[Après les cours, Jessica, 17 ans, rentre chez elle, accompagnée de Nicolas, son petit ami]
— Ça me stresse un peu que tu veuilles me présenter ton père, lança Nicolas.
— T’inquiète pas, ça va bien se passer, le rassurai-je.
— Comment tu peux savoir ? Je suis le premier que tu lui présentes.
— Parce que je le connais.
— D’accord ; parle-moi de lui.
— Très bien, commençai-je ; mon père
a 34 ans. Il est éducateur spécialisé. Son sport favori, c’est l’Aïkido
; il est champion régional. Sa couleur préférée c’est bleu, comme mes
yeux. Son animal préféré, c’est le loup. Il rêve d’aller vivre en
Australie et il aimerait fêter ses 40 ans sur un bateau de croisière.
— Tu sais tout ça sur ton père ? demanda Nicolas, surpris.
— Bien sûr, et je sais pleins d’autres trucs aussi, lançai-je, ravie de pouvoir parler de mon père.
Par exemple, il aime son café bien noir et sans sucre. Son repas
préféré c’est la nourriture asiatique. Il préfère regarder les matchs de
rugby aux matchs de foot. Mon père
ne montre jamais quand il est triste ou contrarié. Il déteste la
violence. Et il est prêt à tout pour protéger les personnes qui lui sont
chères. Mon père ne s’en rend pas toujours compte, mais il fait montre de grandes preuves d’amour au quotidien.
— Tu tiens vraiment à lui.
— Plus que tout au monde.
— Et moi, tu m’aimes ? demanda-t-il.
— Je l’aime plus que toi, répondis-je franchement. C’est trop tôt pour que je sois amoureuse de toi.
Nous
entrâmes chez moi. Nicolas s’assit sur le canapé tandis que je lui
apportais un verre de jus de fruits. Il fit des compliments sur la
maison et la décoration.
— C’est ton père ? demanda-t-il alors que je m’asseyais à côté de lui.
Nicolas me montrait un cadre photo posé sur la bibliothèque.
— Oui, c’est lui, souris-je.
— Tu lui ressembles pas du tout, déclara-t-il ; à part la bouche, peut-être.
— Je sais.
Je
n’arrivais pas à quitter la photo des yeux. Nicolas glissa sa main dans
la mienne. Je tournai la tête vers lui et il m’embrassa. Mon petit ami
fermait toujours les yeux quand il m’embrassait. Mes lèvres suivaient le
rythme des siennes. Sa langue s’inséra doucement dans ma bouche. Nos
langues s’emmêlaient, se caressaient, se titillaient, se tétaient.
J’adorais les sensations que cela faisait monter en moi.
— Tu penses qu’on fera l’amour ensemble un jour ? demanda-t-il après plusieurs minutes.
— Si un jour on se marie, oui, répondis-je.
Je décidai de me servir des conseils de mon père pour lui répondre. Et le mariage était la meilleure excuse à un « non ».
— Pourquoi attendre de te marier pour faire l’amour ?
— Pour être sûre de faire l’amour avec quelqu’un qui m’aime vraiment.
— C’est n’importe quoi ! Plus personne n’attend le mariage pour le faire. À 17 ans, tout le monde l’a déjà fait.
—
Peut-être ; mais moi, je suis Jessica. Je ne m’appelle pas tout le
monde et j’ai encore toute la vie devant moi pour faire l’amour.
— T’as jamais eu envie d’essayer ?
— Non, mentis-je. Tu avais quel âge quand tu l’as fait ?
— J’avais 13 ans et la fille avait 17 ans. Elle était canon comme toi, sauf qu’elle était brune.
— Pourquoi tu l’as fait si tôt ?
—
Les parents d’un cousin avaient beaucoup de films de cul. On les
regardait ensemble dès que ses parents n’étaient pas là. Et on avait
envie d’essayer. Sa sœur était copine avec la fille. Quand elle nous l’a
présentée, on est tous les deux tombés amoureux d’elle. Mais on était
trop timides pour lui demander de sortir avec nous. Je fus le premier à
dire à ma cousine que je voulais sortir avec elle et à lui demander de
m’arranger un coup. Mon cousin a demandé pareil à sa sœur. Alors, elle
lui a parlé de nous deux. La fille nous a donné un rendez-vous, à mon
cousin et à moi. On a commencé à sortir avec elle ensemble.
— Comment vous faisiez ? demandai-je, curieuse.
— On l’embrassait chacun notre tour. Et elle nous laissait la caresser partout.
— Elle avait déjà fait l’amour ?
— Oui. Et on lui a demandé si elle voulait le faire avec nous deux ensemble aussi et elle a dit oui.
J’étais super surprise par son histoire.
— Ça t’a pas gêné de le faire avec ton cousin à côté ?
— Non, on se branlait déjà ensemble devant des films de cul.
— Ben ne me demande jamais de faire un truc pareil ! fis-je, choquée.
Il se mit à rire.
— Ça m’a donné super envie en te parlant de ça, annonça-t-il.
J’étais
gênée par cet aveu, mais j’étais aussi intriguée. C’était l’occasion
pour moi d’en découvrir un peu plus sur le corps de mon père, par son intermédiaire.
— Comment tu sais que tu as envie de faire l’amour ? demandai-je.
Nicolas
me sourit, apparemment content que je lui pose la question. Il se mit
en arrière et me montra une grosse bosse sous son pantalon.
— Je bande quand j’ai envie, répondit-il. J’ai une érection, si tu préfères.
— C’est ça ? demandai-je.
Il hocha la tête en souriant. J’avais entendu mes copines en parler, mais je n’en avais encore jamais vue.
J’approchai
timidement la main de cette grosse bosse. Je la caressai sur toute sa
longueur par-dessus le tissu. Je la pris entre mes doigts pour en juger
la taille. Cela me rappela le jour où j’avais serré mon père
fortement contre moi. J’avais senti une grosse bosse très dure entre
nous, contre mon ventre. Cela avait été rapide, car il s’était
brusquement détaché de moi.
— Ça doit faire mal…
— Non. Tu veux que je te montre ?
— Euh… oui, mais je veux voir quelque chose d’abord.
Nicolas me regarda, surpris.
Je lui demandai de se mettre debout. Je le serrai aussi fort que j’avais serré mon père contre moi. Bien que Nicolas mesure une dizaine de centimètres de plus que lui, je reconnus la même rigidité contre moi : mon père me désirait autant que moi. Cette découverte me rendit heureuse. Je me détachai de Nicolas en souriant.
— C’est bon, tu peux me montrer, déclarai-je. Je voulais juste savoir ce que ça fait.
— Ça t’a plu ? demanda-t-il en ouvrant son jean.
— Oui, dis-je en le regardant s’asseoir à mes côtés.
Nicolas sortit son sexe de son boxer bariolé. J’étais surprise par la taille imposante.
— Je comprends pourquoi mes copines m’ont dit que ça fait mal la première fois, dis-je, sous le choc.
Nicolas se mit à rire et commença à se caresser. J’observais attentivement sa main faire des allers-retours sur son membre.
— Est-ce que tous les mecs ont le même sexe ? demandai-je.
—
Non, le gland n’a pas toujours la même forme, dit-il en me montrant la
partie concernée. Y en a qui ont plus de veines qui sortent. Y en a qui
ont la queue tordue vers la gauche ou la droite. Y en a qui l’ont grosse
et courte ou fine et longue. Y en a qui l’ont carrément grosse et
grande.
— Et mon père, tu penses qu’il l’a comment ?
Nicolas fut surpris par ma question.
— Je sais pas. Mais comme il est plus vieux que moi, je dirai que sa queue doit être un peu plus grosse et sûrement plus longue.
J’étais un peu inquiète de la taille que cela représentait.
— Tu dois trouver mes questions stupides.
— Non, c’est cool, sourit-il. Tu veux toucher ?
Nicolas plaça sa main à la base de son sexe. Voir celui-ci dressé entre ses doigts m’excitait, mais je voulais que celui de mon père soit le premier que je toucherais.
— Non, merci. Continue : j’adore regarder, l’encourageai-je. C’est mieux qu’en cours d’éducation sexuelle.
Il
me sourit et sa main fit des va-et-vient plus rapides. Si rapides que
je ne voyais presque plus son sexe, ce qui me déçut. Mais lui, il
rougissait de plus en plus.
Je l’entendais respirer de plus en plus fort. Ça m’excitait de le voir prendre du plaisir.
— Tu aimes ? demandai-je bêtement.
— C’est super bon, mais c’est mieux quand c’est une fille qui le fait.
— Et est-ce que comme pour moi, il arrive un moment où c’est meilleur que tout ?
— Oui ; je vais te faire un super feu d’artifice !
Nicolas mit sa deuxième main sur ses testicules et commença à les masser entre ses doigts. Il ralentit ses va-et-vient.
— Regarde, je mouille, dit-il en me montra son gland.
Il passa un doigt dessus pour que je voie bien la goutte qui perlait sur son œil.
— C’est normal ?
—
Oui, bien sûr, sourit-il. Regarde, je passe bien ma main sur mon gland
pour étaler ma mouille sur mes doigts. Après, je recommence à branler…
comme ça. Tu vois ? Et ça glisse mieux.
— C’est meilleur, lançai-je en souriant.
— Tu sais de quoi tu parles, remarqua-t-il. Tu te caresses souvent ?
— Presque tous les jours, avouai-je.
— Tu veux que je te le fasse ?
— Non, j’ai pas envie, dis-je brusquement.
— Dommage, j’adore faire jouir les filles.
Je
reportai mon attention sur son sexe qu’il branlait toujours. Il
mouillait régulièrement dans sa main. Ça me donnait très envie de me
caresser en même temps. Je me sentais mouiller moi aussi.
— Tu penses que tous les mecs se branlent ? demandai-je.
— Bien sûr, sourit-il. Hier soir, mes vieux se sont engueulés parce que ma mère a surpris mon père en train de se branler devant un porno.
J’aurai donné n’importe quoi pour surprendre mon père
en train de se donner du plaisir. Je l’aurais épié et je me serais
caressée en même temps. Ça serait mieux encore s’il me surprenait et
que, tout excité, il se caresse devant moi. Cette idée me fit baver
involontairement. Je m’en léchai les lèvres.
— J’adore quand tu regardes ma queue comme ça, lança soudainement Nicolas.
Je le regardai, surprise.
— Ne soit pas gênée, dit-il en souriant. Tu veux l’embrasser ?
Je fus encore plus surprise.
— Tu peux lui faire juste un petit bisou sur la tête, proposa-t-il en parlant de son gland.
Le voir briller de mouille ne me donnait vraiment pas envie de l’embrasser.
— Non, merci.
— Dommage ; j’adore ça, déclara-t-il. J’aurais joui plus vite.
Je fis non de la tête. Il haussa les épaules et continua en me regardant.
Après plusieurs minutes, je commençais à m’ennuyer. Je jetai discrètement un coup d’œil à ma montre.
— Il met longtemps à venir, ton feu d’artifice… Mon père va quitter son boulot dans 5 minutes.
— T’as pas un film de cul ? demanda-t-il.
— Non.
— Ton père en a sûrement dans sa chambre.
— Je sais pas, j’ai jamais fouillé. Bon, allez ! Dépêche-toi ! ordonnai-je.
— T’es drôle, toi ! Ça vient pas comme ça !
— Quoi ? Moi, j’aurais déjà fini depuis longtemps.
— Ah ouais ? Ben vas-y, commence ; on fait un concours.
— J’ai pas envie de faire ça devant toi !
— Montre-moi tes seins : ça va m’exciter, dit-il après un court silence.
—
D’accord, mais cinq minutes, pas plus, acceptai-je. Si après t’as pas
fini, tant pis pour toi. Tu seras obligé d’arrêter. Je voudrais pas voir
mon père te surprendre. Sinon, il va te tuer, c’est sûr.
— OK : cinq minutes.
J’ouvris
les boutons de ma tunique et mon soutien-gorge en dentelle noire. Le
nœud bleu turquoise cachait une accroche située devant. J’avais trouvé
ça super sexy.
— Héééééééé ! Trop bien, ton soutif ! s’exclama
Nicolas en me regardant faire. Putain ! T’as la plus belle paire de
seins que j’ai jamais vue !
Je fus surprise par son compliment. Nicolas les regardait comme s’il venait de découvrir un trésor. Les yeux de mon père les avait fixés quelques instants eux aussi, ce matin.
Soudain, je me rappelai son texto : « Je t’ai trouvé très jolie… ». Je souris de plaisir.
— Caresse-les ! ordonna Nicolas.
Je
pris mes seins à pleines mains et commençai à les caresser et les
masser comme j’adorais. Je les pressais l’un contre l’autre. J’en
caresserais délicatement les tétons qui se dressèrent très vite. Mes
yeux furent attirés par la photo de mon père,
dans la bibliothèque. Son sourire m’encouragea à m’appliquer davantage.
Je me caressais les seins avec plus de douceur et de sensualité. Mes
soupirs de plaisir m’excitaient. Je faisais des ronds avec mes seins en
les massant. Je caressais mes tétons en les faisant rouler entre mes
doigts.
— Oh oui, vas-y, tu m’excites ! lança Nicolas.
Je ne le voyais plus. Il n’y avait plus que mon père
et moi. Je me caressais pour lui. Je pris mes seins en coupe et les
portai à mes lèvres. Je léchai et tétai mes tétons. Je trouvais cela
très agréable et super excitant.
— Oh… Là, tu vas l’avoir, ton feu d’artifice ! s’exclama Nicolas.
Il se plaça devant moi, me cachant mon père. J’en relevai les yeux de surprise.
Soudain,
je vis des grands jets de liquide blanc sortir de son gland. Ils
zébrèrent mes seins que je tenais toujours en coupe. Nicolas avait le
visage rougi et crispé. Aucun son ne sortait de sa bouche. Je me
demandai même s’il respirait. Lorsque mon petit ami eut fini de jouir,
il ouvrit les yeux et me sourit.
— C’était super ! lança-t-il en se rhabillant.
Je ne savais comment réagir devant ce sperme qui tapissait mes seins.
Soudain, je reconnus le bruit du moteur de la voiture qui se garait devant la maison.
— Merde, c’est mon père ! m’écriai-je.
Je me rhabillai en hâte. Nicolas passa ses mains dans mes cheveux pour les arranger.
— C’est bon : tu es parfaite, dit-il en embrassant mes lèvres.
— On s’embrasse pas devant mon père, le mis-je en garde.
Je le vis hocher la tête et je partis à sa rencontre ; il m’accueillit avec un baiser sur le front.
— Toi, tu sors du frigo, lança-t-il. Tu as du lait ici.
Il me souriait en me montrant mon décolleté d’un signe de tête.
— Oh ! Désolée ! m’excusai-je en me rendant dans la cuisine pour me nettoyer.
—
T’excuses pas ; je sais très bien que tu bois toujours un grand verre
de lait frais avec un sandwich de Nutella quand tu rentres des cours.
Je
pouvais entendre un sourire dans sa voix si douce. J’avais beaucoup
aimé me caresser les seins devant sa photo. C’était une première pour
moi. Mais j’en voulais à mon petit ami d’avoir joui sur moi.
Heureusement que mon père ne s’était douté de rien.
— Bonjour, je suis Nicolas, se présenta celui-ci.
— Bonjour ; Adam.
Je les vis se jauger l’un l’autre. Nicolas baissa la tête, ne sachant pas quoi dire. Mon père l’invita au salon. Je lui apportai une bière bien fraîche.
— Merci, ma chérie, sourit-il.
Mon petit ami parut surpris. Mon père
entama la conversation. Je m’assis à ses côtés et les écoutai. Il
s’intéressait à ses loisirs et ses ambitions. Voyant qu’ils n’allaient
pas s’entre-tuer, je décidai de les laisser pour préparer le dîner.
Nicolas s’apprêtait à partir lorsque mon père le menaça :
— J’espère pour toi que tu n’as pas l’intention de faire souffrir ma fille. Si je la vois pleurer, tu auras à faire à moi.
— Euh… oui, m'sieur, déglutit-il en baissant les yeux.
J’allais dire au-revoir à mon petit ami sur le pas de la porte, mais mon père me proposa de l’accompagner jusqu’à notre portillon.
—
Ça m’fait drôle de vous voir si proches tous les deux… Je ne sais
pratiquement rien sur vous ; c’est comme si on vivait dans deux mondes
différents, lança-t-il. À lundi.
Il tenta de m’embrasser sur les lèvres ; j’esquivai de justesse et lui tendis la joue.
— Tu es fou ! Mon père pourrait nous voir.
— Et alors ? Il est au courant qu’on sort ensemble.
— J’aime pas, c’est tout ! dis-je en haussant les épaules. À lundi.
Je me retournai pour rentrer chez moi. Je croisai le regard de mon père
derrière la fenêtre de la cuisine. Je me sentis fière de ne pas avoir
embrassé mon petit ami. Je le laissais pour rejoindre celui que j’aimais
plus que tout.
Auteure : Feeling
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