Voilà déjà quelques mois que la nouvelle année
 scolaire a commencé au lycée Alphonse de Lamartine de Méronze. 
Aujourd’hui, c’est cours de math pour cette classe de terminale S. Le 
prof, monsieur Thurin, vient tout juste de donner un important devoir 
maison à rendre pour la semaine suivante, pouvant être réalisé en 
binôme. La fin de l’heure retentit et les élèves se rassemblent déjà en 
équipes de deux suivant les différentes affinités. C’est alors qu’une 
fille du nom d’Aurore, joli minois souriant aux yeux bleus et aux longs 
cheveux noirs, s’approche de Lucas. Du haut de ses 18 ans – âge de la 
plupart de ses camarades – Aurore fait tourner bien des têtes avec son 
allure sensuelle et son regard envoûtant.
Quant à lui, Lucas est à la banalité ce qu’Aurore est à la beauté. Ce n’est pas qu’il soit laid ; c’est plutôt qu’il n’a rien pour se faire remarquer. Il n’a pas ce petit détail qui le rend original et qui peut en faire craquer beaucoup. Par-dessus ça, ses tenues sont toujours simples et peu détaillées, sans motifs, parfaitement banales.
Quant à lui, Lucas est à la banalité ce qu’Aurore est à la beauté. Ce n’est pas qu’il soit laid ; c’est plutôt qu’il n’a rien pour se faire remarquer. Il n’a pas ce petit détail qui le rend original et qui peut en faire craquer beaucoup. Par-dessus ça, ses tenues sont toujours simples et peu détaillées, sans motifs, parfaitement banales.
— Ça te dirait qu’on se mette ensemble pour le DM ?
— Euh… oui, balbutie Lucas, étonné.
— Très bien. Alors on en reparle tout à l’heure pour s’organiser, lance-t-elle, satisfaite.
Et
 la merveilleuse apparition disparaît aussi rapidement qu’elle a surgi. 
Lucas arrive à peine à y croire. Comment se fait-il que la plus belle 
fille de la classe – peut-être même du lycée – veuille d’un coup 
travailler avec lui ? Depuis le début d’année, elle ne lui a jamais 
adressé la parole. C’est à peine si elle a posé un regard sur lui ; et 
là, elle veut bosser avec lui alors qu’elle ne manque pas de candidats !
 
Lui, en revanche, l’a beaucoup observée. Déjà pour se régaler 
de sa beauté, et ensuite pour tenter de percer à jour la véritable 
Aurore. Car oui, il a cette impression étrange qu’elle n’est pas ce 
qu’elle montre d’elle. C’est une fille bien, toujours souriante et 
agréable avec son entourage, jamais un mot de mépris, toujours habillée 
sagement. Ses vêtements la mettent en valeur mais jamais ne la rendent 
vulgaire. Son comportement est d’une sagesse exemplaire. Aucune rumeur 
ne lui fait de l’ombre. Elle a bien un petit-ami – Fabien, à qui Lucas 
préfère ne pas penser – mais depuis plusieurs jours Lucas ne les a pas 
vus ensemble. Bref, elle semble bien sous tous les rapports.
Pourtant
 Lucas a cette étrange impression que derrière cette façade se trouve 
une autre Aurore, bien moins reluisante. Ses anciennes expériences avec 
d’autres jolies filles l’ont amené à développer une certaine méfiance 
vis-à-vis d’elles. Il en est venu à la conclusion que plus une fille est
 jolie, plus elle aura tendance à se servir de sa beauté pour manipuler 
son entourage ou à se croire supérieure. Bien sûr, il n’en fait pas une 
vérité absolue, mais l’idée ne le quitte jamais. C’est cette question 
qui l’intrigue à propos d’Aurore : qui est-elle vraiment ? Peut-être que
 le moment qu’ils passeront ensemble l’amènera à trouver une réponse à 
cette question.
Lucas a une théorie : depuis le début d’année, il
 semble s’être fait remarquer par ses camarades pour ses aptitudes en 
math. Il n’a pas des résultats exceptionnels, mais semble beaucoup mieux
 s’en sortir que la plupart des autres élèves. Il s’imagine donc que 
c’est cette raison qui amène Aurore à vouloir collaborer avec lui. Elle 
ne chercherait, en fait, qu’à profiter de ses talents. Seul un élément 
vient perturber cette théorie : elle ne s’est pas fait remarquer par des
 résultats médiocres. 
