mercredi 24 juin 2015

Un père admirable (12)

Relisez le chapitre 11

[Adam, sur le retour au domicile]

Le soleil déclinait sur l’horizon lorsque je décidai qu’il était temps pour Jessica et moi de rentrer. J’avais bien vu dans ses yeux verts turquoise, au moment du repas, qu’elle souhaitait se retrouver seule avec moi.

Luc avait profité que ma fille se baigne pour me confier qu’il avait apprécié ce bon moment autant que nous. J’avais été surpris qu’elle soit excitée de voir son parrain nu en train de se masturber en la regardant prendre du plaisir avec moi. Je ne regrettais pas de lui avoir proposé de se joindre à moi. J’ai été étonné de la complicité que nous avions créée. Même si j’ai eu quelques moments de jalousie et d’inquiétude. Il était tellement pressant avec sa filleule que j’avais peur qu’elle se sente brusquée.

— Papa, pourquoi t’es tout rouge ? demanda Jessica.

La belle blonde assise confortablement sur le siège passager me regardait.

— Je repensais aux bons moments de cet après-midi, souris-je. Je me demandais si tu avais apprécié celui qu’on a passé avec ton parrain.
— Oui, j’ai adoré, dit-elle d’une voix douce et sensuelle. C’était très étrange et agréable d’être caressée par quatre mains et sentir deux bouches qui m’embrassaient partout.
Du coin de l’œil, je la voyais sourire, les yeux brillants.
— C’est la première fois que Luc et moi faisions l’amour avec la même femme. Je suis content que ça se soit bien passé et que ça t’ait plu.
— Le moment que j’ai préféré, c’est quand même celui où on n’était que tous les deux, déclara-t-elle. Tu m’as donné tellement de plaisir… Je suis vraiment très heureuse d’avoir découvert ça avec toi.

Sa voix vibrante d’émotion me touchait. Je pressai sa cuisse dans ma main.

— J’ai adoré te tenir sur le bout de ma langue, de t’avoir toute à moi.

Je posai ma main sur sa nuque et l’attirai à moi. Mon geste possessif la fit gémir.

— Tu sais que je t’aime, toi ? dis-je contre sa joue… Il ne pourrait pas y avoir un feu rouge, là, que je puisse t’embrasser ?

Son rire léger caressa ma mâchoire que ma fille embrassa tendrement. Elle posa sa tête sur mon épaule en soupirant. J’embrassai tendrement son front. Je caressais sa cuisse dont la douceur m’attirait. J’avais encore envie de lui donner du plaisir. Je me concentrai sur la route qui défilait ; j’avais hâte d’arriver.

Quelques minutes s’écoulèrent en silence, pendant lesquelles Jessica resta blottie contre moi sans bouger.

— Je ne pensais jamais te demander un truc pareil ; mais veux-tu passer la nuit avec moi ? demandai-je.

Sa tête ballota vers l’avant. Ma fille la releva, le regard hagard. La pauvre s’était épuisée dans la piscine, et le plaisir qu’elle avait eu y était sûrement pour quelque chose aussi.

— Allonge-toi confortablement pour dormir, lui dis-je d’une voix douce. Tu peux mettre ta tête sur mes genoux pour avoir plus de place.

Les yeux mi-clos, elle ne se fit pas prier et les ferma aussitôt. Je caressai le contour de son visage et sa tresse qui lui tombait dans le cou. Jessica s’endormit vite, allongée sur le côté. Je la trouvais attendrissante.

Lorsqu’elle était petite, je passais des heures à la regarder dormir. Des années plus tard, je restais toujours le gardien de son sommeil et de ses rêves. Dans mon cœur, mon amour de père avait grandi avec elle ; maintenant, il évoluait avec elle.

Arrêté à un feu rouge, caressant tendrement son épaule, je soupirai de désir devant son corps de femme endormi. Sa petite robe d’été moulait gracieusement son corps. Je remarquai qu’un de ses seins nus débordait de son décolleté, laissant apparaître l’aréole rose du mamelon. Le tissu était relevé sur ses cuisses, laissant imaginer le bombé découvert de ses fesses. Sa peau avait pris une jolie couleur miel au soleil. Je me demandai si son entrejambe avait bronzé aussi, longuement exposé au soleil pendant que je le léchais et l’embrassais. Le souvenir de sa liqueur qui coulait à flots dans ma bouche m’excita et fit naître une érection dans mon jean.

Je caressais la bordure de son décolleté. Sa peau était fraîche sous mes doigts. Ceux-ci rencontrèrent son téton glacé qui se dressa aussitôt. Je devinai qu’elle devait avoir froid, malgré la température agréable de l’habitacle. J’attrapai son gilet de laine sur la banquette arrière pour lui couvrir les épaules. Ma fille avait insisté pour se baigner juste avant qu’on parte. Elle avait donc les cheveux encore mouillés. L’eau de la piscine avait dû se rafraichir et je craignais qu’elle attrape froid.

Je repris la route. Comme la peau douce de son décolleté m’avait attiré, je la caressai de nouveau lentement et délicatement. J’explorais sa poitrine. Je pris son sein dans ma main et le massai doucement. J’effleurai son téton dressé de la paume. J’appréciais sa caresse douce et sensuelle. Je le fis rouler délicatement entre mes phalanges. J’avais envie de le prendre entre mes lèvres, de le lécher et le sucer doucement. Je passai mes doigts entre ses seins pressés l’un contre l’autre. Cet endroit était très doux et très chaud, agréable, attirant. Je me demandai si je ne préférerais pas lui faire découvrir la sensualité de la caresse de mon sexe entre ses seins avant de lui apprendre l’art de la fellation. Mes doigts faisaient de lents va-et-vient entre ses courbes. J’avais envie d’y glisser mon membre tendu et dur.

Je caressai lentement son dos dévoilé par l’échancrure de sa petite robe ouverte jusqu’au creux des reins. J’affectionnais la douceur de sa peau. Je parcourais sa colonne vertébrale, ayant passé la main sous le tissu fin et soyeux. J’appréciais la courbe bombée de ses fesses dans ma paume. Je découvris la bordure d’un sous-vêtement : ma fille portait un tanga en dentelle. Je caressai doucement sa lingerie, l’effleurant du bout des doigts et des ongles. Je longeai la couture jusqu’à son entrejambe. Ses lèvres si douces débordaient légèrement du tissu étroit. Je pris doucement son petit coquillage entre mes doigts. J’adorais les merveilleuses sensations d’extase et de désir qu’il faisait monter en moi lorsque je le caressais et le léchais. J’appréciais de boire sa liqueur à sa source. Sa petite lingerie s’humidifia lentement sous mes caresses. C’était agréable de sentir son petit clito gonfler et durcir sous mes doigts.

Je profitai de ce qu’un feu passe à l’orange pour m’arrêter. Je courtisais mon sexe en érection par-dessus mon jean tout en caressant le clito de ma fille, sous son tanga. Il glissait entre mes doigts trempés. C’était très excitant de la caresser pendant son sommeil. Je me demandai ce qu’elle-même avait ressenti en me le faisant. Qu’avait-elle pensé de mon sexe à ce moment-là ? Et maintenant qu’elle l’avait vu ? J’étais curieux de le savoir.

J’ouvris ma braguette d’une main, sans faire de mouvement brusque, libérant ainsi mon sexe. Je le pris aussitôt en main et le caressai lentement. Mon plaisir était intense. J’introduisis doucement un doigt dans le vagin de ma fille. Il était doux, chaud, humide et accueillant. C’était bon et excitant. Jessica respirait fort, la bouche ouverte. Celle-ci me rappela la douceur de ses lèvres sur mon gland, l’excitation que j’avais ressentie en sentant sa langue le lécher délicatement. Je me demandai si elle dormait d’un profond sommeil ou si elle ressentait mes caresses dans ses rêves.

Son vagin serré enveloppait mon doigt et l’aspirait profondément. Je le caressais aussi doucement que mon sexe. Je désirais le frotter contre son intimité, sous sa petite dentelle toute trempée d’envie. Je voulais que mon gland pénètre doucement l’entrée de son paradis, tandis que je me caresserais la longueur de ma verge. J’avais envie qu’elle me regarde faire en chatouillant son clito d’excitation.

