mercredi 9 septembre 2015

Charlotte et l’informaticien

Bonjour ! Je m’appelle Bruno. J’ai trente-deux ans, célibataire fêtard et queutard. État dont je me contente pour l’instant. Informaticien de formation, j’ai décidé de m’installer à mon compte pour effectuer de l’assistance à domicile. L’informatique aurait dû libérer l’homme (ou la femme), mais il n’en est rien : elle complique la vie de tout un chacun, et c’est grâce à ça que je peux vivre de ce qui est devenu ma passion. Les gens autour de moi font appel à moi dans de nombreuses circonstances car ils sont perdus.

Perdus devant leur écran parce qu’ils ont téléchargé un « pourriel » ou parce qu’un gamin, qui se croyait déjà maître de l’univers, leur a fichu un bordel pas possible dans leur ordinateur – la variante, c’est « l’ami informaticien ».

Perdus devant leur télé parce qu’ils voudraient effectuer un enregistrement et ne savent comment faire avec tous les branchements et… les télécommandes diverses et variées.
Perdus devant leur téléphone portable ou leur tablette à la recherche des bons paramètres qui leur permettraient de recevoir enfin leurs courriels.

C’est dans l’exercice de mon métier que j’ai l’occasion de rencontrer des « mal baisées » qui, dès que j’arrive chez elles, ne pensent qu’à se faire tirer. Il faut dire que, physiquement, sans me vanter, je ne suis pas trop mal ; je fais en sorte de m’entretenir en pratiquant beaucoup de sport. Je suis aussi d’une hygiène irréprochable, choisissant mes eaux de toilette avec raffinement. Je m’habille aussi avec goût pour accroître leur intérêt.

Sexuellement, je dois être un bon amant car elles en redemandent. J’ai appris à me maîtriser et à utiliser toutes les techniques qui leur permettent de jouir plusieurs fois lors de nos rencontres. Mon sexe est tout à fait normal, tout du moins je le pense car je ne me suis pas amusé à le mesurer, comme il est de bon ton de le signaler dans ce genre de récit. Comme le dit un adage : « Mieux vaut une petite travailleuse qu'une grosse fainéante »… Aucune d’entre elles ne s’est plainte jusqu’à présent. C’est fou ce que leurs ordinateurs peuvent tomber en panne ! Je rencontre des jeunes, des femmes de mon âge, des plus âgées, mais je suis très sélectif. Il faut quand même qu’elles soient belles. Désolé, mais je ne peux pas bander en présence d’un thon…

Quand j’ai du vague à l’âme, je peux faire appel à l’une d’entre elles pour une soirée « sexe », tout du moins celles qui m’ont déclaré qu’elles étaient souvent libres le soir, leurs maris étant souvent en déplacement.

Jusqu’au jour où j’ai rencontré Charlotte… il y a un peu plus de six mois. Je donnais des cours d’informatique dans une association quand, à la fin, elle est venue vers moi pour me poser quelques questions. J’ai remarqué tout de suite sa beauté et son élégance. Comme j’ai l’habitude de le faire, je regarde sa main gauche. C’est une femme mariée d’environ quarante ans. Comme je suis très sollicité par les personnes présentes, elle me demande si elle peut m’appeler pour une intervention de ma part. Je lui glisse ma carte de visite et je n’y pense plus.

Le soir même, mon portable sonne. C’est elle. Elle me demande si l’on peut convenir d’un rendez-vous pour résoudre un problème de performance de son ordinateur. Comme elle travaille dans la journée, elle aimerait que ce soit à partir de 19 heures.
Je lui indique que je peux passer le lendemain après mon dernier client, mais sans pouvoir lui garantir l’heure exacte. Ça peut être largement plus tard, mais c’est le seul moment disponible dans mon agenda avant deux semaines. Elle me répond que ça n’a aucune importance : son mari est en voyage, sa fille ce soir-là chez son copain, elle n’a pas de contraintes d’horaires.