***
Ils
 se sont réunis tous les deux en salle de permanence pour bosser sur le 
DM. Le devoir se révèle ardu, et Lucas comprend mieux pourquoi le prof 
les a autorisés à travailler en binôme. Même lui semble bien mis en 
difficulté. C’est là qu’Aurore le surprend : elle fait preuve d’un sens 
logique à toute épreuve et trouve des solutions qui échappent à Lucas. 
Finalement, elle apparaît plus douée que ce que Lucas imaginait, si bien
 qu’il a perdu foi en sa précédente théorie.
Elle se montre aussi
 d’agréable compagnie. Toujours souriante, elle se révèle aussi amusante
 et intéressante. Sans s’en rendre compte, Lucas est tombé sous son 
charme. Il se retrouve à perdre de longues minutes à contempler cet 
ange.
À la fin de l’heure, c’est un bon tiers du devoir qu’ils ont décortiqué ensemble.
— On peut le continuer ce week-end, propose Aurore ; on n’a qu’à se retrouver chez toi.
— Je voudrais bien, mais malheureusement je ne suis pas là.
— OK, ce n’est pas grave. À lundi, fait-elle, visiblement déçue.
***
C’est
 le lundi qu’ils reprennent le devoir. L’absence d’un prof leur laisse 
un immense trou en milieu de journée, ce qui leur offre largement le 
temps de boucler la tâche. Ils se remettent donc à travailler sans se 
presser, prenant régulièrement des pauses pour faire plus ample 
connaissance. Ils apprennent ainsi à mieux se connaître, échangeant 
leurs goûts en matière de musique, cinéma, littérature et tout un tas 
d’autres domaines. Aurore aussi semble voir Lucas peu à peu sous un 
autre jour. Malgré l’air réservé, voire froid, qu’il se donne en cours, 
Lucas peut se montrer tout à fait amical pour peu qu’on s’intéresse à 
lui.
Cela fait maintenant dix bonnes minutes que le DM est bouclé
 et que les deux jeunes discutent ensemble quand Fabien, le petit ami, 
fait un rapide passage dans la salle de permanence. Il jette un rapide 
regard intrigué vers les deux élèves, récupère une feuille auprès d’un 
de ses camarades et s’en va.
— Je ne savais pas que Fabien n’était pas en cours. Tu ne vas pas le rejoindre ? s’étonne Lucas.
— Lui et moi ne sommes plus ensemble.
— Ah bon ! Je ne savais pas.
— Il m’a trompée avec ma meilleure amie, explique-t-elle.
— Oh, je suis désolé.
— Merci, c’est gentil, fait-elle, souriante.
— Quel salaud ! peste Lucas. Je ne comprends pas comment on peut faire ça à une fille si jolie. 
Aurore
 est surprise par ce compliment inattendu ; elle rougit. Lucas se rend 
compte de ce qui vient de lui échapper et rougit à son tour. Un silence 
gêné s’installe entre eux deux avant que finalement Aurore ne lance un 
nouveau sujet de conversation.
***
Une
 semaine passe ; le devoir a été rendu au prof de math qui l’a corrigé. 
Lucas et Aurore ont obtenu la meilleure note, preuve que leur duo a bien
 fonctionné. Ils ont tous deux continué à se rapprocher l’un de l’autre.
 Ils se mettent maintenant l’un à côté de l’autre en cours et ne se 
quittent que rarement pendant les pauses.
Après manger, ils se 
sont isolés dans un coin pour discuter tranquillement. C’est alors que 
Lucas remarque qu’Aurore semble nerveuse. Il voit bien que quelque chose
 la tracasse et fait tout pour la convaincre de cracher le morceau.
—
 Qu’est-ce que tu as, bon sang ? Tu ferais mieux de me le dire. Cela 
fait toujours du bien de parler à quelqu’un. Ce n’est pas grave, 
j’espère ?
— Non, ne t’inquiète pas… C’est juste que ce n’est pas évident… Je ne sais pas comment l’aborder.
