Aujourd'hui âgé de 53 ans, j'ai
longtemps été un employé appliqué d'une entreprise privée à la
pointe de la recherche scientifique. Il y a quelques années encore,
j'étais chef de projets que je menais avec professionnalisme mais
sans surinvestissement ostentatoire. Travailler pour acheter les
objets nécessaires à la vie courante, oui... Perdre de vue sa
famille et ses amis pour le bonheur de quelques actionnaires,
non.
C'est sûrement pour cela et à cause de quelques loups aux dents longues que j'ai été remercié au plus fort de la crise de 2009. Quelqu'un d'autre allait s'enfermer 70 heures par semaine et montrer toute la servilité possible au grand chef pendant que je quittais l'entreprise, mi-triste mi-content, à la tête d'un confortable pactole constitué par mes indemnités de licenciement.
J'avais devant moi du temps pour profiter d'une femme aimante (Sylvie) et trois enfants partis de la maison ou y revenant à la faveur des week-ends. Mais l'appel de la recherche se fit vite sentir et je commençai donc à me construire, à l'étage de notre maison, un laboratoire de chimie. Je vous passe les détails techniques mais quelques acquisitions, bien qu'utiles, furent particulièrement difficiles à obtenir sans éveiller les soupçons des services de lutte contre la prolifération de matériel radioactif.
Toujours est-il qu'après bientôt quatre ans de recherche en dilettante, je mis un terme à l'un des plus anciens projets dont je m'occupais de la direction : l'agrandissement de la matière.
Je ne vais pas vous le cacher plus longtemps, mon entreprise faisait partie du complexe militaro-scientifique et répondait à une commande ultra-secrète de l'état-major étasunien : produire des chars d'assaut de petite taille, réduisant les besoins en matière première pour les grandir à une taille compatible avec leur destination guerrière.
C'est sûrement pour cela et à cause de quelques loups aux dents longues que j'ai été remercié au plus fort de la crise de 2009. Quelqu'un d'autre allait s'enfermer 70 heures par semaine et montrer toute la servilité possible au grand chef pendant que je quittais l'entreprise, mi-triste mi-content, à la tête d'un confortable pactole constitué par mes indemnités de licenciement.
J'avais devant moi du temps pour profiter d'une femme aimante (Sylvie) et trois enfants partis de la maison ou y revenant à la faveur des week-ends. Mais l'appel de la recherche se fit vite sentir et je commençai donc à me construire, à l'étage de notre maison, un laboratoire de chimie. Je vous passe les détails techniques mais quelques acquisitions, bien qu'utiles, furent particulièrement difficiles à obtenir sans éveiller les soupçons des services de lutte contre la prolifération de matériel radioactif.
Toujours est-il qu'après bientôt quatre ans de recherche en dilettante, je mis un terme à l'un des plus anciens projets dont je m'occupais de la direction : l'agrandissement de la matière.
Je ne vais pas vous le cacher plus longtemps, mon entreprise faisait partie du complexe militaro-scientifique et répondait à une commande ultra-secrète de l'état-major étasunien : produire des chars d'assaut de petite taille, réduisant les besoins en matière première pour les grandir à une taille compatible avec leur destination guerrière.
D'esprit un peu
plus bucolique, et aussi parce que je n'avais pas de char miniature à
portée de la main, j'avais fait d'une coccinelle passée par là mon
cobaye d'un jour. Je sais, c'est mal de faire des tests sur les
animaux, mais sans cette décision malheureuse vous n'auriez
sûrement pas eu la primeur ici d'une des plus grande découverte de
l'humanité.
Un samedi aux alentours de 11h du matin, je mis
en marche mon attirail, toute puissance dirigée sur le minuscule
animal. L'électricité affluant, les condensateurs et autres témoins
d'activité entrèrent en surbrillance et, d'un jet fulgurant
d'énergie pure (je n'ai découvert que plus tard ma facture
d'électricité, et j'en pleure encore), la machine éclaira
l'ensemble de la pièce d'un rayon blanc intense, suivi d'un gros
bruit. Il me fallut quelques secondes pour rétablir ma vision et
découvrir la preuve de mon génie : une coccinelle géante, de 60 cm
de long, me faisait face. Après quelques instants, je repris
suffisamment le contrôle de mon corps pour reprendre ma respiration
et sorti en criant :
- Sylvie ! Sylvie, j'ai agrandi une
coccinelle !
Celle-ci me répondit en hurlant, terrorisée :
-
AAAAAAAAAH ! Je sais !
Arrivé sur le palier, je vis ma femme
courir en tous sens, poursuivie par une coccinelle qui la
pourchassait dans le vrombissement sonore de ses ailes déployées.
Il semble que la puissance du rayon avait traversé le parquet et
atteint la cuisine. La coccinelle la rattrapa finalement et se laissa
tomber de tout son poids sur ma femme. De ses mandibules, elle
l'agrippa au poignet droit et la tira jusqu'à la cuisine, d'où
elles venaient toutes deux de sortir.
Paniqué, je me rendis
compte que ma fille était sortie de sa chambre et venait, comme moi,
d'assister horrifiée à cette scène surréaliste. Nous sommes
regardâmes deux secondes avant qu'un autre vrombissement se fasse
entendre dans mon dos. Je fis volte-face pour voir la coccinelle de
mon expérience sortir en trombe et nous foncer dessus.
- Cours te
mettre à l'abri ! criai-je à ma fille en faisant, déterminé,
barrage de mon corps à l'insecte.
Ne faisant aucun cas de mon
opposition, celui-ci me fonça dessus et m'envoya, d'un battement
d'ailes, valdinguer à toute force contre le mur. Secoué, je tombai
dans les pommes. Il me fallut un temps que je ne saurais évaluer
pour récupérer du choc, faire le point sur mon état physique et me
précipiter au secours des deux femmes de ma vie.
J'entrai en
force dans la chambre de ma fille qui criait son désespoir, que je
trouvai dominée par la bête qui, attirée par ses phéromones, la
prenait pour une femelle à féconder. Ma fille ne me vit pas ; elle
me tournait totalement le dos et j'avais une vue totalement dégagée
sur son intimité. L'animal, disposant de six pattes, maintenait ma
fille clouée au sol fermement. Les deux pattes arrière
immobilisaient les jambes de ma fille tandis que les deux pattes
avant bloquaient tout mouvement de ses bras. Il lui restait deux
pattes pour manipuler à sa guise le bassin de ma fille. L'insecte
avait réussi à déchirer la petite culotte sous sa jupe légère,
et son sexe noir et luisant s'insérait sans retenue dans son vagin.
Le plus étrange, dans cet accouplement contre nature, était ce
sperme visqueux et bleu qui s'insinuait dans les tendres chairs de
mon enfant. L'animal semblait particulièrement bien pourvu puisqu'un
pénis cylindrique d'au moins 5 cm de diamètre et 20 cm de long
s'insérait profondément à chaque pénétration, rejetant chaque
fois toujours plus de sperme. La scène avait quelque chose d'aussi
obscène que fascinant, tenant sans doute à ces deux pattes
centrales amenant le bassin cambré de façon indécente à la
rencontre de ce membre dégoulinant.
Me souvenant de ma dernière
tentative de virilité avec l'animal, je me retirai, laissant ma
fille aux griffes de son mâle, pour prendre des nouvelles de ma
femme.
Depuis les escaliers, je n'entendais aucun cri venir de
la cuisine ; mon cœur se tordit au spectacle sanglant que je pensais
trouver entre ces quatre murs. Mais au contraire, ma femme de profil,
totalement dénudée, aux prises avec deux mâles, l'un s'occupant de
son vagin et l'autre lui remplissant la bouche de son sexe énorme.
Aux prises est un bien grand mot puisque ceux-ci lui laissaient toute
liberté de ses mouvements et qu'elle ne faisait aucune tentative
pour échapper à ses vigoureux amants. En m'approchant du trio, je
me rendis compte que, si le sperme coulait à flots du vagin de ma
femme, celui-ci avait produit une croûte bleu clair sur son menton
et sur son cou, et plus aucune goutte ne sortait de la bouche de la
mère de mes trois enfants. D'une main, elle masturbait même le sexe
de son amant ailé. Lorsqu'elle me vit, elle sortit le sexe de sa
bouche et, si j'avais encore le moindre doute sur le traitement que
ma femme prodiguait au mâle en rut, je vis le sperme gluant
éclabousser le visage et les seins de ma femme. Elle prit le temps
de me dire :
- Ah ! C'est délicieux, un goût de bonbon
sucré.
Illustration par Riga
Puis je la vis, avec fascination, reprendre goulûment cette fellation bestiale. Mon propre sexe entra en expansion devant ce spectacle d'une femme prenant un plaisir non dissimulé à se faire féconder sans retenue et sans tendresse par un animal quinze fois plus grand que sa taille initiale. De l'autre côté, elle avait repris l'absorption frénétique d'un sperme bleu et collant qu'elle présentait comme un breuvage divin, une sorte d'hydromel au schtroumpf.
Je m'approchai donc d'elle et pris un sein dans ma
main ; elle daigna tendre le bras jusqu'à ma braguette pour sortir
mon engin, petit et inutile par comparaison aux puissances animales
qui pénétraient ses chairs. J'ai joui très vite.
Ma femme
n'ayant visiblement pas besoin de mon aide, je remontai à l'étage
pour me rendre compte de l'état de santé de ma fille.
Celle-ci
avait fait son deuil de cette relation forcée et semblait commencer
à prendre plaisir sous les assauts coccinellesques. La bête avait
lâché le bassin de mon enfant, mais celui-ci poursuivait ses
mouvements ; était-ce incontrôlé ou volontaire ? Toujours est-il
que ma fille finit par se donner totalement aux assauts du mâle.
Au
bout d'un certain temps, l'énergie accumulée dans les atomes et qui
avait permis l'augmentation spectaculaire de la taille des trois
coccinelles mâles décrut, et celle qui possédait ma fille et lui
remplissait le vagin de sa semence se volatilisa. Ma fille tomba en
avant, visiblement épuisée et resta dans cette position, son sexe
offert et ouvert, dégoulinant de façon continue. Je détournai mon
regard de son intimité et redescendis prendre des nouvelles de ma
femme. Ses deux amants avaient eux aussi disparu et je la retrouvai
au sol, étalée dans une gigantesque flaque bleue, le ventre gonflé
par tout le foutre avalé durant cet acte de bestialité pure.
Nous
nous sommes remis sur pieds et sommes allés nous occuper de notre
enfant. Ma femme entra seule dans la chambre et la couvrit d'une
couverture. J'entrai à mon tour et elle nous regarda, incrédule.
-
Maman, que s'est-il passé ?
- Rien, mon enfant ; tout va bien
maintenant… lui répondit la femelle redevenue mère.
- Papa, me
questionna ma jeune étudiante, tu as vu quelque chose ?
- Non :
je suis tombé dans les pommes quand la coccinelle m'a jeté contre
le mur. Mais ne t'en fais pas, je suis avec vous maintenant.
Les
deux femmes de ma vie s'en allèrent à la salle de bain pour prendre
soin de leurs corps violentés, maltraités. De mon côté, je pris
en charge le nettoyage de la cuisine et de la chambre de ma fille,
dont la moquette serait de toute façon à changer. En espérant que
le poseur de moquette ne nous demanderait pas si la zone avait servi
à un sacrifice de schtroumpfs.
Le soir, nous avons commandé
des pizzas pour ma fille et pour moi. Ma femme, elle, n'avait pas
faim du tout. Allez savoir pourquoi…
Comme si nous étions
revenus 15 ans en arrière, nous avons accompagné notre fille au lit
et nous l'avons aidée à s'endormir.
À 21h, allongés dans
notre lit, ma femme me demanda, curieuse :
- Dis, mon chéri, tu
crois que tu pourrais faire grossir un mâle de mante religieuse
?
Et c'est donc pour cela que vous n'entendrez parler qu'ici
de cette découverte phénoménale.
Pourquoi livrer cette
invention fabuleuse aux instincts guerriers de quelques excités de
la gâchette alors qu'il peut servir au plaisir sexuel de mes amies
nymphomanes ?
Auteur : Calafia
Très bien placé dans le texte…
RépondreSupprimer;)
Il faut avouer que l'image colle tellement à l'esprit du texte qu'il n'y avait aucune difficulté pour le placer. Merci encore pour cette superbe illustration ! ;)
Supprimergénial l'histoire ^^
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