Relisez le chapitre 17
[Adam attend patiemment sa fille, Jessica, à la sortie du lycée]
Je jetai un coup d’œil à mon reflet dans le rétroviseur alors que la sonnerie retentissait. Je réajustai quelques courtes mèches rebelles noires. Les doux rayons du soleil printanier réchauffaient mon avant-bras posé sur la vitre baissée. Je guettais le portail ouvert du lycée. Je m’attendais à voir surgir ma fille courant jusqu’à moi, un sourire illuminant son visage. Mon cœur battait fort… Elle n’avait pas quitté mes pensées de la journée, qui m’avait parue très longue tant j’étais pressé de la retrouver.
Je vis son petit ami sortir le premier de l’enceinte du lycée. Une douleur s’insinua en moi en imaginant voir ma fille à sa suite, la main dans la sienne. Mais elle sortit accompagnée de ses amies quelques minutes plus tard. Ses longs cheveux blonds, clairs comme les blés, flottaient au vent. Ses magnifiques yeux bleus me cherchaient. Un sourire éblouissant étira ses lèvres sensuelles quand elle me vit. Mon ange pressa le pas, volant presque jusqu’à moi. Son corps juvénile aux courbes féminines appelait mes bras, mes baisers et mes caresses.
Je jetai un coup d’œil à mon reflet dans le rétroviseur alors que la sonnerie retentissait. Je réajustai quelques courtes mèches rebelles noires. Les doux rayons du soleil printanier réchauffaient mon avant-bras posé sur la vitre baissée. Je guettais le portail ouvert du lycée. Je m’attendais à voir surgir ma fille courant jusqu’à moi, un sourire illuminant son visage. Mon cœur battait fort… Elle n’avait pas quitté mes pensées de la journée, qui m’avait parue très longue tant j’étais pressé de la retrouver.
Je vis son petit ami sortir le premier de l’enceinte du lycée. Une douleur s’insinua en moi en imaginant voir ma fille à sa suite, la main dans la sienne. Mais elle sortit accompagnée de ses amies quelques minutes plus tard. Ses longs cheveux blonds, clairs comme les blés, flottaient au vent. Ses magnifiques yeux bleus me cherchaient. Un sourire éblouissant étira ses lèvres sensuelles quand elle me vit. Mon ange pressa le pas, volant presque jusqu’à moi. Son corps juvénile aux courbes féminines appelait mes bras, mes baisers et mes caresses.
Ma fille salua ses
copines qui couraient presque derrière elle, et contourna la voiture. Je
la suivis des yeux comme elle passait devant le capot pour prendre
place à mes côtés.
— Bonjour, Adam ; vous allez bien ? demanda Chloé.
Celle-ci
s’approcha de moi pour me faire la bise. La caresse de sa main sur mon
bras me surprit, aussi le retirai-je aussitôt. L’odeur de la nicotine
altérait les effluves de son parfum.
— Très bien, merci, souris-je. Alors les filles, il s’est bien passé, ce devoir d’histoire ?
Un ange passa tandis qu’elles regardaient le ciel ou leurs pieds.
—
Moi, ça va ; mais j’ai besoin d’aide pour les maths, déclara Chloé. Les
équations de Jess étaient justes : votre méthode est sûrement très
bonne…
Son sourire ne quittait pas ses lèvres, et ses yeux
menaçaient de me dévorer. Sa voix était suave. Ses allusions me
rappelèrent le délicieux câlin avec ma fille et les zébrures de mon
sperme sur son cahier de devoirs. Soit elle l’avait remarqué et nous
soupçonnait, soit Jessica s’était confiée. Je décidai qu’il valait mieux
cacher mon malaise et rester neutre face à la situation.
— Elles étaient vraiment faciles. Tu devrais demander de l’aide à ton père… ou à un grand frère… ou au prof… Enfin, à n’importe qui d’autre, en fait.
J’avais
bafouillé en imaginant qu’elle pourrait croire que je lui conseillais
de faire des avances à ces personnes. Ma réponse déçut Chloé. J’étais si
gêné que je me retins de regarder Jessica qui gloussait.
— Vous êtes en forme pour samedi ? demanda Virginie, attirant mon attention. On veut vous voir gagner !
Je la remerciai intérieurement de me tirer de cette mauvaise passe et de détendre l’atmosphère.
— Ne t’inquiète pas : je ne voudrais pas décevoir mes fidèles supportrices ! souris-je.
Elle rougit jusqu’à la racine des cheveux, le sourire étiré jusqu’aux oreilles.
— Au revoir les filles ! lançai-je comme je démarrais doucement.
Je remontai ma vitre et m’insérai lentement dans la circulation.
— J’ai cru que je te verrais arriver avec ton petit copain, dis-je en prenant doucement la main de ma fille dans la mienne.
— Je préfère que tu me voies dans tes bras, répliqua-t-elle en s’y blottissant.
Je l’embrassai tendrement, ravi de la retrouver. La douceur de ses lèvres bouleversait mon cœur.
— Je l’ai quitté, murmura-t-elle comme je caressais doucement sa joue, me noyant dans ses yeux.
— Pourquoi ? demandai-je, surpris, arrêtant mon geste.
— Parce que je suis amoureuse de toi, susurra-t-elle d’une voix douce. Tu te souviens de ma demande en mariage d’hier ?
— Las Vegas, souris-je. D’ailleurs, j’ai une grande nouvelle : j’ai pu poser mes vacances en même temps que les tiennes.
— Super ! Alors on va pouvoir aller se marier ! s’exclama-t-elle, heureuse.
Je ne pus m’empêcher de sourire devant son enthousiasme.
—
Non, on ne va pas à Las Vegas pour sept jours. Il y a tellement de
choses à y faire qu’il faudrait y rester plus longtemps. Mais ne
t’inquiète pas ; ce que j’ai prévu est tout aussi bien.
La déception qui déforma ses traits m’attendrit. J’embrassai tendrement son front.
— Mieux qu’un mariage ? demanda-t-elle, sceptique.
— Le mariage peut attendre : on a toute la vie devant nous. Et puis, tu portes déjà mon nom, dis-je en haussant les épaules.
Je l’embrassai fougueusement, heureux.
— On fêtera ton anniversaire le dernier jour de nos vacances, fis-je, enthousiasmé.
— Tu sais, Papa, c’est toi mon plus beau cadeau.
Cette déclaration me toucha profondément. Mon cœur se mit à tambouriner dans ma poitrine.
—
Toi aussi, depuis ta naissance. Tu étais toute petite et toute blanche.
Tu as levé tes petits yeux turquoise sur moi, et le monde s’est arrêté
de tourner. Tout ce que j’ai réussi à te dire c’est « Je t’aime ».
L’amour
qui me submergeait piquait mes yeux. Une larme menaçait de me trahir.
Je posai délicatement mes lèvres sur les siennes. Nos langues se
caressaient, se courtisaient.
— Et maintenant, tu m’embrasses, murmura-t-elle.
— Oui, et je ne veux plus jamais m’arrêter, souris-je en l’embrassant encore.
Une heure plus tard, nous ressortions du cabinet médical.
— Alors comment ça s’est passé ? demandai-je, comme elle me tendait l’ordonnance.
—
Bien. Il a pas fait grand-chose, en fait. Comme je lui ai dit que
j’étais encore vierge, il a juste ouvert ma minette en grand pour
regarder mon vagin à l’aide d’une lampe. Il m’a dit : « C’est très beau,
tout ça ! »
— Quoi ?
Une colère soudaine m’envahit. Comment
un médecin pouvait-il se permettre un tel compliment ? N’était-il pas
censé donner juste un avis médical ?
— J’aurais dû demander que tu voies une femme au lieu de notre médecin de famille.
Ma fille baissa les yeux comme si elle avait commis une bêtise. Je baissai aussitôt le ton : la pauvre n’y était pour rien.
— Qu’est-ce qu’il t’a fait d’autre ?
— Il a palpé mes seins comme il faisait à mon ventre quand j’étais petite.
J’aurais
aimé pouvoir être près d’elle pour la protéger, mais c’était son
intimité. Je la pris par la taille pour la réconforter, puis nous
cheminâmes jusqu’à la pharmacie.
— Tu crois que je devrais
prendre des préservatifs aussi ? demandai-je discrètement, comme la
préparatrice s’éloignait avec l’ordonnance pour la pilule de ma fille.
— Non : je veux sentir ta peau contre la mienne, chuchota-t-elle.
Son
souhait déclencha une décharge électrique dans mon corps. La puissante
flamme du désir lécha mon sexe qui se raidit. Je posai une main sur sa
chute de reins qui me faisait tant rêver.
— Je ne voudrais pas abîmer ton beau vagin, la taquinai-je d’une voix suave.
—
Le médecin m’a dit que mon hymen commençait à s’effacer. Il a cru que
j’attendais de prendre la pilule pour perdre ma virginité.
Je ne
m’étais pas douté qu’il pourrait voir cela. Et puis, comme je ne sentais
pas toujours cette membrane, il ne m’était pas venu à l’idée que cela
pouvait arriver. Ce serait vraiment dommage qu’elle la perde de cette
façon.
— J’ai peut-être de trop gros doigts, chuchotai-je au creux de son oreille, ou un trop gros gland.
Un
désir plus grand encore m’envahit tandis que l’envie de l’insérer dans
son intimité douce et brûlante s’imposait à moi. Elle rit discrètement
alors que ma main raffermissait sa prise sur sa hanche.
— Tu penses que je pourrai lécher ta très belle minette avant mon entraînement ?
Je
remarquai qu’un long frisson parcourait son corps. Mes lèvres prirent
possession des siennes. Je me serrai discrètement contre elle afin de
lui faire éprouver l’ardeur de mon désir qui déformait mon pantalon.
La
sensation désagréable d’être observé me fit ouvrir les yeux. Je mis fin
à notre tendre baiser en m’apercevant que la préparatrice nous
regardait tour à tour ainsi que son écran. Son air surpris nous alerta.
— Vous avez une carte d’identité, s’il vous plaît ? lui demanda-t-elle.
Ma
fille la lui tendit. Mon cœur battait rapidement. La jeune femme la lut
attentivement avant de la lui rendre. Puis, elle lui tendit le petit
sachet qui contenait sa pilule.
— On n’a pas été très discret sur ce coup-là, lançai-je comme nous sortions de la pharmacie en riant.
— Heureusement que tu n’as pas pris de préservatifs, sinon elle aurait fait une crise cardiaque !
Nous riions comme deux enfants pris en faute et se félicitant d’une bêtise.
Nous
profitâmes des vitres teintées de la voiture pour nous embrasser
langoureusement. Mes lèvres et ma langue savouraient doucement son cou
et ses seins tandis que mes mains la déshabillaient lentement, en
caressant son corps. J’écartai ses belles jambes et son tanga trempé
d’envie. Je passai ma langue entre ses lèvres brillantes. La belle gémit
aussitôt. Je lui léchai goulûment son clito tout dur et gonflé.
— Oh… Papa ! jouit-elle rapidement en s’agrippant sauvagement à mes cheveux.
Un
violent orgasme tendait son corps vers ma bouche et mon doigt, que
j’insérai doucement en elle. Ses mains attirèrent mon visage contre son
minou. Je ne pouvais plus respirer tandis que sa liqueur inondait ma
bouche. Je risquais de me noyer pendant que ma fille hurlait de plaisir.
J’enfonçai ma langue dans son intimité et aspirai sa mouille
lorsqu’elle me lâcha enfin.
Je faisais des va-et-vient rapides et
profonds avec mon doigt dans son intimité soyeuse. Je dévorais
avidement son clito, et m’enivrais de sa liqueur abondante. De nombreux
orgasmes la ravagèrent. Ma fille se tortillait pour tenter d’échapper à
ma bouche gourmande. Je la retenais et la maintenais fermement entre mes
bras. Elle capitula et s’abandonna totalement. Son corps savoureux
n’était qu’une furieuse vibration entre mes lèvres. Ses mains se
cramponnaient à mes bras et à mes cheveux.
— Papa, stop ! J’en peux plus… murmura-t-elle, aphone.
Je
relevai la tête ; mes yeux rencontrèrent les siens, brillants d’extase.
Je souris devant son ravissement et embrassai la naissance de ses
petites lèvres. Son délicieux clito vibra sous la douce caresse.
Je
me relevai sur mon siège. Ma fille vint se blottir dans mes bras. Elle
remarqua ma chemise et ma cravate souillées de sa liqueur. Je l’essuyai
sur mon menton du bout des doigts, que je léchai en fixant ses yeux.
Elle m’embrassa tendrement ; le goût de son intimité se mêlait à nos
salives... J’arrêtai la caresse de sa main sur la toile de mon pantalon,
tendue par une belle érection.
— Pas maintenant ; j’ai besoin de toutes mes forces pour mon entraînement, murmurai-je entre ses lèvres. Après, si tu veux.
Elle me regarda, surprise que je la repousse.
— Ne t’inquiète pas : la pression va redescendre doucement, souris-je.
Une
heure plus tard, j’étais dans le dojo installé dans mon garage, en
kimono blanc. Je m’étais échauffé et répétais mes mouvements d’attaque
et d’esquive lorsque ma fille fit son entrée. Elle s’assit sur le sol,
face à moi. J’évitais son regard fasciné et admiratif, me concentrant
uniquement sur ma force et l’énergie que je transmettais aux coups que
je donnais dans le vide. Je me déplaçais rapidement. Mes yeux fixaient
un point invisible. Mon corps se mouvait en une danse puissante et
redoutable.
Des clapotis indécents firent écho à mes cris virils.
Ma fille avait passé une main sous son tanga. À travers la fine
dentelle, je pouvais voir ses doigts s’activer sur son clito. Elle
gémissait faiblement. Ses yeux brûlants de désir fixaient mon corps avec
envie.
— Continue !
— Ça t’excite de me regarder m’entraîner ?
— Oui.
Sa voix était douce et sensuelle, aussi légère qu’un gémissement.
Je
continuai donc mon entraînement, mais mes coups n’avaient plus la même
ardeur. J’avais plutôt envie d’employer toute mon énergie pour embrasser
et câliner voluptueusement son corps.
— Qu’est-ce qui t’excite, ma chérie ?
— Tes cris. J’aimerais bien que tu cries comme ça quand je te caresse ou quand tu me fais l’amour.
—
C’est l’énergie que je mets dans mes coups qui me font crier, parce que
je la puise au plus profond de mon être. Alors que pour toi, je puise
toute ma douceur.
— J’adore quand ton kimono s’ouvre pour me dévoiler
tes muscles qui se contractent lorsque tu bouges. Ta sueur fait briller
ta peau ; je trouve ça super sexy !
Avec l’effort, mon kimono me
collait à la peau sous l’effet de la transpiration. La regarder se
caresser devant moi me donnait encore plus chaud et me faisait brûler de
désir. L’ouverture de ma veste lui laissait entrevoir mes pectoraux et
mes abdos. Je l’ôtai lentement après avoir défait ma ceinture. Ses yeux
suivaient chacun de mes gestes et admiraient les mouvements de mes
muscles. Ils glissèrent sur mon érection qui bosselait la fine toile
blanche de mon pantalon. Je jetai ma veste hors du tatami et repris mon
entraînement.
Ses gémissements et les clapotis de sa minette
étaient plus audibles, réclamant ma virilité. Mes gestes étaient moins
vifs, alors que tout mon corps se tendait vers le sien.
— Montre-moi l’effet que je te fais, dis-je en m’approchant d’elle.
J’attrapai
une bouteille d’eau au passage pour me désaltérer. Ma fille ouvrit sa
dentelle humide pour m’offrir une magnifique vue sur sa minette épanouie
et dégoulinante. Je bus au goulot en la regardant insérer un doigt
profondément dans son vagin. Il y fit quelques va-et-vient, ressortant
brillant de mouille à chaque fois.
J’insérai un doigt en plus du
sien dans son intimité accueillante, ce qui la fit gémir plus fort.
L’intensité de ma caresse s’accordait à la sienne. Je sollicitais la
partie la plus sensible de son intimité, l’entraînant dans la volupté de
la jouissance. Son corps sensuel se tendit vers nos doigts tandis que
ses cris emplissaient la pièce.
— Ce sont mes cris et mes muscles
qui te font autant d’effet ? demandai-je en retirant mon doigt de la
chaleur humide de son corps.
Je le suçai avec gourmandise.
— Ta souplesse aussi, sourit-elle en caressant tendrement son clito.
— Pourquoi ma souplesse ? demandai-je, surpris, en lui rendant son sourire.
— La façon dont tu bouges ton corps pour faire des coups de pied retournés, c’est super excitant.
De mon point de vue, avec la force que j’y mettais, c’était plutôt violent.
— Tu peux faire le grand écart aussi ? demanda-t-elle.
— Oui, bien sûr. Est-ce que tu attends de moi que je te fasse l’amour dans des positions très acrobatiques ?
— Euh… je sais pas. J’imaginais surtout ton corps s’enrouler autour du mien.
Sa
réponse me fit sourire. J’observais son doigt faire des cercles autour
de son clito dressé. Pour le moment, j’avais très envie d’enrouler ma
langue autour de son bouton d’amour et de m’enivrer de sa liqueur qui
dégoulinait abondamment de son intimité. Ma fille balança la tête en
arrière, en gémissant plus fort encore. Elle ondulait du bassin, tendant
son intimité vers son doigt qui intensifiait ses caresses. Elle se
renversa totalement en arrière. J’admirais son corps aux courbes
parfaites se tortiller de plaisir, sur le sol, à mes pieds. Ses cheveux
étalés comme un soleil autour de son beau visage empourpré par le
plaisir. Ses yeux brillants d’extase s’accrochaient aux miens. Ses
cuisses largement écartées soulevaient son bassin dans ma direction. Sa
vulve dilatée et dégoulinante m’attirait. Je me caressais doucement le
sexe par-dessus la toile de mon pantalon tandis que son orgasme lui
arrachait des cris et faisait vibrer son corps.
Ma fille me
sourit et écarta ses bras sur le sol, paumes vers le ciel. Sa
respiration s’apaisait. Sa liqueur s’écoulait lentement de son intimité,
formant une flaque sous ses fesses. Je m’abaissai entre ses jambes et
lui ôtai délicatement son tanga. Je plongeai ma bouche dans sa vulve
pour m’abreuver de ses sécrétions. Je lui offris quelques orgasmes
supplémentaires en léchant et suçant son clito, afin qu’elle inonde
davantage ma langue et ma bouche. J’embrassais tendrement l’intérieur de
ses cuisses, sans la quitter des yeux. Son regard pénétrant était un
chant d’amour…
Je m’éloignai de ma fille et étirai latéralement mes jambes jusqu’à ce que mon bassin touche le sol.
— C’était ça que tu voulais me voir faire ?
Elle se releva sur un coude, fascinée et admirative.
— Oui.
Pour
pavaner davantage, je m’amusai à attraper la plante de mes pieds, d’un
côté puis de l’autre. Mon corps était ainsi étiré à son maximum. Il
m’avait fallu beaucoup d’entraînement et de souffrances pour en arriver
là, mais son regard admiratif était une immense récompense.
Je
l’attrapai par les cuisses et la tirai délicatement contre moi. Ma fille
gémit de surprise quand sa minette buta contre mon sexe en érection. Je
rabattis ses jambes de part et d’autre de mon torse. J’ouvris son
chemisier, libérant ainsi sa magnifique poitrine aux tétons dressés vers
le ciel. Je caressai doucement ses seins et son ventre. J’agrippai ses
hanches et donnai de petits coups de reins.
— Tu voudrais que je te fasse l’amour comme ça, dans cette position ?
— Oui, gémit-elle, ses yeux dans les miens.
Je me penchai au-dessus d’elle pour embrasser et palper ses seins.
— Tu sais, je suis pas un pro du sexe. Je saurai juste être doux et aimant pour prendre soin de toi et de ton plaisir.
Ma
fille me serra fortement contre elle et m’embrassa langoureusement.
J’ondulais du bassin, frottant mon sexe contre sa minette brûlante qui
humidifiait mon pantalon. Elle gémissait de plaisir entre mes lèvres. Je
me noyais dans l’océan de désir de ses yeux…
— Alors, tu veux m’entendre crier comme ça ?
J’imitai les cris que je poussais pendant mon entraînement.
— Oui.
Pour
m’aider, j’avais dû les accompagner d’un coup de reins plus précis et
plus puissant, effleurant son bassin pour ne pas la blesser. Ses yeux
dans les miens, elle gémissait de plus en plus fort. Je pris appui sur
mes coudes afin de mieux admirer sa beauté. Ses mains caressant mon dos
et ses jambes enroulées autour de mes hanches me pressaient contre elle.
J’intensifiai le rythme de mes coups de reins et de mes cris. La
simulation d’une pénétration profonde et puissante dans son merveilleux
corps stimulait mes sens. C’était une excitation insoutenable. Ma fille
frottait sa minette contre mon sexe au rythme de mon bassin. Je sentais
le désir me consumer. Une chaleur ardente envahissait mon corps tandis
que la jouissance montait en moi.
J’embrassai langoureusement ma
princesse, en roulant sur le sol pour la placer sur moi. Je caressai
tendrement son dos tout en pressant son torse contre le mien. Sa peau
merveilleusement douce était une ode à l’amour.
— Attends ; on sera mieux sur le tatami : c’est plus confortable, proposai-je.
Nous
fîmes les quelques pas qui nous séparaient du tapis en nous embrassant
et nous caressant. Sa bouche embrassait longuement mes mâchoires et mon
cou. Ma peau frissonnait de désir sous ses lèvres. Ma fille déposait de
doux baisers sur mes pectoraux et mes abdominaux tout en me caressant le
dos, tandis que je caressais ses cheveux en soupirant de plaisir. Je la
désirais si fort que je me suis pincé les lèvres, sans protester,
lorsque sa bouche a embrassé mon sexe par-dessus mon pantalon.
Ma fille écarta la ceinture pour embrasser la peau de mon bas-ventre.
— Oh, gémis-je, alors que mon gland frémissait sur sa langue.
Jessica leva ses yeux vers les miens lorsqu’elle commença à le lécher délicatement.
— Je t’aime, Papa, dit-elle en déposant un léger baiser sur l’extrémité gonflée de ma verge.
Peut-être était-ce sa façon de demander l’autorisation de me donner tout le plaisir qu’elle souhaitait m’offrir ?
— Je t’aime aussi, répondis-je en caressant sa joue.
Ma
fille s’est agenouillée à mes pieds et a délicatement baissé mon
pantalon sur mes chevilles. Ses yeux brûlants de désir ont caressé mon
sexe avant de se lever vers les miens. Ses lèvres ont esquissé un
sourire, puis sa langue a doucement léché mon gland, en faisant des
cercles autour de son œil. Puis elle a lentement parcouru ma verge sur
toute sa longueur.
J’ai posé ma main sur la sienne qui tenait la
base de mon sexe. Silencieusement, je lui ai montré comment découvrir
entièrement mon frein. Ma fille a observé mon geste, puis a repris ses
caresses avec sa langue. Ses lèvres sensuelles ont doucement accueilli
mon gland entre elles. Tandis qu’elle le suçotait, sa langue a titillé
mon frein, me faisant tressauter dans la chaleur humide de sa bouche.
— Ooh, gémis-je.
Elle avait plongé ses magnifiques yeux bleus brillants de désir dans les miens.
— C’est aussi sensible que ton clito, là…
Elle
a souri, mon gland entre ses lèvres, et a déposé un léger baiser sur
mon frein. Je la trouvais belle, désirable, magnifique. J’avais envie
d’embrasser ses lèvres gourmandes.
La pointe de sa langue a
caressé mon frein, me faisant tressaillir ; puis ma fille a absorbé mon
gland entre ses lèvres et l’a tété puissamment. Un vif plaisir m’a fait
gémir, menaçant de me submerger. Je plongeai ma main dans ses longs
cheveux pour attirer son attention et la prévenir de la montée imminente
de ma jouissance. Sa bouche happa profondément ma verge, ce qui la fit
hoqueter.
— Doucement ; ne te fais pas mal. Ouvre un peu plus ta bouche pour ne pas me blesser avec tes dents, lui conseillai-je.
Elle fit coulisser mon sexe doucement entre ses lèvres ; sa langue caressait mon frein à chaque passage de mon gland.
— Serre un peu plus tes lèvres…
Je
pris sa main dans la mienne et je portai un de ses doigts à ma bouche
pour lui montrer la façon dont j’aimais être sucé : les lèvres serrées
autour de ma verge, me sentir aspiré profondément, et me faire titiller
le frein. Ma fille a reproduit la même succion sur mon sexe. Ses yeux
dans les miens, nous échangions des regards enflammés. Je caressais
tendrement sa joue d’une main ; j’embrassais la sienne avec mes lèvres
et ma langue, suçant chacun de ses doigts et caressant son bras. Cet
échange à la fois tendre et érotique était très excitant. Mon plaisir
s’intensifiait progressivement. J’avais envie de lui en donner autant.
Je
m’accroupis devant elle pour l’embrasser passionnément. Sa main
caressait mon sexe contre son ventre. La caresse insistante de son pouce
sur mon frein me faisait gémir de plaisir. Je la pressai contre moi
tout en caressant son clito trempé d’envie. Quelques secondes suffirent à
lui faire pousser de petits cris entre nos lèvres et vibrer de plaisir
sous mes doigts.
Je l’allongeai délicatement sur le tatami. Ses
yeux gourmands observaient la caresse de sa main sur mon sexe tendu
au-dessus de son visage. Son sourire et le regard tendre qu’elle
m’adressait m’ont témoigné le plaisir qu’elle y prenait. Je caressais
doucement sa joue, son cou, ses seins aux tétons dressés, son ventre,
son pubis. Ses cuisses s’ouvrirent largement, invitant mes doigts dans
son intimité. Je caressai son clito dressé et tout vibrant. Je ne la
quittai pas des yeux tandis que le plaisir la submergeait
progressivement. Son bassin accompagnait mes caresses tandis qu’elle
gémissait. Le corps de ma fille se mit à vibrer, se tendant sur mon
doigt. J’accélérai la vitesse de mes caresses pour prolonger sa
jouissance, puis j’insérai mon doigt profondément en elle. Je l’agitai
sur la partie la plus sensible de sa paroi. Un cri strident, proche du
hurlement, s’échappa de ses lèvres rougies.
Je dus écarter sa
main de mon sexe, tant la vue de son corps parfait, palpitant à mes
genoux et ses cris m’excitaient. Je m’allongeai tête-bêche à ses côtés.
Je déposai un tendre baiser sur son pubis puis j’embrassai sa minette à
pleine bouche. Je léchai et suçai avidement son clito. Ma fille
gémissait et le frottait sur ma langue. Je m’enivrais de sa liqueur…
Sur
mon sexe, sa bouche vint remplacer sa main. Ses lèvres aspiraient
fortement mon gland jusqu’à absorber profondément ma verge à une vitesse
soutenue. Une chaleur insupportable irradiait mon corps qui se tendait
de plaisir. Je gémissais contre ses lèvres intimes que j’avais envie de
pénétrer.
— Oh ! C’est trop bon…
Mes mains serraient
fermement ses fesses contre mon visage. Le plaisir que ma fille me
donnait était si intense que je ne pouvais plus me concentrer sur celui
que je lui donnais précédemment. Je ne pouvais qu’embrasser sa minette
et mordre doucement l’intérieur de ses cuisses. Mon sexe grossissait
entre ses lèvres.
— Princesse, attention !
Sa bouche se
resserra autour de mon gland ; sa langue dansait sur lui pendant qu’elle
le suçait frénétiquement. L’imminence de ma jouissance m’enflammait et
me faisait frissonner. Mon corps, sous pression, vibrait violemment sous
la douce caresse de la langue de ma fille. Mes doigts s’étaient
contractés sur ses fesses. Les yeux fermés, je sentais l’accumulation du
désir bouillonner dans mes veines et faire grossir encore plus mon
sexe. L’explosion de plaisir menaçait de jaillir de mon corps comme un
feu d’artifice. Ma verge congestionnée expulsa de puissants jets de
sperme par saccades. Le visage plaqué contre ses cuisses ouvertes, je
poussai des cris incontrôlables, que même la douceur de sa peau ne put
atténuer.
Sa langue continuait de lécher mon gland sensible,
tandis que sa bouche suçait doucement ma verge. Je vibrais entre ses
lèvres. Je posai doucement ma main sur la sienne, qui tenait la base de
mon sexe. Ma fille le libéra en déposant un léger baiser sur mon gland.
J’osai alors la regarder : elle se léchait les lèvres. Jessica me
sourit, puis reposa délicatement mon sexe contre ma cuisse. Ma fille
embrassa amoureusement ma verge et vint se blottir dans mes bras. Ce
faisant, elle se lécha les lèvres à plusieurs reprises. Un plaisir
immense faisait briller ses yeux.
— Je te trouve bien gourmande, souris-je.
— Tu es délicieux, me répondit-elle en m’embrassant tendrement.
Auteure : Feeling
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