Le lendemain je sonne chez elle, un pavillon de banlieue un peu isolé, sur le coup de 20 heures. D’emblée je la trouve fébrile lorsqu’elle m’ouvre la porte. Sa tenue est un rien provocante. Un débardeur trop petit d’une taille lui moule sa poitrine généreuse, révélant son nombril. Une mini-jupe « ras la moule » complète ce tableau. Elle est nu-pieds. Dans son regard je vois quelque chose d’indéfinissable, comme si elle attendait que je lui saute dessus.

Elle développe un tel érotisme que – je ne sais ce qui m’arrive alors car d’habitude je laisse jouer le rôle de la séduction à ma future partenaire – à peine entré, je la prends dans mes bras et, la plaquant contre le mur, je l’embrasse violemment sur la bouche en l’étreignant sauvagement.

Dans une frénésie incroyable, je lui ôte son débardeur pour dégager sa poitrine libre comme l’air, dégrafe sa jupe qui tombe à terre. Pas de culotte ; elle est nue. Elle, de son côté, répondant à mes ardeurs, déboucle la ceinture de mon pantalon qui va vite rejoindre sa jupe. Mon caleçon ne tarde pas à les rejoindre, libérant ma bite en pleine érection. Soulevant ses fesses, je la fais décoller du sol pour l’emmancher d’une seule poussée rectiligne jusqu’au tréfonds de son vagin. Je n’ai aucune difficulté, tant elle est trempée. Sous cet assaut, elle couine et s’agrippe à moi pour ne pas tomber. L’adossant au mur, j’entreprends un pilonnage en règle de sa matrice et la fais jouir une première fois. Cette position étant très inconfortable, je lui ordonne de se mettre à genoux sur le carrelage de l’entrée et, la reprenant en levrette, je continue mon entreprise de démolition pour bien labourer sa chatte. Ma main, glissée sous elle, lui branle le clitoris. Elle enchaîne les orgasmes en hurlant. Mon pouce introduit dans son cul écarte ses chairs pour préparer mon entrée, car j’ai la ferme intention de l’enculer. Je crache sur son anus, sors mon vit de sa moule pour l’introduire immédiatement dans son ampoule rectale. Ses deux sphincters compressent ma bite ; c’est trop pour moi, et en quelques secondes j’éjacule dans son fondement, m’écroulant sur elle.

Je me lève pour la dominer alors qu’elle est encore à terre.

— Eh bien, dis-moi, t’es une belle salope ! C’est pour baiser que tu m’as fait venir ? Je parie que ton ordinateur fonctionne à merveille.
— Oui, j’avais besoin qu’une queue me travaille ; et quand je t’ai vu l’autre jour à la réunion, j’ai pensé que ça pourrait être toi, et je ne me suis pas trompée : tu m’as baisée comme je voulais l’être, comme une chienne, sans me demander mon avis. J’avais mis la tenue pour ça, pour que tu comprennes bien.
— Attends, ce n’est pas fini : ça ne fait que commencer. Je me sens sale. Relève-toi et nettoie-moi !
— Hum, tu es autoritaire… Tu me fais faire des choses dégueulasses ; j’aime ça.

À ces mots elle se relève et, à genoux, entreprend le nettoyage de mes attributs. Elle englobe ma colonne de chair qui a pénétré en dernier lieu son trou du cul, lèche mes bourses puis, la tête retournée entre mes cuisses, vient titiller mon anus avec sa langue. Par moments elle me regarde, et je lui crache sur la figure en lui disant :

— Fais bien entrer la pointe dans mon petit trou : j’aime bien être sodomisé par la langue d’une cochonne comme toi.
— Hum, j’adore les culs parfumés comme le tien.
— Bon, ça suffit ! Montre-moi la salle de bain : on va continuer nos petits jeux là-bas. Ton mari ne risque pas de rentrer à la maison à l’improviste ?
— Non, il est à New-York pour une semaine ; je viens de l’avoir par Skype.
— Tes enfants ?
— Je n’ai qu’une fille, qui est chez son copain pour la nuit. Elle est majeure, elle a vingt ans.
— Elle aime le sexe ?
— Toi aussi tu es un petit cochon ! Après la mère, tu voudrais avoir la fille ? Oui, elle aime ça, mais il n’est pas question que tu te la tapes : je veux garder ton exclusivité.
— Qui t’a dit que c’est toi qui dictais mon comportement ? T’es une bonne grosse salope, et tu viens de me le montrer. Si tu veux qu’on continue, tu m’obéis. Si je baise ta fille, tu ne dis rien. Si je veux te donner à d’autres mecs ou filles, tu ne dis rien. Je me suis bien fait comprendre ?
— Oh oui, continue ! J’adore déjà le programme que tu me prépares. C’est oui, car tu m’as trop bien fait jouir, et je veux continuer à être dominée comme tu le fais.

Elle monte les escaliers devant moi pour m’amener à la salle de bain. J’ai son cul sublime à hauteur des yeux : pas un poil de cellulite. Pour une femme de son âge, c’est rare. Ça me fait à nouveau bander.

— Arrête-toi ! Agenouille-toi sur une marche ! Je veux encore te prendre par le cul.

Elle obéit immédiatement et je l’encule brutalement, sans ménagement. Je lui fais mal, je le sens, mais je veux lui montrer que désormais c’est moi le maître… Je lui claque les fesses pendant ma sodomie. Elle jouit encore. Je sors de son cul et viens éjaculer dans sa bouche. Elle avale tout. Je lui demande de me branler avec ses seins généreux. Elle le fait sans rechigner.

Jamais jusqu’à présent je n’ai eu une femme comme ça, aussi docile. Elle est belle, son corps est parfait, mieux que des filles plus jeunes qu’elle. Il ne faut pas que je relâche la pression sinon je vais la perdre. Si je m’y prends bien, je pourrai aussi avoir la fille et, pourquoi pas, les deux en même temps. Si la fille ressemble à la mère, ça doit être une bombe…

Tous les deux rassasiés pour l’instant, nous traversons la chambre conjugale, et au passage j’ai la confirmation que sa fille est très belle en voyant sa photo dans un cadre posé sur la table de nuit.

La salle de bain n’est que prétexte à de nouveau jeux érotiques. Elle se rince la bouche, compte tenu de nos ébats précédents. Nous nous lavons mutuellement. Je pénètre ses orifices de mes doigts savonneux. Elle m’astique la verge avec vigueur. Je masse ses seins fermes et je bouffe ses tétons. Elle gémit, je les mords. Elle hurle ; je lui plante mes doigts dans le cul. On se roule des perles d’enfer où nos langues s’entrecroisent. Elle a bon goût. Je le lui dis. Elle me répond que moi aussi.

Nous nous essuyons et je la dirige vers le lit. Je lui indique que je veux lui bouffer la chatte pendant qu’elle me fera une gorge profonde.
Je l’installe la tête pendante hors du lit, et je me couche sur elle tête-bêche. Je saisis mon sexe déjà raide et je l’enfonce dans sa bouche. Elle l’avale sans problème jusqu’au fond sans hoqueter. On sent qu’elle a l’habitude. Je me régale. Sa langue est au travail et parcourt ma verge, me procurant des sensations inégalées. Comme je sens que tout se passe bien, je peux m’attaquer tranquillement à son sexe glabre. J’écarte les lèvres de sa chatounette et je souffle doucement sur elle. Je la sens frémir. Elle aime, c’est sûr. Je m’attaque à son clitoris que je viens débusquer avec ma langue. Je le suçote sans le brusquer, en douceur. Je sens qu’elle apprécie aux pressions qu’exerce sa glotte sur mon gland au fond de sa gorge et aux pressions de ses lèvres à la racine de ma bite.

Je peux alors faire pénétrer ma langue pour explorer son vagin aux odeurs enivrantes. C’est fou ce que j’aime ces senteurs chez une femme. Avec mes doigts, je facilite son intromission. Je la fais tourner. Son corps s’arque tellement elle est proche de la jouissance. Excité par ses réactions, je baise de plus en plus vite sa bouche pour, dans un dernier élan, éjaculer au fond de sa gorge alors qu’elle est secouée par un violent orgasme.