Le feu passa au vert, mais mon plaisir était trop grand pour que je m’arrête. Personne derrière : j’en profitai. La tête rejetée en arrière, ma respiration était saccadée et j’émettais de faibles gémissements. J’étais tellement excité que j’avais envie d’accompagner mes caresses par des mouvements du bassin. J’intensifiai la pénétration de mon doigt dans le vagin de ma fille. Des flots de sa liqueur s’écoulaient dans ma main. J’avais envie de la boire. Ça me manquait de ne pas l’entendre gémir et crier de plaisir. J’avais besoin de sentir son corps contre le mien. Malgré mon envie pressante et mon excitation grandissante, j’avais envie de lui faire l’amour tendrement. Je voulais l’embrasser et caresser ses courbes sensuelles.

Je retirai mon doigt de son intimité et pris son petit coquillage tout mouillé dans la main. Après avoir ainsi bien lubrifié ma main, je m’en servis pour me caresser le sexe. Il glissait tout seul sur sa liqueur. C’était bon et excitant. La jouissance était proche ; je la contrôlais, la retenais. Je voulais que mon plaisir dure encore. Je réintroduisis mon doigt dans son intimité qui m’aspira aussitôt dans ses profondeurs. J’avais envie de m’y insérer, de la posséder, de me fondre en elle, de lui appartenir.

Très excité, je retenais tout de même mes pulsions. Je ne voulais pas la heurter ni la brusquer. Ma fille, c’est ma princesse, ma petite reine, ma fée. Si magique lorsqu’elle s’offrait à moi… Elle méritait que je lui fasse l’amour avec beaucoup de tendresse et de passion. Je l’entendis soupirer et je vis ses yeux s’ouvrir.

— Oh ! Papa… lança-t-elle en découvrant mon sexe nu si près de son visage.

Surpris, j’arrêtai aussitôt mes mouvements.

— Je suis désolé, dis-je brusquement en cachant mon érection.
— Continue… J’aime bien.

Sa voix était douce et encourageante. Je repris mes douces caresses dans son intimité, qui émit de très excitants clapotis. Ma fille commença à gémir et à se tortiller de plaisir.

— Oh ! Papa… C’est bon…
— Enlève ta culotte !

Jessica se releva en me jetant un regard surpris et s’exécuta. Je tendis la main pour qu’elle me la donne. Je la humai fortement et en léchai l’endroit le plus trempé. Je vis l’excitation brûler dans ses yeux. Elle me fit face, effleurant mon sexe du bout des doigts en me regardant faire. Je passai ma main dans son décolleté et libérai ses seins. Je les lui caressais tandis qu’elle prenait mon membre dans sa petite main et entreprenait de longs va-et-vient. Je l’attirai à moi et l’embrassai fougueusement tout en intensifiant mes caresses dans son intimité. Je dévorais sa bouche, son cou et ses seins. Ma fille gémissait en serrant mon visage contre sa peau. Je me ressourçais au son de ses petits cris, comme s’ils m’étaient vitaux. Je caressais son petit clito tout dur et gonflé en suçant ses tétons dressés. Son bassin ondulait contre moi tandis que sa main me caressait vigoureusement. Elle jouit rapidement et intensément. Ses cris retentirent dans l’habitacle.

Ses mains entreprirent de déboutonner ma chemise pendant que je l’embrassais. Jessica passa ses mains dans l’ouverture pour caresser mon torse, effleurant longuement mes pectoraux et mes abdominaux de ses doigts. Elle prit ma main et la plaça sur mon sexe.
— Caresse-toi, m’encouragea-t-elle d’une voix suave.
Je m’exécutai doucement. Mon membre était douloureux de désir. Jessica embrassa sensuellement ma joue, puis mon cou. Sa bouche explorait mon torse, redessinant le contour de chaque muscle. Sa langue effleurait ma peau, traçant une ligne verticale de la naissance de mes pectoraux jusqu’à mon pubis. Elle fit ainsi de très lents va-et-vient en me regardant droit dans les yeux. Je me noyais dans l’océan de désir qui faisait briller les siens. L’excitation et le plaisir de ses caresses me faisaient gémir.

— Tu aimes me regarder me masturber ? demandai-je.
— Oui, j’aime que tu te caresses pour moi.
— Comment trouves-tu mon sexe ?
— Il est très beau et très doux, sourit-elle ; et j’adore ton gland en forme de cœur.
— Tu trouves qu’il a une forme de cœur ? demandai-je avec un regard malicieux.
— Oui, regarde, dit-elle en dessinant son contour avec ses doigts.

