lundi 16 février 2015

Porte-jarretelles day (5)

Relisez le chapitre 4

Le matin, le boss est parti tôt. Nicole apprécie d'être seule ; elle fait le point sur les derniers événements qui, elle le réalise bien, ont bouleversé sa vie. Ce qui lui plaît, ce n'est pas seulement le plaisir physique, mais surtout le plaisir des sens, la situation que le boss lui fait vivre.
 
« Je suis cérébrale... C'est la manière dont il me traite qui me fait jouir. Et pas seulement le boss : Eléanore aussi, cette vicieuse qui la première m'a entraînée dans la luxure avec ses histoires et les achats qu'elle m'a fait faire. Elle me plaît bien, cette petite ; pour la première fois de ma vie une femme m'a embrassée. C'est vrai que son baiser était délicieux. J'ai aimé la façon dont elle s'est occupée de moi après que le boss m'a fait jouir. Ils ont tous les deux du savoir-vivre. Mais au fait... peut-être sont-ils complices... peut-être ont-ils décidé de faire de moi une... »
   

« Et puis, je me suis exhibée... chez moi, dans le bureau du boss ! Comment ai-je pu faire une chose pareille ? Le pire, c'est que j'ai aimé ça ! J'ai accepté avec veulerie tout ce qu'il m'a demandé de faire... Mon Dieu, rien qu'en y pensant je suis encore en train de mouiller ma culotte ! »

Dimanche matin, elle se prépare pour aller assister à l'office. « Comment m'habiller ? Et si... oui, je vais mettre des bas, et le porte-jarretelles : personne ne pourra le savoir. Ce sera délicieux, porter des dessous sexy pendant que le prêtre débitera ses bêtises... Mais comment puis-je penser une chose pareille ? Nicole, reprends-toi ! »

Une jupe s'arrêtant juste au-dessus des genoux, les bas de couleur taupe, les escarpins, le soutien-gorge, un pull léger, le manteau, un peu de rouge sur les lèvres. La culotte, fine et transparente ; elle en a plusieurs, maintenant, autant les utiliser...
 
En entrant dans l'église, impossible d'oublier ce qu'elle porte. Les talons claquent sur le carrelage usé ; elle imagine le regard des hommes braqués sur sa démarche, sur ses jambes. Assise, son esprit vagabonde ; elle repense à ce qui lui est arrivé depuis une dizaine de jours. « Il y a certainement des vicieux qui assistent à cette messe ; peut-être certains devinent-ils ce que je suis devenue ? »

Impossible de se concentrer sur le déroulement de l'office, son esprit n'est tourné que vers le sexe. Elle regarde le bas de ses jambes, aperçoit les petits plis que font les bas au niveau de la cheville. « Le boss aimerait me voir en ce moment... »  
 
Elle s'imagine allongée sur l'autel, les cuisses ouvertes, offerte aux hommes, à ceux qui voudraient la lécher, boire le jus de la luxure s'écoulant de sa chatte. « Mon Dieu, ma culotte colle à mes fesses ! » réalise-t-elle en se levant au son de la clochette secouée par un enfant de chœur.
 
À la sortie de la messe, sur le parvis de l'église, elle subit les éternelles discussions impossibles à éviter avec quelques paroissiens et paroissiennes... surtout les hommes. Quelques-uns ont senti le changement qui s'est opéré chez elle : un tout petit rien dans la manière de se vêtir, de se maquiller, de confiance en soi, toutes ces choses qui font que par miracle une femme ne passe plus inaperçue.
 
— Nicole, s'élève une voix féminine, comment allez-vous ?
— Bonjour Michelle... très bien merci.
 
Michelle, membre de la chorale, est veuve depuis quelques années. D'allure un peu austère, elle est malgré tout sympathique quoiqu'un peu trop curieuse.

— Vous êtes resplendissante aujourd'hui, quel plaisir de vous voir !
— C'est ce beau temps : le soleil embellit les femmes lorsqu'il brille, répond Nicole en souriant.
— Eh bien, il faudrait que le soleil brille chaque dimanche !
 
Nicole la remercie, flattée de recevoir un tel compliment bien qu'elle aimerait pouvoir s'échapper.
 
— Nicole, voudriez-vous passer à la maison cet après-midi ? Ça me ferait plaisir ; je suis seule et... nous pourrions deviser autour d'une tasse de café ou de thé.
— Euh... je ne sais si...
— S'il vous plaît, Nicole !
— Bon, d'accord. Vers 17 heures peut-être.
— Ah, merci Nicole, vous me rendez la journée joyeuse, dit-elle, un large sourire aux lèvres. Alors... à tout à l'heure ?
— Oui, à tout à l'heure.
 
