apporte ensuite mon café que je déguste lentement en attendant la fin de son service. Je profite de ce temps pour l'observer plus en détail. C'est une femme plutôt jolie et aux belles formes. Elle a le regard pétillant, de fines lèvres, un petit nez aquilin adorable. Ses cheveux dorés sont attachés en queue-de-cheval. Sa tenue de travail met bien son corps en valeur et la rend très attirante.
Enfin, après un certain temps, elle se dirige vers la porte du personnel et me jette un coup d’œil complice avant de la franchir. Je comprends qu'elle a ainsi fini son service. Je prends ma mallette, éteins la caméra à l'intérieur, me lève, paie l'addition et sors afin d'attendre ma serveuse.
Il ne lui faut pas longtemps pour sortir à son tour.
— Vous avez une voiture ? me demande-t-elle.
— Euh, oui, bien sûr. Par ici, fais-je.
Elle m'attrape la main en me lançant un sourire espiègle. Elle a l'air d’être assez joueuse. Nous avançons ainsi jusqu'à ma voiture. Je lui ouvre la portière pour lui permettre de monter du côté passager. Je m'installe à mon tour, jette la mallette sur le siège arrière, démarre et me dirige dans la direction qu'elle m'indique.
— Vous savez, lance Chantal, Émilie n'est pas le genre de fille à fréquenter. Elle vous fera perdre la tête tôt ou tard.
— Je prends le risque.
— Elle est fiancée, affirme-t-elle. Vous êtes au courant ?
— Oui, j'avais cru comprendre cela. Vous a-t-elle parlé de moi ?
— Pas vraiment. J'ai bien remarqué qu'elle ne vous laissait pas indifférent les dernières fois où je vous ai vu, et je lui en ai fait la remarque. Nous avons ensuite toutes les deux plaisanté à votre sujet. Après – elle ne l'a jamais confirmé – mais en évoquant votre sujet, j'ai très bien vu qu'il s'était passé quelque chose entre vous.
Chantal m'indique ensuite de tourner à droite et d'emprunter une longue route jusqu'au prochain rond-point.
— Je ne sais pas ce que vous attendez d'elle exactement, mais je vous dis cela pour que vous ne vous fassiez pas trop d'illusions, reprend-elle. N'espérez pas obtenir quoi que ce soit d'elle. Émilie est une femme qui n'en fait qu'à sa tête.
— Qu'est-ce qui vous fait dire cela ?
— Eh bien, Émilie est fiancée, à un riche parti en plus, et pas moche du tout, sympathique et cultivé. Cet homme lui paie tout : son appart’, ses fringues. Bref, tout ce dont elle a besoin. Non, vraiment, un tas de femmes rêveraient être à sa place. Mais elle, elle se contente de perdre son temps comme serveuse dans un café minable et va jusqu'à coucher avec notre patron pour garder sa place qui ne lui sert à rien. Je ne vois pas pourquoi elle ferait cela, à part si elle y prenait du plaisir. Il n'y a aucune logique. Et en plus de cela, il y a vous, et peut-être d’autres encore ! Tournez à droite maintenant. Dans deux cents mètres il y a un parking, vous pouvez vous garer ici.
Je suis ses instructions et me gare entre deux voitures. Je remarque que Chantal semble nerveuse.
— Elle vous a sucé pour de l'argent, n'est-ce-pas ? lâche-t-elle après avoir pris une grande inspiration.
— Pardon ? Qu'est-ce qui vous fait dire cela ?
— C'est la fois que vous lui avez laissée un gros pourboire. Elle m'a dit pour plaisanter un truc du genre : « Tu as vu ce qu'il me laisse pour un café ? Pour une pipe, il me laisserait combien d'après toi ? » Seulement, si le ton était plaisantin, son regard était bien différent. Il était excité. Je suis sûre qu'elle se posait vraiment la question. Alors, vous a-t-elle sucé ?
— Oui, avoué-je.
— Et c'est pour cela que vous la cherchez ?
— En partie, oui.
