Chapitre 3
Posologie pour Nathalie
Aujourd’hui
c’est la superbe cadre commerciale, Nathalie, qui a rendez-vous avec
moi. Je ne sais pas pourquoi, mais je trouve cette femme fort belle.
Elle n’a aucun des critères que je cherche habituellement chez une
femme, mais je la trouve belle. Elle est grande (moi pas trop), elle est
fine (trop à mon goût), elle a une petite poitrine (je préfère trop que
pas assez), elle est plus âgée que moi (cela ne gâte rien, mais j’ai
une préférence pour plus jeune). Bref, physiquement, elle ne devrait pas
me plaire. Intellectuellement, par contre, elle est proche de ce que
j’aime chez les femmes : indépendante, sûre d’elle, battante,
intelligente, et un je sais quoi… moqueuse.
Vous l’avez compris, elle me rend fou. De plus, je ne sais pas comment m’y prendre pour la faire adhérer au projet d’entreprise.
Elle
sonne enfin ; j’ouvre et découvre une femme encore plus attrayante que
lors de nos précédents rendez-vous. Elle est plantée devant la porte,
juchée sur des talons vertigineux, une jupe très courte (mais ses
magnifiques jambes le lui permettent), un chemisier blanc ouvert
jusqu’au troisième bouton, et ses cheveux – noirs de jais – libres sur
ses épaules.
— Croyez-vous vraiment que l’hypnose aidera dans mon cas ? me lance-t-elle à peine entrée.
— Bonjour ; oui, je crois : vos collègues ont apprécié.
— Oui, oui, mais ce ne sont que deux dindes, l’une prétentieuse et l’autre coincée.
Elle semble terriblement agacée.
— Personne ne vous impose cette séance ; si vous n’avez pas le temps…
Elle me coupe, et d’un geste de la main écarte ma réponse.
— J’ai pris mon après-midi, alors j’ai le temps ; mais je ne comprends pas l’intérêt de cela.
Je lui indique le canapé où elle se laisse tomber en soufflant.
— Vous m’avez dit avoir déjà été hypnotisée ? Cela a-t-il fonctionné ?
— Non… Si, plus ou moins… J’ai arrêté de fumer, mais je ne crois pas que…
Cette fois c’est moi qui la coupe et je lance :
— Nathalie, dormez !
Elle tombe alors sur le côté, endormie. Amusant : son précédent hypnotiseur a implanté le même ordre que moi (et qu’une majorité des charlatans comme moi). Comme pour ses collègues, je commence de manière professionnelle :
— Vous dormez profondément et vous entendez ma voix, seulement ma voix. Vous êtes bien. Vous vous sentez reposée et disposée à m’écouter. Que pensez-vous de vos collègues ?
Elle répond sans même un moment de réflexion :
— Yves est un connard ; il ne digère pas que je gagne plus que lui. Les deux autres sont des dindes que je peux manipuler. La petite de la gestion, je l’imagine salope, mais cachée derrière une fausse timidité ; quant à l’autre pouf du marketing, elle a dû sucer pour y arriver.
Intéressant, mais cela ne me fait pas avancer.
— Et vous, comment pourriez-vous évoluer ?
— Au niveau du boulot, je me débrouille seule et je vais y arriver. Au niveau perso, il me faudrait un mec, un vrai mâle qui me domine ! Je fais peur aux hommes ; ceux qui m’approchent sont trop mous, trop gentils, trop dociles.
Voilà une intéressante révélation. Reprenons donc notre séance.
— Nathalie, je vais maintenant compter de 10 à 0 ; quand je prononcerai le dernier chiffre, vous vous réveillerez en pleine forme, en pleine possession de vos moyens et convaincue qu’il est nécessaire de vous entendre avec vos collègues.
— Dix. Vous êtes bien, toujours endormie, vous m’écoutez. Yves a le même objectif que vous : réussir, soyez en sûre.
— Neuf. Vos deux collègues ont elles aussi envie de réussir, avec vous. Votre sommeil est toujours aussi profond.
— Huit. Vous sentez cette chaleur envahir votre bas-ventre ; cela vous chauffe et éveille un désir profond et impérieux. Dorénavant, lorsque JE prononcerai les mots : « Nathalie, dispo pour moi. » ce désir vous reprendra et ne sera assouvi qu’après que vous ayez été traitée et baisée comme une chienne soumise.
— Sept. Lorsque je prononcerai la phrase : « Nathalie, vous êtes une bonne soumise. », vous deviendrez instantanément mademoiselle N, soumise à mes désirs et prête à tout pour me satisfaire.
