dimanche 27 septembre 2015

Faux-semblant (2)

Relisez le chapitre 1

Aurore a une jupe aujourd’hui, au grand bonheur de Lucas qui peut ainsi profiter de la vue de ses longues et magnifiques jambes. C’est la première fois qu’il la voit ainsi vêtue. Jusqu’à maintenant, elle a toujours privilégié des tenues plus sages. Alors Lucas s’est amusé durant toute la matinée et le midi à lui caresser discrètement sous la table ses cuisses dénudées. Mais Aurore s’entête à repousser sans cesse ses assauts, au grand dam du jeune homme.

— Comprends-moi, lui explique-t-elle. Je ne me sens toujours pas prête. Et puis je n’aime pas vraiment l’idée que tu me touches parmi tous ces gens.
— OK, je comprends. J’avoue, j’ai exagéré. Comment puis-je me faire pardonner ?
— Invite-moi chez toi. Tu m’avais promis que tu le ferais.
— Et tes parents, qu’est-ce qu’ils vont dire ? Tu leur as dit pour moi ?

— Non, toujours pas, admet-elle. Je leur dirai que je vais chez une copine.
— Alors c’est OK. Je demanderai à mes parents si tu peux venir ce week-end.
— C’est vrai ?
— Bien sûr.
— Cool ! Je t’aime, déclare-t-elle avant de l’embrasser fougueusement.
— Moi aussi, soupire-t-il.
— Bon, j’ai un truc à aller faire, déclare-t-elle en brisant leur étreinte. Je te rejoins tout à l’heure.
— Pas de problème.

Et Aurore part avec hâte en lui lançant un dernier sourire jovial. Elle grimpe rapidement les escaliers jusqu’au premier étage avant d’emprunter un couloir vide et d’aller frapper à la porte d’une classe.

— Entre, fait une voix masculine.

Aurore obéit et découvre Fabien à l’intérieur. Il est assis sur le bureau, l’œil déjà surexcité.

— Vas-y, ferme à clé. Ainsi, on ne sera pas dérangé. Les clés sont sur la porte.
— Comment te les es-tu procurées ? demande-t-elle en verrouillant la porte.
— Secret défense ! plaisante-t-il.

Il se lève et se colle derrière son ex. Celle-ci sent déjà une bosse plaquée sur ses fesses. En réaction, Aurore se met à se frotter dessus. Fabien l’embrasse dans le cou, ce qui provoque un frisson le long de sa colonne vertébrale. Les mains du garçon s’attardent sur sa poitrine, puis l’une d’elles descend sur son ventre avant d’atteindre une cuisse.

— Alors je vois que tu as été obéissante, remarque-t-il, satisfait.
— Oui : j’ai pris la plus courte que j’avais, comme tu me l’as demandé.

La main de Fabien s’engouffre sous le tissu et trouve une culotte humide.

— Finalement, tu n’as pas été complètement obéissante. Je t’avais demandé de ne rien mettre en dessous.
— Tu es fou ! Mes parents m’ont déjà fait une scène quand ils ont vu comment j’étais habillée ; alors si je n’avais pas mis de culotte et qu’ils s’en soient aperçus, ils m’auraient tuée.
— Ce n’est pas mon problème. Retire-la.

Aurore obéit, fait glisser le bout de tissu le long de ses jambes, se baisse pour le ramasser et le cède à Fabien. Ce dernier renifle ce cadeau puis le range dans sa poche. Il invite ensuite Aurore à venir s’appuyer sur le bureau, à tendre le cul et à écarter les cuisses. Il remonte la jupe afin de découvrir ce magnifique derrière. Quelques claques font rougir les blanches fesses, puis, il les caresse comme pour apaiser la chair, et ses doigts s’engouffrent dans le sexe de la jeune femme qui les accueille avec plaisir. Avec son smartphone, Fabien prend quelques photos afin d’immortaliser l’instant.

