Margaret
a 42 ans. Mère au foyer active et épanouie, elle a donné à son mari, un
riche industriel du Sussex, deux fils aujourd'hui adolescents qui font
sa fierté. Alanguie dans un confortable fauteuil en cuir du grand salon
du manoir familial, elle sirote une coupe de champagne. Elle porte une
chemise blanche, une cravate à rayures bordeaux et or au nœud
parfaitement ajusté, un pull du même bordeaux dont l'encolure en V et la
taille sont soulignées par un liseré du même or, une jupe plissée grise
et un blazer noir arborant le blason du Saint Ann College. Elle a mis
beaucoup de soin dans sa tenue pour cette grande occasion, n'omettant
aucun détail, des socquettes blanches immaculées et chaussures noires
vernies jusqu'aux couettes blondes que ses camarades de classe
trouvaient si charmantes. Elle délaisse un instant le noble vin
pétillant pour tourner la tête et gratifier d'un petit coup de langue
humide le gland décalotté qui lui caresse doucement la joue. Qui est-il
celui-là, déjà... Ah oui... Le prof de maths... Un corps d'athlète qui
les faisait toutes fantasmer... Et elle se dit, alors que ses lèvres
s'ouvrent pour le laisser entrer, que ce sexe monumental est à la
hauteur de ce qu'elle imaginait en secret.
Margaret a profité de
l'absence de son époux et de ses enfants, partis pour la journée
participer à une chasse à courre, pour organiser ce rassemblement
d'anciennes élèves. Les huit amies ont toutes revêtu l'uniforme aux
couleurs de l'institution centenaire. Les strictes tenues sont
impeccables, portées avec une élégance et une distinction toutes
britanniques. Deux rangs de pupitres séparés par une allée centrale ont
été disposés sur le grand tapis persan qui habille le plancher en chêne
ciré de la vaste pièce. Un large tableau noir aux montants de bois
sombre et équipé de roulettes a été placé devant la majestueuse
cheminée, complétant l'atmosphère scolaire du salon bourgeois. Un fort
bel homme habillé d'un costume trois pièces anthracite a tout d'abord
fait un discours de bienvenue devant la classe, se présentant lui-même –
le headmaster Jones – puis présentant chacun à leur tour les membres du
corps enseignant entrant dans la pièce à l'appel de leur nom. Ces dames
sagement assises, telles des convives affamées devant le menu de leur
festin à venir, ont dévoré du regard la dizaine d'étalons entièrement
nus. La maîtresse des lieux a spécialement fait venir de Londres un
groupe de strip-teaseurs dont les membres portent, pour cette leçon un
peu particulière, le patronyme des professeurs qui ont assuré il y a
bien longtemps leur éducation.
Le téléphone sonne. La main gantée
du majordome tend le combiné à Margaret qui, ne pouvant décemment
s'exprimer la bouche pleine, relâche à contrecœur son obscène sucette.
Elle se permet toutefois, en répondant à son mari, de caresser de deux
doigts distraits les testicules dont elle espère bientôt récolter le
contenu.
— Oui, darling, tout se passe divinement bien. Nous
avons tellement de merveilleux souvenirs à évoquer... Mais le devoir
m'appelle ; je dois te laisser. Embrasse les enfants pour moi, et soyez
prudents.
Elle rend le téléphone au domestique et se ressaisit du
pénis impatient, l'enfournant à nouveau avant qu'il ne perde de sa
raideur. Le professeur de français, allongé sous elle dans le fauteuil,
maintient les jambes de la gourmande levées, ses fortes mains glissées
sous les jolies cuisses ouvertes. Cette position lui permet de ramoner
efficacement l'anus distendu de son élève, que nul n'aurait cru capable
d'engouffrer un aussi large engin.
Joyce et Melissa, les deux
petites filles modèles qui se disputaient la première place dans la
plupart des disciplines, sont devenues respectivement juge et avocate.
