samedi 19 décembre 2015

Un père admirable (18)

Relisez le chapitre 17

[Adam attend patiemment sa fille, Jessica, à la sortie du lycée]

Je jetai un coup d’œil à mon reflet dans le rétroviseur alors que la sonnerie retentissait. Je réajustai quelques courtes mèches rebelles noires. Les doux rayons du soleil printanier réchauffaient mon avant-bras posé sur la vitre baissée. Je guettais le portail ouvert du lycée. Je m’attendais à voir surgir ma fille courant jusqu’à moi, un sourire illuminant son visage. Mon cœur battait fort… Elle n’avait pas quitté mes pensées de la journée, qui m’avait parue très longue tant j’étais pressé de la retrouver.

Je vis son petit ami sortir le premier de l’enceinte du lycée. Une douleur s’insinua en moi en imaginant voir ma fille à sa suite, la main dans la sienne. Mais elle sortit accompagnée de ses amies quelques minutes plus tard. Ses longs cheveux blonds, clairs comme les blés, flottaient au vent. Ses magnifiques yeux bleus me cherchaient. Un sourire éblouissant étira ses lèvres sensuelles quand elle me vit. Mon ange pressa le pas, volant presque jusqu’à moi. Son corps juvénile aux courbes féminines appelait mes bras, mes baisers et mes caresses.

Ma fille salua ses copines qui couraient presque derrière elle, et contourna la voiture. Je la suivis des yeux comme elle passait devant le capot pour prendre place à mes côtés.

— Bonjour, Adam ; vous allez bien ? demanda Chloé.

Celle-ci s’approcha de moi pour me faire la bise. La caresse de sa main sur mon bras me surprit, aussi le retirai-je aussitôt. L’odeur de la nicotine altérait les effluves de son parfum.

— Très bien, merci, souris-je. Alors les filles, il s’est bien passé, ce devoir d’histoire ?

Un ange passa tandis qu’elles regardaient le ciel ou leurs pieds.

— Moi, ça va ; mais j’ai besoin d’aide pour les maths, déclara Chloé. Les équations de Jess étaient justes : votre méthode est sûrement très bonne…

Son sourire ne quittait pas ses lèvres, et ses yeux menaçaient de me dévorer. Sa voix était suave. Ses allusions me rappelèrent le délicieux câlin avec ma fille et les zébrures de mon sperme sur son cahier de devoirs. Soit elle l’avait remarqué et nous soupçonnait, soit Jessica s’était confiée. Je décidai qu’il valait mieux cacher mon malaise et rester neutre face à la situation.

— Elles étaient vraiment faciles. Tu devrais demander de l’aide à ton père… ou à un grand frère… ou au prof… Enfin, à n’importe qui d’autre, en fait.

J’avais bafouillé en imaginant qu’elle pourrait croire que je lui conseillais de faire des avances à ces personnes. Ma réponse déçut Chloé. J’étais si gêné que je me retins de regarder Jessica qui gloussait.

— Vous êtes en forme pour samedi ? demanda Virginie, attirant mon attention. On veut vous voir gagner !

Je la remerciai intérieurement de me tirer de cette mauvaise passe et de détendre l’atmosphère.

— Ne t’inquiète pas : je ne voudrais pas décevoir mes fidèles supportrices ! souris-je.

Elle rougit jusqu’à la racine des cheveux, le sourire étiré jusqu’aux oreilles.

— Au revoir les filles ! lançai-je comme je démarrais doucement.

Je remontai ma vitre et m’insérai lentement dans la circulation.

— J’ai cru que je te verrais arriver avec ton petit copain, dis-je en prenant doucement la main de ma fille dans la mienne.
— Je préfère que tu me voies dans tes bras, répliqua-t-elle en s’y blottissant.

Je l’embrassai tendrement, ravi de la retrouver. La douceur de ses lèvres bouleversait mon cœur.