Nous reprenons nos esprits et nous retrouvons côte à côte, allongés sur le lit.

— Eh bien, dis donc, tu es un sacré amant ! Tu baises comme un dieu. Imaginatif et infatigable : j’ai tiré le bon numéro.
— Toi aussi tu es infatigable. Il va falloir que je présente à mes amis.
— Tu veux qu’on partouze ?
— Oui, j’ai envie de te voir pénétrée par tous tes trous. Je suis sûr que tu vas aimer. Tu as déjà été prise en sandwich ?
— Non, mais ça fait partie de mes fantasmes.
— Tu t’es gouinée ?
— Oui, plusieurs fois avec ma meilleure amie. Elle est bi. Je suis sûre que tu aimerais la connaître ; je me trompe ?
— Non. Elle aussi belle que toi ?
— C’est gentil ce que tu me dis. Elle est magnifique ; un peu plus jeune que moi, trente ans.
— Ah bon ? Tu as plus de trente ans ?
— Flatteur ! J’en ai quarante depuis deux jours. J’ai eu ma fille jeune. J’avais dix-neuf ans quand je me suis retrouvée enceinte.
— Et ton mari ?
— Il est toujours fatigué. Les décalages horaires n’arrangent rien. De toute façon, c’est un piètre amant. Il ne connaît que la position du missionnaire, déteste la fellation et le cunnilingus car il trouve que c’est sale. Il dit que ce sont les putes qui font ça, pas les femmes respectables.
— Et ta fille ? Elle est comment, sexuellement ? Elle doit bien se confier à toi, non ?
— Elle te travaille, ma fille, petit salaud... Je crois, d’après nos conversations, qu’elle a besoin d’être révélée. Son copain actuel était vierge quand elle l’a connu ; il a peu d’expérience.
— Tu n’as jamais eu de rapports lesbiens avec elle ?
— Tu es fou, c’est de l’inceste !
— Et alors ? Tu n’y as jamais pensé ?
— Non ! Si… Arrête, tu me fais dire n’importe quoi !
— Tu me ménagerais une entrevue avec elle pour que je puisse l’initier à des plaisirs plus pervers ? lui dis-je en la doigtant vigoureusement.

Charlotte réagit à ma question en bredouillant sous le coup de cette attaque :

— Continue, tu me fais du bien...
— Alors ? Tu réponds quoi ? dis-je en stoppant mon manège.
— Ne t’arrête pas ! Oui, je le ferai, mais j’ai peur alors de te perdre.
— Pourquoi ? Ce serait drôle : je pourrais être ton gendre et en même temps ton amant. Et puis, imagine que je vous engrosse toutes les deux à quelques jours d’intervalle : ça ne manquerait pas de piquant, non ?

Cette évocation me fait avoir une nouvelle érection.

— Mais tu bandes, mon cochon ! Tu es infatigable…
— Allez, viens sur moi et fais-toi plaisir.

Je la bascule et je l’emmanche d’une seule poussée, puis je la fais s’agiter le long de ma colonne de chair. Cette position est très prisée des femmes car elle leur procure énormément de plaisir. En effet, elles peuvent aller à leur propre rythme pour contrôler leur jouissance alors que l’homme est quasiment inactif. Comme je suis un peu fatigué, ça tombe bien…
En peu de temps, elle se fait jouir à nouveau, mais seule, car je ne l’ai pas accompagnée.

— Tu n’as pas fini ? me dit-elle.
— Non, je préfère finir dans ton cul.

Ni une, ni deux, je la penche vers moi, je sors mon sexe du sien et je le dirige vers son petit trou pour lui éclater le cul. En quelques allers-retours violents qui lui font pousser des cris d’orfraie, j’éjacule au fond de son trou béant, me souciant uniquement de mon plaisir.

— Eh bien, on peut dire que tu aimes la sodomie ! me dit-elle en se penchant sur moi pour m’embrasser sur la bouche.

Nous partageons nos senteurs respectives générées lors du soixante-neuf pratiqué quelque temps avant.

— Je sais comment je vais faire pour te présenter ma fille : je vais t’appeler pour réparer mon ordinateur le jour où elle sera là. Au préalable, j’aurai fait ton panégyrique pour vanter tes qualités. Je prétexterai une course urgente que j’avais oubliée de faire. Tu auras une heure pour la séduire et la chauffer.
— T’es vraiment la plus belle salope que j’ai jamais rencontrée ! Je suis vraiment très content d’avoir fait ta connaissance ; tu es un puits de perversité. Je sens – si ta fille est d’accord – qu’on va former un beau trio pervers.
— C’est toi, qui en quelques heures a su révéler ma personnalité. En fait, je n’attendais qu’un bon initiateur.
— Bon, il se fait tard. Je dois rentrer chez moi : j’ai un rendez-vous important demain, et je dois peaufiner ma présentation. En attendant, j’ai un cadeau pour toi.

Je descends chercher ma trousse de dépannage dans laquelle se trouvent quelques outils spéciaux. J’en sors un œuf vibrant. Je lui explique :

— Le soir, quand ton mari n’est pas là, tu l’introduis dans ta chatte dès que tu arrives à la maison et tu m’envoies un SMS pour me dire que tu l’as fait. Moi, à distance, via Internet et le réseau wi-fi de ta maison, je le mets en route selon mon bon vouloir. Ça te mettra dans un état d’excitation indescriptible, et comme ça tu penseras à moi. Ne le retire pas la nuit car je veux que tu sois disponible pour moi en permanence. Tu as bien compris ?
— Oui.
— Bon, on va faire un essai. Enfile-le.

Je règle mon smartphone en conséquence avec les paramètres de son wi-fi et je déclenche les vibrations de l’œuf. En quelques secondes je la vois s’agiter sur le lit et atteindre un orgasme rapide auquel elle ne s’attendait pas du tout.

— C’est démoniaque, cet engin !
— Tu vas voir : tu vas aimer. Garde-le cette nuit.

Je me rhabille, lui donne un baiser sur le front et je m’en vais.

Rentré chez moi, je termine ma présentation pour le lendemain et vais me coucher. Il est 2 heures du matin. Je prends mon smartphone, programme l’application pour que l’œuf vibrant se mette en route de façon aléatoire pendant le reste de la nuit et je m’endors.

Mon radioréveil se met en route. Je consulte mes SMS. Il y en a un de Charlotte : « Tu m’as réveillée plusieurs fois cette nuit. C’était extraordinaire. J’ai joui à chaque fois en pensant à toi et je me suis masturbée comme une folle. J’ai besoin de ta queue. Tu vas m’obséder toute la journée… J’ai tellement envie que tu m’encules et que tu me fasses faire les pires des cochonneries ! Je peux venir chez toi ce soir ? »
Je lui réponds laconiquement :
« Pas avant que tu ne m’aies présenté ta fille. »
« Espèce de salaud, t’as vraiment envie de la baiser ? Tu peux venir demain, samedi, vers 14 h ? »
« OK, je ne travaille pas. À demain. Et va te masturber de temps en temps dans les toilettes aujourd’hui avant de remettre l’œuf ce soir. »
« J’en mouille d’avance… »

Le lendemain je me pointe chez elle. Sa fille est là. Elle nous présente :

— M. Bruno X, informaticien. Ma fille, Julie.

C’est le portrait craché de sa mère, en plus jeune et avec une poitrine encore plus arrogante que révèle son chemisier largement échancré. Il émane d’elle une forte sensualité.

— Julie, tu peux montrer à monsieur X ce qui ne va pas sur l’ordinateur ?
— Appelez-moi Bruno, ce sera plus simple.
— OK, si vous nous appelez Charlotte et Julie.