— Six. Vous êtes toujours aussi bien ; vous vous sentez reposée, et aussi excitée. À partir de maintenant, vous éprouverez régulièrement l’envie de faire de nouvelles séances d’hypnose avec moi.
— Cinq. L’excitation fait de vous une petite chienne à ma seule disposition ; quand je dirai : « Nathalie, vous êtes une vraie pro ! », vous reprendrez le cours normal de votre vie.
— Quatre. Petit à petit, vous revenez vers la conscience ; vous avez passé un agréable moment.
— Trois. Vous allez oublier ce que je viens de vous implanter dans la tête ; vous ne vous souviendrez que d’un agréable moment.
— Deux. Vous êtes pleinement consciente, prête à tout et parfaitement sereine.
— Un. Vous ouvrez les yeux.
Elle ouvre ses grands yeux noirs et me regarde fixement.
— Que m’avez-vous fait ?
— Rien.
— Je vous avais dit que cela ne marcherait pas avec moi !
J’ai quand même envie d’essayer. Au mieux, je vais m’amuser ; au pire, je prends une baffe.
— Nathalie, vous êtes une bonne soumise.
Alors qu’elle avait déjà tourné les talons, elle s’arrête net et sans même se retourner elle me dit lentement :
— Qu’avez-vous dit ?
— J’ai dit : « Nathalie, vous êtes une bonne soumise. »
Elle se retourne vers moi ; ses yeux sont encore plus noirs qu’avant. Elle me fixe avec un air méchant ; je soutiens son regard. D’un coup elle baisse les yeux et me dit doucement :
— Que souhaitez-vous ?
— Appelez-moi « Maître ».
Effets indésirables
— Que souhaitez-vous, Maître ?
— Enlève ta culotte, petite chienne.
— Je n’en porte jamais, mon Maître.
Elle répond un peu mécaniquement, mais cela fonctionne.
— Montre-moi.
Elle saisit le bas de sa jupe et la remonte, me dévoilant un sexe au pelage fourni.
— Va dans ma salle de bain ; rase-toi la chatte et la raie, je n’aime pas les poils. Reviens me montrer.
Aussitôt elle s’exécute et file vers ma salle de bain située à côté de ma chambre. À peine a-t-elle disparu de la pièce que l’on frappe à la porte. Je vais ouvrir à l’opportun qui me dérange dans ma première séance de domination.
L’opportun est en fait une opportune : c’est Léa qui est à ma porte.
— Que vous arrive-t-il, Léa ?
Elle me pousse littéralement à l’intérieur, et me collant contre la porte me dit dans un souffle :
— Je suis trempée, j’ai besoin que vous me baisiez !
— Je suis occupé, Léa, et puis vous avez un mec.
— Je sais, mais il n’y arrive pas, il ne me satisfait pas et j’ai encore envie !
Je la repousse délicatement mais elle se colle à moi. C’est le moment que choisit Nathalie pour revenir de la salle de bain. Elle se positionne face à moi et sans un mot remonte de nouveau sa jupe pour me montrer son sexe glabre. Léa va pour se retourner, car en suivant mon regard elle a pris conscience que je regardais ailleurs. Je lance alors :
— Léa, dormez.
Et la blonde tombe dans mes bras.
Bon dieu, j’ai eu chaud. L’autre est en transe hypnotique mais pas Léa. Pourquoi son envie ne s’arrête pas ? Quel crétin, j’ai oublié de lui donner un ordre d’arrêt pour qu’elle retrouve sa vie normale ! Du coup, j’ai dû oublier pour Laura également, qui doit être bouffée par des envies de sperme et de sodomie… Je porte Léa sur le canapé. Je vais appeler Laura pour corriger cela également ; Nathalie, elle restera là si je le lui ordonne.
— Nathalie, prenez soin de Léa ; je reviens, je vais aller m’occuper de Laura.
— Oui, mon Maître, je ferai tout pour vous être agréable.
Je sors alors sur la terrasse pour téléphoner à Laura afin qu’elle revienne à la maison pour une nouvelle séance, et surtout un petit réglage. Je suis vraiment un débutant. Pourvu qu’elle n’ait pas entrepris de se faire enculer par tout le département pour soulager son désir !
Après plusieurs tentatives infructueuses, je parviens à la joindre et parle avec elle un long moment car, comme je le soupçonnais, elle est très excitée ; mais sa timidité maladive l’a, pour le moment, empêchée de chercher des mâles.
Quand je reviens dans le salon, la situation a empiré d’un cran : Nathalie est assise entre les genoux de Léa, toujours endormie ; elle lui a retiré son jean et sa culotte et a commencé de lui raser le sexe.
— Nathalie, que faites-vous ?
— Mon Maître n’aime pas la pilosité ; cette femme ne respectait pas la demande.
Me voilà bien, maintenant ! Léa est rasée ; à son réveil, cela risque d’être « fun », comme elle dirait.
— Nathalie, dormez !
La jolie femme s’effondre contre les genoux de sa comparse. Je la soulève et la dépose sur le canapé, près de sa camarade. Je vais régler les problèmes les uns après les autres. Par quoi commencer ?
On frappe de nouveau à la porte : on va commencer par ça. Je vais ouvrir ; c’est Laura, le regard mauvais, qui entre dans le salon. Je la suis, un pas derrière elle, mais elle s’arrête brutalement. Je regarde par-dessus son épaule et constate avec horreur que le spectacle sur le canapé est des plus surprenants : en effet, Léa a le pantalon et la culotte sur les chevilles, un peu de mousse à raser sur le ventre, et le sexe dénudé et luisant. Nathalie présente le même spectacle car quand je l’ai portée sur le canapé, sa jupe s’est relevée et Laura vient de découvrir ses deux collègues endormies et dans des tenues qui pourraient laisser penser que j’ai abusé de la situation.
Avant qu’elle ne s’énerve, crie, hurle, appelle et me frappe, je lui lance :
— Laura, dormez !
Et la petite brune s’endort instantanément. Je la rattrape avant qu’elle ne tombe et la dépose près de ses camarades. « Bon réfléchissons maintenant à la manière de remettre tout en bon ordre... »
— Croyez-vous vraiment que l’hypnose aidera dans mon cas ? me lance-t-elle à peine entrée.
— Bonjour ; oui, je crois : vos collègues ont apprécié.
— Oui, oui, mais ce ne sont que deux dindes, l’une prétentieuse et l’autre coincée.
Elle semble terriblement agacée.
— Personne ne vous impose cette séance ; si vous n’avez pas le temps…
Elle me coupe, et d’un geste de la main écarte ma réponse.
— J’ai pris mon après-midi, alors j’ai le temps ; mais je ne comprends pas l’intérêt de cela.
Je lui indique le canapé où elle se laisse tomber en soufflant.
— Vous m’avez dit avoir déjà été hypnotisée ? Cela a-t-il fonctionné ?
— Non… Si, plus ou moins… J’ai arrêté de fumer, mais je ne crois pas que…
Cette fois c’est moi qui la coupe et je lance :
— Nathalie, dormez !
Elle tombe alors sur le côté, endormie. Amusant : son précédent hypnotiseur a implanté le même ordre que moi (et qu’une majorité des charlatans comme moi). Comme pour ses collègues, je commence de manière professionnelle :
— Vous dormez profondément et vous entendez ma voix, seulement ma voix. Vous êtes bien. Vous vous sentez reposée et disposée à m’écouter. Que pensez-vous de vos collègues ?
Elle répond sans même un moment de réflexion :
— Yves est un connard ; il ne digère pas que je gagne plus que lui. Les deux autres sont des dindes que je peux manipuler. La petite de la gestion, je l’imagine salope, mais cachée derrière une fausse timidité ; quant à l’autre pouf du marketing, elle a dû sucer pour y arriver.
Intéressant, mais cela ne me fait pas avancer.
— Et vous, comment pourriez-vous évoluer ?
— Au niveau du boulot, je me débrouille seule et je vais y arriver. Au niveau perso, il me faudrait un mec, un vrai mâle qui me domine ! Je fais peur aux hommes ; ceux qui m’approchent sont trop mous, trop gentils, trop dociles.
Voilà une intéressante révélation. Reprenons donc notre séance.
— Nathalie, je vais maintenant compter de 10 à 0 ; quand je prononcerai le dernier chiffre, vous vous réveillerez en pleine forme, en pleine possession de vos moyens et convaincue qu’il est nécessaire de vous entendre avec vos collègues.
— Dix. Vous êtes bien, toujours endormie, vous m’écoutez. Yves a le même objectif que vous : réussir, soyez en sûre.
— Neuf. Vos deux collègues ont elles aussi envie de réussir, avec vous. Votre sommeil est toujours aussi profond.