Sur le chemin du retour, elle se demande pourquoi elle a accepté de prendre le thé avec cette Michelle, pieuse comme une grenouille de bénitier, enjouée bien sûr mais pas intéressante du tout. « Prendre le thé ! C'est ridicule, alors que j'aurais voulu passer la journée tranquille. Et cette culotte qui me colle aux fesses, j'aurais mieux fait de ne pas en mettre ! » se dit-elle en pestant.

Dix-sept heures : il est temps de rejoindre Michelle. Nicole ne s'est pas changée. Elle a gardé ses dessous sexy, sauf la culotte, trop inconfortable à force de coller à son entrejambe, qu'elle a dû remplacer. « Autant montrer à cette pimbêche que je peux être élégante... »

Elle rectifie son maquillage, relève sa jupe pour bien tirer les bas.

Une surprise l'attend lorsque Michelle lui ouvre la porte : la veuve a soigneusement coiffé ses cheveux, revêtu une jupe un peu courte ne couvrant que deux tiers des cuisses, s'est enduit les lèvres d'un rouge couleur sang, et les éternelles chaussures plates sont remplacées par des escarpins aux talons très hauts. La jupe est droite, couleur vert pastel ; trop serrée, elle lui moule exagérément le derrière. Un chemisier beige, un peu lâche, recouvre son torse. Elle ne fait plus austère du tout ; la chanteuse de la chorale s'est apprêtée avec soin pour recevoir Nicole.
 
— Entrez, Nicole. Quel plaisir vous me faites ! Que désirez-vous : du café, une tasse de thé ?
— Un thé peut-être, merci.

Dans le salon au mobilier vieillot, deux portes-fenêtres à petits carreaux donnent sur le jardin. Assises sur des chaises de salon pas vraiment confortables, la conversation va bon train. Tout en devisant, tenant sa tasse de thé du pouce et l'index de la main droite, Michelle défait un bouton de son chemisier.
 
— Vous savez, Nicole, j'ai remarqué... le changement. Vous portez des bas, n'est-ce pas ? Et un... porte-jarretelles...
 
Nicole se raidit ; le rouge monte à ses joues.
 
— Mais... comment le savez-vous !
— À la sortie de l'église, votre manteau était ouvert. Votre jupe est si serrée, on pouvait deviner l'attache en métal d'une... d'une jarretelle à travers le tissu, je l'ai bien vue. Et ces petits plis que font vos bas… D'ailleurs, en ce moment même, on voit bien que...
   
Tout en parlant, Michelle dégrafe un autre bouton de sa main gauche, puis un autre, toujours tenant la tasse de thé à l'aide de deux doigts de son autre main, comme dans une conversation mondaine. Le dernier bouton saute ; le chemisier s'ouvre, libérant une poitrine petite mais aux pointes érigées.
 
— Et... j'ai parfois des pensées... impures ! Je rêve de...
 
Elle pose la tasse, retire le chemisier qu'elle jette sur le parquet.
 
— Vous me comprenez certainement, n'est-ce pas ?
 
Elle se lève, descend la fermeture Éclair de sa jupe qui tombe au sol, révélant des jambes couvertes de bas couleur chair et le porte-jarretelles beige. Elle baisse sa culotte, la retire et se rassoit, les genoux joints. Pour une femme dont l'âge se situe dans la quarantaine, elle est encore bien faite : des cuisses pleines, le ventre plus tout à fait plat, mais pas de signe de cellulite.
 
« Elle est folle, complètement folle ! Qu'est-ce que je fais ici ? »
 
Michelle reprend sa tasse de thé, regarde le sol et poursuit son aveu :
 
— Mon mari – paix à son âme – était très porté sur le sexe. Il aimait me... enfin, il m'emmenait dans des endroits, des petits chemins en forêt.
 
Nicole, maintenant intéressée par les confidences de Michelle, penche légèrement la tête de côté pour l'inciter à continuer.
 
— Vous pensez certainement que je suis folle, et vous avez raison. Mais, je crois que le Diable est en moi !
 
Michelle avale une gorgée de thé puis, d'une voix devenue rauque, elle explique :
 
— Ces chemins menaient toujours à une clairière où étaient stationnées plusieurs voitures, ou des fourgonnettes. Des hommes étaient là ; ils attendaient debout, les mains dans les poches, ou fumant une cigarette. Alors mon mari me demandait d'ouvrir mon manteau... J'étais nue, uniquement vêtue de bas et d’un porte-jarretelles.
— Vous étiez nue ? Mon Dieu ! dit Nicole, c'est votre mari qui vous forçait à... ?
— Non, j'aimais ça. Il aimait m'exhiber, et ça m'excitait terriblement. Je...
 
Michelle s'interrompt, desserre les genoux, et dans une totale impudeur ouvre largement les cuisses, face à Nicole.
 
