Tiges de jade
Dès la fin de semaine suivante, c’est avec un même empressement que je me retrouvai sur les routes en compagnie de mes deux zélés chaperons. Le secret n’avait pas été bien gardé. Mais cette fois, c’était sûr, le hardi divertissement à affronter ne pourrait être manqué.
Gildas, surtout, ne semblait pas renoncer en sa quête de rencontres insolites. Son plus fort désir restait de me voir « aller en cabine » pour satisfaire le jeûne supposé de routiers loin de leurs épouses. Le jeu – car pour nous, ces défis qui m’étaient imposés restaient bien des jeux – était loin de me déplaire, même si je ressentais toujours quelques appréhensions à l’approche de son préambule.
Mes complices avaient ainsi décidé de reprendre leur plan initial en n’y apportant au final que peu de changements. Ils jugeaient qu’une telle rencontre pouvait être plus opportune en début de nuit, au moment où les camions se retrouvaient parqués sur leurs aires de stationnement… et leurs chauffeurs mieux disposés à se dégourdir un peu plus que les jambes après de longues périodes de conduite.
La première aire de
services rencontrée fut notre refuge ; restait à voir si une telle
éventualité allait enfin pouvoir se concrétiser. Gildas – qui ne se
départait nullement de son naturel optimisme – dirigeait à présent
l’opération. Il stoppa son véhicule au plus près d’un groupe de camions
garés en bout de parking. Une poignée d’hommes y était en grande
discussion ; il se dirigea aussitôt vers eux.
À l’arrière de la
voiture, je n’en menais pas large. En raison de son caractère
initiateur, ma précédente sortie ne m’avait procuré aucune appréhension ;
cette fois, j’étais peu rassurée d’être donnée en pâture à un groupe
d’inconnus. Cependant, une énigmatique fascination me faisait affronter
cette nouvelle expérimentation avec audace.
Depuis notre
véhicule, je distinguais Gildas qui montrait quelques signes de
mésentente face à son auditoire. Claude le perçut également et me fit
remarquer :
— Ça n’a pas l’air facile de se faire comprendre.
Normal, les camions sont tous immatriculés à l’étranger… Qu’est-ce qu’il
peut bien leur baragouiner ?
Nous scrutions tous deux Gildas qui
tentait vainement de s’expliquer par gestes. Les hommes qui lui
faisaient face semblaient extrêmement perplexes ; nous étions tout aussi
dubitatifs face à ses gesticulations. À un moment, il se retourna et
fit un signe de tête de notre côté : dans un mouvement d’ensemble, les
hommes scrutèrent intensément dans notre direction.
J’eus un
geste de recul, bien dérisoire, car je ne devais certainement pas être
visible depuis leur position. Je me mis à grelotter. Je ne portais que
des sous-vêtements sous mon manteau ; j’avais la chair de poule,
frissonnements de fraîcheur et de crainte mêlés. Les cuisses serrées –
entre lesquelles je sentis un déconcertant transport se propager – je
tentais de maîtriser mon angoisse ; sans réelle réussite.
Au
loin, Gildas eut un mime éloquent : formant un cercle du pouce et de son
index de la main gauche, il y fit coulisser à plusieurs reprises son
index droit. Pour un étranger à la scène, la démonstration aurait
indiscutablement parue obscène ; elle avait cependant le mérite d’être
universellement intelligible. J’en eus la preuve en voyant l’un des
hommes s’empoigner le bas-ventre au travers du pantalon et se le malaxer
en guise d’assentiment.
Gildas se retourna une nouvelle fois et
nous adressa un autre geste compréhensible. D’un index recourbé en forme
de crochet au bout de son bras tendu, il me fit comprendre que je
devais le rejoindre.
— À toi de jouer, ma belle ! me confirma
Claude, également absorbé par la saynète qui se jouait devant nous et
dont le timbre de la voix témoignait d’une anxiété amplement partagée.