La douce caresse était très excitante. Jessica était très observatrice.

— Tu ne le trouves pas trop gros ? Tu n’as pas peur d’avoir mal si je te pénètre ?

Elle caressait doucement mon gland pendant que je me masturbais intensément ; le contraste était très agréable. Je me sentais mouiller sur ses doigts et sa main. Ma fille, fascinée, regardait ce phénomène qui ne la gênait pas.

— Si j’ai envie de toi comme cet après-midi, lorsque mon vagin était tellement ouvert que j’en avais mal, je pense que ça devrait aller, sourit-elle, confiante.
— C’est pour ça que tu m’as presque supplié ? demandai-je, surpris.
— Oui… Pourquoi ? Tu n’avais pas envie ?
— Bien sûr que je te désirais, mais je veux que ta… notre première fois soit magique, et surtout qu’on ne soit que tous les deux.

J’avais déplacé ma main sur la base de mon sexe, le maintenant dressé. Jessica a aussitôt caressé ma verge avec des mouvements fluides. Je me faisais plus tripoter que masturber, et je trouvais cela excitant. Mon envie pressante de jouir qui réclamait plus d’intensité faisait monter la pression entre ses doigts délicats. Ma fille ne quittait pas mon sexe des yeux ; j’adorais sa façon de le regarder.

— Resserre ta main dessus… Encore… Encore…
— Je vais te faire mal, s’inquiéta-t-elle.
— Non… souris-je ; comme ça.

J’ai serré sa main sur ma verge jusqu’à la comprimer.

— Tu es actuellement serrée comme ça… et au moment de la pénétration, ton vagin va s’ouvrir doucement sur mon passage.

Jessica caressait lentement ma verge comprimée dans ses doigts. C’était très bon. Je la laissai faire en soupirant de plaisir.

— Mes copines m’ont prévenue que j’allais avoir mal la première fois, et que j’allais saigner aussi. Mais que la deuxième fois, c’est la meilleure.

Un sourire rêveur flottait sur ses lèvres à la promesse de son futur plaisir.

— J’n’y crois pas… Je n’ai pas encore commencé à te faire l’amour que tu me réclames déjà deux fois !
— Tu penses que c’est possible, deux fois à la suite ?
— Oh ! La gourmande… On pourrait se faire des câlins entre les deux, et de longs préliminaires aussi, proposai-je.
— C’est quoi, des préliminaires ?
— C’est ce qu’on fait déjà, souris-je. C’est tous les plaisirs et caresses qu’on se donne sans pénétration.
— Alors oui, je veux bien ! s’exclama-t-elle, ravie.

Jessica augmenta l’intensité de ses va-et-vient sur ma verge toujours comprimée dans ses doigts. Elle se blottit contre moi sans quitter mon sexe des yeux. J’appréciais la façon dont elle lubrifiait sa main avec ma sève. Je glissais entre ses doigts habiles.

— J’adore ta façon de me caresser, soupirai-je. Tu me donnes beaucoup de plaisir.
— J’adore te faire jouir, l’entendis-je sourire.

Sa déclaration intensifia mon excitation. Mon plaisir allait bientôt exploser.

— J’ai beaucoup de chance alors, gémis-je contre son front. Je serais ravi que tu me fasses jouir aussi souvent que tu le souhaites.
— Oh ! Papa… gémit-elle en portant ma main à son entre-jambe.

Son coquillage mouillait abondamment. J’introduisis doucement un doigt dans son vagin qui l’aspira aussitôt dans ses profondeurs. Le sentant dilaté, je m’autorisai à en insérer un deuxième. Ils glissaient facilement dans son intimité brûlante et inondée. Ma fille gémissait au rythme de ma pénétration longue et profonde. Sa caresse était longue et rapide sur mon sexe. Son rythme effréné allait rapidement me faire jouir.

— Caresse-moi comme je te le fais, réclama-t-elle.
— Je ne vais pas te faire mal ? demandai-je.

Jessica secoua la tête en gémissant. Son bassin ondulait sensuellement contre moi. Elle me désirait en elle.

— Oh ! Doucement, Princesse… Tu vas me faire jouir, gémis-je.
— Jouis pour moi, Papa.

