Elle sentit qu’on poussait le fauteuil, et elle
avança dans un espace plus clair, plus lumineux : elle était désormais
dans une vaste pièce quadrangulaire, aux murs blancs mais au sol plus
sombre. Rapidement, une sorte de lit au pied et à la tête munis de
rambardes métalliques s’offrit à sa vue ; le plan n’était pas recouvert
de draps ou de couverture : il semblait de cuir clair capitonné. Des
bras l’arrachèrent au fauteuil ; elle fut soulevée et portée comme un
fétu de paille, et déposée sur le lit.
Ayant eu le temps de lever les yeux, elle vit que l’homme était entièrement recouvert d’un très long vêtement noir à capuche (qui n'était pas sans lui rappeler celui de Dark Vador ou de Dark Maul, sombres personnages de Star Wars), comme un moine ou un pèlerin à capuchon, dont elle ne put à aucun moment voir le visage.
Le personnage lui prit un bras, passa un bracelet de peau rêche à son poignet qu’il attacha à un montant métallique du lit, puis fit de même avec l’autre ; elle avait désormais les bras tendus en arrière, très écartés. Sans surprise, il attrapa une fine cheville et la lia de la même façon au montant métallique de la rambarde du pied de lit, puis fit de même avec l’autre.
Elle était désormais attachée, comme écartelée, ses membres écartés en X.
Ayant eu le temps de lever les yeux, elle vit que l’homme était entièrement recouvert d’un très long vêtement noir à capuche (qui n'était pas sans lui rappeler celui de Dark Vador ou de Dark Maul, sombres personnages de Star Wars), comme un moine ou un pèlerin à capuchon, dont elle ne put à aucun moment voir le visage.
Le personnage lui prit un bras, passa un bracelet de peau rêche à son poignet qu’il attacha à un montant métallique du lit, puis fit de même avec l’autre ; elle avait désormais les bras tendus en arrière, très écartés. Sans surprise, il attrapa une fine cheville et la lia de la même façon au montant métallique de la rambarde du pied de lit, puis fit de même avec l’autre.
Elle était désormais attachée, comme écartelée, ses membres écartés en X.
Elle
frissonna, se sentant soudain très vulnérable, ressentant la fraîcheur
de l’air sur son sexe nu, réalisant à quel point elle était offerte, la
chatte sans défense.
La main de l’homme se posa sur son sexe
qu’il empauma à nouveau, pressa, puis fit glisser ses doigts vers sa
vulve exposée qui était trempée. Il joua un bon moment avec son sexe,
dosant en virtuose caresses, pressions, titillements, frottements,
glissades sur les muqueuses tendres et satinées.
Élodie haletait, se tortillait, criait de désir et d’excitation, comme une folle qui ne s’écoute plus.
Il
desserra un peu son étreinte, relâcha la pression physique et sexuelle,
caressa ses cuisses pleines, monta sur ses hanches, palpant la
naissance de ses fesses, frôlant son ventre souple et palpitant, puis
vint se saisir d’un sein, le pelotant, le palpant, appuyant légèrement
de la paume, agaçant en la frottant la pointe tendue à exploser puis
passa à l’autre et lui fit subir le même sort.
Il se saisit des
fraises roses, les tira lentement, les relâcha, recommença ce manège une
vingtaine de fois tandis qu’Élodie se tordait, dodelinait du bassin
d’un côté à l’autre, émettait des vocalises incontrôlées.
Puis
les mains de l’homme se firent plus brutales, l’une pressant fortement
un sein tandis que l’autre, descendue vers sa chatte, approcha au plus
près de l’orée du sexe. Il fit entrer un doigt, puis un autre, tandis
qu’Élodie hululait en étant secouée de salves de plaisir.
Les doigts
la pénétrèrent, entrant profondément dans son ventre, butèrent tout au
fond, ébranlèrent son utérus pendant quelques secondes puis
ressortirent, descendirent vers le sillon fessier, palpèrent l’une après
l’autre les petites fesses ; un doigt caressa le doux petit cratère,
appuya dessus mais reflua comme s’il renonçait à le pénétrer.
Élodie
était dans tous ses états. Sa tête roulait d’un côté à l’autre, elle
criait, elle suppliait… Le plaisir montait à chaque seconde, atteignait
le seuil du paroxysme, mais ce diable d’homme – comme s’il sentait à
chaque fois qu’elle allait exploser – relâchait sa pression, l’étreinte
de sa main, la caresse de ses doigts, et la laissait à moitié folle.
Elle
avait envie de se caresser furieusement, de se branler comme une
malade, avec indécence, de se faire jouir violemment, de se pénétrer, de
tirer sur son bourgeon d’amour ; mais les mains liées, les cuisses
écartées, elle ne pouvait seule se frotter le sommet de sa chair en feu,
même avec ses cuisses, et subissait, tétanisée, cette excitation
démentielle comme un supplice.
Pour un peu, elle aurait accepté
qu’on la revête de ces gants de crin que les sœurs obligeaient les
jeunes filles à passer autrefois pour la nuit dans les internats afin
qu’elles ne puissent pas se donner du plaisir.
Elle se serait branlée avec des orties s’il avait fallu !
Elle
suppliait, braillait, vagissait. Elle finit par gémir, comme une
démone, comme une damnée, avec une voix de chatte maléfique, de
possédée, à peine audible :
— Faites-moi jouir, finissez-moi… Je vous en prie, je vous en conjure…
L’homme restait sourd à ses supplications. Elle crut devenir folle, sentant le moindre recoin de sa peau hérissée.
Finalement,
il ôta ses mains d’elle et détacha d’abord ses chevilles. Elle commença
à se frotter les cuisses l’une contre l’autre, mais il plaqua sa paume
sur sa vulve, comme pour la protéger de cette stimulation non autorisée.
Il libéra ensuite ses bras.
Immédiatement,
elle porta ses mains à son sexe, pressée de se faire jouir
furieusement. Mais il ne lui en laissa pas le temps : il l’attrapa à la
gorge et la serra fortement. Saisie, elle suffoqua, prise de peur et de
panique, tentant de se libérer, ses mains ayant lâché sa chatte pour
essayer de desserrer l’étreinte sur son cou.
Il lâcha son cou
mais lui attrapa les cheveux et l’amena ainsi jusqu’au bord de la couche
de cuir ; puis, l’attrapant par la nuque, il la jeta littéralement à
terre. Elle fut surprise de constater que ce sol bizarre à la surface
mal visible était mou et souple bien que parfaitement plat, et qu’il ne
lui fit donc aucun mal en la recevant.
L’homme saisit sa nuque gracile, et elle sentit l’instant d’après qu’on lui passait un collier raide et rêche. « Du cuir ou de la peau… » pensa-t-elle.
— Passe tes mains entre tes jambes ! ordonna la voix.
Elle ne discuta pas, et timidement, inconfortablement, descendit ses mains entre ses cuisses.
Les deux mains puissantes lui attrapèrent les poignets et les tirèrent en arrière sans douceur.
— Plie tes genoux !
Elle
obéit, et sentit qu’on attachait en un clic métallique son poignet
droit à sa cheville droite, et l’autre poignet à la cheville gauche.
Elle était désormais dans une position des plus inconfortables, les
genoux pliés au maximum, bras tirés vers le bas, et son petit cul
pointant vers le haut, sommet désormais de son corps.
Il chaussa
ses pieds de bottines de cuir noir, et elle put voir en se tordant le
cou qu’elles étaient très élégantes, avec de longs talons aiguille. Puis
il lui écarta les jambes et attacha chacune de ses chevilles aux deux
extrémités d’une barre métallique, et elle se retrouva les cuisses
écartées en grand. Elle se sentit à ce moment tellement vulnérable dans
cette posture combien humiliante, et tellement offerte, ses petites
fesses tendues et désignées comme cibles, ses deux orifices exposés de
façon obscène, délicieusement et perversement disponibles, dans la plus
parfaite et la plus totale impudeur.
Il lui passa autour du buste
un harnais dont le froid la saisit ; les anneaux de métal furent placés
sur chacun de ses petits nichons, et les mains tirèrent dessus pour les
faire passer dans chacun des cercles parfaitement ajustés à la taille
de ses seins qui étaient désormais étranglés, puis la sangle de cuir se
referma dans son dos tandis qu’une autre sangle la reliait au collier de
cuir. Ses cheveux furent dégagés en arrière et noués, puis attachés à
un lien.
