samedi 5 décembre 2015

Comment former une jeune secrétaire stupide (3)

Relisez le chapitre 2

Chapitre 3


Le lendemain, elle fut à son travail le plus normalement du monde. Je m'attendais au moins à un air craintif après la cuisante correction que son joli petit popotin avait subi. Mais c'est à peine si son comportement avait changé. Et encore, c'était peut-être moi qui me faisais des idées.
En tout cas, elle semblait un peu plus vive dans ses réactions. Dès qu'elle recevait un coup de fil important, elle s'empressait de me le signaler ; elle montrait presque un semblant de zèle à devancer mes demandes.

Je notai cette amélioration et je la remerciai à chaque fois avec un « merci » chaleureux, histoire de lui montrer que j'étais satisfait de cet heureux changement. Je fus même, à un moment donné, tenté de la féliciter et de lui faire remarquer qu'elle était en progrès ; mais rapidement, cette embellie sembla retomber. Comme une élève paresseuse qui se contente de ses minces succès, elle redevint aussi indolente qu'au début.

Je me mis sur le qui-vive, surveillant le plus discrètement possible son travail, vérifiant sans qu'elle le sache la moindre de ses actions. Si elle pensait qu'elle allait m'avoir comme ça et s'en tirer à bon compte, elle pouvait toujours y croire : je l'attendais au tournant. À la moindre erreur, je ne la louperais pas !
J'avais tout préparé pour son prochain châtiment ; elle ne me prendrait pas au dépourvu.

Je n'eus pas beaucoup à attendre. À peine trois semaines se passèrent avant que je commence à trouver que certains résultats d'examens étaient longs à me revenir. Voulant en avoir le cœur net, j'appelai le laboratoire d'analyses médicales qui me confirma que certains examens que j'avais prescrits avaient bien été réalisés et les résultats transmis par leurs soins. Mais bien entendu, de courrier, point.
Je leur demandai de me préparer des photocopies de ces résultats que je passai prendre un soir directement chez eux après la consultation. En soi, c'était déjà un début de preuve. Mais, bien sûr, il aurait pu y avoir un problème avec la poste. Sauf que d'autres courriers m'arrivaient, eux, et je n'étais pas dupe.

Un matin, j'arrivai donc une heure en avance et me mis à fouiller dans les papiers qu'elle avait encore laissé s'accumuler en désordre dans son bureau. Quel capharnaüm ! Rien que pour ça elle méritait d'être corrigée.
Il ne me fallut pas grand temps pour tomber sur les résultats d'analyse qu'elle avait oubliés là, au milieu des autres feuilles en désordre, sans me les avoir montrés préalablement, comme je le lui avais rappelé formellement. Nous n'étions qu'un dispensaire, mais quand même ! Un retard au diagnostic peut parfois avoir des conséquences gravissimes si chacun prend ça à la légère et omet de jouer son rôle.

Cette faute pouvait donc être qualifiée de grave et aurait presque pu justifier son licenciement. Je comptais bien le lui faire savoir, car cette fois j'étais décidé à lui faire payer son insouciance, et qu'elle en bave. Et même si rien ne semblait avoir d'effet sur elle, j'avais envie de la marquer physiquement ! Pas seulement par la douleur, mais aussi par l'humiliation. Une envie sadique et une jubilation intense et sauvage me saisissaient rien qu'à y penser et à préparer dans ma tête tous les détails de son châtiment, pour allier le plaisir de l'excitation sexuelle à celui, pervers, de la vengeance.

Je laissai donc à "leur place" les feuillets qu'elle avait abandonnés avec sans-gêne, et l'après-midi, lors d'un "creux" (alors que nous n'avions personne), je lui lâchai le plus platement possible :

— Julie, vous passerez me voir à la fin de la consultation.

Elle leva la tête, interdite l'espace d'une seconde, et balbutia « Oui, d'accord… » sans demander son reste. Elle ne protesta pas, ni même demanda pourquoi. J'avais aperçu dans sa mine un semblant d'inquiétude, mais elle ne parut pas perturbée davantage.

Spontanément, elle vint se présenter à moi, une fois le dernier patient parti. Décidément, le scénario se répétait. Mais comme je n'aime pas la monotonie – et que je n'avais pas l'intention qu'elle s'en tire à bon compte – je lui avais préparé un traitement spécial.
Tout de suite je remarquai sans y prêter attention son attitude plus soumise qu'avant : la tête basse, elle se tenait devant moi un peu voûtée, séparée par mon bureau, les mains derrière le dos comme une petite fille sage.

— Allez fermer la porte à clé, Julie.

Elle commença à protester mollement :

— Mais… Je n'ai rien fait… J'ai fait comme vous m'avez dit…
— Justement, vous n'avez rien fait… de ce que vous deviez faire ! Quant à ce que vous avez fait, vous ne l'avez absolument pas fait selon mes consignes. Et je pense avoir été très clair.

Là-dessus, je me levai et allai dans son secrétariat où je trouvai les papiers là où elle les avait laissés (et où je les avais trouvés) et les rapportai ; je les lui mis juste sous son nez.

— Et ça ?
— C'est quoi…? demanda-t-elle bêtement
— Vous osez me le demander ?

Elle regarda les feuilles avec un air piteux, un œil idiot, en osant à peine me lancer un regard effrayé.

— Allez fermer cette porte ! Et vite, avant que la moutarde me monte encore plus au nez !

Cette fois elle s'exécuta, hâtant légèrement le pas, se rendant compte que ce n'était vraiment plus le moment de discuter. Elle revint avec un air soumis, résigné.

— Déshabillez-vous. Entièrement !

Elle leva ses yeux vers moi, et j'y vis de la stupeur. Mais le regard dur qu'elle rencontra lui fit instantanément comprendre que je n'étais pas d'humeur à négocier. Debout devant moi, je la vis enlever son polo, déboutonner son blue jean qu'elle ôta. Puis elle marqua un temps d'arrêt.

— Le reste ! J'ai dit : entièrement ! Vous ne savez pas ce que ça veut dire ? Entièrement nue ! Allez, ça va. J'ai déjà vu vos fesses, et pas qu'une fois !

Son visage prit la moue d'un bébé sur le point de pleurer et elle dégrafa son soutien- gorge. Des jolis seins juvéniles apparurent, tout blancs, avec des petites pointes d'un rose tendre toutes dardées sous l'effet de l'émotion et de la crainte. Je ne les avais encore jamais vus, eux. Et j'avais une féroce envie de les prendre entre mes doigts et de les presser méchamment.

Sans discuter, elle baissa sa culotte et la fit tomber sur ses chevilles, marqua un temps d'arrêt. Elle leva furtivement la tête vers moi, et comme j'attendais encore, elle s'en libéra en levant les pieds l'un après l'autre.
Elle était maintenant complètement nue, offerte, livrée, avec sa jolie toison de blonde, châtain et peu fournie qui ornait son petit triangle.

— Montez sur le bureau et mettez-vous à quatre pattes dessus.

Penaude, elle grimpa maladroitement sur le vieux bureau en métal et s'installa comme je le lui avais dis. Je lui demandai de reculer le plus possible, de sorte que ses genoux reposent près du bord, les jambes dans le vide, la croupe tendue. Avec trois doigts j'appuyai fermement sur ses reins :

— Cambrez-vous. Plus que ça. Allez, mieux que ça… Faites ressortir votre croupe.

Je dégrafai la boucle de ma ceinture que je retirai, tout en accompagnant le geste de la parole :

— Je m'aperçois qu'il n'y a qu'un seul langage que vous comprenez, Julie. Et que pour qu'un message soit vraiment efficace avec vous, il faut qu'il fasse mal. Et vous savez de quoi je parle. Mais je crois que les deux fois précédentes je n'ai pas été assez sévère, parce que vos efforts n'ont pas duré bien longtemps. C'est pourquoi aujourd'hui je vais vous punir d'une façon dont vous vous souviendrez et qui vous aidera à penser par la suite à tout ce que vous devez faire au quotidien.
Je vous promets que vous allez pleurer, et que je vais vous entendre crier. Et que quand ce sera terminé vous me remercierez de vous avoir châtiée parce qu'enfin, vous aurez appris quelque chose. Vous serez contente que ça se termine, je vous le garantis !
Mais il va falloir pour ça prendre votre punition jusqu'au bout. Et si vous m'interrompez avant la fin, je vous promets que je prendrai les mesures nécessaires pour que vous ne soyez plus en mesure de résister.
Vous allez recevoir la ceinture. Interdiction d'enlever vos mains du dessus du bureau. Si vous en enlevez une, si vous vous dérobez, je vous garantis que le coup suivant sera donné avec une force insupportable. C'est bien compris ?
— Oui…
— Et inutile de supplier, d'implorer, de me demander grâce ou d'arrêter. J'arrêterai quand je l'aurai décidé. Vous pouvez crier autant que vous pouvez : vous savez que notre pavillon est loin de tout et que personne ne vous entendra. Bien, je commence. Préparez-vous à payer pour vos bêtises.

Elle donnait des signes de nervosité, comme une jeune pouliche anxieuse. Je me plaçai derrière elle à côté de sa jambe gauche, pris la mesure de la distance qui me séparait de son blanc fessier, qui m'offrait un charmant spectacle. Je lui fis écarter légèrement les cuisses, ce qui eut l'avantage d'ajouter l'humiliation de me dévoiler son bel abricot finement ourlé.
Il était tout neuf, jamais souillé par la main de l'homme, pensai-je avec une forte émotion.

J'avais replié la ceinture en deux et la tenais par la boucle. Je levai le bras et visai le planisphère fendu verticalement. Le premier coup s'abattit sans violence (il s'agissait qu'elle s'habitue progressivement à la sensation.)

— Ouuuchh !

Puis s'abattirent un second, un troisième, un quatrième, avec une lente régularité, et je m'appliquai à viser, à espacer les impacts les uns des autres. Elle poussait des « Aaah » brefs mais de plus en plus forts, et consciencieusement je couvris de zébrures sa zone fessière avec une intensité croissante.
Ses cris devinrent de plus en plus tremblants, de plus en plus désespérés. Mais malgré la douleur qu'elle devait ressentir, pas une fois elle n'avait ôté une de ses mains du plan du bureau, ni ne l'avait portée à ses fesses. Sa soumission m'émerveillait, m'excitait, me donnait envie de la fouetter interminablement, et plus en plus fort.

Je pris de plus en plus d'élan, et c'est avec violence que je commençai à accabler son jeune et beau derrière de coups qui claquèrent sèchement et cruellement, ne laissant bientôt plus aucune zone pâle sur sa peau.
Ses cris étaient devenus très forts et plus longs, s'étirant d'un coup à l'autre. Enfin elle éclata en sanglots, et tremblante, secouée de spasmes nerveux, elle se mit à implorer :

— Non, non ! Aahhh ! Ah non. Oh non, arrêtez !

Je m'arrêtai et m'approchai de son visage.

— Vous savez ce que je vous ai dit, Julie ? Et ce que je vous ai promis ? Vous savez que vous méritez cette punition, n'est-ce pas ?
— Oui, mais… je peux plus… Ça fait trop mal.
— Descendez de la table.

Elle ne se fit pas prier, croyant que j'allais mettre fin à son supplice. Presque de façon simiesque, elle descendit gauchement du large bureau. Immédiatement je lui pris la main et la conduisis dans la salle d'examen. J'avais tout prévu. J'avais baissé la tête de la table d'examen presque à l'horizontale jusqu'à laquelle je l'amenai. Je lui ordonnai :

— Montez et allongez-vous à plat-ventre.

Elle tourna la tête vers moi et me regarda avec stupeur. Dans ses yeux, ce que je vis brièvement était de la terreur. Je crus un instant qu'elle allait résister, voire reculer :

— Mais… mais ! Non, s'il vous plaît… Ça suffit…
— C'est moi qui décide si ça suffit, Julie. Et comme vous avez dépassé les bornes, j'ai décidé que votre punition n'était pas encore terminée. Alors grimpez là ! Dépêchez- vous, ne discutez pas ; je ne suis pas d'humeur !

Vaincue, craintive, elle monta en sanglotant. Je la fis se placer à plat-ventre, jambes et bras tendus. Dans le tiroir situé sous la table j'avais laissé des sangles de contention (en cuir et tissu), de vieilles sangles que j'avais dénichées dans une armoire où on les avait oubliées depuis longtemps, témoins de l'époque où le dispensaire devait servir pour la psychiatrie pour les cas où.
Je m'en saisis, et sans perdre de temps je lui passai une sangle sur les reins que j'attachai fermement sous la table, puis lui attachai chaque cheville et chaque poignet avec une petite sangle à crans que j'avais préalablement fixée sous la table également. Elle tourna sa tête vers moi, apeurée.
Je lui avais fais la grâce de lui laisser ses lunettes. Les verres étaient pleins de larmes.

Ainsi sanglée, elle pouvait à peine soulever son ventre et était parfaitement à ma merci. Je me régalai de cette position. De nouveau je pris ma ceinture, prenant un plaisir sadique à bien la tendre devant ses yeux, ajustant les deux parties d'une égale longueur l'une contre l'autre en les écrasant, puis les faisant claquer comme on ferait de la corde d'un arc. Enfin, pour parfaire la mise en scène, tenant la boucle dans la main droite, je m'amusai à tendre de la main gauche les deux lamelles de cuir, comme si je visais avec un lance-pierre. (J'achète toujours des ceintures en cuir de vachette, d'une excellente qualité.)

Ma cible était là, juste sous mes yeux, rouge et rutilante, bien rebondie.

Je levai ma ceinture et visai soigneusement de la main droite, la main gauche la retenant pour bien en mesurer la force. (Malgré tout, il y avait toujours une part d'imprévu à l'arrivée.) Et l'arrivée fut rude : elle claqua sèchement et méchamment. Julie hurla.

J'ajustai le coup suivant. Il atterrit sur le bas des reins. Julie rua de douleur.

Le suivant gifla les rotondités en plein travers. Julie beugla.

Je frappai le bas des fesses. Julie brailla.

Le bout de la ceinture châtia la fesse droite. Julie mugit.

Puis la fesse gauche. Julie hulula.

Je claquai la peau veloutée du bas des fesses. Julie se secoua.

Je flagellai le sommet des hémisphères. Julie rugit.

Finalement, je m'attaquai à la chair toute lisse et encore toute blanche des cuisses allongées. Elle se plaignit. Une belle strie rouge vif apparut.

Je cinglai violemment la peau juste en dessous, fier de mon adresse. Julie vagit.

J'ornai avec un bruit effrayant le travers des cuisses. Julie n'en pouvait plus.

Je marquai sèchement d'une belle rayure la zone en dessous. Julie brailla.

Je frappai par le travers la peau encore blanche. Elle trembla.

Je zébrai la peau fine près du jarret. Julie rua.

Je ne pus m'empêcher de finir la séance en striant de la même façon ses beaux mollets bien rebondis, dont la peau toute luisante vira vite au bordeaux. D'autant plus qu'étant en pantalon, cela ne risquait pas de se voir quand elle rentrerait tout à l'heure chez ses parents.

Cette fois, elle avait eu droit à la totale ! Mais pas encore tout à fait. Car j'estimai que son châtiment devait être complet ! Je la détachai et lui ordonnai de se retourner. Incrédule et sans comprendre, elle s'exécuta en reniflant. Quand je me mis à la rattacher, elle se mit à pleurer de plus belle, avec des trémolos dans la voix :

— Nooon… Qu'est-ce que vous faites ?
— Je t'ai annoncé un châtiment sévère, Julie. Tu le sais bien. Et tu sais que tu le mérites.

Elle sanglota comme une gosse. Les bras tendus au-dessus de sa tête, elle me présentait ses seins charmants, ronds et blancs, son ventre souple, son petit mont de Vénus duveté.

D'une main assurée je me mis à lui zébrer le ventre à un rythme soutenu, mais cette fois en mesurant la force. La pièce s'emplit de ses cris toniques.

Puis, prenant la ceinture doublée à 20 cm de l'extrémité, je m'approchai de sa poitrine, et avec force concentration je m'appliquai à fouetter ses seins en visant juste ses fragiles mamelons de petits coups secs, sans pouvoir réprimer un sourire sadique de plaisir. Elle poussa des cris aigus et les tendres pointes virèrent framboise bien mûre.

Ensuite, je fis de même en cinglant le doux renflement surmontant son jeune sexe, et la chair ronde et grasse encaissa une dizaine de coups. Julie haletait.
Je ne pus m'empêcher bien sûr de frapper une vingtaine de fois le devant des cuisses, tendu et renflé, ce qui dut lui occasionner une douleur cuisante, comme en témoignèrent les vagissements qui sortirent de sa bouche déformée.

Pour finir je m'emparai de son petit pied mignon (ses chaussures à talons étaient tombées sous l'agitation spasmodique de ses jambes durant sa correction) et le caressai de la cheville jusqu'aux orteils. Du bout de mon pouce, je pris du plaisir à effleurer et masser la plante. Elle ne semblait pas chatouilleuse et ne disait plus rien, soulagée de ne plus être fouettée.

Je saisis le pied en le maintenant fermement par les orteils, et du bout de la ceinture je me mis à cingler l'intérieur de la plante, dans le creux, là où la peau est la plus douce, en y prenant un plaisir raffiné et infini. Julie poussait des petits cris, mais sans commune mesure avec ceux qu'elle avait émis lors du "traitement" de ses parties les plus charnues.
Cette dernière phase n'était pas très douloureuse, mais j'avais tenu à l'exécuter afin de lui montrer que je n'avais épargné aucune partie de son corps, tant elle avait mérité d'être parfaitement et complètement châtiée.

Je la détachai finalement. Ce faisant, je lui dis :

— Pour finir, Julie, je vais vous demander de vous mettre à genoux devant moi et de baiser la main qui vous a châtié. Et je veux vous entendre à haute et intelligible voix me dire merci. Merci de vous avoir corrigée comme vous le méritez, merci de me charger de votre formation, merci de reprendre en main votre éducation déficiente. Merci de vous remettre dans le droit chemin, merci de vous apprendre tout, de vous aider à corriger vos erreurs…

Elle descendit et se mit à genoux à mes pieds, la tête baissée, humiliée. Elle marqua un temps d'arrêt, prit ma main qui tenait toujours la ceinture, et déposa un léger baiser sur son dos. Je la saisis par le menton et lui levai la tête jusqu'à ce que ses yeux – on aurait dit ceux d'un chiot implorant – rencontrent les miens :

— N'ai-je pas raison, Julie ?
— Si…
— N'ai-je pas raison de vous traiter ainsi ?
— Si…
— N'est-ce pas que c'est la bonne méthode, que c'est la meilleure méthode pour vous, et que cela va vous aider ?
— Euh... si.
— Vous verrez comme vous m'en serez reconnaissante…

J'étais persuadé qu'elle n'était absolument pas sincère ni convaincue, et qu'elle avait répondu par crainte que je reprenne la flagellation.

Néanmoins, c'est avec un zèle surhumain (pour elle) qu'elle alla jusqu'au bout de son contrat sans commettre aucune nouvelle bévue !
Une fois cependant elle se rendit coupable d'une négligence, toutefois sans réelle gravité. Quand je la lui fis remarquer, je fus surpris de sa réaction : elle se jeta spontanément à genoux, m’implorant :

— Pardon, pardon ! Je ne le ferai plus !

Pour toute réponse je lui caressai le visage longuement, murmurant doucement :

— C'est bon, ça va. Tu es une bonne fille.

La leçon avait donc fini par payer, ce que je n'aurais jamais cru.
Quelques mois après, j'eus une autre surprise, bien plus grande, et pas moins agréable.

Auteur : Docsevere

Lisez la suite

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire