vendredi 30 mai 2014

Le club des nymphes (5 et 6)

Relisez les chapitres 3 et 4

CHAPITRE 5 (THOMAS) : LE CADEAU


Incroyable ! Marraine m’a mené tout droit devant ma sœur Élodie prête à sucer tout ce qui lui passe devant la bouche. J’hésite quand même à profiter de la situation. Je suis sûr qu’Élodie me tuerait si elle apprenait qu’elle m’a sucé. Et puis, c’est ma sœur, quand même… Ce serait de l’inceste, même si j’ai fantasmé de nombreuses fois sur elle. En plus, elle ne sait même pas à qui elle a affaire.
Et puis merde, quoi ! C’est elle qui s’est mise dans cette situation. C’est elle qui a voulu rejoindre ce club et a accepté de sucer cinq bites en ayant les yeux bandés. Et bordel : j’en ai sacrément envie, moi !

— Bon alors, tu te décides ? me fait-elle en ne sachant pas à qui elle s’adresse.

C’en est de trop. Comment prendre une décision raisonnable dans une situation pareille ? Ma sœur m’est servie sur un plateau d’argent ; comment pourrais-je résister ? Je défais ma ceinture et fais lentement glisser la braguette tout en admirant mon cadeau.

— Hum, j’adore ce bruit, fait-elle en se léchant les babines.

Je m’approche lentement de ma sœur toujours à genoux. Une fois devant elle, je descends mon pantalon et libère mon sexe impatient. Élodie écoute le moindre de mes gestes avec un intérêt certain. Je prends ma bite en main et lui caresse le visage avec. Celle-ci se laisse faire et tend même la joue pour me faciliter le travail.

— Hum, elle est toute chaude et toute dure !

Mon gland se frotte maintenant le long de ses lèvres, attirant à lui une petite langue qui finit par s’enrouler autour. Une vague de frissons me fait frémir tandis que ma sœur gobe mon sexe.
« Cette fille n’est pas faite pour toi, frérot. » : c’est ce qu’Élodie m’avait affirmé le lendemain de la soirée chez marraine. « Je sais que tu t’imagines le contraire après la nuit que tu as passée avec elle, mais je te connais bien, Thomas ; alors, quand je te dis qu’elle n’est pas faite pour toi, c’est que c’est le cas. » Qu’est-ce que tu en sais, grande sœur ? Tu prétends me connaître mais tu ne sais pas grand-chose de moi. Tu m’as toujours ignoré et m’as toujours rejeté. Sarah est tout à fait ce qu’il me faut. Elle m’offre en ce moment même ce que je désire depuis longtemps. Dirais-tu la même chose, maintenant que ma bite visite ta bouche ?

En tout cas, grande sœur, je dois avouer que tu es vraiment très douée. On sent que tu as beaucoup d’expérience et que tu aimes ça ! On sent que des kilomètres de bites sont déjà passés par là. C’est un délice de sentir ta langue se promener sur ma bite ; c’est un délice de sentir tes lèvres faire pression sur mon membre et le branler ; c’est un délice de sentir tes mains masser délicatement mes couilles. C’est encore plus jouissif que tout ce que j’avais imaginé. Ah oui, ma sœur est douée ! Au moins aussi douée que marraine.

Elle aspire de façon gourmande, elle suçote amoureusement, elle pompe admirablement. Elle a l’air de vraiment aimer sucer la bite de son frère. Elle ne réagirait pas pareil si elle savait que c’est la mienne. Je me demande si elle ne s’en doute pas, finalement. Après le coup du plumeau tout à l’heure, peut-être a-t-elle compris que Sarah lui ferait un coup comme ça ; ou peut-être pas.

Je sens ma sève monter. Dois-je la prévenir ? Euh… non, je ne dois pas parler. Et puis marraine a dit, tout à l’heure, que les filles ne devaient pas en perdre une goutte. Oh putain ! Cela veut dire que ma sœur va avaler mon sperme ! J’en prends seulement conscience maintenant. Ah oui, c’est proche maintenant ; je donne quelques légers coups de reins pour lui faire accélérer le rythme, ce qu’elle ne tarde pas à faire. Cette fois c’est bon : je jouis dans la bouche de ma sœur. Oh oui ! Prends-toi ça dans la gueule, salope ! Après un bon nombre de soubresauts, j’ai l’impression de m’être totalement vidé en elle. Mes jambes en flageolent. Je me retire donc et observe Élodie avaler mon sperme jusqu’à la dernière goutte.

