Aurore a une jupe aujourd’hui, au grand bonheur de
Lucas qui peut ainsi profiter de la vue de ses longues et magnifiques
jambes. C’est la première fois qu’il la voit ainsi vêtue. Jusqu’à
maintenant, elle a toujours privilégié des tenues plus sages. Alors
Lucas s’est amusé durant toute la matinée et le midi à lui caresser
discrètement sous la table ses cuisses dénudées. Mais Aurore s’entête à
repousser sans cesse ses assauts, au grand dam du jeune homme.
— Comprends-moi, lui explique-t-elle. Je ne me sens toujours pas prête. Et puis je n’aime pas vraiment l’idée que tu me touches parmi tous ces gens.
— OK, je comprends. J’avoue, j’ai exagéré. Comment puis-je me faire pardonner ?
— Invite-moi chez toi. Tu m’avais promis que tu le ferais.
— Et tes parents, qu’est-ce qu’ils vont dire ? Tu leur as dit pour moi ?
— Comprends-moi, lui explique-t-elle. Je ne me sens toujours pas prête. Et puis je n’aime pas vraiment l’idée que tu me touches parmi tous ces gens.
— OK, je comprends. J’avoue, j’ai exagéré. Comment puis-je me faire pardonner ?
— Invite-moi chez toi. Tu m’avais promis que tu le ferais.
— Et tes parents, qu’est-ce qu’ils vont dire ? Tu leur as dit pour moi ?
— Non, toujours pas, admet-elle. Je leur dirai que je vais chez une copine.
— Alors c’est OK. Je demanderai à mes parents si tu peux venir ce week-end.
— C’est vrai ?
— Bien sûr.
— Cool ! Je t’aime, déclare-t-elle avant de l’embrasser fougueusement.
— Moi aussi, soupire-t-il.
— Bon, j’ai un truc à aller faire, déclare-t-elle en brisant leur étreinte. Je te rejoins tout à l’heure.
— Pas de problème.
Et
Aurore part avec hâte en lui lançant un dernier sourire jovial. Elle
grimpe rapidement les escaliers jusqu’au premier étage avant d’emprunter
un couloir vide et d’aller frapper à la porte d’une classe.
— Entre, fait une voix masculine.
Aurore obéit et découvre Fabien à l’intérieur. Il est assis sur le bureau, l’œil déjà surexcité.
— Vas-y, ferme à clé. Ainsi, on ne sera pas dérangé. Les clés sont sur la porte.
— Comment te les es-tu procurées ? demande-t-elle en verrouillant la porte.
— Secret défense ! plaisante-t-il.
Il
se lève et se colle derrière son ex. Celle-ci sent déjà une bosse
plaquée sur ses fesses. En réaction, Aurore se met à se frotter dessus.
Fabien l’embrasse dans le cou, ce qui provoque un frisson le long de sa
colonne vertébrale. Les mains du garçon s’attardent sur sa poitrine,
puis l’une d’elles descend sur son ventre avant d’atteindre une cuisse.
— Alors je vois que tu as été obéissante, remarque-t-il, satisfait.
— Oui : j’ai pris la plus courte que j’avais, comme tu me l’as demandé.
La main de Fabien s’engouffre sous le tissu et trouve une culotte humide.
— Finalement, tu n’as pas été complètement obéissante. Je t’avais demandé de ne rien mettre en dessous.
—
Tu es fou ! Mes parents m’ont déjà fait une scène quand ils ont vu
comment j’étais habillée ; alors si je n’avais pas mis de culotte et
qu’ils s’en soient aperçus, ils m’auraient tuée.
— Ce n’est pas mon problème. Retire-la.
Aurore
obéit, fait glisser le bout de tissu le long de ses jambes, se baisse
pour le ramasser et le cède à Fabien. Ce dernier renifle ce cadeau puis
le range dans sa poche. Il invite ensuite Aurore à venir s’appuyer sur
le bureau, à tendre le cul et à écarter les cuisses. Il remonte la jupe
afin de découvrir ce magnifique derrière. Quelques claques font rougir
les blanches fesses, puis, il les caresse comme pour apaiser la chair,
et ses doigts s’engouffrent dans le sexe de la jeune femme qui les
accueille avec plaisir. Avec son smartphone, Fabien prend quelques
photos afin d’immortaliser l’instant.