— Si vous voulez, lance-t-elle hésitante, je peux le faire à sa place.
— Pardon ? fais-je, surpris.
— Ben oui, je pourrais moi aussi vous sucer en échange de quelques billets. J'ai bien plus besoin d'argent qu'elle. Je suis mère célibataire de deux enfants, et j'ai vraiment du mal à boucler mes fins de mois. S'il vous plaît, laissez-moi vous sucer.
— Vous êtes sûre ?
— J'ai vraiment besoin d'argent, insiste-t-elle. Et puis, vous êtes plutôt pas mal bâti, ça ne devrait pas être trop désagréable.
— Bon, OK. On fait ça chez toi, je suppose.
— Non, on va le faire ici. Chez moi, ma mère s'occupe des petits.
Eh ben, si je m'attendais à ça ! Je ne vais pas refuser cette offre, bien au contraire. Chantal détache sa ceinture de sécurité tandis que je recule un peu mon siège et me mets à l'aise. Ma ceinture de sécurité vole à son tour tandis que mon autre ceinture la suit peu de temps après.
Chantal se penche vers mon entrejambe et commence doucement à me caresser. Elle tire lentement la braguette et engouffre sa main à l'intérieur de mon pantalon. Elle me frotte la verge à travers le boxer. Cette dernière durcit peu à peu et gagne en volume. Afin de lui permettre une expansion optimale, je fais glisser mon pantalon et mon boxer. Mon sexe se retrouve donc à l'air libre sous le regard décidé de Chantal. Elle continue de le caresser délicatement, enroule et déroule ses petits doigts autour et libère mon gland de sa coquille de peau. Ses attouchements sont très agréables. Je sens que je vais passer un très plaisant moment.
— Attends avant de commencer, lui fais-je soudain.
Je me penche vers l'arrière pour récupérer la mallette là où je l'avais laissée. Je sors la caméra et la rallume. Je ne tiens pas à manquer le spectacle. Chantal me lance un regard de reproche – elle n'a pas l'air d'apprécier l'idée – mais je lui fais comprendre de continuer sans rien dire. Après tout, c'est moi qui paie !
Le visage de Chantal s'approche de plus en plus de mon membre, si bien que je finis par sentir son souffle chaud sur mon gland. Elle semble malgré tout hésitante. Finalement elle se décide et sa bouche plonge pour se refermer sur mon gland. Une décharge me traverse à ce contact. Elle reste un moment immobile puis commence par un léger mouvement de va-et-vient. Des coups de langue timides viennent titiller mon gland. Hum, c'est délicieux. Je suis pris d'une vague de frissons.
Sa langue s'enhardit et se met à explorer minutieusement les contours de mon gland. Ses lèvres engouffrent de plus en plus mon sexe. Elle semble finalement s'être bien décidée à aller jusqu'au bout.
La pression de ses lèvres se fait plus forte, sa langue se fait plus présente et plus gourmande. La chaleur de sa bouche me fait fondre doucement. C'est si bon ! Ma respiration s'accélère sous l'effet du plaisir qui monte en moi. Sa bouche quitte finalement mon pieu de chair pour aller se repaître de mes bourses. Tandis qu'elle me lèche doucement les couilles, une main me masturbe doucement. Chantal finit par me gober une boule, puis elle se décide à me reprendre en bouche. Ses lèvres font de mon sexe leur prisonnier. Sa bouche me tète, me suçote et m'aspire. Son visage glisse le long de mon sexe. Je ne cache pas à Chantal le plaisir qu'elle est en train de me fournir. Elle semble plutôt fière d'elle. Dans ma main, la caméra ne rate rien du merveilleux spectacle.
Je vois ma bite pénétrer et sortir inlassablement de sa bouche ; Chantal me pompe avec un plaisir de moins en moins dissimulé. Elle me suce avec gourmandise, me lèche avec voracité et savoure les moindres recoins. J'ai comme l'impression qu'elle n'a pas connu de sexe masculin depuis un bon bout de temps.