— Je l’ai quitté, murmura-t-elle comme je caressais doucement sa joue, me noyant dans ses yeux.
— Pourquoi ? demandai-je, surpris, arrêtant mon geste.
— Parce que je suis amoureuse de toi, susurra-t-elle d’une voix douce. Tu te souviens de ma demande en mariage d’hier ?
— Las Vegas, souris-je. D’ailleurs, j’ai une grande nouvelle : j’ai pu poser mes vacances en même temps que les tiennes.
— Super ! Alors on va pouvoir aller se marier ! s’exclama-t-elle, heureuse.

Je ne pus m’empêcher de sourire devant son enthousiasme.

— Non, on ne va pas à Las Vegas pour sept jours. Il y a tellement de choses à y faire qu’il faudrait y rester plus longtemps. Mais ne t’inquiète pas ; ce que j’ai prévu est tout aussi bien.

La déception qui déforma ses traits m’attendrit. J’embrassai tendrement son front.

— Mieux qu’un mariage ? demanda-t-elle, sceptique.
— Le mariage peut attendre : on a toute la vie devant nous. Et puis, tu portes déjà mon nom, dis-je en haussant les épaules.

Je l’embrassai fougueusement, heureux.

— On fêtera ton anniversaire le dernier jour de nos vacances, fis-je, enthousiasmé.
— Tu sais, Papa, c’est toi mon plus beau cadeau.

Cette déclaration me toucha profondément. Mon cœur se mit à tambouriner dans ma poitrine.

— Toi aussi, depuis ta naissance. Tu étais toute petite et toute blanche. Tu as levé tes petits yeux turquoise sur moi, et le monde s’est arrêté de tourner. Tout ce que j’ai réussi à te dire c’est « Je t’aime ».

L’amour qui me submergeait piquait mes yeux. Une larme menaçait de me trahir. Je posai délicatement mes lèvres sur les siennes. Nos langues se caressaient, se courtisaient.

— Et maintenant, tu m’embrasses, murmura-t-elle.
— Oui, et je ne veux plus jamais m’arrêter, souris-je en l’embrassant encore.

Une heure plus tard, nous ressortions du cabinet médical.

— Alors comment ça s’est passé ? demandai-je, comme elle me tendait l’ordonnance.
— Bien. Il a pas fait grand-chose, en fait. Comme je lui ai dit que j’étais encore vierge, il a juste ouvert ma minette en grand pour regarder mon vagin à l’aide d’une lampe. Il m’a dit : « C’est très beau, tout ça ! »
— Quoi ?

Une colère soudaine m’envahit. Comment un médecin pouvait-il se permettre un tel compliment ? N’était-il pas censé donner juste un avis médical ?

— J’aurais dû demander que tu voies une femme au lieu de notre médecin de famille.

Ma fille baissa les yeux comme si elle avait commis une bêtise. Je baissai aussitôt le ton : la pauvre n’y était pour rien.

— Qu’est-ce qu’il t’a fait d’autre ?
— Il a palpé mes seins comme il faisait à mon ventre quand j’étais petite.

J’aurais aimé pouvoir être près d’elle pour la protéger, mais c’était son intimité. Je la pris par la taille pour la réconforter, puis nous cheminâmes jusqu’à la pharmacie.

— Tu crois que je devrais prendre des préservatifs aussi ? demandai-je discrètement, comme la préparatrice s’éloignait avec l’ordonnance pour la pilule de ma fille.
— Non : je veux sentir ta peau contre la mienne, chuchota-t-elle.

Son souhait déclencha une décharge électrique dans mon corps. La puissante flamme du désir lécha mon sexe qui se raidit. Je posai une main sur sa chute de reins qui me faisait tant rêver.

— Je ne voudrais pas abîmer ton beau vagin, la taquinai-je d’une voix suave.
— Le médecin m’a dit que mon hymen commençait à s’effacer. Il a cru que j’attendais de prendre la pilule pour perdre ma virginité.

Je ne m’étais pas douté qu’il pourrait voir cela. Et puis, comme je ne sentais pas toujours cette membrane, il ne m’était pas venu à l’idée que cela pouvait arriver. Ce serait vraiment dommage qu’elle la perde de cette façon.

— J’ai peut-être de trop gros doigts, chuchotai-je au creux de son oreille, ou un trop gros gland.

Un désir plus grand encore m’envahit tandis que l’envie de l’insérer dans son intimité douce et brûlante s’imposait à moi. Elle rit discrètement alors que ma main raffermissait sa prise sur sa hanche.

— Tu penses que je pourrai lécher ta très belle minette avant mon entraînement ?

Je remarquai qu’un long frisson parcourait son corps. Mes lèvres prirent possession des siennes. Je me serrai discrètement contre elle afin de lui faire éprouver l’ardeur de mon désir qui déformait mon pantalon.

La sensation désagréable d’être observé me fit ouvrir les yeux. Je mis fin à notre tendre baiser en m’apercevant que la préparatrice nous regardait tour à tour ainsi que son écran. Son air surpris nous alerta.

— Vous avez une carte d’identité, s’il vous plaît ? lui demanda-t-elle.

Ma fille la lui tendit. Mon cœur battait rapidement. La jeune femme la lut attentivement avant de la lui rendre. Puis, elle lui tendit le petit sachet qui contenait sa pilule.

— On n’a pas été très discret sur ce coup-là, lançai-je comme nous sortions de la pharmacie en riant.
— Heureusement que tu n’as pas pris de préservatifs, sinon elle aurait fait une crise cardiaque !

Nous riions comme deux enfants pris en faute et se félicitant d’une bêtise.

Nous profitâmes des vitres teintées de la voiture pour nous embrasser langoureusement. Mes lèvres et ma langue savouraient doucement son cou et ses seins tandis que mes mains la déshabillaient lentement, en caressant son corps. J’écartai ses belles jambes et son tanga trempé d’envie. Je passai ma langue entre ses lèvres brillantes. La belle gémit aussitôt. Je lui léchai goulûment son clito tout dur et gonflé.

— Oh… Papa ! jouit-elle rapidement en s’agrippant sauvagement à mes cheveux.

Un violent orgasme tendait son corps vers ma bouche et mon doigt, que j’insérai doucement en elle. Ses mains attirèrent mon visage contre son minou. Je ne pouvais plus respirer tandis que sa liqueur inondait ma bouche. Je risquais de me noyer pendant que ma fille hurlait de plaisir. J’enfonçai ma langue dans son intimité et aspirai sa mouille lorsqu’elle me lâcha enfin.

Je faisais des va-et-vient rapides et profonds avec mon doigt dans son intimité soyeuse. Je dévorais avidement son clito, et m’enivrais de sa liqueur abondante. De nombreux orgasmes la ravagèrent. Ma fille se tortillait pour tenter d’échapper à ma bouche gourmande. Je la retenais et la maintenais fermement entre mes bras. Elle capitula et s’abandonna totalement. Son corps savoureux n’était qu’une furieuse vibration entre mes lèvres. Ses mains se cramponnaient à mes bras et à mes cheveux.

— Papa, stop ! J’en peux plus… murmura-t-elle, aphone.

Je relevai la tête ; mes yeux rencontrèrent les siens, brillants d’extase. Je souris devant son ravissement et embrassai la naissance de ses petites lèvres. Son délicieux clito vibra sous la douce caresse.

Je me relevai sur mon siège. Ma fille vint se blottir dans mes bras. Elle remarqua ma chemise et ma cravate souillées de sa liqueur. Je l’essuyai sur mon menton du bout des doigts, que je léchai en fixant ses yeux. Elle m’embrassa tendrement ; le goût de son intimité se mêlait à nos salives... J’arrêtai la caresse de sa main sur la toile de mon pantalon, tendue par une belle érection.

— Pas maintenant ; j’ai besoin de toutes mes forces pour mon entraînement, murmurai-je entre ses lèvres. Après, si tu veux.

Elle me regarda, surprise que je la repousse.

— Ne t’inquiète pas : la pression va redescendre doucement, souris-je.

Une heure plus tard, j’étais dans le dojo installé dans mon garage, en kimono blanc. Je m’étais échauffé et répétais mes mouvements d’attaque et d’esquive lorsque ma fille fit son entrée. Elle s’assit sur le sol, face à moi. J’évitais son regard fasciné et admiratif, me concentrant uniquement sur ma force et l’énergie que je transmettais aux coups que je donnais dans le vide. Je me déplaçais rapidement. Mes yeux fixaient un point invisible. Mon corps se mouvait en une danse puissante et redoutable.

Des clapotis indécents firent écho à mes cris virils. Ma fille avait passé une main sous son tanga. À travers la fine dentelle, je pouvais voir ses doigts s’activer sur son clito. Elle gémissait faiblement. Ses yeux brûlants de désir fixaient mon corps avec envie.

— Continue !
— Ça t’excite de me regarder m’entraîner ?
— Oui.

Sa voix était douce et sensuelle, aussi légère qu’un gémissement.
Je continuai donc mon entraînement, mais mes coups n’avaient plus la même ardeur. J’avais plutôt envie d’employer toute mon énergie pour embrasser et câliner voluptueusement son corps.

— Qu’est-ce qui t’excite, ma chérie ?
— Tes cris. J’aimerais bien que tu cries comme ça quand je te caresse ou quand tu me fais l’amour.
— C’est l’énergie que je mets dans mes coups qui me font crier, parce que je la puise au plus profond de mon être. Alors que pour toi, je puise toute ma douceur.
— J’adore quand ton kimono s’ouvre pour me dévoiler tes muscles qui se contractent lorsque tu bouges. Ta sueur fait briller ta peau ; je trouve ça super sexy !

Avec l’effort, mon kimono me collait à la peau sous l’effet de la transpiration. La regarder se caresser devant moi me donnait encore plus chaud et me faisait brûler de désir. L’ouverture de ma veste lui laissait entrevoir mes pectoraux et mes abdos. Je l’ôtai lentement après avoir défait ma ceinture. Ses yeux suivaient chacun de mes gestes et admiraient les mouvements de mes muscles. Ils glissèrent sur mon érection qui bosselait la fine toile blanche de mon pantalon. Je jetai ma veste hors du tatami et repris mon entraînement.

Ses gémissements et les clapotis de sa minette étaient plus audibles, réclamant ma virilité. Mes gestes étaient moins vifs, alors que tout mon corps se tendait vers le sien.

— Montre-moi l’effet que je te fais, dis-je en m’approchant d’elle.

J’attrapai une bouteille d’eau au passage pour me désaltérer. Ma fille ouvrit sa dentelle humide pour m’offrir une magnifique vue sur sa minette épanouie et dégoulinante. Je bus au goulot en la regardant insérer un doigt profondément dans son vagin. Il y fit quelques va-et-vient, ressortant brillant de mouille à chaque fois.

J’insérai un doigt en plus du sien dans son intimité accueillante, ce qui la fit gémir plus fort. L’intensité de ma caresse s’accordait à la sienne. Je sollicitais la partie la plus sensible de son intimité, l’entraînant dans la volupté de la jouissance. Son corps sensuel se tendit vers nos doigts tandis que ses cris emplissaient la pièce.

— Ce sont mes cris et mes muscles qui te font autant d’effet ? demandai-je en retirant mon doigt de la chaleur humide de son corps.

Je le suçai avec gourmandise.

— Ta souplesse aussi, sourit-elle en caressant tendrement son clito.
— Pourquoi ma souplesse ? demandai-je, surpris, en lui rendant son sourire.
— La façon dont tu bouges ton corps pour faire des coups de pied retournés, c’est super excitant.

De mon point de vue, avec la force que j’y mettais, c’était plutôt violent.

— Tu peux faire le grand écart aussi ? demanda-t-elle.
— Oui, bien sûr. Est-ce que tu attends de moi que je te fasse l’amour dans des positions très acrobatiques ?
— Euh… je sais pas. J’imaginais surtout ton corps s’enrouler autour du mien.

Sa réponse me fit sourire. J’observais son doigt faire des cercles autour de son clito dressé. Pour le moment, j’avais très envie d’enrouler ma langue autour de son bouton d’amour et de m’enivrer de sa liqueur qui dégoulinait abondamment de son intimité. Ma fille balança la tête en arrière, en gémissant plus fort encore. Elle ondulait du bassin, tendant son intimité vers son doigt qui intensifiait ses caresses. Elle se renversa totalement en arrière. J’admirais son corps aux courbes parfaites se tortiller de plaisir, sur le sol, à mes pieds. Ses cheveux étalés comme un soleil autour de son beau visage empourpré par le plaisir. Ses yeux brillants d’extase s’accrochaient aux miens. Ses cuisses largement écartées soulevaient son bassin dans ma direction. Sa vulve dilatée et dégoulinante m’attirait. Je me caressais doucement le sexe par-dessus la toile de mon pantalon tandis que son orgasme lui arrachait des cris et faisait vibrer son corps.

Ma fille me sourit et écarta ses bras sur le sol, paumes vers le ciel. Sa respiration s’apaisait. Sa liqueur s’écoulait lentement de son intimité, formant une flaque sous ses fesses. Je m’abaissai entre ses jambes et lui ôtai délicatement son tanga. Je plongeai ma bouche dans sa vulve pour m’abreuver de ses sécrétions. Je lui offris quelques orgasmes supplémentaires en léchant et suçant son clito, afin qu’elle inonde davantage ma langue et ma bouche. J’embrassais tendrement l’intérieur de ses cuisses, sans la quitter des yeux. Son regard pénétrant était un chant d’amour…

Je m’éloignai de ma fille et étirai latéralement mes jambes jusqu’à ce que mon bassin touche le sol.

— C’était ça que tu voulais me voir faire ?

Elle se releva sur un coude, fascinée et admirative.

— Oui.

Pour pavaner davantage, je m’amusai à attraper la plante de mes pieds, d’un côté puis de l’autre. Mon corps était ainsi étiré à son maximum. Il m’avait fallu beaucoup d’entraînement et de souffrances pour en arriver là, mais son regard admiratif était une immense récompense.

Je l’attrapai par les cuisses et la tirai délicatement contre moi. Ma fille gémit de surprise quand sa minette buta contre mon sexe en érection. Je rabattis ses jambes de part et d’autre de mon torse. J’ouvris son chemisier, libérant ainsi sa magnifique poitrine aux tétons dressés vers le ciel. Je caressai doucement ses seins et son ventre. J’agrippai ses hanches et donnai de petits coups de reins.

— Tu voudrais que je te fasse l’amour comme ça, dans cette position ?
— Oui, gémit-elle, ses yeux dans les miens.

Je me penchai au-dessus d’elle pour embrasser et palper ses seins.

— Tu sais, je suis pas un pro du sexe. Je saurai juste être doux et aimant pour prendre soin de toi et de ton plaisir.

Ma fille me serra fortement contre elle et m’embrassa langoureusement. J’ondulais du bassin, frottant mon sexe contre sa minette brûlante qui humidifiait mon pantalon. Elle gémissait de plaisir entre mes lèvres. Je me noyais dans l’océan de désir de ses yeux…

— Alors, tu veux m’entendre crier comme ça ?

J’imitai les cris que je poussais pendant mon entraînement.

— Oui.

Pour m’aider, j’avais dû les accompagner d’un coup de reins plus précis et plus puissant, effleurant son bassin pour ne pas la blesser. Ses yeux dans les miens, elle gémissait de plus en plus fort. Je pris appui sur mes coudes afin de mieux admirer sa beauté. Ses mains caressant mon dos et ses jambes enroulées autour de mes hanches me pressaient contre elle. J’intensifiai le rythme de mes coups de reins et de mes cris. La simulation d’une pénétration profonde et puissante dans son merveilleux corps stimulait mes sens. C’était une excitation insoutenable. Ma fille frottait sa minette contre mon sexe au rythme de mon bassin. Je sentais le désir me consumer. Une chaleur ardente envahissait mon corps tandis que la jouissance montait en moi.

J’embrassai langoureusement ma princesse, en roulant sur le sol pour la placer sur moi. Je caressai tendrement son dos tout en pressant son torse contre le mien. Sa peau merveilleusement douce était une ode à l’amour.

— Attends ; on sera mieux sur le tatami : c’est plus confortable, proposai-je.

Nous fîmes les quelques pas qui nous séparaient du tapis en nous embrassant et nous caressant. Sa bouche embrassait longuement mes mâchoires et mon cou. Ma peau frissonnait de désir sous ses lèvres. Ma fille déposait de doux baisers sur mes pectoraux et mes abdominaux tout en me caressant le dos, tandis que je caressais ses cheveux en soupirant de plaisir. Je la désirais si fort que je me suis pincé les lèvres, sans protester, lorsque sa bouche a embrassé mon sexe par-dessus mon pantalon.

Ma fille écarta la ceinture pour embrasser la peau de mon bas-ventre.

— Oh, gémis-je, alors que mon gland frémissait sur sa langue.

Jessica leva ses yeux vers les miens lorsqu’elle commença à le lécher délicatement.

— Je t’aime, Papa, dit-elle en déposant un léger baiser sur l’extrémité gonflée de ma verge.

Peut-être était-ce sa façon de demander l’autorisation de me donner tout le plaisir qu’elle souhaitait m’offrir ?

— Je t’aime aussi, répondis-je en caressant sa joue.

Ma fille s’est agenouillée à mes pieds et a délicatement baissé mon pantalon sur mes chevilles. Ses yeux brûlants de désir ont caressé mon sexe avant de se lever vers les miens. Ses lèvres ont esquissé un sourire, puis sa langue a doucement léché mon gland, en faisant des cercles autour de son œil. Puis elle a lentement parcouru ma verge sur toute sa longueur.

J’ai posé ma main sur la sienne qui tenait la base de mon sexe. Silencieusement, je lui ai montré comment découvrir entièrement mon frein. Ma fille a observé mon geste, puis a repris ses caresses avec sa langue. Ses lèvres sensuelles ont doucement accueilli mon gland entre elles. Tandis qu’elle le suçotait, sa langue a titillé mon frein, me faisant tressauter dans la chaleur humide de sa bouche.

— Ooh, gémis-je.

Elle avait plongé ses magnifiques yeux bleus brillants de désir dans les miens.

— C’est aussi sensible que ton clito, là…

Elle a souri, mon gland entre ses lèvres, et a déposé un léger baiser sur mon frein. Je la trouvais belle, désirable, magnifique. J’avais envie d’embrasser ses lèvres gourmandes.

La pointe de sa langue a caressé mon frein, me faisant tressaillir ; puis ma fille a absorbé mon gland entre ses lèvres et l’a tété puissamment. Un vif plaisir m’a fait gémir, menaçant de me submerger. Je plongeai ma main dans ses longs cheveux pour attirer son attention et la prévenir de la montée imminente de ma jouissance. Sa bouche happa profondément ma verge, ce qui la fit hoqueter.

— Doucement ; ne te fais pas mal. Ouvre un peu plus ta bouche pour ne pas me blesser avec tes dents, lui conseillai-je.

Elle fit coulisser mon sexe doucement entre ses lèvres ; sa langue caressait mon frein à chaque passage de mon gland.

— Serre un peu plus tes lèvres…

Je pris sa main dans la mienne et je portai un de ses doigts à ma bouche pour lui montrer la façon dont j’aimais être sucé : les lèvres serrées autour de ma verge, me sentir aspiré profondément, et me faire titiller le frein. Ma fille a reproduit la même succion sur mon sexe. Ses yeux dans les miens, nous échangions des regards enflammés. Je caressais tendrement sa joue d’une main ; j’embrassais la sienne avec mes lèvres et ma langue, suçant chacun de ses doigts et caressant son bras. Cet échange à la fois tendre et érotique était très excitant. Mon plaisir s’intensifiait progressivement. J’avais envie de lui en donner autant.

Je m’accroupis devant elle pour l’embrasser passionnément. Sa main caressait mon sexe contre son ventre. La caresse insistante de son pouce sur mon frein me faisait gémir de plaisir. Je la pressai contre moi tout en caressant son clito trempé d’envie. Quelques secondes suffirent à lui faire pousser de petits cris entre nos lèvres et vibrer de plaisir sous mes doigts.

Je l’allongeai délicatement sur le tatami. Ses yeux gourmands observaient la caresse de sa main sur mon sexe tendu au-dessus de son visage. Son sourire et le regard tendre qu’elle m’adressait m’ont témoigné le plaisir qu’elle y prenait. Je caressais doucement sa joue, son cou, ses seins aux tétons dressés, son ventre, son pubis. Ses cuisses s’ouvrirent largement, invitant mes doigts dans son intimité. Je caressai son clito dressé et tout vibrant. Je ne la quittai pas des yeux tandis que le plaisir la submergeait progressivement. Son bassin accompagnait mes caresses tandis qu’elle gémissait. Le corps de ma fille se mit à vibrer, se tendant sur mon doigt. J’accélérai la vitesse de mes caresses pour prolonger sa jouissance, puis j’insérai mon doigt profondément en elle. Je l’agitai sur la partie la plus sensible de sa paroi. Un cri strident, proche du hurlement, s’échappa de ses lèvres rougies.

Je dus écarter sa main de mon sexe, tant la vue de son corps parfait, palpitant à mes genoux et ses cris m’excitaient. Je m’allongeai tête-bêche à ses côtés. Je déposai un tendre baiser sur son pubis puis j’embrassai sa minette à pleine bouche. Je léchai et suçai avidement son clito. Ma fille gémissait et le frottait sur ma langue. Je m’enivrais de sa liqueur…

Sur mon sexe, sa bouche vint remplacer sa main. Ses lèvres aspiraient fortement mon gland jusqu’à absorber profondément ma verge à une vitesse soutenue. Une chaleur insupportable irradiait mon corps qui se tendait de plaisir. Je gémissais contre ses lèvres intimes que j’avais envie de pénétrer.

— Oh ! C’est trop bon…

Mes mains serraient fermement ses fesses contre mon visage. Le plaisir que ma fille me donnait était si intense que je ne pouvais plus me concentrer sur celui que je lui donnais précédemment. Je ne pouvais qu’embrasser sa minette et mordre doucement l’intérieur de ses cuisses. Mon sexe grossissait entre ses lèvres.

— Princesse, attention !

Sa bouche se resserra autour de mon gland ; sa langue dansait sur lui pendant qu’elle le suçait frénétiquement. L’imminence de ma jouissance m’enflammait et me faisait frissonner. Mon corps, sous pression, vibrait violemment sous la douce caresse de la langue de ma fille. Mes doigts s’étaient contractés sur ses fesses. Les yeux fermés, je sentais l’accumulation du désir bouillonner dans mes veines et faire grossir encore plus mon sexe. L’explosion de plaisir menaçait de jaillir de mon corps comme un feu d’artifice. Ma verge congestionnée expulsa de puissants jets de sperme par saccades. Le visage plaqué contre ses cuisses ouvertes, je poussai des cris incontrôlables, que même la douceur de sa peau ne put atténuer.

Sa langue continuait de lécher mon gland sensible, tandis que sa bouche suçait doucement ma verge. Je vibrais entre ses lèvres. Je posai doucement ma main sur la sienne, qui tenait la base de mon sexe. Ma fille le libéra en déposant un léger baiser sur mon gland. J’osai alors la regarder : elle se léchait les lèvres. Jessica me sourit, puis reposa délicatement mon sexe contre ma cuisse. Ma fille embrassa amoureusement ma verge et vint se blottir dans mes bras. Ce faisant, elle se lécha les lèvres à plusieurs reprises. Un plaisir immense faisait briller ses yeux.

— Je te trouve bien gourmande, souris-je.
— Tu es délicieux, me répondit-elle en m’embrassant tendrement.

Auteure : Feeling

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