Puis, comme ils n’ont pas
toute la journée et qu’il est bien excité, il décide de ne pas perdre
plus de temps et de passer aux choses sérieuses. Son sexe, une fois
libéré, se positionne le long des lèvres intimes d’Aurore. D’un coup de
reins il s’engouffre dans la caverne humide. Aurore, qui n’attendait que
ça, pousse un gémissement de contentement. Fabien commence alors à la
ramoner sans douceur. N’étant plus son petit ami, il ne voit pas
l’intérêt d’y aller doucement. Il ne se sent plus obligé de penser à son
plaisir à elle : seul le sien le préoccupe. Elle lui est offerte et
soumise, après tout. Mais il semble que, malgré tout, la situation
convient très bien à la demoiselle vu comment elle couine à chaque coup
de reins. Alors Fabien accélère la cadence. Il s’agrippe bien aux
hanches et baise Aurore de toutes ses forces. Il n’oublie pas de filmer
le spectacle ; il s’en voudrait d’en rater la moindre miette. Voir gémir
Aurore sous ses assauts est très révélateur : elle aime se faire baiser
; à la vue de ces images, on ne peut pas en douter. Aurore est une
salope, et une salope qui lui est pour le moment soumise. Il en profite
comme jamais. Il la baise, lui défonce la chatte. Aurore pousse des «
oui » de bonheur et des « encore » ou « défonce-moi » d’encouragement.
Fabien sourit ; voilà le vrai visage d’Aurore. Elle a beau jouer la
sainte, la prude, la jeune femme sage auprès de tout le monde, lui
connaît la véritable Aurore. La belle, la bandante, la si excitante
Aurore...
Il sent la pression grimper rapidement en lui. Il ne va
pas tarder à jouir, alors il la fait s’agenouiller devant lui et
présente son gland devant ce visage féminin parfait. Elle comprend ce
qu’il attend d’elle et ouvre sa bouche en grand afin d’accueillir les
flots de sperme qu’il déverse. Elle sait que désormais elle n’a plus le
choix, et avale tout sous l’objectif du smartphone de Fabien. Les deux
jeunes remettent un peu d’ordre à leur tenue et s’apprêtent à se
séparer.
— Tu me rends ma culotte maintenant ?
— Non, je vais la garder.
— Quoi ? Mais si jamais quelqu’un s’en aperçoit, ma réputation est foutue.
— Ce n’est pas mon problème, ricane-t-il.
***
— Alors c’est là que tu habites ! s’enthousiasme Aurore.
— Oui, confirme Lucas. Ce n’est pas très grand, mais c’est plutôt un coin agréable.
— Ouais, j’ai vu ça. C’est vrai que ça a l’air tranquille comme coin.
Le
week-end est arrivé, et comme promis Lucas a invité Aurore chez lui
pour l’après-midi. Il lui fait rapidement le tour de l’appartement en
finissant par sa chambre dans laquelle il l’invite à entrer.
— Tes parents ne sont pas là ? demande-t-elle.
—
Non, ils ne rentrent que ce soir. Nous allons pouvoir être tranquilles,
lui dit-il en l’invitant d’un signe à s’asseoir sur le lit.
— Tu sais, je ne me sens toujours pas prête.
— Ce n’est pas grave, ne t’inquiète pas, lui dit-il avec un sourire rassurant.
Il
lance alors sur son ordinateur une playlist rassemblant tous les
morceaux préférés d’Aurore. Cette dernière est touchée par cette
délicate attention : Fabien n’en a jamais fait autant. Pour lui, c’était
du hard rock barbare ou rien d’autre.
La discussion entre les
deux jeunes commence naturellement. Ils échangent sur la musique, les
cours… C’est alors que Lucas, toujours installé à son bureau, aborde le
sujet de la cuisine. Il avoue apprécier de temps en temps préparer de
bons petits plats.
— Toi ? Tu cuisines ? s’étonne Aurore.