— Hum, c’était délicieux ! me fait-elle. Personne ne m’avait autant inondé la gorge avant toi.

C’est sur ces derniers mots que je la laisse et sors de la pièce après m’être rhabillé. Marraine m’attend à la sortie. Je m’approche d’elle et l’embrasse langoureusement pour la remercier.
Elle me raccompagne ensuite au cocotier où les quatre autres types sont déjà revenus. Elle me laisse et embarque cinq nouveaux mecs.
Je retourne sur le canapé aux côtés d’Aliénor qui m’accueille, toute souriante.

— Alors, tu as aimé ton cadeau ? me chuchote-t-elle à l’oreille.
— Tu étais au courant ? fais-je, surpris.
— Oui, mais chut : ne le crie pas sur les toits.

Nous passons les minutes suivantes à nous caresser mutuellement et à nous embrasser. Sans que nous leur portions une grande attention, la deuxième série de mecs revient et la troisième prend le relais. Je vois que certains de ceux qui se sont déjà vidé les couilles dans la bouche des recrues sont en train de déshabiller les filles présentes et ont commencé à les lécher. Je prends exemple sur eux et enlève la robe d’Aliénor. Après lui avoir léché la poitrine je l’allonge, commence à lui lécher la chatte et me régale de son nectar. Je n’ai pas beaucoup d’expérience mais j’essaie de m’appliquer. J’ai l’air de ne pas trop mal m’en sortir puisqu’Aliénor semble prendre son pied.

La troisième série de gars est revenue quand Aliénor vient s’empaler sur ma queue. Ils ont le plaisir de découvrir l’orgie qui gagne peu à peu la salle et se joignent à la fête. Aliénor et moi, toujours enlacés l’un dans l’autre, continuons de copuler sans faire grande attention à ce qui se passe autour. Après avoir doigté sa chatte, je la lui ai léchée et je suis maintenant bien au chaud en elle ; que dirais-tu si tu le savais, Louise ? Et pourquoi pensé-je soudainement à Louise alors que je suis en train de me taper sa marraine ? Peu importe !
Nous atteignons tous deux l’orgasme au moment où la dernière série de mecs part se vider les bourses dans la gorge des recrues.

Nous sommes maintenant de nouveau assis sur le canapé et recommençons à discuter tout en enchaînant les verres. Nous n’avons même pas pris la peine de nous rhabiller. Autour de nous, ça continue de baiser mais nous ne nous en préoccupons pas.

— Et vous aussi, vous avez fait ça pour votre initiation ? demandé-je, curieux.
— Bien sûr que oui ! Et je dois dire que j’ai trouvé très excitant de sucer cinq mecs dont nous ne savions pas grand-chose. Malheureusement, une des filles de troisième année s’est amusée à révéler qui avait sucé qui, et a gâché ainsi la magie de la soirée. Elle a donc été virée du club.
— Ah bon ?
— Bien sûr : le club interdit aux types en question de révéler qui les a sucés, comme tu le sais déjà, mais il interdit aussi aux nymphes de révéler ces informations. Et quand quelqu’un n’obéit pas aux règles, il est châtié sans remords.
— Eh ben, vous avez des règles bizarres… Et au fait, je me posais une question la dernière fois : qui était la présidente du club avant Sarah ?
— Elle s’appelle Émilie Richard, et c’est la marraine de Sarah. Elle était aussi présidente du BDE. Elle est partie avec d’autres filles de troisième année faire son année à l’étranger.
— Ah, OK ! C’est pour cela qu’il ne reste plus que trois filles de troisième année dans le club ?
— Exactement.
— Et donc, si Émilie était la marraine de Sarah, c’est tout à fait normal que Sarah soit présidente maintenant.
— Euh, non ; ce n’est pas vraiment comme cela que ça se passe, me corrige Aliénor. Certes, Émilie avait senti un bon potentiel chez Sarah, mais les choses ne se font pas comme cela. C’est plus compliqué ! En tout cas, Sarah est très vite devenue une légende ; et comme il n’y avait pas de concurrence pour le poste de présidente, elle n’a pas eu trop de mal à se faire élire.