Comme
dans un rêve, je m’extirpai du véhicule les jambes flageolantes, et
manquai de chanceler à plusieurs reprises avant d’aborder le groupe.
Sous la pâle lueur d’un premier quartier de lune, je distinguais les
regards chargés de convoitise de ceux qui n’aspiraient qu’à me posséder
sans autre préalable.
Gildas me prit par la main ; je crus lui
discerner un léger tremblement. Je le laissais opérer à son gré, et
cherchais désespérément à croiser son regard continûment fuyant. Il
m’obligea à effectuer un demi-tour sur moi-même. Sans échanger le
moindre mot, il fit glisser mon manteau sur mes épaules et m’en
débarrassa pour offrir à l’aréopage médusé une perspective culottée du
côté pile de ma frissonnante anatomie.
Il m’abandonna dans ma
honteuse posture et rejoignit son complice bien caché dans l’habitacle
obscur de la voiture. Il me fallait affronter seule l’humiliation.
Étonnamment, j’étais impatiente d’être publiquement outragée. Je dus
attendre d’interminables secondes avant de ressentir le contact d’une
main calleuse accrocher la peau douce de mon entrecuisse. Quelques mots
inconnus furent chuchotés mais, en me fiant à leur intonation, je
compris que mes assaillants émettaient quelques appréciations, a priori
flatteuses, sur mon attrayant fessier.
L’analyse de ma croupe ne
pouvait longuement se contenter d’un examen exclusivement visuel : je
fus vite pétrie par une nuée de paluches envahissantes. Le cœur emballé,
je me laissais palper par la fougueuse horde des mâles exaltés et me
mis à partager leur enthousiasme à m’examiner plus en profondeur.
Cinq
hommes m’entouraient à présent. Je sentais le souffle de leurs narines
dilatées alors qu’ils me pelotaient sans hésitation. Mon soutien-gorge
fut vite remonté au-dessus des seins, mes mamelons durcis inévitablement
triturés. Une pogne rugueuse se glissa dans ma culotte, aussitôt
engluée par l’épanchement humide de ma vulve en demande d’attouchements
plus intrusifs. Quelques grommellements accompagnèrent le glissement
soyeux de ma lingerie intime. Je fus contournée pour être examinée de
face. Les quidams avaient déjà tous la braguette ouverte d’où
jaillissaient de bien tentatrices raideurs.
Charmée par
l’égrillarde éclosion de ces colonnettes embellies par la crayeuse
nitescence de l’astre de la nuit, je me laissai guider par l’un d’entre
eux à l’abri d’une imposante remorque. Placée devant ce que je pensais
être un réservoir, je compris que je devais me positionner de façon à
être le plus aisément accessible par l’assemblée.
La culotte à
mi-cuisses, la poitrine nue, j’eus un bref regard en direction de mes
deux complices. Bien qu’effacés par l’obscurité, je savais qu’ils nous
observaient avec une attention toute particulière. Alors que je sentais
un gland humide chercher à se glisser en moi, je leur prouvai toute ma
gratitude d’un sourire complice.
Cette reconnaissance pouvait
sembler déplacée ; c’est pourtant avec ma pleine bénédiction qu’ils
m’envoyaient à ce type de châtiment qui n’était en rien une punition,
mais bien la récompense d’être l’instrument choisi de leur dévergondage.
Penchée
en avant, les mains en appui sur les genoux, je me faisais puissamment
tamponner le derrière par les ballants attributs d’un premier assaillant
qui avait laissé choir slip et pantalon sur ses mollets pour mieux
m’honorer. Les sens échauffés par notre public accouplement, notre
commune exaltation nous transporta dans une furieuse perversion sous les
regards de spectateurs qui attendaient à leur tour de devenir acteurs.
À
peine retiré de son lieu de débauche, un autre prit la place maculée
et, cédant aussi vite au même transport, y versa diligemment son
trop-plein de vitalité. Sans se préoccuper de la souillure qui
remplissait mon vagin, un troisième sacripant s’y engouffra à son tour.
