Il
prit la laisse et la fit descendre du lit de cuir, lui intima de rester
à genoux et l’emmena en laisse, la faisant progresser sur les genoux.
Soudain une femme blonde et superbe lui apparut. Elle avait de très longs cheveux dorés, comme une chevelure d’étoile. Elle se tenait debout, fière et superbe, les mains sur les hanches et les jambes écartées, l’attendant.
Elle n’était vêtue que de hautes cuissardes bleu nuit qui s’arrêtaient en haut de ses fortes cuisses blanches comme la Voie Lactée et d’un corset de la même matière et de la même couleur qui soutenait ses seins laissés libres : une poitrine généreuse de déesse. Son pubis renflé et bombé était glabre, et saillait en avant, attirant et provocateur. Ses bras charnus et pleins étaient cerclés d’anneaux de cuir du même bleu. Elle ressemblait à la reine des Amazones.
— Avance, Élodie. Approche ! ordonna-t-elle.
— Qui… qui êtes-vous ?
— Je suis Esther. Ta bonne étoile, et ta Maîtresse.
Soudain une femme blonde et superbe lui apparut. Elle avait de très longs cheveux dorés, comme une chevelure d’étoile. Elle se tenait debout, fière et superbe, les mains sur les hanches et les jambes écartées, l’attendant.
Elle n’était vêtue que de hautes cuissardes bleu nuit qui s’arrêtaient en haut de ses fortes cuisses blanches comme la Voie Lactée et d’un corset de la même matière et de la même couleur qui soutenait ses seins laissés libres : une poitrine généreuse de déesse. Son pubis renflé et bombé était glabre, et saillait en avant, attirant et provocateur. Ses bras charnus et pleins étaient cerclés d’anneaux de cuir du même bleu. Elle ressemblait à la reine des Amazones.
— Avance, Élodie. Approche ! ordonna-t-elle.
— Qui… qui êtes-vous ?
— Je suis Esther. Ta bonne étoile, et ta Maîtresse.
— Que… que… ?
—
Je t’ai vue à l’œuvre, petite garce ; tu es une bonne petite salope :
tu es littéralement habitée par le démon du sexe ! En tout cas, tu es
jolie comme un cœur. J’adore ton petit cul, ta jolie chatte toute rose,
et tes petits nichons de catin, hummm… fit-elle en lui tripotant ses
jolis mamelons dressés. Et ce tatouage est des plus ravissants, la
complimenta-t-elle en effleurant le cœur stylisé qui ornait son sein
gauche. Mais moi, le petit cadenas, c’est à chacune des petites lèvres
de ton sexe que j’en mettrais un ! En tout cas, tu as eu ce que tu
voulais ; j’ai exaucé ton vœu. Eh bien, il est temps de me montrer ta
reconnaissance : lèche-moi, montre-moi ce que tu sais faire sur une
chatte !
— Mais je, je…
— Quoi ? la coupa-t-elle avec véhémence.
Tu me refuserais ce plaisir ? Avec ce que je t’ai donné ? Et ne me dis
pas que tu n’es pas attirée par les chattes : je lis tous tes écrits,
toutes ces histoires salaces de petite Fantômette soumise qui
s’abandonne aux désirs d’une femme autoritaire et se vautre avec
délectation dans les turpitudes et le vice… Ose dire maintenant qu’une
chatte te dégoûte !
— Non, je…
— Alors cesse ton bavassage
inutile ! Je suis mouillée comme une jument en chaleur, et ma chatte
palpitante s’ouvre toute seule et déborde ; elle attend ta langue. Cesse
de retarder stupidement mon plaisir ! Approche, approche, c’est un
ordre ! Je sais que tu aimes en recevoir.
Vaincue par la voix
autoritaire et la stature imposante de la femme, Élodie s’approcha à
genoux jusqu’à avoir son visage à quelques centimètres de son sexe.