La dernière série de mecs revient finalement, suivis peu après par les recrues. Je ne peux m’empêcher de sourire en voyant le retour de ma sœur. Très vite, sans que je réalise exactement comment, tout ce petit monde rejoint l’orgie. Après deux autres verres, je me retrouve – sans me souvenir comment à cause de l’alcool – en train de prendre en levrette une fille de seconde année dont j’ignore le nom.
Je me souviens aussi avoir vu marraine prise en sandwich par le président du BDE et un autre type, Aliénor sucer une queue et se faire lécher la chatte par Élisa, et enfin Élodie à quatre pattes, la bite de son parrain dans la bouche et celle du parrain d’Aliénor en train de lui ramoner la chatte.

Je me suis retrouvé après la soirée chez marraine où nous avons baisé une dernière fois avant que je m’endorme comme une masse.


***


Les cours ont repris le lundi suivant, et j’entame cette nouvelle semaine en me sentant un autre homme. Je n’ai jamais été plus heureux.

— Eh ben, t’as l’air d’avoir passé un bon week-end ! me fait Louise en cours d’économie.
— Si seulement tu savais…
— Vas-y, raconte ! fait-elle, curieuse.
— Non, je n’ai pas le droit !

Soudain, quelqu’un frappe à la porte et le prof dit d’entrer. Sarah, Aliénor et Camille font leur apparition. Mon cœur fait un bond de joie à leur vue.

— Excusez-moi, Monsieur Durand, entame marraine. Nous avons un papier à remettre à cinq de vos élèves. Cela vous dérange-t-il ?
— Absolument pas, Mademoiselle de Montferrat, fait-il avec un sourire charmeur. Allez-y.

Je ne suis pas étonné de voir que les destinataires ne sont qu’autre que ma sœur, Élisa Mannal, Anzhelina Kyakatzkyetsky, Marie Gauvin et la pouffiasse Natacha Grojean. Les trois filles partent tout de suite après en s’excusant une dernière fois auprès du prof.

— Putain, quel cul ! s’exprime la voix de David sans grande discrétion derrière nous.

Je remarque au passage que le prof écrit quelque chose sur une feuille.

— Pss devant ! nous apostrophe David.
— Quoi encore ? peste Louise.
— C’est quoi, ces bouts de papier ?
— Mais comment veux-tu que l’on sache ? lui demandé-je.
— Bah, je n’sais pas ; Sarah et Aliénor sont vos marraines, et Élodie la bonasse est ta sœur. Alors je me dis que vous devez bien être au courant de quelque chose.
— Ce n’est pas le cas, affirme sèchement Louise. Et même si ça l’était, je ne te le dirais pas.
— Ouais, idem ! rajouté-je.
— Oh, vous faites chier ! Pourquoi personne ne me dit jamais rien à moi ?

Après plusieurs minutes, le cours se termine. C’est l’heure du repas. Nous nous rendons alors au réfectoire et commençons à manger. Plusieurs seconde et troisième années viennent à moi me serrer la main pour me dire bonjour. Cela ne s’étant encore jamais produit, je vois que Louise commence à me lancer des coups d’œil intrigués.
Le repas se termine et me voilà aux toilettes en train de me vider la vessie. Je me rhabille, sors des toilettes et découvre une nouvelle surprise : la fille au nom imprononçable est là devant moi, affichant un sourire coquin. Elle porte un débardeur noir à tête de mort, une jupe écossaise, des collants troués, des rangers et des chaînes. Elle me pose la main sur la bite et me pousse dans la cabine. Deux secondes plus tard, elle est à genoux et m’ouvre le pantalon.

— Attends, je ne me souviens même plus de ton nom.
— Pas grave, c’est Anzhelina.
— Ah oui, c’est vrai !

Mon pantalon et mon boxer atterrissent peu après en bas de mes chevilles et elle prend en bouche mon sexe. Il ne faut pas longtemps pour qu’il se mette à grossir dans sa bouche. J’ignore pourquoi cette fille me fait ça, mais je me contente d’en profiter. Ce n’est pas tous les jours qu’on nous saute dessus pour nous sucer la bite. Miss Punk me pompe bien comme il faut, maintenant. Elle n’est pas aussi douée que Sarah ou Élodie, mais je sens qu’elle essaie de s’appliquer. Quand marraine me disait que je ne regretterais pas de sortir avec elle, j’ignorais encore à quelle point elle avait raison !