Elle possède un entrecuisse glabre, dépourvu de poils. Ce n'est pas une simple fente qu'elle possède, mais une vulve avec de longues lèvres épaisses, et le bout rond d'un clitoris déjà érigé.
Une odeur de sexe et de sueur envahit le salon, recouvrant celle du parquet fraîchement ciré.
 
— Je suis excitée en vous racontant cela, mais vous me comprenez, n'est-ce pas ? Une femme telle que vous, qui est en porte-jarretelles sous sa jupe, à notre époque ce n'est pas banal : c'est un signe de... de luxure, n'est-ce pas ?
 
Nicole, qui était mal à l'aise lorsque Michelle avait retiré son chemisier, exposant ses seins, réalise que l'excitation la gagne elle aussi. Le regard vissé sur la vulve de Michelle, elle croise les cuisses, enserrant sa chatte qui, elle le sent bien, la démange.
 
— Et alors, que se passait-il ?
— Mon mari me demandait d'ouvrir les cuisses, de montrer mon... mon sexe. Il me disait des mots sales, il pinçait mes tétons. Des hommes s'approchaient de la vitre, sortaient leur membre. Certains bandaient à moitié, d'autres avaient la queue – enfin, le sexe – bien tendu, raide. Alors je glissais un doigt entre les lèvres de ma vulve, comme cela...
   
Pour imager son récit, Michelle, la tasse de thé reposée sur le guéridon, glisse un doigt entre les lèvres de son con engorgé de mouille. L’odeur devient plus forte, entêtante.
   
— Il y a si longtemps que je n'ai pas ressenti une telle émotion… Vous raconter tout cela me... Nicole, j'aimerais que vous... je voudrais voir vos dessous, vos bas. Vous savez, j'aime aussi regarder une jolie femme, avoue-t-elle, la voix hachée par l'émotion, et vous êtes... tellement belle !
 
Excitée par le récit que lui fait Michelle avachie devant elle sur sa chaise, les jambes largement écartées, le doigt glissant le long de la vulve, Nicole réalise le pouvoir qu'elle a sur cette femme. Son autorité naturelle prend le dessus. Elle rétorque d'une voix ferme :
 
— Vous êtes une cochonne, Michelle, une dépravée !
— Oh oui, je suis... j'ai le Diable en moi.
— Et ensuite, que se passait-il ?
 
Pour l'encourager, Nicole croise les cuisses très haut, révélant le morceau de peau au-dessus de la lisière des bas. Michelle respire plus fort, puis reprend son récit :
   
— Parfois, un des hommes crachait son fout... sa semence contre la vitre. Un jour, mon mari a actionné la commande de vitre pour la baisser. Un des hommes, la queue – enfin... le sexe – raide, l'a fait entrer dans la voiture à travers la fenêtre ouverte. Il sentait fort. Je ne voyais pas son visage, seulement sa tige et les bourses velues. J'étais comme hypnotisée par cette queue. Alors j'ai approché la bouche, et j'ai... je l'ai sucée !
— Vicieuse, vous n'êtes qu'une dépravée !
— Oui, je suis une pute... une pute habitée par le Vilain !
   
Nicole se soulève, remonte sa jupe à la taille. Elle se rassoit confortablement, écarte elle aussi largement les cuisses.
 
— Oh... Nicole, vous êtes belle, vous avez une... Votre chatte est entourée de poils... Ça m'excite !
— Ca te plaît ? Tu aimes ma chatte, cochonne ? claque la voix de Nicole, exerçant son autorité en utilisant le tutoiement. Ce n'est pas une chatte de petite fille comme la tienne : c'est ce que les hommes aiment, les hommes qui aiment les femmes.
— Oui... Oh, votre regard, je... j'aime ça, je crois que je vais...
— Stop ! Ne jouis pas ! Raconte-moi la suite.
— Oui ; euh... j'ai sucé ce membre...
— Non : cette bite ! corrige Nicole.
— Oui, cette bite, cette grosse bite. Je lui caressais les couilles en même temps, et l'homme, il a... il a envoyé son sale foutre dans ma bouche... Ahhh !
 
Le corps raide, dos cambré, bouche ouverte, Michelle enfonce deux doigts au fond de sa chatte et jouit en poussant un long râle.
   
Le silence règne maintenant dans le salon, seulement couvert par la respiration saccadée des deux femmes. Michelle, les cuisses serrées enserrant la main qu'elle avait utilisée pour se masturber, récupère lentement, le dos appuyé contre le dossier de la chaise.
Reprenant ses esprits, elle continue la suite de son récit :

— C'était terrible, ça me faisait jouir. M'exhiber devant ces hommes en rut me transportait dans un état second. Les faire éjaculer me donnait une impression de puissance. Alors mon mari me commandait de me mettre à genoux sur le siège. Il sortait sa bite, parvenait à se positionner derrière mon cul malgré l'étroitesse de la place avant, agrippait mes fesses et s'enfonçait en moi. Me faire baiser devant ces hommes vicieux me faisait jouir comme une folle. J'adorais ça.
 