Les jambes droites, légèrement écartées, les avant-bras appuyés sur leur
pupitre, elles reçoivent la correction que leur comportement de
collégiennes exemplaires leur a toujours évitée lorsqu'elles étaient
adolescentes. Leurs culottes blanches baissées jusqu'aux chevilles et
leurs jupes grises troussées à la taille, elles présentent côte à côte
leurs jolis derrières au principal Jones. La canne claque à un rythme
régulier sur leurs délicates fesses tuméfiées, les zébrant de rouge à
tour de rôle. De l'autre côté du bureau, les larges pénis des
professeurs de chimie et de physique étouffent les gémissements des deux
femmes en comblant leurs bouches écumantes de salive. Cette pratique ne
répond à aucune recommandation du Ministère de l'éducation en ce qui
concerne les châtiments corporels, pas plus que les plugs bordeaux qui
obstruent les voies anales de ces dames. Décorés à leur extrémité
apparente du blason du collège couleur or, ils contribuent à la coupable
satisfaction de la magistrate et de sa collègue du barreau. Le
headmaster, en bon professionnel, s'assure d'ailleurs de leur jouissance
en insérant à intervalles réguliers son index dans les vagins
dégoulinants.
Allongée sur le dos sur le pupitre voisin,
Elizabeth, l'épouse du Lord local, est littéralement embrochée. D'un
côté, sa tête tombe en arrière, maintenue par la musculeuse trique du
surveillant général qui s'enfonce jusque dans sa gorge asphyxiée. De
l'autre, le gode-ceinture de Jane, médecin de son état, ausculte sans
ménagement ses profondeurs vaginales. La doctoresse a déboutonné son col
et ouvert sa chemise blanche pour libérer les superbes seins qui
attiraient déjà sur elle le regard de ses camarades d'école. Son
stéthoscope se pose sur tant de poitrines ; il est normal que les autres
profitent de la sienne de temps en temps, après tout. Ses deux globes
aux tétons dressés, entre lesquels tombe la cravate au nœud relâché, se
balancent au rythme des coups de boutoir qu'elle assène avec fougue. Le
gode est également aux couleurs de Saint Ann comme le reste des sextoys
mis à disposition ce jour, d'ailleurs, fabriqués pour l'occasion sur
commande et à grands frais. Jane faiblit à peine le temps de boire une
gorgée de champagne, reposant rapidement sa coupe sur le plateau
d'argent que lui tend le majordome pour reprendre de plus belle la
cadence de ses coups de piston.
Vautrées sur l'un des
confortables fauteuils en cuir qui trônent au fond de la pièce, Evelyn
et Fiona, dignes mères au foyer dans le civil, s'abandonnent haletantes à
leurs plus bas instincts. Uniformes débraillés et coiffures en
bataille, déculottées et dépoitraillées, les deux furies se déchaînent
sous le regard attentif de trois étalons nus. Ils observent, immobiles
et muets, entretenant leur volumineuse raideur par une masturbation
lente et régulière, prêts à délivrer leur récompense aux élèves
méritantes. Les langues frénétiques glissent sur les seins, les bouches
avides aspirent les tétons puis se cherchent, s'embrassent et se
dévorent en laissant échapper des râles de plaisir. Les mains courent
sous les chemises et sous les jupes, pétrissant poitrines et fesses
offertes. La dextre d'Evelyn se concentre sur l'entrejambe de son amie,
introduisant son index et son majeur dans l'accueillant vagin. Fiona
l'encourage, réclamant plus encore en des termes particulièrement
inconvenants. Elle laisse échapper un long cri d'extase lorsque,
accédant à sa requête, le poing de la petite salope s'enfonce tout
entier dans sa grosse chatte baveuse. La manche du blazer frotte sur la
douce cuisse au rythme de la main défonceuse. Le poignet d'Evelyn est
couvert de l'abondant lubrifiant naturel qui s'écoule à chaque à coup,
détrempant sa manchette blanche impeccablement repassée.
Debout
devant le tableau noir, Emily l'institutrice se soumet à un exercice de
dictée. Le professeur d'anglais énonce lentement et d'une voix monocorde
le texte qu'elle s'efforce de retranscrire avec sa craie. L'homme
soupire.
— Turgescent s'écrit avec un s et un c, et non pas deux s. Corrigez, je vous prie.
Il
presse le bouton du petit boitier qu'il tient à la main. Emily
flageole, pousse un petit cri, et se reprend. Elle a du mal à se
concentrer. Elle, qui exige de ses élèves qu'ils restent silencieux et
attentifs pendant qu'elle interroge l'un d'eux, doit non seulement subir
les gémissements lascifs de leurs mères dépravées, mais aussi supporter
l'œuf vibrant qui tressaute dans son vagin à chacune de ses erreurs. La
dictée reprend. L'institutrice se sent couler toute entière entre ses
cuisses. Les gouttes chatouilleuses glissent sur sa peau, la faisant
tressaillir. Elle en oublie le e final de "sodomisée", qui s'accorde ici
avec "garce". Nouvelles vibrations. Nouvelle inondation. Emily,
haletante, s'appuie contre le tableau. Le professeur en profite pour
soulever la jupe plissée grise et constater avec satisfaction que la
petite culotte de coton, trempée comme une soupe, est littéralement
ruisselante.
Son slip blanc tiré de côté, l'insatiable Margaret
frotte son clitoris avec son index. Elle lubrifie de temps à autre ce
dernier dans sa vulve, comme si les deux gros pénis qui emplissent
respectivement sa bouche et son rectum ne lui suffisaient pas. C'est
probablement la réflexion que se fait le principal Jones. Ayant reposé
sa canne, il ouvre sa braguette pour en extraire un membre aux
dimensions exceptionnelles. Il n'est pas le headmaster pour rien !
Contrairement à ses collègues nus, il porte toujours son costume,
assurant par sa mise et son flegme l'autorité que lui confère sa noble
fonction. Il enlève toutefois sa veste, qu'il confie au domestique, pour
présenter ses hommages à la maîtresse de maison. Écartant les jambes
pour se positionner au-dessus de celles de son collègue le professeur de
français, il introduit d'une main ferme son sexe dans le dernier
orifice libre de Margaret. Puis, s'étant assuré de sa position par
quelques allers et retours d'échauffement, prenant appui sur les
accoudoirs du fauteuil, il jette toute sa vigueur dans la magistrale
double pénétration.
Leur tortionnaire les ayant délaissés, le
professeur de chimie et le professeur de physique ont pris place
derrière les postérieurs meurtris de Joyce et Melissa. Maintenant
fermement les hanches de leurs élèves, ils laissent aller et venir à
l'unisson leurs pénis perforateurs dans les doux abricots gorgés de jus.
Accoudées sur leur pupitre l'une à côté de l'autre, les deux femmes
s'embrassent tant bien que mal, cherchant à unir leurs lèvres et leurs
langues malgré les secousses répétées.
Jane s'est allongée à la
place d'Elizabeth. C'est maintenant dans la gorge étouffée de la
doctoresse que s'enfonce l'engin du surveillant général. Ce dernier, au
lieu de prendre appui sur les bords de la table comme il le faisait
auparavant, plaque ses mains sur les généreuses mamelles de la
collégienne d'un jour, les malaxant au rythme des ses pénétrations
buccales. Accroupie sur son amie, les mains sur les genoux, la Lady
couine en poussant sur ses cuisses pour assurer le mouvement vertical
qui l'empale sur le gode-ceinture dressé tel un pieu.
Serrées
côte à côte dans leur fauteuil, Evelyn et Fiona ont chacune passé une
jambe par-dessus l'accoudoir contre lequel elles sont calées, à droite
pour la première, à gauche pour la seconde. Pressées l'une contre
l'autre, leurs épaules vibrent ensemble du mouvement imprimé à la main
dont elles ont fourré leur propre vagin, n'en laissant dépasser que le
poignet luisant. Leurs têtes tournées vers l'extérieur, elles pompent
consciencieusement le pénis des deux enseignants venus se placer de part
et d'autre du luxueux siège en cuir. Se tenant seul face à ce tableau
dont il admire la superbe symétrie, le professeur de dessin continue de
se masturber.
Sur le tableau noir, le mot "éjaculation" conclut
la dictée dont le point final s'étire en un trait blanc plongeant vers
le sol. Assise contre le montant, cuisses ouvertes et bras ballants,
Emily ne pense plus au dernier s qu'elle a oublié, s'abandonnant au
plaisir qui la submerge et l'étourdit. Peu lui importe le contexte
orgiaque du texte qui lui imposait l'emploi du pluriel, l'institutrice
fontaine jouit sans retenue. Sur le plancher détrempé, le petit œuf,
expulsé par son vagin ruisselant devenu trop large, tourne sur lui-même
en vibrant. Les genoux fléchis, le professeur d'anglais pousse son
membre dans la bouche offerte, ses pieds nus éclaboussés par les
jaillissantes sécrétions de son élève.
Les respirations
s'accélèrent, les gémissements s'amplifient, les cris deviennent
hurlements. Même la si distinguée, la si "so british" Margaret, pénétrée
de toute part, ne peut retenir la furie qui se réveille en elle en
sentant l'apothéose approcher.
Le blason qui orne le plug anal de
Joyce reçoit le premier jet de sperme un court instant avant que celui
de Melissa ne soit touché à son tour. Les giclées bienfaitrices
s'étalent sur leurs fesses endolories. Les mains tendues vers leur
postérieur, elles étalent maladroitement et glanent du bout des doigts
le blanc nectar qu'elles portent à leurs lèvres avec délectation.
Elizabeth, allongée sur Jane, avance son visage au-dessus de celui de la
doctoresse. Les deux bouches grandes ouvertes suffisent à peine à
recueillir l'abondante semence qui leur arrive par saccades. Mieux
lotie, Lady Elizabeth laisse couler entre ses lèvres une part de son
trésor que la langue de la praticienne récupère avec avidité. Telles des
traînées de peinture blanche parachevant l'œuvre, les zébrures de
sperme se dessinent les unes après les autres sur Evelyn et Fiona. Les
mains gluantes des deux femmes, dégagées de leurs entrejambes sur
lesquels deux glands fourbus finissent de s'essorer, massent leurs seins
copieusement arrosés. Emily, enfin, reçoit le résultat de son
interrogation orale en pleine figure. Les éclaboussures se perdent
jusque dans ses cheveux. Les yeux fermés mais la tête levée vers celui
qui l'honore, elle sent l'épais liquide s'écouler sur ses joues et sur
son cou. L'institutrice entend aussi le plic-plic des gouttes de
jouissance masculine qui tombent dans sa flaque de jouissance féminine,
provoquant en elle un ultime orgasme.
Même si quelques nœuds de
cravate sont restés parfaitement ajustés, aucun n'a été épargné par le
déluge de sperme qui ravage les uniformes de ces élégantes dames. Il
semble que tout le soin qu'elles ont mis dans leur tenue, leur coiffure
ou leur manucure, ajoute au plaisir de leur débauche sexuelle. Ainsi,
les unes exhibant leur poitrine poisseuse, les autres leurs orifices
exsangues, d'autres encore, échevelées, leur maquillage dégoulinant,
toutes attendent le feu d'artifice réservé à celle qui les accueille
pour cette journée de classe hors norme.
Le majordome doit cette fois répondre lui-même au téléphone. C'est encore monsieur.
—
J'ai bien peur que Madame ne puisse parler à Monsieur maintenant ;
Madame est en train de porter un toast particulièrement solennel et
émouvant.
C'est effectivement avec une émotion certaine que
Margaret reçoit la récompense de ses efforts buccaux, laissant gicler
sur son visage ce que sa bouche ne peut capter, et recrachant le
trop-plein blanchâtre sur le revers de son blazer. C'est en effet avec
beaucoup d'emphase que le principal asperge son hôtesse, la souillant de
la tête aux pieds de son inestimable semence. Il joint ses effusions à
celles du professeur de français sodomite qui vient, pour sa part,
d'éjaculer sur l'entrejambe défoncé.
Margaret, fourbue, se laisse
aller dans le fauteuil qu'elle occupe maintenant seule. Les jus
mélangés finissent de s'écouler sur le cuir. Sans prêter attention au
large filet de sperme qui s'étire entre son menton et son col, elle
interroge son domestique du regard. Le majordome conclut avant de
raccrocher, sur un mouvement de tête approbateur de Madame :
— Si
Monsieur souhaite rappeler dans la soirée, puis-je suggérer à Monsieur
de le faire avant le dîner, car je crains qu'au-delà, Madame et ses
invitées ne soient extrêmement... prises...
Auteur : Lambdales
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