Miss Punk lâche maintenant ma bite et s’occupe de mes testicules, qu’elle gobe avec plaisir. Je la regarde faire tranquillement. Cette fille semble être une vraie furie ; elle me reprend en bouche et me pompe énergétiquement. Une main passe derrière pour me peloter les fesses. Bientôt un doigt s’engouffre d’un coup dans mon cul. Passée la surprise, je trouve ça plutôt agréable et excitant.
À me faire ainsi fouiller le cul tout en me faisant pomper, ma jouissance ne tarde pas à arriver. Je me libère dans sa bouche. Miss Punk se montre gourmande, avale tout et me nettoie la bite jusqu’à la dernière goutte.

— Et au fait, le bout de papier de tout à l’heure, c’était quoi ? lui demandé-je.
— Oh, fait-elle, juste l’énoncé de la seconde épreuve de l’initiation. Apparemment, nous devons nous taper un de nos profs, au choix !
— Ah OK ! fais-je en rattachant mon pantalon.

Miss Punk se relève, sort de la cabine et commence à s’en aller mais finalement se retourne.

— Au fait, tu passeras le bonjour à la présidente de ma part !
— OK, pas de soucis.

Je la regarde s’éloigner et sortir des toilettes en me rendant compte que j’ai encore oublié son nom.








CHAPITRE 6 (ELODIE) : LA SECONDE EPREUVE


Cette fois, c’est officiel : nous connaissons la seconde épreuve de l’initiation. Je relis nerveusement le bout de papier que m’a remis Sarah en cours :
«  Seconde épreuve : Choisissez un de vos professeurs et baisez avec. Ce dernier devra nous remettre une de vos culottes remplie de son sperme en guise de preuve. Vous deviendrez alors officiellement une nymphe.
Bonne chance. »

C’est bien ce que m’avait dit Camille quand je lui ai tiré les vers du nez. Cette dernière m’a expliqué qu’au début de l’existence du club des nymphes, il n’y avait pas cette épreuve. Ce n’est que quand les véritables activités du club ont été découvertes qu’elle a été ajoutée. La présidente de l’époque, Ellen Martin, s’est vu contrainte de passer un marché avec le directeur de l’école, M. Povin, afin que le club ne disparaisse pas ; et c’est ainsi qu’a été ajoutée cette seconde épreuve. En plus de cela, il a été décidé que toutes les présidentes suivantes devront baiser avec M. Povin une fois par semaine. Finalement, ce pervers en a bien profité et en profitera encore longtemps.

Après une première épreuve des plus excitantes, je m’apprête à réaliser cette seconde épreuve. Hum, je me revois encore vendredi soir à genoux en train de sucer cinq mecs les uns derrière les autres. En plus, avec le premier qui m’a littéralement inondé la gorge, moi qui adore le sperme j’étais comblée ! Sa bite était d’une taille plus que satisfaisante. Je ne l’ai pas reconnu en le suçant ; je me demande qui ça pouvait bien être…
Il faut que je marque le coup pour cette seconde épreuve. Beaucoup me voient déjà comme la prochaine présidente mais c’est le moment de m’en assurer, comme l’avait fait l’année dernière Sarah de Montferrat. Comme elle, c’est le moment de marquer les esprits, de me faire ma légende.

La campagne pour la présidence des nymphes commence bien avant son début officiel. Je n’ai pas de rivale pour le moment mais on ne sait jamais. Hors de question que je laisse quelqu’un d’autre me prendre ce poste.
Dès que je serai présidente, je me débarrasserai de Thomas. Il n’a rien à faire là. Quelle conne, cette Sarah, de s’être entichée de lui et de me l’avoir collé dans les pattes. Avec le coup qu’elle m’a fait avec le plumeau lors de la soirée initiation, j’avais envie de la tuer ! Putain, mais c’est dégueulasse… C’est mon frère, bordel ! Ce fumier me fait déjà assez chier comme ça. Je me demande ce qu’elle peut bien lui trouver.
Profite bien de ton année de favori, petit frère, parce que dès que je serai présidente, tu ne seras plus rien ! C’est pas faute de t’avoir prévenu : « Cette fille n’est pas faites pour toi, frérot. » que je t’ai dit ; mais non, Monsieur n’en fait qu’à sa tête. Tu vas me le payer !

