Relisez le chapitre 6
[Adam, seul dans sa chambre]
J’étais allongé sur mon lit. Je fixais le plafond en repensant au merveilleux moment que je venais de passer avec ma fille de 17 ans, Jessica.
En fermant les yeux, je revoyais son corps de rêve mis en valeur par sa petite lingerie transparente. Je sentais encore sa peau si douce frissonner sous mes lèvres. J’avais été très surpris de la voir mouiller autant et j’ai adoré respirer son odeur intime. Elle me désirait tellement… c’était trop beau pour être vrai ! Elle m’avait serré si fort contre son corps… J’avais bien ressenti que ma fille me voulait en elle.
J’ai été ravi de l’entendre gémir. Mon excitation étant à son comble, j’ai bien manqué de jouir lorsqu’elle a pressé mes fesses dans sa main pour appuyer mon sexe contre sa hanche.
Je passai une main sur l’intéressé, tendu à bloc, tandis que de l’autre je dénouai le lacet de mon pantalon. Je passai mes deux mains à l’intérieur du vêtement. Je caressais doucement ma verge douce et bien veinée en me massant délicatement les testicules.
J’imaginais les mains délicates de ma fille sur mon torse, caressant mes pectoraux et mes abdos pendant que je l’embrasserais. J’avais trouvé ses lèvres, que j’avais tant souhaité embrasser, si douces contre les miennes. Je regrettais de ne pas avoir prolongé son baiser. J’ai eu peur d’être trop brutal : je la désirais si ardemment !
J’attrapai le shorty blanc rehaussé d’une ceinture en dentelle rose de Jessica, que j’avais posé sur ma table de chevet. Je le lui avais emprunté à son insu le matin-même. Il était très doux. Je le portai machinalement à mon visage. Je reconnus la merveilleuse odeur intime de ma fille. Elle avait mouillé dedans ; le tissu sentait bon l’envie. Je revoyais son petit coquillage grand ouvert à quelques centimètres de mes lèvres. Son joli clito, que j’avais tant envie de lécher, était tout gonflé. Son vagin encore vierge, que j’imaginais tout serré, laissait s’écouler de longs filets de jus contre le fin tissu trempé.
Je me débarrassai en hâte de mon pantalon et enfilai ma verge dans le shorty de ma fille. Je m’en couvris les testicules avec une partie et enroulai le reste autour de mon sexe. C’était doux et sensuel sur ma peau fraîchement épilée. J’admirai mon gland bien dessiné sous la transparence du tissu. Cela me donna envie de glisser mon sexe sous la lingerie très fine que ma fille portait lorsque je l’ai quittée. Juste pour le plaisir de le voir contre sa peau sous ce tissu si doux. J’aurais caressé son coquillage tout mouillé avec mon gland en me branlant en même temps. J’imaginais ses flots de mouille inondant mon sexe et mes mains. Je voulais frotter ma verge toute entière contre son abricot jusqu’à la sentir jouir dessus.
J’avais serré ma main autour de mon sexe et entrepris un va-et-vient rapide dans la douce lingerie. Je pouvais voir mon gland, qui jutait abondamment, tremper le tissu. Si ma fille me voyait faire… Oh ! Mais j’en avais envie. Je voulais qu’elle voie comme je la désirais.
La belle devait sûrement être en train de faire la même chose de son côté. Je l’imaginais se caresser sensuellement les seins. Je les trouvais si beaux, si parfaits, si ronds, si fermes, si doux... Elle devait être en train de les masser en les serrant l’un contre l’autre et de faire rouler ses petits tétons tout roses et bien dressés entre ses doigts. J’avais envie que ma fille les présente à mes lèvres pour que je les lèche et les tète délicatement.
