vendredi 17 avril 2015

Une épouse presque fidèle (5)

Relisez le chapitre 4

FEELING

J’écarte la couette pour me glisser vers sa verge, que je découvre enfin : totalement épilée, et circoncise. Exactement comme je les aime ! Sans la toucher de mes mains, je la lèche doucement sur toute sa longueur. Lioubov attrape son iPhone et commence à filmer.
« Le coquin, il sait que j’aime ça ! Il veut voir une chienne ? Il va être servi ! Son pied, moi, je vais le lui faire prendre comme personne n’a jamais osé ! »

Sa verge vibre sous les caresses de ma langue. J’aspire délicatement son gland entre mes lèvres et commence à le tétouiller, tandis que la pointe de ma langue taquine son frein. Je suis excitée par le désir brûlant qui envahit ses yeux qui m’observent.

J’absorbe lentement sa verge dans les profondeurs de ma bouche, puis je me concentre uniquement sur son gland, que je suce puissamment. Ensuite, je la fais pénétrer entièrement le plus loin possible, tout au fond ma bouche. Je l’entends gémir : il aime ça ! Je continue ce traitement pendant quelques secondes en alternant avec des caresses de la main, le pouce courtisant son frein. Je peux ainsi en profiter pour guetter sur son visage la progression de son plaisir.
Je la lèche son membre engorgé sur toute sa longueur. Il est délicieux... Je pourrais le sucer pendant des heures. Mais Lioubov apprécie un plaisir bien différent de celui que peut fournir une simple fellation : un plaisir que je n’ai encore jamais donné de ma vie, et que j’ai très envie de lui offrir.

Je lèche et suce son gland en veillant à y déposer une grande quantité de salive. Je lèche l’orifice de son urètre, qui s’ouvre sous la pointe de ma langue. Je le titille de l’intérieur. J’aimerais pouvoir rendre ma langue encore plus fine pour le pénétrer profondément. Je mouille mon auriculaire et le caresse avec ce doigt ; je suis surprise par son urètre aussi dilaté. J’y insère lentement mon doigt jusqu’à la première phalange. C’est vraiment très serré, doux et brûlant. Je m’amuse à le ressortir et le réinsérer doucement plusieurs fois. Lioubov pousse des gémissements. Je lui souris, ravie de découvrir cette nouveauté et de lui donner ce plaisir. Mais j’ai peur de le griffer avec mon ongle.

— Tu m’arrêtes si je te fais mal…
— Non : continue ; plus loin ! Continue : c’est bon… Force ! N’aie pas peur.

Je maintiens fermement sa verge dans ma main gauche et j’appuie. Le pauvre gland se déforme sous mes yeux. Lioubov me conseille de mettre plus de salive ; je fais alors couler un filet de bave dans son urètre et réinsère doucement mon doigt après l’avoir lubrifié. La première phalange y pénètre facilement, sans rencontrer de résistance.

— Vas-y, n’aie pas peur : je n’ai pas mal.

Je serre encore plus fort sa verge dans ma main afin que son gland ne glisse pas entre mes doigts. Le pauvre devient rouge foncé. Mon auriculaire est comprimé dans son urètre où je sens de petites aspérités, comme le point G d’une femme.

— Oh, oui, c’est bon… Ah, oui !

Je réussis à enfoncer deux phalanges, mais ne force pas plus, de peur de me casser le doigt. Je décide de le caresser de l’intérieur pour détendre sa chair. La douceur est vraiment très agréable, bien que mon doigt commence à s’engourdir. Je titille les petites aspérités. Je m’aperçois que mon auriculaire déforme sa verge, faisant apparaître une bosse qui en définit les contours. Je branle sa queue de l’extérieur. C’est une bien étrange sensation que je découvre : celle de pouvoir le caresser de l’intérieur et de l’extérieur simultanément. Je sens mon autre main sur mon auriculaire ; je comprends que la paroi est tendre, et pas aussi épaisse qu’elle ne paraît.

J’ai envie d’enfoncer encore plus loin mon doigt pour continuer l’exploration de son urètre. Je serre de nouveau sa verge dans ma main gauche et décris un mouvement de rotation avec mon auriculaire dans le but de l’enfoncer plus profondément. Lioubov gémit plus fort encore. Je souris en découvrant que je lui donne involontairement encore plus de plaisir. Je sens bien les aspérités sous mon doigt ; j’avais bien deviné qu’il s’agissait d’une sorte de point G.

Toutefois, il m’avait dit auparavant éprouver du plaisir à un niveau encore plus profond. L’idée de sortir les instruments que j’ai apportés pour expérimenter cette exploration perverse s’impose à moi : il s’agit d’une aiguille à tricoter et d’un crochet. J’avais pensé insérer d’abord ce dernier en le faisant lentement coulisser dans son urètre, dans un mouvement de va-et-vient. J’aurais ainsi eu le plaisir de pénétrer un homme sans avoir à toucher son petit trou. Je souhaitais faire la même chose avec l’aiguille, mais plus profondément encore.
Je retire lentement de son sexe mon doigt engourdi pour le lui proposer, mais il m’interrompt avant même que j’aie pu prononcer la moindre parole.

— Ta bouche, maintenant ! réclame-t-il.

Sans hésitation, mes lèvres fondent sur son gland que j’aspire très fort tout en le branlant.

Puis j’alterne en absorbant vivement sa verge toute entière au plus profond de ma bouche. Ce faisant, ma langue compresse son frein à chaque passage. Ses gémissements, de plus en plus audibles, témoignent de son plaisir. J’adore cela : on ne me résiste pas !

— Aspire-moi le gland…

Je le prends entre mes lèvres. Je le tète, le suce et le mordille doucement en regardant Lioubov qui filme toujours. Il est visiblement très intéressé par le spectacle que je lui offre. Je m’applique de plus belle… Aspirant fortement son gros gland, mes lèvres se referment juste derrière la couronne tandis que la pointe de ma langue fait des va-et-vient sur son frein.

— Ah, comme c’est bon…

Je continue ainsi en regardant le plaisir inonder ses yeux.

— On mettra la vidéo sur Internet ?
— Ah non !
— Ah ah ah ! Je te remets le bandeau, si tu veux.

Je recommence à absorber entièrement sa verge en aspirant fortement son gland comme je le faisais précédemment. J’alterne avec des aspirations moins longues et moins fortes.

— Tu sais, ce n’est pas la peine d’aller aussi vite : vas-y doucement ; j’aime bien, aussi.

Sa verge est si délicieuse que je ne m’étais pas rendu compte que j’étais en train de la lui dévorer ! Ma gourmandise me fait sourire. J’adoucis la pression de ma langue et de mes mouvements.

— Oui… Oui ! Humm… Humm… Oui ! Oui !

L’extase se lit sur son visage ; son orgasme est très proche. Sa verge est bien raide entre mes doigts et prête à exploser ; mais je ne veux pas qu’il jouisse tant que je ne l’aurai pas décidé.

Je m’amuse à absorber vivement et entièrement par à-coups ce membre gonflé qui tressaute entre mes lèvres. J’alterne en léchant son gland tout en le branlant. Je lui souris en surveillant sa jouissance sur ses traits fins et délicats. Je m’apprête à comprimer sa verge turgescente juste avant le point de non-retour, pour l’empêcher de cracher sa semence : ainsi, un violent orgasme s’emparera de lui sans qu’il ait éjaculé. Je pourrai lui donner ce plaisir plusieurs fois, jusqu’à ce que je désire qu’il me donne enfin son sperme.

Il commence à haleter fortement : sa jouissance est proche. Je serre fortement sa verge dans ma main. Elle glisse lentement entre mes doigts. Je surveille attentivement son gland brillant de salive tandis que mon pouce décrit des mouvements rotatifs sur son frein.

La pression redescend lentement, comme ses halètements. Je le reprends doucement en bouche pour lécher et sucer son gland. Je resserre mes lèvres derrière sa couronne pour l’aspirer fortement. Lioubov pousse désormais des gémissements incontrôlés.

— Oh… Oh… Oh !

Je branle tout en douceur cette délicieuse verge lubrifiée de salive. Je sens qu’elle va exploser entre mes doigts. Je la comprime de nouveau avant qu’il n’atteigne le point de non-retour. Trop tard ! Du sperme s’écoule de son gland. Je continue de le caresser, tout en faisant des mouvements circulaires avec mon pouce sur son frein. Lioubov pousse des hurlements de plaisir ! L’idée qu’on pourrait l’entendre et tenter de le sauver d’une pseudo-agression me fait sourire. Je continue de caresser son frein et sa verge, comme il m’avait dit aimer. J’observe son sperme qui s’écoule en se mélangeant à ma salive.

Sa verge brillante glisse entre mes doigts. Un désir m’envahit soudain ; je m’autorise une dernière gourmandise : celle de lécher délicatement ses bourses de la pointe de ma langue tout en le branlant. Il se met à hurler encore plus fort ! Je m’aperçois alors que j’ai du sperme qui coule le long de l’arête de mon nez. 

Je reviens m’allonger sous la couette aux côtés de Lioubov, fière de moi, espérant lui avoir laissé un souvenir inoubliable. Il m’invite dans ses bras où je me blottis tendrement. Nous échangeons de longs et langoureux baisers.


LIOUBOV

Pendant que nous échangeons des masses de tendresse et de baisers émoustillants, je réalise que Feeling n’a pas encore eu sa dose de plaisir. Ma main, qui était jusque là dans son dos, au creux de ses reins, se déplace pour venir caresser une de ses cuisses, d’abord à l’extérieur, puis à l’intérieur. Progressant vers le haut, elle se retrouve à leur jointure où elle découvre le bourrelet de ses lèvres intimes qui dépasse largement de sa vulve.

Mes doigts effleurent longuement cette protubérance et, lorsque j’appuie un peu, je sens ses lèvres s’écarter pour me donner accès à un cloaque inondé et brûlant. Mon index glisse doucement dans cette fissure, provoquant d’obscènes clapotis.

Sèchement, ma main vient s’abattre sur cette vulve épanouie. Une claque, pas trop brutale quand même. Feeling gémit… De douleur, ou de plaisir ? Je suis immédiatement rassuré lorsque je l’entends geindre faiblement « Oui… » Encore quelques légères caresses entrecoupées de claques qui atteignent son sexe selon un rythme imprévisible et qui la font sursauter chaque fois que ma main s’abat. Sa corolle est à présent totalement ouverte ; j’ai envie de goûter ses pétales et son pistil…
Je demande à Feeling de s’allonger sur le lit ; quant à moi, je m’agenouille sur la moquette pour être à la bonne hauteur. Une idée perverse me vient.

— Mets-toi à plat-ventre, plutôt.

Feeling s’exécute ; de ce fait, elle me présente son beau petit cul. Il attire irrésistiblement ma langue, que je passe dans sa raie à plusieurs reprises. Je m’attarde tout en bas, là où je sais trouver son petit trou… Ma langue passe et repasse pour lubrifier son œillet puis, se faisant dure et pointue, elle vient en taquiner l’entrée, la pénétrant sur quelques centimètres. Les réactions de la belle enfant m’indiquent qu’elle apprécie ce traitement ! La pointe de ma langue effectue quelques va-et-vient, puis elle est remplacée par un doigt inquisiteur qui pénètre facilement son orifice secret qui se dilate ; bien qu’il soit serré, son anus semble cependant très souple. Mon doigt progresse à l’intérieur de la cavité en caressant ses parois. Mon pouce, une fois introduit dans son vagin, me permet de pincer délicatement l’intérieur du corps de Feeling, mes doigts n’étant séparés que par les fines parois de ses fourreaux intimes. Mais, plus que son cul, c’est sa chatte qui m’attire irrésistiblement : je veux encore me régaler de ses lèvres phénoménales ! Je les désire à l’intérieur de ma bouche... Je l’invite à se retourner.

À nouveau sur le dos, Feeling ouvre ses cuisses pour me faciliter l’accès à son trésor. Sa corolle épanouie scintille d’envie.

Ma bouche se pose avec délicatesse sur sa crevasse béante pour en absorber les fluides épicés. Je la bois littéralement : sa vulve est une coupe pleine de nectar… Comme elle est bonne ! Quel délice !

Comme tout à l’heure, je lui procure les caresses les plus subtiles avec mes lèvres ; mais cette fois-ci, j’insère l’extrémité de mon index à l’entrée de son vagin et, tout en la léchant, je la caresse légèrement avec mon doigt. Lorsque je place ma bouche au sommet de sa vulve pour aspirer et taquiner ses lèvres en même temps que son clitoris, mon doigt accélère son rythme à l’entrée de son vagin, mais sans le pénétrer plus profondément.

Je sens la respiration de Feeling devenir de plus en plus rapide ; son corps se tend et son bassin se soulève pour venir à la rencontre de cette bouche et de ce doigt qui l’amènent doucement, mais sûrement, au plaisir. Ses gémissements viennent me confirmer qu’elle jouit ; ma bouche se remplit d’un flot de nectar intime que j’avale avec délectation… J’enfonce mon index le plus loin possible à l’intérieur de son vagin et je l’agite dans tous les sens jusqu’à ce que les soupirs de la belle enfant remplacent ses gémissements. Elle a eu un orgasme, mais assez discret. Et moi qui croyais qu’elle criait aussi fort que moi… Peut-être m’y suis-je mal pris ?


FEELING

Les mains de Lioubov caressent lentement mes fesses, mes cuisses et mon entrejambe tandis que nous nous embrassons langoureusement. Ses doigts habiles glissent sur mon clito et mon intimité qui s’ouvre de désir. Le plaisir m’embrase de sa douce chaleur. Mon clito érigé frémit sous ses tendres caresses. Un clapotement indécent envahit l’habitacle. Je soupire faiblement entre les lèvres délicates de Lioubov qui m’embrasse passionnément.

Sa main claque brutalement mon clito, m’arrachant un petit cri de douleur ; puis ses tendres caresses reprennent. Cette punition, qui se répète plusieurs fois, m’entraîne vers une sensation inconnue où le plaisir et la douleur s’enlacent tendrement.

Lioubov me demande de m’allonger sur le ventre. Ses mains douces et chaudes effleurent mes fesses. Sa langue vient caresser lentement ma raie, puis faire des cercles autour de mon petit trou. Je le sens se dilater doucement sous l’agréable caresse, puis s’ouvrir délicatement sur le passage de l’inquisitrice qui s’insère dans mes profondeurs secrètes, me faisant gémir de désir.

Un doigt vient prendre la relève ; il masse doucement mon anneau en partant lentement à l’exploration de mes parois qui s’élargissent graduellement sur son passage. Cette intrusion progressive me procure énormément de plaisir. Ces profonds mouvements de rotation me dilatent totalement. L’intensité de mes gémissements augmente... Le désir si puissant de sentir son sexe glisser dans le doux fourreau de mon rectum me porte vers une jouissance imminente. Son doigt se retire lentement ; je tends alors instinctivement mes fesses, prête à accueillir sa verge en moi.
Mais au lieu d’introduire son sexe dans mon anus palpitant, Lioubov pose ses mains sur mes hanches pour m’inviter à me retourner sur le dos ; sa langue vient alors lécher ma minette. Il aspire délicatement mes lèvres entre les siennes tout en suçant mon clito, puis il insère un doigt à l’entrée de mon vagin et entame de lents va-et-vient. D’indécents clapotis se font entendre, couvrant mes gémissements.

Les succions de Lioubov se font plus précises, comme les pénétrations de son doigt en moi. Je me sens inonder sa langue et sa main ; le plaisir m’envahit de sa douce chaleur. Inconsciemment, je retiens l’orgasme, souhaitant faire durer le plus longtemps possible les délicieuses caresses de sa langue. Comme il s’applique à me les prodiguer depuis plusieurs minutes déjà, j’imagine que sa langue si agile doit commencer à s’engourdir…

« Laisse-toi aller, suggère une petite voix dans ma tête. Tu sais qu’il t’aime… Jouis pour lui ! »

Mon corps s’enflamme et se tend vers sa bouche. J’ondule du bassin pour accompagner les caresses de son doigt fiché en moi, ces caresses qui s’intensifient et deviennent de plus en plus profondes ; elles m’arrachent des gémissements de plaisir. Je jouis dans la bouche de Lioubov, ma main dans ses longs cheveux argentés, et mes yeux dans les siens. Son regard me réchauffe par sa tendresse qui laisse présager un amour qui ne demande qu’à s’épanouir.

FIN ?

Auteurs : Feeling et Lioubov

Lisez la suite métaphorique de ce texte :
Une vie de loup

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