L’indécent
tapage de nos sexes emboîtés se propageait dans le calme environnant,
ce qui me fit craindre qu’il n’alerte bien plus de larrons que ne
l’auraient voulu mes deux compères qui ne devaient rien perdre de la
séance.
Le pénis englué dans le sirupeux mélange ne s’y laissa
pas piéger et y déchargea tout aussi intensément ; puis tomba, flasque,
poisseux. D’épais filaments restèrent suspendus à la découpure largement
ouverte de ma vulve. Je me dandinais sur mes jambes pour tenter d’en
faciliter l’évacuation lorsque je m’aperçus que le tissu de ma culotte,
tendue entre mes cuisses écartées, en recevait l’indolent écoulement.
Je
n’eus guère le temps de m’apitoyer sur le sort de mon superflu ornement
: un quatrième partenaire le fit glisser sur mes chevilles pour me
saisir par les hanches. Il m’empala d’un seul élan. Sous les
oscillations répétées, je m’accrochais avec peine aux aspérités de la
remorque. Je ne me préoccupais nullement de mon entourage et jouissais
des spasmes éjaculatoires de celui qui me possédait. M’agrippant
toujours par les flancs, l’homme me tenait fermement embrochée sur sa
pique, moins empressé de quitter la douceur de l’endroit que les
précédents locataires. Lorsqu’il se retira, il écarta mes fesses et
porta son intérêt sur mon évasure dégorgeant le trop-plein de nos
alliances.
Le sexe mou, bavant et pendouillant toujours hors de
son habit, l’homme qui avait ouvert le bal me malaxa les seins toute la
durée des coïts, formulant des propos incompréhensibles à l’adresse de
ceux qui copulaient. La procession des assiégeants s’étant tarie, il
voulut se remettre en moi, non sans avoir pris le temps d’apprécier les
girandoles déposées par les ferventes saillies.
Sa seconde
étreinte fut plus placide, plus lente, et s’étira jusqu’à l’assèchement
de l’appétit de mon enfileur qui me délaissa sans autre considération.
Étourdie par la fulgurance des assauts, une brise rafraîchissante me fit
revenir à la réalité de mon ahurissant comportement.
Restée
seule, comme je répugnais à remonter ma culotte maculée, je vis sortir
de l’obscurité un autre homme qui s’approcha à pas lents. Demeuré à
l’écart durant la série de mes expéditifs accouplements, je l’avais à
peine remarqué et en avais oublié la présence. Planté devant moi, il
m’observait remettre laborieusement mon cache-sexe qui s’était follement
entortillé à mes pieds.
— Souinia… uprawac… cajuta…
Que
me voulait-il ? Il resta à légère distance, nonchalant, mais je pus
saisir son éloquent agissement. Il ne faisait aucun doute qu’il se
touchait, les mains engoncées dans ses poches.
— Iou biche…
Quel
était donc cet étrange galimatias ? Peu importait finalement si les
mots me parvenaient déformés ; l’idée qu’ils traduisaient se formula
vite par gestes. Sortant ses pognes, il pointa du doigt la cabine de
l’attelage qui venait de nous servir de cachette et empoigna le
perceptible renflement de son bas-ventre avec enthousiasme ; pantomime
qui me valait une démonstration sans équivoque.
L’individu, bien
que timide, n’en était pas moins homme et se révélait à présent bien
gaillard à l’abri des prunelles indiscrètes. Le regard espiègle, il
convoitait avec aplomb mon corps dépouillé et poursuivit son
amphigourique débit :
— You… toi… sleute… feuque iour cunte… [1]
Ce
disant, il me désigna une nouvelle fois l’habitacle de son camion. Je
cherchai à dissiper mon inquiétude et scrutai d’un regard apeuré en
direction de mes complices plus que jamais évanouis dans la pénombre de
la nuit.
