samedi 21 février 2015

Un père admirable (8)

Relisez le chapitre 7

[Adam dans sa chambre, au petit matin]

Lorsque j’ouvris les yeux, je découvris le doux visage de Jessica, ma fille de 17 ans, qui me souriait. Je me perdis dans l’océan de bonheur de ses yeux. Elle était dans mes bras ; je sentais ses doigts qui caressaient sensuellement mon torse. C’était doux et très agréable.

Je me souvins de la surprise que j’avais eue en me réveillant en érection dans sa main. Mais elle me donnait tellement de plaisir que je n’avais pas eu la force de lui demander d’arrêter. Et puis, l’entendre se caresser, mouiller, gémir et jouir dans mes bras était bien trop excitant.

— Je suis désolé de t’avoir joui dessus cette nuit, lançai-je. J’espère que je n’ai pas été trop brutal.
— Non, j’ai adoré, sourit-elle ; tout était parfait.

Elle embrassa doucement mon téton. Ma peau se hérissa au contact de ses lèvres et de sa langue. Je la serrai un peu plus contre moi. J’avais très envie de l’embrasser.

— Ça a l’air très joli ce que tu portes, murmurai-je.

Ma fille me laissa la découvrir. Elle était vêtue d’un ensemble top noir en dentelle lacé dans le dos par un ruban en satin rose vif ; le boxer assorti était lacé entièrement de chaque côté. Ses petits tétons roses pointaient au travers et ses lèvres bien moulées étaient très attirantes. J’avais envie d’ouvrir ses jambes pour passer ma langue sur le tissu.

— C’est super sexy, dis-je en humectant mes lèvres et en caressant sa cuisse.

Ma fille m’attira à elle. Ses lèvres embrassèrent les miennes. Un baiser doux et tendre que je lui rendis. Ses yeux mi-clos fixaient les miens. Ils se fermèrent lorsque sa bouche s’entrouvrit. Je la laissai me guider dans ce jeu sensuel dont elle seule détenait les règles. J’accueillis sa langue si douce qui s’insérait prudemment dans ma bouche. Je la laissai caresser la mienne, s’enrouler autour, la titiller. Elle me caressait la tête. Ses doigts pénétraient dans mes cheveux.

— Attends : j’aimerais qu’on fasse un pacte ensemble, lançai-je sérieusement.
— Lequel ?
— J’aimerais que tu m’arrêtes si je te fais quelque chose qui ne te plaît pas ou si tu n’en as pas envie. Je veux que tu saches que je ne te forcerai jamais à faire quelque chose contre ta volonté.
— Promis.

Je remontai lentement ma main le long de son ventre plat. Ses abdominaux se contractèrent au passage. Ses yeux ne quittaient pas les miens. Elle prit une profonde inspiration. J’effleurai le contour de son sein. Ma fille soupira faiblement de plaisir. Elle posa une main sur ma hanche. Je frôlais ses seins du bout des doigts et de la paume sans toucher ses tétons. Je les pris en coupe dans mes mains afin de les caresser. Jessica avait les yeux mi-clos. Je voyais le plaisir la troubler. Sa langue passait régulièrement sur ses lèvres. Celles-ci, entrouvertes, émirent un gémissement. Rougissante, elle ouvrit grand les yeux de surprise.

— Ça a l’air de beaucoup te plaire.
— Humm oui, j’adore, murmura-t-elle.

Je la trouvais incroyablement sexy. J’enlevai lentement son top en caressant et embrassant sa peau. Je passai mes pouces entre ses seins et leur fis faire de lents va-et-vient. J’imaginais mon sexe y glissant à leur place. Je le sentis s’allonger et gonfler contre elle.

— Tu as de très beaux seins et la peau vraiment très douce.
— Humm… Merci, gémit-elle. Tu les caresses super bien.

Je lui souris et entrepris de lui masser ses belles pommes. C’était un vrai plaisir de la regarder soupirer. Elle gémit lorsque, enfin, je caressai tendrement ses tétons érigés. Ses douces mains caressaient mes pectoraux et mes abdos. Ma peau se hérissait sous ses doigts. Je faisais rouler ces petits bouts roses, semblables à des framboises, entre mes doigts et sous mes paumes. Ses lèvres tentaient de retenir de petits cris. Je voyais le plaisir l’enflammer.

— Non, ne ferme pas les yeux… Tu es si belle !

Elle les ouvrit et je plongeai littéralement dans ce bleu lagon. Ses lèvres se posèrent délicatement sur les miennes. Nos langues reprirent leur danse sensuelle. Elle embrassait merveilleusement bien. Je quittai ses lèvres dans un doux baiser. Je lui embrassai la joue. Je déposai des baisers aussi légers que des pétales de rose dans son cou, sur son épaule. Ma bouche continuait sa course lente jusqu’à la naissance de ses seins. Je glissai ma langue entre eux en faisant de lents et très légers va-et-vient.

Ma fille se laissait maintenant aller et gémissait de plaisir. Je pris ses seins en coupe et les embrassai délicatement. Je les caressais du bout des lèvres et de la langue. Je lui léchai lentement les mamelons en décrivant de petits cercles autour de ses tétons. Je les pris enfin entre mes lèvres et les titillai du bout de la langue. Ma fille poussait désormais de petits cris incontrôlés. Elle pressait mon visage contre ses seins. Et cria plus fort encore lorsque je lui tétai délicatement les tétons. Ils étaient durs à couper du verre.

Je fis glisser lentement ma langue en effleurant sa peau, si douce, entre ses seins, dans son cou et jusqu’à sa bouche. Je l’y introduisis délicatement. Ma fille gémit de plaisir et pressa son jeune corps contre le mien. Elle ouvrit ses lèvres pour accueillir ma langue. La sienne vint la caresser, s’enrouler autour, la téter, la sucer. Ses mains caressaient mes fesses nues et les pressaient contre elle. Son corps se frottait sur mon érection. Je crus mourir de désir lorsque sa langue fit des va-et-vient plus ou moins profonds dans ma bouche.

— Je veux te regarder te caresser, murmurai-je contre ses lèvres.

Je sentis sa main passer entre nous. Je la regardai caresser le tissu du bout des doigts. Je m’agenouillai entre ses jambes en gardant précautionneusement le drap sur mon sexe. Je ne me sentais pas encore prêt à me montrer entièrement nu devant elle. Ma fille passa sa main à l’intérieur de son boxer et commença à caresser délicatement son clito. La dentelle était tout trempée. Je passai mes doigts à l’intérieur de ses cuisses. J’exerçai une petite pression sur sa peau qui bordait son vagin afin d’ouvrir son coquillage sans le toucher. J’avais une meilleure vue sur son intimité ouverte et accueillante. Je caressai doucement cet endroit en décrivant des cercles avec mes pouces. Ma fille gémissait de désir.

J’avais envie de passer ma langue sur son coquillage. Je voulais prendre ses petites lèvres dans ma bouche pour lécher son clito jusqu’à la faire jouir. Je souhaitais introduire ma langue dans son intimité afin de boire sa liqueur qui coulait à flots.

Mon sexe bien raide tressautait d’envie et mouillait contre le drap. J’avais très envie de le passer sous la dentelle, le sentir à l’étroit contre la minette de ma fille. Elle introduisit un doigt dans son vagin.

— Oh ! Non… Je veux te regarder mouiller.

Elle le retira et se caressa plutôt les seins pour mon plus grand plaisir. Ma fille gémissait en se léchant régulièrement les lèvres. Elle me lançait des regards brûlants de désir vraiment très excitants. J’étais très heureux de voir son corps parfait prendre autant de plaisir. La belle criait de plus en plus fort tandis que l’orgasme la transportait, laissant son corps vibrant et transpirant.

Je m’approchai de son coquillage pour lécher sa dentelle toute trempée. J’aspirais sa mouille qui dégoulinait à l’entrée de son vagin. Elle me regardait faire en gémissant et tremblant de plaisir.

— Que veux-tu maintenant ?
— Je veux que tu me caresses, réclama-t-elle.
— Tu viens de jouir...
— Caresse-moi, s’il te plaît. Je veux sentir tes doigts.

Je la trouvais coquine, gourmande et attirante. Je décidai de l’entraîner dans un jeu érotique dont je détiendrais les règles à mon tour.

— Je t’ai appris à demander mieux que ça, dis-je d’une voix plus ferme que je ne l’aurais souhaité.

Un sourire espiègle étira ses lèvres et son regard s’enflamma.

— J’ai très envie que tu me caresses, s’il te plaît.
— Il faudra faire mieux que ça, chuchotai-je.
— Caresse-moi, s’il te plaît, Papa, demanda-t-elle d’un ton capricieux.

Je fis « non » de la tête.