— Ouais, ça m’arrive. Si tu veux, tu peux rester manger ce soir. Je te montrerai mes talents.
— Oui, j’en serais ravie, sourit-elle. J’en profiterai pour rencontrer tes parents. Ils seront bien rentrés, au moins ?
— Oui. Tu n’as qu’à me dire ton plat préféré, et je m’arrange pour te le préparer ce soir.
— Chiche ! Alors ça sera brandade de morue au menu.
— Ah merde, il me manque l’ingrédient principal.
— Ah, dommage...
— Ce sera pour une prochaine fois. Promis !
Lucas
peut se montrer surprenant, reconnaît Aurore. C’est bien la première
fois qu’elle apprend qu’un garçon cuisine, et qu’en plus il se propose
de lui préparer son plat préféré. C’est plutôt mignon. Il est si
différent de Fabien. Même quand ils étaient en couple, ce dernier n’a
toujours pensé qu’à lui. Dommage que Lucas soit si peu attirant
physiquement : il aurait pu faire un petit ami parfait.
Ses
pensées sont perturbées par son portable qui vibre. Un SMS ! Elle a une
bouffée de chaleur quand elle voit l’identité de l’expéditeur : Fabien. À
la lecture de son nom, elle se remémore leurs excès de la veille.
Fabien l’a baisée dans une nouvelle position qu’il a voulue tester.
Résultat : la séance a été chaude, mais aujourd’hui Aurore a le dos
bousillé. Elle peine à retenir une grimace de douleur à chaque fois
qu’elle fait un mouvement sur le lit. Elle lit donc le SMS. Que lui
veut-il aujourd’hui ?
« J’ai une mission pour toi. Tu as jusqu’à
18h pour sucer un autre mec et pour m’envoyer une photo de toi, ton
visage maculé de son sperme. Et avec le sourire en prime. Bonne chance ;
) »
Une boule au ventre la prend à la lecture de ce message. « Mais il est fou ! » pense-t-elle. C’est bien la première fois qu’il fait intervenir une tierce personne dans leurs jeux.
« Je ne peux pas. Je suis chez Lucas, là, comme je te l’ai dit hier. » lui répond-elle.
La
réponse arrive sous peu : « Je m’en fous. À toi de te débarrasser de ce
minable, ou il saura tout de toi. Si à 18h je n’ai rien, alors je lui
révèlerai ton vrai visage. Bisou, ma salope adorée ; ) »
Merde !
Cela n’arrange pas les affaires d’Aurore. Mais après tout, elle ne peut
s’en prendre qu’à elle-même. C’est elle qui s’est mise dans cette
situation. Bon, que faire ? Elle pourrait sucer Lucas : ce serait le
plus simple, et elle n’aurait pas besoin de partir. Mais non ; même si
elle a appris à apprécier Lucas, elle ne peut se résoudre à en arriver à
une telle extrémité.
— Un problème ? demande Lucas, la voyant songeuse.
— C’est mon dos, il me fait mal.
Ce
n’est pas vraiment ce qui la préoccupe, mais ce n’est pas faux pour
autant. Lucas, en bon gentleman, propose alors de lui masser le dos pour
la soulager. Aurore accepte. Elle aura ainsi le temps de réfléchir à
une solution. Encore une attention que n’aurait pas eue Fabien.
Lucas
se place derrière elle et commence de tendres gestes sur les épaules
d’Aurore. Ses mains s’occupent aussi de sa colonne vertébrale, de son
cou, et finalement de ses reins. Le jeune homme se montre très doué, et
encore une fois attentionné. Aurore commence à se détendre et à
apprécier les caresses. Le massage se révèle efficace ; la douleur se
fait moins présente. Elle oublie même le défi que lui a lancé Fabien.
Elle se laisse aller au bien-être que lui procure Lucas. Alors elle ne
fait rien quand les mains de Lucas migrent sur ses seins et commencent à
les malaxer. Elle se contente de gémir de bonheur.
Jamais Fabien
ne se serait montré si doux ; il serait allé directement aux seins.