Je n’ai donc pas le choix : il faut que je sois présidente. Mais comment marquer à mon tour les esprits ? Faire comme Sarah l’année dernière et me taper l’ensemble des professeurs masculins ? Je ne vois pas ce que je pourrais faire d’autre. Même si ce n’est pas inédit, je ne vois pas d’autre chose à faire. Merde, ça en fait quand même pas mal ! Et puis, je n’ai jamais fantasmé sur mes profs ; ça me fait quand même un peu chier d’en arriver à une telle extrémité. Mais bon, si je veux éliminer Thomas des favoris, il n’y a pas trente-six mille solutions. C’est toujours mieux que de me taper trois ans de club avec mon frère dans les pattes. Ce salaud me reluque déjà assez comme ça…

Me voilà donc en cours de management de M. Chauvin ; j’attends la fin de l’heure afin de profiter de la pause du midi pour coucher avec lui. Il est le premier prévu sur ma liste. Voilà, il ne reste plus que quelques minutes avant la fin de l’heure. Je suis très nerveuse, je tremble même. C’est étrange ; à part pour ma première fois, je n’ai jamais été aussi nerveuse au moment de passer à l’acte. C’est peut-être que je ne l’ai jamais fait avec un prof.
J’observe le prof sans prêter attention à ce qu’il raconte afin d’essayer de me calmer. Il est grand, plutôt bien bâti. Il n’est pas tout jeune mais a bien vieilli. Sa teinte grisonnante lui donne un charme certain. Allons, ça ne devrait pas être trop désagréable de coucher avec lui.

Ça y est : M. Chauvin indique la fin de l’heure, ce qui me fait bondir le cœur. Les étudiants se précipitent sur leur sac et rangent leurs affaires. Ça se bouscule à la sortie. Moi, pendant ce temps-là, je range lentement mes affaires. J’attends que la salle se vide. Je jette un coup d’œil au prof : il s’est assis à son bureau et m’observe attentivement. A-t-il compris mon manège ? Merde, je tremble encore plus. Allez, il faut que je reprenne. Le dernier élève, l’un des espèces de débiles de potes de mon frère, est à son tour sorti. Je ne suis plus que seule dans la classe avec le prof ; c’est le moment. Et lui qui ne veut pas me lâcher du regard... Soudain, je panique ; je finis de ranger mes affaires et sors d’un coup de la salle. Putain ! Qu’est-ce qu’il m’a pris ? C’était le moment ! Tant pis, ça sera pour une prochaine fois.

La journée se poursuit normalement et je rentre finalement le soir à l’appartement sans avoir rien fait. Thomas n’est pas là. Il doit être sûrement chez Sarah.
Je me jette sur mon lit et réfléchis à ce qu’il s’est passé aujourd’hui, ou plutôt à ce qu’il ne s’est pas passé. Mon téléphone sonne ; le numéro est celui de Frank Ferral, mon parrain. Je ne lui réponds pas, éteins mon portable et le jette plus loin sur le lit. Je sais très bien ce qu’il veut : c’est toujours la même chose, mais je n’ai pas vraiment la tête à ça ce soir.

Après une heure dans la même position et dans le silence absolu, je crois que je viens enfin de cerner le problème : je n’ai pas envie de me taper tout un tas de profs. Mais alors, que faire de mon projet ? J’abandonne le poste de présidente ? Non, ça jamais ; il faut vraiment que je me débarrasse de Thomas. Et puis, de toute façon, je suis la plus indiquée pour ce poste. Il doit bien y avoir une autre solution que se taper tout un tas de profs. Faire la seule chose que Sarah n’a pas osée ? Mais oui, c’est ça la solution ! Elle se les est tous tapés l’année dernière ; tous sauf un : Monsieur Gluau.
Cet homme est immonde ; mais si j’ose, ça m’éviterait de baiser avec tous les autres et ça marquera à coup sûr les esprits ! Et puis, j’aurai ma propre légende.
C’est toute contente de ma nouvelle idée que je décide finalement de rappeler mon parrain.


***


C’est le jour J ; cours de comptabilité avec M. Gluau juste avant la pause du midi. Je me sens prête, ce coup-ci. Encore nerveuse mais prête quand même. J’observe le prof ; sa laideur aujourd’hui s’est surpassée. Long cheveux gris et gras couplés à une calvitie sur le sommet du crâne, yeux cadavériques, nez crochu, lèvres gonflées, double menton, bras et jambes flageolants et bide énorme. Non vraiment, il n’a rien pour lui. Je n’arrive pas encore à croire que je vais me taper ce mec. Mais je n’ai plus le choix maintenant : ça fait déjà plus d’une semaine que j’ai reçu l’énoncé de la seconde épreuve, et je suis la dernière des cinq filles à ne pas encore l’avoir réalisée.
Le prof indique finalement la fin de l’heure et je recommence mon manège comme la dernière fois. Je suis encore nerveuse, mais bien plus décidée.