Celle-ci écarta davantage les cuisses en pliant légèrement les genoux,
et Élodie vit la chatte rosie par le désir, baveuse et dégoulinante,
bâiller devant elle. Esther lui prit la tête, et lentement mais
fermement lui colla la bouche sur ses lèvres bien ouvertes. Élodie
sortit sa langue, ouvrit grand sa bouche qui se mit à se livrer à un
numéro de patinage artistique sur les nymphes offertes, ses lèvres
glissant sur les lèvres intimes de la grande et forte blonde. Elle
constata avec plaisir que ses muqueuses étaient parfumées ; le goût
mêlait des touches indéfinissables rappelant les embruns, le citron, et
un goût délicieux de fumée.
S’enhardissant, elle posa ses mains sur les grosses fesses d’Esther, qu’elle trouva charnues, pleines et fermes. « Musclées et faites pour l’amour… »
pensa-t-elle. C’est donc avec un réel plaisir qu’elle lui mangea la
chatte, les muqueuses lui semblant terriblement douces, fraîches et
juteuses sous la langue. Elle prenait véritablement son pied en
dégustant son large coquillage bien charnu.
Esther poussait des
soupirs, appuyait sa tête sur elle de plus en plus fort, ses cuisses
ondulaient, et sa cyprine coulait en abondance et de plus en plus, si
bien qu’Élodie devait lécher tout le pourtour de la chatte, jusqu’à
l‘aine et la racine des cuisses pour ne rien perdre !
Soudain
elle sentit que les fraises de ses seins, encore endolories, avaient été
saisies ; elle eut une nouvelle appréhension, avec la peur que la belle
blonde maltraite elle aussi ses petits mamelons tendres que les pinces
avaient déjà mis à rude épreuve. Mais la stimulation de la femme était
plus délicate : elle agaçait les pointes, les caressait du bout des
doigts, les pinçotait, les titillait, et Élodie se mit à couler comme
une fontaine.
Voulant se caresser, elle retira ses mains du gros
fessier mais une voix féminine et dure la rappela à l’ordre, ou plutôt à
sa condition de soumise :
— Je t’interdis de te caresser ! Repose tes mains sur mes fesses. Caresse-moi plutôt doucement l’anus.
Élodie
s’exécuta, sa main droite caressant l’intérieur des fesses élastiques,
effleurant puis caressant du bout des doigts le petit cratère soyeux.
—
C’est bien. Tu t’y prends bien. Tu es une bonne bouffeuse de chatte !
Mais je vais te stimuler un peu plus… et te récompenser, puisque je sais
que tu aimes ça.
Elle sortit d’on ne sait où une sorte de
martinet de cordes à l’allure d’un chat à neuf queues, et sans relâcher
la pression sur sa tête avec sa main gauche elle se mit de la main
droite à lui cingler en cadence son petit cul, chaque coup étant donné
avec une précision extrême et une force mesurée, suffisamment fort pour
qu’elle le ressente bien, suffisamment doucement pour ne pas provoquer
une brûlure trop intense qui aurait fait retomber son excitation.
Élodie
se mit à pousser des gémissements brefs, rythmés par la flagellation,
et ses fesses se couvrirent de fines zébrures roses sous l’effet de la
cinglée administrée méthodiquement par Esther.
La grosse Esther
portait ses coups avec une précision extrême, visant même l'intérieur
des fesses, l'extrémité des lanières rêches touchant les lèvres de sa
chatte en feu. Les geignements plaintifs d’Élodie venaient plus de
l’insupportable tension sexuelle qu'il lui était interdit de soulager
que de la douleur cinglante mais tolérable qui fouettait ses chairs.
Sa bouche et sa langue, néanmoins, faisaient merveille et se déchaînaient avec passion sur la vulve charnue de la belle blonde.
Elle
sentit soudain, en même temps que les vibrations et les oscillations
des cuisses d'Esther, monter comme une longue plainte, un râle aigu,
mélange mélodieux d'harmoniques et de vocalises : celle-ci était en
train de jouir, pressant plus fort la tête d'Élodie sur sa chatte,
l'enfonçant entre ses cuisses.
Sa bouche reçut alors une quantité
impressionnante de cyprine, plus fluide, au goût plus marin et plus
boisé. Elle tenta de tout absorber, de tout avaler, mais l'abondante
mouille débordait de sa bouche, de ses lèvres, et lui coulait sur le
menton, tombait sur sa poitrine.