Vraiment dommage que Lucas ne soit pas un beau gosse. Elle a soudain des
remords à le manipuler ainsi. Il est si gentil et dévoué... Elle a
l’impression d’être une perle entre ses mains. Elle pourrait peut-être
le sucer pour le remercier ? Non ! Le mieux à faire serait de mettre fin
à cette histoire. Mais elle ne peut se résoudre à cette solution.
Maintenant qu’elle s’est engagée sur cette voie, elle ne peut plus faire
marche arrière.
Soudain, se reprenant en main, elle met violemment fin à leur contact et repousse le jeune homme.
— J’ai fait quelque chose de mal ? s’inquiète Lucas.
—
Non, rien. Désolée, c’est moi… Je ne me sens pas très bien d’un coup,
bredouille-t-elle comme excuse. Je crois que je vais rentrer chez moi
maintenant. Je suis vraiment désolée.
— Euh, OK, comme tu préfères, répond-il, déconcerté. Si je peux faire quelque chose pour t’aider, n’hésite pas.
—
Merci, c’est gentil. Je voulais vraiment manger tes plats et rencontrer
tes parents. On peut peut-être remettre ça au week-end prochain ?
— OK, pas de souci. J’aurai ainsi le temps de me procurer de la morue.
Aurore
s’enfuit de la maison de Lucas sans tarder. Sa montre indique déjà
quinze heures trente. Il faut qu’elle trouve une solution pour accomplir
sa mission. Elle se dirige vers l’arrêt de bus en réfléchissant à une
solution. Le bus arrive plusieurs minutes après elle. Elle grimpe, et le
véhicule prend la direction de sa rue.
Elle réfléchit à une
solution. Qui va-t-elle bien pouvoir sucer ? Peut-être ce type qui vient
de s’asseoir à côté d’elle et qui lui reluque les cuisses. Non, il ne
semble pas très propre ; et puis elle a trop peur de se faire
surprendre. Elle fouille dans les contacts de son téléphone et trouve un
bon candidat. Sébastien est un ami de longue date qui a toujours eu un
faible pour elle. Sans attendre, elle lui envoie un SMS : « T’es chez
toi ? Je peux passer ? » La réponse ne tarde pas : « Ouais, pas de
problème. » Ouf, la voilà sauvée.
Elle se rend chez elle pour se
changer et mettre quelque chose de plus aguichant : jupe courte et un
joli décolleté. Heureusement que ses parents ne rentrent pas avant 22h
sinon ils auraient fait une crise cardiaque en la voyant sortir dans
cette tenue. Hop, elle enlève ses sous-vêtements. Elle n’aura pas de
temps à perdre à jouer au chat et à la souris ; elle doit donc faire
clairement comprendre pourquoi elle est là.
Dix minutes plus tard
elle sonne chez Sébastien. Ce dernier lui ouvre et est étonné de la
découvrir dans cette tenue. Il la fait entrer, en profitant pour lorgner
son postérieur parfaitement moulé dans cette jupe. Il la mène jusqu’à
sa chambre, où Aurore est surprise de découvrir qu’il n’est pas seul.
Apparemment, Sébastien avait organisé un après-midi console avec un de
ses amis. Merde ! Elle n’a pas prévu ce désagrément. Comment va-t-elle
se débarrasser de ce gêneur avant dix-huit heures ?
Aurore s’installe sur le canapé entre Sébastien et son pote, un certain Damien qui ne se gêne pas pour la reluquer.
— Alors, ça faisait longtemps que tu n’étais pas venue ici, lance Sébastien pour démarrer la conversation.
— Ouais, justement. Voilà pourquoi je suis venue.
Sébastien
laisse les deux autres pour aller se ravitailler en bière. Damien ne
perd pas de temps et demande à Aurore si elle a un copain.
— Oui, j’en ai un.
— Et il te laisse allez chez d’autre mecs dans une tenue si sexy ? Il n’a pas peur ?
— Il n’est pas au courant, avoue Aurore.
—
Tu as raison de ne rien lui dire. Comme ça, tu peux faire ce que tu
veux sans avoir à lui rendre de comptes, lui lance-t-il en
l’accompagnant d’un clin d’œil.
Aurore rougit. Nul doute qu’elle
ne se débarrassera pas de ce type. Il a très bien compris pourquoi elle
était là ; il va donc squatter ici tant qu’elle y sera. Voilà Sébastien
qui revient avec des bières fraîches. Il s’installe sur le canapé et
propose à son pote de reprendre leur partie tout en menant la
conversation avec Aurore. C’est un jeu de guerre qui anime l’écran,
opposant les deux joueurs l’un contre l’autre. Apparemment, Damien mène
le score.
— Pouf, c’est trop facile, se vante-t-il. Tu veux essayer, Aurore ?
— Pourquoi pas ?
Il
lui donne la manette et lui explique rapidement les commandes, en
profitant pour se coller un peu plus à elle. Aurore sent le souffle
chaud du garçon dans son cou quand il lui parle. Il la dévore des yeux.
Elle sait qu’il a envie d’elle. La situation l’excite. Il n’est pas trop
mal foutu, en plus. De toute façon, elle ne va pas avoir vraiment le
choix si elle veut remplir sa mission.
Tandis qu’il lui donne des
conseils sur la partie, il pose sa main sur la cuisse d’Aurore et
commence à la caresser doucement, puis s’enhardit quand il ne voit
aucune protestation. Malgré l’intérêt que porte Sébastien au jeu, la
situation ne lui a pas échappée. Il ne tarde pas à abandonner sa manette
et à venir s’occuper de l’autre cuisse d’Aurore. Cette fois, elle ne
peut plus faire marche arrière. En aurait-elle envie ?
Elle se
laisse aller à ces attouchements. Les mains s’engouffrent sous sa jupe
et sont heureuses de découvrir une chatte dénudée et tout humide.
Aurore, qui écarte maintenant les cuisses bien en grand, pose ses mains
sur les bosses de deux gars. Ces derniers libèrent leur sexe pour
qu’Aurore les caresse. Elle se sent flattée d’avoir deux si magnifiques
virilités entre ses doigts. Ses partenaires lui retirent son haut et
jouent maintenant avec ses seins tandis qu’elle les masturbe. Sébastien
l’embrasse, puis c’est au tour de Damien de faire de même. Leurs
bouches n’oublient pas de venir s’occuper aussi de son cou et de ses
seins. Aurore n’est pas déçue de ce qui lui arrive. C’est la première
fois qu’elle se retrouve aux prises avec deux mecs. La situation
l’excite beaucoup. Sentir quatre mains se promener sur elle, sentir deux
langues glisser sur ses tétons tendus la rend dingue.
Finalement,
le temps d’accomplir sa mission est arrivé. Elle s’agenouille devant
les deux gars et commence à gober le sexe de Sébastien tandis qu’elle
masturbe encore Damien. Elle a toujours aimé le goût des sexes
masculins, et penser qu’aujourd’hui elle en a deux pour elle l’excite un
max. Sa bouche passe d’un pénis à l’autre, les suçotant, les léchant ou
les gobant complètement. Elle se régale ! Visiblement, les mecs
apprécient aussi. Elle se sent salope et aime ça.
Sébastien a du
mal à croire ce qu’il lui arrive. Depuis le temps qu’il fantasmait sur
Aurore et qu’il avait finalement abandonné l’espoir de se la faire un
jour, et là elle vient d’elle-même s’offrir sans qu’on ne lui demande
rien. Il ne comprend pas ce qu’il lui prend, mais est bien décidé à en
profiter. La plus belle fille qu’il connaît est en train de lui pomper
la bite : il ne va pas laisser passer cette chance.
C’est Damien
qui montre le premier des signes de sa future jouissance. Aurore crache
donc son sexe et le branle au-dessus de son visage. Il n’est pas long à
éjaculer de lourdes giclées qui s’écrasent sur le visage angélique de la
belle. Elle finit par nettoyer d’un coup de langue habile ce sexe pour
terminer de s’occuper du second. Le résultat est identique, à peine deux
minutes plus tard. Aurore leur tend son téléphone et leur demande de la
prendre en photo. Elle n’oublie pas de sourire. Mission accomplie !
Elle part de chez Sébastien deux heures plus tard après s’être fait bien
baiser.
Auteur : Nathan Kari
Lisez la suite
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire