Bonjour
! Je m’appelle Bruno. J’ai trente-deux ans, célibataire fêtard et
queutard. État dont je me contente pour l’instant. Informaticien de
formation, j’ai décidé de m’installer à mon compte pour effectuer de
l’assistance à domicile. L’informatique aurait dû libérer l’homme (ou la
femme), mais il n’en est rien : elle complique la vie de tout un
chacun, et c’est grâce à ça que je peux vivre de ce qui est devenu ma
passion. Les gens autour de moi font appel à moi dans de nombreuses
circonstances car ils sont perdus.
Perdus devant leur écran parce qu’ils ont téléchargé un « pourriel » ou parce qu’un gamin, qui se croyait déjà maître de l’univers, leur a fichu un bordel pas possible dans leur ordinateur – la variante, c’est « l’ami informaticien ».
Perdus devant leur écran parce qu’ils ont téléchargé un « pourriel » ou parce qu’un gamin, qui se croyait déjà maître de l’univers, leur a fichu un bordel pas possible dans leur ordinateur – la variante, c’est « l’ami informaticien ».
Perdus
devant leur télé parce qu’ils voudraient effectuer un enregistrement et
ne savent comment faire avec tous les branchements et… les
télécommandes diverses et variées.
Perdus devant leur téléphone
portable ou leur tablette à la recherche des bons paramètres qui leur
permettraient de recevoir enfin leurs courriels.
C’est dans
l’exercice de mon métier que j’ai l’occasion de rencontrer des « mal
baisées » qui, dès que j’arrive chez elles, ne pensent qu’à se faire
tirer. Il faut dire que, physiquement, sans me vanter, je ne suis pas
trop mal ; je fais en sorte de m’entretenir en pratiquant beaucoup de
sport. Je suis aussi d’une hygiène irréprochable, choisissant mes eaux
de toilette avec raffinement. Je m’habille aussi avec goût pour
accroître leur intérêt.
Sexuellement, je dois être un bon amant
car elles en redemandent. J’ai appris à me maîtriser et à utiliser
toutes les techniques qui leur permettent de jouir plusieurs fois lors
de nos rencontres. Mon sexe est tout à fait normal, tout du moins je le
pense car je ne me suis pas amusé à le mesurer, comme il est de bon ton
de le signaler dans ce genre de récit. Comme le dit un adage : « Mieux
vaut une petite travailleuse qu'une grosse fainéante »… Aucune d’entre
elles ne s’est plainte jusqu’à présent. C’est fou ce que leurs
ordinateurs peuvent tomber en panne ! Je rencontre des jeunes, des
femmes de mon âge, des plus âgées, mais je suis très sélectif. Il faut
quand même qu’elles soient belles. Désolé, mais je ne peux pas bander en
présence d’un thon…
Quand j’ai du vague à l’âme, je peux faire
appel à l’une d’entre elles pour une soirée « sexe », tout du moins
celles qui m’ont déclaré qu’elles étaient souvent libres le soir, leurs
maris étant souvent en déplacement.
Jusqu’au jour où j’ai
rencontré Charlotte… il y a un peu plus de six mois. Je donnais des
cours d’informatique dans une association quand, à la fin, elle est
venue vers moi pour me poser quelques questions. J’ai remarqué tout de
suite sa beauté et son élégance. Comme j’ai l’habitude de le faire, je
regarde sa main gauche. C’est une femme mariée d’environ quarante ans.
Comme je suis très sollicité par les personnes présentes, elle me
demande si elle peut m’appeler pour une intervention de ma part. Je lui
glisse ma carte de visite et je n’y pense plus.
Le soir même, mon
portable sonne. C’est elle. Elle me demande si l’on peut convenir d’un
rendez-vous pour résoudre un problème de performance de son ordinateur.
Comme elle travaille dans la journée, elle aimerait que ce soit à partir
de 19 heures.
Je lui indique que je peux passer le lendemain après
mon dernier client, mais sans pouvoir lui garantir l’heure exacte. Ça
peut être largement plus tard, mais c’est le seul moment disponible dans
mon agenda avant deux semaines. Elle me répond que ça n’a aucune
importance : son mari est en voyage, sa fille ce soir-là chez son
copain, elle n’a pas de contraintes d’horaires.
