Chapitre 2
La porte de l'appartement claque en se refermant.
— Mehdi, t'es là ?
— Ouais... Qu'est-ce qu'il y a ?
— Il faut que je te parle, mon cœur ; viens dans le salon.
— Attends un instant, j'ai pas encore fini...
Sarah
le rejoint dans la chambre ; elle le trouve en train de s'astiquer le
manche devant l'ordinateur dont l'écran affiche une scène de sodomie.
— Putain, Mehdi, t'abuses ! Je suis là, moi !
—
Toi ? Mais t'es bonne à quoi, toi ? À rien ! Regarde, je suis obligé de
me branler en regardant des femmes se faire défoncer le cul parce que
j'ai jamais pu t'enculer, toi !
— Si tu m'écoutais un peu plus
souvent au lieu d'aller sur tes sites de cul, tu saurais que je viens de
chez un sexologue pour régler nos… problèmes.
— Quoi ? Nos problèmes
? Tes problèmes, oui : moi, j'en ai pas. C'est toi qu’en as, des
problèmes avec ton cul où j’peux pas enfiler mon zob !
— D'accord,
d'accord, c'est bon. Bref, je suis allée chez le sexologue ; il veut
nous voir ensemble. On a rendez-vous la semaine prochaine.
— Et qu'est-ce qu'il veut faire, ce bâtard ? T'élargir le cul ? Nique sa race !
Sarah
s'approche de lui et, s'agenouillant, elle enlève la main de Mehdi pour
la remplacer par la sienne sur la verge imposante. Pas excessivement
longue – une vingtaine de centimètres – mais d'un diamètre assez
important pour que sa petite main aux doigts effilés arrive tout juste à
en faire le tour. Elle débute de doux va-et-vient le long de ce sexe
surmonté d'un impressionnant gland circoncis qui le fait paraître encore
plus volumineux, puis elle s'arrête et se redresse pour lui répondre :
— Il veut t'aider à me sodomiser, pauvre con !
Elle s’incline à nouveau et fait glisser sa langue sur la verge de Mehdi.
— Ah, il veut m'apprendre à enculer une meuf, ce bouffon ?
Sarah continue à sucer Mehdi ; excitée par la grosse bite qu’elle a dans la bouche, elle ne l'écoute plus.
— Allez, pompe-moi la queue pendant que je regarde comment les vrais mecs s'occupent des pouffes !
Les
va-et-vient le long du membre deviennent de plus en plus rapides. Même
si elle ne le montre pas, Sarah apprécie le côté macho de Mehdi durant
leurs ébats ; tenant la hampe, elle s’active sur le gros gland qui lui
distend la bouche. L’éphèbe bronzé sent que sa jouissance n’est plus
qu’une affaire de secondes ; déjà quelques gouttes salées viennent
perler sur la langue de Sarah. C’est alors qu’elle arrête sa fellation
et regarde Mehdi droit dans les yeux en déclarant :
— Viens avec moi la semaine prochaine, Mehdi.
— Bon, OK, mais suce-moi à fond, alors.
Avec
un petit sourire en coin en signe de réussite, elle reprend le pénis en
main et le lubrifie de salive ; ses caresses augmentent d’intensité.
Tandis que dans la fine main la grosse bite tressaute, Sarah fait
tournoyer sa langue autour du gros gland qui gonfle encore plus en
prenant une teinte violacée… L'excitation de Mehdi est telle qu'il ne
peut se retenir de lâcher quelques soupirs. Le jeune Arabe attrape alors
la tête de sa copine, fait glisser son membre imposant de plus en plus
rapidement entre les lèvres de l'étudiante puis, lui maintenant la nuque
afin qu'elle ne puisse reculer, lui enfonce son gros gland tout au fond
de la bouche et déverse plusieurs jets de semence gluante directement
dans la gorge de Sarah qui s'étouffe sous l'abondance de l'éjaculation
tandis qu’il rugit de plaisir.
Enfin apaisé, il se détend et
donne une tape amicale sur la joue de la jeune fille qui continue à
déglutir. Toujours à genoux, elle avale les dernières gouttes qui lui
tapissent l’intérieur de la bouche avant de déclarer :
— Je ne peux pas être bonne à rien puisque je suce ta queue ! Bon j'appelle le docteur pour confirmer le rendez-vous.
—
OK, appelle-le, ton toubib de la putain de sa race ! Mais tu vas me
pomper le nœud tous les jours jusqu'à ton putain de rendez-vous. Compris
?
— Oui, mon cœur, merci ! dit-elle avant de l'embrasser.
* * *
—
Allô, Xavier ? Dis, j’ai un service à te demander. Tu sais, la petite
Sarah que tu m’as adressée, celle qui a des problèmes d’intromission
anale, tu t’en souviens ?
— Bien sûr, Serge ; un cul comme le sien, c’est difficile à oublier… Alors, tu te l’es faite, vieux saligaud ?
—
Non, pas vraiment, mais je dois la revoir en consultation. Comme tu le
sais, je viens de prendre ma retraite et je n’ai plus de cabinet. Tu
pourrais me prêter le tien pour que je la reçoive ?
— Eh bien, ça
risque d’être difficile : mon carnet de rendez-vous est plein à craquer ;
mais si tu peux attendre jusqu’à samedi, dans huit jours, je peux te
trouver un créneau, vu que je ne reçois pas le week-end.
— Super, Xavier ! Disons à partir de quinze heures ?
— OK, va pour quinze heures. Mais j’ai besoin d’une contrepartie : je veux être présent.
— Ah, je te reconnais bien là, mon salaud ! Mais si tu penses te la faire, tu vas être déçu : elle vient avec son mec.
— Merde ! Bon, viens une demi-heure avant ton rendez-vous ; on trouvera bien le moyen d’improviser un plan.
— OK, vieille canaille ; à plus.
— Ciao, toubib de mes deux !
Bon, ça se présentait pas trop mal. Le sexologue compose le numéro de la jeune étudiante.
—
Mademoiselle, c’est encore le docteur de Feule à l’appareil ; je vous
rappelle pour votre rendez-vous. Comme vous le savez, je viens céder mon
cabinet à un jeune confrère ; de ce fait, je vous recevrai chez votre
gynécologue, samedi en huit à quinze heures. Comme convenu, vous serez
accompagnée de votre ami, c’est bien ça ?
— Oui, Docteur : Mehdi sera là, j’ai réussi à le convaincre. Merci d’avoir rappelé.
— Bien. Alors à samedi prochain, Mademoiselle.
— C’est ça ; à samedi, Docteur. Au revoir, Docteur.
* * *
Le samedi suivant, le sexologue arrive à l’heure prévue au cabinet de son confrère.
— Salut, Serge ; entre et installe-toi.
— Bonjour, Xavier ; alors, tu as réfléchi à un plan ?
—
Ben, j’ai pensé que je pourrais me dissimuler dans la pièce attenante
pour mater ; et suivant ce qui se passera, je pourrais intervenir si tu
me fais signe…
— Je ne sais pas si c’est une bonne idée ; vois-tu, il
me semble que nous aurions plus d’ascendant sur ce jeune couple si nous
agissions à deux dès le départ. N’oublie pas que l’ami de notre
patiente est du genre macho ; ils se laisseront plus facilement
convaincre si nous sommes deux : pour ces jeunes, nous représentons
l’autorité que nous confère notre âge et nos diplômes. Et fais comme moi
: passe une blouse blanche ; ça les impressionnera plus que si tu les
reçois en jeans.
— Tu as raison, Serge. Alors je te laisse débuter la
consultation, et je t’assisterai. Bon, il nous reste un quart d’heure
avant le rendez-vous. Je te sers un cognac ? J’ai réussi à me procurer
du Hennessy Paradis Impérial plus que centenaire ; une pure merveille !
Heureusement, parce qu’à trois mille euros la carafe…
— Volontiers. Tu as dû en ausculter, des chattes, pour te payer ça !
Xavier
sort religieusement d’une armoire un magnifique flacon qui est déjà une
œuvre d’art par lui-même et en verse quelques centilitres dans des
verres à cognac en cristal. Les deux médecins s’absorbent dans la
contemplation du liquide mordoré qu’ils réchauffent entre leurs doigts
pour qu’il atteigne une température idoine, humant de temps en temps le
précieux élixir et s’extasiant sur les délicates senteurs qui s’en
exhalent, puis ils portent les fins récipients à leurs lèvres.
— Putain, que c’est bon… Moi qui suis athée, je me croirais au paradis ! Il porte bien son nom, ce cognac.
— Je te l’accorde : c’est un vrai chef d’œuvre !
Ils
devisent de choses et d’autres pendant quelques minutes, mais la
sonnette retentit et ils entendent des pas dans la salle d’attente.
— Les voilà ; ils ont dix minutes d’avance… chuchote Xavier.
—
Pas grave. Laissons-les poireauter, ça les mettra en état
d’infériorité. En attendant, terminons ce breuvage divin : je m’en
voudrais d’en laisser ne serait-ce qu’une goutte au fond de mon verre !
Et ils se calent dans les confortables fauteuils pour déguster l’alcool ambré.
Dix
minutes plus tard, le sexologue se lève, ouvre la porte de
communication entre la salle d’attente et le cabinet et leur tend la
main.
— Bonjour ; donnez-vous la peine d’entrer.
— Bonjour, Docteur, répondent simultanément deux voix dans lesquelles on perçoit de l’émotion.
— Asseyez-vous. Mademoiselle, vous connaissez mon confrère puisqu’il s’agit de votre gynécologue ; il va donc m’assister.
Puis, s’adressant à Xavier :
— Docteur, pouvez-vous me faire un rapide résumé de la situation, je vous prie ?
— Certes, mon cher confrère. Voilà : mademoiselle souffre d’intense dyspareunie à chaque tentative d’inculum a tergo.
Mon examen n’a pas décelé d’endométriose, ce qui laisse supposer que
l’origine de cette pathologie ne serait pas organique, mais plutôt
psychologique ; c’est la raison pour laquelle je vous l’ai adressée.
—
Merci, cher ami. Mademoiselle, il faut savoir que ces douleurs peuvent
provenir de causes aussi différentes qu’une hygiène excessive de la zone
uro-génitale, d’un sentiment de culpabilité pour tout ce qui touche à
la sexualité, d’un manque de préparation avant l’intromission, voire
même de conflits au sein du couple. Est-ce votre cas, Mademoiselle ?
La jolie Sarah, un peu gênée, réfléchit pendant quelques instants puis répond :
—
Eh bien, Docteur, parmi toutes les causes que vous venez de citer, je
n’en vois que deux : c’est vrai qu’il existe une sorte de conflit entre
mon ami et moi, mais ça vient du fait qu’il lui est impossible de m’enc…
de me sodomiser. Je pense que le problème vient surtout d’un manque de
préparation.
— Intéressant… Comment vous-y prenez-vous, Monsieur, pour donner envie à votre partenaire lors des préliminaires ?
Mal à l’aise, Mehdi se tortille sur son fauteuil avant de répondre :
—
Bah, comme d’habitude : je lui touche les nibards et je lui mets des
doigts dans la chatte. C’est bien comme ça qu’il faut faire, non ?
La voix chargée de reproches, l’étudiante se tourne vers son copain :
—
Il est là le problème, Mehdi : tu ne sais pas comment t'y prendre ! Tu
pense que c'est comme ça qu'on s'occupe d'une femme, qu'on lui fait
plaisir ? Dites-lui, Docteur !
— Eh bien, Monsieur, il me semble que
vous êtes un peu trop direct avec Mademoiselle ; soyez un peu plus
délicat, allez-y avec un peu plus de doigté.
— Ben quoi, la doigter, c'est bien ce que je fais, non ?
— Écoute, Mehdi, tu ne comprends décidément rien ; laisse le docteur te montrer.
Sarah
n'en revient pas… elle ose faire des reproches à Mehdi ! C'est vrai que
l'excitation est plus que palpable ; parler de sa sexualité devant
trois hommes aurait été irréalisable il y a quelques jours encore.