Elle avait glissé une main possessive derrière ma nuque et me regardait dans les yeux. Cette sensation de lui appartenir était très excitante. Je m’abandonnai totalement entre ses mains. La puissance de l’orgasme m’arracha des cris rauques. Son intimité se déversait à flots sur mes doigts, tandis qu’elle gémissait en regardant les longs jets de sperme zébrer mon torse et mon ventre.

— Ouah ! C’était super, Papa ! s’écria-t-elle.

Ma fille reposa délicatement mon sexe sur mon ventre et m’admira.

— Tu es super sexy, comme ça !
— Ah ! Bon. Tu trouves ?
— Oui, sourit-elle.

Nous nous embrassâmes longuement. Je la blottissais contre moi, le cœur tambourinant, heureux.

Soudain, une voiture nous dépassa à vive allure en klaxonnant. Nous sursautâmes.

— Où sommes-nous ? demanda la blondinette.
— À cinq minutes de la maison. Le feu a dû passer au vert une bonne dizaine de fois, souris-je.

Je repris la route. Elle restait blottie contre moi ; sa main derrière ma nuque caressait mes cheveux. Ses doigts jouaient avec mon sperme.

— Tu ne trouves pas ça dégoûtant ? grimaçai-je.

J’avais hâte de me doucher avant que ça sèche.

— Non, j’aime bien… Ta peau est glissante maintenant, sourit-elle.

Cela m’attendrissait de participer à ses découvertes sexuelles.

— Humm… C’est bon ! s’exclama-t-elle en portant son doigt à sa bouche.

Je lui jetai un coup d’œil abasourdi.

— Vous êtes allés jusqu’où, ton copain et toi ? demandai-je.

Savoir qu’elle aurait pu découvrir des choses avec lui me rendait vert de jalousie et de rage.

— Je l’ai laissé se caresser devant moi, avoua-t-elle. C’est comme ça que j’ai découvert ce qu’est une érection, et que tu as déjà eu envie de moi (je rougis). Et c’est là que j’ai appris à te donner du plaisir.
— Tu faisais quoi, pendant que ton copain se branlait ? demandai-je en dissimulant au mieux ma jalousie.
— Je me caressais les seins en regardant une photo de toi.
— Comme tu as fait sur moi cet après-midi ?
— Oui, fit-elle timidement.
— Eh ben ! Il a dû beaucoup apprécier, lançai-je amèrement.

Ma fille baissa la tête sans répondre.

— Tu l’as masturbé aussi ?
— Non : je voulais que ton sexe soit le premier que je toucherai, répondit-elle. Et j’ai aussi refusé qu’il me touche pour ces mêmes raisons.

Cette délicate attention m’attendrit.

Je me suis garé devant la maison et j’ai coupé le contact. Je m’effaçai pour laisser ma fille entrer la première. Je voulais lui demander si elle pensait le quitter ou nous garder tous les deux. Mais mon cœur se serra lorsque je me rendis compte que je n’avais pas le droit de lui demander un truc pareil. Après tout, je n’étais que son père ; ce n’est pas avec moi qu’elle ferait sa vie.

— Je vais aller me doucher, je suis tout collant, déclarai-je d’une voix morne.

Je m’étais miné le moral tout seul.

— Je vais y aller aussi, sourit-elle. Tu viens me souhaiter bonne nuit, après ?
— Bien sûr, répondis-je d’un ton neutre.

Une demi-heure plus tard, je sortais de ma salle de bain en boxer rouge profond en lycra. Malgré les merveilleux moments que nous avions passés ensemble, je ne me sentais pas capable de me promener en tenue d’Adam devant ma fille. La porte entrouverte de sa chambre me fit comprendre que je n’avais pas besoin de frapper avant d’entrer. Cependant, j’ai refusé de l’ouvrir lorsque j’ai entendu de petits gémissements. Je décidai de l’épier par l’ouverture. La blondinette avait détaché ses cheveux ondulés qui tombaient en cascade sur ses épaules. Ses seins étaient nus et dressés ; elle les caressait d’une main, tandis que la deuxième était cachée dans sa culotte en satin noir, entre ses jambes bien écartées. Ses yeux mi-clos et ses lèvres entrouvertes laissaient deviner qu’elle appréciait ses caresses.