Le lendemain je
sonne chez elle, un pavillon de banlieue un peu isolé, sur le coup de 20
heures. D’emblée je la trouve fébrile lorsqu’elle m’ouvre la porte. Sa
tenue est un rien provocante. Un débardeur trop petit d’une taille lui
moule sa poitrine généreuse, révélant son nombril. Une mini-jupe « ras
la moule » complète ce tableau. Elle est nu-pieds. Dans son regard je
vois quelque chose d’indéfinissable, comme si elle attendait que je lui
saute dessus.
Elle développe un tel érotisme que – je ne sais ce
qui m’arrive alors car d’habitude je laisse jouer le rôle de la
séduction à ma future partenaire – à peine entré, je la prends dans mes
bras et, la plaquant contre le mur, je l’embrasse violemment sur la
bouche en l’étreignant sauvagement.
Dans une frénésie incroyable,
je lui ôte son débardeur pour dégager sa poitrine libre comme l’air,
dégrafe sa jupe qui tombe à terre. Pas de culotte ; elle est nue. Elle,
de son côté, répondant à mes ardeurs, déboucle la ceinture de mon
pantalon qui va vite rejoindre sa jupe. Mon caleçon ne tarde pas à les
rejoindre, libérant ma bite en pleine érection. Soulevant ses fesses, je
la fais décoller du sol pour l’emmancher d’une seule poussée rectiligne
jusqu’au tréfonds de son vagin. Je n’ai aucune difficulté, tant elle
est trempée. Sous cet assaut, elle couine et s’agrippe à moi pour ne pas
tomber. L’adossant au mur, j’entreprends un pilonnage en règle de sa
matrice et la fais jouir une première fois. Cette position étant très
inconfortable, je lui ordonne de se mettre à genoux sur le carrelage de
l’entrée et, la reprenant en levrette, je continue mon entreprise de
démolition pour bien labourer sa chatte. Ma main, glissée sous elle, lui
branle le clitoris. Elle enchaîne les orgasmes en hurlant. Mon pouce
introduit dans son cul écarte ses chairs pour préparer mon entrée, car
j’ai la ferme intention de l’enculer. Je crache sur son anus, sors mon
vit de sa moule pour l’introduire immédiatement dans son ampoule
rectale. Ses deux sphincters compressent ma bite ; c’est trop pour moi,
et en quelques secondes j’éjacule dans son fondement, m’écroulant sur
elle.
Je me lève pour la dominer alors qu’elle est encore à terre.
—
Eh bien, dis-moi, t’es une belle salope ! C’est pour baiser que tu m’as
fait venir ? Je parie que ton ordinateur fonctionne à merveille.
—
Oui, j’avais besoin qu’une queue me travaille ; et quand je t’ai vu
l’autre jour à la réunion, j’ai pensé que ça pourrait être toi, et je ne
me suis pas trompée : tu m’as baisée comme je voulais l’être, comme une
chienne, sans me demander mon avis. J’avais mis la tenue pour ça, pour
que tu comprennes bien.
— Attends, ce n’est pas fini : ça ne fait que commencer. Je me sens sale. Relève-toi et nettoie-moi !
— Hum, tu es autoritaire… Tu me fais faire des choses dégueulasses ; j’aime ça.
À
ces mots elle se relève et, à genoux, entreprend le nettoyage de mes
attributs. Elle englobe ma colonne de chair qui a pénétré en dernier
lieu son trou du cul, lèche mes bourses puis, la tête retournée entre
mes cuisses, vient titiller mon anus avec sa langue. Par moments elle me
regarde, et je lui crache sur la figure en lui disant :
— Fais bien entrer la pointe dans mon petit trou : j’aime bien être sodomisé par la langue d’une cochonne comme toi.
— Hum, j’adore les culs parfumés comme le tien.
—
Bon, ça suffit ! Montre-moi la salle de bain : on va continuer nos
petits jeux là-bas. Ton mari ne risque pas de rentrer à la maison à
l’improviste ?
— Non, il est à New-York pour une semaine ; je viens de l’avoir par Skype.
— Tes enfants ?
— Je n’ai qu’une fille, qui est chez son copain pour la nuit. Elle est majeure, elle a vingt ans.
— Elle aime le sexe ?
—
Toi aussi tu es un petit cochon ! Après la mère, tu voudrais avoir la
fille ? Oui, elle aime ça, mais il n’est pas question que tu te la tapes
: je veux garder ton exclusivité.
— Qui t’a dit que c’est toi qui
dictais mon comportement ? T’es une bonne grosse salope, et tu viens de
me le montrer. Si tu veux qu’on continue, tu m’obéis. Si je baise ta
fille, tu ne dis rien. Si je veux te donner à d’autres mecs ou filles,
tu ne dis rien. Je me suis bien fait comprendre ?
— Oh oui, continue !
J’adore déjà le programme que tu me prépares. C’est oui, car tu m’as
trop bien fait jouir, et je veux continuer à être dominée comme tu le
fais.
Elle monte les escaliers devant moi pour m’amener à la
salle de bain. J’ai son cul sublime à hauteur des yeux : pas un poil de
cellulite. Pour une femme de son âge, c’est rare. Ça me fait à nouveau
bander.
— Arrête-toi ! Agenouille-toi sur une marche ! Je veux encore te prendre par le cul.
Elle
obéit immédiatement et je l’encule brutalement, sans ménagement. Je lui
fais mal, je le sens, mais je veux lui montrer que désormais c’est moi
le maître… Je lui claque les fesses pendant ma sodomie. Elle jouit
encore. Je sors de son cul et viens éjaculer dans sa bouche. Elle avale
tout. Je lui demande de me branler avec ses seins généreux. Elle le fait
sans rechigner.
Jamais jusqu’à présent je n’ai eu une femme
comme ça, aussi docile. Elle est belle, son corps est parfait, mieux que
des filles plus jeunes qu’elle. Il ne faut pas que je relâche la
pression sinon je vais la perdre. Si je m’y prends bien, je pourrai
aussi avoir la fille et, pourquoi pas, les deux en même temps. Si la
fille ressemble à la mère, ça doit être une bombe…
Tous les deux
rassasiés pour l’instant, nous traversons la chambre conjugale, et au
passage j’ai la confirmation que sa fille est très belle en voyant sa
photo dans un cadre posé sur la table de nuit.
La salle de bain
n’est que prétexte à de nouveau jeux érotiques. Elle se rince la bouche,
compte tenu de nos ébats précédents. Nous nous lavons mutuellement. Je
pénètre ses orifices de mes doigts savonneux. Elle m’astique la verge
avec vigueur. Je masse ses seins fermes et je bouffe ses tétons. Elle
gémit, je les mords. Elle hurle ; je lui plante mes doigts dans le cul.
On se roule des perles d’enfer où nos langues s’entrecroisent. Elle a
bon goût. Je le lui dis. Elle me répond que moi aussi.
Nous nous
essuyons et je la dirige vers le lit. Je lui indique que je veux lui
bouffer la chatte pendant qu’elle me fera une gorge profonde.
Je
l’installe la tête pendante hors du lit, et je me couche sur elle
tête-bêche. Je saisis mon sexe déjà raide et je l’enfonce dans sa
bouche. Elle l’avale sans problème jusqu’au fond sans hoqueter. On sent
qu’elle a l’habitude. Je me régale. Sa langue est au travail et parcourt
ma verge, me procurant des sensations inégalées. Comme je sens que tout
se passe bien, je peux m’attaquer tranquillement à son sexe glabre.
J’écarte les lèvres de sa chatounette et je souffle doucement sur elle.
Je la sens frémir. Elle aime, c’est sûr. Je m’attaque à son clitoris que
je viens débusquer avec ma langue. Je le suçote sans le brusquer, en
douceur. Je sens qu’elle apprécie aux pressions qu’exerce sa glotte sur
mon gland au fond de sa gorge et aux pressions de ses lèvres à la racine
de ma bite.
Je peux alors faire pénétrer ma langue pour explorer
son vagin aux odeurs enivrantes. C’est fou ce que j’aime ces senteurs
chez une femme. Avec mes doigts, je facilite son intromission. Je la
fais tourner. Son corps s’arque tellement elle est proche de la
jouissance. Excité par ses réactions, je baise de plus en plus vite sa
bouche pour, dans un dernier élan, éjaculer au fond de sa gorge alors
qu’elle est secouée par un violent orgasme.