Je l’imaginais confortablement assise sur mon sexe introduit en elle, pendant que la belle se caresserait les seins en gémissant et en me regardant dans les yeux. Je voulais la serrer dans mes bras. La déflorer délicatement comme on cueille une fleur au printemps. Je souhaitais sentir son corps vibrer de plaisir contre le mien tandis que je l’embrasserais pour cueillir ses gémissements sur ses lèvres.
Je sentis mon sexe grossir entre mes mains pendant que mon plaisir explosait, m’arrachant des cris de plaisir. L’orgasme secouait mon corps de spasmes. Mes va-et-vient se firent plus lents jusqu’à n’être qu’une tendre caresse. Je pressai mon gland pour en extraire la dernière goutte qui en perlait. Je retirai la douce lingerie de mon sexe. Je l’avais inondée. Je me nettoyai avec la partie dont je m’étais servi pour caresser mes testicules.
C’était la première fois que je m’étais donné du plaisir en pensant à ma fille et j’avais trouvé cela merveilleux. Aussi bon que le premier baiser que nous avons échangé, aussi court fut-il.
Je déposai la lingerie de ma fille, souillée de mon sperme, sur ma table de chevet et m’endormis paisiblement.
[Jessica, seule dans son lit, au milieu de la nuit]
J’étais toute excitée lorsque mon père avait quitté ma chambre me laissant, seule, sur ma faim. J’avais ressenti le besoin urgent de me caresser. Penser à toutes les sensations nouvelles qu’il avait fait naître en moi avait suffi à me faire atteindre l’orgasme en quelques minutes. Un plaisir si court que je n’avais pas eu le temps de l’apprécier. Je me réveillai en pleine nuit avec un désir inassouvi.
Ma peau se mit à frissonner lorsque je repensai aux baisers que mon père avait déposés sur mon corps. J’avais adoré le contact de ses lèvres et de sa langue sur mon ventre et dans mon cou. C’était si doux et sensuel… Exactement comme je l’avais imaginé. Mon corps tout entier s’était éveillé à l’érotisme au contact du sien. Je voulais encore sentir sa peau si douce contre la mienne. J’aimerais tant pouvoir caresser et embrasser son corps parfait comme il me l’avait fait ; je voulais qu’il m’apprenne à faire l’amour et à lui donner du plaisir.
Je me caressais en pensant à tout cela. Mon doigt s’activait sur mon bouton pendant que je me caressais les seins. Mon vagin gourmand mouillait abondamment. Je sentais que le drap était trempé sous mes fesses. J’insérai un doigt dans mon intimité qui l’avala entièrement. J’étais chaude, douce et toute dégoulinante. Je faisais de lents va-et-vient. Mon plaisir augmentait, me faisant gémir.
Je repensai aux va-et-vient rapides que mon petit ami, Nicolas, avait faits sur son sexe lorsqu’il s’était caressé devant moi. Je fus tentée de tester cette même intensité afin d’en découvrir les sensations. Je fus surprise en sentant mon plaisir s’accroître considérablement. Les va-et-vient que je m’infligeais étaient longs, profonds et rapides. Je pouvais entendre les clapotis que provoquaient mes mouvements. Mes gémissements étaient plus audibles. Je décidai de caresser mon bouton en même temps : le plaisir me submergeait, m’arrachant de petits cris. Mais mon envie amplifiait aussi.
Après plusieurs minutes, l’orgasme ne venait toujours pas et mon corps était toujours en demande. Plus je pensais à mon père, plus je le voulais. C’était la première fois que je n’arrivais pas à jouir. Je trouvais cela encore plus frustrant.
Je pensais à mon père, seul dans son lit, dans la pièce voisine. Je mourais d’envie d’aller le rejoindre. Je trouvai une excuse pour le faire et quittai ma chambre sur la pointe des pieds. Mon cœur battait fort dans ma poitrine, créant un vacarme phénoménal en comparaison du silence qui régnait autour de moi. J’ouvris nerveusement la porte de la chambre de mon père. Celle-ci n’émit aucun son et n’opposa pas de résistance. Je fis quelques pas. Il faisait noir, mais je connaissais la disposition des meubles.
« Tu n’as pas le droit de faire ça, me dicta ma conscience ; retourne dans ta chambre ! » Je m’arrêtai. En effet, je pouvais retourner dans mon lit et me rendormir en ignorant mon envie. Je m’apprêtais à faire demi-tour lorsque ma cheville émit un craquement dans le silence. Une lampe de chevet s’alluma presque aussitôt.
— Quelque chose ne va pas ? demanda mon père d’une voix ensommeillée.
Ses cheveux étaient ébouriffés et son regard inquiet me fixait. Son drap le couvrait jusqu’aux hanches. Son torse parfait et attirant me rappela très vite la raison de ma venue. Je baissai les yeux en rougissant. Je découvris son pantalon jeté à terre. L’imaginer nu dans son lit me rendit encore plus hésitante mais je ne pouvais plus reculer, surtout après l’avoir réveillé.
— J’ai fait un cauchemar et je n’arrive pas à me rendormir, dis-je timidement.
Mon père me sourit.
— Viens, proposa-t-il en soulevant le drap.
Je montai à quatre pattes sur le lit et m’installai entre les draps chauds qui sentaient bon son odeur. Il m’accueillit dans ses bras, contre lui. Je déposai ma tête sur son épaule et il embrassa tendrement mon front. Je posai une main sur son ventre. Mon père éteignit la lumière. Quelques instants plus tard, je pouvais entendre sa respiration lente et régulière. J’essayai de m’endormir moi aussi.
Je me sentais bien dans les bras sécurisants de mon père. Je pouvais respirer son odeur. Mais je n’arrivais pas à trouver le sommeil. Ma main posée sur son ventre me donnait envie de caresser son corps, ce qui – bien sûr – ne m'aidait pas à refouler mon désir tout aussi puissant que précédemment. Mon entrejambe était toujours aussi humide.
Je commençai à bouger ma main, effleurant la peau douce autour de son nombril. Je suivis la ligne de sa clavicule. J’effleurai la forme de ses pectoraux, puis je les caressai à pleine main. Je dessinais des cercles légers autour de ses tétons. Ils étaient doux et je les sentis pointer sous mes doigts. Je déposai de doux baisers sur son épaule. Ma bouche suivait lentement le chemin que mes doigts avaient parcouru. J’embrassai ses pectoraux. Avec ma langue, je fis de petits cercles autour de ses tétons durcis. Je les pris entre mes lèvres pour les taquiner. Je les léchai et les suçai doucement.
Du bout des doigts, je traçais les contours de ses abdos. Je rencontrai son nombril, puis des poils fins qui formaient une ligne vers le bas. Je la suivis, le cœur battant. Elle fit place à une peau très douce et très tendre. Je caressai cette partie du plat de la main. Je rencontrai la naissance de son sexe. J’hésitai un instant. Le désir brûlant de continuer me poussait à aller plus loin. Mon père dormait toujours, ne se doutant de rien.
Du bout des doigts, j’effleurai son sexe bouillant, très doux et moelleux sur toute sa longueur et sa largeur. Il n’avait rien d’impressionnant au premier abord. Je le parcourais lentement de la main entière. Je trouvais cela très agréable. Je me sentais mouiller. Je le déplaçai légèrement pour continuer mon exploration. Je caressai ses testicules, très doux, eux aussi. Je les pris délicatement dans ma main et les massai doucement. Ça me plaisait beaucoup.
Je revins vers son sexe et le pris doucement dans ma main. Il était si moelleux que j’avais peur de le serrer trop fort. Mon pouce faisait de lents va-et-vient, le maintenant contre mes doigts. Je le sentis grossir et durcir progressivement, m’obligeant à ouvrir ma main. Je trouvais cela excitant de le sentir s’animer, si bien que je commençai à me caresser la poitrine de ma main libre. Je frottais mes seins contre la peau de mon père et l’effleurais avec mes tétons bien durs.