— Huit. Vous sentez cette chaleur envahir votre bas-ventre ; cela vous chauffe et éveille un désir profond et impérieux. Dorénavant, lorsque JE prononcerai les mots : « Nathalie, dispo pour moi. » ce désir vous reprendra et ne sera assouvi qu’après que vous ayez été traitée et baisée comme une chienne soumise.
— Sept. Lorsque je prononcerai la phrase : « Nathalie, vous êtes une bonne soumise. », vous deviendrez instantanément mademoiselle N, soumise à mes désirs et prête à tout pour me satisfaire.
— Six. Vous êtes toujours aussi bien ; vous vous sentez reposée, et aussi excitée. À partir de maintenant, vous éprouverez régulièrement l’envie de faire de nouvelles séances d’hypnose avec moi.
— Cinq. L’excitation fait de vous une petite chienne à ma seule disposition ; quand je dirai : « Nathalie, vous êtes une vraie pro ! », vous reprendrez le cours normal de votre vie.
— Quatre. Petit à petit, vous revenez vers la conscience ; vous avez passé un agréable moment.
— Trois. Vous allez oublier ce que je viens de vous implanter dans la tête ; vous ne vous souviendrez que d’un agréable moment.
— Deux. Vous êtes pleinement consciente, prête à tout et parfaitement sereine.
— Un. Vous ouvrez les yeux.
Elle ouvre ses grands yeux noirs et me regarde fixement.
— Que m’avez-vous fait ?
— Rien.
— Je vous avais dit que cela ne marcherait pas avec moi !
J’ai quand même envie d’essayer. Au mieux, je vais m’amuser ; au pire, je prends une baffe.
— Nathalie, vous êtes une bonne soumise.
Alors qu’elle avait déjà tourné les talons, elle s’arrête net et sans même se retourner elle me dit lentement :
— Qu’avez-vous dit ?
— J’ai dit : « Nathalie, vous êtes une bonne soumise. »
Elle se retourne vers moi ; ses yeux sont encore plus noirs qu’avant. Elle me fixe avec un air méchant ; je soutiens son regard. D’un coup elle baisse les yeux et me dit doucement :
— Que souhaitez-vous ?
— Appelez-moi « Maître ».
Effets indésirables
— Que souhaitez-vous, Maître ?
— Enlève ta culotte, petite chienne.
— Je n’en porte jamais, mon Maître.
Elle répond un peu mécaniquement, mais cela fonctionne.
— Montre-moi.
Elle saisit le bas de sa jupe et la remonte, me dévoilant un sexe au pelage fourni.
— Va dans ma salle de bain ; rase-toi la chatte et la raie, je n’aime pas les poils. Reviens me montrer.
Aussitôt elle s’exécute et file vers ma salle de bain située à côté de ma chambre. À peine a-t-elle disparu de la pièce que l’on frappe à la porte. Je vais ouvrir à l’opportun qui me dérange dans ma première séance de domination.
L’opportun est en fait une opportune : c’est Léa qui est à ma porte.
— Que vous arrive-t-il, Léa ?
Elle me pousse littéralement à l’intérieur, et me collant contre la porte me dit dans un souffle :
— Je suis trempée, j’ai besoin que vous me baisiez !
— Je suis occupé, Léa, et puis vous avez un mec.
— Je sais, mais il n’y arrive pas, il ne me satisfait pas et j’ai encore envie !
Je la repousse délicatement mais elle se colle à moi. C’est le moment que choisit Nathalie pour revenir de la salle de bain. Elle se positionne face à moi et sans un mot remonte de nouveau sa jupe pour me montrer son sexe glabre. Léa va pour se retourner, car en suivant mon regard elle a pris conscience que je regardais ailleurs. Je lance alors :
— Léa, dormez.
Et la blonde tombe dans mes bras.
Bon dieu, j’ai eu chaud. L’autre est en transe hypnotique mais pas Léa. Pourquoi son envie ne s’arrête pas ? Quel crétin, j’ai oublié de lui donner un ordre d’arrêt pour qu’elle retrouve sa vie normale ! Du coup, j’ai dû oublier pour Laura également, qui doit être bouffée par des envies de sperme et de sodomie… Je porte Léa sur le canapé. Je vais appeler Laura pour corriger cela également ; Nathalie, elle restera là si je le lui ordonne.
— Nathalie, prenez soin de Léa ; je reviens, je vais aller m’occuper de Laura.
— Oui, mon Maître, je ferai tout pour vous être agréable.