Elle doit maintenant sentir les palpitations qui agitent mon sexe. J'accompagne sa belle fellation de quelques mouvements de bassin. Je sens que je ne suis plus très loin de jouir maintenant. La situation est très excitante. Cette femme est en train de me tailler une merveilleuse pipe dans ma voiture garée sur le parking à côté de son immeuble. Il n'y a pas beaucoup de passage, mais un voisin pourrait quand même nous surprendre. Chantal est prête à courir ce risque. Elle préfère cela plutôt que de le faire discrètement chez elle. Malgré ses enfants et sa mère, je suppose qu'on aurait pu trouver un moyen de le faire. Elle ne veut sans doute pas me présenter à sa mère afin de cacher notre arrangement. Quoi qu'il en soit, la situation me convient quand même. Le risque de se faire surprendre apporte toujours une plus grande excitation.
Le goût du risque m'a toujours attiré un maximum. Je me souviens du jour où j'ai découvert cela. Je n'avais pas encore fondé mon entreprise, et j'étais l'un des meilleurs éléments de mon patron. Il avait une totale confiance en moi. C'est pour ça que quand sa jeune fille – Margot si je ne me trompe pas de prénom – est venue faire un stage dans son entreprise, c'est à moi qu’il a confié la charge de s'occuper d'elle. Seulement, la petite n'était pas aussi sage, malgré ses airs de fille à papa bien élevée. J'ai très vite compris que son air sérieux cachait une fille bien chaude. Je n'ai donc pas mis longtemps à me faire la petite. Je l’ai grimpée quasiment tous les jours, au risque de me faire surprendre par des collègues ou mon patron. J'étais incapable de me retenir malgré le risque. Je risquais de perdre mon boulot si notre relation était découverte. C'est ce qui est finalement arrivé lorsque j'étais en train de défoncer la petite dans le bureau de mon boss qui était censé être en déplacement. Il nous a surpris et j'ai perdu mon boulot, mais pas mon goût du risque.
Quels merveilleux souvenirs ! Dommage que j'aie perdu le contact avec cette jeune nympho par la suite. Je n'ai malheureusement jamais retrouvé un tel niveau d'excitation, et avec ma propre entreprise par la suite, j'ai eu beaucoup moins de temps à consacrer à des conquêtes féminines.
Mais voilà, je sens que ma vie est aujourd'hui sur un nouveau tournant. Cette Émilie a l'air d'être une sacrée garce ! Bien que la situation soit différente, j'ai bien l'impression qu'elle a beaucoup à m'apporter, qu'elle peut m'offrir une excitation similaire. Elle m'a sucé malgré ses fiançailles. Et maintenant, j'ai aussi l'occasion de me servir de Chantal. Comment ai-je pu rester si longtemps si loin de ces plaisirs ?
Chantal continue de mon pomper frénétiquement la bite. Elle y met vraiment tout son cœur. Je sens que je vais souvent en profiter. Le plaisir m'a complètement envahi. Je le sens vibrer jusqu'au bout de mes doigts. La tête me tourne, et les souvenirs dans lesquels j'ai précédemment vagabondé s'estompent peu à peu. Mon corps se concentre sur mon orgasme qui est maintenant très proche. Encore deux coups de langue bien placés et j'explose par saccades dans la merveilleuse bouche de cette quadragénaire. Je la sens laper ma semence afin de ne pas en perdre une goutte.
Elle termine finalement sa tâche et me laisse me rhabiller. Je fouille dans mon portefeuille et en sors plusieurs billets que je lui transmets. Elle me remercie et griffonne plusieurs chiffres sur un bout de papier.
— Appelle-moi quand tu en as besoin, me fait-elle en me tendant le bout de papier. Je verrai ce que je peux faire pour toi.
Je range le papier dans mon portefeuille, lui fais la bise et la laisse descendre. La caméra qui n'a rien manqué des derniers événements la filme jusqu'à l'entrée de son immeuble. Une fois la porte franchie, je coupe la vidéo et démarre la voiture.
Auteur : Nathan Kari
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