Nous reprenons nos esprits et nous retrouvons côte à côte, allongés sur le lit.
— Eh bien, dis donc, tu es un sacré amant ! Tu baises comme un dieu. Imaginatif et infatigable : j’ai tiré le bon numéro.
— Toi aussi tu es infatigable. Il va falloir que je présente à mes amis.
— Tu veux qu’on partouze ?
— Oui, j’ai envie de te voir pénétrée par tous tes trous. Je suis sûr que tu vas aimer. Tu as déjà été prise en sandwich ?
— Non, mais ça fait partie de mes fantasmes.
— Tu t’es gouinée ?
— Oui, plusieurs fois avec ma meilleure amie. Elle est bi. Je suis sûre que tu aimerais la connaître ; je me trompe ?
— Non. Elle aussi belle que toi ?
— C’est gentil ce que tu me dis. Elle est magnifique ; un peu plus jeune que moi, trente ans.
— Ah bon ? Tu as plus de trente ans ?
—
Flatteur ! J’en ai quarante depuis deux jours. J’ai eu ma fille jeune.
J’avais dix-neuf ans quand je me suis retrouvée enceinte.
— Et ton mari ?
—
Il est toujours fatigué. Les décalages horaires n’arrangent rien. De
toute façon, c’est un piètre amant. Il ne connaît que la position du
missionnaire, déteste la fellation et le cunnilingus car il trouve que
c’est sale. Il dit que ce sont les putes qui font ça, pas les femmes
respectables.
— Et ta fille ? Elle est comment, sexuellement ? Elle doit bien se confier à toi, non ?
—
Elle te travaille, ma fille, petit salaud... Je crois, d’après nos
conversations, qu’elle a besoin d’être révélée. Son copain actuel était
vierge quand elle l’a connu ; il a peu d’expérience.
— Tu n’as jamais eu de rapports lesbiens avec elle ?
— Tu es fou, c’est de l’inceste !
— Et alors ? Tu n’y as jamais pensé ?
— Non ! Si… Arrête, tu me fais dire n’importe quoi !
—
Tu me ménagerais une entrevue avec elle pour que je puisse l’initier à
des plaisirs plus pervers ? lui dis-je en la doigtant vigoureusement.
Charlotte réagit à ma question en bredouillant sous le coup de cette attaque :
— Continue, tu me fais du bien...
— Alors ? Tu réponds quoi ? dis-je en stoppant mon manège.
— Ne t’arrête pas ! Oui, je le ferai, mais j’ai peur alors de te perdre.
—
Pourquoi ? Ce serait drôle : je pourrais être ton gendre et en même
temps ton amant. Et puis, imagine que je vous engrosse toutes les deux à
quelques jours d’intervalle : ça ne manquerait pas de piquant, non ?
Cette évocation me fait avoir une nouvelle érection.
— Mais tu bandes, mon cochon ! Tu es infatigable…
— Allez, viens sur moi et fais-toi plaisir.
Je
la bascule et je l’emmanche d’une seule poussée, puis je la fais
s’agiter le long de ma colonne de chair. Cette position est très prisée
des femmes car elle leur procure énormément de plaisir. En effet, elles
peuvent aller à leur propre rythme pour contrôler leur jouissance alors
que l’homme est quasiment inactif. Comme je suis un peu fatigué, ça
tombe bien…
En peu de temps, elle se fait jouir à nouveau, mais seule, car je ne l’ai pas accompagnée.
— Tu n’as pas fini ? me dit-elle.
— Non, je préfère finir dans ton cul.
Ni
une, ni deux, je la penche vers moi, je sors mon sexe du sien et je le
dirige vers son petit trou pour lui éclater le cul. En quelques
allers-retours violents qui lui font pousser des cris d’orfraie,
j’éjacule au fond de son trou béant, me souciant uniquement de mon
plaisir.
— Eh bien, on peut dire que tu aimes la sodomie ! me dit-elle en se penchant sur moi pour m’embrasser sur la bouche.