— La manière la plus simple est souvent la meilleure. Vas-y directement, lui conseille-t-il.
— OK, se lance-t-elle, hésitante. Je voulais juste te demander si tu voulais sortir avec moi.
Lucas
 reste bouche bée. Il s’attendait à tout sauf à ceci. Il sait bien qu’il
 s’est rapproché d’elle, mais pas à ce point-là. Il ne peut croire à ce 
qu’il lui arrive. La plus belle fille du lycée veut sortir avec lui ! Il
 est tellement abasourdi qu’il en oublie de répondre.
— Bon, OK, j’n’ai rien dit, se rétracte Aurore face à son silence. Oublie, s’il te plaît. Je ne…
— Oui, je veux sortir avec toi, la coupe-t-il.
Aurore
 est contente et sourit. Ouf ! Elle a presque cru qu’elle allait se 
prendre un râteau. Les deux jeunes se retrouvent alors à se regarder 
dans le blanc des yeux, sans savoir quoi faire. Personne n’ose faire le 
premier pas.
— Bon… alors, on s’embrasse ? propose Aurore.
Et
 elle avance timidement ses lèvres vers celles du garçon. Le contact se 
fait, officialisant ainsi cette nouvelle union. Un torrent d’émotions 
envahit Lucas lorsqu’il sent la langue d’Aurore s’insinuer dans sa 
bouche. C’est merveilleux ce qu’il lui arrive.
***
Personne
 au lycée ne s’attendait à ce que la plus belle fille sorte avec un type
 aussi effacé que Lucas. La nouvelle a donc été un choc pour beaucoup. 
Cette histoire de couple improbable a déchaîné les passions, et des 
ragots ont commencé à se propager. Partout on affirme désormais que 
Lucas aurait un pénis aux proportions plus qu’exceptionnelles ou serait 
doté d’incroyables talents pour les choses du sexe. D’autres filles 
tentent maintenant de draguer Lucas afin de découvrir ses dons cachés. 
Ce dernier n’a cependant d’yeux que pour Aurore. 
Elle lui a 
avoué que cela faisait déjà un moment qu’elle s’intéressait à lui, et 
que c’était pour cette raison qu’elle avait voulu travailler avec lui 
sur le DM de math.
Profitant d’un trou dans leur emploi du temps,
 le couple s’est rendu au jardin public de Méronze, là où vont 
généralement les lycéens pour flirter. Ils se cajolent l’un l’autre, 
allongés dans l’herbe à l’ombre des arbres. À l’abri des regards, les 
deux lycéens se laissent aller à des contacts un peu plus poussés qu’à 
leur habitude. Lucas, échauffé par les courbes appétissantes de sa 
petite amie, compte bien profiter pleinement de cette pause. Tandis que 
tous deux s’embrassent langoureusement, ses mains s’égarent sur le 
postérieur d’Aurore. Il est heureux de pouvoir flatter cette rondeur, 
mais très vite en convoite plus. Sa main glisse vers l’entrejambe de sa 
copine, mais elle est vite arrêtée avant d’atteindre son but.
— Non, ne me touche pas là, proteste Aurore.
— Je suis désolé, s’excuse-t-il, déçu. Je pensais juste que…
— Je sais, le coupe-t-elle. C’est juste que je ne me sens pas encore prête. Je suis encore vierge.
— Ah bon ?
— Cela semble t’étonner. Pensais-tu que je suis une fille facile ?
— Euh, non, pas du tout. J’avais entendu dire que tu l’avais fait avec Fabien.
— Qui a dit ça ?
— Bah, c’est lui qui l’affirmait, apparemment. 
—
 Pff, quel crétin ! Je peux te certifier que je n’ai rien fait avec lui.
 Je ne sais pas pourquoi il a été se vanter d’un truc qu’il n’a pas 
fait. Tu sais, mes parents sont très catholiques et sont stricts sur le 
fait de ne pas coucher avant le mariage.
— Oh, alors tu comptes rester vierge jusqu’au mariage ?
—
 Non, rassure-toi. Je ne suis pas aussi stricte qu’eux sur ce point. 
Mais l’éducation qu’ils m’ont transmise m’a appris à ne pas me donner au
 premier venu. J’espère que tu comprends. Ce n’est pas contre toi que je
 t’ai repoussé.
— Je comprends. Je saurai attendre que tu sois prête.
— Merci, dit-elle en se blottissant dans ses bras. Dis, tu m’inviteras chez toi ? J’ai envie de voir là où tu vis.
— Bientôt, promet-il. Et toi, tu m’inviteras chez toi ?
— T’es fou ! Si je dis à mes parents que j’ai un petit ami, ils vont faire une crise cardiaque.
***
Lucas
 est absent ce jour-là, et c’est donc seule qu’Aurore étudie en salle de
 permanence. C’est là que débarque son ex, Fabien. La voyant isolée au 
fond de la salle, il n’hésite pas à venir l’importuner. Il s’installe à 
côté d’elle sans lui demander son avis.
— Qu’est-ce que tu fais là ? lui demande-t-elle sur un ton de reproche.
— La place était libre, alors je m’assois.
— Il y a d’autres places ailleurs. La salle est quasi vide.
— Ouais, et alors ? fait-il innocent. Celle-ci me va à ravir.
— Tu fais chier, Fabien ! Nous ne sommes plus ensemble, je te rappelle. Tu n’as rien à faire là.
— Je vais là où ça me plaît. Et puis ce n’est pas de ma faute si on n’est plus ensemble.
— Tu nies donc avoir baisé Mylène ?
— Absolument pas ! lance-t-il avec un fier sourire.
— Tu reconnais donc que c’est de ta faute.
—
 Arrête de me prendre pour un abruti, Aurore. Je te connais mieux que 
personne dans ce lycée ; alors tu ne m’auras pas avec tes discours de 
victime.
— C’est-à-dire ?
— D’un, je sais très bien que Mylène et 
toi aviez l’habitude d’échanger vos mecs de temps en temps. Elle m’a 
tout dit. D’ailleurs, tu ne t’es pas gênée pour te faire son mec peu 
avant ma prétendue trahison. De deux, tu ne vas pas me faire croire que 
tu ne savais pas ce qu’il allait se passer quand tu nous as laissés en 
tête-à-tête alors qu’elle m’a chauffé devant toi durant tout 
l’après-midi. Et de trois, tu attends deux mois après l’événement pour 
décider que cela te dérange, et tu me sors cette excuse pour mettre fin à
 notre relation. Alors tu vois, tu peux tromper tout le monde avec cette
 histoire ; mais moi, je connais la vérité.
— Je… De toute façon, j’ai quelqu’un d’autre maintenant.
—
 Ah oui, Lucas ! Tu ne vas pas me faire croire que tu t’intéresses 
vraiment à ce minable. Qu’est-ce que tu lui veux au juste ? Encore un 
pari avec tes copines ?
— Non, pas cette fois. Ce que je lui veux ne te regarde pas.
— Franchement, te taper ce type, tu me fais pitié !
— Mais je ne me le tape pas ! s’indigne-t-elle. Plutôt crever !
— Ah oui, et tu vas me faire croire que depuis le temps que tu es avec lui il ne s’est rien passé ?
— Si, c’est vrai, je te le jure. Pour le faire tenir tranquille, je lui ai dit que j’étais vierge et que je n’étais pas prête.
— Toi, vierge ? se marre-t-il. Et le con a gobé ça ?
— Bien évidemment.
—
 Alors ça doit te manquer qu’un vrai mec s’occupe de toi. Largue Lucas 
et retournons ensemble, ordonne-t-il en posant sa main sur la cuisse 
d’Aurore.
— Arrête ça, proteste-t-elle mollement. Je ne peux pas le quitter.
— Pourquoi ? interroge-t-il en continuant ses caresses.
— Tu en sais déjà trop. Laisse-moi maintenant, soupire-t-elle.
—
 Non, murmure-t-il en plaçant sa main sur l’entrejambe d’Aurore. Je te 
connais bien. Je suis sûr que ta culotte est déjà toute mouillée. Tu 
aimes trop ça pour m’empêcher de continuer.
— S’il te plaît… insiste-t-elle sans grande volonté.
Aucun
 geste ne repousse la main de Fabien. Elle a beau prétendre le 
contraire, son ex sait très bien qu’elle en a envie. Il connaît ses 
réactions par cœur. Si elle avait vraiment voulu qu’il arrête, il se 
serait pris une baffe. Sa main glisse sous les vêtements d’Aurore. Il 
n’est pas étonné de trouver la culotte humide. Ses doigts s’engouffrent 
entre les lèvres intimes et commencent à doigter la jeune fille. 
Celle-ci laisse échapper un sourire de satisfaction. Se faire caresser 
en pleine salle sans que les autres élèves ne se doutent de quelque 
chose l’excite énormément. Elle se sait vaincue, à la merci de son ex. 
De toute façon, elle n’avait pas envie de lui résister. Elle pose sa 
main sur la bosse de son voisin et commence à la caresser.
— Et si on allait faire un petit tour aux toilettes ? propose Fabien.
— Je… hésite Aurore, je ne suis pas sûre que cela soit une bonne idée. Je suis en couple, et…
— Arrête de chipoter. Lucas n’en saura rien.
— Tu promets ?
— Oui… si tu te montres sage.
— Alors d’accord.
Et
 l’ex couple se lève alors discrètement et quitte la salle de permanence
 pour se cacher aux toilettes. Arrivé dans une cabine, Fabien plaque 
Aurore le long d’une paroi, l’embrasse avec fougue et lui tâte ses 
courbes. Il doit reconnaître que sentir ce corps réagir à ses assauts 
lui avait fortement manqué.
— Suce-moi ! lui ordonne-t-il.
Aurore
 obéit comme elle l’a souvent fait par le passé. Elle se met à genoux et
 déboutonne le jean de son ex pour finir par faire jaillir un sexe bien 
membré qu’elle dévore déjà des yeux. Après avoir humecté ses lèvres d’un
 coup de langue vorace, elle engloutit cette virilité au fond de sa 
cavité buccale. Fabien est heureux de retrouver ce plaisir ; il n’a 
jamais connu de fille qui suçait avec autant d’ardeur et d’enthousiasme.
 Mais voilà qu’Aurore stoppe sa fellation et regarde son ex avec une 
lueur d’hésitation dans les yeux.
— Si tu veux, tu peux me filmer avec ton smartphone pour garder un souvenir.
— Ça, c’est une idée ! Mais méfie-toi : je pourrais te faire chanter après.
— Je sais, sourit-elle.
Le
 message est clair pour Fabien. Visiblement, Aurore est décidée à ne pas
 tromper Lucas qu’une fois. Elle offre volontairement à Fabien un moyen 
de pression pour qu’il puisse user et abuser d’elle comme il l’entend. 
Il ne va donc pas se priver, et démarre une vidéo.
Aurore met 
encore plus d’ardeur maintenant qu’elle sait qu’elle est filmée. Elle 
s’est jetée dans la gueule du loup, et ça l’excite. Elle veut se 
surpasser, rendre son ex dingue. Elle tente d’avaler le sexe en entier, 
mais il est bien trop gros. L’exercice la fait baver. Elle pompe avec 
passion. Fabien prend son pied ; la pression monte fortement en lui. Il 
place sa main derrière le crâne d’Aurore et commence à donner de petits 
coups de bassin.
— Je vais jouir. Tu vas avaler.
Elle ne 
l’a jamais fait, l’a toujours refusé. Il sait qu’aujourd’hui elle va 
accéder à sa requête. Il la tient ! Elle s’est livrée elle-même. C’est 
dans un râle libérateur qu’il éjacule de longues giclées dans la bouche 
de son ex qui les accueille avec un hoquet de surprise. Affichant une 
légère mine boudeuse, elle se résout malgré tout à avaler la liqueur 
jusqu’à la dernière goutte. Fabien a tout enregistré sur son smartphone.
 Il coupe maintenant la vidéo.
— Tu la gardes pour toi ? Tu ne la montres à personne ! s’inquiète Aurore.
—
 N’aie crainte. Tant que c’est moi qui te baise et que c’est Lucas qui 
se tape tous les trucs chiants de couple, je n’ai aucun intérêt à mettre
 fin à ton simulacre de relation avec ce minable.
Auteur : Nathan Kari
Lisez la suite 
J'ai envie de lire la suite maintenant grrrr,, c'est pas drôle d'attendre un mois
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