Ignorant tout de mon manque d’assurance, le routier
ouvrit la portière droite de son poste de conduite et m’invita à monter
sur le marchepied ; une irrépressible pulsion me porta immédiatement
vers l’emmarchement. Je posai un pied avec peine sur le premier degré du
marchepied. Alors que je décollais la jambe pour me porter sur la
seconde marche, mon guide en profita pour me toucher le popotin et me
poussa par les fesses pour m’aider à franchir l’obstacle ; il accompagna
son geste caressant de mots allochtones.
Parvenue de cette
manière au sommet de mon équipée, je marquai l’arrêt devant ce que je
découvris. Bien loin de l’idée que je m’en faisais, je me retrouvai dans
ce qui ressemblait plus à un cockpit d’avion qu’à l’habitacle d’un
camion. Fascinée, je restai agenouillée sur le siège passager, offrant
involontairement une pleine exposition de mon croupion au convoiteux
pilote.
— Woche, biotifoul ass… jowli dame.
La phrase,
plus compréhensible, s’accompagna d’une tape amicale sur mon fessier et
me fit comprendre que je devais libérer l’accès pour celui qui allait me
consommer sans tarder. Je tenais facilement debout au centre de la
luxueuse cabine ; j’en oubliais ma quasi-nudité en portant un regard
décontenancé sur mon entourage.
Douillettement éclairé par un
plafonnier et visuellement isolé de l’extérieur par des rideaux
occultants, l’aménagement intérieur était d’un luxe insensé ; le poste
de pilotage était encombré d’éléments auxquels je ne comprenais rien.
Mais ce qui me frappa d’emblée fut la couchette… clairement préparée
pour mon accueil.
Je n’eus guère la possibilité d’explorer plus
avant le lieu de ma nouvelle dépravation. Après avoir
précautionneusement refermé la lourde portière, l’homme se porta à mon
côté et entreprit de me caresser avec une désinvolture qui tranchait
avec sa réserve précédente. Il examina ma poitrine et se mit à en sucer
un téton tout en glissant une main endurcie sur mon ventre frémissant.
Dans
ma précipitation à remettre ma fine culotte, je ne m’étais pas rendu
compte qu’elle était restée un peu enroulée sur elle-même en la
remontant sur mes cuisses. Au lieu de dissimuler mon pubis comme tout
cache-sexe qui se respecte, elle s’était engagée entre mes muqueuses
étirées à la suite des vives étreintes.
L’homme ne s’en étonna
nullement et prit même plaisir à tendre davantage la peau élastique de
mes grandes lèvres tout en clamant haut et fort sa jubilation.
— Vouch… poussi lips…
Puis,
blasé de ce plaisant intermède, il me débarrassa de mon superflu
affiquet pour m’inspecter le derrière avec un même enthousiasme. D’un
grognement indistinct plus que d’un ordre formel, il me fit comprendre
que le temps était venu de m’étendre sur sa couche.
Le polisson
m’observa m’étendre sur sa moelleuse paillasse tout en se triturant le
sexe au travers du pantalon. Allongée sur l’étroite literie, en appui
sur les coudes, cuisses ouvertes, j’offrais à mon offenseur un axe
privilégié sur l’organe des plaisirs. Fièrement campé au milieu de sa
cabine, les yeux rivés sur la tentation promise, l’homme entreprit un
flegmatique déboutonnage de sa braguette distendue. Je fixai avec la
même convoitise le lent déballage de l’affriolante verge. Le pantalon à
mi-cuisses, il se masturba devant moi. Je déployai les larges pétales de
ma fleur et me délectai de voir l’aguichant pénis se raidir.
La
barrière de la langue nous refusait tout échange verbal. Mais nos
langues, elles, ne déniaient pas d’exprimer notre attrait partagé pour
le sexe par de salaces signaux en se mouvant lubriquement hors de nos
bouches.
Au gland vermillon distendu, à présent bien
décapuchonné, miroitait une délectable perle d’une transparence
cristalline. Il s’approcha, les braies en accordéon sur les chevilles,
se coula entre mes jambes, sabre au clair et, en parfait bretteur, me
pourfendit la motte de son aiguillon effilé.