Le sexologue reprend la parole :
—
Vous semblez ne pas comprendre mes propos, Monsieur ; lorsque je dis
qu'il faut du doigté, cela signifie qu'il faut être léger, subtil. Il ne
s'agit pas d'enfoncer directement un doigt dans le vagin de cette
demoiselle sans l'avoir préparée délicatement auparavant ; n'est-ce pas,
Mademoiselle ?
— Tout à fait, Docteur. Malheureusement, je ne pense pas qu'il puisse comprendre si vous ne lui faites pas de démonstration
—
Bien. Alors installez-vous sur la table d'examen, Mademoiselle, après
avoir enlevé votre sous-vêtement et relevé votre jupe à hauteur de la
taille.
Répondant à la demande du médecin, Sarah préfère enlever
sa jupe complètement et se débarrasse des quelques grammes de dentelle
noire de son string.
— Voilà... Maintenant, posez vos pieds dans les étriers.
Le
sexologue s'approche, suivi de près par son confrère, très intéressé.
Mehdi, resté assis sur le fauteuil, se tourne vers eux ; malheureusement
pour lui, il ne peut voir que le dos des deux médecins.
Avec ces
deux hommes à qui elle offre une vue imprenable sur son intimité, Sarah
ne peut s'empêcher de ressentir un début d'excitation ; ses cuisses
largement ouvertes laissent apercevoir ses petites lèvres gonflées d’où
commencent à suinter quelques gouttes irisées.
Ayant
volontairement omis d'enfiler un gant, le médecin approche un doigt et
le passe délicatement à plusieurs reprises le long de la vulve qui
s'ouvre sous cette caresse, puis il saisit les petites lèvres qu'il
disjoint. Un filet de cyprine s'en écoule.
— Voyez par vous-même,
mon cher confrère : cette jeune fille présente tous les signes d'un
début d'excitation ; cette lubrification prouve qu'elle ne souffre pas
de sécheresse vaginale.
Puis, s'adressant directement à Sarah :
— Alors, Mademoiselle, comment ressentez-vous ces attouchements ?
—
Eh bien, Docteur, vous pouvez le constater par vous-même : vos
effleurements me font un effet terrible, ce qui ne m'arrive jamais avec
Mehdi.
— De ce côté-ci, tout semble fonctionner parfaitement,
Mademoiselle. Mais vous étiez venue consulter pour un problème plus…
comment dirais-je…
— Anal ? Oui, Docteur. Comme vous le savez déjà,
Mehdi et moi ne pouvons pas avoir de rapports anaux ; c'est d'ailleurs
une grande source de conflits entre nous, n’est-ce pas, Mehdi ?
— Ben oui, elle peut pas supporter que je l'encule.
— Monsieur, un peu de retenue, je vous prie ! Ici, on dit "sodomiser", ou bien encore "pratiquer le coït anal".
—
Mehdi ! Sérieux, je suis pas ta pute ! C'est pas que je ne veux pas que
tu me sodomises ; c'est que tu t'y prends mal. On n’est pas dans un
porno ; et ça, tu as du mal à le comprendre. Je pense que tu as vraiment
besoin de leçons...
— Hé, toi, arrête de m'énerver ! Les leçons,
c'est aux hommes de les donner, et c'est moi l'homme ici, pas toi. Alors
arrête de me gonfler !
— Toi, un homme ? Mais tu n'es même pas
capable de faire plaisir à une femme ! Je ne vois que deux hommes dans
cette pièce, et tu n’en fais pas partie. Si tu veux te taper des putes,
alors va à la gare, t'auras du choix !
— Fais pas chier, pauvre conne !
— Jeune homme, je vous prie de ne pas proférer de grossièretés dans mon cabinet ; calmez-vous !
—
Je t'emmerde, Mehdi ! Je ne sais même pas pourquoi on est là, ensemble.
Nous deux, ça ne collera jamais. Et c'est pas qu'à cause d'un problème
de sodomie : c'est à cause de ta connerie !
— Ma connerie, espèce de
pouffe ? Elle te dit merde ! T’auras plus à la supporter : je me casse,
et définitivement. Allez, fais-toi bien tripoter par ces deux pédés ;
amuse-toi bien. Ciao !
Furieux, il se lève et part en claquant la porte.
Le calme revenu dans le cabinet médical, le Dr de Feule reprend :
—
Alors, Mademoiselle, parlez-nous de vos problèmes de sodomie.
L'avez-vous déjà pratiquée avec d'autres partenaires que ce grossier
individu ?
— Non. Il a été mon premier, Docteur, répond-elle, un peu déconcertée par la dispute qui vient d’avoir lieu.
—
Dans ce cas, il faudrait tester si vous êtes réceptive aux caresses
anales. Voulez-vous bien vous mettre à plat-ventre pour que nous
puissions procéder à un examen ?
— Oui, tout de suite, Docteur.
Cette
demande fait retrouver à Sarah l'excitation qu’elle éprouvait au début
de la séance. Très vite, elle se met à plat-ventre, impatiente de
découvrir les douces caresses des deux médecins.
À la vue du
joli petit cul rebondi qui s'offre à leurs regards lubriques, les deux
complices échangent un sourire vicieux. Le sexologue pervers
s'agenouille au pied de la table d'examen, se penche légèrement et,
plaçant sa langue sur la vulve de la jeune fille, il la fait lentement
remonter jusqu'au creux de ses reins, laissant sur la peau satinée de la
jeune fille une trace humide d'un mélange de salive et de cyprine.
Ces
quelques coups de langue permettent à Sarah de ressentir un réel
plaisir, et elle ne peut s'empêcher de laisser s'échapper quelques
soupirs.
— Humm, Docteur… c'est très agréable, ce que vous me faites.
—
Je vous rassure, Mademoiselle : vous êtes très réceptive de ce côté-là
aussi. Voyons jusqu'où ces stimulations peuvent vous mener…
Il
reprend ses caresses, léchant les deux fissures, faisant pénétrer la
pointe de sa langue à l'entrée du vagin de Sarah tout en massant
délicatement le petit cratère de son anus, puis il remplace son doigt
par sa langue habile qui tourne autour de l'entrée interdite qui
commence à s'entrouvrir sous la délicate caresse.
La belle
étudiante est très réceptive ; grâce à cet homme, elle découvre des
émotions et des sensations encore inconnues. Ces caresses la mettent
dans un état second.
— Docteur, si je peux me permettre... Vous excellez dans ce domaine.
— Pourquoi dites-vous que j’excelle, Mademoiselle ? Que ressentez-vous ?
— Eh bien, Docteur, j’éprouve de l'excitation ; une excitation très intense.
— Assez intense pour vous amener à l'orgasme ? Dois-je continuer ?
— Aimeriez-vous continuer, Docteur ?
—
D’un strict point de vue professionnel, oui : il serait intéressant –
pour le bien de la science, cela va sans dire – de déterminer si
certaines caresses peuvent provoquer un orgasme anal. Maintenant, tout à
fait personnellement, je dois vous avouer que, oui, j'aimerais
continuer car vous m’excitez beaucoup, Mademoiselle. D’ailleurs, il me
semble que je ne suis pas le seul à l'être, d'après ce que je peux voir :
mon confrère présente une émotion... palpable. Alors, on continue ?
—
En prenant en considération toutes vos indications, je pense qu'il
serait judicieux pour vous, pour moi, pour votre confrère et sans
oublier pour le bien de la science… de continuer la séance, répond-elle
d’une voix rendue rauque par le désir qui l’envahit.
Voir le
pantalon de son gynécologue déformé par une grosseur conséquente
augmente encore son excitation, et c'est tout naturellement que la belle
Sarah darde un regard provocateur sur l’autre médecin en cambrant ses
fesses comme pour l’inciter à les rejoindre. Succombant à ce regard de
braise, Xavier s'approche et se place le long de la table
d'auscultation, à proximité de la main droite de l’étudiante, tout en
laissant son regard errer sur la croupe attirante de la jeune fille.
— Docteur ? Je vous en prie, allez-y… dit-elle avec un sourire espiègle.
Serge
de Feule ne se fait pas prier ! Après avoir introduit délicatement
l'extrémité de son index à l'entrée du vagin de la belle pour le
lubrifier, il remonte de quelques centimètres pour aller titiller les
bords de la rondelle frémissante ; il l’enduit ainsi à plusieurs
reprises puis, estimant le moment venu, il plonge avec douceur sa
première phalange dans le sphincter et entreprend de délicats mouvements
circulaires à l'intérieur du rectum de l'étudiante qui ne peut retenir
quelques soupirs.
— Humm… Huuuuum…
Afin d'accentuer son
plaisir, elle se met à onduler lascivement du bassin. Ses soupirs de
plus en plus sensuels indiquent au sexologue qu'il est sur la bonne voie
; il fait pénétrer son index fureteur jusqu'à la deuxième phalange tout
en continuant ses mouvements circulaires. Sarah est au bord de
l'orgasme, mais elle en veut encore plus ; elle lance un regard
voluptueux aux deux hommes pour leur faire comprendre sa folle envie de
sexe.
Alors qu’elle tente tant bien que mal de contenir son
orgasme afin de profiter le plus longtemps possible de cette situation
troublante, sa petite main se dirige vers la braguette de Xavier, son
gynécologue, et se plaque sur son pantalon pour se refermer sur le
gourdin et le serrer convulsivement.
Avisant l'état d'excitation
de sa patiente, le docteur de Feule en profite pour introduire un
deuxième, puis un troisième doigt dans la corolle frémissante. À
présent, il malaxe avec de plus en plus de vigueur l'intérieur de la
jeune fille qui, haletante, est sur le point d'exploser. Elle le supplie
avec des mots qu’elle pensait ne jamais pouvoir prononcer :
— Docteur, enculez-moi… Je vous en prie, ne me laissez pas comme ça… Enculez-moi, maintenant ! Je vous veux dans mon cul !
Le
médecin fait glisser son pantalon et son boxer jusqu'à ses pieds,
dévoilant une verge aristocratique, longue et fine, parfaite pour la
sodomie. Se plaçant entre les cuisses largement ouvertes de l'étudiante,
il applique son gland effilé sur l'ouverture étoilée et le fait
pénétrer sans la moindre difficulté. Ne pouvant plus retenir son
orgasme, Sarah accentue sa cambrure afin que le docteur puisse lui
investir plus profondément le cul.
— Docteur, prenez-moi… Continuez... Oui…
Le
gynécologue n’en peut plus de jouer les spectateurs ; il se place face à
la jeune fille, extirpe un membre congestionné de son pantalon et
l’insère dans la bouche de l'étudiante afin pouvoir, lui aussi,
participer à ce déchaînement des sens, à ces explosions de libidos.
Le
sexologue poursuit lentement, sans à-coup, l'intromission de sa longue
pine dans le fondement de l’adolescente jusqu'à arriver en butée contre
ses fesses magnifiques. Courbé au-dessus du dos de Sarah, il voit sa
tête aller et venir le long du membre de son confrère ; cette vision
l'excite encore plus, et il se met à glisser lentement dans l'étroit
boyau de la jeune fille qui explose immédiatement dans un premier
orgasme. Une vague de chaleur prend possession de son corps pendant
qu’elle gémit tout en suçant ardemment la grosse bite du gynécologue
pour les remercier, lui et le docteur de Feule, de l'avoir libérée de
ses inhibitions.
— Xavier, viens bouffer la chatte de cette
petite cochonne pendant que je lui défonce le cul ! Sarah, soulève-toi
et laisse-le se glisser sous toi.
La belle s'exécute et laisse le
médecin se glisser sous son corps ; elle profite de cette position de
69 pour reprendre en bouche le mandrin du gynécologue. À présent que la
langue de son confrère s'est emparée de la vulve ruisselante de
l'étudiante, le sexologue pervers se remet à coulisser régulièrement
dans le cul de l'adolescente, puis accélère sa cadence. Parfois, il
laisse juste son gland à l’intérieur du rectum, immobile, étranglé par
le sphincter qui l’enserre, puis il pénètre d'un trait au plus profond
des entrailles de Sarah pour y appliquer de petits coups secs et
répétés.
