Relisez le chapitre 10
Mon père, mon parrain et
moi nous allongeâmes côte à côte sur le transat à bascule. Chacun
m’embrassa tendrement une joue en même temps. Cela me fit sourire ;
j’étais à l’aise, nue entre leurs corps brûlants et en sueur. Leur douce
peau de bébé caressait la mienne. Je passai mes mains derrière leur cou
et embrassai leur front tour à tour.
— Ça t’a plu ? me demanda mon père en embrassant ma poitrine.
— C’était super, répondis-je en regardant le ciel ; et toi ?
J’étais comblée et encore en extase. Luc sourit ; son souffle frais sur ma peau brûlante caressa mon téton près de lui et mon ventre.
— J’ai adoré… et toi, y a pas besoin de te demander, lança mon père à mon parrain.
— Ça t’a plu ? me demanda mon père en embrassant ma poitrine.
— C’était super, répondis-je en regardant le ciel ; et toi ?
J’étais comblée et encore en extase. Luc sourit ; son souffle frais sur ma peau brûlante caressa mon téton près de lui et mon ventre.
— J’ai adoré… et toi, y a pas besoin de te demander, lança mon père à mon parrain.
J’abaissai
mes yeux sur lui pour voir si sa réplique était un reproche ou une
plaisanterie. Je le vis prendre mon sein dans sa main tout en regardant
Luc. Il embrassa ma peau en palpant ma poitrine, puis lécha mon téton
qui se dressa de nouveau sur sa langue. Mon parrain fit de même avec mon
autre sein.
— Vous voulez me faire l’amour tous les deux, ensemble ? demandai-je, surprise.
— Pas te faire l’amour… murmura mon parrain en léchant mon téton.
— Juste te faire jouir… précisa mon père en embrassant le deuxième.
— …encore, soufflèrent-ils sur ma peau qui frissonna.
— Encore ? gémis-je.
Me rappelant les orgasmes multiples que mon père
m’avait donnés précédemment, je me demandais si on pouvait mourir de
plaisir. C’était super excitant de voir leurs beaux visages embrassant
ma poitrine. Je les trouvais tous les deux très sexy, mes tétons entre
leurs lèvres. Je sentis la main de mon père
guider celle de mon parrain vers mon coin de paradis. Il le prit
entièrement dans le creux de sa paume. Un doigt glissa entre mes lèvres
et se posa sur mon bouton.
— Humm… Brûlant et trempé, comme j’aime, commenta-t-il.
Je
sentis son érection naître contre ma hanche. Mon parrain entreprit de
caresser mon petit bout de chair qui durcissait et gonflait sous son
doigt. Il l’inséra doucement en moi. Je l’accueillis en gémissant.
— Humm, c’est serré, soupira-t-il en regardant mon père.
— Juste un doigt : pas plus ! dit celui-ci d’un ton ferme. Tu as le droit de dire non, tu te souviens ?
Je hochai la tête en soupirant. Les lents va-et-vient de mon parrain étaient trop agréables pour que je puisse parler.
Je le sentis sourire contre mon sein tandis que j’embrassais mon père.
Celui-ci fléchit ma jambe contre lui et, passant sa main derrière mon
genou, il commença à caresser délicatement mon bouton. Ses lèvres
gémirent entre les miennes. Mon parrain imita mon père
et écarta ma deuxième jambe. Ainsi ouverte, j’étais disponible pour le
plaisir qu’ils désiraient me donner. Ce dernier caressait savamment mon
bouton en effectuant une pression très agréable. Je sentais qu’une
partie de ses doigts étaient en contact avec celui de mon parrain qui
jouait avec l’intensité des va-et-vient de sa pénétration en moi.
Mon père
me protégeait discrètement sans m’offrir totalement. Je pouvais lui
faire confiance et me laisser aller au plaisir. Je laissai la première
vague de jouissance monter en moi et m’emporter. Je gémissais et
poussais de petits cris contre ses lèvres entrouvertes, en le regardant
dans les yeux. Je sentais enfin son érection naître contre mon corps
tremblant de plaisir.
— C’était un petit orgasme, ça, dit-il.
Je sentis leurs doigts intervertir leurs places. Mon père
inséra le sien profondément en moi et entreprit une pénétration longue
et rapide. Mon parrain caressait mon bouton qui glissait entre ses
doigts trempés. L’orgasme survint rapidement et intensément des
profondeurs de mon intimité avant de se transmettre à mon petit bout de
chair. Je criai en aspirant le doigt de mon père
au plus profond de moi. Mon bassin ondulait de lui-même, le réclamant.
Je mouillais abondamment dans leurs mains. Je me sentais couler sur mes
fesses et le long de ma raie.
— Je préfère ça, sourit mon père en embrassant tendrement mes lèvres.
Il
retira complètement son doigt, puis le réinséra, accompagné d’un autre.
En remarquant l’air surpris de mon parrain, je devinai qu’ils
appartenaient à chacun. Leurs mains jointes frottaient contre mes lèvres
et mes cuisses. Mon vagin s’ouvrait sur le passage de leurs phalanges
immobiles en les aspirant plus profondément. J’ondulais lentement du
bassin pour m’en caresser l’intimité. Je la sentis également ne pas se
dilater assez lorsque la membrane de mon hymen glissa dessus. J’arrêtai
net, le souffle coupé. Mon père et moi nous soutînmes du regard. Une grande émotion passait entre nous.
— Elle est encore vierge ! s’exclama mon parrain, surpris.
Personne n’osait bouger.
— Oui, souffla mon père.
Il fit glisser leurs doigts ensemble lentement vers la sortie.
— Laisse-moi faire, me dit-il, je ne veux pas que tu te blesses.
Je hochai la tête et m’autorisai enfin à respirer.
Mon père
faisait faire des va-et-vient soutenus à leurs doigts en les gardant
prudemment à l’entrée de mon vagin. Leurs bouches embrassaient mes
seins, mon cou, mes épaules. Je me laissai aller en leur caressant le
dos et en criant de plaisir. Leurs doigts caressèrent cet endroit en moi
dont seul mon père
connaissait le secret et me firent décoller. Mon corps se cambra, la
tête rejetée en arrière. Je me mordais les doigts en gémissant. Mon père
et mon parrain passèrent leurs bras dans mon dos pour me maintenir à
leur merci. Leurs bouches dévorant mon cou et mes seins décuplaient mon
plaisir. Mes mains saisirent leur tête et les pressèrent contre ma peau.
Mes doigts agrippés à leurs cheveux, je glissai dans ce monde
merveilleux de plaisirs et de sensations fortes.
— Tu es super excitante… soupira mon parrain dans mon cou.
C’est
alors que je m’aperçus que son sexe nu et en érection se frottait
contre ma hanche. Il était doux, très dur et mouillait contre ma peau.
Son bassin ondulait, pressant son corps contre le mien.
Mon père
me contemplait d’un regard tendre et plein d’amour. J’attirai lentement
son visage à moi pour l’embrasser. Son baiser était très doux comme les
mouvements de ses hanches contre mon corps. Pourtant, son sexe était
dur et gonflé dans son maillot de bain. Je gémis d’envie de le sentir nu
sur ma peau. J’avais envie de repousser mon parrain trop pressant pour
que mon père me fasse tendrement l’amour.
Luc
prit doucement ma main et la posa sur son sexe. Il s’en servit pour
l’envelopper et commença à se caresser avec. Son membre impressionnant
était long et épais. Mon parrain le serrait très fort entre mes doigts,
si petits qu’ils ne faisaient pas le tour. Ses va-et-vient étaient très
intenses, rapides et longs. Son gros gland mouillait abondamment dans ma
main, lui permettant de glisser très facilement. Son souffle chaud
était rapide et bruyant contre mon sein. On n’avait pas besoin de le
regarder pour comprendre qu’il prenait beaucoup de plaisir. Son
excitation communicative me faisait gémir.
Mon père,
surpris par les événements, arrêta de m’embrasser. Il regarda mon
parrain et suivit des yeux le mouvement de nos mains liées sur son sexe.
Il me dévisagea. Ne sachant comment réagir devant le manque
d’expression de son visage, je baissai les yeux en rougissant. J’étais
honteuse, comme une petite fille prise en train de faire une bêtise. Mon
parrain, ne remarquant pas mon malaise, continuait de se caresser avec
ma main.
— Fais-la jouir ! ordonna-t-il à mon père. Moi aussi, j’aime l’entendre crier.
Nous nous regardâmes.
Quelle punition allait-il me donner ? La jouissance ou la fessée ?
Mes yeux rivés aux siens, je ne vis pas son doigt s’insérer profondément en moi. La surprise me fit jouir instantanément.
— Oh ! Papa… gémis-je.
Les
deux hommes, aussi surpris que moi, regardaient mon corps se convulser
de plaisir. Ils avaient aussitôt arrêté tout mouvement pour me
contempler. Mes gémissements accompagnaient les contractions saccadées
de mon vagin sur le doigt de mon père.
— Tu lui mets à peine un doigt qu’elle jouit déjà ! s’exclama mon parrain.
— Désolée, murmurai-je tandis que mon corps s’apaisait.
—
Ne t’excuse pas, ma belle, murmura le premier en m’embrassant
tendrement. Puis il ajouta d’un ton brusque à mon parrain : ça va ? Je
ne te dérange pas ?
— Désolé, j’ai super envie. Et c’est très
excitant de l’entendre crier « Papa » quand elle jouit, s’excusa-t-il.
Mon plaisir est tout à elle... Il suffirait qu’elle ordonne pour que
j’obéisse.
Je regardais mon parrain se défendre. Le savoir à ma disposition me fit mouiller sur le doigt de mon père.
— Lèche ! ordonnai-je.
C’était tout ce que je voulais là, tout de suite : jouir sur sa langue.
— Hein ? demanda-t-il, surpris.
— Lèche ! répéta mon père en retirant son doigt.
Mon
parrain obéissant vint placer sa tête entre mes cuisses écartées. Sa
bouche embrassa mon sexe humide. Sa langue s’inséra profondément dans
mon intimité avant d’aller titiller mon bouton.
— Humm, délicieuse… commenta-t-il.
Mon père
me lança un regard très chaud en léchant ses lèvres avec gourmandise.
Il m’avait déjà complimentée dans ces termes la première fois qu’il
m’avait goûtée. Cet homme si précieux m’embrassa langoureusement,
étouffant mes gémissements entre ses lèvres. Je le serrai fortement
entre mes bras.
Mon père
arrêta ses mouvements de bassin contre ma hanche pour mettre ma main
dans son boxer de bain. Je soupirai de plaisir en sentant son sexe tant
désiré doux, long, dur et humide entre mes doigts. Je sentis son corps
remuer de façon désordonnée contre moi. Son vêtement libéra ma main.
J’ouvris les yeux et croisai son regard. Sa bouche, emprisonnant la
mienne, m’empêchait de regarder ce qu’il faisait. Soudain, je gémis
d’envie, les yeux mi-clos, en appréciant la caresse de son sexe nu
contre ma peau. Son bassin ondulait contre ma cuisse pendant que les
va-et-vient de ma main étaient rapides et longs. Mon père gémissait de plaisir en caressant et embrassant mes seins.
Mon
parrain inséra un doigt dans mon vagin dégoulinant de mouille. Mon
bassin accompagnait ses va-et-vient rapides et profonds. Sa langue
léchait et suçait mon bouton tout gonflé entre ses lèvres.
Je pressai le corps nu de mon père contre moi. Le toucher de sa peau si douce contre la mienne m’excitait.
— Fais-moi l’amour ! lui ordonnai-je en fixant ses yeux.
— Oh ! Non ; pas là… pas comme ça… murmura-t-il.
Mon désir était impérieux.
— S’il te plaît, Papa… J’ai trop envie de toi, insistai-je.
Excité
par la réclamation que je lui faisais, mon plaisir s’amplifiait
considérablement sur la langue de mon parrain. Je désirais que le sexe
de mon père me pénètre aussi intensément que le doigt de Luc.
— Je te veux tout de suite. Je veux jouir sur toi.
Je
sentis son sexe gonfler plus encore dans ma main et l’excitation brûler
dans ses yeux. Il me serrait fort dans ses bras et les ondulations de
son bassin se firent plus pressantes. Sa bouche étouffa mes gémissements
et mes supplications. Sa main massait doucement mes seins. L’orgasme
vint me prendre, me faisant crier de plaisir. Mon parrain maintenait mes
cuisses bien écartées. Je jouissais sur sa langue qui continuait de me
lécher goulûment. Je serrai mon père entre mes bras, le pressant contre ma poitrine. Il me regardait jouir en me souriant et en caressant tendrement ma joue.
Les deux hommes échangèrent leur place. Mon père gémit en buvant la mouille qui s’écoulait abondamment de mon intimité.
— Il est fou, ton père, de ne pas vouloir te faire l’amour, chuchota mon parrain au creux de mon oreille.
Il
m’embrassait dans le cou en caressant mes seins. Ses mouvements de
bassin étaient pressants contre moi. Son sexe était si dur qu’il me
faisait mal lorsqu’il s’enfonçait dans la chair tendre de ma cuisse.
— Tu es si excitante que je t’aurais déjà prise plusieurs fois, chuchota-t-il encore.
La langue et le doigt de mon père
caressaient habilement mon intimité. Je gémissais en le regardant dans
les yeux. L’excitation que provoquaient les paroles de mon parrain me
fit atteindre l’orgasme plus rapidement. Ils me tenaient les jambes
écartées tandis que mon père
me dévorait. C’était une rivière déchaînée qui s’écoulait de mon
intimité pour inonder sa bouche. Le plaisir était si intense qu’il
semblait infini. Mes orgasmes se succédaient à une vitesse vertigineuse
entre ses lèvres. Je ne pouvais plus contrôler mon corps qui tremblait,
agité de spasmes violents. Je hurlais de plaisir, les doigts agrippés
aux cheveux de mon père qui me regardait jouir.
Mon
parrain, qui faisait l’amour à ma cuisse, se mit subitement à genoux à
mes côtés. Il prit ma main dans la sienne et se caressa vigoureusement
avec. Je voyais le plaisir enflammer ses yeux et ses joues. Il me
regardait en caressant mes seins.
Soudain, mon père
vint prendre la même position de l’autre côté. J’étais toute excitée en
observant leurs sexes bien durs au-dessus de moi et dans chacune de mes
mains. Je pouvais enfin admirer celui que je désirais tant. Je le
trouvais vraiment très beau. Le gland, très bien dessiné, laissait
s’écouler un liquide transparent. J’y portai instinctivement la langue
et le léchai en prenant le bout gonflé entre mes lèvres. Je gémis,
attirée par sa douceur et son goût exquis.
Mon père me repoussa aussitôt, son bras me plaquant contre le transat.
— Tu devrais lui apprendre à sucer, conseilla mon parrain en gémissant de plaisir.
Je
vis son sexe gonfler dans ma main et mouiller abondamment entre mes
doigts. Un long et puissant jet de sperme s’échappa de son gland et
s’abattit sur mes seins. Le membre de mon père
s’élargit également. J’étais en extase devant leur semence très chaude
qui arrosait ma poitrine et mon ventre. Ces hommes super sexy criaient
et gémissaient en me regardant dans les yeux. Leurs corps tremblants de
plaisir étaient plaisants à voir.
Lorsqu’ils eurent fini de jouir, j’embrassai doucement le pubis de mon père
en caressant ses fesses. Son sexe mollissait entre mes doigts. Il
m’embrassa tendrement et me souleva entre ses bras. Cet homme si
précieux m’emmena ainsi dans la piscine où il entreprit de me nettoyer
délicatement. L’eau caressante était très sensuelle sur ma peau nue. Mon
père passa ses doigts
sur mon intimité encore sensible de mes récents plaisirs. Il était bien
décidé à ôter habilement toute trace de mouille de mon entrejambe, de
mes cuisses, de mes fesses et de ma raie.
Mon père m’embrassa tendrement en me serrant contre son corps. J’étais heureuse de me retrouver dans ses bras, toute à lui.
Auteure : Feeling
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