Je sors alors sur la terrasse pour téléphoner à Laura afin qu’elle revienne à la maison pour une nouvelle séance, et surtout un petit réglage. Je suis vraiment un débutant. Pourvu qu’elle n’ait pas entrepris de se faire enculer par tout le département pour soulager son désir !
Après plusieurs tentatives infructueuses, je parviens à la joindre et parle avec elle un long moment car, comme je le soupçonnais, elle est très excitée ; mais sa timidité maladive l’a, pour le moment, empêchée de chercher des mâles.
Quand je reviens dans le salon, la situation a empiré d’un cran : Nathalie est assise entre les genoux de Léa, toujours endormie ; elle lui a retiré son jean et sa culotte et a commencé de lui raser le sexe.
— Nathalie, que faites-vous ?
— Mon Maître n’aime pas la pilosité ; cette femme ne respectait pas la demande.
Me voilà bien, maintenant ! Léa est rasée ; à son réveil, cela risque d’être « fun », comme elle dirait.
— Nathalie, dormez !
La jolie femme s’effondre contre les genoux de sa comparse. Je la soulève et la dépose sur le canapé, près de sa camarade. Je vais régler les problèmes les uns après les autres. Par quoi commencer ?
On frappe de nouveau à la porte : on va commencer par ça. Je vais ouvrir ; c’est Laura, le regard mauvais, qui entre dans le salon. Je la suis, un pas derrière elle, mais elle s’arrête brutalement. Je regarde par-dessus son épaule et constate avec horreur que le spectacle sur le canapé est des plus surprenants : en effet, Léa a le pantalon et la culotte sur les chevilles, un peu de mousse à raser sur le ventre, et le sexe dénudé et luisant. Nathalie présente le même spectacle car quand je l’ai portée sur le canapé, sa jupe s’est relevée et Laura vient de découvrir ses deux collègues endormies et dans des tenues qui pourraient laisser penser que j’ai abusé de la situation.
Avant qu’elle ne s’énerve, crie, hurle, appelle et me frappe, je lui lance :
— Laura, dormez !
Et la petite brune s’endort instantanément. Je la rattrape avant qu’elle ne tombe et la dépose près de ses camarades. « Bon réfléchissons maintenant à la manière de remettre tout en bon ordre... »
Guérison
Comment gérer ces trois furies du sexe que j’ai contribué à créer ?
Je vais les reprogrammer.
Premièrement, je vais leur donner envie de travailler ensemble : c’est avant tout pour cela que je devais les recevoir ; et puis, si je peux en bénéficier aussi… Ensuite, je vais garder ma position dominante sur elles trois, mais je vais essayer de les rendre plus simples à administrer : leur donner envie de partager entre elles, mais aussi d’accepter d’être partenaires entre elles ; cela aidera aussi au boulot.
Dans un deuxième temps, je vais m’assurer de bien mettre le « bouton ON », mais aussi le « OFF » afin qu’elles ne viennent pas sans cesse me solliciter. Je vais éliminer toute forme de jalousie, personnelle ou professionnelle. Je vais maintenir leurs désirs et aussi les harmoniser : ainsi, j’aurai trois soumises prêtes à tout pour me satisfaire… ainsi que leur patron. Trois pros parfaitement en cohérence. Cool, non ?
Je vais donc entreprendre une séance d’hypnose de groupe ; pour moi, c’est une première. Avant de me lancer, je vérifie bien ne rien avoir oublié, je cache les deux sexes dénudés qui pourraient me troubler et je commence :
— Les filles, je vais maintenant compter de 10 à 0. Quand je prononcerai ce dernier chiffre, vous vous réveillerez en pleine forme, en pleine possession de vos moyens et convaincues qu’il est nécessaire de vous entendre avec vos collègues.
— Dix. Vous êtes bien, toujours endormies. Vous m’écoutez. Vous avez toutes les trois le même objectif : réussir et me satisfaire.
— Neuf. Vous êtes maintenant soumises à mes désirs. Votre sommeil est toujours aussi profond.
— Huit. Vous sentez cette chaleur envahir votre bas-ventre ; cela vous chauffe et éveille un désir profond et impérieux. Dorénavant, lorsque JE prononcerai ces mots : « Les filles, vous êtes dispos pour moi. », ce désir vous reprendra et ne sera assouvi qu’après que vous m’ayez satisfait.
— Sept. Vous avez envie de travailler ensemble, d’échanger, de partager, professionnellement mais aussi sexuellement.