— Oh ! Papa, je t’en prie, caresse-moi ! s’écria-t-elle.
— Tu n’es pas assez convaincante.

Pourtant, j’en mourais d’envie ; mais je voulais l’entendre me désirer.

— S’il te plaît, Papa, caresse-moi ! Je veux que tu me fasses jouir ! Je t’en prie… supplia-t-elle.

Je n’en demandais pas tant ; sa requête et son ton impérieux m’excitèrent énormément. Le regard enflammé de ma fille guettait une réaction. J’enlevai doucement son boxer en caressant son pubis, ses fesses et ses jambes en embrassant son ventre.

Mes doigts partirent à la découverte de ce paradis inexploré. Je caressai d’abord le dos de ses lèvres si douces. Puis mon index se fit un passage entre elles jusqu’à son clito. Un flot de mouille inonda mes doigts. Sans la quitter des yeux, j’en introduisis un délicatement dans son vagin doux, humide et très serré. Ma fille gémit de plaisir. Je le retirai et entrepris de caresser son clito. Il glissait entre mes doigts habiles. Je faisais de petits cercles tout autour, plus ou moins rapides. Mon doigt faisait des va-et-vient de son bouton à l’entrée de son vagin. La belle remuait ses hanches, se frottant dessus. Mes mouvements se firent plus intenses, mais en ne faisant que frôler son clito. Cela ne fit qu’augmenter son désir. Ma fille mouillait abondamment sur mes doigts. Elle se laissait gémir et crier aussi fort que son plaisir le lui permettait.

— J’arrête là, affirmai-je en faisant mine de retirer ma main.
— Oh ! Non ! C’est trop bon, t’arrête pas ! Je t’en supplie, Papa, fais-moi jouir ! m’implora-t-elle, ses yeux dans les miens.

Ses supplications m’excitaient. Je me sentais fort et désiré. J’avais très envie d’elle. Je voulais m’insérer dans son intimité encore vierge et serrée. La sentir mouiller et jouir sur mon membre bien dur. Il me faisait mal, tant je la désirais.

Je caressais son clito tout gonflé et tout dur en décrivant de petits cercles autour, le frottais et le pinçais doucement entre mes doigts. La belle gémissait, criait et couinait en mordant et serrant l’oreiller dans ses mains. Son plaisir s’intensifiait progressivement. Un long cri s’échappa de ses lèvres rougies lorsqu’elle atteignit l’orgasme.

— Ouvre les yeux ! Regarde-moi quand tu jouis ! ordonnai-je.

Elle s’exécuta aussitôt. J’assistais à un merveilleux spectacle. Je la trouvais encore plus belle… Magique.

La main toujours entre ses jambes, je lui caressais doucement le clito. Mon autre main vint rejoindre la première. J’insérai délicatement un doigt dans son vagin. Elle gémit aussitôt.
Quel bonheur de la sentir mouiller ! J’intensifiai les va-et-vient dans son vagin, les rendant plus rapides et plus profonds. Je le sentais se dilater sous la caresse. J’insérai délicatement un deuxième doigt, qui entra en contact avec la membrane souple de son hymen, m’empêchant de le faire pénétrer entièrement. Je m’y résolus et lui doigtai tendrement l’entrée de son vagin.

Les cris de ma fille étaient plus intenses, comme son plaisir. Je trouvai son point G et entrepris de le caresser doucement du bout des doigts. De l’autre main, je continuais de lui titiller le clito.

— Je vais te faire jouir si fort que tu m’en demanderas encore ! lançai-je d’une voix suave.

Ce qui suffit à la faire décoller, lui arrachant un cri qui venait de ses tripes. Ses doigts agrippaient violement l’oreiller tandis que son visage bouleversé de plaisir était tendu vers moi.

J’observai mes doigts inondés de mouille et les portai à ma bouche.

— Humm… Tu es délicieuse, murmurai-je après les avoir méticuleusement sucés.

Ma fille me sourit. Je caressai doucement ses cuisses.

— Pourquoi mon shorty est sur ta table de nuit ? demanda-t-elle après un court silence. Je croyais que tu l’avais mis à laver hier matin.

J’hésitai sur la réponse que je devais fournir. Mais la veille au soir, j’avais eu très envie qu’elle me découvre en train de me donner du plaisir avec son sous-vêtement et là, sa dentelle me faisait vraiment envie.

— Tu veux que je te montre ? demandai-je malicieusement.
— Oui, répondit-elle d’une voix suave en me lançant un regard brûlant.

Je pris son boxer en dentelle et le glissai entre le drap et moi. J’enfilai mon sexe gonflé et dur à l’intérieur. Je plaçai l’entrejambe encore trempé sur mon gland. Je l’enroulai autour de mon sexe en laissant pendre un pan pour cacher mes testicules. La caresse de la dentelle était très agréable sur ma peau. Je pris mon sexe dans la main. J’abaissai le drap. Ma fille regarda mon membre camouflé avec envie.

— Je peux pas le voir ? demanda-t-elle, déçue.
— Non, pas encore…

Comme ma fille ne le quittait pas des yeux, je commençai à me caresser doucement en massant mes testicules. Elle se lécha les lèvres ; je pouvais voir dans son regard que le spectacle lui plaisait. Je variais l’intensité de mon plaisir en faisant des va-et-vient plus ou moins rapides et plus ou moins amples. Ma sève s’écoulait lentement, humidifiant la dentelle. J’étais tout excité de me caresser devant le corps nu et parfait de ma fille, étendu devant moi, les jambes écartées et le sexe offert.

La belle me regarda faire patiemment pendant quelques minutes. Puis, à genoux, elle me tourna autour en effleurant mon visage, mon torse, mes épaules, ma nuque, mon dos et mes fesses. Elle caressa ces dernières de façon plus appuyée, les prenant à pleines mains, effleurant leur contour. Je soupirais de plaisir. Je sentis ses lèvres effleurer ma nuque, l’embrasser sensuellement. Elles se déplaçaient lentement sur mes trapèzes, mes omoplates et mes épaules, tandis que ses mains caressaient lentement mes pectoraux, mes abdos et mon pubis. Elle câlinait ma peau en l’effleurant du bout des doigts et des ongles, puis à pleines mains. Ses cheveux et ses seins me frôlaient aussi, me faisant frissonner.

Tous mes sens étaient en éveil. Ma fille me faisait l’amour sans le savoir et participait activement à mon plaisir et à mon excitation. Elle vint se placer devant moi en gardant le contact de ses mains sur ma peau. La belle déposa un baiser sur le coin de mes lèvres, les effleura avec sa langue, les lécha, les suça légèrement puis les embrassa enfin. J’introduisis ma langue dans sa bouche ; elle l’aspira doucement et la suça. Je me branlais contre son ventre en soupirant de plaisir.

La belle m’embrassait sensuellement dans le cou, léchait et tétait les lobes de mes oreilles. Je sentis tous les poils de mon corps se hérisser. Ses lèvres et sa langue suivirent mes clavicules, passèrent entre mes pectoraux. Elle embrassa mes mamelons, faisant dresser mes tétons entre ses lèvres. La belle mangea mes abdos tout aussi sensuellement.

— C’est super agréable ce que tu fais, dis-je d’une voix rauque. Tu ne peux pas imaginer le plaisir que tu me donnes.
— Tu m’apprendras à te faire l’amour ? demanda-t-elle en embrassant mon pubis.
— Oooh ! Oui… gémis-je.

Mes doigts pénétrèrent sa longue chevelure blonde. C’était super excitant d’avoir ses lèvres si près de mon sexe que je caressais intensément. Mon plaisir était à son comble et l’orgasme montait en moi.
Je pris le visage de ma fille dans ma main qui massait mes testicules et l’élevai vers moi. Elle suivit mon geste en se redressant.

— Je veux que tu t’allonges et que tu te caresses les seins pour moi, réclamai-je.

La belle s’étendit sur mon lit, les jambes ouvertes de chaque côté de mes cuisses. Elle prit ses magnifiques pommes en coupe, les caressant et les massant sensuellement. Ma fille leur faisait faire des cercles en les frottant l’un contre l’autre. Elle faisait rouler ses tétons entre ses doigts. Je la trouvais si belle et si désirable…

Ma fille me donna le coup de grâce lorsqu’elle pressa ses seins vers sa bouche pour lécher et sucer ses tétons, en me regardant droit dans les yeux. L’orgasme me submergea, me faisant crier et trembler de plaisir. Mon sperme inonda sa lingerie. Elle regardait le liquide s’écouler lentement entre les fines mailles de la dentelle.

Je m’allongeai tout près d’elle, encore tremblant. La belle m’embrassa avec gourmandise.

— Je t’aime, Papa, murmura-t-elle contre mes lèvres.

Auteure : Feeling

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