Nous partageons nos senteurs respectives générées lors du soixante-neuf pratiqué quelque temps avant.
—
Je sais comment je vais faire pour te présenter ma fille : je vais
t’appeler pour réparer mon ordinateur le jour où elle sera là. Au
préalable, j’aurai fait ton panégyrique pour vanter tes qualités. Je
prétexterai une course urgente que j’avais oubliée de faire. Tu auras
une heure pour la séduire et la chauffer.
— T’es vraiment la plus
belle salope que j’ai jamais rencontrée ! Je suis vraiment très content
d’avoir fait ta connaissance ; tu es un puits de perversité. Je sens –
si ta fille est d’accord – qu’on va former un beau trio pervers.
— C’est toi, qui en quelques heures a su révéler ma personnalité. En fait, je n’attendais qu’un bon initiateur.
—
Bon, il se fait tard. Je dois rentrer chez moi : j’ai un rendez-vous
important demain, et je dois peaufiner ma présentation. En attendant,
j’ai un cadeau pour toi.
Je descends chercher ma trousse de
dépannage dans laquelle se trouvent quelques outils spéciaux. J’en sors
un œuf vibrant. Je lui explique :
— Le soir, quand ton mari n’est
pas là, tu l’introduis dans ta chatte dès que tu arrives à la maison et
tu m’envoies un SMS pour me dire que tu l’as fait. Moi, à distance, via
Internet et le réseau wi-fi de ta maison, je le mets en route selon mon
bon vouloir. Ça te mettra dans un état d’excitation indescriptible, et
comme ça tu penseras à moi. Ne le retire pas la nuit car je veux que tu
sois disponible pour moi en permanence. Tu as bien compris ?
— Oui.
— Bon, on va faire un essai. Enfile-le.
Je
règle mon smartphone en conséquence avec les paramètres de son wi-fi et
je déclenche les vibrations de l’œuf. En quelques secondes je la vois
s’agiter sur le lit et atteindre un orgasme rapide auquel elle ne
s’attendait pas du tout.
— C’est démoniaque, cet engin !
— Tu vas voir : tu vas aimer. Garde-le cette nuit.
Je me rhabille, lui donne un baiser sur le front et je m’en vais.
Rentré
chez moi, je termine ma présentation pour le lendemain et vais me
coucher. Il est 2 heures du matin. Je prends mon smartphone, programme
l’application pour que l’œuf vibrant se mette en route de façon
aléatoire pendant le reste de la nuit et je m’endors.
Mon
radioréveil se met en route. Je consulte mes SMS. Il y en a un de
Charlotte : « Tu m’as réveillée plusieurs fois cette nuit. C’était
extraordinaire. J’ai joui à chaque fois en pensant à toi et je me suis
masturbée comme une folle. J’ai besoin de ta queue. Tu vas m’obséder
toute la journée… J’ai tellement envie que tu m’encules et que tu me
fasses faire les pires des cochonneries ! Je peux venir chez toi ce soir
? »
Je lui réponds laconiquement :
« Pas avant que tu ne m’aies présenté ta fille. »
« Espèce de salaud, t’as vraiment envie de la baiser ? Tu peux venir demain, samedi, vers 14 h ? »
«
OK, je ne travaille pas. À demain. Et va te masturber de temps en temps
dans les toilettes aujourd’hui avant de remettre l’œuf ce soir. »
« J’en mouille d’avance… »
Le lendemain je me pointe chez elle. Sa fille est là. Elle nous présente :
— M. Bruno X, informaticien. Ma fille, Julie.
C’est
le portrait craché de sa mère, en plus jeune et avec une poitrine
encore plus arrogante que révèle son chemisier largement échancré. Il
émane d’elle une forte sensualité.
— Julie, tu peux montrer à monsieur X ce qui ne va pas sur l’ordinateur ?
— Appelez-moi Bruno, ce sera plus simple.
— OK, si vous nous appelez Charlotte et Julie.
Julie
est assise devant l’ordinateur familial et fait défiler des écrans. Sa
mère est derrière elle. Je colle mon sexe contre le cul de Charlotte
pour lui montrer que je bande. Elle essaie de me repousser doucement
pour ne pas éveiller les soupçons de sa fille. Je passe mes mains sous
son tee-shirt pour lui peloter les seins. La salope, toujours
provocatrice, n’a pas mis de soutien-gorge. Dans le même temps je pose
des questions à Julie pour bien cerner le problème.