Elle sentit soudain des doigts qui caressaient avec un
liquide glissant son anus offert. Elle grimaça : quelque chose de froid
forçait son petit anneau culier et s’engloutit en elle. Elle comprit
vite de quoi il s’agissait quand elle sentit qu’on lui tirait
simultanément les cheveux en arrière et le crochet-boule inséré dans son
anus : il était manifestement en train de relier les deux par
l’intermédiaire d’une cordelette, ce qui la força à redresser son cou au
maximum et à se cambrer le plus qu’elle pouvait, tant elle sentait son
tendre petit orifice tiraillé ; le crochet arrondi appuyait fortement en
elle, ce qui lui provoquait une sensation sourde et trouble.
Elle
sentit ensuite que l’homme de haute stature l’enjambait ; il se tint
debout, les jambes de part et d’autre de sa taille. Elle comprit ce
qu’il faisait quand elle sentit chacun de ses petits mamelons tirés
fortement par un pouce et un index virils. Elle poussa un cri bref et
aigu. Les doigts puissants les malmenaient, lui arrachant des petits
cris répétés, des geignements plaintifs. Puis il posa une pince sur
chaque pointe érigée : la morsure n’était pas trop forte, mais
suffisamment pour qu’elle ressente des ondes étranges l’envahir et
descendre en elle jusqu’à son bas-ventre.
Elle allait à nouveau
crier quand une balle (un bâillon-balle en matière dure) lui fut
enfoncée dans la bouche. Le bâillon-balle fut attaché par le lien en
caoutchouc derrière sa nuque. Elle essaya de marmonner une plainte, se
mit à baver, mais ne fit entendre que des râles sourds semblables à des
borborygmes… elle était réduite au silence !
Elle sentait sur sa
vulve exposée au grand air frais que de la mouille coulait en abondance ;
elle la sentait couler sur l’intérieur de ses cuisses. L’homme s’en
aperçut car elle sentit sa main caresser la cuisse humide.
— Eh
bien, on dirait que tu aimes ce traitement ! Plus on te maltraite, plus
tu mouilles, petite cochonne ! Regarde-moi ça : tu coules comme une
fontaine, tu fais une véritable flaque ! Si les hommes que tu connais
savaient ça, ils se seraient occupés de toi depuis longtemps, petite
traînée !
Un mousqueton se referma sur son collier, puis elle se
sentit tirée en avant par une laisse. Elle se mit à ramper tant bien que
mal sur les bras et les épaules, ainsi que sur le menton, se tortillant
de droite et de gauche, maladroitement, s’efforçant de rester cambrée
parce que la boule de métal dans son rectum lui dilatait l’anneau culier
à chaque mouvement inadéquat.
— Regardez-moi ça : on dirait un
escargot ! Une bête sans pattes avant, qui laisse une trace visqueuse et
brillante en avançant. Tiens, je vais nettoyer mes chaussures...
Elle
sentit la pointe d’une boot se frotter contre sa vulve grande ouverte.
Sa respiration devint courte ; le manque revenait, l’envie d’être
masturbée remontait très vite. Des doigts la remplacèrent qui entrèrent
en elle, lui travaillant son fourreau durant de longues secondes qui lui
semblèrent trop courtes tandis qu’un pouce astiquait les fines lèvres
intimes et le clitoris gonflé à exploser.
Elle se mit à gémir, ses plaintes implorant son masturbateur, appelant à la faire jouir enfin.
Des
doigts avaient saisi une pince, jouant avec elle, la faisant vibrer,
réveillant la sensation lancinante dans toute l’aréole. Les doigts
allèrent même jusqu’à appuyer davantage sur les deux mâchoires de la
pince, renforçant la pression douloureuse ; elle poussa des cris aigus.
Elle
se concentra sur son sexe travaillé en profondeur et en superficie en
même temps, envahi par la chaleur du plaisir, le plaisir qui montait
inexorablement ; mais cela dura trop peu de temps pour qu’elle atteigne
le paroxysme. Elle était arrivée au sommet de l’excitation, avec une
tension quasi électrique, mais il retira ses doigts. Pour un peu, elle
se serait mise à sangloter !
Il la saisit soudain à la gorge et
la souleva ; elle pivota sur ses genoux en ayant le sentiment de n’être
qu’une poupée entre ses doigts, un objet sexuel, un pantin réduit à
l’impuissance avec ses deux tétons entravés et ses trois orifices sans
défense.