— Six. Vous êtes toujours aussi bien. Vous vous sentez reposées, mais aussi excitées. À partir de maintenant, vous éprouverez régulièrement l’envie de faire de nouvelles séances d’hypnose avec moi.
— Cinq. L’excitation fait de vous des petites chiennes à ma seule disposition. Quand je dirai : « Vous êtes de vraies pros ! », vous reprendrez le cours normal de votre vie.
— Quatre. Petit à petit, vous revenez vers la conscience. Vous avez passé un agréable moment.
— Trois. Vous allez oublier ce que je viens de vous implanter dans la tête ; vous ne vous souviendrez que d’un agréable moment.
— Deux. Vous êtes pleinement conscientes, prêtes à tout et parfaitement sereines.
— Un. Vous ouvrez les yeux.
Les trois femmes s’éveillent. Elles s’étirent, et avec un sourire constatent qu’elles sont toutes trois assises ensemble. Elles semblent ravies, et il y a un petit quelque chose qui brille dans leurs yeux. Dans un même mouvement, elles tournent toutes les trois la tête vers moi, et presque d’une même voix me demandent :
— Que souhaitez-vous, Maître ?
Je vais les reprogrammer.
Premièrement, je vais leur donner envie de travailler ensemble : c’est avant tout pour cela que je devais les recevoir ; et puis, si je peux en bénéficier aussi… Ensuite, je vais garder ma position dominante sur elles trois, mais je vais essayer de les rendre plus simples à administrer : leur donner envie de partager entre elles, mais aussi d’accepter d’être partenaires entre elles ; cela aidera aussi au boulot.
Dans un deuxième temps, je vais m’assurer de bien mettre le « bouton ON », mais aussi le « OFF » afin qu’elles ne viennent pas sans cesse me solliciter. Je vais éliminer toute forme de jalousie, personnelle ou professionnelle. Je vais maintenir leurs désirs et aussi les harmoniser : ainsi, j’aurai trois soumises prêtes à tout pour me satisfaire… ainsi que leur patron. Trois pros parfaitement en cohérence. Cool, non ?
Je vais donc entreprendre une séance d’hypnose de groupe ; pour moi, c’est une première. Avant de me lancer, je vérifie bien ne rien avoir oublié, je cache les deux sexes dénudés qui pourraient me troubler et je commence :
— Les filles, je vais maintenant compter de 10 à 0. Quand je prononcerai ce dernier chiffre, vous vous réveillerez en pleine forme, en pleine possession de vos moyens et convaincues qu’il est nécessaire de vous entendre avec vos collègues.
— Dix. Vous êtes bien, toujours endormies. Vous m’écoutez. Vous avez toutes les trois le même objectif : réussir et me satisfaire.
— Neuf. Vous êtes maintenant soumises à mes désirs. Votre sommeil est toujours aussi profond.
— Huit. Vous sentez cette chaleur envahir votre bas-ventre ; cela vous chauffe et éveille un désir profond et impérieux. Dorénavant, lorsque JE prononcerai ces mots : « Les filles, vous êtes dispos pour moi. », ce désir vous reprendra et ne sera assouvi qu’après que vous m’ayez satisfait.
— Sept. Vous avez envie de travailler ensemble, d’échanger, de partager, professionnellement mais aussi sexuellement.
— Six. Vous êtes toujours aussi bien. Vous vous sentez reposées, mais aussi excitées. À partir de maintenant, vous éprouverez régulièrement l’envie de faire de nouvelles séances d’hypnose avec moi.
— Cinq. L’excitation fait de vous des petites chiennes à ma seule disposition. Quand je dirai : « Vous êtes de vraies pros ! », vous reprendrez le cours normal de votre vie.
— Quatre. Petit à petit, vous revenez vers la conscience. Vous avez passé un agréable moment.
— Trois. Vous allez oublier ce que je viens de vous implanter dans la tête ; vous ne vous souviendrez que d’un agréable moment.
— Deux. Vous êtes pleinement conscientes, prêtes à tout et parfaitement sereines.
— Un. Vous ouvrez les yeux.
Les trois femmes s’éveillent. Elles s’étirent, et avec un sourire constatent qu’elles sont toutes trois assises ensemble. Elles semblent ravies, et il y a un petit quelque chose qui brille dans leurs yeux. Dans un même mouvement, elles tournent toutes les trois la tête vers moi, et presque d’une même voix me demandent :
— Que souhaitez-vous, Maître ?
FIN
Auteur : Oshmonek
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