dimanche 15 mai 2016

L'étoile filante (2)

Relire le chapitre 1

Elle sentit qu’on poussait le fauteuil, et elle avança dans un espace plus clair, plus lumineux : elle était désormais dans une vaste pièce quadrangulaire, aux murs blancs mais au sol plus sombre. Rapidement, une sorte de lit au pied et à la tête munis de rambardes métalliques s’offrit à sa vue ; le plan n’était pas recouvert de draps ou de couverture : il semblait de cuir clair capitonné. Des bras l’arrachèrent au fauteuil ; elle fut soulevée et portée comme un fétu de paille, et déposée sur le lit.

Ayant eu le temps de lever les yeux, elle vit que l’homme était entièrement recouvert d’un très long vêtement noir à capuche (qui n'était pas sans lui rappeler celui de Dark Vador ou de Dark Maul, sombres personnages de Star Wars), comme un moine ou un pèlerin à capuchon, dont elle ne put à aucun moment voir le visage.

Le personnage lui prit un bras, passa un bracelet de peau rêche à son poignet qu’il attacha à un montant métallique du lit, puis fit de même avec l’autre ; elle avait désormais les bras tendus en arrière, très écartés. Sans surprise, il attrapa une fine cheville et la lia de la même façon au montant métallique de la rambarde du pied de lit, puis fit de même avec l’autre.
Elle était désormais attachée, comme écartelée, ses membres écartés en X.

Elle frissonna, se sentant soudain très vulnérable, ressentant la fraîcheur de l’air sur son sexe nu, réalisant à quel point elle était offerte, la chatte sans défense.

La main de l’homme se posa sur son sexe qu’il empauma à nouveau, pressa, puis fit glisser ses doigts vers sa vulve exposée qui était trempée. Il joua un bon moment avec son sexe, dosant en virtuose caresses, pressions, titillements, frottements, glissades sur les muqueuses tendres et satinées.
Élodie haletait, se tortillait, criait de désir et d’excitation, comme une folle qui ne s’écoute plus.

Il desserra un peu son étreinte, relâcha la pression physique et sexuelle, caressa ses cuisses pleines, monta sur ses hanches, palpant la naissance de ses fesses, frôlant son ventre souple et palpitant, puis vint se saisir d’un sein, le pelotant, le palpant, appuyant légèrement de la paume, agaçant en la frottant la pointe tendue à exploser puis passa à l’autre et lui fit subir le même sort.
Il se saisit des fraises roses, les tira lentement, les relâcha, recommença ce manège une vingtaine de fois tandis qu’Élodie se tordait, dodelinait du bassin d’un côté à l’autre, émettait des vocalises incontrôlées.

Puis les mains de l’homme se firent plus brutales, l’une pressant fortement un sein tandis que l’autre, descendue vers sa chatte, approcha au plus près de l’orée du sexe. Il fit entrer un doigt, puis un autre, tandis qu’Élodie hululait en étant secouée de salves de plaisir.
Les doigts la pénétrèrent, entrant profondément dans son ventre, butèrent tout au fond, ébranlèrent son utérus pendant quelques secondes puis ressortirent, descendirent vers le sillon fessier, palpèrent l’une après l’autre les petites fesses ; un doigt caressa le doux petit cratère, appuya dessus mais reflua comme s’il renonçait à le pénétrer.

Élodie était dans tous ses états. Sa tête roulait d’un côté à l’autre, elle criait, elle suppliait… Le plaisir montait à chaque seconde, atteignait le seuil du paroxysme, mais ce diable d’homme – comme s’il sentait à chaque fois qu’elle allait exploser – relâchait sa pression, l’étreinte de sa main, la caresse de ses doigts, et la laissait à moitié folle.

Elle avait envie de se caresser furieusement, de se branler comme une malade, avec indécence, de se faire jouir violemment, de se pénétrer, de tirer sur son bourgeon d’amour ; mais les mains liées, les cuisses écartées, elle ne pouvait seule se frotter le sommet de sa chair en feu, même avec ses cuisses, et subissait, tétanisée, cette excitation démentielle comme un supplice.

Pour un peu, elle aurait accepté qu’on la revête de ces gants de crin que les sœurs obligeaient les jeunes filles à passer autrefois pour la nuit dans les internats afin qu’elles ne puissent pas se donner du plaisir.
Elle se serait branlée avec des orties s’il avait fallu !
Elle suppliait, braillait, vagissait. Elle finit par gémir, comme une démone, comme une damnée, avec une voix de chatte maléfique, de possédée, à peine audible :

— Faites-moi jouir, finissez-moi… Je vous en prie, je vous en conjure…

L’homme restait sourd à ses supplications. Elle crut devenir folle, sentant le moindre recoin de sa peau hérissée.
Finalement, il ôta ses mains d’elle et détacha d’abord ses chevilles. Elle commença à se frotter les cuisses l’une contre l’autre, mais il plaqua sa paume sur sa vulve, comme pour la protéger de cette stimulation non autorisée.

Il libéra ensuite ses bras.
Immédiatement, elle porta ses mains à son sexe, pressée de se faire jouir furieusement. Mais il ne lui en laissa pas le temps : il l’attrapa à la gorge et la serra fortement. Saisie, elle suffoqua, prise de peur et de panique, tentant de se libérer, ses mains ayant lâché sa chatte pour essayer de desserrer l’étreinte sur son cou.

Il lâcha son cou mais lui attrapa les cheveux et l’amena ainsi jusqu’au bord de la couche de cuir ; puis, l’attrapant par la nuque, il la jeta littéralement à terre. Elle fut surprise de constater que ce sol bizarre à la surface mal visible était mou et souple bien que parfaitement plat, et qu’il ne lui fit donc aucun mal en la recevant.
L’homme saisit sa nuque gracile, et elle sentit l’instant d’après qu’on lui passait un collier raide et rêche. « Du cuir ou de la peau… » pensa-t-elle.

— Passe tes mains entre tes jambes ! ordonna la voix.

Elle ne discuta pas, et timidement, inconfortablement, descendit ses mains entre ses cuisses.
Les deux mains puissantes lui attrapèrent les poignets et les tirèrent en arrière sans douceur.

— Plie tes genoux !

Elle obéit, et sentit qu’on attachait en un clic métallique son poignet droit à sa cheville droite, et l’autre poignet à la cheville gauche. Elle était désormais dans une position des plus inconfortables, les genoux pliés au maximum, bras tirés vers le bas, et son petit cul pointant vers le haut, sommet désormais de son corps.

Il chaussa ses pieds de bottines de cuir noir, et elle put voir en se tordant le cou qu’elles étaient très élégantes, avec de longs talons aiguille. Puis il lui écarta les jambes et attacha chacune de ses chevilles aux deux extrémités d’une barre métallique, et elle se retrouva les cuisses écartées en grand. Elle se sentit à ce moment tellement vulnérable dans cette posture combien humiliante, et tellement offerte, ses petites fesses tendues et désignées comme cibles, ses deux orifices exposés de façon obscène, délicieusement et perversement disponibles, dans la plus parfaite et la plus totale impudeur.

Il lui passa autour du buste un harnais dont le froid la saisit ; les anneaux de métal furent placés sur chacun de ses petits nichons, et les mains tirèrent dessus pour les faire passer dans chacun des cercles parfaitement ajustés à la taille de ses seins qui étaient désormais étranglés, puis la sangle de cuir se referma dans son dos tandis qu’une autre sangle la reliait au collier de cuir. Ses cheveux furent dégagés en arrière et noués, puis attachés à un lien.

Elle sentit soudain des doigts qui caressaient avec un liquide glissant son anus offert. Elle grimaça : quelque chose de froid forçait son petit anneau culier et s’engloutit en elle. Elle comprit vite de quoi il s’agissait quand elle sentit qu’on lui tirait simultanément les cheveux en arrière et le crochet-boule inséré dans son anus : il était manifestement en train de relier les deux par l’intermédiaire d’une cordelette, ce qui la força à redresser son cou au maximum et à se cambrer le plus qu’elle pouvait, tant elle sentait son tendre petit orifice tiraillé ; le crochet arrondi appuyait fortement en elle, ce qui lui provoquait une sensation sourde et trouble.

Elle sentit ensuite que l’homme de haute stature l’enjambait ; il se tint debout, les jambes de part et d’autre de sa taille. Elle comprit ce qu’il faisait quand elle sentit chacun de ses petits mamelons tirés fortement par un pouce et un index virils. Elle poussa un cri bref et aigu. Les doigts puissants les malmenaient, lui arrachant des petits cris répétés, des geignements plaintifs. Puis il posa une pince sur chaque pointe érigée : la morsure n’était pas trop forte, mais suffisamment pour qu’elle ressente des ondes étranges l’envahir et descendre en elle jusqu’à son bas-ventre.

Elle allait à nouveau crier quand une balle (un bâillon-balle en matière dure) lui fut enfoncée dans la bouche. Le bâillon-balle fut attaché par le lien en caoutchouc derrière sa nuque. Elle essaya de marmonner une plainte, se mit à baver, mais ne fit entendre que des râles sourds semblables à des borborygmes… elle était réduite au silence !

Elle sentait sur sa vulve exposée au grand air frais que de la mouille coulait en abondance ; elle la sentait couler sur l’intérieur de ses cuisses. L’homme s’en aperçut car elle sentit sa main caresser la cuisse humide.

— Eh bien, on dirait que tu aimes ce traitement ! Plus on te maltraite, plus tu mouilles, petite cochonne ! Regarde-moi ça : tu coules comme une fontaine, tu fais une véritable flaque ! Si les hommes que tu connais savaient ça, ils se seraient occupés de toi depuis longtemps, petite traînée !

Un mousqueton se referma sur son collier, puis elle se sentit tirée en avant par une laisse. Elle se mit à ramper tant bien que mal sur les bras et les épaules, ainsi que sur le menton, se tortillant de droite et de gauche, maladroitement, s’efforçant de rester cambrée parce que la boule de métal dans son rectum lui dilatait l’anneau culier à chaque mouvement inadéquat.

— Regardez-moi ça : on dirait un escargot ! Une bête sans pattes avant, qui laisse une trace visqueuse et brillante en avançant. Tiens, je vais nettoyer mes chaussures...

Elle sentit la pointe d’une boot se frotter contre sa vulve grande ouverte. Sa respiration devint courte ; le manque revenait, l’envie d’être masturbée remontait très vite. Des doigts la remplacèrent qui entrèrent en elle, lui travaillant son fourreau durant de longues secondes qui lui semblèrent trop courtes tandis qu’un pouce astiquait les fines lèvres intimes et le clitoris gonflé à exploser.
Elle se mit à gémir, ses plaintes implorant son masturbateur, appelant à la faire jouir enfin.

Des doigts avaient saisi une pince, jouant avec elle, la faisant vibrer, réveillant la sensation lancinante dans toute l’aréole. Les doigts allèrent même jusqu’à appuyer davantage sur les deux mâchoires de la pince, renforçant la pression douloureuse ; elle poussa des cris aigus.

Elle se concentra sur son sexe travaillé en profondeur et en superficie en même temps, envahi par la chaleur du plaisir, le plaisir qui montait inexorablement ; mais cela dura trop peu de temps pour qu’elle atteigne le paroxysme. Elle était arrivée au sommet de l’excitation, avec une tension quasi électrique, mais il retira ses doigts. Pour un peu, elle se serait mise à sangloter !

Il la saisit soudain à la gorge et la souleva ; elle pivota sur ses genoux en ayant le sentiment de n’être qu’une poupée entre ses doigts, un objet sexuel, un pantin réduit à l’impuissance avec ses deux tétons entravés et ses trois orifices sans défense.

Il la prit sous les aisselles, la souleva et la renversa sur le dos en travers de la couche capitonnée ; la tige d’acier s’enfonçait dans la raie de ses fesses, la boule pesait sur son œillet : elle était forcée de maintenir son cou en hyperextension pour que son petit trou ne soit pas dilaté ou arraché. Il la tira jusqu’au bord du lit de telle façon ce que sa tête soit dans le vide puis il détacha le bâillon-balle et le lui ôta.
Elle prit une profonde inspiration ; de la salive maculait tout le tour de sa bouche.

Sa bouche ne resta libre que très peu de temps : avant même qu’elle ait eu le temps de le regarder, un très gros et très large chibre au gland rose et dilaté s’y enfonça profondément, remplissant toute sa cavité buccale. Tandis que d’une main sous le menton il lui maintenait la tête, il se mit à lui besogner la bouche, son énorme vit cognant à chaque coup en butée contre sa luette. Vaincue, elle se laissait baiser la bouche sans la moindre résistance. Cambrée en diable, son anus tendu au maximum par l’acier qui tirait sur le muscle culier, elle était devenue la parfaite petite soumise.

Tout en lui baisant la bouche il ouvrit et retira soudain l’une après l’autre les pinces qui lui meurtrissaient les tétons. Elle poussa un cri étouffé par l’énorme queue, ressentant subitement une douleur encore plus vive, le sang revenant dans ces parties délicates, l’influx nerveux revenant dans la pointe et l’aréole qui reprenaient des couleurs réveillant une sensation terrible.

Soudain, il arrêta ses va-et-vient, l’attrapa par les cheveux, lui souleva la tête ; mécaniquement et lentement, tout le corps suivit, le dos raidi par la tension des liens de cuir et le crochet de métal, et se redressa ; il la positionna à genoux devant lui, les quatre membres toujours entravés, les cuisses bien écartées. Il la maintenait par les cheveux, sa belle chevelure brune teinte tirée en arrière toujours attachée au crochet métallique, la bouche en face de son vit dressé.
L’ordre tomba :

— Maintenant, petite chienne, tu vas me finir ! Tu vas me sucer avec application ; tu vas y mettre tout ton cœur, tu vas me pomper à fond… Jusqu’au bout, jusqu’à ce que tu reçoives ma semence : à ce moment-là tu avaleras tout, en cadence, et jusqu’à ce que la source soit épuisée. Je te préviens : ça peut être long. Ne prends alors pas de retard en avalant sinon tu en auras plein la bouche et tu risquerais de mourir étouffée : il est hors de question que je te laisse cracher ou respirer !

En bonne soumise docile, vaincue d’avance, elle se mit à le sucer comme une vraie salope, à le téter, à le pomper à une allure rapide. Très vite, il se mit à soupirer, puis à haleter, puis à grogner. Le jaillissement était imminent.

Elle sentit les deux énormes couilles qui touchaient son menton à chaque aller se mettre à vibrer, comme un tuyau d’arrosage dont la pression arrive rapidement. Elle perçut ce frémissement intense, et l’instant d’après elle reçut rasade après rasade un foutre épais et abondant qu’elle s’empressa de déglutir avec zèle tandis que l’homme râlait de plaisir.
Ce plaisir dura un temps incroyablement long ; elle n’en finissait plus d’avaler… Quand ça s’arrêta et qu’elle lâcha la queue encore raide, elle avait l’impression d’avoir le ventre tendu, comme si elle avait bu goulûment tout un flacon de yaourt liquide !

Il se pencha alors sur elle, détacha ses cheveux et retira le crochet de son cul, ce qui fit comme un « plop » en sortant ; elle poussa un cri. Il ouvrit les mousquetons qui attachaient ses poignets à ses chevilles, lui libérant les bras. Il enleva également la barre qui lui maintenait les cuisses écartées et lui ôta le harnais de cuir et de métal.
Elle souffla, détendit un peu son dos, et massa ses cuisses endolories et courbaturées.

Auteur : Docsevere
Lisez la suite bientôt

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