Julie est assise devant l’ordinateur familial et fait défiler des écrans. Sa mère est derrière elle. Je colle mon sexe contre le cul de Charlotte pour lui montrer que je bande. Elle essaie de me repousser doucement pour ne pas éveiller les soupçons de sa fille. Je passe mes mains sous son tee-shirt pour lui peloter les seins. La salope, toujours provocatrice, n’a pas mis de soutien-gorge. Dans le même temps je pose des questions à Julie pour bien cerner le problème.
Sentant que ça allait devenir trop dangereux, Charlotte s’éloigne et indique à Julie qu’elle a quelques courses à effectuer. Elle me demande pour combien de temps j’en ai pour dépanner la machine.

— Compte tenu de ce que je viens de voir, il faut que je fasse un peu de ménage pour enlever les logiciels espions, puis je dois effectuer les nombreuses mises à jour qui n’ont pas été faites. Disons deux bonnes heures.
— Ça ne te gêne pas, Julie, de rester avec Bruno ? J’en ai à peu près pour ce temps.
— Non, maman, je n’avais rien de prévu.

J’entends la porte claquer. Charlotte est partie ; Julie est à moi. Je me suis rendu compte, lors des présentations, qu’elle avait porté un intérêt certain envers ma personne… Je décide d’emblée d’être fortement entreprenant afin de ne pas perdre de temps. Autrement dit, j’ai un challenge : je dois l’avoir baisée avant le retour de sa mère !

Julie est toujours assise. Je me penche au-dessus d’elle pour mieux voir l’écran, mais ce sont ses seins qui m’attirent, tant son décolleté est ouvert. Tout de suite elle me tutoie et, à mon grand étonnement, elle attaque :

— T’as fini de reluquer mes seins ?
— Non, non, tu te méprends : je regarde l’écran, dis-je en bredouillant.
— Tiens, mon œil ! Je t’ai vu dans le reflet de l’écran.
— Oui, finis-je par avouer. Il faut dire que tu as une très belle poitrine.
— T’as envie de les toucher ?
— Quoi ?
— T’as envie de les toucher, mes seins ?
— Ben, oui…
— Alors ne te gêne pas !

Je reste soufflé. Elle est encore plus salope que sa mère, et pourtant elle a un copain. Je sens que je ne vais pas m’ennuyer et que l’ordinateur n’est pas près d’être dépanné.

Je pose mes mains sur ses épaules que je commence à masser légèrement, puis je les laisse glisser dans son chemisier pour englober ses seins que je presse fortement. Elle réagit à mes caresses en gémissant et en penchant la tête en arrière.

Je titille ses tétons et je porte mes lèvres sur les siennes. Elle répond à mon baiser. Je me mets de côté et, me baissant un peu, glisse l’une de mes mains vers son entrejambe. Elle n’a pas de culotte ! Je n’ai aucun mal à faire pénétrer deux de mes doigts dans sa chatte baveuse. Son corps, arqué, est secoué de frissons montrant qu’elle aime. Ses mains cherchent à faire descendre mon pantalon. Elle y arrive avec dextérité et libère ma virilité qu’elle embouche immédiatement pour une douce fellation. Elle me pompe avec vigueur, et si elle continue à ce rythme je vais jouir dans sa bouche. Ce n’est pas ce que j’ai prévu au programme !

Je la lève de sa chaise et achève de la déshabiller. En un tournemain j’enlève tous mes vêtements. Je prends sa place sur le siège et, dos à moi, je la fais s’empaler sur ma verge raidie. Elle pousse un cri et se déchaîne sur ma queue. En quelques secondes elle jouit. Je ne lui laisse pas le temps de réagir ; il faut que je lui fasse « la complète » avant le retour de sa mère, et je change de trou. Elle pousse un « Oh ! » de surprise mais ne peut éviter la pénétration brutale que je lui impose. Je l’encule à sec. Ses sécrétions naturelles aident un peu mais ne l’empêchent pas de hurler au franchissement de ses sphincters. Je suis au fond d’elle et je me régale. Ma bite est pressée par son cul endolori, et c’est génial. Je la fais monter et descendre à mon rythme jusqu’au moment où je sens mon plaisir monter.

Je décule et la fais mettre à genoux pour lui juter sur ses cheveux et son visage. Elle ouvre la bouche, et je lui fais lécher mon gland qui vient de sortir de son cul. Gourmande, elle avale mon sexe entièrement pour le nettoyer, récupère mon sperme sur son visage et le déguste devant moi, sans honte aucune.