Je pouvais sentir des veines gonfler sous mes doigts, au fur et à mesure que son érection se développait. Je caressai son gland et le trouvai agréablement doux. J’en appréciais la forme. Je passai lentement mon pouce sur son urètre ; il ne mouillait pas encore, mais il s’ouvrit sous ma caresse. Je masturbais lentement le sexe de mon père. Il était maintenant bien dur dans ma main. Dans le noir, il me paraissait un peu plus gros et plus long que celui de Nicolas, bien que le sien était aplati tandis que celui de mon père avait une circonférence parfaitement circulaire. Il me procurait une si grosse envie que j’en mouillais abondamment.
Je fis descendre doucement ma main libre de mes seins jusqu’à ma minette. Je la caressai doucement par-dessus le tulle rouge de mon shorty. Elle était toute trempée. Je passai la main à l’intérieur et caressai tendrement mes lèvres si douces. Je me servais de mon index pour faire des petits cercles autour de mon bouton. Il était bien dur et tout gonflé, comme le sexe de mon père que je caressais plus fort de mon autre main. J’introduisis délicatement un doigt entièrement dans mon vagin, en soupirant de plaisir. Je fis des va-et-vient profonds et rapides. C’était bon.
La tête posée sur l’épaule de mon père, j’embrassais sa peau tout en nous donnant du plaisir. Mes mains s’agitaient au même rythme sur son sexe et dans le mien. Je trouvais cela super excitant. Je relevai ma jambe droite et la plaçai entre les siennes. Les membres inférieurs ainsi écartés, j’introduisis un deuxième doigt dans mon vagin. Je le sentis s’ouvrir à ce contact. Je les enfonçai profondément. Cela me procurait beaucoup de plaisir. Je faisais des va-et-vient longs, profonds et rapides comme j’adorais. Mon vagin dégoulinant de mouille émettait des clapotis bruyants. Je sentais que le sexe de mon père commençait à mouiller aussi.
Le faire pointer ainsi vers le ciel me donnait envie de m’asseoir dessus pour le sentir au plus profond de mon corps. Je gémissais faiblement de plaisir tandis que mon bassin effectuait des mouvements accompagnant mes caresses. Mon vagin très dilaté aspirait mes doigts. J’avais envie que mon père se réveille et me pénètre immédiatement.
Je retirai les doigts de mon intimité et caressai mon bouton très dur. J’abandonnai le sexe de mon père le temps de passer ma main sur ma vulve trempée pour l’humidifier encore plus. Ainsi, sa verge glissait encore mieux entre mes doigts. Je fis des va-et-vient plus rapides en gémissant contre sa peau. Quelques secondes plus tard, un violent orgasme traversa mon corps de spasmes. J’émis un petit cri de plaisir en sentant la main de mon père me serrer contre lui.
Il se tourna vers moi, son gland caressant ma peau, tandis que je continuais de le masturber aussi rapidement. Je sentais son sexe grossir encore plus entre mes doigts, tandis que mon père pressait mon sein dans sa main en gémissant fortement contre mon front. Je sentis de longues giclées de sperme bien chaud arroser mon ventre et mes seins. Son corps tremblait de plaisir tout contre le mien.
Il embrassa mon front. Son cœur cognait contre ma joue. Sa main rejoignit la mienne sur son sexe. Il serra son gland très fort entre nos doigts, si bien que j’eus peur qu’il se fasse mal. Je sentis une goutte de sperme s’en écouler doucement. Puis mon père prit ma main pleine de semence dans la sienne.
— Tu penses que tu vas arriver à t’endormir, maintenant ? demanda-t-il.
— Oui, murmurai-je. Tu m’en veux ?
— Non… c’était super. Tu peux aller prendre une douche si tu veux, sinon tu vas être toute collante.
— Je peux revenir après ? demandai-je timidement.
— Seulement si tu es sage, sourit-il.
J’étais allongé sur mon lit. Je fixais le plafond en repensant au merveilleux moment que je venais de passer avec ma fille de 17 ans, Jessica.
En fermant les yeux, je revoyais son corps de rêve mis en valeur par sa petite lingerie transparente. Je sentais encore sa peau si douce frissonner sous mes lèvres. J’avais été très surpris de la voir mouiller autant et j’ai adoré respirer son odeur intime. Elle me désirait tellement… c’était trop beau pour être vrai ! Elle m’avait serré si fort contre son corps… J’avais bien ressenti que ma fille me voulait en elle.
J’ai été ravi de l’entendre gémir. Mon excitation étant à son comble, j’ai bien manqué de jouir lorsqu’elle a pressé mes fesses dans sa main pour appuyer mon sexe contre sa hanche.
Je passai une main sur l’intéressé, tendu à bloc, tandis que de l’autre je dénouai le lacet de mon pantalon. Je passai mes deux mains à l’intérieur du vêtement. Je caressais doucement ma verge douce et bien veinée en me massant délicatement les testicules.
J’imaginais les mains délicates de ma fille sur mon torse, caressant mes pectoraux et mes abdos pendant que je l’embrasserais. J’avais trouvé ses lèvres, que j’avais tant souhaité embrasser, si douces contre les miennes. Je regrettais de ne pas avoir prolongé son baiser. J’ai eu peur d’être trop brutal : je la désirais si ardemment !
J’attrapai le shorty blanc rehaussé d’une ceinture en dentelle rose de Jessica, que j’avais posé sur ma table de chevet. Je le lui avais emprunté à son insu le matin-même. Il était très doux. Je le portai machinalement à mon visage. Je reconnus la merveilleuse odeur intime de ma fille. Elle avait mouillé dedans ; le tissu sentait bon l’envie. Je revoyais son petit coquillage grand ouvert à quelques centimètres de mes lèvres. Son joli clito, que j’avais tant envie de lécher, était tout gonflé. Son vagin encore vierge, que j’imaginais tout serré, laissait s’écouler de longs filets de jus contre le fin tissu trempé.
Je me débarrassai en hâte de mon pantalon et enfilai ma verge dans le shorty de ma fille. Je m’en couvris les testicules avec une partie et enroulai le reste autour de mon sexe. C’était doux et sensuel sur ma peau fraîchement épilée. J’admirai mon gland bien dessiné sous la transparence du tissu. Cela me donna envie de glisser mon sexe sous la lingerie très fine que ma fille portait lorsque je l’ai quittée. Juste pour le plaisir de le voir contre sa peau sous ce tissu si doux. J’aurais caressé son coquillage tout mouillé avec mon gland en me branlant en même temps. J’imaginais ses flots de mouille inondant mon sexe et mes mains. Je voulais frotter ma verge toute entière contre son abricot jusqu’à la sentir jouir dessus.
J’avais serré ma main autour de mon sexe et entrepris un va-et-vient rapide dans la douce lingerie. Je pouvais voir mon gland, qui jutait abondamment, tremper le tissu. Si ma fille me voyait faire… Oh ! Mais j’en avais envie. Je voulais qu’elle voie comme je la désirais.
La belle devait sûrement être en train de faire la même chose de son côté. Je l’imaginais se caresser sensuellement les seins. Je les trouvais si beaux, si parfaits, si ronds, si fermes, si doux... Elle devait être en train de les masser en les serrant l’un contre l’autre et de faire rouler ses petits tétons tout roses et bien dressés entre ses doigts. J’avais envie que ma fille les présente à mes lèvres pour que je les lèche et les tète délicatement.
Je l’imaginais confortablement assise sur mon sexe introduit en elle, pendant que la belle se caresserait les seins en gémissant et en me regardant dans les yeux. Je voulais la serrer dans mes bras. La déflorer délicatement comme on cueille une fleur au printemps. Je souhaitais sentir son corps vibrer de plaisir contre le mien tandis que je l’embrasserais pour cueillir ses gémissements sur ses lèvres.
Je sentis mon sexe grossir entre mes mains pendant que mon plaisir explosait, m’arrachant des cris de plaisir. L’orgasme secouait mon corps de spasmes. Mes va-et-vient se firent plus lents jusqu’à n’être qu’une tendre caresse. Je pressai mon gland pour en extraire la dernière goutte qui en perlait. Je retirai la douce lingerie de mon sexe. Je l’avais inondée. Je me nettoyai avec la partie dont je m’étais servi pour caresser mes testicules.
C’était la première fois que je m’étais donné du plaisir en pensant à ma fille et j’avais trouvé cela merveilleux. Aussi bon que le premier baiser que nous avons échangé, aussi court fut-il.
Je déposai la lingerie de ma fille, souillée de mon sperme, sur ma table de chevet et m’endormis paisiblement.
[Jessica, seule dans son lit, au milieu de la nuit]
J’étais toute excitée lorsque mon père avait quitté ma chambre me laissant, seule, sur ma faim. J’avais ressenti le besoin urgent de me caresser. Penser à toutes les sensations nouvelles qu’il avait fait naître en moi avait suffi à me faire atteindre l’orgasme en quelques minutes. Un plaisir si court que je n’avais pas eu le temps de l’apprécier. Je me réveillai en pleine nuit avec un désir inassouvi.
Ma peau se mit à frissonner lorsque je repensai aux baisers que mon père avait déposés sur mon corps. J’avais adoré le contact de ses lèvres et de sa langue sur mon ventre et dans mon cou. C’était si doux et sensuel… Exactement comme je l’avais imaginé. Mon corps tout entier s’était éveillé à l’érotisme au contact du sien. Je voulais encore sentir sa peau si douce contre la mienne. J’aimerais tant pouvoir caresser et embrasser son corps parfait comme il me l’avait fait ; je voulais qu’il m’apprenne à faire l’amour et à lui donner du plaisir.
Je me caressais en pensant à tout cela. Mon doigt s’activait sur mon bouton pendant que je me caressais les seins. Mon vagin gourmand mouillait abondamment. Je sentais que le drap était trempé sous mes fesses. J’insérai un doigt dans mon intimité qui l’avala entièrement. J’étais chaude, douce et toute dégoulinante. Je faisais de lents va-et-vient. Mon plaisir augmentait, me faisant gémir.
Je repensai aux va-et-vient rapides que mon petit ami, Nicolas, avait faits sur son sexe lorsqu’il s’était caressé devant moi. Je fus tentée de tester cette même intensité afin d’en découvrir les sensations. Je fus surprise en sentant mon plaisir s’accroître considérablement. Les va-et-vient que je m’infligeais étaient longs, profonds et rapides. Je pouvais entendre les clapotis que provoquaient mes mouvements. Mes gémissements étaient plus audibles. Je décidai de caresser mon bouton en même temps : le plaisir me submergeait, m’arrachant de petits cris. Mais mon envie amplifiait aussi.
Après plusieurs minutes, l’orgasme ne venait toujours pas et mon corps était toujours en demande. Plus je pensais à mon père, plus je le voulais. C’était la première fois que je n’arrivais pas à jouir. Je trouvais cela encore plus frustrant.
Je pensais à mon père, seul dans son lit, dans la pièce voisine. Je mourais d’envie d’aller le rejoindre. Je trouvai une excuse pour le faire et quittai ma chambre sur la pointe des pieds. Mon cœur battait fort dans ma poitrine, créant un vacarme phénoménal en comparaison du silence qui régnait autour de moi. J’ouvris nerveusement la porte de la chambre de mon père. Celle-ci n’émit aucun son et n’opposa pas de résistance. Je fis quelques pas. Il faisait noir, mais je connaissais la disposition des meubles.
« Tu n’as pas le droit de faire ça, me dicta ma conscience ; retourne dans ta chambre ! » Je m’arrêtai. En effet, je pouvais retourner dans mon lit et me rendormir en ignorant mon envie. Je m’apprêtais à faire demi-tour lorsque ma cheville émit un craquement dans le silence. Une lampe de chevet s’alluma presque aussitôt.
— Quelque chose ne va pas ? demanda mon père d’une voix ensommeillée.
Ses cheveux étaient ébouriffés et son regard inquiet me fixait. Son drap le couvrait jusqu’aux hanches. Son torse parfait et attirant me rappela très vite la raison de ma venue. Je baissai les yeux en rougissant. Je découvris son pantalon jeté à terre. L’imaginer nu dans son lit me rendit encore plus hésitante mais je ne pouvais plus reculer, surtout après l’avoir réveillé.
— J’ai fait un cauchemar et je n’arrive pas à me rendormir, dis-je timidement.
Mon père me sourit.
— Viens, proposa-t-il en soulevant le drap.
Je montai à quatre pattes sur le lit et m’installai entre les draps chauds qui sentaient bon son odeur. Il m’accueillit dans ses bras, contre lui. Je déposai ma tête sur son épaule et il embrassa tendrement mon front. Je posai une main sur son ventre. Mon père éteignit la lumière. Quelques instants plus tard, je pouvais entendre sa respiration lente et régulière. J’essayai de m’endormir moi aussi.
Je me sentais bien dans les bras sécurisants de mon père. Je pouvais respirer son odeur. Mais je n’arrivais pas à trouver le sommeil. Ma main posée sur son ventre me donnait envie de caresser son corps, ce qui – bien sûr – ne m'aidait pas à refouler mon désir tout aussi puissant que précédemment. Mon entrejambe était toujours aussi humide.
Je commençai à bouger ma main, effleurant la peau douce autour de son nombril. Je suivis la ligne de sa clavicule. J’effleurai la forme de ses pectoraux, puis je les caressai à pleine main. Je dessinais des cercles légers autour de ses tétons. Ils étaient doux et je les sentis pointer sous mes doigts. Je déposai de doux baisers sur son épaule. Ma bouche suivait lentement le chemin que mes doigts avaient parcouru. J’embrassai ses pectoraux. Avec ma langue, je fis de petits cercles autour de ses tétons durcis. Je les pris entre mes lèvres pour les taquiner. Je les léchai et les suçai doucement.
Du bout des doigts, je traçais les contours de ses abdos. Je rencontrai son nombril, puis des poils fins qui formaient une ligne vers le bas. Je la suivis, le cœur battant. Elle fit place à une peau très douce et très tendre. Je caressai cette partie du plat de la main. Je rencontrai la naissance de son sexe. J’hésitai un instant. Le désir brûlant de continuer me poussait à aller plus loin. Mon père dormait toujours, ne se doutant de rien.
Du bout des doigts, j’effleurai son sexe bouillant, très doux et moelleux sur toute sa longueur et sa largeur. Il n’avait rien d’impressionnant au premier abord. Je le parcourais lentement de la main entière. Je trouvais cela très agréable. Je me sentais mouiller. Je le déplaçai légèrement pour continuer mon exploration. Je caressai ses testicules, très doux, eux aussi. Je les pris délicatement dans ma main et les massai doucement. Ça me plaisait beaucoup.
Je revins vers son sexe et le pris doucement dans ma main. Il était si moelleux que j’avais peur de le serrer trop fort. Mon pouce faisait de lents va-et-vient, le maintenant contre mes doigts. Je le sentis grossir et durcir progressivement, m’obligeant à ouvrir ma main. Je trouvais cela excitant de le sentir s’animer, si bien que je commençai à me caresser la poitrine de ma main libre. Je frottais mes seins contre la peau de mon père et l’effleurais avec mes tétons bien durs.
Je pouvais sentir des veines gonfler sous mes doigts, au fur et à mesure que son érection se développait. Je caressai son gland et le trouvai agréablement doux. J’en appréciais la forme. Je passai lentement mon pouce sur son urètre ; il ne mouillait pas encore, mais il s’ouvrit sous ma caresse. Je masturbais lentement le sexe de mon père. Il était maintenant bien dur dans ma main. Dans le noir, il me paraissait un peu plus gros et plus long que celui de Nicolas, bien que le sien était aplati tandis que celui de mon père avait une circonférence parfaitement circulaire. Il me procurait une si grosse envie que j’en mouillais abondamment.
Je fis descendre doucement ma main libre de mes seins jusqu’à ma minette. Je la caressai doucement par-dessus le tulle rouge de mon shorty. Elle était toute trempée. Je passai la main à l’intérieur et caressai tendrement mes lèvres si douces. Je me servais de mon index pour faire des petits cercles autour de mon bouton. Il était bien dur et tout gonflé, comme le sexe de mon père que je caressais plus fort de mon autre main. J’introduisis délicatement un doigt entièrement dans mon vagin, en soupirant de plaisir. Je fis des va-et-vient profonds et rapides. C’était bon.
La tête posée sur l’épaule de mon père, j’embrassais sa peau tout en nous donnant du plaisir. Mes mains s’agitaient au même rythme sur son sexe et dans le mien. Je trouvais cela super excitant. Je relevai ma jambe droite et la plaçai entre les siennes. Les membres inférieurs ainsi écartés, j’introduisis un deuxième doigt dans mon vagin. Je le sentis s’ouvrir à ce contact. Je les enfonçai profondément. Cela me procurait beaucoup de plaisir. Je faisais des va-et-vient longs, profonds et rapides comme j’adorais. Mon vagin dégoulinant de mouille émettait des clapotis bruyants. Je sentais que le sexe de mon père commençait à mouiller aussi.
Le faire pointer ainsi vers le ciel me donnait envie de m’asseoir dessus pour le sentir au plus profond de mon corps. Je gémissais faiblement de plaisir tandis que mon bassin effectuait des mouvements accompagnant mes caresses. Mon vagin très dilaté aspirait mes doigts. J’avais envie que mon père se réveille et me pénètre immédiatement.
Je retirai les doigts de mon intimité et caressai mon bouton très dur. J’abandonnai le sexe de mon père le temps de passer ma main sur ma vulve trempée pour l’humidifier encore plus. Ainsi, sa verge glissait encore mieux entre mes doigts. Je fis des va-et-vient plus rapides en gémissant contre sa peau. Quelques secondes plus tard, un violent orgasme traversa mon corps de spasmes. J’émis un petit cri de plaisir en sentant la main de mon père me serrer contre lui.
Il se tourna vers moi, son gland caressant ma peau, tandis que je continuais de le masturber aussi rapidement. Je sentais son sexe grossir encore plus entre mes doigts, tandis que mon père pressait mon sein dans sa main en gémissant fortement contre mon front. Je sentis de longues giclées de sperme bien chaud arroser mon ventre et mes seins. Son corps tremblait de plaisir tout contre le mien.
Il embrassa mon front. Son cœur cognait contre ma joue. Sa main rejoignit la mienne sur son sexe. Il serra son gland très fort entre nos doigts, si bien que j’eus peur qu’il se fasse mal. Je sentis une goutte de sperme s’en écouler doucement. Puis mon père prit ma main pleine de semence dans la sienne.
— Tu penses que tu vas arriver à t’endormir, maintenant ? demanda-t-il.
— Oui, murmurai-je. Tu m’en veux ?
— Non… c’était super. Tu peux aller prendre une douche si tu veux, sinon tu vas être toute collante.
— Je peux revenir après ? demandai-je timidement.
— Seulement si tu es sage, sourit-il.
Auteure : Feeling
Lisez la suite bientôt
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