L'orgasme d'Esther dura une bonne
demi-minute durant laquelle ses jambes tremblaient sous les spasmes.
Puis, reprenant ses esprits, elle prit Élodie par les cheveux et
l'emmena en lui déclarant :
— Viens, ma petite pute. Je vais
t'offrir ce dont tu rêves, ce qui te fait vibrer et mouiller comme une
petite chienne ; tu l’as bien mérité.
Elle la tira vers le lit.
Élodie vit qu'il n'était plus capitonné de cuir brun, mais comme
recouvert de draps blancs et satinés qui l'accueillirent, et dont la
fraîcheur apaisa les brûlures de ses petites fesses zébrées par le
fouet.
Elle vit soudain que ce qu'elle avait pris pour de légers
rideaux ou des voilages rose pâle et blancs, translucides, agités par
une brise invisible, semblaient prendre corps et se mouvaient
progressivement sous la forme d'une demi-douzaine de nymphes fluettes à
la peau diaphane, qui oscillaient dans un mouvement d'approche
concentrique, où leurs membres grêles dansaient, comme littéralement
suspendus dans l'air fluide. Leurs lèvres étaient rose vif, et elle
semblait apercevoir tout au bout de leur corps lisse et mince des ongles
d'un rose brillant.
Petit à petit, elle s'aperçut que ce qui
semblait au départ la caresse d'un souffle de vent léger et frais était
le résultat du frôlement sur sa peau de leurs doigts aériens. Ceux-ci,
en effet, passaient sur tout son corps en d’exquises caresses, puis en
de légères pressions un peu plus appuyées et plus précises sur ses bras,
la racine de ses cuisses, ses seins, touchant les plis de l'aine, la
naissance de ses fesses.
Les petits doigts agiles et fins
effleurèrent ses zones érogènes, caressant les nymphes de sa vulve, les
fraises durcies de ses seins, les lèvres de sa bouche ; des petits
doigts taquins s'immiscèrent même doucement dans sa bouche, caressèrent
sa langue. Elle sentit ses lèvres sexuelles délicatement palpées, de
menus doigts fureteurs entrer dans sa petite grotte puis glisser
jusqu'au fond d'elle.
Une petite bouche rose se posa sur sa
bouche, une petite langue soyeuse la pénétra puis s'y agita, explorant
avec douceur tout l'intérieur tandis qu'elle sentait des cheveux blonds
lumineux plus légers qu'un ange caresser son cou et ses épaules.
D'autres petites bouches humides suçotaient délicatement ses mamelons
érigés ; d'autres parcouraient sa peau sur toute la surface de son
corps, comme autant d'ailes de papillons. L'une s'était collée à sa
vulve et glissait sur toute sa surface en un ballet circulaire tandis
qu'une petite langue –ou étaient-ce des doigts ? – la fouillait
désormais.
Élodie haletait et roucoulait, pour autant que les
petites bouches laissaient libre la sienne ; son ventre s'agitait, le
plaisir se libérait, la secouait de frissons incontrôlés. Ses fesses
furent légèrement soulevées et elle sentit des lèvres mouillées caresser
son anus. Des petits doigts fouillaient son intimité ; l'un d'eux, tout
fin et luisant, s'immisça dans son petit œillet.
Elle se
laissait aller, emportée par les ondes de plaisir qui la parcouraient
les unes après les autres, sa voix laissant libre cours à une mélopée
diabolique faite de cris, de plaintes, de soupirs, comme un chant de
sirène.
Elle vit la fourche de deux cuisses frêles enjamber son
visage et l'une des petites vestales approcher sa vulve pure et rose de
sa bouche ; sans hésiter, elle posa ses deux mains sur les fesses
juvéniles et attira le svelte bassin à elle, colla ses lèvres sur les
nymphes délicates, et avec délectation dégusta ce coquillage au goût de
mûre et de fraise des bois.