Sentant que ça
allait devenir trop dangereux, Charlotte s’éloigne et indique à Julie
qu’elle a quelques courses à effectuer. Elle me demande pour combien de
temps j’en ai pour dépanner la machine.
— Compte tenu de ce que
je viens de voir, il faut que je fasse un peu de ménage pour enlever les
logiciels espions, puis je dois effectuer les nombreuses mises à jour
qui n’ont pas été faites. Disons deux bonnes heures.
— Ça ne te gêne pas, Julie, de rester avec Bruno ? J’en ai à peu près pour ce temps.
— Non, maman, je n’avais rien de prévu.
J’entends
la porte claquer. Charlotte est partie ; Julie est à moi. Je me suis
rendu compte, lors des présentations, qu’elle avait porté un intérêt
certain envers ma personne… Je décide d’emblée d’être fortement
entreprenant afin de ne pas perdre de temps. Autrement dit, j’ai un
challenge : je dois l’avoir baisée avant le retour de sa mère !
Julie
est toujours assise. Je me penche au-dessus d’elle pour mieux voir
l’écran, mais ce sont ses seins qui m’attirent, tant son décolleté est
ouvert. Tout de suite elle me tutoie et, à mon grand étonnement, elle
attaque :
— T’as fini de reluquer mes seins ?
— Non, non, tu te méprends : je regarde l’écran, dis-je en bredouillant.
— Tiens, mon œil ! Je t’ai vu dans le reflet de l’écran.
— Oui, finis-je par avouer. Il faut dire que tu as une très belle poitrine.
— T’as envie de les toucher ?
— Quoi ?
— T’as envie de les toucher, mes seins ?
— Ben, oui…
— Alors ne te gêne pas !
Je
reste soufflé. Elle est encore plus salope que sa mère, et pourtant
elle a un copain. Je sens que je ne vais pas m’ennuyer et que
l’ordinateur n’est pas près d’être dépanné.
Je pose mes mains sur
ses épaules que je commence à masser légèrement, puis je les laisse
glisser dans son chemisier pour englober ses seins que je presse
fortement. Elle réagit à mes caresses en gémissant et en penchant la
tête en arrière.
Je titille ses tétons et je porte mes lèvres sur
les siennes. Elle répond à mon baiser. Je me mets de côté et, me
baissant un peu, glisse l’une de mes mains vers son entrejambe. Elle n’a
pas de culotte ! Je n’ai aucun mal à faire pénétrer deux de mes doigts
dans sa chatte baveuse. Son corps, arqué, est secoué de frissons
montrant qu’elle aime. Ses mains cherchent à faire descendre mon
pantalon. Elle y arrive avec dextérité et libère ma virilité qu’elle
embouche immédiatement pour une douce fellation. Elle me pompe avec
vigueur, et si elle continue à ce rythme je vais jouir dans sa bouche.
Ce n’est pas ce que j’ai prévu au programme !
Je la lève de sa
chaise et achève de la déshabiller. En un tournemain j’enlève tous mes
vêtements. Je prends sa place sur le siège et, dos à moi, je la fais
s’empaler sur ma verge raidie. Elle pousse un cri et se déchaîne sur ma
queue. En quelques secondes elle jouit. Je ne lui laisse pas le temps de
réagir ; il faut que je lui fasse « la complète » avant le retour de sa
mère, et je change de trou. Elle pousse un « Oh ! » de surprise mais ne
peut éviter la pénétration brutale que je lui impose. Je l’encule à
sec. Ses sécrétions naturelles aident un peu mais ne l’empêchent pas de
hurler au franchissement de ses sphincters. Je suis au fond d’elle et je
me régale. Ma bite est pressée par son cul endolori, et c’est génial.
Je la fais monter et descendre à mon rythme jusqu’au moment où je sens
mon plaisir monter.
Je décule et la fais mettre à genoux pour lui
juter sur ses cheveux et son visage. Elle ouvre la bouche, et je lui
fais lécher mon gland qui vient de sortir de son cul. Gourmande, elle
avale mon sexe entièrement pour le nettoyer, récupère mon sperme sur son
visage et le déguste devant moi, sans honte aucune.
— Ma mère avait raison : tu es un sacré coup !
C’est
à ce moment précis que je m’aperçois qu’elles m’ont piégé. Charlotte
entre dans la pièce pour féliciter sa fille. En fait, elle était sortie
par la porte principale pour rentrer immédiatement par celle de la
cuisine. Elle a tout vu de la pièce d’à côté.
— Tu as vu ? Je ne t’avais pas menti : c’est un baiseur de première ! Laisse-moi goûter.
Elle embrasse sa fille sur la bouche et récupère toutes les senteurs.
— Tu as aimé l’odeur de sa bite, la saveur de son sperme et le goût de ton cul ?
— J’adore !
Elles s’étreignent, et Charlotte passe une main dans la fente de Julie.
— Dis donc, il t’a bien fait mouiller ; t’es encore toute trempée. Faut que j’aille voir ça.
Elle
fait allonger Julie dans le canapé et vient lui lécher la moule. Non
seulement ce sont deux salopes qui se sont bien foutues de moi mais, en
plus, ce sont deux gouines incestueuses.
Il faut que je reprenne le dessus. Je lance alors mes ordres :
— Charlotte, déshabille-toi et mets-toi en position de soixante-neuf sur Julie.
— Ah, enfin notre amant commun a compris ! dit Charlotte à sa fille. Tu peux maintenant nous utiliser à ta guise.
Elles
se mettent en position. J’ai le cul de Charlotte face à moi. Julie lui
lèche la moule. Elles gémissent de concert. Cette position, fortement
érotique, me fais bander à nouveau. Je glisse ma bite dans la bouche de
Julie pour fortement l’humidifier et j’encule ensuite Charlotte. Son cul
est bien serré, mais il est désormais habitué à mon chibre.
Ce
ne sont alors qu’une succession d’allers-retours dans la bouche de Julie
et dans le cul de Charlotte. Pour ne pas les frustrer, je change de
côté. C’est maintenant l’anus de Julie encore endolori qui subit mes
assauts, ainsi que la gorge de Charlotte.
Puis, en final, je les
fais se relever et mettre à genoux. Je me masturbe au-dessus de leurs
visages. Elles me lèchent le cul et les couilles. J’éjacule enfin
alternativement dans leurs bouches affamées.
Je les relève, leur donne une tape sur les fesses et nous entraîne à la salle de bain…
___________________________
Depuis,
Charlotte a divorcé. Nous vivons tous les trois dans une belle maison
près de Montpellier avec Julie. J’ai développé fortement mon entreprise
de dépannage, sans dépasser le seuil légal des quarante-neuf employés.
Elles m’aident toutes les deux dans ce job.
Nous sommes connus
dans toutes les soirées libertines de la région, et Dieu sait qu’il y en
a ! Charlotte et sa fille sont très prisées, car désormais sans aucun
tabou, hormis scato, uro et sado dont nous ne sommes nullement adeptes.
Elles
adorent se faire prendre en sandwich, et Charlotte arrive maintenant à
se prendre deux bites en même temps dans la chatte. Julie espère y
arriver bientôt. Elles se gouinent, bien sûr, car elles aiment ça.
J’ai
beaucoup de succès avec les autres femmes, mais je préfère nettement «
les miennes ». En fait, je suis amoureux des deux, et elles me le
rendent bien. Nous dormons bien évidemment dans la même chambre, et nos
nuits sont torrides.
Récemment, je les ai engrossées pratiquement
en même temps. Leur accouchement est prévu à la même époque, à quelques
jours près… Pour Charlotte ce sera un garçon, et pour Julie une fille.
De les voir grosses toutes les deux décuple mon désir. J’adore faire
bouger les bébés dans leur ventre respectif par mes coups de boutoir
dans leur cul ou dans leur con.
J’espère les baiser jusqu’au dernier moment.
Peut-être qu’un jour l’oncle et la nièce feront l’amour ensemble pour perpétuer les vices de la famille ; qui sait ?
Juin 2015
Auteur : Imaxparis
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