Puis, comme ils n’ont pas toute la journée et qu’il est bien excité, il décide de ne pas perdre plus de temps et de passer aux choses sérieuses. Son sexe, une fois libéré, se positionne le long des lèvres intimes d’Aurore. D’un coup de reins il s’engouffre dans la caverne humide. Aurore, qui n’attendait que ça, pousse un gémissement de contentement. Fabien commence alors à la ramoner sans douceur. N’étant plus son petit ami, il ne voit pas l’intérêt d’y aller doucement. Il ne se sent plus obligé de penser à son plaisir à elle : seul le sien le préoccupe. Elle lui est offerte et soumise, après tout. Mais il semble que, malgré tout, la situation convient très bien à la demoiselle vu comment elle couine à chaque coup de reins. Alors Fabien accélère la cadence. Il s’agrippe bien aux hanches et baise Aurore de toutes ses forces. Il n’oublie pas de filmer le spectacle ; il s’en voudrait d’en rater la moindre miette. Voir gémir Aurore sous ses assauts est très révélateur : elle aime se faire baiser ; à la vue de ces images, on ne peut pas en douter. Aurore est une salope, et une salope qui lui est pour le moment soumise. Il en profite comme jamais. Il la baise, lui défonce la chatte. Aurore pousse des « oui » de bonheur et des « encore » ou « défonce-moi » d’encouragement. Fabien sourit ; voilà le vrai visage d’Aurore. Elle a beau jouer la sainte, la prude, la jeune femme sage auprès de tout le monde, lui connaît la véritable Aurore. La belle, la bandante, la si excitante Aurore...

Il sent la pression grimper rapidement en lui. Il ne va pas tarder à jouir, alors il la fait s’agenouiller devant lui et présente son gland devant ce visage féminin parfait. Elle comprend ce qu’il attend d’elle et ouvre sa bouche en grand afin d’accueillir les flots de sperme qu’il déverse. Elle sait que désormais elle n’a plus le choix, et avale tout sous l’objectif du smartphone de Fabien. Les deux jeunes remettent un peu d’ordre à leur tenue et s’apprêtent à se séparer.

— Tu me rends ma culotte maintenant ?
— Non, je vais la garder.
— Quoi ? Mais si jamais quelqu’un s’en aperçoit, ma réputation est foutue.
— Ce n’est pas mon problème, ricane-t-il.


***


— Alors c’est là que tu habites ! s’enthousiasme Aurore.
— Oui, confirme Lucas. Ce n’est pas très grand, mais c’est plutôt un coin agréable.
— Ouais, j’ai vu ça. C’est vrai que ça a l’air tranquille comme coin.

Le week-end est arrivé, et comme promis Lucas a invité Aurore chez lui pour l’après-midi. Il lui fait rapidement le tour de l’appartement en finissant par sa chambre dans laquelle il l’invite à entrer.

— Tes parents ne sont pas là ? demande-t-elle.
— Non, ils ne rentrent que ce soir. Nous allons pouvoir être tranquilles, lui dit-il en l’invitant d’un signe à s’asseoir sur le lit.
— Tu sais, je ne me sens toujours pas prête.
— Ce n’est pas grave, ne t’inquiète pas, lui dit-il avec un sourire rassurant.

Il lance alors sur son ordinateur une playlist rassemblant tous les morceaux préférés d’Aurore. Cette dernière est touchée par cette délicate attention : Fabien n’en a jamais fait autant. Pour lui, c’était du hard rock barbare ou rien d’autre.

La discussion entre les deux jeunes commence naturellement. Ils échangent sur la musique, les cours… C’est alors que Lucas, toujours installé à son bureau, aborde le sujet de la cuisine. Il avoue apprécier de temps en temps préparer de bons petits plats.