— Hummm… Messieurs…
Les va-et-vient du sexologue
et les coups de langue assidus du gynécologue accélèrent l’arrivée du
second orgasme de Sarah qui ne tarde pas à exploser sous les coups qui
la traversent tandis que des cris de plaisir s'échappent de sa bouche.
Ces
cris excitent l'enculeur. Sentant sa jouissance monter inexorablement,
il s'immobilise tout au fond du rectum qui l'enserre délicieusement
puis, faisant coulisser lentement sa verge sur quelques centimètres
seulement pour bien apprécier la douceur de la gaine qui presse son
gland gonflé par le plaisir, il se déverse à longs jets dans ce cul
accueillant en poussant un hurlement libérateur.
Il reste un moment dans ces entrailles soyeuses, puis se retire.
— À toi, Xavier. Maintenant que le chemin est préparé, tu lui feras moins mal avec ta grosse bite.
Le
gynécologue se retire à regret de la bouche de Sarah, se redresse et
vient prendre la place libérée par son confrère ; et même si son membre
est d'une taille impressionnante, il l'introduit sans coup férir entre
les fesses de la jeune fille qui accueille l'imposante verge avec un
gémissement entre douleur et plaisir.
Quelque peu fatiguée mais
toujours excitée, Sarah est transpercée par l’imposant membre. Bien
qu'elle y ait goûté peu de temps auparavant, le recevoir dans son petit
cul n’est pas une partie de plaisir ; du moins au début, car très vite
la douleur laisse place au plaisir tandis que le gynécologue entreprend
une étude en profondeur des fesses de la jeune fille. Déjà prêt à jouir
dans la bouche de Sarah lorsqu'il s'en était retiré, Xavier n'a que
quelques va-et-vient à effectuer dans l'étroit conduit pour éjaculer
longuement en gémissant, mais ces quelques mouvements permettent à
l’adolescente de connaître un troisième orgasme.
— Docteur… Hum, Docteur... Oui... Aaaah !
Pour Sarah, ce troisième orgasme est sans le moindre doute le plus puissant de tous.
Chaque
membre du trio ayant satisfait sa lubricité, le gynécologue invite
l'étudiante à passer dans le cabinet de toilette attenant pour y
procéder à des ablutions bienvenues. Pendant son absence, les deux
compères se versent une rasade de ce fabuleux cognac et le dégustent
tout en se congratulant pour ce moment de débauche. Sarah, quant à elle,
est toujours dans un état second. Elle ne se reconnaît pas : la jeune
étudiante s'est transformée en une véritable dépravée du sexe... et elle
en redemande encore !
Lorsqu'elle réapparaît dans le cabinet,
elle trouve les deux médecins en train de deviser joyeusement. Serge de
Feule l'invite à s'asseoir dans un fauteuil face à eux.
— Eh
bien, Mademoiselle, l'examen est probant : vous n'êtes affectée d'aucun
syndrome ; vos problèmes provenaient uniquement de votre ami qui ne sait
pas s'y prendre avec les femmes. Toutefois, il serait utile de vous
revoir régulièrement pour un suivi de vos capacités orgasmiques ; je
vous propose donc de nous retrouver ici-même une fois par mois. Cela
vous convient-il ?
Sarah s'interroge. Cette relation été
exceptionnelle, mais un suivi régulier, où cela pourrait-il la mener ?
Cependant, l'excitation qu’elle vient de connaître ne la fait pas
réfléchir longtemps.
— Docteur, ces rendez-vous mensuels me semblent impératifs.
— On se retrouve dans un mois alors ?
— Avec grand plaisir.
—
N’oubliez pas, Mademoiselle, qu’il faut prolonger le traitement pour
qu'il reste efficace. Et son efficacité n'est plus à démontrer !
Avant
de partir, sachant parfaitement l’usage que les deux médecins vont lui
réserver, Sarah laisse tomber négligemment sur le seuil de la porte son
string détrempé par l’excitation qui l’avait submergée en se rendant au
cabinet médical, se doutant bien de ce qui allait se produire ; mais
elle ne savait pas encore que ses attentes allaient être comblées bien
au-delà de ses espérances les plus folles.
FIN
Auteurs : Lioubov et Nulaya
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