Le spectacle que ma fille m’offrait était très excitant. Je glissai ma main dans mon boxer. Je caressai lentement mon sexe qui grossissait. J’admirais la façon dont elle massait délicatement ses seins. Jessica les pressait doucement en leur faisant faire des cercles, puis elle se mit à faire rouler ses tétons entre ses doigts. Ses gémissements devinrent plus forts. Son bassin ondulait sensuellement. Je me caressais au même rythme que les mouvements de son corps offert. C’était très bon, et cela me donnait envie de glisser entre ses cuisses ouvertes et accueillantes.

Ma fille délaissa ses seins pour ouvrir sa culotte. J’avais une merveilleuse vue sur son coquillage rose, ouvert et luisant. J’ai eu envie de me précipiter à sa rencontre pour m’en délecter avec gourmandise. Sa main dans sa culotte était posée sur son mont de Vénus fraîchement épilé et caressait son clito. Un doigt caressa doucement sa délicieuse fente avant de s’insérer délicatement dans son intimité. Il s’y lova profondément, la faisant gémir. La belle se pénétrait doucement en gémissant plus fort. Elle mouillait abondamment ; d’où j’étais, je pouvais entendre ses clapotis. J’avais envie de la boire, d’introduire ma langue dans son intimité, de sucer ses doigts et lécher son clito.

Je me masturbais au rythme de ses caresses. J’avais hâte de la voir jouir. Je la trouvais super excitante. Ma fille introduisit un deuxième doigt dans son intimité. Ses douces caresses devinrent rapidement endiablées. Sa liqueur s’écoulait à flots entre ses phalanges. Elle poussait de petits cris en se tortillant. Son bassin se soulevait en donnant des coups rapides et pressants. Son plaisir et son envie étaient beaux à voir. Cependant, je devinais que son désir était trop important pour que l’orgasme vienne rapidement. Je craignais qu’elle ne s’épuise ainsi et se blesse par tant d’acharnement.

J’enlevai ma main de mon boxer et poussai la porte.

— Oh ! Papa ! s’écria-t-elle.

Ma fille se releva brusquement en ôtant ses doigts si rapidement de son intimité que sa liqueur se retrouva éclaboussée sur ses cuisses. Rougissante, elle prit une position pudique, jambes serrées et mains sur les seins.

— Je pensais que tu avais besoin d’aide… dis-je timidement.

N’ayant pas deviné ce retournement de situation, je ne savais pas comment réagir. Ses yeux évitaient les miens en détaillant mon corps. Je la vis se détendre en voyant mon sexe en érection.

— Tu t’es caressé derrière ma porte ? demanda-t-elle, un léger sourire sur les lèvres.
— Tu es très belle, répondis-je en hochant la tête et en posant mes mains sur ses seins.

Ma fille se laissa faire. Je les lui caressai doucement, puis je l’embrassai tendrement en l’allongeant. Je me glissai à ses côtés.

Ma bouche parcourait tout son corps tandis que mes mains la pressaient contre moi. La blondinette gémissait en caressant mes cheveux en signe d’encouragement. Je lui ôtai doucement sa culotte en embrassant ses hanches et son pubis. Ma langue fouilla son intimité, se glissant dans son vagin. J’aspirai sa liqueur et la bus à même la peau. Elle était délicieuse. Je la regardais dans les yeux en caressant ses seins dressés. Puis je léchai et suçai son clito en gardant ses lèvres entre les miennes. Ma fille jouit très vite. La puissance de l’orgasme la poussa à me tirer les cheveux et me griffer tout en mordillant son oreiller, criant de plaisir. Je refusai de la lâcher jusqu’à ce qu’elle me supplie, à bout de souffle.

— Tu es sûre d’avoir assez joui pour toute la nuit ? demandai-je.
— Oui, chuchota-t-elle. Je ne sais toujours pas comment tu fais pour me donner autant de plaisir… J’en suis jalouse.

Je souris en embrassant ses seins. Je les caressais en portant ses tétons à mes lèvres.

— Veux-tu que je te montre une autre façon de me donner du plaisir ? demandai-je.
— Oui ! s’écria-t-elle, les yeux brillants.
— Tu as le droit de dire non, tu sais, souris-je devant son enthousiasme.
— Non, secoua-t-elle la tête ; j’ai très envie que tu m’apprennes.

Je lui souris et installai des oreillers dans son dos pour son confort. Je m’agenouillai à ses côtés. Jessica prit aussitôt mon sexe dans sa main en me regardant.

— Caresse tes seins avec, l’encourageai-je.

Elle frotta mon membre partout sur sa poitrine en le caressant avec sa main. Ma sève s’échappait de mon gland, laissant des traces sur son passage. Ma fille le suivait des yeux en souriant. Elle caressait doucement ses tétons dressés avec ma verge. Je la laissai jouer avec mon sexe et découvrir de nouvelles sensations. C’était doux, agréable et excitant.

Ma fille caressait ma verge avec ses seins. Je la tendis dans sa direction, en la maintenant à la base avec deux doigts. Je me massais doucement les testicules avec les trois autres. Ses sourires et ses regards brûlants me témoignaient le plaisir qu’elle se procurait. Jessica massait ses seins de part et d’autre de mon sexe en les pressant contre lui.

— Attends, chuchotai-je en me retirant doucement.

Je chevauchai son buste en fléchissant suffisamment mes jambes pour être à une hauteur confortable pour nous deux. L’excitation qui enflamma son regard me fit comprendre qu’elle appréciait la vue de mon sexe tendu vers son visage.

— Là, c’est plus confortable, dis-je en le reprenant entre mes doigts.

Ma fille entreprit de doux va-et-vient en pressant ses seins sur ma verge. Sa vallée était en effet très douce, très chaude, agréable et attirante. Je caressais tendrement son beau visage pour l’encourager. Je la trouvais si belle sous moi… J’ondulais du bassin afin d’accompagner ses mains et d’amplifier mon plaisir. Ses caresses devinrent plus précises et plus intenses. Ma sève s’écoulait lentement entre ses seins. Mon sexe glissait parfaitement contre sa peau. Jessica apprécia de m’entendre soupirer. Je m’offrais totalement.

Soudain, ma fille porta ses lèvres sur mon gland et l’embrassa en me regardant dans les yeux. Surpris, je n’osai plus bouger. J’étais divisé entre l’envie de la repousser doucement et celle d’être l’objet de ses découvertes sexuelles. Je retins mon souffle lorsque son petit bout langue vint l’effleurer. Je la regardais lécher mon urètre et goûter ma sève. Sa bouche était chaude et douce. Sa langue s’agitait et s’enroulait autour de mon gland. Je sentais ma sève s’écouler sur ce muscle joueur et se mêler à sa salive. Mon plaisir et mon désir grandissaient dans sa bouche et entre ses seins.

— Tu aimes ? demanda-t-elle en posant mon gland sur ses lèvres rougies.
— Oui, même si ça me choque un peu de te voir me faire ça, répondis-je.
— Oh ! Je pensais que tu aurais le même plaisir que moi lorsque tu me le fais, dit-elle, déçue.

Je me mordis les lèvres en regrettant mes paroles. J’étais choqué parce que je voyais cela d’un œil dégradant et pervers, alors que ma fille me rendait de façon innocente et naturelle le plaisir que je lui donnais. Sa vision me rassura, bien que je ne fusse pas habitué à de telles considérations.

— Si, si, c’est bon… Continue… si tu en as envie.

Ma fille continua ses délicieuses caresses. Je fermai les yeux et me laissai aller. Je me délectais de ce plaisir interdit en soupirant et gémissant faiblement. Je posai mes mains sur les siennes qui massaient doucement ses seins. Je les entraînais dans un rythme plus soutenu autour de ma verge. Elle arrêta de suçoter mon gland pour me regarder faire attentivement. Mon bassin accompagnait les mouvements de mon sexe entre ses seins. Son regard gourmand ne le quittait pas des yeux.

Soudain, mon gland pénétra ses lèvres entrouvertes. Ma fille gémit en me lançant un regard brûlant d’excitation. J’arrêtai à nouveau de bouger. Elle enleva ses mains des miennes et agrippa mes hanches. Je la laissai m’entraîner dans un mouvement de va-et-vient plus intense que précédemment. Je massais ses seins en les pressant contre ma verge. Ses lèvres accueillaient mon gland qui s’insérait et se retirait doucement entre elles. Je gardai mes yeux dans les siens. Rassuré par le contact de son regard, j’accompagnai ses mains en ondulant du bassin. Celles-ci glissèrent sur mes fesses et entreprirent de les caresser, de les effleurer et de le griffer légèrement. Un long frisson me parcourut de la base de mon fessier jusqu’au sommet du crâne. Une merveilleuse sensation que je n’avais encore jamais ressentie.