Les bouches, humides et douces, et
les doigts fins et aériens stimulaient tout son corps qui semblait ne
plus toucher le lit et flotter dans l'air. Ses orgasmes se succédaient
en continu, ne la lâchaient pas ; elle coulait en permanence tandis que
sa liqueur était bue au fur et à mesure par les petites gourmandes. La
tension sexuelle, loin d'être douloureuse, se libérait en permanence.
Elle était au paradis, aux anges, ou plutôt avait l'impression d'être
entre les mains d’angelotes, livrée à leurs mains, à leurs doigts, à
leurs langues, à leurs chattes, ne se posant plus du tout la question du
sexe des anges !
À un moment donné, alors qu'elle s'était
retrouvée à quatre pattes, cambrée, la croupe tendue, en train de
déguster une vulve délicate, avec deux petites bouches suspendues à ses
tétons et plusieurs doigts et langues en train de s'agiter de son
bourgeon jusqu'à sa rosette, elle sentit des caresses plus fortes et
plus appuyées sur ses fesses, plus précises aussi (insistant dans le
sillon fessier), des doigts qui se crispaient plus fortement sur ses
très légères poignées d'amour. Malgré l'état second où elle se trouvait,
cette sensation la surprit et l'intrigua. Levant le nez de la vulve
qu’elle était en train d’honorer, elle tourna la tête : la forte Esther
se tenait derrière elle, à genoux sur la couche, telle une femme Viking,
fière et farouche. Mais surtout, elle ne voyait plus sa vulve grasse :
en effet, à sa place, un gode-ceinture fièrement dressé ne laissait
aucun doute sur sa prochaine cible.
Élodie soupira, geignit de désir et s'abandonna.
Avec
fermeté mais dans un élan passionné et tendre, la belle Esther prit
possession de son petit cul et dirigea sans ciller le membre renflé sur
l'ouverture rose de la petite grotte où elle s'enfonça d'un seul tenant.
Élodie
râla sa première jouissance, se sentant prise, sentant le membre buter
tout au fond d'elle, secouant son utérus. Et tandis qu'une petite bouche
ne lâchait pas sa vulve, suçant et léchant ses nymphes délicates et son
petit bouton, et que les doigts graciles continuaient leur œuvre sur
toutes les autres zones érogènes, la blonde Amazone la pilonna de toute
sa puissance.
Élodie criait comme une démente à chaque coup de
gode, en jouissant sans pouvoir s'arrêter, son utérus ébranlé,
ressentant les coups de boutoir jusqu'en haut de son ventre, ses seins
se tendant à chaque fois ; elle lâchait littéralement des jets de
cyprine, éclaboussant les fortes cuisses d'Esther, perdant tout
contrôle, toute once de retenue qu'elle aurait pu encore avoir.
Son
orgasme, quasi continu, comme elle n'en avait jamais ressenti de tel,
d'aussi puissant, d'aussi long et d'aussi intense lui broyait le
bas-ventre, secouait ses cuisses tandis que la belle blonde n'arrêtait
pas de la besogner avec force.
Sa bouche s'était ouverte et
laissait s'échapper un râle agonique interminable, saccadé seulement par
les assauts de sa maîtresse, tandis qu'elle avait l'impression de se
vider de toute sa substance et que l'énorme et incroyable tension
sexuelle accumulée comme jamais s'en allait, la laissant petit à petit
pantelante.
Toutes les stimulations et tous les stimuli la
lâchèrent, s'éloignèrent et la quittèrent, et elle s'effondra anéantie
sur la couche molle.
***
Quand elle
reprit ses esprits elle était sur son lit, comme ivre, nue, trempée,
tout son corps fourbu comme si elle venait de terminer un marathon.
***
Le
lendemain, elle débarqua chez moi pour me raconter cette nuit
incroyable, encore toute tourneboulée. Bien entendu, je ne crus pas à
son histoire rocambolesque que je mis sur le compte de son imagination
trop fertile.
« C’est encore un prétexte pour que je lui bouffe la chatte… »
me dis-je, alors qu’elle était déjà assise sur le bord de ma table en
bois d'acacia, cuisses écartées, culotte par terre, et s’astiquait le
coquillage en gémissant :
— Tu viens ? Dépêche-toi, j’ai envie…
FIN
Auteur : Docsevere
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