— Toi ? Tu cuisines ? s’étonne Aurore.
— Ouais, ça m’arrive. Si tu veux, tu peux rester manger ce soir. Je te montrerai mes talents.
— Oui, j’en serais ravie, sourit-elle. J’en profiterai pour rencontrer tes parents. Ils seront bien rentrés, au moins ?
— Oui. Tu n’as qu’à me dire ton plat préféré, et je m’arrange pour te le préparer ce soir.
— Chiche ! Alors ça sera brandade de morue au menu.
— Ah merde, il me manque l’ingrédient principal.
— Ah, dommage...
— Ce sera pour une prochaine fois. Promis !

Lucas peut se montrer surprenant, reconnaît Aurore. C’est bien la première fois qu’elle apprend qu’un garçon cuisine, et qu’en plus il se propose de lui préparer son plat préféré. C’est plutôt mignon. Il est si différent de Fabien. Même quand ils étaient en couple, ce dernier n’a toujours pensé qu’à lui. Dommage que Lucas soit si peu attirant physiquement : il aurait pu faire un petit ami parfait.

Ses pensées sont perturbées par son portable qui vibre. Un SMS ! Elle a une bouffée de chaleur quand elle voit l’identité de l’expéditeur : Fabien. À la lecture de son nom, elle se remémore leurs excès de la veille. Fabien l’a baisée dans une nouvelle position qu’il a voulue tester. Résultat : la séance a été chaude, mais aujourd’hui Aurore a le dos bousillé. Elle peine à retenir une grimace de douleur à chaque fois qu’elle fait un mouvement sur le lit. Elle lit donc le SMS. Que lui veut-il aujourd’hui ?

« J’ai une mission pour toi. Tu as jusqu’à 18h pour sucer un autre mec et pour m’envoyer une photo de toi, ton visage maculé de son sperme. Et avec le sourire en prime. Bonne chance ; ) »

Une boule au ventre la prend à la lecture de ce message. « Mais il est fou ! » pense-t-elle. C’est bien la première fois qu’il fait intervenir une tierce personne dans leurs jeux.

« Je ne peux pas. Je suis chez Lucas, là, comme je te l’ai dit hier. » lui répond-elle.

La réponse arrive sous peu : « Je m’en fous. À toi de te débarrasser de ce minable, ou il saura tout de toi. Si à 18h je n’ai rien, alors je lui révèlerai ton vrai visage. Bisou, ma salope adorée ; ) »

Merde ! Cela n’arrange pas les affaires d’Aurore. Mais après tout, elle ne peut s’en prendre qu’à elle-même. C’est elle qui s’est mise dans cette situation. Bon, que faire ? Elle pourrait sucer Lucas : ce serait le plus simple, et elle n’aurait pas besoin de partir. Mais non ; même si elle a appris à apprécier Lucas, elle ne peut se résoudre à en arriver à une telle extrémité.

— Un problème ? demande Lucas, la voyant songeuse.
— C’est mon dos, il me fait mal.

Ce n’est pas vraiment ce qui la préoccupe, mais ce n’est pas faux pour autant. Lucas, en bon gentleman, propose alors de lui masser le dos pour la soulager. Aurore accepte. Elle aura ainsi le temps de réfléchir à une solution. Encore une attention que n’aurait pas eue Fabien.
Lucas se place derrière elle et commence de tendres gestes sur les épaules d’Aurore. Ses mains s’occupent aussi de sa colonne vertébrale, de son cou, et finalement de ses reins. Le jeune homme se montre très doué, et encore une fois attentionné. Aurore commence à se détendre et à apprécier les caresses. Le massage se révèle efficace ; la douleur se fait moins présente. Elle oublie même le défi que lui a lancé Fabien. Elle se laisse aller au bien-être que lui procure Lucas. Alors elle ne fait rien quand les mains de Lucas migrent sur ses seins et commencent à les malaxer. Elle se contente de gémir de bonheur.

Jamais Fabien ne se serait montré si doux ; il serait allé directement aux seins. Vraiment dommage que Lucas ne soit pas un beau gosse. Elle a soudain des remords à le manipuler ainsi. Il est si gentil et dévoué... Elle a l’impression d’être une perle entre ses mains. Elle pourrait peut-être le sucer pour le remercier ? Non ! Le mieux à faire serait de mettre fin à cette histoire. Mais elle ne peut se résoudre à cette solution. Maintenant qu’elle s’est engagée sur cette voie, elle ne peut plus faire marche arrière.
Soudain, se reprenant en main, elle met violemment fin à leur contact et repousse le jeune homme.