— Bon alors, tu te grouilles de te casser de ma classe ! m’ordonne-t-il alors que je ne suis plus que la dernière.
— Attendez, Monsieur Gluau, pourrais-je vous parler ?
— Quoi ? Bon, OK, mais tu te magnes le cul.
— Je suppose que vous êtes au courant de l’existence du club des nymphes, dis-je en m’approchant de lui.
— Quoi ? Quel club ? Ah oui, fait-il en réalisant de quoi je parle. Ce club de petites salopes !
— Oui, c’est ça Monsieur. Et je suppose que vous êtes aussi au courant de nos épreuves pour intégrer le club, notamment notre seconde épreuve.
— Un peu que j’suis au courant ! Les collègues attendent toujours ça avec impatience en début d’année, mais personne n’est jamais venu pour l’père Gluau.
— Jusqu’à aujourd’hui, Monsieur, fais-je en déboutonnant lentement ma chemise.
— Je n’sais pas si t’as perdu un pari ou non, ou si c’est vos manigances entre filles qui t’amènent à moi ; mais si c’est d’la bite que tu veux, ma p’tite salope, tu vas en bouffer ! lâche-t-il avec un sourire dégoûtant.

Bizarrement, il n’a plus l’air si pressé de me voir partir. Ma chemise atterrit au sol, me laissant en soutien-gorge et mini-jupe. Je détache mon soutien-gorge qui rejoint ainsi ma chemise. M. Gluau me regarde faire en se frottant l’entrejambe. Il s’approche vers moi et commence à me palper les seins. Alors que je m’attendais à ce qu’il me les écrase maladroitement, il s’y prend plutôt pas mal. Ça serait presque agréable si l’odeur de sa sueur ne me piquait pas autant le nez.

— Allez, à genoux, sale petite pute ! m’ordonne-t-il après m’avoir pincé un téton.

Je m’exécute et lui palpe l’entrejambe. La bosse a l’air d’être assez impressionnante. Je libère la chose et découvre un monstre d’une taille assez saisissante. Oh, mon Dieu, mais il n’y a pas que le bide que cet homme a d’énorme !
Un mélange d’odeur d’urine et de transpiration m’envahit le nez, et c’est presque avec dégoût que je lui gobe le gland.

— Ouais, vas-y pouffiasse, m’encourage-t-il. Bouffe-moi la bite.

Je lèche sa bite du mieux que je peux. Je n’ai pas l’habitude d’en avoir d’aussi grosses dans la bouche. Le goût est à l’image de son odeur : pas agréable du tout. Finalement, je finis par m’y habituer et presque apprécier. Je me sens sale et ça m’excite.
J’engloutis son membre visqueux le plus possible et le pompe avec le plus grand savoir-faire. Ma tête rebondit à chaque va-et-vient sur son ventre tombant. Le prof apprécie. Il me traite de tous les noms et m’encourage à lui avaler encore plus la bite. J’essaie de lui obéir et enfonce son mandrin le plus loin possible dans ma gorge tout en lui massant ses grosses couilles velues et pendantes. Je finis par me surpasser ; il me dit qu’il est fier de moi. Moi aussi je suis fière de moi ! Je n’avais jamais pris un si gros membre dans la bouche. Je suis de plus en plus excitée par la situation. Je me suis donnée à un prof dégueulasse, et pourtant je sens ma chatte dégouliner. Je bave abondamment, ça coule sur mes seins.

Soudain, sans prévenir, M. Gluau explose dans ma bouche. Il libère une quantité incroyable de sperme. Si le premier des cinq gars que j’ai sucé lors de la première épreuve m’avait déjà étonnée, ce n’était rien par rapport à ça. Il y en a tellement que je suis prise de nausées en tentant de l’avaler ; je tousse et en recrache une bonne partie sur mes seins.

— Eh ben, on dirait qu’t’as fait ça toute ta vie…

Je lui souris ; il me dit de m’allonger sur le bureau et d’écarter les cuisses. J’enlève ma culotte, remonte ma jupe et lui obéis. Je me sers aussi de ma culotte pour récolter le mélange de sperme et de bave étalé sur mes seins. Je viens ainsi de récolter la preuve de ma réussite de l’épreuve.
Il s’installe dans son siège et m’observe la chatte. Un de ses gros doigts s’enfonce dedans.

— Et ben, ma salope, on dirait que ça t’a bien plu de m’pomper. T’es trempée ! Tu vas voir, je vais te bouffer la chatte.

Je sens alors ses épaisses lèvres plonger sur ma vulve. Une grosse langue baveuse s’insinue et commence à me laper l’intérieur. Il me fouille ainsi la chatte. Sa langue plonge profondément. Elle est bientôt rejointe par deux doigts boudinés. Il n’oublie pas de s’occuper aussi de mon clitoris. Quant à moi, je ne peux m’empêcher de gémir de plus en plus fort. J’ignorais qu’il pouvait être si doué. C’est un vrai bonheur. Il est laid, affreusement laid même, mais il sait comment lécher une femme.
Soudain, il me soulève les cuisses et sa langue commence à me lécher la rosette. Je la sens rapidement pénétrer mon cul.

— Non, pas par là, protesté-je.
— Ta gueule, sale pute ! C’est pas tous les jours qu’une salope vient s’occuper du père Gluau, alors laisse-moi en profiter.

Je n’ose pas protester plus. Cet homme me domine complètement. Alors il continue ainsi de longues minutes ; d’une main il me maintient les jambes en l’air, de l’autre il me fouille alternativement la chatte et le cul. Sa langue fait de même et se régale de mes deux orifices. Je commence à apprécier de la sentir fouiller mon cul, si bien qu’un orgasme foudroyant finit par m’atteindre.

J’ai à peine le temps de reprendre mon souffle qu’il s’est levé et qu’il me pénètre la chatte. Il s’engouffre facilement et commence un violent va-et-vient qui me fait bruyamment gémir. Il me malmène, me traite de tous les noms mais j’aime ça. J’aime qu’il me parle ainsi pendant que sa monstrueuse bite me défonce la chatte. Pendant ce temps-là, il a replongé trois de ses doigts boudinés à l’intérieur de mon cul et me sodomise avec.
Il me retourne, m’écrase la poitrine sur le bureau et continue son manège avec une sauvagerie sans égale. Je suis sa chose, je lui suis complètement soumise et je ne retiens pas ma joie. Et dire que je pensais avoir besoin de simuler le plaisir avec lui ; si j’avais su… J’aime me faire défoncer par ce type !

Puis finalement, après une éprouvante série de violents coups de reins, je jouis une seconde fois. Lui fait de même et lâche la purée dans ma chatte.
Je finis par descendre du bureau, m’essuie le sperme qui coule le long de mes jambes avec la culotte et la lui tends.

— Il faudra que vous remettiez ça à Sarah de Montferrat.
— Compte sur moi.

Puis je me rhabille dans le silence, prends mon sac et me dirige vers la sortie. Il est bientôt l’heure de la reprise des cours. On a donc baisé presque une heure. Je n’ai rien vu passer !

— On devrait te couronner reine des salopes, me lâche-t-il alors que je m’apprête à franchir la porte.

Je souris, me retourne et lui réponds :

— Non, pas reine : présidente m’ira très bien !

Auteur : Nathan Kari

Lisez la suite

4 commentaires:

  1. vivement le 15, une fois qu'on y a gouté, on ne peut plus s'en passer ....

    RépondreSupprimer
  2. C'est compréhensible ! C'est tellement bien écrit, c'est surprenant , je m'attendais pas à ce changement de point de vue ! Et tous les personnages sont vraiment travaillés , plus des intrigues qui se mettent en place tout doucement ( Comme avec Louise ! ), c'est vraiment une réussite, Bravo !

    RépondreSupprimer
  3. Chaud devant et en plus language impec. Ns sommes le 24 sept 2015 et où se trouve la suite?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour,
      l'ensemble des chapitres de la série sera plus facilement accessible ici : http://cafeaphrodite.blogspot.fr/p/histoires-de-nathan-kari.html

      je vais par ailleurs corriger l'oubli qui laisse croire que la suite n'a pas été publiée
      merci

      Supprimer