Michelle a repris sa masturbation, enfonçant deux doigts dans sa vulve.
 
— Maintenant que mon mari a disparu, tout cela est fini. Mais... je vais vous montrer quelque chose.
 
Elle se penche, attrape son sac, en sort un objet de couleur violet : un gode, au superbe design.
 
— Je me le suis procuré sur Internet. C'est un modèle de chez Lelo. Il est beau, n'est-ce pas ? Quand je suis en manque, je l'utilise pour me calmer. Vous voulez voir ?
— Michelle, tu n'es qu'une dépravée !
— Oui, je sais. Vous pouvez bien me comprendre, vous qui venez assister à la messe en bas et porte-jarretelles ! Je suis certaine que vous...
— Ne t'occupe pas de moi, vicieuse. Continue !
— Oh, vous me... Je suis encore excitée... Regardez... regardez-moi bien.
     
Michelle quitte sa chaise, s'allonge sur le parquet face à Nicole, les cuisses bien ouvertes. Elle approche le gode de son entrecuisse, l'enfonce lentement dans sa vulve en gémissant. Le gode comporte une sorte d'opercule, presque pointu, qui vibre contre le clitoris lorsqu'elle le met en marche.
   
— Ce n'est pas aussi bon qu'une bonne bite, mais... hum... c'est bon, je vais... me faire encore jouir devant vous !
   
Nicole, les yeux écarquillés, regarde la femme prendre son plaisir. Le gode vibre, enfoncé dans la vulve ; Michelle tient fermement l'objet d'une main, se tordant le bout d'un de ses seins à l'aide des doigts de son autre main.
Les cuisses toujours largement ouvertes, Nicole se caresse lentement la vulve, effleurant parfois le clitoris, lui causant des ondes électriques. Mais elle ne veut pas jouir devant cette femme qui se masturbe en poussant de petits cris, la cyprine engluant le gode en débordant de la vulve.
   
Le spectacle est surréaliste : Michelle nue en bas et porte-jarretelles, allongée sur le sol, un gode enfoncé dans la chatte, et Nicole presque entièrement habillée à part la culotte, la jupe entortillée à la taille, les deux femmes se masturbant l'une devant l'autre, le souffle rauque.
   
— Stop. Approche. Viens me lécher, vicieuse, dépravée !
 
Nicole, grisée par l'ascendant qu'elle a sur Michelle, décide de montrer son pouvoir en humiliant, pense-t-elle, la femme en la forçant à lui lécher la chatte. Elle a transpiré ; elle sait que l'odeur qu'elle dégage est forte lorsqu'elle est excitée. Michelle se redresse, avance sur les genoux pour se positionner entre les jambes de Nicole. Elle approche la bouche des lèvres de la chatte odorante, pose les mains sur les cuisses...
 
— Ne me touche pas avec tes mains pleines de mouille : tu vas salir mes bas, cochonne ! Lèche ma chatte !
— Vous sentez fort, c'est dégoûtant...
 
Alors Michelle enfourne sa langue dans la vulve grasse de Nicole, saisit les petites lèvres entre les siennes en les suçant, fouille la chair dégorgeant de mouille blanche en émettant un son de clapotis, se délecte du goût qu'émet la chatte en feu qui lui est offerte.
 
Nicole, emportée par le pouvoir qu'elle exerce, pense lâcher un jet de pisse dans la bouche de la suceuse mais se ravise « Non, quand même pas ça… »

— Tu n'arrives pas à me faire jouir ; applique-toi !
 
Michelle se calme, alterne entre caresses de la langue et fouille vorace de la bouche, remonte vers le clitoris qu'elle suce avec douceur. Nicole fait fonctionner son imagination ; elle aimerait que le boss et Eléanore soient là pour bien s'occuper d'elle, de ses seins, de sa chatte, de son cul... Les baisers d'Eléanore, les yeux du boss sur ses cuisses écartées, la bite du boss...  
 
L'orgasme monte, lentement, du plus profond de son ventre, s'amplifie. Elle s'imagine à quatre pattes, le cul bien dressé, comme une femelle en chaleur excitant le mâle. Soudain l'orgasme finit par exploser en lâchant un jet de mouille qui éclabousse le visage de Michelle. La femme frotte sa bouche contre la vulve, se barbouille le visage de la cyprine de Nicole, se délecte de son odeur forte de femme venant de jouir.

Auteur : Hpassage

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