Aurore regarde une dernière fois son portable pour
 lire le SMS : « Ne réponds pas à ce message. Rends-toi à l’hôtel 
Pressman ce soir à 18h. Chambre 208. Tu m’y attendras. Franck. »
Elle avait vérifié sur le portable de Lucas : c’était bien le numéro de son père. Aurore est nerveuse mais heureuse : elle le tient. Visiblement, ce dernier veut jouer la carte de la prudence en la baisant dans un hôtel plutôt qu’ailleurs. Mais ce n’est pas grave ; Aurore trouvera bien une façon de l’avoir au domicile familial quand Lucas l’invitera de nouveau. Elle allumera Franck jusqu’à ce qu’il craque et la baise là-bas, et elle s’arrangera pour se faire surprendre. Et hop, la jolie famille sera brisée !
Elle pénètre donc dans le bâtiment et se rend à l’accueil.
— Bonjour, il doit y avoir une chambre réservée au nom de monsieur Trivet. Chambre 208.
— Oui, en effet, déclare l’hôtesse. Il nous a prévenus de votre arrivée. Voici les clés.
Elle avait vérifié sur le portable de Lucas : c’était bien le numéro de son père. Aurore est nerveuse mais heureuse : elle le tient. Visiblement, ce dernier veut jouer la carte de la prudence en la baisant dans un hôtel plutôt qu’ailleurs. Mais ce n’est pas grave ; Aurore trouvera bien une façon de l’avoir au domicile familial quand Lucas l’invitera de nouveau. Elle allumera Franck jusqu’à ce qu’il craque et la baise là-bas, et elle s’arrangera pour se faire surprendre. Et hop, la jolie famille sera brisée !
Elle pénètre donc dans le bâtiment et se rend à l’accueil.
— Bonjour, il doit y avoir une chambre réservée au nom de monsieur Trivet. Chambre 208.
— Oui, en effet, déclare l’hôtesse. Il nous a prévenus de votre arrivée. Voici les clés.
Aurore
 s’en empare et monte jusqu’au second étage pour enfin entrer dans la 
chambre 208. Personne n’est à l’intérieur. Il fait sombre, les rideaux 
sont baissés. Un lit pour deux personnes siège au milieu de la pièce. 
Elle s’avance, repère un mot et un ruban sur le lit : « Déshabille-toi 
et cache-toi les yeux. » Quelle curieuse idée ! Elle ne connaissait pas 
Franck comme cela. Mais pourquoi pas ?
Elle obéit. La voilà donc 
nue et dans l’obscurité la plus totale. Il n’y a plus qu’à attendre 
l’arrivée de Franck qui a lieu quelques minutes plus tard. Elle entend 
parfaitement des pas lourds sur le sol. Quelque chose est posé sur la 
table de nuit, et la présence s’approche d’elle. Il la fait s’allonger 
sur le lit puis lui soulève ses mains au-dessus de sa tête. Elle sent 
quelque chose de froid autour de ses poignets puis entend un cliquetis 
métallique, et la voilà entravée. Des menottes ? La voilà donc à la 
merci de cet homme. La situation l’excite de plus en plus. L’homme se 
lève, et bientôt elle entend une ceinture se défaire et des vêtements 
tomber à terre. 
Franck remonte sur le lit et lui empoigne les 
seins. Il mordille les tétons, ce qui la fait gémir. Les mains de 
l’homme la caressent partout sur le corps. Aucune zone n’est épargnée. 
Aurore a l’impression que, privée de sa vue, ses autres sens – et 
notamment celui du toucher – sont nettement plus sensibles. Les caresses
 paraissent bien plus intenses. Elle comprend mieux maintenant l’intérêt
 du ruban qui lui obstrue la vue. 
Voilà que maintenant l’homme 
se concentre plus sur l’intimité d’Aurore. Il caresse sa vulve et 
stimule le clitoris. Aurore mouille abondamment. L’homme se décide à 
goûter à ce fruit offert. Oh oui ! Il y a bien longtemps qu’elle n’avait
 pas eu droit à un tel traitement. Fabien ne lui a offert que peu de 
cunnilingus quand ils étaient ensemble. Aucun depuis qu’ils sont 
séparés. Aurore ondule sous les assauts de la langue. Le plaisir lui 
traverse tout le corps par vagues successives de plus en plus fortes. 
Sentir cette langue qui s’occupe de sa féminité, prendre du plaisir avec
 cette homme qu’elle n’hésitera pas à briser la rend complètement folle.
 Elle gémit de plaisir bruyamment. 
Franck met cependant fin à ce
 contact alors qu’Aurore est sur le point de jouir. Elle sent le corps 
de l’homme se positionner au-dessus du sien. Quelque chose pointe à 
l’entrée de sa grotte. Elle écarte les cuisses pour faciliter le 
passage. L’homme la pénètre d’un coup qui la remplit de joie. Et voilà 
qu’il commence à la pilonner, d’abord doucement, pour faire remonter la 
plaisir d’Aurore peu à peu. Il sait prendre son temps. Il déguste. Il 
n’a pas l’air pressé d’en finir. Mais très vite Aurore en veut plus. 
Alors elle l’encourage, le supplie presque :
— Vas-y, baise-moi fort. Défonce-moi, gémit-elle.
L’homme
 obéit et son rythme augmente. La puissance de ses coups de boutoir 
aussi. Aurore est heureuse. Elle se sent bientôt décoller. Elle ne 
regrette pas d’avoir dû se taper Franck pour accomplir sa vengeance. Il 
se révèle bon amant. Les émotions se bousculent en elle. Bientôt Aurore 
ne résiste plus à ce raz-de-marée. Elle est emportée et crie sa 
jouissance. L’homme se retire alors. Lui n’a pas encore joui.
Il 
défait les menottes et installe Aurore dans une nouvelle position : à 
genoux, cul tendu, et la tête posée sur l’oreiller. Les mains sont de 
nouveau attachées dans le dos. Elle doit offrir une vue des plus 
excitantes. L’homme semble donc vouloir la prendre en levrette, mais il 
s’attarde à redonner quelques coups de langue sur sa chatte 
dégoulinante, puis sur son anus. Il écarte bien les deux globes fessiers
 pour faciliter le passage de sa langue. Aurore apprécie cette nouvelle 
caresse. Bientôt un doigt lui fouille le cul. Elle a un mouvement de 
rejet mais se souvient qu’il est préférable de se détendre. Mieux vaut 
lui donner ce qu’il veut si elle veut se le mettre dans la poche. Et 
puis, ça n’a pas été si désagréable avec Fabien, même si son cul l’a 
brûlée pendant plusieurs jours.
Quand il la sent prête, l’homme 
investit ce cul offert d’un coup de bite. Aurore sent glisser ce membre 
de plus en plus profond à chaque aller-retour. Elle a moins mal que la 
dernière fois, mais c’est encore loin d’être sans douleur. Elle essaie 
de se détendre et d’apprécier cette queue qui coulisse dans son 
fondement. Ce n’est pas désagréable. Un plaisir se mêle à la douleur. 
L’homme
 s’enhardit, bien décidé à en profiter, et commence à lui défoncer 
l’anus. Aurore gémit de plus en plus. La douleur augmente sous ces 
assauts, mais le plaisir aussi. Elle se fait maintenant pilonner le cul à
 fond. Elle prend vraiment plaisir à s’offrir à cet homme. Elle ne 
retient plus ses cris, heureusement étouffés par l’oreiller. Bien 
agrippé aux hanches d’Aurore, l’homme lui perfore le fondement avec 
vigueur. Il n’est plus très loin d’exploser. Ça y est ; il ne résiste 
plus à ce divin cul et éclate dans les entrailles d’Aurore.
***
Depuis
 qu’elle est arrivée au lycée ce matin, Aurore a une étrange impression.
 Elle semble attirer tous les regards. Pas des regards admiratifs comme 
d’habitude, mais des regards moqueurs ou de mépris. Elle ne sait pas ce 
qu’il se passe, et elle n’aime pas ça. Se fait-elle des idées ? Même ici
 en cours, elle a l’impression d’entendre ricaner dans son dos.
— C’est de nous qu’ils se marrent derrière, ou quoi ? s’inquiète-t-elle auprès de Lucas, son voisin de table.
— Mais non. Tu es parano, la rassure-t-il en souriant.
Pourtant
 elle est sûre que c’est le cas. Qu’est-ce qui ne va pas ? Vivement que 
cette journée se termine. Voilà déjà que la sonnerie retentit. Deux 
heures de passées, c’est toujours ça de pris.
— Pars devant, lui dit Lucas, j’ai quelque chose à demander au prof.
Elle
 range ses affaires et sort de la salle. Chacun de ses pas réveille le 
feu qui lui brûle le cul depuis la sodomie de la veille ; alors elle 
fait attention à ne pas faire de trop grands mouvements. Elle croise un 
groupe de garçons d’une autre classe qui se marrent en la voyant.
—
 Dis donc, Aurore, t’as l’air de marcher bizarrement. Tu t’es encore 
pris une bite dans le cul hier soir ? lui lance le premier.
— Quoi ? réagit-elle à cette question déplacée.
—
 Je vois que tu n’as pas mis de fond de teint ce matin, poursuit un 
autre mec. Si tu veux, on peut arranger ça : j’ai les couilles pleines.
Aurore
 comprend ; Fabien l’a balancée. Furieuse, elle bondit à sa recherche, 
ignorant les quolibets. Elle le croise dans un couloir plus bas.
— Putain, t’as foutu quoi ? Tu m’as balancée, enflure !
— Ha-ha-ha, se marre-t-il.
— Putain, mais ce n’est pas drôle. J’ai fait tout ce que tu voulais. Tu avais promis de garder toutes les vidéos pour toi.
—
 Ouais, j’ai promis… et j’ai menti. Je n’ai jamais eu l’intention de 
garder tout ça pour moi. Au contraire, j’ai accumulé toutes ces preuves 
dans l’unique but de montrer à tous ton vrai visage de débauchée. Je 
dois dire que tu as été particulièrement coopérative. Je suis 
particulièrement friand de tes photos, le visage maculé de sperme.
— Quoi ? Mais pourquoi ? T’es qu’un fumier, Fabien !
—
 Pourquoi ? Mais par vengeance, tout simplement. Tu m’as fait passer 
pour un salaud quand tu m’as largué. Tu as raconté à tout le monde que 
je t’avais trompée avec ta meilleure amie alors que tu été parfaitement 
au courant et d’accord avant que cela n’arrive.
— Qui est au courant ? s’inquiète-t-elle.
—
 Alors déjà, tous tes contacts mail ainsi que tes contacts sur les 
réseaux sociaux. Mais bientôt tout le monde sera au courant. Ce genre de
 nouvelle se répand comme une traînée de poudre. Tu es foutue, ma 
vieille.
— Tout le monde ? Même mes parents ?
— Exactement ! Comment crois-tu qu’ils vont réagir ? Vont-ils t’enfermer dans un couvent, d’après toi ?
— Putain, t’es qu’un salaud ! pleure-t-elle. Je te faisais confiance... 
—
 Le plus drôle, c’est que c’était finalement très simple de pirater ton 
adresse mail pour choper tous tes contacts. Même pas eu besoin de ton 
mot de passe. La question mystère a suffi pour en créer un autre.
Aurore
 réfléchit rapidement pour savoir de quoi il parle. Avec son mail, quand
 on oublie son mot de passe, on peut toujours en récupérer un autre en 
répondant à une question mystère dont on a préalablement enregistré la 
réponse. Quelle question avait-elle choisi ? Il lui faut quelques 
secondes avant qu’elle s’en souvienne : « Quel est votre plat préféré ? »
 
— Comment as-tu su ? Tu ne t’es jamais intéressé à ce que j’aime.
— Lui non, mais moi si, répond une voix derrière elle, celle de Lucas. D’ailleurs, tout ça c’était mon plan.
— Quoi ? fait Aurore, abasourdie par la découverte de cette nouvelle trahison. Mais pourquoi ? Je croyais que tu m’aimais.
—
 T’aimer ? grimace-t-il. Tu arrives à mentir aux autres en prétendant 
les aimer, mais tu n’imagines même pas qu’on puisse te faire la même 
chose. J’ai joué la comédie tout le long, comme toi. Tu as voulu te 
servir de moi pour détruire ma famille ; alors, avec Fabien, nous 
t’avons nous aussi manipulée.
— Vous deux ensemble ? Je ne comprends pas, ce n’est pas logique.
—
 C’est parce qu’il te manque un élément, explique Fabien. Lucas et moi 
étions de super potes avant, mais on s’est brouillé à cause d’une fille 
dont on était tous les deux amoureux et que j’ai fini par baiser. Quand 
j’ai vu que tu sortais avec lui, j’ai trouvé ça louche. Il me fallait le
 mettre en garde, en l’honneur de notre ancienne amitié et pour me 
racheter. Mais il me fallait une preuve de ta duplicité, preuve que tu 
m’as fournie de toi-même en me proposant de te filmer. Je l’ai montrée 
aussitôt à Lucas, et il a mis au point son plan afin de montrer à tous 
ton vrai visage.
— Pendant que moi je jouais mon rôle, poursuit 
Lucas, Fabien était chargé de rassembler d’autres vidéos et photos 
compromettantes ainsi que de percer à jour tes objectifs. Et en 
attendant, nous avons tous les deux bien pris notre pied à te baiser.
— Me baiser ? Mais je n’ai fait que te sucer. Tu délires ! 
—
 Ah oui ? En es-tu si sûre ? Crois-tu vraiment que tu as eu affaire à 
mon père, hier, à l’hôtel ? J’ai tout filmé, si tu as un doute.
— Putain ! s’énerve-t-elle. Vous n’êtes que des salauds ! Vous me dégoutez !
— Tu as voulu jouer, tu as perdu. Il ne fallait pas t’en prendre à ma famille.
—
 Mais ton père le méritait ! rage-t-elle. Il fallait qu’il paye pour ce 
qu’il a fait. Sa démission n’était pas suffisante. Il faut qu’il paye 
vraiment. Si le directeur n’avait pas voulu étouffer le scandale, ça 
aurait été le cas.
— Que crois-tu qu’il s’est passé entre ta sœur et mon père ?
— Il a abusé d’elle. Il l’a détruite. 
—
 Abusé ? Ne te fous pas de notre gueule. Quand je lui ai demandé ce 
qu’il s’était passé avec ta sœur, il ne m’a pas du tout donné cette 
version. Selon lui, c’est ta sœur Sophie qui lui a fait du 
rentre-dedans. Il reconnaît avoir cédé à la tentation et avoir eu une 
relation avec elle. Jusqu’au moment où les remords étaient trop forts et
 qu’il a voulu mettre fin à cette liaison. Sophie, n’admettant pas 
d’être repoussée, est allée l’accuser d’abus auprès du directeur. 
Prenant cette histoire au sérieux, ce dernier a tout de même voulu mener
 une enquête interne avant d’appeler la police. Après l’enquête, le 
directeur s’est aperçu qu’il y avait certaines contradictions dans la 
version de ta sœur ; il a donc compris qu’elle mentait. Du coup, c’est 
pour la protéger qu’il a décidé d’étouffer l’affaire et a demandé la 
démission de mon père.
— Ce… ce n’est pas possible. Je ne te crois pas.
—
 Comme tu veux, mais tu peux toujours aller voir le directeur si tu as 
un doute. C’est ce que nous avons fait avec Fabien, et il a confirmé la 
version de mon père.
***
La 
journée a été horrible pour Aurore. Partout on l’a montrée du doigt, 
partout on s’est moqué d’elle. Elle est passée en une journée de l’image
 d’une fille sage et bien élevée à celle d’une immonde garce. Elle n’a 
personne pour la soutenir. Même ses copines l’ont rejetée. Et par-dessus
 ça, ses parents n’arrêtent pas d’appeler. Elle a peur de leur répondre,
 alors elle ne décroche pas. Elle a voulu fuir toute la journée mais a 
refusé d’offrir cette victoire à tous ces misérables. Elle se doit de 
garder la tête haute, même si au fond d’elle, elle est effondrée. Et le 
cauchemar est encore loin d’être fini puisqu’il reste encore la 
confrontation avec ses parents. Elle n’ose même pas y penser.
Sophie
 est venue chercher Aurore au lycée aujourd’hui. Aurore marche à 
contrecœur vers son aînée. Elle voit déjà le visage sombre que sa sœur 
arbore.
— Putain, mais qu’est-ce que t’as foutu, bon sang ? Les parents sont dans une rage folle !
Aurore
 explique toute l’histoire à sa sœur. Comment Lucas et Fabien l’ont 
manipulée. Sophie écoute tout attentivement dans les moindres détails. 
Mine de rien, Aurore apprécie de pouvoir se confier à quelqu’un. Elle en
 a bien besoin après cette journée infernale.
— Purée, mais t’es 
trop conne ! la coupe finalement Sophie. T’avais besoin de retourner 
avec ton ex et de te faire filmer en plus ? Qu’est-ce qu’il t’a pris ?
—
 Il me manquait trop, pleure-t-elle. Je l’aimais, je te rappelle. Je 
n’avais aucune envie de le larguer. C’est toi qui as insisté pour que je
 le fasse quand tu as su que Lucas Trivet était dans ma classe. J’ai 
fait tout ce que tu m’as demandé. J’ai fait tout ça pour toi, pour te 
venger de son père.
— Mais moi je ne t’ai jamais demandé de te taper 
ton ex. Non, ça tu l’as fait toute seule. Ne compte pas sur moi pour te 
sortir de ce pétrin. Allez, grimpe dans la voiture ! ordonne-t-elle 
sèchement.
Aurore, abattue, obéit. Elle s’installe côté passager tandis que Sophie insère la clé dans le contact.
— Attends, coupe Aurore. C’est vrai ce qu’ils ont dit ? Que monsieur Trivet n’a en fait jamais abusé de toi ?
—
 Mais merde, Aurore ! s’emporte Sophie. Qu’est-ce que ça change 
maintenant ? Qu’il ait ou non abusé de moi, Franck devait payer.
Aurore
 comprend ; Sophie n’a pas nié : c’est donc vrai. La version que lui a 
donnée Lucas est la bonne. Putain, son monde s’effondre ! Sa sœur s’est 
servie d’elle, l’a forcée à quitter le mec qu’elle aimait pour aller 
avec un autre qui la dégoûtait, mais qu’elle avait fini par apprécier ; 
et tout ça pour détruire la famille d’un homme qui avait seulement fait 
l’erreur de repousser des avances. Tout ça par orgueil !
— 
Qu’est-ce que ça change ? s’énerve Aurore. J’ai fait tout ça pour une 
cause que je pensais juste, mais tu m’as menti tout ce temps, et…
La claque est violente et surprenante. Sophie lance un regard noir à sa sœur.
—
 Calme-toi, jeune fille ! crache-t-elle. Quand les parents 
t’interrogeront, je ne veux rien entendre me concernant, ou je te jure 
que tu me le payeras au centuple. Maintenant, nous allons rentrer ; 
alors réfléchis bien à ce que tu vas leur dire.
FIN
Auteur : Nathan Kari 
L'histoire est tordue et semble tout droit sortie d'un mauvais polar de gare. Trop de phrases qui n'ont aucun intérêt pour le déroulement de l'histoire. Il faudrait mettre un peu d'originalité dans les descriptions érotiques et donner du relief aux personnages avec plus de consistance psychologique. Les garçons sont trop conventionnels pas assez complexes et aussi trop manichéens pour leur jeune age (lycéens). A cet age les filles et les garçons sont peu aguerris aux jeux de l'amour et du sexe pour que votre histoire soit vraisemblable. Alors au travail.
RépondreSupprimerJe reconnais bien l'auteur de ce style de critique. Ce qui est étonnant c'est qu'il fait des fautes d'orthographe, tsss tsss :(
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