Il grommela,
bougonna, m’écartela, divisa ma vulve de ses doigts pour favoriser sa
conquête ; j’eus l’impression qu’il cherchait à me disloquer. Les
claquements de notre humide cavalcade, les frappes répétées de ses
bringuebalantes bourses sur mon réceptif périnée, mes voluptueux
gémissements, nos râles de contentement, l’ensemble contribuait à nous
égarer.
Le souffle court, asphyxiée sous le poids de son corps,
j’étais près d’atteindre le paroxysme de la jouissance lorsqu’il se
retira d’un trait. Étonnée, je le regardai. Il me fit signe de me
retourner. Je compris son attrait et me mis à quatre pattes, le front en
appui sur le matelas, cambrée au maximum pour bien lui présenter mon
arrière-train.
Par dessous mon ventre, je contemplai le membre
luisant qui se balançait alors qu’il délaçait ses chaussures en se
tenant alternativement sur une seule jambe. Il risqua plusieurs fois la
perte d’équilibre avant de parvenir à les retirer – avec tout ce qui
pouvait le gêner en dessous de la ceinture – et revint s’enfoncer
aussitôt dans mon enveloppante moiteur.
— Ach ! Femme… bonne… baiser la chatte…
Un
sein emprisonné dans chaque main, il resta planté au plus profond de
mon ventre, recula sans se déloger et m’envoya une bonne tape sur les
fesses.
— Toi slut… salope… hein ?
Ses va-et-vient
reprirent de plus belle, de plus en plus profonds, de plus en plus
rapides, et les suintants chuintements de nos sexes ne furent plus
entrecoupés que par quelques borborygmes incongrus. Aux frontières du
vertige, je n’en reconnus qu’à peine leur grossièreté.
— You…
aimer la sperme… (flop-flop) full of cum… (plip-plop) arg… good fuck…
(sploch-sploch) ouvrir bien la pussycat… (flip-flop) petite Française…
Prise
de violentes convulsions, je n’entendais déjà plus et ne pus contenir
un long feulement : je jouissais sous la fougueuse union de nos corps
transis. Il m’agrippa par les hanches et m’empala avec ardeur pour
éjaculer par jets brûlants au plus profond de mon ventre, les testicules
écrasés sur le replet arrondi de ma motte.
Je perdis toute
stabilité sur la literie, amenant mon partenaire à se désunir ; j’en eus
le postérieur indécemment barbouillé. Ses doigts vinrent inspecter mon
perlant orifice et il me claqua une nouvelle fois le derrière : la
bataille était achevée.
Déroutée, le balconnet en bataille
au-dessus des seins, je ne savais quelle attitude adopter. Je rechignai à
récupérer ma culotte et me dirigeai vers la portière, penaude, mais
néanmoins ravie d’avoir remporté l’épreuve. Le routier me rendit ma
liberté ; je fus aussitôt saisie par la fraîcheur nocturne qui
s’engouffra dans mon sillon surmené, ce qui me redonna un semblant de
vitalité pour rejoindre notre véhicule au pas de course. Claude m’ouvrit
une portière arrière et je m’engouffrai dans le chaud habitacle où je
pus m’envelopper de mon douillet manteau.
— Tu en as mis du temps
! déclara-t-il. Il a dû drôlement bien te baiser, ma parole… T’as les
nénés à l’air et tu en as même oublié ta culotte.
Je n’esquissai qu’un sourire alors que la voiture s’ébranlait.
— Il t’a…
J’apportai une confirmation d’un simple signe de tête.
— Montre-moi ta chatte !
J’écartai
les pans de ma chaude pelisse pour lui présenter mon entrejambe. Après
avoir constaté mon avilissement, il enroula son bras autour de ma nuque
et me força à porter le visage vers le haut de son pantalon dégrafé d’où
émergeait un pédoncule rosé que je m’empressai d’aspirer.
La soirée de mes compères ne faisait que commencer…
Auteure : Inanna
Lisez la suite bientôt
Magnifique!
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