Chapitre 4
Ma
secrétaire habituelle, Ingrid, était revenue de son congé maternité et
le cours habituel des choses avait repris comme avant.
Quelle ne
fut pas notre surprise – 3 ou 4 mois environ après – de voir Julie
pointer son nez un bel après-midi, en fin de consultation. Elle discuta
un petit moment avec Ingrid (qui s'était arraché les cheveux à tenter de
la former au début du contrat de remplacement) ; enfin, « discuter »
est un bien grand mot car, comme à son habitude, elle n'était ni très
loquace ni très expansive. Les quelques mots échangés n'allaient pas
très loin et Ingrid – qui n'avait en général pas beaucoup de patience –
sembla vite excédée et, comme la journée était terminée, sans autre
forme de procès remballa ses affaires et partit.
À mon
étonnement quand même (avec tout ce que je lui avais fait subir, même si
elle l'avait mérité) Julie vint me voir dans mon bureau et me dit
bonjour. Sachant que sa conversation serait vite asséchée, je me montrai
aimable et chaleureux. Je m'approchai d'elle avec un grand sourire (dû à
la satisfaction de savoir que je n'avais plus à travailler avec elle).
— Alors, Julie, comment ça va ?
— Ça va…
— Qu'est-ce que vous faites en ce moment ? Vous travaillez ?
— Ben non. J'ai fait des demandes. Mais j'ai pas de travail…
« Tu m'étonnes… » pensai-je, un peu cruel.
— Bon. Et vous avez été sage ?
— Euh… oui…
— C'est sûr, ça ?
— ... Oui…
— Pas fait de bêtises ? Même chez vous ?
— Euh, non…
— Donc, vous n'avez pas mérité de punition ?
— …
—
Dites-le-moi franchement. Vous devriez peut-être me confesser vos
fautes : les punitions que je vous ai infligées vous ont fait le plus
grand bien quand vous travailliez avec moi. C'est grâce à elles que vous
avez progressé… Vous ne trouvez pas ?
— Ben si…
— Et puis si vous êtes revenue me voir aujourd'hui, ça n'est peut-être pas pour rien, non ?
Elle commençait à regarder ses pieds, à éviter mes yeux.
— Vous avez envie de progresser, d'apprendre encore ?
Il fallait vraiment lui tirer les vers du nez.
— ... Oui…
— Avouez que mes punitions vous manquent. Que vous avez envie d'en recevoir !
Elle
baissa la tête complètement, l'air tout à fait honteux. Un long silence
s'ensuivit, puis elle prononça d'une voix presque inaudible :
— Oui.
— Comment ? Je n'ai pas entendu.
— Oui !
— Oui quoi ?
— …
Vraiment, cela avait du mal à sortir de sa bouche. Il fallait l'aider.
— Si c'est ce que vous pensez et que vous souhaitez, mettez-vous tout de suite à genoux et déculottez-vous !
Lentement
elle s'agenouilla devant moi, tête basse, piteuse, soumise mais
troublée. Mais elle s'arrêta comme paralysée, n'osant pas aller plus
loin. Comme s'il lui fallait entendre une de mes directives donnée de ma
voix ferme pour effectuer chaque geste, chaque action, mue par le
besoin d'être guidée.
— Allez, déboutonnez votre jean maintenant ! Et baissez-le en même temps que votre petite culotte jusqu'en bas des cuisses !
Lentement,
avec des mouvements gauches et malhabiles comme à son habitude, elle
s'exécuta. Son joli pubis renflé et ses cuisses blanches apparurent.
—
Maintenant, je veux vous entendre me dire clairement et distinctement
que vous êtes une vilaine fille et que vous méritez d'être punie.
— …
— J'attends !
— Je suis une vilaine fille. Je mérite d'être punie.
— Je mérite d'être fessée et je vous demande humblement d'avoir la bonté de m'administrer cette punition.
— … Euh… je mérite d'être fessée et je vous demande humblement d'avoir la bonté de m'administrer cette punition…
— Plus fort ! Je n'ai rien entendu !
— Je mérite d'être fessée et je vous demande humblement d'avoir la bonté de m'appliquer cette punition !
— Voilà qui est bien. Levez-vous et retirez complètement votre pantalon et votre slip.
Elle s'exécuta, agissant désormais sans temps d'arrêt, comme une automate.
— Maintenant montez sur la table d'examen et allongez-vous sur le dos.
Elle obéit.
— Descendez le plus possible vers le bas de la table. Oui, encore. Allez. Oui, les jambes dans le vide, ça n'est pas grave.
Je
lui saisis les chevilles et lui relevai les jambes très haut, à la
verticale et même plus. De la main gauche je lui maintenais les jambes
droites, inclinées vers elle, exposant ses fesses et ses cuisses, la
peau bien tendue ; ainsi elle me dévoilait en toute impudeur sa chatte
bien fendue, les lèvres bien renflées de sa vulve, et même, plus bas, un
tendre petit œillet sombre et tout plissé.
Ma main droite
caressa lentement ses cuisses bien blanches, en descendant du pli du
genou jusqu'à ses fesses renflées et fermes. Instantanément elle
frissonna, sa peau se hérissa. Elle savait ce qui l'attendait ; mais
elle l'avait voulu. Aujourd'hui elle le désirait – sans le clamer,
d'accord – car elle était venue le chercher d'elle-même. Personne ne le
lui avait demandé ni même ne l’avait obligée : elle était venue parce
qu'elle en avait envie. Elle y avait pris goût malgré ses cris et ses
pleurs, malgré ses (faibles) récriminations : maintenant elle aimait ça !
Lentement je me mis à fesser sa croupe d'une main ferme, en
faisant bien claquer la chair tendre et élastique afin d'obtenir une
belle musique : des CLAC ! CLAC ! emplissaient – en résonant – toute la
pièce, et un doux rosissement apparaissait sur la peau blanche.
Julie me regardait faire avec un air anxieux, les lèvres serrées, sans faire entendre un seul son.
Puis
je me mis à claquer plus sèchement et plus fortement – en alternant
bien les zones traitées – son fessier et ses cuisses tandis que
j'accentuais mon emprise de mon autre main en serrant davantage ses
fines chevilles. Elle ne criait toujours pas mais se mit à haleter.
Toute sa tendre chair prit petit à petit une teinte framboise et une
nette chaleur.
Mais j'avais envie de sa participation active à sa soumission. Aussi je lui dis :
— Vous allez tenir vous-même vos jambes, Julie, en passant vos mains derrière vos genoux.
Oui,
comme ça. Et tirez vos jambes bien vers vous. Oui, allez ! Encore plus :
vos genoux doivent pratiquement toucher vos épaules. Voilà, c'est bien.
Et écartez-moi un peu ces cuisses !
Ainsi, je pus continuer à me
livrer au ballet claqueur, en visant l'intérieur des cuisses, là où la
peau est si fine, si soyeuse. Elle commença à pousser des petits cris
brefs. Je visai l'intérieur des fesses, au plus près de la vulve et de
l'anus. Son sillon vulvaire commençait à être brillant de rosée :
c'était vraiment ce qu'elle aimait !
Doucement d'abord, puis de plus
en plus fort, je ne pus résister à l'envie de châtier son pubis rebondi
et me mis accabler son mont de Vénus renflé de petites claques bien
sèches. L'effet fut assez immédiat : sa jeune chatte devenait luisante
de mouille.
Soudain j'arrêtai tout. Je vis dans ses yeux comme un immense désarroi, mais qui fut de courte durée.
— Descendez de la table, Julie, vite !
Elle s'exécuta avec une rapidité qui me surprit. Elle devenait très obéissante ; allait-elle devenir vive ?
— Enlevez le haut. Et vite ! Je veux vous voir complètement à poil. Je veux voir vos jolis petits seins !
Elle baissa les yeux, rouge jusqu'aux oreilles, et déboutonna son chemisier.
— Et on se met à genoux pour ça ! Exécution ! Fissa !
Elle obéit instantanément, mue par le désir de la soumission qui montait en elle, puissant comme une drogue.
Elle
apprenait vite, et apprenait plus vite les choses du sexe que le boulot
de secrétaire. Question de motivation. Ah, ces jeunes : il n'y a
personne quand il s'agit de bosser, mais quand il faut prendre du bon
temps, se vautrer dans l'oisiveté et savourer les plaisirs, toujours les
premiers !
En un clin d'œil elle fut entièrement nue, à genoux.
Ses yeux levés vers moi, elle attendait mes instructions, je dirais
presque « avec impatience ». Je m'avançai tout près d'elle, jusqu'à
avoir son nez presque collé à mon pubis. La position était gênante et je
fis exprès d'y rester. Je pris son menton que je levai vers moi et lui
dis :
— Tu es une bonne fille, Julie. Est-ce que tu as envie de
devenir ma petite salope ? Tu as envie que je t'initie au plaisir, que
je fasse de toi ma petite pute docile ?
— … Oui…
Ses yeux étaient troubles, sa voix plus faible et plus soumise que jamais…
— Alors c'est parfait.
J'ouvris mon pantalon, me débraguettai, et joignant la parole au geste :
— Je suppose que tu n'as jamais sucé un homme, Julie…?
— Non…
—
Il faut bien commencer un jour. Et ce jour est arrivé. Tu vas
apprendre. Vas-y, montre-moi comment tu penses qu'il faut faire. Je te
corrigerai ensuite. Suis ton intuition, n'aie pas peur. Pense que tu
veux faire plaisir à ton maître…
Rouge écarlate jusqu'aux
oreilles, elle ne se fit pas prier et prit en bouche tout le morceau qui
se mit à gonfler davantage et à se dresser tout dur dans sa petite
bouche, au contact doux et humide des muqueuses de ma petite ingénue.
—
Hé, mais tu ne t'y prends pas mal du tout ! C'est bon, on dirait que tu
l'as déjà fait... ou en tout cas que tu en avais envie, et que tu as
envie de donner du plaisir à ton maître.
Elle sourit de
satisfaction, et avec de plus en plus d'assurance fit des allers et
retour sur toute la hampe. Je pris sa tête à deux mains, l'attirai vers
mon bas-ventre et l'agitai en un rythme accéléré ; je poussais des
grognements de plaisir… Je me penchai, caressai sa nuque, son dos ; mes
mains attrapèrent ses petits seins ronds que je me mis à malaxer. Les
tétons dardèrent aussitôt, trahissant son excitation, devenant tout durs
et tout dressés : je me mis à les faire rouler entre mes doigts, sans
ménagement, allant presque jusqu'à les pincer. Elle gémit, douleur et
plaisir mêlés, la bouche pleine, sans interrompre sa besogne.
— Debout maintenant ! Vite !
Sans discuter, elle se releva.
—
Tourne-toi et pose tes deux mains à plat sur la table. Et penche-toi
légèrement en avant… Oui, comme ça. Et cambre-toi. Je veux ta croupe
bien tendue vers moi.
Elle suivait toutes mes directives en
élève bien obéissante. Elle était rouge, et je sentais son excitation à
travers son souffle court. Là-dessus, je me mis à la fesser d'une main
leste. Je distribuai à ses jolies fesses des claques vives et sèches, de
plus en plus fortes, couvrant tout son fessier. Ma main gauche se mit à
jouer avec ses seins : je les pelotai, les malaxai, jouissant de leur
délicieuse fermeté, passant de l'un à l'autre avec avidité.
Le
rythme des claques ralentissait mais elles devenaient de plus en plus
intenses, lui arrachant à chaque fois un cri dont l'intensité allait
crescendo. Mais pas une plainte, pas une supplication, pas même une
larme. Elle s'endurcissait, la petite garce ; et aussi elle savait déjà
que j'aimais varier les plaisirs et que je ne faisais pas durer chaque
épisode avant de passer à un autre.
Les doigts de ma main gauche
avaient saisi une pointe bien dure que je me mis à rouler entre pouce,
index et majeur, la frottant fortement, la pinçant, la tiraillant ; elle
se mit à pousser comme des râles, des gémissements, la bouche ouverte,
les yeux écarquillés de douleur :
— Aaaaah… aaaah… aaaah…
— Tu aimes ça, ma petite salope ?
— Heummm… oui…
— C'est bien. Tu es une bonne soumise. Une vraie petite garce.
—
Maintenant, tu vas te remettre sur cette table, allongée sur le dos
comme tu l'étais tout à l'heure, en position genu-pectorale.
Avec
un peu de lenteur – qui n'était plus maintenant exempte de sensualité –
elle monta l'escabeau trois-marches et reprit la position d'elle-même.
—
Descends vers le bas de la table et écarte un peu plus tes cuisses.
Allez, encore. Que tu aies les reins tout au bord. Vas-y. Le spectacle
que tu m'as offert m'a plu ; j'y ai pris goût.
Elle m'offrit en
effet le plus beau des panoramas : un fessier et des hanches de jeune
fille bien déployés, avec au centre son frais et tendre abricot bien
joufflu surmonté du petit mont renflé, et en dessous la petite étoile
toute plissée et toute arrondie.
Je recommençai à la claquer
partout, et ce fut comme le vent chaud et brûlant du désert qui
s'abattit sur ses belles chairs fermes. J'insistai plus particulièrement
sur ses jeunes cuisses bien galbées pour qu'elles soient de la même
jolie teinte que la croupe que j'avais châtiée à la verticale. Tout son
corps était agité de soubresauts nerveux, et elle soufflait à travers
ses lèvres pincées des « Ffff… ffff… ffff… » comme s'il s'agissait d’une
séance de gymnastique.
Enfin j'arrêtai de la fesser et je
caressai en effleurant à peine la peau rouge vif qui devenait blanche
sous la pression des doigts (effet qu'on appelle en jargon médical «
s'effacer à la vitro-pression »). Je lui enjoignis de garder la position
et je pris dans le meuble médical un pot de gel qu'on utilise pour les
échographies. Je lui en enduisis le bas des cuisses, la croupe, tout le
périnée, et je me mis à lui masser sensuellement toute cette zone avec
mes doigts qui glissaient doucement sur sa peau. Elle ferma presque les
yeux de plaisir.
J'insistai particulièrement sur les lèvres du
sexe et sur le sillon vulvaire (elle gémit doucement, ne se retenant
plus) puis caressai vicieusement tout le tour du joli petit cratère que
formait l'anus avec des cercles concentriques, m'en approchant
progressivement. Je caressai en l'effleurant le doux petit œillet et
remis une dose de gel.
Près du matériel d'échographie je pris et
déballai un préservatif qui servait pour coiffer les sondes
endo-vaginales. Elle me regarda faire, les yeux grands ouverts et
brillants, sans rien oser demander. Elle ne protesta pas plus quand elle
me vit enfiler le préservatif sur mon membre raide.
J'approchai et plaçai le trois-marches devant le pied de la table.
— Tu n'es plus une petite fille, Julie, tu es bien d'accord ?
— Oui.
— Alors maintenant je vais t'enculer. Je veux te laisser ta virginité. Pour elle, nous verrons plus tard.
Mon
intention était surtout qu'elle finisse par me l'offrir d'elle-même,
mais un autre jour. J'avais envie qu'arrive ce jour où elle me
supplierait de la dépuceler, de faire d'elle une femme ; mais
aujourd'hui j'avais envie de forcer son orifice le plus étroit, qu'elle
me sente passer. J'avais envie de jouir d'elle tout en refusant de la
traiter comme une femme. Je voulais jouir d'elle mais que ce soit
humiliant. Je ne voulais pas « l'honorer ».
J'empoignai les
cuisses, tout près du pli qui les sépare des fesses, et me présentai
l'objet à sacrifier, moment combien émouvant. Cette petite garce était
vierge, et j'allais la trouduculer. Je présentai mon vit et posai le
gland dilaté sur son tout petit œillet sombre. Je me mis à le frotter
sur le petit cratère et tout autour. Julie haletait légèrement, anxieuse
et excitée, si tant est que l'excitation pouvait s'extérioriser chez
cette fille.
— Tu sais, Julie, la prochaine fois que tu viendras me voir, j'exige que tu aies débarrassé ton pubis de ses poils.
Elle me regarda, l'air étonné, comme si elle ne savait pas qu'une femme pouvait se raser.
— Parfaitement. Tu te raseras la chatte, sinon je ne voudrai pas de toi.
Ayant
considéré que ce préambule avait assez duré, je posai le gland sur sa
rosette et je me mis à pousser. Je forçai l'entrée de son petit anneau
qui se mit à se dilater et à céder tandis que ses yeux s'écarquillaient
comme si elle mimait comiquement l'ouverture de son orifice le plus
étroit et le plus secret, tout ceci sans qu'un son ne sorte de sa bouche
ouverte.
Le gland s'engloutit lentement, et elle émit des « Aah… » avortés et étouffés.
—
C'est bien. C'est passé. Te voilà dépucelée du cul, Julie. Je vais
prendre mon temps et je vais bien te baiser ! Relâche-toi, détends-toi.
Tu n'auras plus mal maintenant. Concentre-toi sur ton cul. Tu vas
apprendre à aimer.
Là-dessus je pris ses hanches de jeune
chienne, refermai mes mains pour les maintenir fortement, et je
m'enfonçai lentement en elle, savourant le plaisir de son cul étroit,
progressant dans son canal bien serré mais bien lubrifié. Rapidement je
fus au fond et mon pubis en butée contre son périnée.
— C'est bon, tu es une bonne petite chienne, Julie. Je vais bien t'enculer.
Tout
doucement, progressivement, je me mis à la pistonner, d'abord bien
lentement et bien profond, la travaillant à fond, attendant que ses
muscles se relâchent, que je sente une souplesse toute neuve. Elle finit
par se détendre enfin, et je mis à la besogner à un rythme accéléré.
Elle haletait, les yeux hagards, visiblement en proie à des sensations
complètement inconnues d'elle jusqu'à ce jour.
Mes mains
empaumèrent ces petits seins. Ses yeux se mirent à rouler de tous côtés.
Cette petite garce était au comble de l'excitation. Manifestement, elle
était faite pour être sodomisée. C'était son point sensible.
— C'est bon... Ah, c'est bon ! Tu aimes ça, hein, Julie ?
— Ouii…
— Oui, tu aimes ça. Tu es faite pour être enculée !
— Mmmhhhh…
— Oh oui, tu es bonne. Tu es bien serrée. Tu es une vraie petite salope, tu m'excites. Tu es ma bonne petite pute.
De
violents coups de reins je lui ravageais le trou du cul, lui pistonnant
l'arrière-train. Elle était prise comme de tremblements, de spasmes.
Tétanisée, les yeux écarquillés, ailleurs, tout montrait qu'elle était
en train d'en jouir.
Je me retirai, lui ordonnai de descendre de la table et de s'asseoir sur le trois-marches. Je retirai le préservatif.
—
Tiens, tu vas prendre ma semence. Je vais t'éclabousser et tu lècheras
tout. Gare à toi si tu en laisses une goutte : tu sais ce qu'il t'en
cuira ! Ça doit être un honneur d'avaler la liqueur de ton maître.
Apeurée,
elle s'immobilisa, les yeux fixés sur mon membre à la raideur et à la
dilatation démesurée. Rapidement je giclai sur son visage et ses seins, à
grands jets puissants. Elle fut littéralement éclaboussée.
— Ramasse ce qu'il y a sur tes seins et lèche tes doigts.
Sans
trop de difficultés ni de dégoût elle s'exécuta, comme chaque fois que
je lui donnais un ordre. Je caressai son visage avec ma verge encore
dure, la flattai.
— C'est bien, tu es une bonne soumise. Tu as
prouvé que tu étais une vraie petite salope, aujourd'hui. Si tu veux
être ma petite pute, tu sais ce que j'attends de toi. Il ne tient qu'à
toi d'être obéissante.
Elle hocha la tête, visiblement satisfaite d'avoir été initiée aux plaisirs des grands, et avec déjà un air moins puéril.
Avant
qu'elle ne s'en aille, je lui donnai mes dernières directives, debout
face à elle. Elle m'écouta, enfin attentive, les yeux dans les yeux :
—
Et n'oublie pas que la prochaine fois que tu viendras me voir, je veux
que tu aies rasé ta chatte ! Ton sexe devra être lisse comme un œuf : ça
sera une preuve de ta soumission à moi.
Et dorénavant quand nous ne serons que tous les deux, tu m'appelleras « Maître ». C’est bien compris, Julie ?
— Oui Maître.
—
C'est bien, tu es bonne fille. Une fille délicieuse. J'ai compris
depuis longtemps que la soumission est dans ta nature profonde et que tu
ne peux t'épanouir sexuellement qu'en étant soumise. Et la prochaine
fois, je vais faire de toi une vraie femme.
Elle sourit doucement.
— Je vais faire de toi ma petite pute. Ma petite pute docile et soumise. Ça te plaît ? lui dis-je en caressant son visage.
— Oh oui… oui Maître !
— C'est bien, tu apprends vite. Allons, à la prochaine fois.
Elle partit toute guillerette, visiblement heureuse et littéralement transformée.
Auteur : Docsevere
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