— Ma mère avait raison : tu es un sacré coup !

C’est à ce moment précis que je m’aperçois qu’elles m’ont piégé. Charlotte entre dans la pièce pour féliciter sa fille. En fait, elle était sortie par la porte principale pour rentrer immédiatement par celle de la cuisine. Elle a tout vu de la pièce d’à côté.

— Tu as vu ? Je ne t’avais pas menti : c’est un baiseur de première ! Laisse-moi goûter.

Elle embrasse sa fille sur la bouche et récupère toutes les senteurs.

— Tu as aimé l’odeur de sa bite, la saveur de son sperme et le goût de ton cul ?
— J’adore !

Elles s’étreignent, et Charlotte passe une main dans la fente de Julie.

— Dis donc, il t’a bien fait mouiller ; t’es encore toute trempée. Faut que j’aille voir ça.

Elle fait allonger Julie dans le canapé et vient lui lécher la moule. Non seulement ce sont deux salopes qui se sont bien foutues de moi mais, en plus, ce sont deux gouines incestueuses.
Il faut que je reprenne le dessus. Je lance alors mes ordres :

— Charlotte, déshabille-toi et mets-toi en position de soixante-neuf sur Julie.
— Ah, enfin notre amant commun a compris ! dit Charlotte à sa fille. Tu peux maintenant nous utiliser à ta guise.

Elles se mettent en position. J’ai le cul de Charlotte face à moi. Julie lui lèche la moule. Elles gémissent de concert. Cette position, fortement érotique, me fais bander à nouveau. Je glisse ma bite dans la bouche de Julie pour fortement l’humidifier et j’encule ensuite Charlotte. Son cul est bien serré, mais il est désormais habitué à mon chibre.

Ce ne sont alors qu’une succession d’allers-retours dans la bouche de Julie et dans le cul de Charlotte. Pour ne pas les frustrer, je change de côté. C’est maintenant l’anus de Julie encore endolori qui subit mes assauts, ainsi que la gorge de Charlotte.
Puis, en final, je les fais se relever et mettre à genoux. Je me masturbe au-dessus de leurs visages. Elles me lèchent le cul et les couilles. J’éjacule enfin alternativement dans leurs bouches affamées.
Je les relève, leur donne une tape sur les fesses et nous entraîne à la salle de bain…

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Depuis, Charlotte a divorcé. Nous vivons tous les trois dans une belle maison près de Montpellier avec Julie. J’ai développé fortement mon entreprise de dépannage, sans dépasser le seuil légal des quarante-neuf employés. Elles m’aident toutes les deux dans ce job.

Nous sommes connus dans toutes les soirées libertines de la région, et Dieu sait qu’il y en a ! Charlotte et sa fille sont très prisées, car désormais sans aucun tabou, hormis scato, uro et sado dont nous ne sommes nullement adeptes.

Elles adorent se faire prendre en sandwich, et Charlotte arrive maintenant à se prendre deux bites en même temps dans la chatte. Julie espère y arriver bientôt. Elles se gouinent, bien sûr, car elles aiment ça.

J’ai beaucoup de succès avec les autres femmes, mais je préfère nettement « les miennes ». En fait, je suis amoureux des deux, et elles me le rendent bien. Nous dormons bien évidemment dans la même chambre, et nos nuits sont torrides.

Récemment, je les ai engrossées pratiquement en même temps. Leur accouchement est prévu à la même époque, à quelques jours près… Pour Charlotte ce sera un garçon, et pour Julie une fille. De les voir grosses toutes les deux décuple mon désir. J’adore faire bouger les bébés dans leur ventre respectif par mes coups de boutoir dans leur cul ou dans leur con.

J’espère les baiser jusqu’au dernier moment.

Peut-être qu’un jour l’oncle et la nièce feront l’amour ensemble pour perpétuer les vices de la famille ; qui sait ?


Juin 2015

Auteur : Imaxparis

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