— J’ai fait quelque chose de mal ? s’inquiète Lucas.
— Non, rien. Désolée, c’est moi… Je ne me sens pas très bien d’un coup, bredouille-t-elle comme excuse. Je crois que je vais rentrer chez moi maintenant. Je suis vraiment désolée.
— Euh, OK, comme tu préfères, répond-il, déconcerté. Si je peux faire quelque chose pour t’aider, n’hésite pas.
— Merci, c’est gentil. Je voulais vraiment manger tes plats et rencontrer tes parents. On peut peut-être remettre ça au week-end prochain ?
— OK, pas de souci. J’aurai ainsi le temps de me procurer de la morue.

Aurore s’enfuit de la maison de Lucas sans tarder. Sa montre indique déjà quinze heures trente. Il faut qu’elle trouve une solution pour accomplir sa mission. Elle se dirige vers l’arrêt de bus en réfléchissant à une solution. Le bus arrive plusieurs minutes après elle. Elle grimpe, et le véhicule prend la direction de sa rue.

Elle réfléchit à une solution. Qui va-t-elle bien pouvoir sucer ? Peut-être ce type qui vient de s’asseoir à côté d’elle et qui lui reluque les cuisses. Non, il ne semble pas très propre ; et puis elle a trop peur de se faire surprendre. Elle fouille dans les contacts de son téléphone et trouve un bon candidat. Sébastien est un ami de longue date qui a toujours eu un faible pour elle. Sans attendre, elle lui envoie un SMS : « T’es chez toi ? Je peux passer ? » La réponse ne tarde pas : « Ouais, pas de problème. » Ouf, la voilà sauvée.

Elle se rend chez elle pour se changer et mettre quelque chose de plus aguichant : jupe courte et un joli décolleté. Heureusement que ses parents ne rentrent pas avant 22h sinon ils auraient fait une crise cardiaque en la voyant sortir dans cette tenue. Hop, elle enlève ses sous-vêtements. Elle n’aura pas de temps à perdre à jouer au chat et à la souris ; elle doit donc faire clairement comprendre pourquoi elle est là.

Dix minutes plus tard elle sonne chez Sébastien. Ce dernier lui ouvre et est étonné de la découvrir dans cette tenue. Il la fait entrer, en profitant pour lorgner son postérieur parfaitement moulé dans cette jupe. Il la mène jusqu’à sa chambre, où Aurore est surprise de découvrir qu’il n’est pas seul. Apparemment, Sébastien avait organisé un après-midi console avec un de ses amis. Merde ! Elle n’a pas prévu ce désagrément. Comment va-t-elle se débarrasser de ce gêneur avant dix-huit heures ?

Aurore s’installe sur le canapé entre Sébastien et son pote, un certain Damien qui ne se gêne pas pour la reluquer.

— Alors, ça faisait longtemps que tu n’étais pas venue ici, lance Sébastien pour démarrer la conversation.
— Ouais, justement. Voilà pourquoi je suis venue.

Sébastien laisse les deux autres pour aller se ravitailler en bière. Damien ne perd pas de temps et demande à Aurore si elle a un copain.

— Oui, j’en ai un.
— Et il te laisse allez chez d’autre mecs dans une tenue si sexy ? Il n’a pas peur ?
— Il n’est pas au courant, avoue Aurore.
— Tu as raison de ne rien lui dire. Comme ça, tu peux faire ce que tu veux sans avoir à lui rendre de comptes, lui lance-t-il en l’accompagnant d’un clin d’œil.

Aurore rougit. Nul doute qu’elle ne se débarrassera pas de ce type. Il a très bien compris pourquoi elle était là ; il va donc squatter ici tant qu’elle y sera. Voilà Sébastien qui revient avec des bières fraîches. Il s’installe sur le canapé et propose à son pote de reprendre leur partie tout en menant la conversation avec Aurore. C’est un jeu de guerre qui anime l’écran, opposant les deux joueurs l’un contre l’autre. Apparemment, Damien mène le score.

— Pouf, c’est trop facile, se vante-t-il. Tu veux essayer, Aurore ?
— Pourquoi pas ?

Il lui donne la manette et lui explique rapidement les commandes, en profitant pour se coller un peu plus à elle. Aurore sent le souffle chaud du garçon dans son cou quand il lui parle. Il la dévore des yeux. Elle sait qu’il a envie d’elle. La situation l’excite. Il n’est pas trop mal foutu, en plus. De toute façon, elle ne va pas avoir vraiment le choix si elle veut remplir sa mission.

Tandis qu’il lui donne des conseils sur la partie, il pose sa main sur la cuisse d’Aurore et commence à la caresser doucement, puis s’enhardit quand il ne voit aucune protestation. Malgré l’intérêt que porte Sébastien au jeu, la situation ne lui a pas échappée. Il ne tarde pas à abandonner sa manette et à venir s’occuper de l’autre cuisse d’Aurore. Cette fois, elle ne peut plus faire marche arrière. En aurait-elle envie ?

Elle se laisse aller à ces attouchements. Les mains s’engouffrent sous sa jupe et sont heureuses de découvrir une chatte dénudée et tout humide. Aurore, qui écarte maintenant les cuisses bien en grand, pose ses mains sur les bosses de deux gars. Ces derniers libèrent leur sexe pour qu’Aurore les caresse. Elle se sent flattée d’avoir deux si magnifiques virilités entre ses doigts. Ses partenaires lui retirent son haut et jouent maintenant avec ses seins tandis qu’elle les masturbe. Sébastien l’embrasse, puis c’est au tour de Damien de faire de même. Leurs bouches n’oublient pas de venir s’occuper aussi de son cou et de ses seins. Aurore n’est pas déçue de ce qui lui arrive. C’est la première fois qu’elle se retrouve aux prises avec deux mecs. La situation l’excite beaucoup. Sentir quatre mains se promener sur elle, sentir deux langues glisser sur ses tétons tendus la rend dingue.

Finalement, le temps d’accomplir sa mission est arrivé. Elle s’agenouille devant les deux gars et commence à gober le sexe de Sébastien tandis qu’elle masturbe encore Damien. Elle a toujours aimé le goût des sexes masculins, et penser qu’aujourd’hui elle en a deux pour elle l’excite un max. Sa bouche passe d’un pénis à l’autre, les suçotant, les léchant ou les gobant complètement. Elle se régale ! Visiblement, les mecs apprécient aussi. Elle se sent salope et aime ça.

Sébastien a du mal à croire ce qu’il lui arrive. Depuis le temps qu’il fantasmait sur Aurore et qu’il avait finalement abandonné l’espoir de se la faire un jour, et là elle vient d’elle-même s’offrir sans qu’on ne lui demande rien. Il ne comprend pas ce qu’il lui prend, mais est bien décidé à en profiter. La plus belle fille qu’il connaît est en train de lui pomper la bite : il ne va pas laisser passer cette chance.

C’est Damien qui montre le premier des signes de sa future jouissance. Aurore crache donc son sexe et le branle au-dessus de son visage. Il n’est pas long à éjaculer de lourdes giclées qui s’écrasent sur le visage angélique de la belle. Elle finit par nettoyer d’un coup de langue habile ce sexe pour terminer de s’occuper du second. Le résultat est identique, à peine deux minutes plus tard. Aurore leur tend son téléphone et leur demande de la prendre en photo. Elle n’oublie pas de sourire. Mission accomplie ! Elle part de chez Sébastien deux heures plus tard après s’être fait bien baiser.

Auteur : Nathan Kari

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