Je m’abandonnai à l’ivresse de cette sensualité. Mon désir se faisait plus pressant et mon plaisir plus intense. J’augmentai la vitesse de mes va-et-vient entre ses seins. Mon gland glissait rapidement et aisément entre les lèvres entrouvertes de ma fille, si bien que je ne le retirais plus tout à fait. Mais je n’en profitai pas pour pénétrer sa bouche plus profondément.

Je sentis les mains de ma fille quitter mes fesses. Elle entreprit de caresser mon torse sensuellement avec l’une d’elle. Des clapotis se firent entendre, me faisant comprendre qu’elle se caressait avec son autre main. Jessica gémit sans me quitter des yeux.

— Fais-moi sucer tes doigts plein de mouille ! ordonnai-je.

Un nouveau clapotis se fit entendre avant qu’elle les porte à mes lèvres. Je les léchai d’abord avant de les aspirer entre mes lèvres. Je les suçai délicatement en continuant de me caresser entre ses seins, le gland toujours dans sa bouche. Quand je vis qu’elle tentait de me sucer de la même manière, je me retirai aussitôt. Je pris mon sexe dans la main et me caressai vigoureusement en massant ses seins.

Son regard empreint d’excitation ne quittait pas mon membre. Je laissai ma sève s’écouler sur ses seins. Ma fille entreprit de se caresser. Sous moi, son corps vibrait de plaisir. Je la regardais gémir, sa bouche si près de mon sexe. Sa langue s’échappa de ses lèvres entrouvertes pour cueillir ma sève qui perlait sur mon gland. Je la laissai le lécher, l’embrasser et le sucer doucement. Cela m’excitait de me caresser dans sa bouche.

Mon plaisir parvint à son comble lorsque ma fille atteignit l’orgasme sans me quitter des yeux. Je la regardai gémir, mon gland dans sa bouche, en caressant tendrement son visage. Je me retirai vivement de cet écrin chaud et humide pour me déverser en longs jets de sperme sur mon torse. Je gémissais et criais de plaisir au-dessus d’elle en la regardant. Elle lova sa joue dans ma main et embrassa le creux de ma paume.

Je me laissai tomber à ses côtés, le corps encore tremblant de plaisir. Ma fille se rapprocha de moi et lécha un filet de sperme en me lançant un regard espiègle.

— Non, mais ça va pas… plaisantai-je en la renversant doucement sur le dos. Tu deviens trop insolente !
— Mais, j’adore… sourit-elle.
— Je crois que tu m’en as assez fait pour aujourd’hui. Je t’ai quand même laissée me caresser avec tes mains, avec tes seins et avec ta bouche.
— Oui, mais ce que je veux par-dessus tout, tu ne me l’as toujours pas donné.
— Soit patiente ! Qu’est-ce que tu feras après, quand je t’aurai tout appris ?
— Tu me feras réciter ma leçon ! rit-elle avec légèreté.

Je lui claquai tendrement les fesses en fronçant faussement les sourcils en guise de réponse. Nous passâmes un petit moment à rire, à nous chatouiller et à nous amuser, jusqu’à ce que je la blottisse dans mes bras. Nous appréciions le contact de nos corps nus pressés l’un contre l’autre.

— Tu dors avec moi cette nuit ? proposa-t-elle.
— Ah ! Non, non, non… tu serais encore bien capable de profiter de mon corps pendant mon sommeil !

Ma fille me lança un regard espiègle.

— Je pourrais toujours te rejoindre dans la nuit.
— Certainement pas, répliquai-je. Je serais toi, je me méfierais. Je pourrais très bien avoir des menottes qui traînent pour t’attacher.

Elle me lança un regard surpris.

— Bonne nuit, ma belle, l’embrassai-je. Je viendrai peut-être te réveiller demain matin si je suis d’humeur câline.

Je lui fis un clin d’œil avant de refermer la porte de sa chambre derrière moi.

Auteure : Feeling

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