Chapitre 2
Posologie pour Laura
Je
me suis tellement amusé avec la première de mes « patientes » que
j’espère pouvoir réitérer avec celle qui se présente à mon domicile le
lendemain soir ; il s’agit de la petite brune timide, Laura. Là, le pari
est plus audacieux, car plus coincée que cette petite nana, j’ai
rarement vu. Cependant, j’ai remarqué que lors des sessions de coaching
que j’ai proposées, elle était volontaire, toujours prête à essayer,
mais sans trop montrer son intérêt, surtout à la blonde d’hier à la
personnalité un peu écrasante.
À peine entrée, elle se débarrasse
de son pull informe en laine et me révèle une plastique des plus
attrayantes. Comme on dit aujourd’hui, elle est super gaulée. Jolie
postérieur galbé, des seins pas trop gros mais bien ronds, une taille
fine, et un port de tête délicat. Elle porte un léger maquillage et
s’est habillée plus légèrement : un pantalon de lin blanc quasi
transparent (je le constate dès son entrée), un tee-shirt-débardeur et
ses éternelles ballerines noires. Hors des locaux de son entreprise,
elle se révèle un peu.
Comme pour sa collègue, je l’invite à
quelques exercices pour tester sa réceptivité puis parviens, sans mal, à
la mettre en état de transe hypnotique. Comme Léa avant elle, je
l’interroge sur ses collègues :
— Laura, vous dormez
profondément, et ma voix et le seul lien avec la réalité. Vous êtes
bien, et en confiance. Parlez-moi de vos collègues.
— Je ne les aime pas : une pimbêche prétentieuse, un vieux pervers, et une salope déguisée en chef.
Intéressant. Pas pratique pour les objectifs fixés par son patron, mais intéressant.
— Laura, parlez-moi de vous. Qu’est-ce qui ne va pas dans votre vie ?
À
peine ai-je prononcé cette phrase qu’elle se met à pleurer et m’énonce,
un à un, tous les malheurs de sa vie. Je ne l’interromps pas mais
comprends qu’elle vient de se faire larguer par son mec, qu’elle a 30
ans et qu’il l’a quittée pour une femme « moins coincée du cul », que sa
vie est foutue, qu’elle lui a tout donné à ce salaud, mais que cela
n’était pas suffisant. L’occasion est trop belle ; je lance un hameçon :
— Que lui manquait-il ?
— Apparemment, je suis coincée au lit.
— Développez. Qu’est-ce que vous ne faites pas et qu’il aurait aimé ?
— Je n’ai jamais voulu qu’il jouisse dans ma bouche, et je refuse la sodomie. Tout cela est trop sale.
— On va…
— Aidez-moi, Docteur !
C’est la première fois que l’on m’appelle ainsi ; je ne suis ni médecin ni psy, mais si cela lui fait plaisir...
—
Laura, je vais décompter de dix à zéro. À zéro, vous vous éveillerez
tout à fait en pleine forme, pleine d’entrain et convaincue qu’il est
nécessaire de vous entendre avec vos collègues.
Tout le long de
cet étrange échange, je fais des gestes dans la direction de son visage,
des claquements de doigts près de son oreille, cherchant à savoir si
elle est vraiment plongée dans l’état d’hypnose ou si elle me fait un
numéro. Mais il semble qu’elle est profondément enfoncée dans le
sommeil.
— Dix. Vous êtes bien, toujours endormie, vous
m’écoutez. Yves, Nathalie et Léa ont le même objectif que vous :
réussir, soyez-en sûre.
— Neuf. Vos collègues ont aussi envie de réussir, avec vous. Votre sommeil est toujours aussi profond.
—
Huit. Vous sentez cette chaleur envahir votre bas-ventre et votre anus ;
cela vous chauffe et éveille un désir profond et impérieux. Dorénavant,
lorsque JE prononcerai les mots « Laura dispo pour moi. » ce désir vous
reprendra et ne sera assouvi qu’après que je vous aie baisé le cul.
— Sept. Lorsque je prononcerai la phrase « Laura, dormez. », vous tomberez immédiatement dans le sommeil.
—
Six. Vous êtes toujours aussi bien. Vous vous sentez reposée, et vous
avez envie du bon goût du sperme dans votre bouche : c’est doux, chaud,
et la saveur vous manque. À partir de maintenant, vous éprouverez
régulièrement l’envie de faire de nouvelles séances d’hypnose avec moi.
—
Cinq. L’excitation a maintenant envahi votre sexe et votre cul ; vous
désirez par-dessus tout connaître le goût du sperme et le plaisir d’une
bonne sodomie. Rien de cela n’est sale.
— Quatre. Petit à petit, vous revenez vers la conscience. Vous avez passé un agréable moment.
— Trois. Vous allez oublier ce que je viens de vous implanter dans la tête ; vous ne vous souviendrez que d’un agréable moment.
— Deux. Vous êtes pleinement consciente, prête à tout, et parfaitement sereine.
— Un. Vous ouvrez les yeux.
Laura émerge du sommeil et semble ravie. Un large sourire illumine son visage.
— Comment vous sentez vous ?
— Bien ! Oui, vraiment bien.
Ses joues sont roses et elle semble avoir chaud.
— Que puis-je faire pour vous maintenant ? lui dis-je.
Elle semble gênée. Elle hésite avant de me répondre timidement :
— Qu’avons-nous évoqué pendant la séance ?
Tout de go je lui énonce :
—
Votre ressenti par rapport à vos collègues et vos soucis personnels,
qui sont remontés seuls et que vous m’avez expliqués avec quelques
détails.
— Quelques détails ? Vous m’inquiétez… Je ne vous ai pas parlé de ma vie intime au moins ?
— Si… Vous avez même été assez précise.
— Oh ! Mais je ne suis pas venue pour cela. Je suis si gênée...
Elle se lève et attrape son pull gris informe, s’emmitoufle dedans et se rue vers la porte sans même me saluer.
Étrange entretien que celui-ci.
Il
y a peine deux minutes que la porte a claqué que l’on frappe de
nouveau. C’est sûrement encore la timide Laura ; elle a dû oublier son
sac ou autre chose lui permettant de se cacher derrière.
***
Premier effet
J’ouvre
donc la porte, persuadé que Laura va entrer dans la pièce, reprendre ce
qu’elle a laissé et repartir sans un mot de plus et disparaître pour
aller cacher son trouble ou sa gêne dans le fond de son canapé. Même pas
sûr qu’elle continue de participer à cette expérimentation.
Mais ma surprise est grande quand en ouvrant je me retrouve, nez à nez, avec la blonde d’hier, Léa.
— Bonsoir, Léa, il est tard. Que puis-je faire pour vous ?
— Je suis très gênée, mais il faut que je vous parle. Je suis complétement « out ».
— Entrez, mettez-vous à l’aise ; Laura quitte à peine les lieux.
Elle
entre, et tout en refermant la porte je la détaille un peu. La jolie
blonde porte une jupe courte bleue, un peu serrée, un débardeur de la
même couleur et des escarpins assortis. Elle pose son sac près d’elle
sur le canapé où elle s’assoit.
— François, que m’avez-vous fait hier ?
— Juste une séance d’hypnose, avec peu de réussite d’ailleurs. Vous ne vous sentez pas mieux ?
—
Si, si, mais je dois vous avouer honteusement que je suis excitée au
plus haut point depuis cette « séance » ; mon sexe coule littéralement
en permanence. J’ai une envie terrible de faire l’amour, et aussi de
refaire une séance avec vous. C’est très bizarre, non ?
Là, c’est moi qui suis gêné. Le rouge me monte aux joues et j’essaie, tant bien que mal, de lui donner une explication.
— Peut-être a-t-on éveillé des désirs enfouis ?
— Ouais, mais je me sens si « down » que je me dis que peut-être vous pourriez m’aider.
Ma
théorie ne semble pas l’avoir convaincue – elle ne m’aurait pas
convaincu non plus – mais elle paraît prête à faire n’importe quoi pour
remédier à cette gêne physique.
— Peut-être que si vous faisiez l’amour avec votre compagnon ?
— Sans résultat : il ne m’a pas fait jouir, et j’ai toujours envie. Non, je crois que c’est vous qui devez m’aider.
— Vous aider comment ?
Je joue les innocents, faisant mine de ne pas comprendre. Elle me regarde, légèrement incrédule et ajoute :
— Make me love right now !
Et
pour me convaincre de son idée, elle se lève, se tourne, se met à
quatre pattes sur le sofa, remonte sa jupe sur ses reins, me dévoilant
une croupe divine dénuée de toute forme de tissu ; et me lançant un
regard de braise, elle m’ordonne :
— Pas besoin de préliminaires, prends moi maintenant !
L’invitation
ne se refuse pas : la belle blonde m’est offerte, et son cul est
appétissant. Depuis déjà un moment ma queue est dure dans mon pantalon
et je la cache en croisant les jambes. Je ne prends que la peine de
sortir mon sexe de son logement et l’enfile, sans préambule, dans le
volcan bouillonnant de Léa. À peine est-il enfilé que la belle feule,
râle, geint, commençant à se balancer d’avant en arrière. Même pas
besoin de bouger, elle fait tout, toute seule !
— Oh, putain, que c’est bon... Viens ! Come on, take me hard !
Je
ne vais pas me faire prier. Je cramponne alors ses hanches fines et
commence, moi aussi, à me balancer pour la baiser plus fort. Elle aime,
la marketeuse, elle aime se faire prendre brutalement. Alors je lui
donne tout ce que je peux. Je glisse ma main sous son ventre, cherchant
son bouton, qui, à peine l’ai-je effleuré, la conduit au plaisir. Elle
explose littéralement de jouissance et je l’accompagne bien volontiers,
jouissant puissamment au fond de son vagin.
— C’était divin ! J’aime ta queue. Je me sens bien mieux.
Elle
a dit cela en se levant, se penche, ramasse son sac, me gratifie d’un
baiser sur la joue et repart aussi vite que sa comparse il y a quelques
minutes à peine. La porte claque et je me retrouve seul, devant mon
canapé, la bite à la main, avec encore une goutte de sperme au bout.
Bon,
c’est un premier résultat ; pas tout à fait ce que son patron attend,
mais la méthode peut fonctionner. Demain, je reçois la femme aux cheveux
noirs : encore quelques infos croustillantes et, qui sait, peut-être un
autre résultat.
***
Deuxième effet
On
frappe à ma porte. On frappe encore à ma porte. Non, je dois rêver ; je
me tourne de l’autre côté dans mon lit. On frappe à la porte. Cette
fois-ci, j’en suis certain. Je jette un coup d’œil au réveil : 3 h 23.
Qui peut bien frapper ainsi à une heure si tardive ? On frappe à la
porte.
— Voilà, voilà, j’arrive. Une minute !
Dans la
pénombre, je quitte mon lit et rejoins le salon et j’allume la petite
lampe qui décore le guéridon de l’entrée. On frappe encore. Cela doit
être important pour venir en pleine nuit ; un voisin qui a un vrai
problème, un accident, un incendie ?
Je regarde par l’œilleton et découvre la jolie brunette, Laura. J’ouvre.
— Laura, il est 3 heures du matin, que se passe-t-il ? Vous avez eu un accident ?
Dans
la pénombre, je ne distingue pas bien ses traits. Mais elle n’a pas
l’air de souffrir. Elle me pousse pour entrer de force chez moi. Je la
laisse passer. Elle s’assoit sur le canapé, à la place même où, il y a
quelques heures, j’ai honoré sa collègue.
— J’ai un problème !
Je
m’assois en face d’elle, prenant garde à ne rien dévoiler de mon
anatomie. Je ne porte qu’un tee-shirt et un caleçon un peu lâche pour
dormir.
— Vu l’heure, oui, je confirme : vous devez avoir un gros problème.
Son regard habituellement noisette est maintenant noir. Elle me regarde sous sa frange.
— Ne vous moquez pas de moi. Je n’arrive pas à dormir, et j’ai de drôles d’envies.
— Vous me réveillez à trois heures du matin pour me dire que vous ne dormez pas ?
— Non… Oui… mais c’est à cause de vous !
— De moi ?
Encore une fois je joue les innocents.
— Oui. Vous m’avez fait un truc, et maintenant je ne me tiens plus ! Défaites ce que vous avez fait !
— Je ne vous ai rien fait ; vous avez seulement évoqué votre sexualité, et j’ai essayé de vous rassurer.
Je vois bien qu’elle s’énerve ; elle ne me croit pas et me tient pour responsable.
—
Je ne pense pas que ce soit normal d’avoir envie de vous sucer la
queue, et surtout goûter votre sperme alors que je ne fais pas cela et
que je trouvais cette idée répugnante !
— Peut-être ai-je débloqué ce tabou ; peut-être que vous m’assimilez à ce déblocage.
Elle non plus n’est pas du tout convaincue par mon explication. Elle semble en colère, et elle est rouge écarlate.
— Puisque c’est cette envie qui me tient éveillée, je vais essayer pour voir si céder à la pulsion me libère.
Je
suis encore plus étonné qu’avec sa collègue. Elle, si timide et
coincée, veut maintenant me sucer la queue. Je n’ai pas le temps de
répondre que déjà la brune aux cheveux courts est assise près de moi.
Elle enlève son pantalon de lin blanc, sans raison, et entreprend de
sortir ma queue de son logement. Cette dernière est encore à demi
endormie et se réveille sous les tendres attentions de la jolie
gestionnaire. Comme je l’avais deviné lors de notre rendez-vous de fin
d’après-midi, elle a un joli postérieur, bien rond, qui incite à la
caresse, ce dont je ne me prive surtout pas, vu qu’il est à ma portée.
Tout comme elle le fait avec ma bite, j’y vais doucement, de peur
qu’elle ne s’envole elle aussi dans un sursaut de honte. Mais elle me
laisse caresser doucement sa peau satinée. Petit à petit mes doigts
s’approchent de la raie culière, de son puits d’amour et de son bouton
magique. Petit à petit ma queue prend de la texture, et la demoiselle
s’applique maintenant à me lécher délicatement le gland. Je l’observe et
constate le ravissement sur son visage : elle aime sucer.
Ma
main explore maintenant son vagin ; sans vergogne, j’ai enfilé deux
doigts dans son antre et je fais des va-et-vient de plus en plus loin au
fond d’elle. De son côté, elle enfourne ma queue de plus en plus
profondément et de plus en plus goulûment. Je l’entends geindre ; mes
caresses ou le plaisir de me sucer, je ne sais pas, mais son sexe est
inondé et son clitoris dur. Je sors mes doigts du nid douillet et humide
où ils jouaient et caresse maintenant doucement sa rosette serrée. Je
l’ai approchée délicatement, car d’après ses déclarations de cet
après-midi, je connais son aversion pour le sexe anal. Mais à peine
ai-je posé mon index sur son anus qu’elle lâche ma queue un instant pour
me susurrer :
— Oh oui, là...
Et elle replonge sur mon
manche qu’elle se met à astiquer au même rythme que le branlage de son
petit trou que je viens d’entreprendre. Ma surprise est encore plus
grande lorsque c’est elle qui se met à remuer son fessier pour enfoncer
mon doigt plus profondément dans son rectum. Ce n’est qu’une fois
enfoncé jusqu’à la garde qu’elle se met à râler et accélère les
mouvements de son cul et de sa bouche. Les mouvements de son
arrière-train deviennent désordonnés et elle geint encore plus fort.
Elle va jouir de cette première pénétration anale !
Toujours
plus vite, plus désordonnée, elle bave, râle et jouit d’un coup. Ne me
contrôlant plus, je me laisse aller dans sa bouche, et elle avale mon
jus en grognant de plaisir.
Elle me libère après avoir fini d’avaler ma semence et me regarde, l’air ravi.
—
C’était divin ! Je ne sais pas ce que vous m’avez fait pendant votre
séance d’hypnose, mais maintenant je me régale ! Je suis honteuse, mais
je me régale.
Elle se lève brutalement, les joues rouges, enfile
son pantalon, son pull informe et ses ballerines. Son regard se fixe sur
ma queue qui se recroqueville doucement ; elle y aperçoit une goutte
qui lui a échappée, alors elle se penche, et d’un coup de langue la fait
disparaître. Son sourire est celui de la femme ravie mais honteuse ;
elle tourne les talons aussi vite que possible et quitte ma maison en
claquant la porte.
Bien ; encore un effet plus ou moins inattendu de ma séance du jour.
Auteur : Oshmonek
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