Il la prit sous les aisselles, la souleva et la renversa
sur le dos en travers de la couche capitonnée ; la tige d’acier
s’enfonçait dans la raie de ses fesses, la boule pesait sur son œillet :
elle était forcée de maintenir son cou en hyperextension pour que son
petit trou ne soit pas dilaté ou arraché. Il la tira jusqu’au bord du
lit de telle façon ce que sa tête soit dans le vide puis il détacha le
bâillon-balle et le lui ôta.
Elle prit une profonde inspiration ; de la salive maculait tout le tour de sa bouche.
Sa
bouche ne resta libre que très peu de temps : avant même qu’elle ait eu
le temps de le regarder, un très gros et très large chibre au gland
rose et dilaté s’y enfonça profondément, remplissant toute sa cavité
buccale. Tandis que d’une main sous le menton il lui maintenait la tête,
il se mit à lui besogner la bouche, son énorme vit cognant à chaque
coup en butée contre sa luette. Vaincue, elle se laissait baiser la
bouche sans la moindre résistance. Cambrée en diable, son anus tendu au
maximum par l’acier qui tirait sur le muscle culier, elle était devenue
la parfaite petite soumise.
Tout en lui baisant la bouche il
ouvrit et retira soudain l’une après l’autre les pinces qui lui
meurtrissaient les tétons. Elle poussa un cri étouffé par l’énorme
queue, ressentant subitement une douleur encore plus vive, le sang
revenant dans ces parties délicates, l’influx nerveux revenant dans la
pointe et l’aréole qui reprenaient des couleurs réveillant une sensation
terrible.
Soudain, il arrêta ses va-et-vient, l’attrapa par les
cheveux, lui souleva la tête ; mécaniquement et lentement, tout le corps
suivit, le dos raidi par la tension des liens de cuir et le crochet de
métal, et se redressa ; il la positionna à genoux devant lui, les quatre
membres toujours entravés, les cuisses bien écartées. Il la maintenait
par les cheveux, sa belle chevelure brune teinte tirée en arrière
toujours attachée au crochet métallique, la bouche en face de son vit
dressé.
L’ordre tomba :
— Maintenant, petite chienne, tu vas
me finir ! Tu vas me sucer avec application ; tu vas y mettre tout ton
cœur, tu vas me pomper à fond… Jusqu’au bout, jusqu’à ce que tu reçoives
ma semence : à ce moment-là tu avaleras tout, en cadence, et jusqu’à ce
que la source soit épuisée. Je te préviens : ça peut être long. Ne
prends alors pas de retard en avalant sinon tu en auras plein la bouche
et tu risquerais de mourir étouffée : il est hors de question que je te
laisse cracher ou respirer !
En bonne soumise docile, vaincue
d’avance, elle se mit à le sucer comme une vraie salope, à le téter, à
le pomper à une allure rapide. Très vite, il se mit à soupirer, puis à
haleter, puis à grogner. Le jaillissement était imminent.
Elle
sentit les deux énormes couilles qui touchaient son menton à chaque
aller se mettre à vibrer, comme un tuyau d’arrosage dont la pression
arrive rapidement. Elle perçut ce frémissement intense, et l’instant
d’après elle reçut rasade après rasade un foutre épais et abondant
qu’elle s’empressa de déglutir avec zèle tandis que l’homme râlait de
plaisir.
Ce plaisir dura un temps incroyablement long ; elle n’en
finissait plus d’avaler… Quand ça s’arrêta et qu’elle lâcha la queue
encore raide, elle avait l’impression d’avoir le ventre tendu, comme si
elle avait bu goulûment tout un flacon de yaourt liquide !
Il se
pencha alors sur elle, détacha ses cheveux et retira le crochet de son
cul, ce qui fit comme un « plop » en sortant ; elle poussa un cri. Il
ouvrit les mousquetons qui attachaient ses poignets à ses chevilles, lui
libérant les bras. Il enleva également la barre qui lui maintenait les
cuisses écartées et lui ôta le harnais de cuir et de métal.
Elle souffla, détendit un peu son dos, et massa ses cuisses endolories et courbaturées.
Auteur : Docsevere
Lisez la suite bientôt
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